Reviendra t'il
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Reviendra t'il
L’autre soir, on sonne à la porte de l’appart. Rémi va ouvrir. Il revient avec …Tim, décomposé. On le fait asseoir et on lui demande ce qui se passe. Et là, il s’écroule d’un coup, en pleurs.
On est surpris et bouleversé de le voir ainsi s’écrouler. Mais on commence à se douter un peu de ce qui a pu arriver… Rémi revient de la salle de bain avec une boite de mouchoirs et commence à lui essuyer tendrement ses larmes tout en lui caressant les cheveux. On attend un bon moment que sa crise nerveuse se passe. Rémi s’en occupe comme une mère de son fils - ils ont le même âge ! -. Alors, Rémi essaie de lui remonter le moral.
« -Tu sais, Tim, t’est un sacré gars parce que faire tous les kilomètres que tu viens de faire dans l’état où tu étais, chapeau ! »Tim se calme un peu et explique ce qu’on pressentait déjà.
« -Léa m’a téléphoné. Elle m’a posé plein de questions sur nos weeks-ends. J’ai essayé d’être le plus honnête possible. Je ne lui ai pas caché qu’on avait fait l’amour ensemble. Que j’étais peut être bi mais que je l’aimais plus que tout. Elle m’a alors questionné sur mes goûts réels en matière de sexe. Je lui ai dit qu’en ce moment, je ne savais plus trop… Elle a alors explosé littéralement. Disant qu’elle aurait plus facilement accepté que j’aille avec une autre femme mais que là.. -Mais je croyais Léa plus ouverte… Elle m’a dit que, pour le moment, il valait mieux qu’on ne se téléphone plus. » Là-dessus, le voilà qui repart dans une crise de larmes.
« -Tu sais, elles disent toutes ça. Dans un sens, ça peut se comprendre. Maintenant, c’est à toi de savoir ce que tu veux réellement. Laisse passer un peu de temps. Le temps d’y voir plus clair et de savoir vers quoi tu veux aller vraiment, non ?
-…Oui …t’as sûrement raison… Est-ce que je peux rester ici ce soir ?
-Bien sûr que oui ! Tu vas pas reprendre la route dans cet état.
-Oui mais je croyais Léa plus ouverte… Ellle m’a dit que, pour le moment, il valait mieux qu’on ne se téléphone plus. » Là-dessus, le voilà qui repart dans une crise de larmes.
On passe encore un bon moment à le consoler puis on lui propose de manger avec nous et au lit. Il doit être crevé. On l’installe entre nous deux, tous les trois en slips. Magnifique le sien – vert flashy, mini, en mousseline -. Tim s’endort presqu’aussitôt, vidé. Alors Rémi me fait signe de le rejoindre de l’autre côté du lit. On ne va quand même pas s’endormir ainsi sans se câliner un peu. On commence à se caresser doucement. Instantanément, nos bites se tendent dans nos slips. On se les fait glisser mutuellement. Et on commence une masturbation mutuelle, très lente. On fait durer.
C’est alors que je sens la main de Tim qui prend mon autre main et vient la déposer sur son slip gonflé comme la grand voile d’un bateau par grand vent ! Je sens nettement son mât sous mes doigts. D’ailleurs, sa bite déborde d’au moins une bonne moitié. Mais c’est qu’il ne dormait pas le coquin ! On dirait qu’il a choisi son camp – un peu rapidement, peut être – ou alors, son désir a été plus fort que sa raison.
Il me reprend ma main et me la passe sous le fin tissu. Sous ma paume, je sens la douce peau de ses couilles parfaitement rasées. La taille de ses couilles est en rapport avec la taille de sa pine : de petits kiwis. Doux ! Je lui malaxe doucement ses boules, puis sa hampe puis son gland déjà mouillé. Me voilà entrain de faire deux masturbations en même temps. Je donne un coup de coude à Rémi qui n’avait rien capté.
