RÉVEIL D’UNE LIBERTINE – Une infirmière en Beauce 08
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2016 dans la catégorie Plus on est
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RÉVEIL D’UNE LIBERTINE – Une infirmière en Beauce 08
RÉVEIL D’UNE LIBERTINE – Une infirmière en Beauce 08
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Valérie commence à faire surface au petit matin. Hervé n’a pas dormi, il a posé un plaid sur le corps de son épouse, profondément endormie sur le tapis en haute laine qui recouvre heureusement ce coin du salon. Elle ouvre les yeux et voit son mari parfaitement habillé qui la regarde amoureusement. Tout à coup, elle réalise dans quel état elle est, pratiquement nue et la réalité lui saute au visage.
« Oh ! Comme j’ai honte, qu’ai-je fait, que m’as tu fait faire. C’est affreux, je ne m’en remettrai jamais »
Et elle éclate en sanglots. Hervé la prend dans ses bras et lui dit :
« Mon Amour, je t’aime encore plus à présent. Tu ne peux nier que tu as joui comme jamais cela ne t’était jamais arrivé. Tu as embrassé et tu t’es fait baiser par Cédric sans aucune restriction et tu as pris un plaisir fou. D’ailleurs, il a bien l’intention de te baiser encore aujourd’hui et il faut que tu te dépêches de faire ta toilette, car il ne va pas tarder »
Valérie le regardant avec stupéfaction, se demande si son mari n’est pas devenu fou. Pourtant, il n’a pas l’air de plaisanter, car dégrafant son pantalon, il en sort une verge bien raide et s’approchant de son épouse, il lui ordonne.
« Suce ma chérie, car après Cédric va te prendre encore dans ton con dégoulinant, j’en suis sûr ma salope d’amour »
Valérie, tétanisée par ce que son époux ose lui dire, s’exécute sans réfléchir, enfouissant la verge entre ses lèvres. Elle a l’impression d’être de nouveau avec Serge, son premier amant qui la traitait ainsi. Elle réalise avec surprise que cela lui a manqué et qu’Hervé a été bien trop gentil avec elle, ne sachant pas lui imposer ses envies.
Bien entendu, Hervé ne peut résister très longtemps à la fellation savante que lui octroie son épouse et il se répand avec un rugissement de fauve dans la bouche qui avale sa semence sans sourciller. Le couple remonte dans leur suite pour faire l’un et l’autre une toilette dont ils ont grand besoin. Hervé passe un jogging, car il a l’intention d’aller courir et dans la discussion qu’il a eue avec son patron, il s’est engagé à laisser Valérie à sa disposition toute la matinée, sans la prévenir. Celle-ci, innocente, s’habille d’une jupe ample achetée à Paris de couleur tabac, ainsi que d’un corsage crème au décolleté bateau. Des bas jarretières de couleur chair, une culotte et un soutien-gorge en soie marron complètent sa tenue. C’est à ce moment, que l’on frappe à la porte de leur suite.
Cédric, entre alors que Valérie pâlit, la honte lui monte instantanément au front. Pourtant, le sexagénaire serre tranquillement la main d’Hervé, puis s’approchant de Valérie, il la prend dans ses bras et l’embrasse sur la bouche, sans que celle-ci ait la volonté de se défendre. D’ailleurs, voulant affermir son emprise, il lui pelote la poitrine sans vergogne à travers le corsage et, retroussant la jupe d’une main, il fourre ses doigts dans l’entrecuisse, et les frotte contre la vulve à travers le tissu soyeux. La pauvre mère de famille gémit sous cette attaque soudaine, alors qu’Hervé s’est laissé choir dans un fauteuil, et contemple avec étonnement, mais aussi avec une certaine excitation, sa femme se faire trousser devant lui. Son souhait se réalise, au-delà de ce qu’il espérait, car Valérie, subjuguée par l’autorité dont fait preuve Cédric, ne proteste même plus, elle plie légèrement les genoux et écartes les cuisses pour faciliter la main du bel homme qui la masturbe devant son mari. Tout à coup, elle a plusieurs spasmes de jouissance et l’orgasme déferle en elle. Cédric la soutient et la dispose doucement sur un des canapés.
