Réunion Tupperware assez spéciale. 4
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2019 dans la catégorie Plus on est
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Réunion Tupperware assez spéciale. 4
Réunion Tupperware assez spéciale.4
Dans cette histoire, vous retrouverez Lucie que vous avez connue dans l’histoire : Mon beau père fait mon éducation sexuelle et Claude dans différentes histoires du Mâle dominant.
Comme dans une danse de salon, un ballet se forme qu’il ne maîtrise pas ! Une couguar a retiré avec difficulté l’anneau pour enfoncer le bélier jusqu’aux couilles dans sa fente, mais de toute évidence le tenon est plus grand que la mortaise. Pas vaincue pour autant, elle se saisit d’un fleshligt sur la table basse et l’enfile sur la hampe et se lance dans une très sérieuse fellation.
Pas habituée à un tel calibre, elle s’empêtre dans une quinte de toux, de la bave coule en abondance sur son menton… Tout le monde n’a pas la technique des professionnelles du sexe !
Elle se venge en faisant monter et descendre le fleshligt sur toute la longueur de la hampe, démultipliant le massage sexuel auquel Claude ne reste pas indifférent :
-Ouuuiii ! Vas-y…oui encore…ooouuuiii !
Suite.
Une goutte de pré-sperme indique l’imminence du point de non-retour. Un cercle se referme autour de lui. L’éruption est imminente…
-Ah ouuuiii ! ça vient !
Nous assistons de nouveau au miracle, La couguar n’a pas lâché l’instrument et de nouveaux filets de sperme blancs très épais zèbrent le corps du garçon, atteignant même le ventre de Keira en train de se faire brouter le minou.
A peine la source tarie, les filles se bousculent sur son corps pour récupérer sa semence.
Ingrid détache Claude qui va reprendre quelques forces avec Ben sur la table bien garnie pendant que les filles se débrouillent seules.
Mais Ingrid veut encore que les deux mâles donnent un dernier coup de collier, (ou d’autre chose).
-Les filles… Je vous veux toutes à quatre pattes, les culs serrés les uns contre les autres. Ben va ouvrir la voie avant que Claude élargisse le passage. Que celles qui veulent connaître le grand frisson se mettent en place…
Toutes n’ont pas encore profitées des bienfaits d’un tel bélier mais elles comprennent que ce qui est demandé, c’est d’offrir leur chatte et leur cul dans ce dernier baroud d’honneur. Certaines abdiquent et renâclent devant l’obstacle. Elles ne feront qu’observer. Mais Ingrid leurs a trouvé une occupation, elles doivent refaire bander les deux hommes et les assister dans l’opération.
Mais Ingrid veut que ce soit Marine qui jusqu’à maintenant n’a participé à rien se charge de la besogne.
Marine se retrouve donc seule avec les deux spécimens. D'un côté Ben avec sa belle queue et ses magnifiques couilles et Claude de l'autre avec l’épaisseur incroyable de cette grosse bite interminable. Elle n’a jamais réussi la prouesse de prendre en bouche sans recracher aussi sec un membre viril alors avec de tels pals…Une main sur chaque verge, elle branle avec douceur les deux hommes. Il faut plusieurs minutes avant de voir réagir Claude et encore plus longtemps Ben. Les pénis se redressent enfin et ses petites mains peinent à la tâche.
Marine décide du bout de la langue de lécher les glands mafflus. Elle a envie de les avaler entièrement car elle sait à quel point les hommes aiment sentir leur gland buter jusqu'au fond d'une gorge chaude. Elle se lance avec Ben déjà avec quelques difficultés, fière de son courage en tenant d’une main comme une bouée de sauvetage le mandrin démesuré de Claude, repoussant le plus possible l’épreuve suivante.
Mais Ingrid voit son petit manège et tire sa tête par les cheveux pour qu’elle change de cible.
Marine s’occupe d’abord des bourses avant de s’attaquer au gland trigonocéphale. Sa langue pointe pour le titiller un peu, tournant autour de son chapeau violacé sans jamais le prendre réellement en bouche. Enfin, elle écarte au maximum ses mâchoires mais l’épaisseur énorme de ce manche de pioche ne lui permet de n’en gober que le museau, ne pouvant que le flatter avec la pointe de sa langue. Claude lui caresse les cheveux, comme pour la remercier d’avoir relevé le défi dans lequel elle s’est lancée.
