RÊVE OU MAGIE 11
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2013 dans la catégorie A dormir debout
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RÊVE OU MAGIE 11
Chapitre 11
La porte n’est pas bien fermée, de ma place, je peu observer ce qui se passe. Marie et Lisa sont attachées a des sorte de crois de st André au fond de la salle, Christine est sur la table au centre de la pièce, les jambes maintenues bien écartées, un moine est assis sur un tabouret juste en face de son sexe et bricole avec des instruments. Au bout d’un moment, j’entend Christine gémir puis le mine prends un truc comme une grosse seringue et lui enfonce dans le sexe puis injecte ce qu’elle contenait. Il retire la seringue, détache Christine, part l’attacher sur une croix puis détache marie et la porte sur la table. La manipulation recommence, ça doit bien durer une heure, il la détache et passe a Lisa même cirque, je ne comprends pas ce qu’ils font. Quand il a terminé avec Lisa, ils détachent les deux autres filles et partent vers l’autre pièce. Quand ils sont tous parti, je sors de ma cachette et les sui. Dans la bibliothèque personne, j’avance doucement, dans la chapelle, les filles sont toutes les trois couchées sur l’hôtel, une silhouette s’avance vers elles, c’est la vieille femme du bois, les moines sont regroupés sur le coté et semblent prier, elle fait des gestes bizarres et marmonne des mots sans suite devant les filles et la, je reste complètement ébahi, devant mes yeux, leur ventre gonfle doucement. Au bout d’un long moment, la vieille dame s’éloigne et les moines font accoucher les trois filles. Au bout d’une bonne heure il y a trois bébés alignés devant l’hôtel. La vieille dame les prend et s’en va. Les moines font se relever les filles et se dirigent vers moi. Je me plaque contre le mur derrière l’ouvrant de la porte, je vois les moines passer devant moi en portant les filles inconscientes. Quand ils ont passé l’autre porte au bout du couloir, je sors de ma cachette et me dirige vers la sortie pour voir ou va la vieille femme avec les bébés. Je la cherche du regard, ne la voie pas puis j’entends du bruit vers les pierres, j’y pars en courant. Elle est la, la grosse pierre plate semble léviter, les bébés sont couché dessus, la vieille fait une sorte de prière, de la fumée s’élève, la vieille femme, se déshabille, j’en croie pas mes yeux, c’est une superbe femme qui se découvre, elle doit avoir au maximum une vingtaine d’année, elle est debout, devant les bébés les jambes légèrement écartées, elle se caresse la moule et continue ses prières, la fumée s’épaissis de plus en plus, d’un coup, une forme mi humaine mi animale surgit de nulle part, semble léviter et tourne autours du rocher en s’approchant. En la voyant, La femme monte sur la pierre, se met a quatre pates, les jambes écartées, la forme passe derrière elle et une sorte d’accouplement étrange commence, plus les cris de plaisir de la femme s’accentuent plus la fumée s’épaissie et devient lumineuse. La chose qui la possède semble petit a petit entrer en elle. Ses cris de plaisir s’amplifient, Quand l’orgasme l’emporte la chose a disparu, elle est entrée entièrement en elle.
C’est comme un feu d’artifice qui se déclenche, des lumières fusent de partout, c’est magnifique. Le sexe de la femme semble devenir le centre de ce feux d’artifice, puis La forme humaine ressort doucement d’elle et disparait, la fumée s’estompe, sur le rocher, a la place des trois bébés, trois belles jeunes filles d’une vingtaine d’années, la copie conforme des filles qui dorment a la ferme.
La prêtresse se rhabille et emmène les filles entièrement nue avec elle, je décide de les suivre. Elles marchent longtemps, puis s’arrêtent devant une vieille grange. Elles entrent. Au bout d’un long moment, la prêtresses ressort et s’éloigne doucement. J’entre dans la grange, les trois magnifiques filles dorment dans la paille, elles sont maintenant habillées et ont des sacs a coté d’elles. Je les laisse et repart vers les ruines derrière la vieille dame. J’arrive aux ruines, la grosse pierre est a nouveau sur l’entrée la vieille femme a disparue. L’aurore commence a pointer, le ciel rougeoies, je retourne a la ferme pour m’occuper des bêtes.