Elle reprend peu à peu ses esprits, regardant les deux hommes qui la contemplent avec une certaine bienveillance. Cédric, se dégrafant, sort du pantalon une verge impressionnante, puis, il s’approche de Valérie, et lui ordonne.
« Je pense que vous devriez prendre mon sucre d’orge en bouche ma Chère Valérie, votre mari m’a dit que vous êtes une suceuse hors pair et que vous adorez lui tailler une pipe »
Valérie, hésitante, jette un coup d’œil à son mari, qui lui fait un signe d’assentiment. Alors elle prend cette verge qui l’a pénétrée en elle cette nuit et elle essaie de la faire entrer dans sa bouche qu’elle ouvre le plus possible. Le mandrin est énorme, au moins le double de celui de son mari et avec sa langue, elle a beaucoup de difficulté à en faire le tour. Elle n’a jamais éprouvé de répulsion à téter un vit, depuis que Serge son premier amant, l’a habituée toute jeune à cette pratique. Elle éprouve même une certaine exaltation à goûter ce membre de chair qui palpite au fond de sa gorge. Sa langue virevolte autour du gland bien décapuchonné qui tressaute sous la caresse précise. Elle s’infiltre même dans le méat qui laisse s’écouler un léger filet de liquide pré séminal. Valérie, même si elle ne trouve pas au sperme un goût succulent, accepte à présent de l’avaler, aussi, lorsque Cédric crache sa liqueur, elle absorbe la sève abondante qu’il éjecte jusqu’au fond de sa gorge et l’ingurgite sans hésitation.
Hervé se lève et vient l’embrasser, mélangeant sa langue au foutre de Cédric sans aucune hésitation. Puis, il lui dit qu’il va courir et qu’il lui souhaite plein de bonnes choses avec Cédric qui va la faire encore jouir. Valérie se sent complètement perdue bien qu’elle ait reçu l’aval de son époux pour se faire baiser par cet amant improbable. Elle ne peut nier que le Baron d’Avesgaud, avec son audacieuse assurance de sexagénaire, ses traits virils et sa stature impressionnante lui plaît et qu’elle fond entre ses bras. D’ailleurs, lorsqu’il l’enlace et l’entraine à travers le château, elle se laisse conduire, ayant presque oublié son état de femme mariée fidèle jusqu’à cette nuit de folie. Elle est tout de même consciente, que c’est son époux qui l’a mise dans les bras du beau Cédric et tout a coup se souvenant qu’Hervé et Cédric ont réussi à entrer, chacun leur pénis en même temps dans sa fente, elle a une brève jouissance, sa grotte s’humidifie aussitôt.
Cédric l’entraine dans ses appartements. Elle est troublée par le luxe et la beauté des pièces qu’ils traversent. Dans la chambre du maître, un grand lit à baldaquin aux tentures bleu roi, trône au milieu de la pièce immense. Cédric prend place sur un grand fauteuil recouvert du même velours que les tentures, demande à Valérie de s’asseoir sur ses genoux. Tout en l’embrassant, il retrousse la jupe, lui palpe l’entrejambe et découvre l’humidité de la culotte.
