Réveillon (4)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Réveillon (4)
Félix laissa les autres dans le salon, et alla dans la salle de bain prendre une douche. Erwann ne lui avait pas menti quand il lui avait parlé de sa sœur et de ses amis. De vrais fous de sexe. S’il avait déjà baisé avec deux mecs, une seule fois, jamais il n’avait participé à une partouze. Trois gars, trois filles. Tous bi. Enfin presque tous, lui n’avait jamais fait l’amour à une femme. Certes il s’était déjà fait sucer, une fois, par une cousine éloignée, lors d’un repas de famille interminable, pour les 80 ans d’un grand-oncle. C’était pas mal, même très bien, la cousine savait s’y prendre, et il avait même aimé lui jouir au visage. Mais depuis cette expérience, il n’avait pas touché une femme.
Félix laissa couler l’eau sur lui, tête posée contre le mur, il la laissait effacer la fatigue, la transpiration, les traces de foutre. Il se vidait la tête après s’être vidé les couilles.
— Tu baises avec mon frère depuis longtemps ?
Il coupa l’eau, ouvrit la porte de la douche et découvrit Émilie assise sur le lavabo. Erwann lui avait parlé du tempérament de feu de sa sœur, et même de leur secret. Ce matin où ils avaient cédé à leur désir mutuel et avaient fait l’amour ensemble. Erwann n’avait pas caché qu’il avait encore parfois envie de sa sœur. Félix ne jugeait pas et même comprenait en voyant Émilie, nue, jambe écartée, belle comme le jour, et transpirant le sexe.
— Ça fait deux mois qu’on se connait, à peu près autant qu’on baise, dit-il en attrapant une serviette pour s’essuyer.
— C’est un bon coup ?
— Tu dois le savoir, dit-il sans réfléchir et regrettant aussitôt.
Émilie se figea un instant. Elle repensa un instant à ce matin malheureux, mais délicieux. Erwann devait tenir à Félix s’il lui avait confié son secret. Elle hésita un moment, puis se leva et attrapa la serviette que Félix avait passée autour de ses hanches.
— Toi en tout cas tu es bien équipé, dit-elle en saisissant le sexe de Félix. Je comprends mon frère.
Félix sentit la main d’Émilie sur lui, et l’érection qui montait alors qu’elle le branlait.
— Tu me laisserais gouter, lui demanda-t-elle en se mettant à genou devant lui ?
Sans lui laisser le temps de répondre, elle prit sa bite en bouche. Jamais elle n’en avait pris une aussi grosse. Elle la sentit grossir encore sous ses lèvres, et suffoqua un peu en commençant à la sucer.
Félix ne résista pas. Il s’appuya contre le mur et laissa Émilie le pomper. Goulument. Sauvagement. Avidement. Elle le suçait avec envie, lui léchant le gland, les couilles. Le branlant de ses deux mains. Sa bouche était chaude et douce. Sa langue agile faisait monter son plaisir. Elle savait jouer avec sa bite comme avec un instrument. Cassant le rythme, jouant de son désir, de sa frustration. Il ne voulait pas se l’avouer, mais jamais on ne l’avait sucé comme ça.
Émilie sentit Félix sur le pont de jouir. Son sexe dur, tendu, impatient ne demandait qu’à exploser dans sa bouche, l’inonder de son foutre chaud et gluant. Elle ralentit le rythme, plongea son regard dans celui de Félix, et lui mit un doigt au cul. Dans un dernier soubresaut, il jouit. De longs jets de spermes maillèrent dans sa bouche. Elle les avala.
Félix glissa le long du mur et s’assit sur le carrelage froid de la salle de bain. Émilie se leva, s’essuya la bouche. Elle se positionna de telle sorte que sa chatte soit juste au niveau de son visage.
— Tu as déjà gouté à une femme ?
Il ne put répondre que non. Jamais il n’avait gouté à une femme. Jamais il n’en avait eu envie. Pourtant, alors qu’Émilie se rapprochait de lui, jusqu’à coller son sexe sur lui, sans réfléchir il le mit à la lécher. C’était étrange. Il sentait en lui un désir pour elle. L’envie de la faire jouir. Sa langue écarta les lèvres d’Émilie, goutant pour la première fois de sa vie le jus d’une femme lui qui depuis toujours n’avait éprouvé du désir que pour les hommes.
