Réveillon (3)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Réveillon (3)
Selon les règles qu’ils s’étaient fixées, pendant que d’un côté les mecs s’amusaient, Nina, Svetlana et Émilie prenaient aussi du bon temps.
Avant de rejoindre la chambre, les trois filles s’étaient ouvert une bouteille de vin et assises sur le canapé discutaient un peu. Émilie présenta Svetlana à Nina et lui raconta le week-end orgiaque qui s’était déroulé presqu’un an plus tôt.
Peu avare en détail Émilie s’amusait du récit des exploits sexuels de la bande. Ce qui eut pour effet immédiat de faire mouiller Nina. Déjà bien excitée avant, elle n’en pouvait désormais plus, sans préambule elle se mit nue, et debout devant les deux autres filles, se caressa.
— Je suis chaude les filles, dit-elle, vous m’avez trop excitée avec vos histoires, venez vous occuper de moi.
Émilie se leva, mais Svetlana la retint.
— Non, attends lui dit-elle et s’adressant à Nina, branle-toi, fait toi jouir toute seule, et après à s’occupera de toi. D’ailleurs on va toutes se branler avant de baiser.
Joignant le geste à la parole elle se déshabilla et commença à se masturber. Émilie en fit de même. Les trois filles assises les unes en face des autres se branlaient dans le salon, en se regardant. Nina fut la première à jouir, et continua à se caresser en contemplant le spectacle des deux autres se donnant du plaisir. Elle se dit que la soirée commençait bien, et que Svetlana était parfaite. Elle regrettait un peu de ne pas l’avoir connue plus tôt.
Quand Émilie eu joui à son tour Nina alla la rejoindre et l’embrassa à pleine bouche. Elle n’aurait jamais imaginé quelques mois plus tôt qu’elle prendrait autant de plaisir avec une femme. Elle ne renoncerait pas au plaisir d’une bite, surtout maintenant qu’elle avait découvert le sexe, le vrai, mais elle ne se sentait pas capable non plus de renoncer à une chatte.
Émilie lui rendit son baiser avec fougue, puis fit courir ses lèvres sur la peau nue de Nina, jusqu’à son sexe humide et ouvert. Sa langue s’inséra entre les lèvres de Nina, léchant son jus. Nina s’assit et posant ses mains sur la tête d’Émilie la guida. Nina sentit monter des frissons de plaisir. Cette sensation unique d’une bouche sur son sexe, d’une bouche de femme, connaissant par cœur les caresses à donner. Une boule de chaleur grossissait dans son ventre. Svetlana la regardait tout en se branlant. Son regard disait tout le désir qu’elle avait pour les deux femmes.
Elle était belle pensa Nina. Sa peau blanche, ses yeux bleus, sa blondeur, son sexe lisse comme une peau de bébé, ses seins rond et ferme. Elle paraissait innocente, pure, mais, après ce qu’Émilie avait raconté, elle n’était pas si pure que ça. Nina rêvait de gouter à son sexe, sucer ses seins, libérer la bête de sexe qui sommeillait sous cette apparence de douceur. Elle voulait être dominée par elle, être sa chose, sentir en elle les doigts fins de Svetlana, se faire prendre par elle sans résistance.
