Révélation 1 Suite surprise 3
Récit érotique écrit par Helenclass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Révélation 1 Suite surprise 3
Je n’eu aucune nouvelle, ni de coup de fil de Didier ou Pascal, la semaine suivante et le WE. Après tout ce qu’ils m’avaient fait. J’étais en province pour la semaine avec Sophie et Karine.
Bruno voulait une explication sur mon absence du WE, je n’en avais pas envie. Avec ce que j’avais vécu sexuellement… de plus j’étais très fatiguée, et j’avais des courbatures partout
La semaine après ma semaine de repos, Christine me téléphona, en me disant qu’elle souhaitait déjeuner avec moi. J’ai encore essayé d’appeler Didier, sans succès.
Nous nous fixons RDV dans une brasserie à Paris. Nous prenons une coupe de champagne et discutons de la soirée passée chez elle. Elle me dit que son mari et Pierre m’avaient apprécié, que j’étais la bienvenue. Christine me précisa qu’elle avait passé le dernier WE avec Didier, comme d’habitude elle avait été plus que comblée.
J’ai aussi appris
- Que Christine et Sylvie avaient l’habitude d’aller chez Didier
- Qu’elles étaient partis en vacances au Cap d’Agde (maison Christine et Thierry) et qu’elles s’étaient tapées des petits jeunes, mais que ça ne l’enchantais pas plus que ça comparativement à Sylvie.
- Qu’il y avait des We organisés en Normandie chez Pierre et Sylvie
- Qu’elle ne faisait plus l’amour avec son mari depuis plusieurs années
- Que Didier lui suffisait largement en rajoutant qu’il est adorable
- Qu’elle passait seule ou avec Sylvie plusieurs semaines, voir des mois par an avec lui
- Qu’elle craque sur Didier quitterait bien son mari pour vivre avec lui, mais que ce dernier ne veut pas
- Qu’elle avait vécu avec Didier, mais qu’elle était revenue à temps partiel avec son mari pour leur fils afin de sauver les apparences
- Que Sylvie était une mangeuse d’hommes ( un peu comme Sophie)
- Qu’elles aimaient la pluralité masculine comme toutes les femmes présentes aux soirées
- Que Lionel était souvent à la maison pour défoncer toutes les femmes qui le souhaitent, car il avait une grosse bite comparativement à celle de son mari
- Que Sylvain le black avait beaucoup de copains très très membrés, Sylvie et Nathalie apprécient particulièrement
- Que le test HIV permettait à ce cercle d’ami d’avoir des relations sans protection, c’est mieux. En revanche Les relations en dehors se font avec protection obligatoire
- Qu’il y avait une coiffeuse qui était une vraie pute
En marchant vers le bureau j’étais pensive, quelle évolution par rapport au Didier que j’avais connu et qui était aux petits soins avec moi. Je restais plus d’une heure derrière mon bureau sans rien faire jusqu’au moment où le téléphone sonna : c’était Didier.
Il me demanda « comment vas-tu ma chérie, j’espère que tu vas bien »
Je lui dis que j’avais déjeuné avec Christine, me répondant qu’il le savait car elle avait passé la nuit avec lui.
Je lui dis que c’était vraiment un beau salaud que je n’avais pas eu de nouvelles malgré les nombreux appels et messages et pour tout ce qu’il faisait. Il me répondit « c’est comme ça la vie » je n’avais qu’une envie c’est qu’il me baise afin de jouir comme une folle une nuit entière.
Il me proposa de venir me chercher au bureau vendredi pour le WE entier jusqu’au lundi.
Moi : « Je lui répondis que j’allais réfléchir et que je le rappellerai »
Didier : « comme tu le souhaites ma chérie »
J’ai attendu une bonne heure avant de le rappeler et lui donner mon accord pour le WE, je commençais à être en manque ; il ne décrocha pas, mais me rappela immédiatement.
Il me dit fait toi belle comme tu sais si bien le faire. Je t’appelle jeudi soir.
J’attendais son appel Jeudi soir comme une adolescente, le téléphone sonna c’était lui, j’étais aux anges. Il me dit « me met pas de culotte et lorsque je viens te chercher tu dois être nue sous ton manteau sinon je te laisse sur place ». en ajoutant « tu as ton test HIV négatif» au fond de moi j’étais très excitée par sa voix. J’arrive au bureau le vendredi matin avec mon cartable et mon sac de voyage, Sophie était déjà là et elle me dit « tu vois Didier ce we » je lui réponds par l’affirmative. Elle ne m’a pas lâchée de la journée, avec des questions en tous genres, même déplacée.