Mon travail est fini, je sens la fatigue mais je prends ma voiture et part vers la vieille grange. Je me gare devant, j’entre, les filles y sont encore et discutent doucement, elles sont surprises de me voir et s’excusent d’avoir squatté ma grange cette nuit et m’expliquent que c’étais pour se mettre à l’ abri de l’orage. J’essai de discuter un peu avec elles, elles me racontent exactement la même histoire que les trois filles que j’ai a la maison. Je les invite a venir déjeuner chez moi, elles acceptent. Dans la voiture flotte la même odeur suave, un mélange de parfum féminin, de sueur et autre chose que je n’arrivais pas à définir, cette odeur me fait a nouveau bander presque tout de suite. Pour garder une certaine contenance j’ai ouvert la fenêtre pour essayer de dissiper cet envoutant parfum.
- Vous vous appelez comment
- Moi, c’est Juliette, elle, c’est Maeva et elle, c’est Beatrice, ce sont les noms que nous avons trouvé sur nos vêtements.
- A quand remonte votre rencontre ?
- Hier soir, pendant le très gros orage, nous nous sommes abritées toutes les trois dans la même grange.
- Ah bon, vous ne vous étiez jamais rencontré avant ?
- Non, nous avons décidé d’être comme des sœurs ce matin car nous avons les mêmes gouts et nous nous ressemblons beaucoup.
- Je vais vous faire une surprise, a la maison j’ai d’autres sœurs a vous qui dorment.
- Non, ce n’est pas possible.
- Vous verrez, en plus elles portent les mêmes noms que vous.
Arrivé à la ferme, je leur demande de s’installer puis je part réveiller les autres filles. Quand elles se retrouvent ensemble, c’est d’abord un grand silence qui s’installe, elles s’observent puis les conversations démarrent. Je les laisse et part me coucher, je suis complètement crevé et la nuit prochaine j’y retourne pour voir ce qui se passe.
Je me réveille, il est déjà tard, je leur montre tout ce qu’il faut pour qu’elles se préparent a manger puis je leur explique qu’elles peuvent toutes dormir chez moi a condition d’être deux par chambre, elles acceptent, la nuit tombe, je les laisse pour partir aux ruines. La grosse pierre est toujours en place, je me cache et j’attends rien ne se passe. Vers quatre heures du matin je décide de rentrer, il ne s’est rien passé de la nuit. La journée suivante se passe relativement bien, les filles s’occupent du fonctionnement de ma ferme, elles nourrissent les animaux, font les traites, s’occupent du ménage et des repas, je suis comme en vacances chez moi, c’est merveilleux.
Le soir venu je repars, vers les ruines pour essayer de libérer mes copines. Quand j’arrive, le rocher n’est plus a sa place et l’accès a l’escalier est libre, je me poste derrière un éboulis et j’attend.des heures se passent sans qu’il y ait de mouvement puis je vois la vieille dame sortir avec trois bébé dans les bras, je la suis et la même cérémonie que l’autre jour se déroule, je repars vers les ruines avant le feu d’artifice, j’entre, dans la chapelle plus personne, j’avance, dans la bibliothèque un moine est entrain d’écrire dans un grand grimoire, discrètement, je me faufile jusqu’a la porte, je continu a avancer, dans la salle de torture, un moine range le matériel, je l’observe un moment puis me glisse dans la pièce et passe sans qu’il me remarque. Dans le couloir, personne, je regarde dans la première cellule, la porte n’est pas fermée, Marie semble dormir, couchée nue a même le sol, je m’approche d’elle, lui secoue l’épaule pour la réveiller, elle ne réagit pas, je lui caresse la poitrine, elle se met a gémir, j’appuis ma caresse, je la sens se tendre et jouir mais ne se réveille pas. Ne sachant que faire je me retire, repasse dans les pièces les moines ne sont plus là. Je sors et part tout de suite a la grange, quand j’arrive, la vieille femme est entrain de sortir, discrètement je la suis, elle monte sur la colline et entre dans une grotte, j’entre discrètement derrière elle, la grotte semble petite, au fond un matelas a coté d’un feu, la vieille est couchée dessus. Je m’approche, la regarde plus en détail, c’est bien une très vieille femme, une allure de sorcière avec ses vieux vêtements délabrés, je m’approche d’elle, elle ouvre les yeux, me regarde sans avoir l’air étonné de ma présence.
