Revanche
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Revanche
La revanche
Quelques mois après avoir dû m’exhiber nu dans l’escalier de mon immeuble, et la honte que je me suis prise en croisant un couple de jeunes gens au 2ème étage, je m'étais promis de me venger.
En me creusant la tête, j'ai enfin trouvé la manière dont je vais me venger !
Samedi 12.09.98
Comme tous les week-ends, sauf exceptions, Caline passe la nuit dans mon lit.
En me levant ce matin, j'informe ma petite princesse que ce soir, elle allait voir la couleur de ma vengeance.
— Tu te rappelles du défi que tu m'as fait faire en m'obligeant de vider ma boîte à lettres ?
— Et comment !
— Ben ce soir attends-toi à une revanche !
— Ok... Mais si je gagne ?
— Je te promets de ne plus chercher à me venger !
Caline est aussi joueuse que moi, et je sûre et certain qu’elle tentera tout pour retourner la situation à son avantage, ce qui ne fait que rendre nos jeux que plus excitants.
Mais je ne laisse rien au hasard pour "parfaire" ma revenche. Mentalement, je tends soigneusement mon piège, comme fait une araignée en tendant sa toile :
*1èrement : je me gare sous un réverbère à porté de vue quand je suis à la fenêtre de ma chambre (qui donne sur la rue).
*2èmement : je range dans la boîte à gants de mon auto, un superbe gode ceinture, noir, d'une taille imposante, que je viens d'acheter.
*3èmement : je nous prépare un petit cocktail aux gingembres, qui a des effets aphrodisiaques avérés, sur ma petite princesse.
Tout est en place, lorsqu'à 19h Caline sonne à la porte de mon appartement, au 3ème et dernier étage de mon immeuble.
Elle est tout sourire, lorsque je lui ouvre.
— Comment tu fais, jeune dame pour être toujours la plus belle et la plus désirable des jeunes demoiselles de Paris ? Lui dis-je.
Elle est soigneusement maquillée et élégament habillée, signe qu'elle aussi, a quelques idées "coquines" derrière la tête. Mais elle ignore tout de ce que je lui ai préparé, prévu, planifié.
Elle me tend une bouteille de vin, je la remercie en l’embrassant comme il se doit sur la bouche. Nous nous installons confortablement dans le salon, et je lui sers un premier verre de mon cocktail.
Blottie contre moi comme une chatte, nous parlons de choses et d’autres (souvent de sexe). Nous grignotons des sushis, et je remplis régulièrement nos verres. Après une bonne petite demi-heure la faim nous gagne et je commande alors des pizzas, par téléphone.
— Tu montres tes seins au livreur ? Lui demandai-je.
C'est un de nos petits jeux habituels, et elle éclate de rire. En attendant le livreur, elle peaufine sa tenue pour être "indécente", comme il se doit de l'être. Caline ouvre en grand son chemisier, sous lequel elle ne porte rien, se cale dans le canapé, et retrousse sa jupe jusqu’en haut de ses cuisses. De mon côté, je me dessape, j'enfile un peignoir en soie, qui cache à peine mes bijoux de famille et je serre la ceinture pour que rien ne soit bien invisible aux yeux du livreur.
Lorsqu'on sonne, je vais ouvrir faisant entrer le livreur, pour qu’il dépose nos pizzas sur la table du salon. Le pauvre garçon est choqué de voir ma bite à moitié couverte et surtout de voir Caline qui expose ses seins et sa moule à son regard, avec un grand sourire et sans un mot alors que je lui remets son argent.
Dès qu’il fut parti, Caline et moi avons ri comme des gamins, fières de notre coup.
— C'est ça ta vengeance ? Je croyais que tu allais m'imposer une épreuve à la hauteur de celle que je t'ai faite subir !
— Tu ne ne perds rien pour attendre...
Nous avons bu presque toute la bouteille de vin, en mangeant nos pizzas et des gâteaux que j’avais acheté. Et c’est seulement après que je lui dis :
— Je te propose de jouer maintenant une partie de scrabble ! (Je gagne systématiquement, lorsque je joue contre Caline, ayant dans ma jeunesse assez souvent joué avec ma mère pendant les week-ends d'hiver).
— Toi, tu as une idée derrière la tête...
— Bien sûr ! Mais comme l'exige notre accord, le gagnant fixera au perdant un gage qu'il ou elle ne peut refuser !
— Évidemment, je m’en doutais. Tu veux ta revanche, après avoir perdu aux cartes... Et bien entendu tu as choisi un jeu que tu maîtrise bien !
