Réunion d'anciens collègues

- Par l'auteur HDS Stark31 -
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Récit libertin : Réunion d'anciens collègues Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2025 dans la catégorie Plus on est
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Réunion d'anciens collègues
Le Séminaire Interdit : Lana en Vendée

Je n’avais pas eu besoin d’inventer une excuse compliquée. Trois jours en Vendée pour un séminaire avec mon ancien boulot, ça passait crème. Mon mari m’avait aidée à faire ma valise, m’embrassant tendrement avant de partir, le sourire aux lèvres, confiant. Si seulement il savait…

Je portais une tenue sage en apparence : chemisier blanc légèrement transparent, jupe crayon noire qui moulait parfaitement mes hanches, talons noirs vernis. Sous cette allure de femme d’affaires respectable, j’étais une salope en mission. Mon corps entier réclamait le péché.

En arrivant à l’hôtel, l’ambiance était détendue, presque familiale. Personne ne se doutait de rien. Pourtant, dès le premier regard échangé avec Fred et Nico, mes deux anciens collègues, je savais que les jeux étaient déjà faits. Leur sourire en coin, leurs yeux s’attardant sur mes jambes croisées… ils allaient me baiser.

Le premier soir, tout s’est enclenché naturellement. Un apéro à l’hôtel, ambiance feutrée, lumières tamisées. Je sirotais un cocktail, mes lèvres s’enroulant autour de la paille avec une lenteur calculée. Fred ne me lâchait pas du regard. Nico, plus discret, ajustait souvent son pantalon, trahissant son désir brûlant. Je savais qu’ils ne tiendraient pas longtemps.

C’est au bar de l’hôtel que tout a vraiment commencé. Le serveur, jeune et athlétique, avait ce regard insolent des hommes qui savent qu’ils plaisent. Ses yeux me déshabillaient littéralement. Son sourire narquois me promettait une nuit de plaisir brut.
— « Vous êtes ici pour le séminaire ? » me demanda-t-il en posant mon verre avec une lenteur provocante.
— « Oui… pour trois jours. » répondais-je en le regardant droit dans les yeux, mon sourire enjôleur parlant pour moi.
Il comprit immédiatement. Ce soir, il allait me baiser.

Après quelques verres, je feignis de tituber légèrement en quittant le bar. Le serveur m’intercepta à mi-chemin, son regard brillant de désir.
— « Vous avez besoin d’aide pour monter dans votre chambre ? »
— « Avec plaisir… »

Dans l’ascenseur, l’ambiance était électrique. L’espace confiné amplifiait la tension sexuelle. Il se plaça derrière moi, son corps collé au mien, ses mains glissant lentement le long de ma taille. Son souffle brûlant caressait ma nuque, envoyant une onde de plaisir dans tout mon corps.
— « Vous êtes en mission ? » murmura-t-il à mon oreille.
— « Oui… celle de vous faire bander. »

Ses mains descendirent sur mes hanches, puis remontèrent sous ma jupe, découvrant mes fesses nues. Je n’avais pas de culotte.
— « Putain… » grogna-t-il, sa queue déjà dure contre mes fesses.
L’ascenseur s’arrêta enfin. Je l’entraînai dans ma chambre, refermant la porte d’un coup de pied. La chasse était ouverte.

Je pris mon téléphone et l’appelai en mode discret Mon mari.
Je laissai le téléphone allumé, le posant négligemment sur la table de chevet, écran retourné. Il allait tout entendre.

Le serveur me plaqua contre le mur, ses mains brutales soulevant ma jupe jusqu’à ma taille. Ses lèvres trouvèrent les miennes, brutales, affamées. Sa langue fouilla ma bouche avec une avidité qui fit monter mon excitation à un niveau insupportable.
— « Prends-moi… maintenant… » gémissais-je en écartant les jambes.

Sa main glissa entre mes cuisses, découvrant mon sexe déjà trempé.
— « Putain, t’es trempée comme une salope… »
— « Oui… baise-moi comme une salope… »

Il n’attendit pas une seconde de plus. Je sentis son sexe dur glisser contre mon minou dégoulinant, puis s’enfoncer en moi d’un coup de reins brutal. Je hurlai de plaisir. Ses coups de reins étaient sauvages, rapides, impitoyables. Je gémissais, criant son prénom. Le téléphone restait allumé, laissant entendre chaque gémissement, chaque cri de plaisir, chaque bruit obscène de mes hanches frappant contre le mur. Mon mari entendait tout.