- Je vous attendais
- Vous m’attendiez ? pourquoi ?
- Je vous ai vu tourner autour des filles, j’espère que vous n’avez rien fait de contraire aux lois.
- Quelles lois ?
- Je vous expliquerais plus tard. Prenez ce flacon la bas et servez nous a boire.
Je me suis retourné, j’ai attrapé le flacon puis j’ai servi deux verres, quand je suis retourné vers la vieille, j’ai eut un choc, sur le matelas il y avait une magnifique jeune femme quasi nue, celle que j’avais vu l’autre jour. Devant mon air étonné elle s’est confiée :
- vous me voyez sous ma véritable forme maintenant, la vieille dame, c’est un masque que je porte tous les jours pour ne pas être embêtée, je suis la grande prêtresse de « zurok », j’ai l’air jeune mais j’ai en réalité huit cents ans, nous nous succédons de mère en fille pour continuer notre mission qui est de maintenir l’équilibre de la nature. Lisa, Marie et Christine sont mes filles, je les ai eut avec Zurok, Malok et mirok, ce sont les trois dieux qui gèrent la terre, l’air et l’eau, a eux trois ils maintiennent l’harmonie sur la terre. En ce moment, tout est perturbé, vous les hommes vous faites n’importe quoi et l’équilibre est rompu. Avec les moines survivant, nous essayons de rétablir cet équilibre, mes filles n’ayant pas réussi leur mission à cause de vous, nous les remplaçons par d’autres filles qui sont chacune un mélange des trois, elles vont prendre tous les postes clef de la terre pour que l’on puisse enfin faire renaitre cet équilibre.
- vous vous servez de vos filles comme des bêtes de laboratoire, elles vous servent uniquement à produire vos prêtresses ? C’est indigne d’une mère d’exploiter ainsi sa progéniture.
- Non, pendant des siècles nous avons fait une sélection, grâce à la légende que nous avons fait courir, nous engrossions des filles, nous récupérions les bébés et nous rendions la mère à leurs vies médiocres et normales encore vierge avec la mémoire effacée. Ça marchait très bien puis il y a eut un conflit très grave entre nos dieux et d’autres, des histoires qui nous dépassent, l’hôtel de pierre et le monastère ont été en partie détruit, depuis le seul moyen que nous avions c’étais de continuer notre travail dans la plus parfaite clandestinité. J’ai accepté d’envoyer mes filles parmi les humains pour qu’elles me fassent un inventaire complet de tout ce qui s’y passe et vous êtes intervenu, vous les avez engrossé alors que je croyais ça impossible, maintenant, elles ne pensent plus a leur mission, elles n’ont qu’une envie, vous retrouver pour jouir avec vous. C’est pourquoi, je me sers d’elles pour créer une nouvelle race de prêtresse qui ne pourra pas se faire engrosser par un vulgaire humain et qui pourra conquérir votre monde. J’ai mis plus de cinq ans à essayer, que des échecs, ce coup ci, c’est le bon, j’ai déjà neuf prêtresses qui sont parties, dans deux jours, j’en aurais trois de plus. Après ça il me faudra attendre le prochain solstice pour recommencer. Maintenant mon royaume va pouvoir s’étendre mon équilibre naturel sera retrouvé.
- Vous été donc la femme de trois dieux ?
- non, je suis la femme de personne, j’ai juste eu des enfants de ces trois dieux ils m’ont servi, en m’accouplant avec eux j’ai pris leur pouvoir, grâce a ces enfants, je peu les transmettre.
- c’est qui, celui qui vous rend visite sur l’hôtel ?
- vous avez assisté à ça ?
- oui, j’ai même vu les bébés grandir très vite pendant vos orgasmes pour devenir de magnifiques jeunes filles.
