Révélation
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2014 dans la catégorie Plus on est
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Révélation
Émilie était partie chez Erwann, pensant réussir à le convaincre de quitter sa chambrette. Nina et moi y étions déjà allés sans succès. Sans doute parce que nous ne pensions pas que ce serait une bonne solution. Pour ma part, j’avais surtout envie d’aller voir son père. Nina partageait cet avis. Comme moi elle pensait que nous devions sinon le raisonner, du moins lui dire que son comportement était dégueulasse, inacceptable, et que ce n’était pas parce que son fils se tapait des hommes qu’il ne méritait plus d’être son fils.
Je partis seul, et pendant tout le trajet je répétais ce que je pensais lui dire. Je voulais lui dire que son fils était un type bien, que je l’aimais autant que j’aimais sa fille, et que moi même j’aimais les hommes, autant que les femmes. Je refaisais mes phrases, les peaufinais, et en frappant à la porte j’étais sûr d’avoir un argumentaire imparable.
Le père d’Émilie et d'Erwann m’ouvrit la porte. Il ne fut pas surpris de me voir, mais resta froid, distant en m’invitant à entrer. Je m’installais au salon, il m’apporta une tasse de café et je commençais à dérouler ma plaidoirie. Je n’eus pas le temps d’aller plus loin que ma première phrase quand il m’arrêta.
— C’est très joli tout ça, mais je m’en fous, dit-il. D’accord le fait que j’ai surpris Erwann avec un mec à un peu brusqué les choses, mais en fait, si c’était mon fils, je m’en foutrais qu’il soit homo. Si je l’ai foutu à la porte, c’est parce que ce n’est pas mon fils et que je n’ai pas à supporter sa vie sexuelle sous mon toit.
Je restais sur le cul.
— Erwann est le fils d’une amie de mon ex-femme Valérie. Nous l’avons adopté à sa mort. Mon ex et elle ont grandi ensemble, elles ne se quittaient pas, jamais. Quand je me suis marié, Fabienne, l’amie de ma femme, a été un peu jalouse. Si j’avais su à l’époque, je lui aurais laissé Valérie. Si ma femme n’avait pas été aussi prude et coincée, elle aurait pu se mettre en couple avec Fabienne. Enfin, je me suis marié, et puis même si je ne voulais pas d’enfants, Valérie est tombée enceinte. Alors Fabienne a disparu. Émilie est née, malgré tout j’étais content, mais je me suis fait faire une vasectomie pour ne plus avoir d’enfants. Valérie m’en a voulu, c’est à ce moment que notre couple a commencé à se détériorer.
Un jour Fabienne est revenue, avec Erwann, il avait trois mois. Et Fabienne en avait autant à vivre. Un cancer. Elle nous a fait promettre de prendre soin de son fils. Ça ne me plaisait pas trop, mais j’ai accepté. Son fils ne devait pas se retrouver orphelin. Nous l’avons adopté, et Fabienne est morte.
Je sais que je vais passer pour un con, mais je n’ai jamais considéré Erwann comme mon fils. J’aime Émilie, mais je n’ai jamais eu de sentiments pour lui. Je me fous que ma fille fasse des orgies dans ma maison. Oui je sais que quand je n’étais pas là, vous baisiez comme des bêtes ici. C’est pour ça que je lui ai offert cet appartement, pour que vous puissiez vivre votre vie comme vous l’entendez. En fait j’aime plutôt qu’elle ne soit pas comme sa mère, coincée, sèche, déjà morte à l’intérieur. Je m’en fous qu’Émilie couche avec des filles ou des mecs.
Quoi qu’il en soit, j’avais promis de m’occuper d’Erwann comme mon fils jusqu’à ses 18 ans, et j’ai tenu ma promesse. Il en a 19, et maintenant ce n’est plus mon problème. Il peut bien faire ce qu’il veut, je m’en fous.
Je bus mon café et je pris congé. Tout ne s’était pas passé comme prévu. Mais je ne savais pas si c’était mieux, ou pire. D’accord, cette révélation rendait la relation entre Émilie et Erwann plus saine, mais étrangement je n’avais pas envie de le leur dire. C’était sans doute idiot, sans doute cruel, mais je me suis dit, en remontant les rues jusque chez nous, dans le froid du mois de janvier, que je ne voulais pas partager Émilie avec celui qu’elle avait toujours considéré comme son frère.