— Comme dans chaque jeu... je peux gagner... Et je peux perdre !
— Allez... Pas la peine de t'excuser... Je suis d’accord
— Pour te faciliter la tâche... Chaque mot que tu place sur la case "mot compte double" je le double encore !
— Tu veux me faire peur ou quoi monsieur le professionnel du scabble ! À table et que le meilleur gagne !
Et la partie commence... Je dois reconnaître que Caline m'opposé une résistance farouche, me démontrant qu'elle a une assez bonne connaissance de la langue de Voltaire... Mais avec mon scrabble de dernière minute : "zodiaque" que je place sur le mot "éros" en mot compte triple ("zéro" prend un "s" au pluriel). Cela me fait ((39x3) + 50)= 167 point... Je remporte haut la main.
— Je m’avoue vaincue ! Reconnaît Caline, avec un sourire qui cache mal sa déception. Et mon gage est...?
— Eh bien... Tu vas descendre chercher quelque chose dans ma voiture !
— À poil, je suppose... Tu aurais pu être plus originale !
— Non... Habillée... Comme tu as là!
— ????
— Tu montes dans la voiture, et c'est alors à ce moment-là, tu te déshabilleras totalement... Tu laisseras la portière entrouverte, pour que le plafonnier reste allumé !
— Et ?
— Tu prendras l’objet que ce trouve dans la boîte à gants !
— C'est tout ?
— Non... Tu laisseras tes vêtements sur la banquette arrière, et tu ramèns tes fesses mais sans courir... Et si on te croise, il faut que cette ou ces personnes puissent bien voir ce que tu tiens en main... Et s'il le faut... Tu le montre !
— Putain !
— Oui... C’est ce que tu seras pendant... 5-10mn grand max !
— Connard ! Donc... Je vais devoir traverser la rue en tenue d’Eve, le hall de ton immeuble, et remonter l’escalier ?
— Oui... Tu as tout compris... Bravo !!!
— Mais tu es une salope !
— Non... Le masculin de salope est : "salaud"... S... A... L... A...U... D ! Et comme je suis pas si "méchant", si tu remplis ce gage, tu pourras me proposer ce que tu veux, avec l’objet que tu auras ramené !
— C’est un sex-toy ?
— Tu verras bien... Allez, c’est à toi de jouer, dis-je en lui tendant les clés de ma voiture. Elle est garée sous mes fenêtres, côté chambre.
Caline prend mes clés, les yeux brillants, et ouvre la porte. Le cocktail plus le vin ont l'air de produire ľeffet escompté. Je suis certain qu'elle est aussi excitée que moi si ce n’est plus. Elle passe devant moi, en ondulant des hanches, et je la suis du regard, jusqu’à ce qu’elle descende l’escalier. Puis je me dirige vers ma chambre.
J’ai chaud. J’ôtai mon peignoir et j’ouvre ma fenêtre. Je vois Caline sortir de l’immeuble, emprunter le chemin jusqu'à la place où est garée ma voiture. Elle ouvre la portière coté passager. Elle lève la tête, me brandit son poing. Mais je sais que ce geste de... "colère" n’est que de la comédie.
Docilement, elle prend place sur le siège, laissant la portière entrouverte. Le plafonnier allumé, et la lumière du lampadaire me permettent de ne rien perdre de ce qui se passe. Et même si voyeurs il y avait, ils auront le plaisir de profiter de ce spectacle.
Je suis les torsions que ma petite princesse fait sur le siège, pour accomplir son léger effeuillage (elle ne porte qu'un chemisier et une jupe) et voilà qu'apparaît son corps nu. Une fois entièrement dévêtue, elle ouvre la boîte à gants, et en sort le gode ceinture, qu’elle contemple un long moment, puis sort de la voiture.
J'aurai tout donné pour être dans la tête de Caline, pour entendre ce qu'elle se dit à cet instant, ce qu’elle ressent.
La connaissant, je suis presque certain qu'elle est entrain de regarder tout autour d'elle, pour voir s'il y a une ombre dans les parages... Je m'imagine que s'il y avait eu, une personne proche d'elle là, il aurait pu entendre les battements de son cœur.
Je la vois, qu’enfin, elle sort de la voiture. La nudité de son corps est mise en valeur par cette lumière du réverbère, qui éclair comme s’il faisait jour (bon... j'avoue, là j'en rajoute un peu... beaucoup !).