« Vous avez le culot de mouiller votre culotte sans mon autorisation. Vous méritez une bonne fessée petite pute ! Allons debout, retournez-vous et mettez-vous à plat ventre sur mes genoux ! »
Valérie est interloquée, mais elle obéit sans protester. Cédric lui retrousse la jupe, jusqu’au bas du dos, puis descend à demi la culotte sur le haut des cuisses. Il caresse d’abord le derrière joufflu de sa proie, donnant de petites tapes sur chacun des globes exposés, pour enfin, claquer régulièrement les fesses, d’abord modérément, puis de plus en plus fort. Valérie au début gémit, mais à présent que sa croupe est devenue rouge cerise, elle crie véritablement et pleure à chaudes larmes. Le Baron ne lui fait pas de cadeau et il frappe régulièrement le postérieur rebondi qui n’en demandait pas tant. Lorsque Cédric cesse sa correction, le cul est strié des marques de doigts d’un beau rouge sang. Il entreprend de masser et de caresser les fesses, apaisant le feu des claques appliquées. Puis, passant la main sous le corps de Valérie, il vient caresser l’orifice de la vulve qu’il trouve complètement détrempé.
« Eh ! Bien ma Chérie, tu mouilles de plus en plus. La fessée t’a beaucoup plu, il me semble. Je suis sûr que tu as envie que je te baise ma belle. Ou plutôt, tu vas te baiser toute seule sur ma bite ma petite salope. Allez, viens sur moi »
Ce faisant, il redresse Valérie, lui arrache sa jupe et sa culotte et lui demande de monter à califourchon sur lui et de venir enfourner le vit qu’il a dégagé de son pantalon, dans sa conque à présent béante. C’est une position que Valérie adore prendre avec son mari, elle ne se fait pas prier et elle fait glisser la verge du Baron dans son puits d’amour. Lorsqu’elle s’enfonce le pieu énorme dans le vagin, il peine à écarter les chairs heureusement imbibées de ses sucs intimes. Elle ressent un immense bien-être à faire des va-et-vient sur ce bâton de chair noueux qui la fait vibrer et lui fait éprouver une jouissance continue. Elle a déjà eu deux orgasmes, lorsque Cédric éjecte sa sève au fond de la matrice, Valérie, devenant un pantin désarticulé entre ses bras.
Valérie ne l’a pas vu, mais Paul a filmé et pris des photos de toute cette scène depuis un paravent. Laissant ses appareils cachés, il rejoint Cédric qui n’est absolument pas gêné.
« Tu vois Paul, notre Valérie est complètement épuisée. Cette petite salope a trop donné de sa personne, mais elle en veut encore, tu peux me croire, tu vas d’ailleurs pouvoir en profiter »
Valérie se redresse, effarée de ce qu’elle vient d’entendre en voyant Paul tout près d’elle, elle est morte de honte qu’il la voit dans cette position dégradante, presque nue à part le haut. Mais celui-ci ne se démonte pas. Il la prend à bras-le-corps et la dégage de Cédric, la remettant debout. Il prend le haut de son corsage à deux mains, le lui arrache d’un coup sec, et dégrafe son soutien-gorge avant qu’elle ait pu esquisser le moindre geste. Valérie est sidérée de subir de tels agissements de l’ami de son mari, celui à qui il doit tout, notamment son poste à la banque. Ce colonel si courtois avec elle, surtout lors de leur escapade à Paris pour choisir justement des vêtements pour ce week-end. Qu’il se conduise ainsi comme un soudard et devant Cédric qui ne dit rien, mais justement celui-ci s’adresse à elle.
« Ma petite putain, tu vas être bien gentille avec mon ami Paul, après lui avoir fait une turlutte, il va te caresser et te bouffer la chatte pour qu’il ait le temps de se remettre en forme et après, il te baisera ma Chérie, en levrette, comme il aime »
Valérie est plus mortifiée du mot putain que de devoir être possédée par ce vieillard. Après tout, puisque son mari veut la partager, après Cédric, Paul est loin d’être repoussant malgré son âge. Maintenant qu’elle se vautre dans le stupre, il faudra bien qu’elle s’habitue. Le principal, c’est qu’elle ne perde pas son mari et que son entourage ne soit pas au courant.