Émilie sentit le corps de Nina se tendre, se raidir, et dans sa bouche couler le jus de son amante alors qu’elle poussait un long cri de plaisir. Elle garda sa bouche collée au sexe ruisselant de Nina, buvant sa jouissance. Elle aimait faire jouir Nina avec sa bouche. Elle aimait être sa maitresse, son initiatrice, comme l’avait fait Sandra avec elle, cet été-là. De plus en plus elle aimait les femmes. Elle n’en avait connu que trois, Sandra lors de deux étés trop courts, premières expériences, premières émois, mais elle ne pensait pas qu’elle aimerait baiser avec une autre femme. Svetlana, lors du week-end orgiaque, et quelques fois après. Avec elle c’était plus intense, plus chaud, elle avait découvert un vrai appétit pour le sexe lesbien, de vrais désirs. Enfin Nina, celle qui aurait pu être une rivale, qui aurait pu lui piquer son mec, mais qu’elle avait acceptée dans sa vie. Celle qu’elle avait désiré au premier regard. Sans oser le dire, sans oser en parler à Nina, elle avait accepté de partager son homme dans l’espoir un jour de l’atteindre elle, de la mettre dans son lit, de la faire jouir. L’émotion qui la submergés quand Nina lui demanda de l’initier. Son cœur battait à tout rompre, son sexe s’ouvrait, coulait entre ses cuisses. Jamais elle n’avait véritablement désiré une femme avant Nina.
Émilie se recula en sentant une main se poser sur son épaule. Svetlana derrière elle lui souriait. Un sourire qui voulait dire j’ai envie de toi, j’ai envie de baiser. Émilie se releva, et prenant ses deux amies par la main les conduisit jusque dans la chambre. Elle écarta la couette, s’allongeât sur le lit, jambes écartées.
— À moi, dit-elle, faites-moi crier.
Svetlana s’avança, entrainant Nina avec elle. Elles se penchèrent sur Émilie. Nina l’embrassa, lui suçota les seins pendant que Svetlana la léchait. Bien que cela fasse moins d’un an qu’elles se connaissent, et qu’elles n’avaient pas dû se voir plus d’une demi-douzaine de fois, Svetlana se sentait proche d’Émilie comme d’une amie de longue date, plus encore que son ancienne amante Kristina. Quand elle était retournée au pays l’été précédent elle avait voulu la revoir elle n’avait pas reconnu la jeune femme. Elle n’avait pas pu parler à cette fille qui buvait trop, se droguait pour oublier les humiliations. Elle avait pleuré et était partie. Une part de sa vie venait de mourir. De retour en France, c’est dans les bras d’Émilie qu’elle s’était consolée.
La langue experte de Svetlana faisait des miracles et Émile sentit très vite monter un orgasme. Elle tenta de résister, de faire durer le plaisir, mais avec Nina qui l’embrassait, lui suçait les seins, il fut difficile de ne pas céder. Une vague de plaisir parcourut tout son corps. Elle agrippa les draps, se tordit de jouissance. Rien ne pouvait égaler ce plaisir, cette sensation. Cet abandon, cette libération.
— Je vais chercher des jouets, dit Émilie en se levant.
Elle quitta la chambre, Nina et Svetlana s’enlacèrent, s’embrassèrent, prêtes à reprendre leurs jeux. Nina avait déjà glissé un doigt en Svetlana, quand Émilie revint équipée de son gode ceinture. Sa bite noire se balançait alors qu’elle s’avançait vers les deux filles.
Sans un moment d’hésitation, Nina offrit sa croupe à Émilie et plongea entre les cuisses de Svetlana. Le sexe artificiel se glissa en elle. Elle laissait sa maitresse la baiser, tout en bouffant ce sexe lisse dont elle avait tant envie. Six mois plus tôt, elle aurait trouvé tout cela horrible. Secrètement, en se branlant pour compenser les lacunes sexuelles de son mec, elle aurait pu imaginer un tel scénario, mais elle n’aurait jamais osé s’avouer qu’elle en avait vraiment envie. Pourtant, un gode dans la chatte, bouffant une autre femme, elle se sentait heureuse, libre, accomplie. Elle ne pourrait jamais assez remercier ceux qui l’avaient délivré de sa triste vie. À peine 20 ans et déjà enfermée dans une routine de vieux, avec un mec sans désir pour elle. Prise entre Émilie et Svetlana elle se sentait femme.
Svetlana prit ses seins à pleine main quand elle sentit l’orgasme monter en elle. La petite Nina était douée, elle aimait ça en plus, elle ne lui léchait pas la chatte, elle la dévorait, l’avalait, en suçait les moindres recoins. Et Émilie qui la baisait en levrette était super bandante, super excitante. Elle jouit, presqu’en silence, avant de demander à son amie de la prendre par le cul.