Elle marche lentement vers l’entrée de mon immeuble, et puis je la perds de vue.
Je retourne vers la porte de ľappartement, et c’est alors que j’entends du bruit, des voix, sur mon palier. La locataire du studio en face, une étudiante, a manifestement reçu des amis qui sont entrain de se préparer pour partir. Ils vont pour prendre les escaliers.
À travers la porte, je peux entendre des sifflements, les commentaires et des applaudissements.
Par l'œil de Moscou (Judas), je vois Caline arriver devant ma porte, rouge comme une tomate. Elle sonne, mais je la fais attendre. Nouveaux coups de sonnette, prolongés, et cette fois, je lui ouvre avec mon plus beau sourire, sans réaliser que ma voisine est encore sur le pas de sa porte alors que je suis, moi aussi nu comme quand je suis sorti du ventre de ma mère mais sans le cordon ombilical.
— Putain, qu’est-ce que tu fous ? M'engueule Caline, en s’engouffrant.
— J'voulais que tu sente ce que j’ai ressenti !
— H'choumaa (quelle honte)...
— J’espère que ma voisine et ses amis ont vu ce que tu tenais dans ta main !
— Je crois que oui. Mais au fait... Tu te rappelles ce que tu m’as promis ?
— Je t’ai promis quelque chose ?
— Ne fais pas l’innocent ! Tu m’as dit que je pourrai te faire ce que je veux, avec ça... Me dit Caline, en me montrant le gode ceinture.
— Ah oui... Tu parles de ça ! Peut-être... Donnes moi envie !
— Tu vas être servi... Mais n’espère pas que j'avais t'laisser le cul tranquille !
Caline va ouvrir la porte-fenêtre de ma terrasse et allume la lumière extérieure. Avec son index, elle me fait signe de la suivre. Jetant un coup d’œil vers l’immeuble voisin, je constate de la lumière dans certaines fenêtres. Et même des silhouettes à l’une d’elles.
Caline m’oblige à l'harnacher avec ce joujou, autour de sa taille. Puis elle m'ordonne de prendre appui sur la rambarde de ma terrasse, de ce fait, je me trouve dans une pose lui offrant mon postérieur, le cul bien cambré. Une pluie de claques, s'abattent sur mes fesses, qui deviennent rapidement marquées de traces rouges (je suppose car je ne peux me contorsionner pour le voir).
Je laisse échapper quelques cris de douleur, pas très convaincants, car le plaisir que cette situation scabreuse m'excite grave.
Caline se place, bien évidemment, derrière moi en saisissant fermement mes poignets d'amour et fait les présentations d'usage entre Mr. "Gland en résine" et Mr. "Trou du cul". J’ai trop envie... Une envie de me faire défoncer, comme un(e) chien(ne). Je pose ma tête pour assurer mon équilibre et de mes mains, je les place de façon à pouvoir bien écarter mon popotin.
— Ooooohh Putaiiiiiiin !
Sans aucune préparation, sans préavis et sans douceur, ma petite princesse vient de m'enfonce, plus ou moins, que la moitié de ce zob en plastique !
— Tu l'as sentis passer celui-là ?
— Oh Putain de Putain de merde... Ahhh oui... Je l'ai bien senti... Vas-y... Déchires-moi le cul ! Fais de moi ta femelle ! Vas-y salooooope !!!
Une douloureuse, mais ô combien agréable, qu'elle est cette première introduction. Trop kiffante !
— C'est toi la salope... Tu t'fais nique par ta meuf !
— Ohhhhh ouiiii... C'est bon c'que tu m'fais là !
Quand Caline s’enfonce en moi, les premiers allers et retours sont trop top ! Certe, ils sont lents mais bien profonds. J'essaie de sentir chaque centimètre de ce sexe, ô combien factice, et comme on dit là-bas chez nous :
— Nikomek el khabaa... Niklii sormiii... (enculée de ta mère la pute... Baise moi l'ognion)... Hummmm !
Je relâche la prise de mes fesses pour mieux me retenir à cette petite barrière qui, heureusement, m'empêche de tomber du 3ème étage tellement Caline me défonce... Avec une rage que je ne lui avait encore jamais connu.
En me remémorant la scène je me pose toujours la même la question (qui, entre nous, n'a pas encore eu de réponse) :
Pourquoi m'en voulait-elle à ce point ? Moi qui suis toujours adorable, prévenant, câlin (qui ne le serait pas avec cette une Caline aussi câline)...
