Retrouvailles en famille
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Retrouvailles en famille
Je suis le plus heureux des hommes, après bien des années je vais enfin renouer avec Renaud, mon petit-fils des vingt ans, suite à une sombre histoire de famille qui a fait éclater deux couples, nous nous somment perdus de vue, il veut me présenter Clémence, sa fiancée, alors je les ai invités à passer quelques jours à la maison
- Vient dans mes bras mon grand ! que tu as changé, je ne t’aurais pas reconnu, quel bel homme, n’est- ce pas Clémence ?
- C’est bien pour ça que je veux l’épouser ! alors vous êtes papy Michel ? vous avez véritablement un air de famille
- Tu es très jolie ma fille, Renaud a très bon goût
Il est vrai que cette fille a tout ce qu’il faut là où il faut, quelque part elle me rappelle Aurore ma belle-fille, la mère de Renaud … ça me fait frissonner …durant le bon repas que je leurs ai préparé je sens que mon petit-fils veut me parler du passé, l’apéro et le bon vin aidant il commence à se lâcher
- Papy, maman est partie avec le plombier du quartier, il parait qu’il possède une belle ‘tuyauterie’ ! j’aimerais que nous discutions de cette ‘affaire de viol ’
- Tu y tiens tant que ça ?
- J’ai fait parler maman elle m’a enfin donné la bonne version de ce fameux weekend
- Le weekend end où je l’ai ‘violée’ ?
- Ça c’était la version officielle, aussi j’aimerai entendre la tienne histoire de comparer …
- Si tu y tiens vraiment je vais te décrire cette journée mais sans rien cacher, tu es en âge d’entendre la vérité et les mots crus qu’elle contient, tu veux rester Clémence ?
- J’adore les histoires de famille !
La jeune fille s’est assise sur un genou de Renaud si je me tourne je peux apercevoir assez haut entre ses cuisses, lui a posé négligemment une main sur son genou, joues contres joues elle attend anxieusement comme si j’allais raconter un conte des mille et une nuit
- Alors c’est parti... je m’en souviens comme si c’était hier, tu sais que nous avons toujours pratiqué le naturisme ?
- Oui, et nous aussi adorons vivre nus, hein chérie ?
- Muuuuummmmmmmoooooouuuuuiiii !
- Ce jour-là nous passions la journée à la plage de la côte sauvage, il y avait ta grand-mère et tes parents encore jeunes puisque tu n’étais pas encore né !
- C’est là que j’ai été fabriqué !
- Presque …, l’après-midi il faisait très chaud, pour se rafraichir il n’y avait qu’une seule solution, rester dans l’eau, nous faisions les fous, a un moment Aurore a sauté sur mon dos afin que je la hisse sur mes épaules pour jouer dans les vagues, je me souviens avoir frissonné …
- Sans doute ses poils pubiens chatouillaient votre cou ?
- Oui mais l’effet ne s’arrêtait pas là …
- Ah je vois …continue papy
- Ta mère chahutait avec son fils, ils ne prêtaient guère attention à nous, j’avais de l’eau jusqu'à la poitrine, l’érection qui était à son apogée ne pouvais se voir, soudain j’ai senti un liquide brulant sur mon cou, Aurore riait aux éclats affirmant qu’elle n’avait pu s’empêcher de faire pipi, par jeu et pour me rincer je l’ai balancée dans la flotte, c’est à peine si elle avait pied
- Elle ne sait pas nager !
- Je n’avais pas réalisé, alors elle s’est accrochée face à moi, seins écrasé contre ma poitrine elle ne pouvait plus ignorer le manche raide qui se balançait au gré des courants …elle m’a fixé intensément et s’est mise à onduler comme si elle voulait s’emmancher sur mon pieu
- Et alors ?