- vous n’auriez pas du voir ça, c’est impossible, les humains ne peuvent pas voir ces choses la. Qui êtes vous ?
- Un fermier, propriétaire depuis des générations des terres sur lesquelles sont construits l’ancien monastère et l’hôtel en pierre
Je ne sais pas ce qui s’est passé, j’ai eut a un moment l’impression de sortir de mon corps et je me suis entendu dire :
- Je suis aussi le père de Zurok, Malok et mirok, je suis ton dieu tout puissant, celui qui a détruit ton simulacre de monastère et ton hôtel de sorcière.
Elle s’est jetée à mes pieds en implorant :
- Pardon maitre de vous avoir trompé, je suis votre humble servante, je ferais tout ce que vous voulez mai par pitié laissez moi la vie sauve.
- Te laisser la vie sauve, a toi, mégére puante qui fricote avec « Firox » le dieu du feu mon pire ennemi !
- Je vous en supplie, ayez pitié
- Pas de pitié pour les sorcières orgueilleuses et déchues.
Elle était devant moi, à moitié nue, elle dégageait la même odeur aphrodisiaque que ses filles, je n’ai pas pu me retenir, j’ai sorti mon chibre et je l’ai enfoncé en elle.
Pour une vieille de huit cents ans elle était très bonne, je la bisais comme une chienne, et elle semblait aimer ça, je sentais ses muscles intimes se contracter au rythme de son plaisir, c’étais merveilleux, d’un coup, j’ai senti comme une aspiration, j’étais aspiré par son sexe c’étais tellement fort que j’ai rapidement jouis en elle.
Mon sperme a eut un effet très bizarre, alors qu’elle était en pleine jouissance a m’aspirer, elle s’est mise a crier de douleur, je me suis senti repoussé violemment, m’obligeant a me retirer de cette antre si agréable et j’ai vu son sexe se mettre a fumer, puis se consumer alors qu’elle n’arrêtais pas de crier. Au bout d’une minute elle s’est tue et son corps agité de soubresauts s’est entièrement embrasé.
La grande prêtresse est partie en fumée.
La porte n’est pas bien fermée, de ma place, je peu observer ce qui se passe. Marie et Lisa sont attachées a des sorte de crois de st André au fond de la salle, Christine est sur la table au centre de la pièce, les jambes maintenues bien écartées, un moine est assis sur un tabouret juste en face de son sexe et bricole avec des instruments. Au bout d’un moment, j’entend Christine gémir puis le mine prends un truc comme une grosse seringue et lui enfonce dans le sexe puis injecte ce qu’elle contenait. Il retire la seringue, détache Christine, part l’attacher sur une croix puis détache marie et la porte sur la table. La manipulation recommence, ça doit bien durer une heure, il la détache et passe a Lisa même cirque, je ne comprends pas ce qu’ils font. Quand il a terminé avec Lisa, ils détachent les deux autres filles et partent vers l’autre pièce. Quand ils sont tous parti, je sors de ma cachette et les sui. Dans la bibliothèque personne, j’avance doucement, dans la chapelle, les filles sont toutes les trois couchées sur l’hôtel, une silhouette s’avance vers elles, c’est la vieille femme du bois, les moines sont regroupés sur le coté et semblent prier, elle fait des gestes bizarres et marmonne des mots sans suite devant les filles et la, je reste complètement ébahi, devant mes yeux, leur ventre gonfle doucement. Au bout d’un long moment, la vieille dame s’éloigne et les moines font accoucher les trois filles. Au bout d’une bonne heure il y a trois bébés alignés devant l’hôtel. La vieille dame les prend et s’en va. Les moines font se relever les filles et se dirigent vers moi. Je me plaque contre le mur derrière l’ouvrant de la porte, je vois les moines passer devant moi en portant les filles inconscientes. Quand ils ont passé l’autre porte au bout du couloir, je sors de ma cachette et me dirige vers la sortie pour voir ou va la vieille femme avec les bébés. Je la cherche du regard, ne la voie pas puis j’entends du bruit vers les pierres, j’y pars en courant. Elle est la, la grosse pierre plate semble léviter, les bébés sont couché dessus, la vieille fait une sorte de prière, de la fumée s’élève, la vieille femme, se déshabille, j’en croie pas mes yeux, c’est une superbe femme qui se découvre, elle doit avoir au maximum une vingtaine d’année, elle est debout, devant les bébés les jambes légèrement écartées, elle se caresse la moule et continue ses prières, la fumée s’épaissis de plus en plus, d’un coup, une forme mi humaine mi animale surgit de nulle part, semble léviter et tourne autours du rocher en s’approchant. En la voyant, La femme monte sur la pierre, se met a quatre pates, les jambes écartées, la forme passe derrière elle et une sorte d’accouplement étrange commence, plus les cris de plaisir de la femme s’accentuent plus la fumée s’épaissie et devient lumineuse. La chose qui la possède semble petit a petit entrer en elle. Ses cris de plaisir s’amplifient, Quand l’orgasme l’emporte la chose a disparu, elle est entrée entièrement en elle.