Aussitôt, il plonge sous le drap voir ça de plus près. Aussitôt, il affale la grand voile et dégage le grand mât qu’il s’empresse de coiffer de sa bouche. Bon prince, il alterne ses fellations entre Tim et moi. Etait ce la meilleure des choses à faire à ce moment là ? Peut être pas mais, nous aussi, on avait été débordé par notre désir. Tim chercha ma bouche et s’y noya complètement, comme un naufragé accroché à sa bouée.
Déjà, Rémi s’était mis à le doigter. Assez vite, il essaya de lui passer le gode de Paulo, dégoulinant de gel. Essai réussi !
Tim se mit alors en levrette. Rémi se mit à lui faire coulisser le gode et moi je plaçais ma queue à proximité de la bouche de Tim. On était heureux de s’être retrouvé et de voir Tim remonter la pente. Mais on ne voulait pas non plus l’influencer dans son orientation sexuelle. Quoique… Rémi s’enduisait de gel. Il retira le gode et le remplaça illico par sa bite, sans problème. Tout à coup, j’eus envie de sucer la fabuleuse bite de Tim. Je me déplaça is à nouveau et me mis à le sucer avidement. Tim haletait de plaisir sous les coups de reins de Rémi et mes coups de langue sur sa teub. J’en avais plein la bouche de son incroyable membre mais je ne me risquais pas à lui faire une gorge profonde !
J’eus alors une autre idée qui, j’en étais sûr, plairait à Tim. Je me dégageais et vins me placer à genoux derrière Rémi pour le pénétrer, moi aussi. Très vite, je glisse en lui et on se synchronise. Tim apprécie beaucoup ce genre d’attelage et nous le crie. Il a l’impression d’être fourré par deux personnes en même temps, bien que ce ne soit pas vraiment une double. Voulant les laisser seul à seul, je cherche mon plaisir rapidement. Je prends un certain temps quand même ! Dès que j’eus joui dans le ventre de Rémi, il se retira de Tim et vint lui offrir ses fesses, en levrette, son trou encore dégoulinant de mon jus. Quand Tim le pénétra Rémi poussa un grognement de satisfaction d’être ainsi rempli. Il eut alors droit à une sacrée rumba. Avec l’énergie du désespoir, Tim le bourra de toutes ses forces pendant un temps infini.
Tim le retourna alors comme une crêpe, sur le dos. Rémi ouvrait ses jambes, très haut. On dirait les pétales d’une fleur qui s’épanouit et Tim est son abeille qui la butine de son dard, faisant chauffer son miel. Est-ce que la fleur jouit quand l’abeille la butine ? Il faudrait le lui demander… Trop beau. Tim le fourre complètement et se remet à le labourer en se frottant à lui de tout son corps. Rémi est aux anges, radieux. Il ouvre ses jambes vers le ciel et les referme sur la taille de Tim, de nombreuses fois. J’en profite pour faire quelques photos que j’envoie à Paulo. Aussitôt, il me répond qu’on dirait que Rémi prend un sacré pied. Je regarde mieux et, effectivement, je vois son visage extatique et ses yeux rivés à ceux de Tim…« -Oooooh ! Tiiiiiiiiim ! Bourre moi fort ! Vas y à fond !! »Visiblement, il se passe à nouveau quelque chose entre ces deux là… Tim va le labourer encore et encore jusqu’à le faire jouir du cul, à force de lui frotter la prostate de son chibre. Là, ce sera l’apothéose. Apothéose de cris, de hurlements, de jouissances presque simultanées. Trop beau.
On s’endort tous les trois. Rémi lui promettant de prendre Tim au cours de son sommeil. Ce qu’il fit, sans même me réveiller !
Quand je me réveillais, j’eus une furieuse envie d’être pris par Tim. J’avais envie que sa grosse teub me déchire à fond. Tout homo qui se respecte rêve d’avoir ou de recevoir une bite comme celle de Tim. Un cadeau de la nature. A défaut de l’avoir, j’aimerais la recevoir - peut-être pour la dernière fois ?-. Alors, je fais tout pour. Je me mets en cuiller par rapport à lui qui dort encore, sur le côté. Je me mets à me dilater. Un, deux trois doigts. C’est bon là. Puis je me tartine de gel et enfin, je prends doucement la bite de Tim, qui dort encore, et la fait glisser dans ma raie, en insistant sur ma rondelle. Bientôt, je sens qu’elle prend du volume pour atteindre très vite ses dimensions hors normes. Il doit être entrain de se réveiller. D’ailleurs, il prend les choses en main, si je puis dire.