La main de Renaud a remonté a mis cuisses de sa jolie fiancée...ceci ajouté aux souvenirs de ce fameux après-midi il ne m’en faut pas plus pour que je bande …
- Si elle avait réussi à se pénétrer je ne sais pas si j’aurais eu la force de me retirer
- C’est humain, ce n’est pas du viol !
- Ce n’est pas tout …ça ne s’est pas arrêté là, voyant que j’étais récalcitrant elle m’a attrapé la queue en prétextant que je ne pouvais pas sortir de l’eau ainsi, elle m’a branlé, je me suis laissé faire, oh ça n’a pas duré longtemps ! j’étais tellement excité que j’ai décharge vite fait, finalement elle a rejoint son mari qui se demandait ce qu’il se passait, dès que j’ai pu être ‘présentable’ même si mon sexe était encore anormalement gonflé j’ai rejoint le groupe alors que les deux amoureux repartaient à l’eau, à leur enthousiasme j’ai compris que c’était pour baiser, ma femme s’est aperçue de mon état je me suis allongé près d’elle derrière les pare-vents , se réjouissant de nous retrouver enfin seuls elle s’est jetée sur ma bite pour me sucer
- Hé bien vous avez de l’endurance !
- Je reconnais que j’étais capable de remettre le couvert plusieurs fois
- Je me doute que tu en es encore capable papy ?
- Oh je n’ai plus l’occasion de me tester !
- Et alors ? ce fameux ‘viol’ ?
- J’y arrive … ce moment d’égarement m’a travaillé toute la soirée je n’arrivais pas à trouver le sommeil, j’aurais pu baiser ma belle-fille et je ne sais pas si j’aurais eu des remords … après m’être tourné et retourné dans le lit, empêchant ma femme de dormir je me suis levé pour aller regarder les étoiles , nu, allongé sur un transat je me repassais les images de l’après-midi et je me suis remis à bander comme un âne, j’ai empoigné mon membre et je me suis caressé
A cet instant j’ai remarqué que la main de mon petit fils a atteint son but … Clémence se mord la lèvre pour ne pas crier, ses cuisses se serrent et se desserrent je n’ose plus regarder car le fond du mini slip est viré sur un coté …
- Vous pouvez interrompre votre récit juste un instant Michel ? j’ai envie de faire pipi !
- Va ma fille pendant ce temps je vais baisser un peu la lumière ça me fait mal aux yeux
- Comment trouves-tu clémence papy ?
- Très bien ! une belle jeune fille qui n’a pas froid aux yeux !
- Ça te gêne si je la caresse durant ton histoire ?
- Pas le moins du monde, je fais comme si je ne voyais rien, et j’ai tamisé l’éclairage exprès par discrétion ! !
- Tu es formidable ! ah la revoilà !
- Redonne-moi ton genou mon chéri !
- Qu’as-tu dans la main ?
- Chuuuuutttt
- Ta petite culotte ?
- Soit discret voyons ! elle me collait trop aux fesses…c’est tellement excitant cette histoire !
- Bon, je peux continuer ?
- Vas-y !
- Donc j’essayais de me calmer et de faire le point lorsque j’ai perçu un bruit, j’ai pensé que c’était notre chaton en chasse, une ombre s’est profilée à mon côté, avant que je n’ai pu réagir ma verge était prisonnière d’une bouche vorace... celle d’Aurore entièrement nue sous les rayons lunaire, j’ai essayé de lui faire recracher mais ses dents m’en ont dissuadé , appâté deux fois dans la journée s’était trop, tant pis pour la bienséance ma main s’est retrouvée entre ses cuisses pour y découvrir une chatte juteuse à souhait, j’ai enfilé trois doigts dans ce con encore poisseux de son accouplement de la plage , c’est alors qu’elle a recraché ma verge pour me chevaucher, je l’ai laissée faire, au diable les conventions je n’en pouvais plus ! d’un coup de rein viril je lui ai planté ma queue dans le ventre, mais la position ne me convenait pas pour une relation sexuelle satisfaisante alors j’ai inversé les rôles afin qu’elle se retrouve sous moi, je l’ai pilonnée sans complaisance, le transat grinçait dangereusement jusqu'au moment fatidique où nous avons jouis ensemble, elle braillait comme une chèvre qu’on égorge, le transat a rendu l’âme , surpris et empêtrés dans les débris j’ai mis du temps à me relever , trop longtemps ,la lumière s’est allumée… Aurore a hurlé ‘aidez-moi il m’a violée’ !