Nina regarda Svetlana ouvrir ses fesses pour recevoir en elle le gode d’Émilie. Elle venait de la faire jouir avec sa langue et la belle blonde en voulait encore. Nina s’installa dans un coin de la chambre, assise par terre, elle admirait ses deux nanas en se branlant doucement. Émilie enculait Svetlana de sa bite noire. Svetlana poussait des petits cris de plaisir à chaque coup de reins. Sur son visage se lisait la jouissance d’être baisée ainsi. Nina aurait voulu être à sa place, jouir comme elle. Elle se glissa un doigt dans le cul, et se branla ses deux trous.
Sur le lit, tout en baisant Svetlana, Émilie regardait Nina. Plus le temps passait, plus elle la trouvait belle et désirable. La voir se masturber devant elle l’excita au plus haut point, et quand elle la vit se glisser un doigt dans l’anus pour se branler elle en eut presque un orgasme. Elle savait qu’elle était encore vierge de ce côté-là. Plusieurs fois Nina lui avait demandé si elle aimait se faire sodomiser, les sensations qu’elle éprouvait, si ça ne faisait pas mal. Tout un tas de questions qui laissait à penser qu’elle en avait envie. Elle lui avait même raconté son fantasme. Ce scénario qui devait la voir se faire enculer par leur mec après qu’il se soit fait prendre par Erwann.
Svetlana hurla de plaisir. Nina jouit. Et Émilie se retirant de la belle blonde proposa à Nina de l’enculer. Elle vu l’envie dans les yeux de celle-ci, ce désir de se faire prendre pour la première fois. Nina se leva, embrassa Émilie, caressa le gode qui sortait du cul de Svetlana, et s’allongea sur le lit. Écartant les fesses elle se dit prête pour Émilie.
Dans le salon les garçons les appelèrent. Il était presque minuit. Elle devrait attendre.
Avant de rejoindre la chambre, les trois filles s’étaient ouvert une bouteille de vin et assises sur le canapé discutaient un peu. Émilie présenta Svetlana à Nina et lui raconta le week-end orgiaque qui s’était déroulé presqu’un an plus tôt.
Peu avare en détail Émilie s’amusait du récit des exploits sexuels de la bande. Ce qui eut pour effet immédiat de faire mouiller Nina. Déjà bien excitée avant, elle n’en pouvait désormais plus, sans préambule elle se mit nue, et debout devant les deux autres filles, se caressa.
— Je suis chaude les filles, dit-elle, vous m’avez trop excitée avec vos histoires, venez vous occuper de moi.
Émilie se leva, mais Svetlana la retint.
— Non, attends lui dit-elle et s’adressant à Nina, branle-toi, fait toi jouir toute seule, et après à s’occupera de toi. D’ailleurs on va toutes se branler avant de baiser.
Joignant le geste à la parole elle se déshabilla et commença à se masturber. Émilie en fit de même. Les trois filles assises les unes en face des autres se branlaient dans le salon, en se regardant. Nina fut la première à jouir, et continua à se caresser en contemplant le spectacle des deux autres se donnant du plaisir. Elle se dit que la soirée commençait bien, et que Svetlana était parfaite. Elle regrettait un peu de ne pas l’avoir connue plus tôt.
Quand Émilie eu joui à son tour Nina alla la rejoindre et l’embrassa à pleine bouche. Elle n’aurait jamais imaginé quelques mois plus tôt qu’elle prendrait autant de plaisir avec une femme. Elle ne renoncerait pas au plaisir d’une bite, surtout maintenant qu’elle avait découvert le sexe, le vrai, mais elle ne se sentait pas capable non plus de renoncer à une chatte.