Je n’étais plus qu’un corps consumé par le désir, offerte à ce serveur que je ne reverrais jamais. Il me prenait sans ménagement, sa main claquant sur mes fesses avec une brutalité délicieuse.
— « Tu es à moi ce soir… juste à moi… »
— « Oui… baise-moi encore… plus fort… »

Son sexe frappait en moi avec une violence calculée, me faisant hurler à chaque coup de reins. J’atteignis l’orgasme en criant son prénom, mes jambes tremblant sous l’intensité du plaisir. Il continua à me baiser, jouissant finalement en moi avec un râle de plaisir bestial.

Je me laissai glisser au sol, haletante, encore tremblante de plaisir. Le serveur me lança un dernier regard satisfait avant de quitter la chambre, me laissant nue, pantelante contre le mur. Mon téléphone était toujours allumé.
Je m’en emparai, le portant à mon oreille, un sourire satisfait sur les lèvres.
— « Tu as tout entendu, chéri ? »
Son souffle était rauque, sa voix tremblante.
— « Oui… j’ai tout entendu. Tu m’as rendu fou… »

Je raccrochai sans un mot de plus, sachant qu’il allait se branler en pensant à ce que je venais de faire.

Ce n’était que le premier soir.

Le lendemain matin, Fred et Nico vinrent me chercher pour le petit déjeuner. Ils n’avaient pas besoin de mots : leurs regards dévoraient déjà chaque centimètre de ma peau, me déshabillant avec une lenteur délicieusement obscène. La tension flottait dans l’air, épaisse comme une brume de désir.
À peine assise, Fred glissa sa main sous la nappe, trouvant ma cuisse nue. Ses doigts effleurèrent ma peau avec une lenteur calculée, comme s’il traçait un chemin vers ce qu’il savait déjà être à découvert.
— « Tu ne portes toujours pas de culotte… », murmura-t-il d’une voix rauque.
— « Non… », répondis-je en le regardant droit dans les yeux, un sourire coupable aux lèvres.
Ils échangèrent un regard complice. Leurs érections étaient déjà visibles sous la toile tendue de leur pantalon, comme une promesse silencieuse.
L’après-midi, dans une salle de réunion désertée, ils me plaquèrent contre un mur froid, contrastant avec la chaleur moite de nos corps. Leurs mains se faisaient fiévreuses, affamées. Mes jambes s’ouvrirent sans résistance, mon dos arqua de plaisir sous la violence douce de leur double pénétration. Je mordis ma lèvre pour étouffer mes gémissements, mais la passion était trop forte, trop vaste pour être contenue.
Mon téléphone, négligemment posé sur une table, était resté allumé. Mon mari écoutait tout. Il entendait chaque halètement, chaque claquement de reins, chaque orgasme qui me traversait en vagues dévastatrices.
Il était là, invisible mais présent, complice silencieux de ma déchéance délicieuse.
Je n’étais plus qu’un corps offert, une amante insatiable, partagée entre deux queues dures et voraces. Une muse de luxure, une déesse de plaisir désinhibé.
Le séminaire dura trois jours. Trois jours d’extase, de corps entremêlés, de soupirs étouffés contre les murs, les chaises, les lavabos. Trois jours où je n’étais plus seulement une femme : j’étais leur terrain de jeu, la putain amoureuse qui faisait jouir son mari à distance, par le seul son de ses cris de jouissance.
Je n’étais déjà plus qu’un terrain de jeu pour leurs envies. Fred et Nico ne me laissaient aucun répit. Entre les conférences et les pauses-café, ils me baisaient dans chaque recoin où l’on pouvait refermer une porte.
Premier jour.
Dans un local de stockage, les cartons entassés autour de nous, Nico me prit à genoux. Sa main dans mes cheveux, il guidait mes mouvements, me baisant la bouche avec une brutalité jouissive pendant que Fred, derrière moi, me pénétrait d’un coup sec. J’étais à quatre pattes, soumise, offerte, remplie. À chaque va-et-vient, mes gémissements se faisaient plus rauques, plus désespérés. Mon téléphone, glissé dans mon soutien-gorge, restait connecté. Mon mari écoutait. Il savait que j’adorais ça.
L’après-midi, ils me coincèrent dans un ascenseur entre deux étages. À peine les portes refermées, mes seins étaient à l’air, leurs mains m’arrachaient mes vêtements. Je sentais leurs bites contre moi, dures, impatientes, me frotter, me chauffer. Ils m’ont prise là, sans ménagement, en me tenant par la gorge pour étouffer mes cris. L’ascenseur a redémarré avec mes jambes encore tremblantes, mon corps taché de leur foutre mélangée.
Deuxième jour.