- Mais tu n’as pas protesté ?
- A quoi bon ? je suis partit à l’hôtel le temps que les choses se calment et quitter le logement définitivement
- Elle n’a pas déposé plainte ?
- Sa plainte aurait été vite dénoncée !
- Je suis satisfait ! ton récit coïncide avec le sien, à quelques différences prés, elle ne reconnaît pas t’avoir harcelé ainsi !
- Je m’en moque !
- Tout de même votre histoire m’a carrément émoustillée !
- Je suppose que vous allez vite régler ça au lit ? ah, encore une chose et je vous libère pour aller vous coucher
- Oui papy ?
- Vous allez vous mettre en ménage et je n’ai jamais rien fait pour toi fiston, j’ai pour toi une enveloppe de dix mille euros !
- PAPY ? tu es fou ? je n’en veux pas !
- J’insiste …
- Comment puis-je te remercier ?
- Chéri ? si tu permets j’ai bien une petite idée...
- Dit pour voir,
- Approche … bbbbbzzzzzbbbzzzzzbbbbzzzz … alors ?
- Ça c’est une superbe idée, papy ?
- Oui Renaud ?
- Nous allons nous coucher
- Très bonne résolution il est tard
- A la seule différence que Clémence va coucher dans ton lit et ce n’est pas négociable !
- Mais ?
- Seriez-vous moins performant que vous ne le prétendez Michel ?
- Jeune innocente ! je bande depuis le début de la soirée à force de voir Renaud te caresser la choupinette et de sentir cette petite culotte trempée de mouille jetée sur le canapé
- Alors c’est à moi de calmer votre excitation ! prêtez-moi vos genoux Michel
- Tire un peu sur ta jupe s’il te plait elle est remontée jusqu'à ton ventre
- C’est pour que vous puissiez me toucher aisément la chatounette… je vais aussi dépatter mon corsage …
- Pitié ! je ne vais pas pouvoir me retenir …
- Personne ne vous le demande, donnez-moi votre main … alors ?
- C’est chaud et surtout très mouillé
- Léchez vos doigts …tétez mon bout de sein en me doigtant
- Petite vicieuse ! encore bravo pour ton choix Renaud !
- Elle est totalement libérée
- Emmenez-moi sur votre lit
- Je vais nettoyer ta vulve avec ma langue
- Et moi je vais vous faire la pipe du siècle
- Bonne nuit chérie, bonne nuit papy
- Je te la renvoie dès que j’aurais épuisé tout mon foutre
J’ai porté ce jeune corps comme un trophée, elle s’est disposée au milieu de ma couche telle une fille de joie en attendant que je quitte tous mes vêtements, la queue dressée vers le plafond j’ai pris place à côté d’elle, souple comme une panthère d’un roulé elle est sur moi mais à l’envers, sa fente collée à ma bouche elle se tient à mon membre comme à un mât de cocagne
- Zut j’aurais dût aller faire pipi …
- Vient dans ma bouche, j’aurais aimé qu’aurore me pisse sur le visage lorsqu’elle était sur mes épaules
- Vous l’aimiez n’est-ce pas ?
- Je le reconnais …et lorsque j’ai appris qu’elle était enceinte j’ai bien cru que c’était de moi, la date coïncide parfaitement
- Renaud aurait pu être votre fils ?