- Tu es merveilleuse Marine, je te remercie de vaincre ta peur… Murmure-t-il pour l’encourager alors qu’elle s’étouffe car pris par le plaisir, il appuie sur sa tête, poussant au-delà des possibilités de Marine son chibre dans la gorge étroite.
Elle recrache l’intrus en toussant. Ses coéquipières sautent sur l’occasion pour profiter à leur tour du formidable épi mais quelques minutes plus tard, Claude les repousse :
-C’est à nous de prendre la relève, allez maintenant vous reposer. Nous allons vous lécher en y mettant toute notre énergie uniquement centrés sur votre plaisir, à l’écoute de la moindre de vos vibrations…Ils passent d’un derrière à l’autre, caressant l’intérieur des jambes pour venir sur la chatte, chatouillant le clitoris jusqu’à la jouissance, entrant leurs doigts dans la vulve offerte ou passant à l’anus fripé.
Elles gémissent tour à tour avant de jouir pour certaines, ne se gênant pas pour exprimer leur plaisir.
Une fois chose faite, Ben s’occupe entre les fesses rebondies, essayant chaque orifice offert pendant que Claude se fait entretenir son érection par des bouches avides.
Mais Claude préfère suivre la piste tracée par Ben avant que la forêt vierge ne se referme après le passage de Ben.
Pour certaines, elles grimacent un peu mais acceptent avec courage la sodomie hors norme mais pour Solène, l’épreuve est plus délicate.
Les lèvres de sa vulve forment un accent circonflexe autour du mandrin qui s’enfonce toujours plus loin. Elle gémit quand il lui laboure le ventre mais quand il présente son défonce-cul et force sur l’anus encore un peu dilaté, elle hurle car l’objet est encore plus gros que se qu’elle craignait.
Elle lui demande d'aller doucement pour la sodomiser ce qu’il fait bien volontiers. En levrette, la sensation de grosseur et de longueur d’une queue est encore plus impressionnante.
Le membre commence ses allers-retours dans un rythme de plus en plus soutenu. Claude est moins violent que Ben avec sa bite bien moins épaisse. La crainte de Solène devient du plaisir et de la fierté quand les couilles s’écrasent sur son petit cul délicat.
Claude ne lui fait plus de cadeau, il est impressionnant de puissance malgré son physique trompeur mais il reste dans la limite de se qu’elle peut raisonnablement supporter.
Ça va bientôt être le tour de Keira. Elle se prépare, les cuisses écartées en grand. Après le passage de Ben, elle s’est planté un gode du diamètre du sexe De Claude dans le fion pour l’aléser à sa manière.
Claude se met entre les cuisses offertes, retire le gode qui fait ventouse, et avant que le sphincter ne se rétracte, plante son gourdin entre les fesses rebondies. La main de Keira cherche la matraque pour en contrôler la progression en elle en poussant des :
-Aaaah Aaaah ! Putain de merde ! Qu’elle est grosse !
Il la pénètre doucement sans à-coups mais en une seule poussée, ne s’arrêtant que lorsque ses couilles tapent sur la fente humide. La queue la remplit parfaitement et il commence ses va et vient pour l’amener à l’orgasme. Elle ondule de plaisir sous les assauts de Claude qui deviennent de plus en plus violents. La teub lime des terres vierges.
Claude est sur le point de jouir, il stoppe et se retire pour faire baisser la pression.
Je suis la dernière mais Ben a abdiqué avant moi et dégazé dans sa capote. Claude va donc me prendre en direct.il s'approche derrière moi présentant sa queue bien raide et abondamment graissée par ses précédentes plongées.
Il me force. Son gros membre franchit ma vulve trempée de ma liqueur qui s’ouvre et s’écarte quand il me pénètre au plus profond de moi, jusqu’au fond du vagin.
Mon vagin est rempli, bousculé, malmené par cette virilité dure. Je crie mais de plaisir, mon clitoris gonflé glisse et s'excite sur cette grosse teub, mes muqueuses sont envahies, écartelées, son gland me martyrise l’utérus en cognant délicieusement tout au fond. Je suis baisée comme jamais, mon bassin va à la rencontre du boutefeu comme s’il était humainement possible qu’il aille encore plus loin. Je jouis, je jouis violemment, je jouis de cette hampe qui continue de me pilonner sans ménagement.