Bref,
Le godemichet me fend mon petit trou de balle et va de plus en plus dans les profondeurs de mon corps, de mon âme, de mes plaisirs. Les coups de boutoir de Caline sont toujours puissants et violents. Je sens mes couilles qui ballotent en cadence... Je crie... Je me tortille et je pousse mêmele vice à aller à la rencontre de cette bite "non" humaine, cherchant à la faire rentrer plus loin dans mes fesses. Je vois sans les voir réellement, tant le feu d'artifice de ma jouissance obscure ma vision, des gens, des curieux, des voyeurs et voyeuses, aux fenêtres de l’immeuble voisin. J'en ai cure... Je savoure trop ce moment. C'est, à mon avis, l'un des principaux caractères de tout bon exhibitionniste : s'exposer sans peur ni reproches. Caline ahane, bave, souffle.
Nous sommes déchaînés. Rien ne compte plus pour nous, en dehors de cet orgasme que nous prenons plaisir à retarder au maximum car nous savons qu’il ne sera que plus dévastateur, plus kiffant. Je ne vois que des étoiles filantes dans le ciel de cette ville des lumières. Enfin... Elle est arrivé... cette "jouissance" qui nous emporte en direction de son monde, que seuls les vrais amoureux connaissent.
Epuisé, je sens enfin le vide créé par le gode, que Carine retire de mon fion. Mais elle exige, de se faire défoncer son joli minou, à son tour. Je réfléchis pendant une demie seconde : je viens de décharger ma production d'agents reproducteurs de la race humaine. Recharger mes coucouniettes me prendra au moins 30-60mn, mais madame veut se faire de suite... Sinon je risque gros !
Le cerveau humain est le plus performant et le plus rapide ordinateur au monde : il arrive a analyser une situation complexe et à nous fournir (généralement) la bonne solution en moins de 30 millisecondes !
Je dégrafe l'instrument qui m'a donné tant de plaisir de la taille de ma douce princesse, rentre précipitemment dans mon logis en entraînant Caline, qui ne comprend rien au comment du pourquoi. Je ramasse un bout de tissu qui traine dans mon salon pour essuyer, sommairement cette bite en résine, de mes... (je sais... C'est pas très "glamour" quand on parle de ça dans un texte qui est sensé nous exciter... Mais ceci est une réalité et je vous conte ici mon vécu sans rien cacher, ni exagérer) et enfin je me débats tant bien que mal pour mettre cet harnais en place en faisant attention à ne pas comprimer mon zob (tout mou) et ses deux soldats poilus.
— Ah ouais... Bien vu... Ce qui est bon pour toi est sûrement agréablepour moi !
Sans un mot, Caline se jette sur mon sofa et me présente son arrière-train pour que je la comble.... Aux premiers coups de reins, j'ajuste mon harnais pour que cela ne compresse pas mes burnes (j'veux connaître ma descendance... ;)). Après quelques coups de reins, je me retrouve étendue sur ce canapé-lit et Caline vient me chevaucher, me présentant son superbe cul.
C'est une jument en furie que j'ai sur cette bite. Elle saute littéralement, s’empalant jusqu’à la garde sur ce chibre sombre. Sa mouille coule sur mes cuisses. Elle hurle à réveiller un mort, quand son plaisir atteint des sommets. De mes deux mains, je lui pétris les seins, j’écarte ses fesses, au maximum. J'essaie de plonger mon index dans l’étroit orifice, qui s’ouvre sans peine. Je le fais coulisser, tourner. Caline haletante, gémit, crie.
Nous avons joui (elle physiquement, moi mentalement) une dernière fois. Un orgasme somptueux, qui la laisse au bord de l’évanouissement. Caline se déboîte de cette queue et vient se lover dans mes bras, me caressant tendrement.
Après quelques minutes, elle me regarde avec une expression perverse.
— Au fait, mes affaires sont restées dans ta voiture...
— Oui, et alors ?
— Qui va aller les rechercher ?
— Mais toi, voyons !
— Il va falloir que tu me prêtes des vêtements.
— Il n’en est pas question ! Tu dois retourner à poil à ma voiture, c’est la suite logique de mon défi, si demain matin tu veux sortir !
— Tu es vraiment un enculé ! Me lance-t-elle en riant.
— Ça... Tu l’as déjà fait tout à l’heure !
Et j’eus le plaisir de voir Caline sortir, nue, de mon appartement. Puis de mon immeuble. Et de traverser la rue, en tenue d’Eve.
Ma vengeance était complète.