Assez facilement, il passe son gland. Outchhh ! Ca fait toujours de l’effet de recevoir un truc pareil. Puis il se met à progresser lentement. Quelle sensation ! Je déguste chaque millimètre, chaque centimètre, chaque seconde ! Avec l’impression d’être rempli par quelque chose de chaud, de vibrant, d’énorme. Je tourne la tête pour chercher à l’embrasser. Il va ainsi me limer un moment, tout en douceur. Trop cool. Triop bien de la sentir aller et venir dans mon ventre. Elle est chaude, elle est dure, elle est grosse, elle est bonne. Comme je veux qu’il me malmène un max, je me retire, je me mets sur le dos et je l’attends, jambes au ciel.
Il me pénètre direct et commence à me limer puissamment. C’est le moment que choisit Rémi pour se réveiller. Probablement à cause de tous ces mouvements dans le lit. Tim a encore accéléré la cadence de ses coups de reins. Rémi mate, intéressé. Encore plus vite, encore plus fort.
« -Vas y Tim ! Fuck me hard ! »A fond maintenant. Je la sens qui me laboure les entrailles à toute vitesse. J’ai le cul en feu mais pour rien au monde, je ne céderai ma place ! Et soudain, je sens une giclée brûlante qui m’inonde les entrailles.
« -Merci Tim ! Merci ! »Après un petit temps de récup, on se lève, on se lave, on déjeune. On discute surtout. Beaucoup. Tim veut repartir chez lui dès aujourd’hui. Rémi, inquiet, parce que déjà passé par là, se propose de l’accompagner pour quelques jours - et quelques nuits…-. Est-ce une bonne idée ? Ne vaudrait-il pas mieux le laisser choisir seul son orientation sexuelle future ? Rémi est décidé. Ils partent.
Reviendra-t-il ?
On est surpris et bouleversé de le voir ainsi s’écrouler. Mais on commence à se douter un peu de ce qui a pu arriver… Rémi revient de la salle de bain avec une boite de mouchoirs et commence à lui essuyer tendrement ses larmes tout en lui caressant les cheveux. On attend un bon moment que sa crise nerveuse se passe. Rémi s’en occupe comme une mère de son fils - ils ont le même âge ! -. Alors, Rémi essaie de lui remonter le moral.
« -Tu sais, Tim, t’est un sacré gars parce que faire tous les kilomètres que tu viens de faire dans l’état où tu étais, chapeau ! »Tim se calme un peu et explique ce qu’on pressentait déjà.
« -Léa m’a téléphoné. Elle m’a posé plein de questions sur nos weeks-ends. J’ai essayé d’être le plus honnête possible. Je ne lui ai pas caché qu’on avait fait l’amour ensemble. Que j’étais peut être bi mais que je l’aimais plus que tout. Elle m’a alors questionné sur mes goûts réels en matière de sexe. Je lui ai dit qu’en ce moment, je ne savais plus trop… Elle a alors explosé littéralement. Disant qu’elle aurait plus facilement accepté que j’aille avec une autre femme mais que là.. -Mais je croyais Léa plus ouverte… Elle m’a dit que, pour le moment, il valait mieux qu’on ne se téléphone plus. » Là-dessus, le voilà qui repart dans une crise de larmes.
« -Tu sais, elles disent toutes ça. Dans un sens, ça peut se comprendre. Maintenant, c’est à toi de savoir ce que tu veux réellement. Laisse passer un peu de temps. Le temps d’y voir plus clair et de savoir vers quoi tu veux aller vraiment, non ?
-…Oui …t’as sûrement raison… Est-ce que je peux rester ici ce soir ?
-Bien sûr que oui ! Tu vas pas reprendre la route dans cet état.