Cédric après s’être douché et habillé les laisse tous les deux dans sa chambre. Après avoir sucé à genoux, la verge de Paul, pas aussi impressionnante que celle de Cédric, mais tout de même d’une taille honorable et avoir avalé son sperme, Valérie se prête aux exigences du colonel qui veut voir et déguster sa moule. Malgré son humiliation, elle ouvre le compas de ses jambes, pour que cet homme puisse scruter son intimité dans le moindre détail, et que ses doigts viennent effleurer, toucher, palper, tâter, tripoter, manipuler, malaxer, pétrir et doigter son pubis, sa vulve, ses grandes et petites lèvres, les chairs profondes du vagin et le clitoris si sensible. À cette évocation, le flot de mouille qui avait déjà envahi son intimité redouble, alors que Paul lui fait tout ce qu’elle attend, il hume l’odeur caractéristique de son intimité de femme excitée, il lèche, tête, gobe, happe, dévore la pulpe vaginale, absorbant les sucs intimes, lapant et avalant la mouille onctueuse qui s’échappe de la chatte mature.
Valérie se tord en tout sens, la sensation étant devenue trop forte, mais le colonel la tient fermement par ses bras agrippés autour des cuisses. Elle hurle maintenant son bonheur, hoquetant même et pleurant sous la jouissance inouïe et les orgasmes successifs qu’elle ressent. Elle est presque évanouie lorsqu’il la redresse et la dispose à plat ventre sur le lit. Il lui fait écarter les jambes pour la prendre en levrette. Il enfonce d’un coup son vit dans la moule largement déployée, il la pilonne violemment, la faisant crier de nouveau à la queue qui lui envahit le con en cadence. Enfin, Paul éjacule rudement dans la femme épuisée par les copulations successives et surtout par les jouissances er orgasmes éprouvés.
Lorsque Valérie retrouve son mari dans leur suite, elle s’écroule, anéantie par les fornications auxquelles elle s’est prêtée, ayant le temps de lui demander tout de même s’il l’aime encore ? Rassurée par sa réponse et ses baisers, elle s’endort d’un sommeil de plomb jusqu’au soir. Vers 19 heures, Cédric et Paul s’étant absentés, le couple reprend la route de Chartres.
Peut-être les retrouverons-nous un jour. Qui sait ?....
F I N
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.
Valérie commence à faire surface au petit matin. Hervé n’a pas dormi, il a posé un plaid sur le corps de son épouse, profondément endormie sur le tapis en haute laine qui recouvre heureusement ce coin du salon. Elle ouvre les yeux et voit son mari parfaitement habillé qui la regarde amoureusement. Tout à coup, elle réalise dans quel état elle est, pratiquement nue et la réalité lui saute au visage.
« Oh ! Comme j’ai honte, qu’ai-je fait, que m’as tu fait faire. C’est affreux, je ne m’en remettrai jamais »
Et elle éclate en sanglots. Hervé la prend dans ses bras et lui dit :
« Mon Amour, je t’aime encore plus à présent. Tu ne peux nier que tu as joui comme jamais cela ne t’était jamais arrivé. Tu as embrassé et tu t’es fait baiser par Cédric sans aucune restriction et tu as pris un plaisir fou. D’ailleurs, il a bien l’intention de te baiser encore aujourd’hui et il faut que tu te dépêches de faire ta toilette, car il ne va pas tarder »
Valérie le regardant avec stupéfaction, se demande si son mari n’est pas devenu fou. Pourtant, il n’a pas l’air de plaisanter, car dégrafant son pantalon, il en sort une verge bien raide et s’approchant de son épouse, il lui ordonne.
« Suce ma chérie, car après Cédric va te prendre encore dans ton con dégoulinant, j’en suis sûr ma salope d’amour »
Valérie, tétanisée par ce que son époux ose lui dire, s’exécute sans réfléchir, enfouissant la verge entre ses lèvres. Elle a l’impression d’être de nouveau avec Serge, son premier amant qui la traitait ainsi. Elle réalise avec surprise que cela lui a manqué et qu’Hervé a été bien trop gentil avec elle, ne sachant pas lui imposer ses envies.