Il se souvenait très bien de ses premiers émois d’ado. Quand ses copains parlaient de nana, il pensait mec. Quand ils disaient se branler en pensant à une actrice, une chanteuse, un mannequin, lui se branlait en pensant aux footballeurs, aux acteurs, et même parfois il pensait à ses copains se branlant. Il n’avait jamais regardé les filles, et n’avait fait l’amour qu’avec des mecs. Mais après qu’elle lui avait sucé la bite, il avait envie d’Émilie.
S’il avait déjà vu des nanas à poil, en photo, ou sur la plage, il découvrait le sexe féminin pour la première fois. Sa douceur, sa complexité, tous les recoins, les replis.Le gout suave. Si différent d’une bite. C’était simple une bite. Évident. Dressée elle n’attendait qu’à se faire avaler. Une chatte c’était plus mystérieux.
Émilie guida Félix dans sa découverte. L’initiant à la femme. Elle l’encourageait, lui donnait des conseils, des indications. Puis au bout d’un moment le laissa faire. Se laissa glisser sur le sol, sentant qu’il prenait de l’assurance. Elle aimait cette position d’initiatrice, le petit pouvoir que cela lui donnait. Et l’idée aussi qu’elle était sa première femme. Elle aurait voulu qu’il devienne fou et qu’il la baise sauvagement, à même le sol, se vidant les couilles en elle.
Félix sentait Émilie frémir. Cela l’encourageât, il intensifia ses caresses buccales, se fit plus entreprenant. Il ne pouvait pas dire qu’il aimait ça. C’était étrange, mais pas déplaisant. Et puis il sentait qu’Émilie aimait. Qu’il pouvait la faire jouir !
Si elle n’avait pas jouit avant, Émilie aurait sans doute eu du mal à jouir grâce à la langue, à la bouche de Félix, mais elle était chaude, excitée. Elle poussa un cri et plaqua le visage de Félix sur son sexe vibrant de plaisir.
Félix se releva, tendit la main à Émile pour l’aider à en faire de même. Elle l’embrassa. Une première aussi pour lui. Les seins d’Émilie s’écrasèrent sur sa poitrine. Sa langue se glissa entre ses lèvres.
— Si j’osais, dit-elle en s’écartant, je te demanderais de m’enculer. J’aimerais trop sentir ta grosse bite dans mon cul. Et puis un cul, c’est un cul, mec ou nana c’est pareil.
Cette fille était extraordinaire. Comme ça elle lui proposait de l’enculer. Elle venait de jouir sous sa langue, l’avait sucé et avaler, savait qu’il était homo, mais elle ne se démontait pas et lui offrait son cul. Le pire, c’est qu’il en avait envie, il sentait son sexe se dresser en pensant à ça. Émilie ne pouvait pas ne pas le voir. Elle s’en empara et le caressa pour le faire durcir, puis se mit en position , appuyée contre le mur, jambes écartées.
— Va y doucement, même si j’ai l’habitude, tu es plus équipé que mon mec.
Il se glissa derrière elle, lécha ses doigts et lui caressa l’anus, se glissant doucement en elle. Il lui massa le trou, l’ouvrant, le préparant. Il caressa ses fesses, des fesses lisses, rondes, si éloignées de celles de ses mecs. Un cul c’est un cul, mais ce qui va autour change.
Émilie sentit la bite de Félix s’insinuer entre des fesses. Il l’avait préparée, mais elle regrettait de ne pas avoir de lubrifiant pour l’aider. Elle frissonna en sentant le gland pousser contre sa rondelle. La pression de fit plus forte, et d’un coup de reins la bite de Félix fut en elle. Elle ressentit une brulure profonde, plus intense que jamais. Elle retint un cri, une larme coula sur la joue. Félix commença à l’enculer, sans attendre. Elle serra les dents. C’est elle qui avait demandé, elle ne voulait pas passer pour une petite nature.
Mains sur les hanches d’Émilie, Félix la bourrait comme si elle était un mec. Fermant les yeux il s’imaginait baisant Erwann. Il entendit Émilie soupirer. De plus en plus fort. Son corps se tendait de plus en plus, l’encourageant, offrant de plus en plus son cul à sa bite. C’était bon, il aimait ça, il aimait le cul de cette fille, cette nana osant tout, s’offrant, se livrant. Jamais il n’aurait cru prendre son pied en baisant une fille, mais il était sur le point de jouir en elle.
Son corps tout entier n’était que plaisir. Cette grosse bite qui l’avait presque déchirée au début ne lui apportait que du plaisir désormais, des vagues de plaisir intense, une sorte d’orgasme absolu, continu, permanent. Elle hurlait désormais. Elle sentit alors que Félix jouissait en elle, un long flot s’écouler de sa chatte béante, une éjaculation totale, incontrôlable, magnifique.