-Oui mais je croyais Léa plus ouverte… Ellle m’a dit que, pour le moment, il valait mieux qu’on ne se téléphone plus. » Là-dessus, le voilà qui repart dans une crise de larmes.
On passe encore un bon moment à le consoler puis on lui propose de manger avec nous et au lit. Il doit être crevé. On l’installe entre nous deux, tous les trois en slips. Magnifique le sien – vert flashy, mini, en mousseline -. Tim s’endort presqu’aussitôt, vidé. Alors Rémi me fait signe de le rejoindre de l’autre côté du lit. On ne va quand même pas s’endormir ainsi sans se câliner un peu. On commence à se caresser doucement. Instantanément, nos bites se tendent dans nos slips. On se les fait glisser mutuellement. Et on commence une masturbation mutuelle, très lente. On fait durer.
C’est alors que je sens la main de Tim qui prend mon autre main et vient la déposer sur son slip gonflé comme la grand voile d’un bateau par grand vent ! Je sens nettement son mât sous mes doigts. D’ailleurs, sa bite déborde d’au moins une bonne moitié. Mais c’est qu’il ne dormait pas le coquin ! On dirait qu’il a choisi son camp – un peu rapidement, peut être – ou alors, son désir a été plus fort que sa raison.
Il me reprend ma main et me la passe sous le fin tissu. Sous ma paume, je sens la douce peau de ses couilles parfaitement rasées. La taille de ses couilles est en rapport avec la taille de sa pine : de petits kiwis. Doux ! Je lui malaxe doucement ses boules, puis sa hampe puis son gland déjà mouillé. Me voilà entrain de faire deux masturbations en même temps. Je donne un coup de coude à Rémi qui n’avait rien capté.
Aussitôt, il plonge sous le drap voir ça de plus près. Aussitôt, il affale la grand voile et dégage le grand mât qu’il s’empresse de coiffer de sa bouche. Bon prince, il alterne ses fellations entre Tim et moi. Etait ce la meilleure des choses à faire à ce moment là ? Peut être pas mais, nous aussi, on avait été débordé par notre désir. Tim chercha ma bouche et s’y noya complètement, comme un naufragé accroché à sa bouée.
Déjà, Rémi s’était mis à le doigter. Assez vite, il essaya de lui passer le gode de Paulo, dégoulinant de gel. Essai réussi !
Tim se mit alors en levrette. Rémi se mit à lui faire coulisser le gode et moi je plaçais ma queue à proximité de la bouche de Tim. On était heureux de s’être retrouvé et de voir Tim remonter la pente. Mais on ne voulait pas non plus l’influencer dans son orientation sexuelle. Quoique… Rémi s’enduisait de gel. Il retira le gode et le remplaça illico par sa bite, sans problème. Tout à coup, j’eus envie de sucer la fabuleuse bite de Tim. Je me déplaça is à nouveau et me mis à le sucer avidement. Tim haletait de plaisir sous les coups de reins de Rémi et mes coups de langue sur sa teub. J’en avais plein la bouche de son incroyable membre mais je ne me risquais pas à lui faire une gorge profonde !
J’eus alors une autre idée qui, j’en étais sûr, plairait à Tim. Je me dégageais et vins me placer à genoux derrière Rémi pour le pénétrer, moi aussi. Très vite, je glisse en lui et on se synchronise. Tim apprécie beaucoup ce genre d’attelage et nous le crie. Il a l’impression d’être fourré par deux personnes en même temps, bien que ce ne soit pas vraiment une double. Voulant les laisser seul à seul, je cherche mon plaisir rapidement. Je prends un certain temps quand même ! Dès que j’eus joui dans le ventre de Rémi, il se retira de Tim et vint lui offrir ses fesses, en levrette, son trou encore dégoulinant de mon jus. Quand Tim le pénétra Rémi poussa un grognement de satisfaction d’être ainsi rempli. Il eut alors droit à une sacrée rumba. Avec l’énergie du désespoir, Tim le bourra de toutes ses forces pendant un temps infini.