Bien entendu, Hervé ne peut résister très longtemps à la fellation savante que lui octroie son épouse et il se répand avec un rugissement de fauve dans la bouche qui avale sa semence sans sourciller. Le couple remonte dans leur suite pour faire l’un et l’autre une toilette dont ils ont grand besoin. Hervé passe un jogging, car il a l’intention d’aller courir et dans la discussion qu’il a eue avec son patron, il s’est engagé à laisser Valérie à sa disposition toute la matinée, sans la prévenir. Celle-ci, innocente, s’habille d’une jupe ample achetée à Paris de couleur tabac, ainsi que d’un corsage crème au décolleté bateau. Des bas jarretières de couleur chair, une culotte et un soutien-gorge en soie marron complètent sa tenue. C’est à ce moment, que l’on frappe à la porte de leur suite.
Cédric, entre alors que Valérie pâlit, la honte lui monte instantanément au front. Pourtant, le sexagénaire serre tranquillement la main d’Hervé, puis s’approchant de Valérie, il la prend dans ses bras et l’embrasse sur la bouche, sans que celle-ci ait la volonté de se défendre. D’ailleurs, voulant affermir son emprise, il lui pelote la poitrine sans vergogne à travers le corsage et, retroussant la jupe d’une main, il fourre ses doigts dans l’entrecuisse, et les frotte contre la vulve à travers le tissu soyeux. La pauvre mère de famille gémit sous cette attaque soudaine, alors qu’Hervé s’est laissé choir dans un fauteuil, et contemple avec étonnement, mais aussi avec une certaine excitation, sa femme se faire trousser devant lui. Son souhait se réalise, au-delà de ce qu’il espérait, car Valérie, subjuguée par l’autorité dont fait preuve Cédric, ne proteste même plus, elle plie légèrement les genoux et écartes les cuisses pour faciliter la main du bel homme qui la masturbe devant son mari. Tout à coup, elle a plusieurs spasmes de jouissance et l’orgasme déferle en elle. Cédric la soutient et la dispose doucement sur un des canapés.
Elle reprend peu à peu ses esprits, regardant les deux hommes qui la contemplent avec une certaine bienveillance. Cédric, se dégrafant, sort du pantalon une verge impressionnante, puis, il s’approche de Valérie, et lui ordonne.
« Je pense que vous devriez prendre mon sucre d’orge en bouche ma Chère Valérie, votre mari m’a dit que vous êtes une suceuse hors pair et que vous adorez lui tailler une pipe »
Valérie, hésitante, jette un coup d’œil à son mari, qui lui fait un signe d’assentiment. Alors elle prend cette verge qui l’a pénétrée en elle cette nuit et elle essaie de la faire entrer dans sa bouche qu’elle ouvre le plus possible. Le mandrin est énorme, au moins le double de celui de son mari et avec sa langue, elle a beaucoup de difficulté à en faire le tour. Elle n’a jamais éprouvé de répulsion à téter un vit, depuis que Serge son premier amant, l’a habituée toute jeune à cette pratique. Elle éprouve même une certaine exaltation à goûter ce membre de chair qui palpite au fond de sa gorge. Sa langue virevolte autour du gland bien décapuchonné qui tressaute sous la caresse précise. Elle s’infiltre même dans le méat qui laisse s’écouler un léger filet de liquide pré séminal. Valérie, même si elle ne trouve pas au sperme un goût succulent, accepte à présent de l’avaler, aussi, lorsque Cédric crache sa liqueur, elle absorbe la sève abondante qu’il éjecte jusqu’au fond de sa gorge et l’ingurgite sans hésitation.