- Heureusement les tests ADN on confirmés que non, à présent soulage toi dans ma bouche ma chérie
- Oui papy … aaaaaaaaahhhhhhhh ça fait du biiiieeeennnnnnnnnnnnnn !! je vais avaler votre sauce ….
- Vient dans mes bras mon grand ! que tu as changé, je ne t’aurais pas reconnu, quel bel homme, n’est- ce pas Clémence ?
- C’est bien pour ça que je veux l’épouser ! alors vous êtes papy Michel ? vous avez véritablement un air de famille
- Tu es très jolie ma fille, Renaud a très bon goût
Il est vrai que cette fille a tout ce qu’il faut là où il faut, quelque part elle me rappelle Aurore ma belle-fille, la mère de Renaud … ça me fait frissonner …durant le bon repas que je leurs ai préparé je sens que mon petit-fils veut me parler du passé, l’apéro et le bon vin aidant il commence à se lâcher
- Papy, maman est partie avec le plombier du quartier, il parait qu’il possède une belle ‘tuyauterie’ ! j’aimerais que nous discutions de cette ‘affaire de viol ’
- Tu y tiens tant que ça ?
- J’ai fait parler maman elle m’a enfin donné la bonne version de ce fameux weekend
- Le weekend end où je l’ai ‘violée’ ?
- Ça c’était la version officielle, aussi j’aimerai entendre la tienne histoire de comparer …
- Si tu y tiens vraiment je vais te décrire cette journée mais sans rien cacher, tu es en âge d’entendre la vérité et les mots crus qu’elle contient, tu veux rester Clémence ?
- J’adore les histoires de famille !
La jeune fille s’est assise sur un genou de Renaud si je me tourne je peux apercevoir assez haut entre ses cuisses, lui a posé négligemment une main sur son genou, joues contres joues elle attend anxieusement comme si j’allais raconter un conte des mille et une nuit
- Alors c’est parti... je m’en souviens comme si c’était hier, tu sais que nous avons toujours pratiqué le naturisme ?
- Oui, et nous aussi adorons vivre nus, hein chérie ?
- Muuuuummmmmmmoooooouuuuuiiii !
- Ce jour-là nous passions la journée à la plage de la côte sauvage, il y avait ta grand-mère et tes parents encore jeunes puisque tu n’étais pas encore né !
- C’est là que j’ai été fabriqué !
- Presque …, l’après-midi il faisait très chaud, pour se rafraichir il n’y avait qu’une seule solution, rester dans l’eau, nous faisions les fous, a un moment Aurore a sauté sur mon dos afin que je la hisse sur mes épaules pour jouer dans les vagues, je me souviens avoir frissonné …
- Sans doute ses poils pubiens chatouillaient votre cou ?
- Oui mais l’effet ne s’arrêtait pas là …
- Ah je vois …continue papy
- Ta mère chahutait avec son fils, ils ne prêtaient guère attention à nous, j’avais de l’eau jusqu'à la poitrine, l’érection qui était à son apogée ne pouvais se voir, soudain j’ai senti un liquide brulant sur mon cou, Aurore riait aux éclats affirmant qu’elle n’avait pu s’empêcher de faire pipi, par jeu et pour me rincer je l’ai balancée dans la flotte, c’est à peine si elle avait pied
- Elle ne sait pas nager !
- Je n’avais pas réalisé, alors elle s’est accrochée face à moi, seins écrasé contre ma poitrine elle ne pouvait plus ignorer le manche raide qui se balançait au gré des courants …elle m’a fixé intensément et s’est mise à onduler comme si elle voulait s’emmancher sur mon pieu
- Et alors ?
La main de Renaud a remonté a mis cuisses de sa jolie fiancée...ceci ajouté aux souvenirs de ce fameux après-midi il ne m’en faut pas plus pour que je bande …
- Si elle avait réussi à se pénétrer je ne sais pas si j’aurais eu la force de me retirer
- C’est humain, ce n’est pas du viol !