Émilie lui rendit son baiser avec fougue, puis fit courir ses lèvres sur la peau nue de Nina, jusqu’à son sexe humide et ouvert. Sa langue s’inséra entre les lèvres de Nina, léchant son jus. Nina s’assit et posant ses mains sur la tête d’Émilie la guida. Nina sentit monter des frissons de plaisir. Cette sensation unique d’une bouche sur son sexe, d’une bouche de femme, connaissant par cœur les caresses à donner. Une boule de chaleur grossissait dans son ventre. Svetlana la regardait tout en se branlant. Son regard disait tout le désir qu’elle avait pour les deux femmes.
Elle était belle pensa Nina. Sa peau blanche, ses yeux bleus, sa blondeur, son sexe lisse comme une peau de bébé, ses seins rond et ferme. Elle paraissait innocente, pure, mais, après ce qu’Émilie avait raconté, elle n’était pas si pure que ça. Nina rêvait de gouter à son sexe, sucer ses seins, libérer la bête de sexe qui sommeillait sous cette apparence de douceur. Elle voulait être dominée par elle, être sa chose, sentir en elle les doigts fins de Svetlana, se faire prendre par elle sans résistance.
Émilie sentit le corps de Nina se tendre, se raidir, et dans sa bouche couler le jus de son amante alors qu’elle poussait un long cri de plaisir. Elle garda sa bouche collée au sexe ruisselant de Nina, buvant sa jouissance. Elle aimait faire jouir Nina avec sa bouche. Elle aimait être sa maitresse, son initiatrice, comme l’avait fait Sandra avec elle, cet été-là. De plus en plus elle aimait les femmes. Elle n’en avait connu que trois, Sandra lors de deux étés trop courts, premières expériences, premières émois, mais elle ne pensait pas qu’elle aimerait baiser avec une autre femme. Svetlana, lors du week-end orgiaque, et quelques fois après. Avec elle c’était plus intense, plus chaud, elle avait découvert un vrai appétit pour le sexe lesbien, de vrais désirs. Enfin Nina, celle qui aurait pu être une rivale, qui aurait pu lui piquer son mec, mais qu’elle avait acceptée dans sa vie. Celle qu’elle avait désiré au premier regard. Sans oser le dire, sans oser en parler à Nina, elle avait accepté de partager son homme dans l’espoir un jour de l’atteindre elle, de la mettre dans son lit, de la faire jouir. L’émotion qui la submergés quand Nina lui demanda de l’initier. Son cœur battait à tout rompre, son sexe s’ouvrait, coulait entre ses cuisses. Jamais elle n’avait véritablement désiré une femme avant Nina.
Émilie se recula en sentant une main se poser sur son épaule. Svetlana derrière elle lui souriait. Un sourire qui voulait dire j’ai envie de toi, j’ai envie de baiser. Émilie se releva, et prenant ses deux amies par la main les conduisit jusque dans la chambre. Elle écarta la couette, s’allongeât sur le lit, jambes écartées.
— À moi, dit-elle, faites-moi crier.
Svetlana s’avança, entrainant Nina avec elle. Elles se penchèrent sur Émilie. Nina l’embrassa, lui suçota les seins pendant que Svetlana la léchait. Bien que cela fasse moins d’un an qu’elles se connaissent, et qu’elles n’avaient pas dû se voir plus d’une demi-douzaine de fois, Svetlana se sentait proche d’Émilie comme d’une amie de longue date, plus encore que son ancienne amante Kristina. Quand elle était retournée au pays l’été précédent elle avait voulu la revoir elle n’avait pas reconnu la jeune femme. Elle n’avait pas pu parler à cette fille qui buvait trop, se droguait pour oublier les humiliations. Elle avait pleuré et était partie. Une part de sa vie venait de mourir. De retour en France, c’est dans les bras d’Émilie qu’elle s’était consolée.