À suivre...
Quelques mois après avoir dû m’exhiber nu dans l’escalier de mon immeuble, et la honte que je me suis prise en croisant un couple de jeunes gens au 2ème étage, je m'étais promis de me venger.
En me creusant la tête, j'ai enfin trouvé la manière dont je vais me venger !
Samedi 12.09.98
Comme tous les week-ends, sauf exceptions, Caline passe la nuit dans mon lit.
En me levant ce matin, j'informe ma petite princesse que ce soir, elle allait voir la couleur de ma vengeance.
— Tu te rappelles du défi que tu m'as fait faire en m'obligeant de vider ma boîte à lettres ?
— Et comment !
— Ben ce soir attends-toi à une revanche !
— Ok... Mais si je gagne ?
— Je te promets de ne plus chercher à me venger !
Caline est aussi joueuse que moi, et je sûre et certain qu’elle tentera tout pour retourner la situation à son avantage, ce qui ne fait que rendre nos jeux que plus excitants.
Mais je ne laisse rien au hasard pour "parfaire" ma revenche. Mentalement, je tends soigneusement mon piège, comme fait une araignée en tendant sa toile :
*1èrement : je me gare sous un réverbère à porté de vue quand je suis à la fenêtre de ma chambre (qui donne sur la rue).
*2èmement : je range dans la boîte à gants de mon auto, un superbe gode ceinture, noir, d'une taille imposante, que je viens d'acheter.
*3èmement : je nous prépare un petit cocktail aux gingembres, qui a des effets aphrodisiaques avérés, sur ma petite princesse.
Tout est en place, lorsqu'à 19h Caline sonne à la porte de mon appartement, au 3ème et dernier étage de mon immeuble.
Elle est tout sourire, lorsque je lui ouvre.
— Comment tu fais, jeune dame pour être toujours la plus belle et la plus désirable des jeunes demoiselles de Paris ? Lui dis-je.
Elle est soigneusement maquillée et élégament habillée, signe qu'elle aussi, a quelques idées "coquines" derrière la tête. Mais elle ignore tout de ce que je lui ai préparé, prévu, planifié.
Elle me tend une bouteille de vin, je la remercie en l’embrassant comme il se doit sur la bouche. Nous nous installons confortablement dans le salon, et je lui sers un premier verre de mon cocktail.
Blottie contre moi comme une chatte, nous parlons de choses et d’autres (souvent de sexe). Nous grignotons des sushis, et je remplis régulièrement nos verres. Après une bonne petite demi-heure la faim nous gagne et je commande alors des pizzas, par téléphone.
— Tu montres tes seins au livreur ? Lui demandai-je.
C'est un de nos petits jeux habituels, et elle éclate de rire. En attendant le livreur, elle peaufine sa tenue pour être "indécente", comme il se doit de l'être. Caline ouvre en grand son chemisier, sous lequel elle ne porte rien, se cale dans le canapé, et retrousse sa jupe jusqu’en haut de ses cuisses. De mon côté, je me dessape, j'enfile un peignoir en soie, qui cache à peine mes bijoux de famille et je serre la ceinture pour que rien ne soit bien invisible aux yeux du livreur.
Lorsqu'on sonne, je vais ouvrir faisant entrer le livreur, pour qu’il dépose nos pizzas sur la table du salon. Le pauvre garçon est choqué de voir ma bite à moitié couverte et surtout de voir Caline qui expose ses seins et sa moule à son regard, avec un grand sourire et sans un mot alors que je lui remets son argent.
Dès qu’il fut parti, Caline et moi avons ri comme des gamins, fières de notre coup.
— C'est ça ta vengeance ? Je croyais que tu allais m'imposer une épreuve à la hauteur de celle que je t'ai faite subir !
— Tu ne ne perds rien pour attendre...
Nous avons bu presque toute la bouteille de vin, en mangeant nos pizzas et des gâteaux que j’avais acheté. Et c’est seulement après que je lui dis :
— Je te propose de jouer maintenant une partie de scrabble ! (Je gagne systématiquement, lorsque je joue contre Caline, ayant dans ma jeunesse assez souvent joué avec ma mère pendant les week-ends d'hiver).
— Toi, tu as une idée derrière la tête...
— Bien sûr ! Mais comme l'exige notre accord, le gagnant fixera au perdant un gage qu'il ou elle ne peut refuser !
— Évidemment, je m’en doutais. Tu veux ta revanche, après avoir perdu aux cartes... Et bien entendu tu as choisi un jeu que tu maîtrise bien !