C’est comme un feu d’artifice qui se déclenche, des lumières fusent de partout, c’est magnifique. Le sexe de la femme semble devenir le centre de ce feux d’artifice, puis La forme humaine ressort doucement d’elle et disparait, la fumée s’estompe, sur le rocher, a la place des trois bébés, trois belles jeunes filles d’une vingtaine d’années, la copie conforme des filles qui dorment a la ferme.
La prêtresse se rhabille et emmène les filles entièrement nue avec elle, je décide de les suivre. Elles marchent longtemps, puis s’arrêtent devant une vieille grange. Elles entrent. Au bout d’un long moment, la prêtresses ressort et s’éloigne doucement. J’entre dans la grange, les trois magnifiques filles dorment dans la paille, elles sont maintenant habillées et ont des sacs a coté d’elles. Je les laisse et repart vers les ruines derrière la vieille dame. J’arrive aux ruines, la grosse pierre est a nouveau sur l’entrée la vieille femme a disparue. L’aurore commence a pointer, le ciel rougeoies, je retourne a la ferme pour m’occuper des bêtes.
Mon travail est fini, je sens la fatigue mais je prends ma voiture et part vers la vieille grange. Je me gare devant, j’entre, les filles y sont encore et discutent doucement, elles sont surprises de me voir et s’excusent d’avoir squatté ma grange cette nuit et m’expliquent que c’étais pour se mettre à l’ abri de l’orage. J’essai de discuter un peu avec elles, elles me racontent exactement la même histoire que les trois filles que j’ai a la maison. Je les invite a venir déjeuner chez moi, elles acceptent. Dans la voiture flotte la même odeur suave, un mélange de parfum féminin, de sueur et autre chose que je n’arrivais pas à définir, cette odeur me fait a nouveau bander presque tout de suite. Pour garder une certaine contenance j’ai ouvert la fenêtre pour essayer de dissiper cet envoutant parfum.
- Vous vous appelez comment
- Moi, c’est Juliette, elle, c’est Maeva et elle, c’est Beatrice, ce sont les noms que nous avons trouvé sur nos vêtements.
- A quand remonte votre rencontre ?
- Hier soir, pendant le très gros orage, nous nous sommes abritées toutes les trois dans la même grange.
- Ah bon, vous ne vous étiez jamais rencontré avant ?
- Non, nous avons décidé d’être comme des sœurs ce matin car nous avons les mêmes gouts et nous nous ressemblons beaucoup.
- Je vais vous faire une surprise, a la maison j’ai d’autres sœurs a vous qui dorment.
- Non, ce n’est pas possible.
- Vous verrez, en plus elles portent les mêmes noms que vous.
Arrivé à la ferme, je leur demande de s’installer puis je part réveiller les autres filles. Quand elles se retrouvent ensemble, c’est d’abord un grand silence qui s’installe, elles s’observent puis les conversations démarrent. Je les laisse et part me coucher, je suis complètement crevé et la nuit prochaine j’y retourne pour voir ce qui se passe.