Félix se retira, son foutre s’écoulait du cul d’Émilie, tombait sur le sol, se mêlait au jus de sa chatte, une flaque de jouissance sur le carrelage dans laquelle s’effondra Émilie. Elle se roula dedans en se caressent tout le corps.
Il la regarda, et sut qu’il la baiserait encore.
Félix laissa couler l’eau sur lui, tête posée contre le mur, il la laissait effacer la fatigue, la transpiration, les traces de foutre. Il se vidait la tête après s’être vidé les couilles.
— Tu baises avec mon frère depuis longtemps ?
Il coupa l’eau, ouvrit la porte de la douche et découvrit Émilie assise sur le lavabo. Erwann lui avait parlé du tempérament de feu de sa sœur, et même de leur secret. Ce matin où ils avaient cédé à leur désir mutuel et avaient fait l’amour ensemble. Erwann n’avait pas caché qu’il avait encore parfois envie de sa sœur. Félix ne jugeait pas et même comprenait en voyant Émilie, nue, jambe écartée, belle comme le jour, et transpirant le sexe.
— Ça fait deux mois qu’on se connait, à peu près autant qu’on baise, dit-il en attrapant une serviette pour s’essuyer.
— C’est un bon coup ?
— Tu dois le savoir, dit-il sans réfléchir et regrettant aussitôt.
Émilie se figea un instant. Elle repensa un instant à ce matin malheureux, mais délicieux. Erwann devait tenir à Félix s’il lui avait confié son secret. Elle hésita un moment, puis se leva et attrapa la serviette que Félix avait passée autour de ses hanches.
— Toi en tout cas tu es bien équipé, dit-elle en saisissant le sexe de Félix. Je comprends mon frère.
Félix sentit la main d’Émilie sur lui, et l’érection qui montait alors qu’elle le branlait.
— Tu me laisserais gouter, lui demanda-t-elle en se mettant à genou devant lui ?
Sans lui laisser le temps de répondre, elle prit sa bite en bouche. Jamais elle n’en avait pris une aussi grosse. Elle la sentit grossir encore sous ses lèvres, et suffoqua un peu en commençant à la sucer.
Félix ne résista pas. Il s’appuya contre le mur et laissa Émilie le pomper. Goulument. Sauvagement. Avidement. Elle le suçait avec envie, lui léchant le gland, les couilles. Le branlant de ses deux mains. Sa bouche était chaude et douce. Sa langue agile faisait monter son plaisir. Elle savait jouer avec sa bite comme avec un instrument. Cassant le rythme, jouant de son désir, de sa frustration. Il ne voulait pas se l’avouer, mais jamais on ne l’avait sucé comme ça.
Émilie sentit Félix sur le pont de jouir. Son sexe dur, tendu, impatient ne demandait qu’à exploser dans sa bouche, l’inonder de son foutre chaud et gluant. Elle ralentit le rythme, plongea son regard dans celui de Félix, et lui mit un doigt au cul. Dans un dernier soubresaut, il jouit. De longs jets de spermes maillèrent dans sa bouche. Elle les avala.
Félix glissa le long du mur et s’assit sur le carrelage froid de la salle de bain. Émilie se leva, s’essuya la bouche. Elle se positionna de telle sorte que sa chatte soit juste au niveau de son visage.
— Tu as déjà gouté à une femme ?
Il ne put répondre que non. Jamais il n’avait gouté à une femme. Jamais il n’en avait eu envie. Pourtant, alors qu’Émilie se rapprochait de lui, jusqu’à coller son sexe sur lui, sans réfléchir il le mit à la lécher. C’était étrange. Il sentait en lui un désir pour elle. L’envie de la faire jouir. Sa langue écarta les lèvres d’Émilie, goutant pour la première fois de sa vie le jus d’une femme lui qui depuis toujours n’avait éprouvé du désir que pour les hommes.
Il se souvenait très bien de ses premiers émois d’ado. Quand ses copains parlaient de nana, il pensait mec. Quand ils disaient se branler en pensant à une actrice, une chanteuse, un mannequin, lui se branlait en pensant aux footballeurs, aux acteurs, et même parfois il pensait à ses copains se branlant. Il n’avait jamais regardé les filles, et n’avait fait l’amour qu’avec des mecs. Mais après qu’elle lui avait sucé la bite, il avait envie d’Émilie.