— Comme dans chaque jeu... je peux gagner... Et je peux perdre !
— Allez... Pas la peine de t'excuser... Je suis d’accord
— Pour te faciliter la tâche... Chaque mot que tu place sur la case "mot compte double" je le double encore !
— Tu veux me faire peur ou quoi monsieur le professionnel du scabble ! À table et que le meilleur gagne !
Et la partie commence... Je dois reconnaître que Caline m'opposé une résistance farouche, me démontrant qu'elle a une assez bonne connaissance de la langue de Voltaire... Mais avec mon scrabble de dernière minute : "zodiaque" que je place sur le mot "éros" en mot compte triple ("zéro" prend un "s" au pluriel). Cela me fait ((39x3) + 50)= 167 point... Je remporte haut la main.
— Je m’avoue vaincue ! Reconnaît Caline, avec un sourire qui cache mal sa déception. Et mon gage est...?
— Eh bien... Tu vas descendre chercher quelque chose dans ma voiture !
— À poil, je suppose... Tu aurais pu être plus originale !
— Non... Habillée... Comme tu as là!
— ????
— Tu montes dans la voiture, et c'est alors à ce moment-là, tu te déshabilleras totalement... Tu laisseras la portière entrouverte, pour que le plafonnier reste allumé !
— Et ?
— Tu prendras l’objet que ce trouve dans la boîte à gants !
— C'est tout ?
— Non... Tu laisseras tes vêtements sur la banquette arrière, et tu ramèns tes fesses mais sans courir... Et si on te croise, il faut que cette ou ces personnes puissent bien voir ce que tu tiens en main... Et s'il le faut... Tu le montre !
— Putain !
— Oui... C’est ce que tu seras pendant... 5-10mn grand max !
— Connard ! Donc... Je vais devoir traverser la rue en tenue d’Eve, le hall de ton immeuble, et remonter l’escalier ?
— Oui... Tu as tout compris... Bravo !!!
— Mais tu es une salope !
— Non... Le masculin de salope est : "salaud"... S... A... L... A...U... D ! Et comme je suis pas si "méchant", si tu remplis ce gage, tu pourras me proposer ce que tu veux, avec l’objet que tu auras ramené !
— C’est un sex-toy ?
— Tu verras bien... Allez, c’est à toi de jouer, dis-je en lui tendant les clés de ma voiture. Elle est garée sous mes fenêtres, côté chambre.
Caline prend mes clés, les yeux brillants, et ouvre la porte. Le cocktail plus le vin ont l'air de produire ľeffet escompté. Je suis certain qu'elle est aussi excitée que moi si ce n’est plus. Elle passe devant moi, en ondulant des hanches, et je la suis du regard, jusqu’à ce qu’elle descende l’escalier. Puis je me dirige vers ma chambre.
J’ai chaud. J’ôtai mon peignoir et j’ouvre ma fenêtre. Je vois Caline sortir de l’immeuble, emprunter le chemin jusqu'à la place où est garée ma voiture. Elle ouvre la portière coté passager. Elle lève la tête, me brandit son poing. Mais je sais que ce geste de... "colère" n’est que de la comédie.
Docilement, elle prend place sur le siège, laissant la portière entrouverte. Le plafonnier allumé, et la lumière du lampadaire me permettent de ne rien perdre de ce qui se passe. Et même si voyeurs il y avait, ils auront le plaisir de profiter de ce spectacle.
Je suis les torsions que ma petite princesse fait sur le siège, pour accomplir son léger effeuillage (elle ne porte qu'un chemisier et une jupe) et voilà qu'apparaît son corps nu. Une fois entièrement dévêtue, elle ouvre la boîte à gants, et en sort le gode ceinture, qu’elle contemple un long moment, puis sort de la voiture.
J'aurai tout donné pour être dans la tête de Caline, pour entendre ce qu'elle se dit à cet instant, ce qu’elle ressent.
La connaissant, je suis presque certain qu'elle est entrain de regarder tout autour d'elle, pour voir s'il y a une ombre dans les parages... Je m'imagine que s'il y avait eu, une personne proche d'elle là, il aurait pu entendre les battements de son cœur.
Je la vois, qu’enfin, elle sort de la voiture. La nudité de son corps est mise en valeur par cette lumière du réverbère, qui éclair comme s’il faisait jour (bon... j'avoue, là j'en rajoute un peu... beaucoup !).