Mais il a décidé de profiter de moi autrement. Son énorme queue dressée au ciel, il me demande s’il peut remplir mon cul avec son gros pieu. Je lui réponds en ânonnant de la tête et m'empale sur sa queue. Il me laisse faire. L’épreuve est dure mais réalisable car je l’ai déjà passée.
Il n'attendait que moi et me sodomise à fond. Je suis aux anges mais je vois bien qu’il ne pourra plus se retenir longtemps après toutes ses chattes et ses trous du cul.
Il se bloque en moi mais je veux le finir à la main pour en faire profiter les copines. Je suis sûre qu’elles veulent voir de les grosses couilles remplir cette lance qui va gicler son jus encore une fois.
Je prends cette magnifique queue dans la main puis dans la bouche pour la sucer goulûment mais avec quelques difficultés vu la taille de son membre, le branlant avec toute la technique récemment apprise, léchant et aspirant le gland tant bien que mal, massant d’une main ferme ses burnes, lui mettant un doigt dans le cul.
Son excitation monte et il ne va pas tarder à m'inonder de son sperme. Je le branle à deux mains maintenant car j'ai l'impression que sa bite à encore grossie.
Les filles se serrent contre moi pour profiter de la fontaine de jouvence en deux rangs serrés. Brusquement je sens ses spasmes arriver, il me fait signe. J’ouvre ma bouche pour accueillir sa semence. Lorsqu'il gicle, j'ai l'impression que je vais étouffer sous la pression d’un jet fort dans ma bouche. Je serre mes lèvres et baisse la tête pour laisser les autres filles profiter de la suite.
Je n’en reviens pas qu’il soit encore capable d’un tel exploit. Quel Mâle !!!
Je regarde ma montre. Cela fait plus de deux heures que ce gamin maigrichon nous baise à tour de rôle !
Monsieur Paul vient nous rejoindre dans la pièce :
-Mesdames ! Vous aller le tuer si vous continuez. Faites-vous livrez vos achats et si vous avez un goût de « reviens-y », demandez comme livreur Claude pour une démonstration privée à domicile. Maintenant, il faut le laissé partir. Il a peut-être encore d’autres livraisons prévues aujourd’hui…
Fin.
Dans cette histoire, vous retrouverez Lucie que vous avez connue dans l’histoire : Mon beau père fait mon éducation sexuelle et Claude dans différentes histoires du Mâle dominant.
Comme dans une danse de salon, un ballet se forme qu’il ne maîtrise pas ! Une couguar a retiré avec difficulté l’anneau pour enfoncer le bélier jusqu’aux couilles dans sa fente, mais de toute évidence le tenon est plus grand que la mortaise. Pas vaincue pour autant, elle se saisit d’un fleshligt sur la table basse et l’enfile sur la hampe et se lance dans une très sérieuse fellation.
Pas habituée à un tel calibre, elle s’empêtre dans une quinte de toux, de la bave coule en abondance sur son menton… Tout le monde n’a pas la technique des professionnelles du sexe !
Elle se venge en faisant monter et descendre le fleshligt sur toute la longueur de la hampe, démultipliant le massage sexuel auquel Claude ne reste pas indifférent :
-Ouuuiii ! Vas-y…oui encore…ooouuuiii !
Suite.
Une goutte de pré-sperme indique l’imminence du point de non-retour. Un cercle se referme autour de lui. L’éruption est imminente…
-Ah ouuuiii ! ça vient !
Nous assistons de nouveau au miracle, La couguar n’a pas lâché l’instrument et de nouveaux filets de sperme blancs très épais zèbrent le corps du garçon, atteignant même le ventre de Keira en train de se faire brouter le minou.
A peine la source tarie, les filles se bousculent sur son corps pour récupérer sa semence.
Ingrid détache Claude qui va reprendre quelques forces avec Ben sur la table bien garnie pendant que les filles se débrouillent seules.
Mais Ingrid veut encore que les deux mâles donnent un dernier coup de collier, (ou d’autre chose).