S’il avait déjà vu des nanas à poil, en photo, ou sur la plage, il découvrait le sexe féminin pour la première fois. Sa douceur, sa complexité, tous les recoins, les replis.Le gout suave. Si différent d’une bite. C’était simple une bite. Évident. Dressée elle n’attendait qu’à se faire avaler. Une chatte c’était plus mystérieux.
Émilie guida Félix dans sa découverte. L’initiant à la femme. Elle l’encourageait, lui donnait des conseils, des indications. Puis au bout d’un moment le laissa faire. Se laissa glisser sur le sol, sentant qu’il prenait de l’assurance. Elle aimait cette position d’initiatrice, le petit pouvoir que cela lui donnait. Et l’idée aussi qu’elle était sa première femme. Elle aurait voulu qu’il devienne fou et qu’il la baise sauvagement, à même le sol, se vidant les couilles en elle.
Félix sentait Émilie frémir. Cela l’encourageât, il intensifia ses caresses buccales, se fit plus entreprenant. Il ne pouvait pas dire qu’il aimait ça. C’était étrange, mais pas déplaisant. Et puis il sentait qu’Émilie aimait. Qu’il pouvait la faire jouir !
Si elle n’avait pas jouit avant, Émilie aurait sans doute eu du mal à jouir grâce à la langue, à la bouche de Félix, mais elle était chaude, excitée. Elle poussa un cri et plaqua le visage de Félix sur son sexe vibrant de plaisir.
Félix se releva, tendit la main à Émile pour l’aider à en faire de même. Elle l’embrassa. Une première aussi pour lui. Les seins d’Émilie s’écrasèrent sur sa poitrine. Sa langue se glissa entre ses lèvres.
— Si j’osais, dit-elle en s’écartant, je te demanderais de m’enculer. J’aimerais trop sentir ta grosse bite dans mon cul. Et puis un cul, c’est un cul, mec ou nana c’est pareil.
Cette fille était extraordinaire. Comme ça elle lui proposait de l’enculer. Elle venait de jouir sous sa langue, l’avait sucé et avaler, savait qu’il était homo, mais elle ne se démontait pas et lui offrait son cul. Le pire, c’est qu’il en avait envie, il sentait son sexe se dresser en pensant à ça. Émilie ne pouvait pas ne pas le voir. Elle s’en empara et le caressa pour le faire durcir, puis se mit en position , appuyée contre le mur, jambes écartées.
— Va y doucement, même si j’ai l’habitude, tu es plus équipé que mon mec.
Il se glissa derrière elle, lécha ses doigts et lui caressa l’anus, se glissant doucement en elle. Il lui massa le trou, l’ouvrant, le préparant. Il caressa ses fesses, des fesses lisses, rondes, si éloignées de celles de ses mecs. Un cul c’est un cul, mais ce qui va autour change.
Émilie sentit la bite de Félix s’insinuer entre des fesses. Il l’avait préparée, mais elle regrettait de ne pas avoir de lubrifiant pour l’aider. Elle frissonna en sentant le gland pousser contre sa rondelle. La pression de fit plus forte, et d’un coup de reins la bite de Félix fut en elle. Elle ressentit une brulure profonde, plus intense que jamais. Elle retint un cri, une larme coula sur la joue. Félix commença à l’enculer, sans attendre. Elle serra les dents. C’est elle qui avait demandé, elle ne voulait pas passer pour une petite nature.
Mains sur les hanches d’Émilie, Félix la bourrait comme si elle était un mec. Fermant les yeux il s’imaginait baisant Erwann. Il entendit Émilie soupirer. De plus en plus fort. Son corps se tendait de plus en plus, l’encourageant, offrant de plus en plus son cul à sa bite. C’était bon, il aimait ça, il aimait le cul de cette fille, cette nana osant tout, s’offrant, se livrant. Jamais il n’aurait cru prendre son pied en baisant une fille, mais il était sur le point de jouir en elle.
Son corps tout entier n’était que plaisir. Cette grosse bite qui l’avait presque déchirée au début ne lui apportait que du plaisir désormais, des vagues de plaisir intense, une sorte d’orgasme absolu, continu, permanent. Elle hurlait désormais. Elle sentit alors que Félix jouissait en elle, un long flot s’écouler de sa chatte béante, une éjaculation totale, incontrôlable, magnifique.
Félix se retira, son foutre s’écoulait du cul d’Émilie, tombait sur le sol, se mêlait au jus de sa chatte, une flaque de jouissance sur le carrelage dans laquelle s’effondra Émilie. Elle se roula dedans en se caressent tout le corps.
Il la regarda, et sut qu’il la baiserait encore.
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