Elle marche lentement vers l’entrée de mon immeuble, et puis je la perds de vue.
Je retourne vers la porte de ľappartement, et c’est alors que j’entends du bruit, des voix, sur mon palier. La locataire du studio en face, une étudiante, a manifestement reçu des amis qui sont entrain de se préparer pour partir. Ils vont pour prendre les escaliers.
À travers la porte, je peux entendre des sifflements, les commentaires et des applaudissements.
Par l'œil de Moscou (Judas), je vois Caline arriver devant ma porte, rouge comme une tomate. Elle sonne, mais je la fais attendre. Nouveaux coups de sonnette, prolongés, et cette fois, je lui ouvre avec mon plus beau sourire, sans réaliser que ma voisine est encore sur le pas de sa porte alors que je suis, moi aussi nu comme quand je suis sorti du ventre de ma mère mais sans le cordon ombilical.
— Putain, qu’est-ce que tu fous ? M'engueule Caline, en s’engouffrant.
— J'voulais que tu sente ce que j’ai ressenti !
— H'choumaa (quelle honte)...
— J’espère que ma voisine et ses amis ont vu ce que tu tenais dans ta main !
— Je crois que oui. Mais au fait... Tu te rappelles ce que tu m’as promis ?
— Je t’ai promis quelque chose ?
— Ne fais pas l’innocent ! Tu m’as dit que je pourrai te faire ce que je veux, avec ça... Me dit Caline, en me montrant le gode ceinture.
— Ah oui... Tu parles de ça ! Peut-être... Donnes moi envie !
— Tu vas être servi... Mais n’espère pas que j'avais t'laisser le cul tranquille !
Caline va ouvrir la porte-fenêtre de ma terrasse et allume la lumière extérieure. Avec son index, elle me fait signe de la suivre. Jetant un coup d’œil vers l’immeuble voisin, je constate de la lumière dans certaines fenêtres. Et même des silhouettes à l’une d’elles.
Caline m’oblige à l'harnacher avec ce joujou, autour de sa taille. Puis elle m'ordonne de prendre appui sur la rambarde de ma terrasse, de ce fait, je me trouve dans une pose lui offrant mon postérieur, le cul bien cambré. Une pluie de claques, s'abattent sur mes fesses, qui deviennent rapidement marquées de traces rouges (je suppose car je ne peux me contorsionner pour le voir).
Je laisse échapper quelques cris de douleur, pas très convaincants, car le plaisir que cette situation scabreuse m'excite grave.
Caline se place, bien évidemment, derrière moi en saisissant fermement mes poignets d'amour et fait les présentations d'usage entre Mr. "Gland en résine" et Mr. "Trou du cul". J’ai trop envie... Une envie de me faire défoncer, comme un(e) chien(ne). Je pose ma tête pour assurer mon équilibre et de mes mains, je les place de façon à pouvoir bien écarter mon popotin.
— Ooooohh Putaiiiiiiin !
Sans aucune préparation, sans préavis et sans douceur, ma petite princesse vient de m'enfonce, plus ou moins, que la moitié de ce zob en plastique !
— Tu l'as sentis passer celui-là ?
— Oh Putain de Putain de merde... Ahhh oui... Je l'ai bien senti... Vas-y... Déchires-moi le cul ! Fais de moi ta femelle ! Vas-y salooooope !!!
Une douloureuse, mais ô combien agréable, qu'elle est cette première introduction. Trop kiffante !
— C'est toi la salope... Tu t'fais nique par ta meuf !
— Ohhhhh ouiiii... C'est bon c'que tu m'fais là !
Quand Caline s’enfonce en moi, les premiers allers et retours sont trop top ! Certe, ils sont lents mais bien profonds. J'essaie de sentir chaque centimètre de ce sexe, ô combien factice, et comme on dit là-bas chez nous :
— Nikomek el khabaa... Niklii sormiii... (enculée de ta mère la pute... Baise moi l'ognion)... Hummmm !
Je relâche la prise de mes fesses pour mieux me retenir à cette petite barrière qui, heureusement, m'empêche de tomber du 3ème étage tellement Caline me défonce... Avec une rage que je ne lui avait encore jamais connu.
En me remémorant la scène je me pose toujours la même la question (qui, entre nous, n'a pas encore eu de réponse) :
Pourquoi m'en voulait-elle à ce point ? Moi qui suis toujours adorable, prévenant, câlin (qui ne le serait pas avec cette une Caline aussi câline)...