Tim le retourna alors comme une crêpe, sur le dos. Rémi ouvrait ses jambes, très haut. On dirait les pétales d’une fleur qui s’épanouit et Tim est son abeille qui la butine de son dard, faisant chauffer son miel. Est-ce que la fleur jouit quand l’abeille la butine ? Il faudrait le lui demander… Trop beau. Tim le fourre complètement et se remet à le labourer en se frottant à lui de tout son corps. Rémi est aux anges, radieux. Il ouvre ses jambes vers le ciel et les referme sur la taille de Tim, de nombreuses fois. J’en profite pour faire quelques photos que j’envoie à Paulo. Aussitôt, il me répond qu’on dirait que Rémi prend un sacré pied. Je regarde mieux et, effectivement, je vois son visage extatique et ses yeux rivés à ceux de Tim…« -Oooooh ! Tiiiiiiiiim ! Bourre moi fort ! Vas y à fond !! »Visiblement, il se passe à nouveau quelque chose entre ces deux là… Tim va le labourer encore et encore jusqu’à le faire jouir du cul, à force de lui frotter la prostate de son chibre. Là, ce sera l’apothéose. Apothéose de cris, de hurlements, de jouissances presque simultanées. Trop beau.
On s’endort tous les trois. Rémi lui promettant de prendre Tim au cours de son sommeil. Ce qu’il fit, sans même me réveiller !
Quand je me réveillais, j’eus une furieuse envie d’être pris par Tim. J’avais envie que sa grosse teub me déchire à fond. Tout homo qui se respecte rêve d’avoir ou de recevoir une bite comme celle de Tim. Un cadeau de la nature. A défaut de l’avoir, j’aimerais la recevoir - peut-être pour la dernière fois ?-. Alors, je fais tout pour. Je me mets en cuiller par rapport à lui qui dort encore, sur le côté. Je me mets à me dilater. Un, deux trois doigts. C’est bon là. Puis je me tartine de gel et enfin, je prends doucement la bite de Tim, qui dort encore, et la fait glisser dans ma raie, en insistant sur ma rondelle. Bientôt, je sens qu’elle prend du volume pour atteindre très vite ses dimensions hors normes. Il doit être entrain de se réveiller. D’ailleurs, il prend les choses en main, si je puis dire.
Assez facilement, il passe son gland. Outchhh ! Ca fait toujours de l’effet de recevoir un truc pareil. Puis il se met à progresser lentement. Quelle sensation ! Je déguste chaque millimètre, chaque centimètre, chaque seconde ! Avec l’impression d’être rempli par quelque chose de chaud, de vibrant, d’énorme. Je tourne la tête pour chercher à l’embrasser. Il va ainsi me limer un moment, tout en douceur. Trop cool. Triop bien de la sentir aller et venir dans mon ventre. Elle est chaude, elle est dure, elle est grosse, elle est bonne. Comme je veux qu’il me malmène un max, je me retire, je me mets sur le dos et je l’attends, jambes au ciel.
Il me pénètre direct et commence à me limer puissamment. C’est le moment que choisit Rémi pour se réveiller. Probablement à cause de tous ces mouvements dans le lit. Tim a encore accéléré la cadence de ses coups de reins. Rémi mate, intéressé. Encore plus vite, encore plus fort.
« -Vas y Tim ! Fuck me hard ! »A fond maintenant. Je la sens qui me laboure les entrailles à toute vitesse. J’ai le cul en feu mais pour rien au monde, je ne céderai ma place ! Et soudain, je sens une giclée brûlante qui m’inonde les entrailles.
« -Merci Tim ! Merci ! »Après un petit temps de récup, on se lève, on se lave, on déjeune. On discute surtout. Beaucoup. Tim veut repartir chez lui dès aujourd’hui. Rémi, inquiet, parce que déjà passé par là, se propose de l’accompagner pour quelques jours - et quelques nuits…-. Est-ce une bonne idée ? Ne vaudrait-il pas mieux le laisser choisir seul son orientation sexuelle future ? Rémi est décidé. Ils partent.
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