- Ce n’est pas tout …ça ne s’est pas arrêté là, voyant que j’étais récalcitrant elle m’a attrapé la queue en prétextant que je ne pouvais pas sortir de l’eau ainsi, elle m’a branlé, je me suis laissé faire, oh ça n’a pas duré longtemps ! j’étais tellement excité que j’ai décharge vite fait, finalement elle a rejoint son mari qui se demandait ce qu’il se passait, dès que j’ai pu être ‘présentable’ même si mon sexe était encore anormalement gonflé j’ai rejoint le groupe alors que les deux amoureux repartaient à l’eau, à leur enthousiasme j’ai compris que c’était pour baiser, ma femme s’est aperçue de mon état je me suis allongé près d’elle derrière les pare-vents , se réjouissant de nous retrouver enfin seuls elle s’est jetée sur ma bite pour me sucer
- Hé bien vous avez de l’endurance !
- Je reconnais que j’étais capable de remettre le couvert plusieurs fois
- Je me doute que tu en es encore capable papy ?
- Oh je n’ai plus l’occasion de me tester !
- Et alors ? ce fameux ‘viol’ ?
- J’y arrive … ce moment d’égarement m’a travaillé toute la soirée je n’arrivais pas à trouver le sommeil, j’aurais pu baiser ma belle-fille et je ne sais pas si j’aurais eu des remords … après m’être tourné et retourné dans le lit, empêchant ma femme de dormir je me suis levé pour aller regarder les étoiles , nu, allongé sur un transat je me repassais les images de l’après-midi et je me suis remis à bander comme un âne, j’ai empoigné mon membre et je me suis caressé
A cet instant j’ai remarqué que la main de mon petit fils a atteint son but … Clémence se mord la lèvre pour ne pas crier, ses cuisses se serrent et se desserrent je n’ose plus regarder car le fond du mini slip est viré sur un coté …
- Vous pouvez interrompre votre récit juste un instant Michel ? j’ai envie de faire pipi !
- Va ma fille pendant ce temps je vais baisser un peu la lumière ça me fait mal aux yeux
- Comment trouves-tu clémence papy ?
- Très bien ! une belle jeune fille qui n’a pas froid aux yeux !
- Ça te gêne si je la caresse durant ton histoire ?
- Pas le moins du monde, je fais comme si je ne voyais rien, et j’ai tamisé l’éclairage exprès par discrétion ! !
- Tu es formidable ! ah la revoilà !
- Redonne-moi ton genou mon chéri !
- Qu’as-tu dans la main ?
- Chuuuuutttt
- Ta petite culotte ?
- Soit discret voyons ! elle me collait trop aux fesses…c’est tellement excitant cette histoire !
- Bon, je peux continuer ?
- Vas-y !
- Donc j’essayais de me calmer et de faire le point lorsque j’ai perçu un bruit, j’ai pensé que c’était notre chaton en chasse, une ombre s’est profilée à mon côté, avant que je n’ai pu réagir ma verge était prisonnière d’une bouche vorace... celle d’Aurore entièrement nue sous les rayons lunaire, j’ai essayé de lui faire recracher mais ses dents m’en ont dissuadé , appâté deux fois dans la journée s’était trop, tant pis pour la bienséance ma main s’est retrouvée entre ses cuisses pour y découvrir une chatte juteuse à souhait, j’ai enfilé trois doigts dans ce con encore poisseux de son accouplement de la plage , c’est alors qu’elle a recraché ma verge pour me chevaucher, je l’ai laissée faire, au diable les conventions je n’en pouvais plus ! d’un coup de rein viril je lui ai planté ma queue dans le ventre, mais la position ne me convenait pas pour une relation sexuelle satisfaisante alors j’ai inversé les rôles afin qu’elle se retrouve sous moi, je l’ai pilonnée sans complaisance, le transat grinçait dangereusement jusqu'au moment fatidique où nous avons jouis ensemble, elle braillait comme une chèvre qu’on égorge, le transat a rendu l’âme , surpris et empêtrés dans les débris j’ai mis du temps à me relever , trop longtemps ,la lumière s’est allumée… Aurore a hurlé ‘aidez-moi il m’a violée’ !