-Les filles… Je vous veux toutes à quatre pattes, les culs serrés les uns contre les autres. Ben va ouvrir la voie avant que Claude élargisse le passage. Que celles qui veulent connaître le grand frisson se mettent en place…
Toutes n’ont pas encore profitées des bienfaits d’un tel bélier mais elles comprennent que ce qui est demandé, c’est d’offrir leur chatte et leur cul dans ce dernier baroud d’honneur. Certaines abdiquent et renâclent devant l’obstacle. Elles ne feront qu’observer. Mais Ingrid leurs a trouvé une occupation, elles doivent refaire bander les deux hommes et les assister dans l’opération.
Mais Ingrid veut que ce soit Marine qui jusqu’à maintenant n’a participé à rien se charge de la besogne.
Marine se retrouve donc seule avec les deux spécimens. D'un côté Ben avec sa belle queue et ses magnifiques couilles et Claude de l'autre avec l’épaisseur incroyable de cette grosse bite interminable. Elle n’a jamais réussi la prouesse de prendre en bouche sans recracher aussi sec un membre viril alors avec de tels pals…Une main sur chaque verge, elle branle avec douceur les deux hommes. Il faut plusieurs minutes avant de voir réagir Claude et encore plus longtemps Ben. Les pénis se redressent enfin et ses petites mains peinent à la tâche.
Marine décide du bout de la langue de lécher les glands mafflus. Elle a envie de les avaler entièrement car elle sait à quel point les hommes aiment sentir leur gland buter jusqu'au fond d'une gorge chaude. Elle se lance avec Ben déjà avec quelques difficultés, fière de son courage en tenant d’une main comme une bouée de sauvetage le mandrin démesuré de Claude, repoussant le plus possible l’épreuve suivante.
Mais Ingrid voit son petit manège et tire sa tête par les cheveux pour qu’elle change de cible.
Marine s’occupe d’abord des bourses avant de s’attaquer au gland trigonocéphale. Sa langue pointe pour le titiller un peu, tournant autour de son chapeau violacé sans jamais le prendre réellement en bouche. Enfin, elle écarte au maximum ses mâchoires mais l’épaisseur énorme de ce manche de pioche ne lui permet de n’en gober que le museau, ne pouvant que le flatter avec la pointe de sa langue. Claude lui caresse les cheveux, comme pour la remercier d’avoir relevé le défi dans lequel elle s’est lancée.
- Tu es merveilleuse Marine, je te remercie de vaincre ta peur… Murmure-t-il pour l’encourager alors qu’elle s’étouffe car pris par le plaisir, il appuie sur sa tête, poussant au-delà des possibilités de Marine son chibre dans la gorge étroite.
Elle recrache l’intrus en toussant. Ses coéquipières sautent sur l’occasion pour profiter à leur tour du formidable épi mais quelques minutes plus tard, Claude les repousse :
-C’est à nous de prendre la relève, allez maintenant vous reposer. Nous allons vous lécher en y mettant toute notre énergie uniquement centrés sur votre plaisir, à l’écoute de la moindre de vos vibrations…Ils passent d’un derrière à l’autre, caressant l’intérieur des jambes pour venir sur la chatte, chatouillant le clitoris jusqu’à la jouissance, entrant leurs doigts dans la vulve offerte ou passant à l’anus fripé.
Elles gémissent tour à tour avant de jouir pour certaines, ne se gênant pas pour exprimer leur plaisir.
Une fois chose faite, Ben s’occupe entre les fesses rebondies, essayant chaque orifice offert pendant que Claude se fait entretenir son érection par des bouches avides.
Mais Claude préfère suivre la piste tracée par Ben avant que la forêt vierge ne se referme après le passage de Ben.
Pour certaines, elles grimacent un peu mais acceptent avec courage la sodomie hors norme mais pour Solène, l’épreuve est plus délicate.
Les lèvres de sa vulve forment un accent circonflexe autour du mandrin qui s’enfonce toujours plus loin. Elle gémit quand il lui laboure le ventre mais quand il présente son défonce-cul et force sur l’anus encore un peu dilaté, elle hurle car l’objet est encore plus gros que se qu’elle craignait.
Elle lui demande d'aller doucement pour la sodomiser ce qu’il fait bien volontiers. En levrette, la sensation de grosseur et de longueur d’une queue est encore plus impressionnante.
Le membre commence ses allers-retours dans un rythme de plus en plus soutenu. Claude est moins violent que Ben avec sa bite bien moins épaisse. La crainte de Solène devient du plaisir et de la fierté quand les couilles s’écrasent sur son petit cul délicat.