D’ailleurs, pourrait-elle le voir autrement que comme ça.
Nina et Émilie étaient dans le salon, Émilie avait pleuré, et Nina la consolait. Cette scène aurait pu être banale si les deux filles n’étaient pas nues, et Nina entre les jambes d’Émilie. En m’entendant arriver, Nina releva la tête et m’invita à les rejoindre.
— Elle en a besoin, elle est vraiment très triste ce soir, me dit-elle.
Je m’avançais vers mes deux femmes, et me déshabillais. Émilie m’embrassa. Ses joues avaient le gout de ses larmes que je léchais. Je rejoins Nina et tous les deux nous dégustâmes son sexe. Je ne pouvais m’empêcher de penser à Erwann. Il aurait pu être là, et gouter à la chatte de celle qui fut sa soeur. Je me mis à sa place, et m’imaginais la léchant pour la première fois.
Nina, devant mon empressement me laissa la place, et me regarda faire jouir notre amante. Elle se caressa avant de me demander d’en faire autant avec elle. Je passais donc à son sexe luisant et le dégustais avec autant d’enthousiasme et de plaisir. Nina jouit dans ma bouche. Je bus son jus, m’en délectant.
Les deux femmes s’embrassèrent et vinrent me sucer. J’aimais quand elles s’attaquaient à ma bite ensemble. Deux bouches, deux langues, deux fois plus de sensations, de plaisir. À la fois dans la bouche de l’un et léchée par l’autre. Plaisir d’autant plus intense que mes deux suceuses me connaissaient pas coeur, savaient ce que j’aimais et savaient s’y prendre comme personne pour me faire jouir. Ce que je me tardais pas à faire arrosant les deux visages de mon foutre chaud qu’elles se partagèrent avec envie.
Nous restâmes tous les trois sur le canapé, heureux d’avoir partagé ce moment de plaisir. J’aimais ces deux femmes, et je me dis que je ne pouvais pas laisser Émilie dans l’ignorance, alors, en détail, je lui racontais ce que m’avait dit son père.
Des larmes coulèrent sur ses joues, de joie, de colère, de peur aussi. Elle hésita à me croire, mais en appelant son père il lui confirma toute l’histoire. Elle me sauta au cou, m’embrassa et s’empressa de s’habiller pour aller voir Erwann.
Je partis seul, et pendant tout le trajet je répétais ce que je pensais lui dire. Je voulais lui dire que son fils était un type bien, que je l’aimais autant que j’aimais sa fille, et que moi même j’aimais les hommes, autant que les femmes. Je refaisais mes phrases, les peaufinais, et en frappant à la porte j’étais sûr d’avoir un argumentaire imparable.
Le père d’Émilie et d'Erwann m’ouvrit la porte. Il ne fut pas surpris de me voir, mais resta froid, distant en m’invitant à entrer. Je m’installais au salon, il m’apporta une tasse de café et je commençais à dérouler ma plaidoirie. Je n’eus pas le temps d’aller plus loin que ma première phrase quand il m’arrêta.
— C’est très joli tout ça, mais je m’en fous, dit-il. D’accord le fait que j’ai surpris Erwann avec un mec à un peu brusqué les choses, mais en fait, si c’était mon fils, je m’en foutrais qu’il soit homo. Si je l’ai foutu à la porte, c’est parce que ce n’est pas mon fils et que je n’ai pas à supporter sa vie sexuelle sous mon toit.
Je restais sur le cul.
— Erwann est le fils d’une amie de mon ex-femme Valérie. Nous l’avons adopté à sa mort. Mon ex et elle ont grandi ensemble, elles ne se quittaient pas, jamais. Quand je me suis marié, Fabienne, l’amie de ma femme, a été un peu jalouse. Si j’avais su à l’époque, je lui aurais laissé Valérie. Si ma femme n’avait pas été aussi prude et coincée, elle aurait pu se mettre en couple avec Fabienne. Enfin, je me suis marié, et puis même si je ne voulais pas d’enfants, Valérie est tombée enceinte. Alors Fabienne a disparu. Émilie est née, malgré tout j’étais content, mais je me suis fait faire une vasectomie pour ne plus avoir d’enfants. Valérie m’en a voulu, c’est à ce moment que notre couple a commencé à se détériorer.