- Mais tu n’as pas protesté ?
- A quoi bon ? je suis partit à l’hôtel le temps que les choses se calment et quitter le logement définitivement
- Elle n’a pas déposé plainte ?
- Sa plainte aurait été vite dénoncée !
- Je suis satisfait ! ton récit coïncide avec le sien, à quelques différences prés, elle ne reconnaît pas t’avoir harcelé ainsi !
- Je m’en moque !
- Tout de même votre histoire m’a carrément émoustillée !
- Je suppose que vous allez vite régler ça au lit ? ah, encore une chose et je vous libère pour aller vous coucher
- Oui papy ?
- Vous allez vous mettre en ménage et je n’ai jamais rien fait pour toi fiston, j’ai pour toi une enveloppe de dix mille euros !
- PAPY ? tu es fou ? je n’en veux pas !
- J’insiste …
- Comment puis-je te remercier ?
- Chéri ? si tu permets j’ai bien une petite idée...
- Dit pour voir,
- Approche … bbbbbzzzzzbbbzzzzzbbbbzzzz … alors ?
- Ça c’est une superbe idée, papy ?
- Oui Renaud ?
- Nous allons nous coucher
- Très bonne résolution il est tard
- A la seule différence que Clémence va coucher dans ton lit et ce n’est pas négociable !
- Mais ?
- Seriez-vous moins performant que vous ne le prétendez Michel ?
- Jeune innocente ! je bande depuis le début de la soirée à force de voir Renaud te caresser la choupinette et de sentir cette petite culotte trempée de mouille jetée sur le canapé
- Alors c’est à moi de calmer votre excitation ! prêtez-moi vos genoux Michel
- Tire un peu sur ta jupe s’il te plait elle est remontée jusqu'à ton ventre
- C’est pour que vous puissiez me toucher aisément la chatounette… je vais aussi dépatter mon corsage …
- Pitié ! je ne vais pas pouvoir me retenir …
- Personne ne vous le demande, donnez-moi votre main … alors ?
- C’est chaud et surtout très mouillé
- Léchez vos doigts …tétez mon bout de sein en me doigtant
- Petite vicieuse ! encore bravo pour ton choix Renaud !
- Elle est totalement libérée
- Emmenez-moi sur votre lit
- Je vais nettoyer ta vulve avec ma langue
- Et moi je vais vous faire la pipe du siècle
- Bonne nuit chérie, bonne nuit papy
- Je te la renvoie dès que j’aurais épuisé tout mon foutre
J’ai porté ce jeune corps comme un trophée, elle s’est disposée au milieu de ma couche telle une fille de joie en attendant que je quitte tous mes vêtements, la queue dressée vers le plafond j’ai pris place à côté d’elle, souple comme une panthère d’un roulé elle est sur moi mais à l’envers, sa fente collée à ma bouche elle se tient à mon membre comme à un mât de cocagne
- Zut j’aurais dût aller faire pipi …
- Vient dans ma bouche, j’aurais aimé qu’aurore me pisse sur le visage lorsqu’elle était sur mes épaules
- Vous l’aimiez n’est-ce pas ?
- Je le reconnais …et lorsque j’ai appris qu’elle était enceinte j’ai bien cru que c’était de moi, la date coïncide parfaitement
- Renaud aurait pu être votre fils ?
- Heureusement les tests ADN on confirmés que non, à présent soulage toi dans ma bouche ma chérie
- Oui papy … aaaaaaaaahhhhhhhh ça fait du biiiieeeennnnnnnnnnnnnn !! je vais avaler votre sauce ….
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