La langue experte de Svetlana faisait des miracles et Émile sentit très vite monter un orgasme. Elle tenta de résister, de faire durer le plaisir, mais avec Nina qui l’embrassait, lui suçait les seins, il fut difficile de ne pas céder. Une vague de plaisir parcourut tout son corps. Elle agrippa les draps, se tordit de jouissance. Rien ne pouvait égaler ce plaisir, cette sensation. Cet abandon, cette libération.
— Je vais chercher des jouets, dit Émilie en se levant.
Elle quitta la chambre, Nina et Svetlana s’enlacèrent, s’embrassèrent, prêtes à reprendre leurs jeux. Nina avait déjà glissé un doigt en Svetlana, quand Émilie revint équipée de son gode ceinture. Sa bite noire se balançait alors qu’elle s’avançait vers les deux filles.
Sans un moment d’hésitation, Nina offrit sa croupe à Émilie et plongea entre les cuisses de Svetlana. Le sexe artificiel se glissa en elle. Elle laissait sa maitresse la baiser, tout en bouffant ce sexe lisse dont elle avait tant envie. Six mois plus tôt, elle aurait trouvé tout cela horrible. Secrètement, en se branlant pour compenser les lacunes sexuelles de son mec, elle aurait pu imaginer un tel scénario, mais elle n’aurait jamais osé s’avouer qu’elle en avait vraiment envie. Pourtant, un gode dans la chatte, bouffant une autre femme, elle se sentait heureuse, libre, accomplie. Elle ne pourrait jamais assez remercier ceux qui l’avaient délivré de sa triste vie. À peine 20 ans et déjà enfermée dans une routine de vieux, avec un mec sans désir pour elle. Prise entre Émilie et Svetlana elle se sentait femme.
Svetlana prit ses seins à pleine main quand elle sentit l’orgasme monter en elle. La petite Nina était douée, elle aimait ça en plus, elle ne lui léchait pas la chatte, elle la dévorait, l’avalait, en suçait les moindres recoins. Et Émilie qui la baisait en levrette était super bandante, super excitante. Elle jouit, presqu’en silence, avant de demander à son amie de la prendre par le cul.
Nina regarda Svetlana ouvrir ses fesses pour recevoir en elle le gode d’Émilie. Elle venait de la faire jouir avec sa langue et la belle blonde en voulait encore. Nina s’installa dans un coin de la chambre, assise par terre, elle admirait ses deux nanas en se branlant doucement. Émilie enculait Svetlana de sa bite noire. Svetlana poussait des petits cris de plaisir à chaque coup de reins. Sur son visage se lisait la jouissance d’être baisée ainsi. Nina aurait voulu être à sa place, jouir comme elle. Elle se glissa un doigt dans le cul, et se branla ses deux trous.
Sur le lit, tout en baisant Svetlana, Émilie regardait Nina. Plus le temps passait, plus elle la trouvait belle et désirable. La voir se masturber devant elle l’excita au plus haut point, et quand elle la vit se glisser un doigt dans l’anus pour se branler elle en eut presque un orgasme. Elle savait qu’elle était encore vierge de ce côté-là. Plusieurs fois Nina lui avait demandé si elle aimait se faire sodomiser, les sensations qu’elle éprouvait, si ça ne faisait pas mal. Tout un tas de questions qui laissait à penser qu’elle en avait envie. Elle lui avait même raconté son fantasme. Ce scénario qui devait la voir se faire enculer par leur mec après qu’il se soit fait prendre par Erwann.
Svetlana hurla de plaisir. Nina jouit. Et Émilie se retirant de la belle blonde proposa à Nina de l’enculer. Elle vu l’envie dans les yeux de celle-ci, ce désir de se faire prendre pour la première fois. Nina se leva, embrassa Émilie, caressa le gode qui sortait du cul de Svetlana, et s’allongea sur le lit. Écartant les fesses elle se dit prête pour Émilie.
Dans le salon les garçons les appelèrent. Il était presque minuit. Elle devrait attendre.
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Aussi succulent que le jus qu'elles produisent en se masturbant.