Je ne portais plus rien sous ma jupe. Chaque mouvement faisait couler ma mouille le long de mes cuisses. La simple anticipation me faisait mouiller comme une chienne en chaleur. Fred me prit dans les toilettes du restaurant de l’hôtel, accroupie sur le lavabo, ma robe remontée, sa langue plantée dans mon cul. Il voulait que je sois bien ouverte, bien prête. Il m’embrassait salement, entre deux coups de langue, pendant que je me branlais devant lui. Puis Nico est entré, et sans un mot, il m’a prise. Ils s’échangeaient ma bouche et ma chatte comme deux bêtes en rut.
Je n’étais plus qu’un orifice après l’autre. Ils me retournaient, me remplissaient, me vidaient. Chaque matin, chaque après-midi, chaque nuit.
Troisième jour.
J’avais mal. J’étais marquée, griffée, mordue. Mes lèvres étaient gonflées, mes muscles tiraillés. Mais j’en voulais encore. Mon corps entier les réclamait. Dans un parking souterrain, à l’arrière de leur voiture, ils m’ont attachée avec une ceinture. Fred me maintenait les bras tandis que Nico me baisait en me fixant dans les yeux. Ils m’avaient transformée. Plus aucune barrière. Je suçais l’un pendant que l’autre m’enculait, en me traitant de salope, de putain infidèle.
Et je l’étais.
Mon mari n’avait raté aucun orgasme. À chaque fois que je jouissais, il jouissait aussi. Par la voix. Par les sons. Par l’extase transmise.
Je suis rentrée cassée, trempée d’eux, mais plus vivante que jamais.
Il m’attendait. Il ne m’a pas demandé si c’était bon. Il le savait. Il l’avait entendu, senti, vécu à distance. Sans un mot, il m’a jetée sur le lit et m’a prise comme s’il voulait imprimer son odeur par-dessus celles des deux autres. Je n’étais plus qu’à lui. Jusqu’à la prochaine fois.
Je suis rentrée en fin de journée.
Pas maquillée. Pas apprêtée. Juste moi, vidée, le corps marqué par trois jours de baise furieuse.
Ma robe collait encore à ma peau, trempée entre les cuisses. Mes lèvres intimes gonflées, usées. J’avais cette démarche, ce balancement dans les hanches qui dit tout : la chatte encore ouverte, l’anus sensible, le ventre vidé et repu.
Mon mari était là, dans le salon.
Il s’est levé. Lentement.
Ses yeux brûlaient. Pas de colère. Pas de jalousie. Juste… du feu. Du désir. Une fierté animale dans le regard.
Il savait ce que j’avais fait.
Il avait tout entendu.
Il s’est approché de moi sans dire un mot, et a doucement fait glisser ma robe jusqu’à mes chevilles. Je n’avais plus rien dessous. Il a vu les traces, les coulures séchées, les bleus sur mes hanches, la morsure sur mon sein gauche, les cuisses écartées par l’habitude.
— « Tu sens leurs foutres… », murmura-t-il.
Il posa un genou à terre, ses mains sur mes hanches. Il me respira longuement. Puis il passa sa langue, lentement, le long de mon entrejambe souillée. Il nettoyait. Il léchait tout : leur sperme, ma mouille, ma sueur. Il se gorgeait de cette saleté sacrée comme on goûte au vin d’un Graal interdit.
Il me fit asseoir sur le bord du lit, les jambes bien écartées. Il baisa mes pieds, mes chevilles, l’intérieur de mes genoux, remontant jusqu’à mon sexe. Il ne me regardait pas dans les yeux. Il me vénérait.
Il prit un gant de toilette chaud, et me lava, minutieusement. Comme on lave une reine.
Il nettoya chaque pli, chaque centimètre de peau, avec tendresse et obsession. Même mon anus, qu’il écarta délicatement pour essuyer les restes. Il m’essuya comme une offrande.
Son sexe était dur comme du béton sous son pantalon. Mais il ne se servait pas encore.
— « Tu veux jouir ? », lui demandai-je.
Il hocha la tête.
— « Alors lèche encore. Nettoie bien. Prends tout. »
Il obéit. Il enfouit son visage entre mes jambes, ses lèvres s’agrippant à ma chair, sa langue explorant tout ce qui restait des deux autres.
Je gémissais, épuisée mais offerte. J’étais la putain d’un week-end, la femme d’une vie. Et il m’adorait dans les deux rôles.
Il jouit sans se toucher, à genoux devant moi, juste en me goûtant. Une giclée silencieuse dans son pantalon.
Il s’effondra sur le sol, haletant, heureux.
Moi, je m’allongeai, nue, propre, aimée.
Et sale encore, dans ma tête.
Le pire, c’est que j’avais déjà envie de recommencer.
Et il le savait.

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Histoire Libertine
Niquer c’est 1 chose mais sans capotes non.



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