Bruno voulait une explication sur mon absence du WE, je n’en avais pas envie. Avec ce que j’avais vécu sexuellement… de plus j’étais très fatiguée, et j’avais des courbatures partout
La semaine après ma semaine de repos, Christine me téléphona, en me disant qu’elle souhaitait déjeuner avec moi. J’ai encore essayé d’appeler Didier, sans succès.
Nous nous fixons RDV dans une brasserie à Paris. Nous prenons une coupe de champagne et discutons de la soirée passée chez elle. Elle me dit que son mari et Pierre m’avaient apprécié, que j’étais la bienvenue. Christine me précisa qu’elle avait passé le dernier WE avec Didier, comme d’habitude elle avait été plus que comblée.
J’ai aussi appris
- Que Christine et Sylvie avaient l’habitude d’aller chez Didier
- Qu’elles étaient partis en vacances au Cap d’Agde (maison Christine et Thierry) et qu’elles s’étaient tapées des petits jeunes, mais que ça ne l’enchantais pas plus que ça comparativement à Sylvie.
- Qu’il y avait des We organisés en Normandie chez Pierre et Sylvie
- Qu’elle ne faisait plus l’amour avec son mari depuis plusieurs années
- Que Didier lui suffisait largement en rajoutant qu’il est adorable
- Qu’elle passait seule ou avec Sylvie plusieurs semaines, voir des mois par an avec lui
- Qu’elle craque sur Didier quitterait bien son mari pour vivre avec lui, mais que ce dernier ne veut pas
- Qu’elle avait vécu avec Didier, mais qu’elle était revenue à temps partiel avec son mari pour leur fils afin de sauver les apparences
- Que Sylvie était une mangeuse d’hommes ( un peu comme Sophie)
- Qu’elles aimaient la pluralité masculine comme toutes les femmes présentes aux soirées
- Que Lionel était souvent à la maison pour défoncer toutes les femmes qui le souhaitent, car il avait une grosse bite comparativement à celle de son mari
- Que Sylvain le black avait beaucoup de copains très très membrés, Sylvie et Nathalie apprécient particulièrement
- Que le test HIV permettait à ce cercle d’ami d’avoir des relations sans protection, c’est mieux. En revanche Les relations en dehors se font avec protection obligatoire
- Qu’il y avait une coiffeuse qui était une vraie pute
En marchant vers le bureau j’étais pensive, quelle évolution par rapport au Didier que j’avais connu et qui était aux petits soins avec moi. Je restais plus d’une heure derrière mon bureau sans rien faire jusqu’au moment où le téléphone sonna : c’était Didier.
Il me demanda « comment vas-tu ma chérie, j’espère que tu vas bien »
Je lui dis que j’avais déjeuné avec Christine, me répondant qu’il le savait car elle avait passé la nuit avec lui.
Je lui dis que c’était vraiment un beau salaud que je n’avais pas eu de nouvelles malgré les nombreux appels et messages et pour tout ce qu’il faisait. Il me répondit « c’est comme ça la vie » je n’avais qu’une envie c’est qu’il me baise afin de jouir comme une folle une nuit entière.
Il me proposa de venir me chercher au bureau vendredi pour le WE entier jusqu’au lundi.
Moi : « Je lui répondis que j’allais réfléchir et que je le rappellerai »
Didier : « comme tu le souhaites ma chérie »
J’ai attendu une bonne heure avant de le rappeler et lui donner mon accord pour le WE, je commençais à être en manque ; il ne décrocha pas, mais me rappela immédiatement.
Il me dit fait toi belle comme tu sais si bien le faire. Je t’appelle jeudi soir.
J’attendais son appel Jeudi soir comme une adolescente, le téléphone sonna c’était lui, j’étais aux anges. Il me dit « me met pas de culotte et lorsque je viens te chercher tu dois être nue sous ton manteau sinon je te laisse sur place ». en ajoutant « tu as ton test HIV négatif» au fond de moi j’étais très excitée par sa voix. J’arrive au bureau le vendredi matin avec mon cartable et mon sac de voyage, Sophie était déjà là et elle me dit « tu vois Didier ce we » je lui réponds par l’affirmative. Elle ne m’a pas lâchée de la journée, avec des questions en tous genres, même déplacée.
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