Hervé se lève et vient l’embrasser, mélangeant sa langue au foutre de Cédric sans aucune hésitation. Puis, il lui dit qu’il va courir et qu’il lui souhaite plein de bonnes choses avec Cédric qui va la faire encore jouir. Valérie se sent complètement perdue bien qu’elle ait reçu l’aval de son époux pour se faire baiser par cet amant improbable. Elle ne peut nier que le Baron d’Avesgaud, avec son audacieuse assurance de sexagénaire, ses traits virils et sa stature impressionnante lui plaît et qu’elle fond entre ses bras. D’ailleurs, lorsqu’il l’enlace et l’entraine à travers le château, elle se laisse conduire, ayant presque oublié son état de femme mariée fidèle jusqu’à cette nuit de folie. Elle est tout de même consciente, que c’est son époux qui l’a mise dans les bras du beau Cédric et tout a coup se souvenant qu’Hervé et Cédric ont réussi à entrer, chacun leur pénis en même temps dans sa fente, elle a une brève jouissance, sa grotte s’humidifie aussitôt.
Cédric l’entraine dans ses appartements. Elle est troublée par le luxe et la beauté des pièces qu’ils traversent. Dans la chambre du maître, un grand lit à baldaquin aux tentures bleu roi, trône au milieu de la pièce immense. Cédric prend place sur un grand fauteuil recouvert du même velours que les tentures, demande à Valérie de s’asseoir sur ses genoux. Tout en l’embrassant, il retrousse la jupe, lui palpe l’entrejambe et découvre l’humidité de la culotte.
« Vous avez le culot de mouiller votre culotte sans mon autorisation. Vous méritez une bonne fessée petite pute ! Allons debout, retournez-vous et mettez-vous à plat ventre sur mes genoux ! »
Valérie est interloquée, mais elle obéit sans protester. Cédric lui retrousse la jupe, jusqu’au bas du dos, puis descend à demi la culotte sur le haut des cuisses. Il caresse d’abord le derrière joufflu de sa proie, donnant de petites tapes sur chacun des globes exposés, pour enfin, claquer régulièrement les fesses, d’abord modérément, puis de plus en plus fort. Valérie au début gémit, mais à présent que sa croupe est devenue rouge cerise, elle crie véritablement et pleure à chaudes larmes. Le Baron ne lui fait pas de cadeau et il frappe régulièrement le postérieur rebondi qui n’en demandait pas tant. Lorsque Cédric cesse sa correction, le cul est strié des marques de doigts d’un beau rouge sang. Il entreprend de masser et de caresser les fesses, apaisant le feu des claques appliquées. Puis, passant la main sous le corps de Valérie, il vient caresser l’orifice de la vulve qu’il trouve complètement détrempé.
« Eh ! Bien ma Chérie, tu mouilles de plus en plus. La fessée t’a beaucoup plu, il me semble. Je suis sûr que tu as envie que je te baise ma belle. Ou plutôt, tu vas te baiser toute seule sur ma bite ma petite salope. Allez, viens sur moi »
Ce faisant, il redresse Valérie, lui arrache sa jupe et sa culotte et lui demande de monter à califourchon sur lui et de venir enfourner le vit qu’il a dégagé de son pantalon, dans sa conque à présent béante. C’est une position que Valérie adore prendre avec son mari, elle ne se fait pas prier et elle fait glisser la verge du Baron dans son puits d’amour. Lorsqu’elle s’enfonce le pieu énorme dans le vagin, il peine à écarter les chairs heureusement imbibées de ses sucs intimes. Elle ressent un immense bien-être à faire des va-et-vient sur ce bâton de chair noueux qui la fait vibrer et lui fait éprouver une jouissance continue. Elle a déjà eu deux orgasmes, lorsque Cédric éjecte sa sève au fond de la matrice, Valérie, devenant un pantin désarticulé entre ses bras.
Valérie ne l’a pas vu, mais Paul a filmé et pris des photos de toute cette scène depuis un paravent. Laissant ses appareils cachés, il rejoint Cédric qui n’est absolument pas gêné.