Claude ne lui fait plus de cadeau, il est impressionnant de puissance malgré son physique trompeur mais il reste dans la limite de se qu’elle peut raisonnablement supporter.
Ça va bientôt être le tour de Keira. Elle se prépare, les cuisses écartées en grand. Après le passage de Ben, elle s’est planté un gode du diamètre du sexe De Claude dans le fion pour l’aléser à sa manière.
Claude se met entre les cuisses offertes, retire le gode qui fait ventouse, et avant que le sphincter ne se rétracte, plante son gourdin entre les fesses rebondies. La main de Keira cherche la matraque pour en contrôler la progression en elle en poussant des :
-Aaaah Aaaah ! Putain de merde ! Qu’elle est grosse !
Il la pénètre doucement sans à-coups mais en une seule poussée, ne s’arrêtant que lorsque ses couilles tapent sur la fente humide. La queue la remplit parfaitement et il commence ses va et vient pour l’amener à l’orgasme. Elle ondule de plaisir sous les assauts de Claude qui deviennent de plus en plus violents. La teub lime des terres vierges.
Claude est sur le point de jouir, il stoppe et se retire pour faire baisser la pression.
Je suis la dernière mais Ben a abdiqué avant moi et dégazé dans sa capote. Claude va donc me prendre en direct.il s'approche derrière moi présentant sa queue bien raide et abondamment graissée par ses précédentes plongées.
Il me force. Son gros membre franchit ma vulve trempée de ma liqueur qui s’ouvre et s’écarte quand il me pénètre au plus profond de moi, jusqu’au fond du vagin.
Mon vagin est rempli, bousculé, malmené par cette virilité dure. Je crie mais de plaisir, mon clitoris gonflé glisse et s'excite sur cette grosse teub, mes muqueuses sont envahies, écartelées, son gland me martyrise l’utérus en cognant délicieusement tout au fond. Je suis baisée comme jamais, mon bassin va à la rencontre du boutefeu comme s’il était humainement possible qu’il aille encore plus loin. Je jouis, je jouis violemment, je jouis de cette hampe qui continue de me pilonner sans ménagement.
Mais il a décidé de profiter de moi autrement. Son énorme queue dressée au ciel, il me demande s’il peut remplir mon cul avec son gros pieu. Je lui réponds en ânonnant de la tête et m'empale sur sa queue. Il me laisse faire. L’épreuve est dure mais réalisable car je l’ai déjà passée.
Il n'attendait que moi et me sodomise à fond. Je suis aux anges mais je vois bien qu’il ne pourra plus se retenir longtemps après toutes ses chattes et ses trous du cul.
Il se bloque en moi mais je veux le finir à la main pour en faire profiter les copines. Je suis sûre qu’elles veulent voir de les grosses couilles remplir cette lance qui va gicler son jus encore une fois.
Je prends cette magnifique queue dans la main puis dans la bouche pour la sucer goulûment mais avec quelques difficultés vu la taille de son membre, le branlant avec toute la technique récemment apprise, léchant et aspirant le gland tant bien que mal, massant d’une main ferme ses burnes, lui mettant un doigt dans le cul.
Son excitation monte et il ne va pas tarder à m'inonder de son sperme. Je le branle à deux mains maintenant car j'ai l'impression que sa bite à encore grossie.
Les filles se serrent contre moi pour profiter de la fontaine de jouvence en deux rangs serrés. Brusquement je sens ses spasmes arriver, il me fait signe. J’ouvre ma bouche pour accueillir sa semence. Lorsqu'il gicle, j'ai l'impression que je vais étouffer sous la pression d’un jet fort dans ma bouche. Je serre mes lèvres et baisse la tête pour laisser les autres filles profiter de la suite.
Je n’en reviens pas qu’il soit encore capable d’un tel exploit. Quel Mâle !!!
Je regarde ma montre. Cela fait plus de deux heures que ce gamin maigrichon nous baise à tour de rôle !
Monsieur Paul vient nous rejoindre dans la pièce :
-Mesdames ! Vous aller le tuer si vous continuez. Faites-vous livrez vos achats et si vous avez un goût de « reviens-y », demandez comme livreur Claude pour une démonstration privée à domicile. Maintenant, il faut le laissé partir. Il a peut-être encore d’autres livraisons prévues aujourd’hui…
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