Un jour Fabienne est revenue, avec Erwann, il avait trois mois. Et Fabienne en avait autant à vivre. Un cancer. Elle nous a fait promettre de prendre soin de son fils. Ça ne me plaisait pas trop, mais j’ai accepté. Son fils ne devait pas se retrouver orphelin. Nous l’avons adopté, et Fabienne est morte.
Je sais que je vais passer pour un con, mais je n’ai jamais considéré Erwann comme mon fils. J’aime Émilie, mais je n’ai jamais eu de sentiments pour lui. Je me fous que ma fille fasse des orgies dans ma maison. Oui je sais que quand je n’étais pas là, vous baisiez comme des bêtes ici. C’est pour ça que je lui ai offert cet appartement, pour que vous puissiez vivre votre vie comme vous l’entendez. En fait j’aime plutôt qu’elle ne soit pas comme sa mère, coincée, sèche, déjà morte à l’intérieur. Je m’en fous qu’Émilie couche avec des filles ou des mecs.
Quoi qu’il en soit, j’avais promis de m’occuper d’Erwann comme mon fils jusqu’à ses 18 ans, et j’ai tenu ma promesse. Il en a 19, et maintenant ce n’est plus mon problème. Il peut bien faire ce qu’il veut, je m’en fous.
Je bus mon café et je pris congé. Tout ne s’était pas passé comme prévu. Mais je ne savais pas si c’était mieux, ou pire. D’accord, cette révélation rendait la relation entre Émilie et Erwann plus saine, mais étrangement je n’avais pas envie de le leur dire. C’était sans doute idiot, sans doute cruel, mais je me suis dit, en remontant les rues jusque chez nous, dans le froid du mois de janvier, que je ne voulais pas partager Émilie avec celui qu’elle avait toujours considéré comme son frère.
D’ailleurs, pourrait-elle le voir autrement que comme ça.
Nina et Émilie étaient dans le salon, Émilie avait pleuré, et Nina la consolait. Cette scène aurait pu être banale si les deux filles n’étaient pas nues, et Nina entre les jambes d’Émilie. En m’entendant arriver, Nina releva la tête et m’invita à les rejoindre.
— Elle en a besoin, elle est vraiment très triste ce soir, me dit-elle.
Je m’avançais vers mes deux femmes, et me déshabillais. Émilie m’embrassa. Ses joues avaient le gout de ses larmes que je léchais. Je rejoins Nina et tous les deux nous dégustâmes son sexe. Je ne pouvais m’empêcher de penser à Erwann. Il aurait pu être là, et gouter à la chatte de celle qui fut sa soeur. Je me mis à sa place, et m’imaginais la léchant pour la première fois.
Nina, devant mon empressement me laissa la place, et me regarda faire jouir notre amante. Elle se caressa avant de me demander d’en faire autant avec elle. Je passais donc à son sexe luisant et le dégustais avec autant d’enthousiasme et de plaisir. Nina jouit dans ma bouche. Je bus son jus, m’en délectant.
Les deux femmes s’embrassèrent et vinrent me sucer. J’aimais quand elles s’attaquaient à ma bite ensemble. Deux bouches, deux langues, deux fois plus de sensations, de plaisir. À la fois dans la bouche de l’un et léchée par l’autre. Plaisir d’autant plus intense que mes deux suceuses me connaissaient pas coeur, savaient ce que j’aimais et savaient s’y prendre comme personne pour me faire jouir. Ce que je me tardais pas à faire arrosant les deux visages de mon foutre chaud qu’elles se partagèrent avec envie.
Nous restâmes tous les trois sur le canapé, heureux d’avoir partagé ce moment de plaisir. J’aimais ces deux femmes, et je me dis que je ne pouvais pas laisser Émilie dans l’ignorance, alors, en détail, je lui racontais ce que m’avait dit son père.
Des larmes coulèrent sur ses joues, de joie, de colère, de peur aussi. Elle hésita à me croire, mais en appelant son père il lui confirma toute l’histoire. Elle me sauta au cou, m’embrassa et s’empressa de s’habiller pour aller voir Erwann.
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