« Tu vois Paul, notre Valérie est complètement épuisée. Cette petite salope a trop donné de sa personne, mais elle en veut encore, tu peux me croire, tu vas d’ailleurs pouvoir en profiter »
Valérie se redresse, effarée de ce qu’elle vient d’entendre en voyant Paul tout près d’elle, elle est morte de honte qu’il la voit dans cette position dégradante, presque nue à part le haut. Mais celui-ci ne se démonte pas. Il la prend à bras-le-corps et la dégage de Cédric, la remettant debout. Il prend le haut de son corsage à deux mains, le lui arrache d’un coup sec, et dégrafe son soutien-gorge avant qu’elle ait pu esquisser le moindre geste. Valérie est sidérée de subir de tels agissements de l’ami de son mari, celui à qui il doit tout, notamment son poste à la banque. Ce colonel si courtois avec elle, surtout lors de leur escapade à Paris pour choisir justement des vêtements pour ce week-end. Qu’il se conduise ainsi comme un soudard et devant Cédric qui ne dit rien, mais justement celui-ci s’adresse à elle.
« Ma petite putain, tu vas être bien gentille avec mon ami Paul, après lui avoir fait une turlutte, il va te caresser et te bouffer la chatte pour qu’il ait le temps de se remettre en forme et après, il te baisera ma Chérie, en levrette, comme il aime »
Valérie est plus mortifiée du mot putain que de devoir être possédée par ce vieillard. Après tout, puisque son mari veut la partager, après Cédric, Paul est loin d’être repoussant malgré son âge. Maintenant qu’elle se vautre dans le stupre, il faudra bien qu’elle s’habitue. Le principal, c’est qu’elle ne perde pas son mari et que son entourage ne soit pas au courant.
Cédric après s’être douché et habillé les laisse tous les deux dans sa chambre. Après avoir sucé à genoux, la verge de Paul, pas aussi impressionnante que celle de Cédric, mais tout de même d’une taille honorable et avoir avalé son sperme, Valérie se prête aux exigences du colonel qui veut voir et déguster sa moule. Malgré son humiliation, elle ouvre le compas de ses jambes, pour que cet homme puisse scruter son intimité dans le moindre détail, et que ses doigts viennent effleurer, toucher, palper, tâter, tripoter, manipuler, malaxer, pétrir et doigter son pubis, sa vulve, ses grandes et petites lèvres, les chairs profondes du vagin et le clitoris si sensible. À cette évocation, le flot de mouille qui avait déjà envahi son intimité redouble, alors que Paul lui fait tout ce qu’elle attend, il hume l’odeur caractéristique de son intimité de femme excitée, il lèche, tête, gobe, happe, dévore la pulpe vaginale, absorbant les sucs intimes, lapant et avalant la mouille onctueuse qui s’échappe de la chatte mature.
Valérie se tord en tout sens, la sensation étant devenue trop forte, mais le colonel la tient fermement par ses bras agrippés autour des cuisses. Elle hurle maintenant son bonheur, hoquetant même et pleurant sous la jouissance inouïe et les orgasmes successifs qu’elle ressent. Elle est presque évanouie lorsqu’il la redresse et la dispose à plat ventre sur le lit. Il lui fait écarter les jambes pour la prendre en levrette. Il enfonce d’un coup son vit dans la moule largement déployée, il la pilonne violemment, la faisant crier de nouveau à la queue qui lui envahit le con en cadence. Enfin, Paul éjacule rudement dans la femme épuisée par les copulations successives et surtout par les jouissances er orgasmes éprouvés.
Lorsque Valérie retrouve son mari dans leur suite, elle s’écroule, anéantie par les fornications auxquelles elle s’est prêtée, ayant le temps de lui demander tout de même s’il l’aime encore ? Rassurée par sa réponse et ses baisers, elle s’endort d’un sommeil de plomb jusqu’au soir. Vers 19 heures, Cédric et Paul s’étant absentés, le couple reprend la route de Chartres.
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