Je me réveille, il est déjà tard, je leur montre tout ce qu’il faut pour qu’elles se préparent a manger puis je leur explique qu’elles peuvent toutes dormir chez moi a condition d’être deux par chambre, elles acceptent, la nuit tombe, je les laisse pour partir aux ruines. La grosse pierre est toujours en place, je me cache et j’attends rien ne se passe. Vers quatre heures du matin je décide de rentrer, il ne s’est rien passé de la nuit. La journée suivante se passe relativement bien, les filles s’occupent du fonctionnement de ma ferme, elles nourrissent les animaux, font les traites, s’occupent du ménage et des repas, je suis comme en vacances chez moi, c’est merveilleux.
Le soir venu je repars, vers les ruines pour essayer de libérer mes copines. Quand j’arrive, le rocher n’est plus a sa place et l’accès a l’escalier est libre, je me poste derrière un éboulis et j’attend.des heures se passent sans qu’il y ait de mouvement puis je vois la vieille dame sortir avec trois bébé dans les bras, je la suis et la même cérémonie que l’autre jour se déroule, je repars vers les ruines avant le feu d’artifice, j’entre, dans la chapelle plus personne, j’avance, dans la bibliothèque un moine est entrain d’écrire dans un grand grimoire, discrètement, je me faufile jusqu’a la porte, je continu a avancer, dans la salle de torture, un moine range le matériel, je l’observe un moment puis me glisse dans la pièce et passe sans qu’il me remarque. Dans le couloir, personne, je regarde dans la première cellule, la porte n’est pas fermée, Marie semble dormir, couchée nue a même le sol, je m’approche d’elle, lui secoue l’épaule pour la réveiller, elle ne réagit pas, je lui caresse la poitrine, elle se met a gémir, j’appuis ma caresse, je la sens se tendre et jouir mais ne se réveille pas. Ne sachant que faire je me retire, repasse dans les pièces les moines ne sont plus là. Je sors et part tout de suite a la grange, quand j’arrive, la vieille femme est entrain de sortir, discrètement je la suis, elle monte sur la colline et entre dans une grotte, j’entre discrètement derrière elle, la grotte semble petite, au fond un matelas a coté d’un feu, la vieille est couchée dessus. Je m’approche, la regarde plus en détail, c’est bien une très vieille femme, une allure de sorcière avec ses vieux vêtements délabrés, je m’approche d’elle, elle ouvre les yeux, me regarde sans avoir l’air étonné de ma présence.
- Je vous attendais
- Vous m’attendiez ? pourquoi ?
- Je vous ai vu tourner autour des filles, j’espère que vous n’avez rien fait de contraire aux lois.
- Quelles lois ?
- Je vous expliquerais plus tard. Prenez ce flacon la bas et servez nous a boire.
Je me suis retourné, j’ai attrapé le flacon puis j’ai servi deux verres, quand je suis retourné vers la vieille, j’ai eut un choc, sur le matelas il y avait une magnifique jeune femme quasi nue, celle que j’avais vu l’autre jour. Devant mon air étonné elle s’est confiée :
- vous me voyez sous ma véritable forme maintenant, la vieille dame, c’est un masque que je porte tous les jours pour ne pas être embêtée, je suis la grande prêtresse de « zurok », j’ai l’air jeune mais j’ai en réalité huit cents ans, nous nous succédons de mère en fille pour continuer notre mission qui est de maintenir l’équilibre de la nature. Lisa, Marie et Christine sont mes filles, je les ai eut avec Zurok, Malok et mirok, ce sont les trois dieux qui gèrent la terre, l’air et l’eau, a eux trois ils maintiennent l’harmonie sur la terre. En ce moment, tout est perturbé, vous les hommes vous faites n’importe quoi et l’équilibre est rompu. Avec les moines survivant, nous essayons de rétablir cet équilibre, mes filles n’ayant pas réussi leur mission à cause de vous, nous les remplaçons par d’autres filles qui sont chacune un mélange des trois, elles vont prendre tous les postes clef de la terre pour que l’on puisse enfin faire renaitre cet équilibre.
- vous vous servez de vos filles comme des bêtes de laboratoire, elles vous servent uniquement à produire vos prêtresses ? C’est indigne d’une mère d’exploiter ainsi sa progéniture.