Bref,
Le godemichet me fend mon petit trou de balle et va de plus en plus dans les profondeurs de mon corps, de mon âme, de mes plaisirs. Les coups de boutoir de Caline sont toujours puissants et violents. Je sens mes couilles qui ballotent en cadence... Je crie... Je me tortille et je pousse mêmele vice à aller à la rencontre de cette bite "non" humaine, cherchant à la faire rentrer plus loin dans mes fesses. Je vois sans les voir réellement, tant le feu d'artifice de ma jouissance obscure ma vision, des gens, des curieux, des voyeurs et voyeuses, aux fenêtres de l’immeuble voisin. J'en ai cure... Je savoure trop ce moment. C'est, à mon avis, l'un des principaux caractères de tout bon exhibitionniste : s'exposer sans peur ni reproches. Caline ahane, bave, souffle.
Nous sommes déchaînés. Rien ne compte plus pour nous, en dehors de cet orgasme que nous prenons plaisir à retarder au maximum car nous savons qu’il ne sera que plus dévastateur, plus kiffant. Je ne vois que des étoiles filantes dans le ciel de cette ville des lumières. Enfin... Elle est arrivé... cette "jouissance" qui nous emporte en direction de son monde, que seuls les vrais amoureux connaissent.
Epuisé, je sens enfin le vide créé par le gode, que Carine retire de mon fion. Mais elle exige, de se faire défoncer son joli minou, à son tour. Je réfléchis pendant une demie seconde : je viens de décharger ma production d'agents reproducteurs de la race humaine. Recharger mes coucouniettes me prendra au moins 30-60mn, mais madame veut se faire de suite... Sinon je risque gros !
Le cerveau humain est le plus performant et le plus rapide ordinateur au monde : il arrive a analyser une situation complexe et à nous fournir (généralement) la bonne solution en moins de 30 millisecondes !
Je dégrafe l'instrument qui m'a donné tant de plaisir de la taille de ma douce princesse, rentre précipitemment dans mon logis en entraînant Caline, qui ne comprend rien au comment du pourquoi. Je ramasse un bout de tissu qui traine dans mon salon pour essuyer, sommairement cette bite en résine, de mes... (je sais... C'est pas très "glamour" quand on parle de ça dans un texte qui est sensé nous exciter... Mais ceci est une réalité et je vous conte ici mon vécu sans rien cacher, ni exagérer) et enfin je me débats tant bien que mal pour mettre cet harnais en place en faisant attention à ne pas comprimer mon zob (tout mou) et ses deux soldats poilus.
— Ah ouais... Bien vu... Ce qui est bon pour toi est sûrement agréablepour moi !
Sans un mot, Caline se jette sur mon sofa et me présente son arrière-train pour que je la comble.... Aux premiers coups de reins, j'ajuste mon harnais pour que cela ne compresse pas mes burnes (j'veux connaître ma descendance... ;)). Après quelques coups de reins, je me retrouve étendue sur ce canapé-lit et Caline vient me chevaucher, me présentant son superbe cul.
C'est une jument en furie que j'ai sur cette bite. Elle saute littéralement, s’empalant jusqu’à la garde sur ce chibre sombre. Sa mouille coule sur mes cuisses. Elle hurle à réveiller un mort, quand son plaisir atteint des sommets. De mes deux mains, je lui pétris les seins, j’écarte ses fesses, au maximum. J'essaie de plonger mon index dans l’étroit orifice, qui s’ouvre sans peine. Je le fais coulisser, tourner. Caline haletante, gémit, crie.
Nous avons joui (elle physiquement, moi mentalement) une dernière fois. Un orgasme somptueux, qui la laisse au bord de l’évanouissement. Caline se déboîte de cette queue et vient se lover dans mes bras, me caressant tendrement.
Après quelques minutes, elle me regarde avec une expression perverse.
— Au fait, mes affaires sont restées dans ta voiture...
— Oui, et alors ?
— Qui va aller les rechercher ?
— Mais toi, voyons !
— Il va falloir que tu me prêtes des vêtements.
— Il n’en est pas question ! Tu dois retourner à poil à ma voiture, c’est la suite logique de mon défi, si demain matin tu veux sortir !
— Tu es vraiment un enculé ! Me lance-t-elle en riant.
— Ça... Tu l’as déjà fait tout à l’heure !
Et j’eus le plaisir de voir Caline sortir, nue, de mon appartement. Puis de mon immeuble. Et de traverser la rue, en tenue d’Eve.
Ma vengeance était complète.
À suivre...
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