RÊVE OU MAGIE 8

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : RÊVE OU MAGIE 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2013 dans la catégorie A dormir debout
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RÊVE OU MAGIE 8
Chapitre 8Nous sommes partis tous les trois dans la chambre de Christine, elle dormait profondément. Lisa m’a dit- Vas-y tout seul, nous te regardons faire.
Je me suis approché en silence du lit, elle était en partie découverte et son opulente poitrine pointait vers le plafond, je me suis agenouillé à coté du lit pour téter énergiquement le plus proche pendant que je caressais l’autre doucement de ma main. Elle s’est mise à gémir doucement de plaisir. Marie s’est approchée et a tiré sur la couverture, elle m’est apparue dans la splendeur de sa nudité, elle aussi était magnifique et son ventre tendu, dilaté, lui donnais un je ne sais quoi encore plus excitant. Ma main a quitté son nichon pour caresser sa touffe, instinctivement elle a écarté les jambes et mes doigts sont entrés en elle. Ses gémissements se sont petit a petit transformés en râles puis elle s’est cambrée et un jet de mouille est parti de son sexe pour inonder le visage de Marie qui me regardais faire. Elle a ouvert les yeux, je suis passé sur elle et je l’ai pénétré. Elle s’est un peu débattue au début puis le plaisir l’a emporté, ses jambes se sont refermées dans mon dos, ses mains appuyaient sur mes fesses pour que je m’enfonce encore plus en elle et elle s’est mise a crier son plaisir. J’ai continué mes allers et venus en elle, Marie me léchait les couilles en se caressant pendant que Lisa se caressait juste devant mes yeux. J’ai encore résisté un petit moment puis j’ai lâché la purée avec des grognements de satisfaction.
Au bout d’un petit moment j’ai rompu le silence- Les filles, c’étais merveilleux mais vous avez perdue votre matinée, il est déjà quinze heure, pour aujourd’hui je croie que c’est foutu pour votre travail.
- Peut être pas, pourrais-tu nous aider avec ton tracteur, il y a un gros bloc que nous n’arrivons pas a faire bouger si tu pouvais le dégager, nous aurions gagné beaucoup de temps.
Je ne pouvais pas refuser après le plaisir qu’elles venaient de me donner. Une bonne heure après, j’étais aux commandes de mon engin dans les ruines a dégagé les rochers qu’elles m’indiquaient.
Après un bon moment, elles m’ont montré un rocher énorme en me disant- Voila, encore celui là et c’est fini.
J’ai mis un bon moment pour l’attacher avec des chaines puis j’ai essayé de le lever avec le bras du tracteur. Malgré la puissance de mon engin, le rocher n’a pas bougé. Comme je n’arrivais pas à le soulever, Marie a dit :- Tire le en force, il suffi de le déplacer de deux mètres pour que nous puissions passer.
J’ai engagé la marche arrière courte, j’ai fait rugir le moteur, et enfin il s’est déplacé. Lisa s’est approchée du trou qu’il recouvrait et a crié :- Ça y est, je vois l’escalier.
J’ai encore tiré un peu pour bien dégager l’entrée puis j’ai coupé le moteur et j’ai pris mon projecteur. Nous sommes descendu le long de cet escalier pour atteindre une première salle, c’étais une chapelle, sous le faisceau de mon projecteur, nous avons pu admirer les sculptures, les tableaux, tout y était intact. Derrière l’hôtel, une lourde porte en bois, nous i sommes allé, elle donnait dans une sorte de bibliothèque, tout semblait en place et intact, nous avons allumé les lampes a huile qui devais servir a l’éclairage de ce site, j’éteins mon projecteur, la lumière jaune de ces petites flammes donne des formes surréalistes a cette pièce. Pendant que les filles regardaient les livres j’ouvre une porte, longe un long couloir, tout le long des portes, j’en ouvre une, c’est une cellule, trois mètres sur trois environ, une sorte da lit en bois, une table, une chaise, c’est tout. Je reprends le couloir, au fond, une autre porte, j’entre, regarde, c’est comme une salle d’opération, contre le mur des instruments bizarre, au centre une table avec des sangles. Je continue ma progression dans ce sous-sol, tout parait intact, au fond de la pièce un autre couloir, d’autres cellules plus petites ce coup ci, sans tables ni chaises ni matelas mais avec des anneaux au mur et des chaines sur le sol. Je continue ma progression, une nouvelle porte, je l’ouvre pour tomber sur un éboulis de rocher. Je retourne sur mes pas, retrouve les filles, elles sont plongées dans la lecture de manuscrits, je les fais réagir :- Et les filles, il est presque minuit, il faut rentrer, vous reviendrais demain.
Nous sommes très vite rentrés tous les quatre dans le tracteur puis nous sommes partis nous coucher. Au moment ou j’allais m’endormir, j’ai senti une présence dans ma chambre, doucement j’ai tendu le bras et allumé ma lampe de chevet, c’étais Marie, entièrement nue à coté de mon lit.
- Tu me fais une place, j’ai froid.
J’ai ouvert la couverture, elle s’est précipité pour se blottir contre moi. Après avoir éteins la lumière, j’ai senti ses mains sur mon sexe, elle me caressait doucement. Je me suis mis à bander, elle est venue sur moi et s’est empalé puis s’est immobilisée. J’ai enserré sa grosse taille dans mes bras et je me suis activé pour faire monter le plaisir. Elle m’a chevauché longtemps avant que j’explose en elle, nous nous sommes endormis, l’un sur l’autre, complètement épuisé par l’orgasme qui nous a ravagé.
Mon réveil a sonné, 6 heures, il faut se lever pour soigner les bêtes, malgré la fatigue due au manque de sommeil vu la folle nuit que je venais de passer, je la pousse sur le coté et me lève la laissant dormir. Rapidement je me prépare pour une nouvelle journée de travail. Quand je rentre le soir, elles ne sont pas encore revenues. Je m’active, prépare le repas et les attend.
Vingt deux heures, elles ne sont toujours pas la, je m’inquiète un peu, avec mon projecteur, je pars vers les ruines a leur rencontre. Je descends l’escalier, toutes les lampes et les cierges sont allumés mais je ne les trouve pas. Je passe plus d’une heure à les chercher, je ne trouve personne. Ou peuvent-elles bien être. J’abandonne mes recherches, et rentre à la maison me coucher.

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Texte coquin : RÊVE OU MAGIE 8
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