- Non, pendant des siècles nous avons fait une sélection, grâce à la légende que nous avons fait courir, nous engrossions des filles, nous récupérions les bébés et nous rendions la mère à leurs vies médiocres et normales encore vierge avec la mémoire effacée. Ça marchait très bien puis il y a eut un conflit très grave entre nos dieux et d’autres, des histoires qui nous dépassent, l’hôtel de pierre et le monastère ont été en partie détruit, depuis le seul moyen que nous avions c’étais de continuer notre travail dans la plus parfaite clandestinité. J’ai accepté d’envoyer mes filles parmi les humains pour qu’elles me fassent un inventaire complet de tout ce qui s’y passe et vous êtes intervenu, vous les avez engrossé alors que je croyais ça impossible, maintenant, elles ne pensent plus a leur mission, elles n’ont qu’une envie, vous retrouver pour jouir avec vous. C’est pourquoi, je me sers d’elles pour créer une nouvelle race de prêtresse qui ne pourra pas se faire engrosser par un vulgaire humain et qui pourra conquérir votre monde. J’ai mis plus de cinq ans à essayer, que des échecs, ce coup ci, c’est le bon, j’ai déjà neuf prêtresses qui sont parties, dans deux jours, j’en aurais trois de plus. Après ça il me faudra attendre le prochain solstice pour recommencer. Maintenant mon royaume va pouvoir s’étendre mon équilibre naturel sera retrouvé.
- Vous été donc la femme de trois dieux ?
- non, je suis la femme de personne, j’ai juste eu des enfants de ces trois dieux ils m’ont servi, en m’accouplant avec eux j’ai pris leur pouvoir, grâce a ces enfants, je peu les transmettre.
- c’est qui, celui qui vous rend visite sur l’hôtel ?
- vous avez assisté à ça ?
- oui, j’ai même vu les bébés grandir très vite pendant vos orgasmes pour devenir de magnifiques jeunes filles.
- vous n’auriez pas du voir ça, c’est impossible, les humains ne peuvent pas voir ces choses la. Qui êtes vous ?
- Un fermier, propriétaire depuis des générations des terres sur lesquelles sont construits l’ancien monastère et l’hôtel en pierre
Je ne sais pas ce qui s’est passé, j’ai eut a un moment l’impression de sortir de mon corps et je me suis entendu dire :
- Je suis aussi le père de Zurok, Malok et mirok, je suis ton dieu tout puissant, celui qui a détruit ton simulacre de monastère et ton hôtel de sorcière.
Elle s’est jetée à mes pieds en implorant :
- Pardon maitre de vous avoir trompé, je suis votre humble servante, je ferais tout ce que vous voulez mai par pitié laissez moi la vie sauve.
- Te laisser la vie sauve, a toi, mégére puante qui fricote avec « Firox » le dieu du feu mon pire ennemi !
- Je vous en supplie, ayez pitié
- Pas de pitié pour les sorcières orgueilleuses et déchues.
Elle était devant moi, à moitié nue, elle dégageait la même odeur aphrodisiaque que ses filles, je n’ai pas pu me retenir, j’ai sorti mon chibre et je l’ai enfoncé en elle.
Pour une vieille de huit cents ans elle était très bonne, je la bisais comme une chienne, et elle semblait aimer ça, je sentais ses muscles intimes se contracter au rythme de son plaisir, c’étais merveilleux, d’un coup, j’ai senti comme une aspiration, j’étais aspiré par son sexe c’étais tellement fort que j’ai rapidement jouis en elle.
Mon sperme a eut un effet très bizarre, alors qu’elle était en pleine jouissance a m’aspirer, elle s’est mise a crier de douleur, je me suis senti repoussé violemment, m’obligeant a me retirer de cette antre si agréable et j’ai vu son sexe se mettre a fumer, puis se consumer alors qu’elle n’arrêtais pas de crier. Au bout d’une minute elle s’est tue et son corps agité de soubresauts s’est entièrement embrasé.
La grande prêtresse est partie en fumée.
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