Révision avec une étudiante pas toujours très sage et son amie
Récit érotique écrit par Orangina07 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Révision avec une étudiante pas toujours très sage et son amie
Dix jours plus tard, Mademoiselle Pénélope, la secrétaire entre dans la salle des professeurs. On la voit rarement mais quand elle est présente, on ne peut pas l'ignorer.
- Bonjour à tous, dit-elle d'une voix douce à peine audible.
Du haut de ses un mètre soixante, elle dégage le charme d'une jeune étudiante sortie de l'école. Ses cheveux courts, ramenés en chignon au-dessus de son crâne, libèrent son cou. Ses petits yeux en amandes, sa bouche aux lèvres fines et son nez en trompette lui donnent un air de poupée. Mais qu'elle magnifique poupée. Tout est là.
La chemise longue ouverte qu'elle porte cache à peine ses courbes, des proportions idéales et parfaites. Des seins volumineux, lourds sans pour autant tomber, couverts par un body. Une taille de guêpe soulignée par une ceinture, des fesses rondes, fermes sur des jambes fuselées sous un legging.
Je la regarde évoluer dans la pièce d'un pas hésitant, glisser des documents dans les casiers de certains professeurs. Une fois les enveloppes distribuées, elle s'avance vers moi. Elle s'arrête et colle sa cuisse contre la table sur laquelle je travaille.
Avant de lever la tête jusqu'à son visage, mes yeux bloquent plusieurs secondes sur son entrecuisse. Ce que je vois me semble irréel, impossible. Peut-être que la luminosité dans la pièce, sa position par rapport à moi, les pans de sa chemise longue qui apportent des ombres, tout ça ajouté à mon manque de sommeil font que je penche la tête sur le côté pour mieux voir et être sûre de ne pas rêver.
Là, devant mes yeux, en plus de distinguer parfaitement les lèvres intimes gonflées, je vois le tissu du legging tendu sur quelques centimètres comme la toile d'un chapiteau sur un mat. Lentement, je relève la tête sur son ventre, puis sur ses seins dont je remarque nettement les tétons dressés.
Mon regard se poursuit sur ses lèvres couvertes par un doux rose à lèvres jusqu'à ses yeux.
- Bonjour, me dit-elle.
- Bonjour Mademoiselle Pénélope, dis-je.
Plusieurs secondes passent durant lesquelles je la vois se trémousser contre la table debout à côté de moi. Elle croise les jambes, puis les décroise, porte son poids d'un pied sur l'autre.
La porte de la salle des professeurs qui se ferme en claquant la fait sursauter.
Elle s'appuie des deux mains à plat sur la table. Elle respire par le nez, ferme les yeux, se mord la lèvre inférieure. Je tourne la tête pour voir si quelqu'un d'autre est présent.
Personne à part Mademoiselle Pénélope et moi.
- Monsieur le directeur veut vous voir dans son bureau, dit-elle entre deux souffles, avant de s'éloigner d'un pas mal assuré, se tenant aux dossiers des chaises.
Dix minutes plus tard, je frappe à la porte du bureau du directeur. Comme à chaque fois que j'entre, il a le nez plongé dans ses dossiers, des feuilles étalées partout et même sur le sol.
- Bonjour monsieur le directeur, dis-je.
- Bonjour, répond-il en levant les yeux sur moi, ce qui est inhabituel. Comment se passent les cours avec ma fille ? demande-t-il.
- EEuuh...bien...bien je vous assure. Elle se donne à fond, dis-je alors que je repense à son premier cours avec moi.
- Tant mieux...tant mieux.
Il fouille dans ses papiers et me demande de poursuivre les cours particuliers avec Sara. Après quoi il me raccompagne vers la sortie. L'entretien a duré deux minutes. Je reste dos à la porte en essayant de comprendre cet homme.
Il n'est donc pas au courant ?
Je retourne dans la salle des professeurs, récupère mes affaires et pars donner mes cours.
Le lendemain en fin de journée, après la dernière heure de cours, j'attends Sara dans la salle de classe. Les minutes passent. Toujours personne.
Après vingt minutes d'attente, je range mes affaires et me lève. Au même moment, Sara arrive en courant, se cogne l'épaule contre le montant de la porte. Le contenu de son sac tombe sur le sol.
- AAoouu, lâche Sara en se massant l’épaule, ça fait mal.
- Bonsoir Sara, dis-je quand je m'agenouille pour ramasser ses affaires.
Une fois terminé, je lève la tête vers la jeune femme encore adossée au chambranle de la porte. Mon regard s'arrête sur ses cuisses dénudées, puis remonte sur sa micro-jupe qui ne cache presque rien de ses fesses et dévoile la toison brune sur son sexe.
Ce n'est pas mieux pour sa petite poitrine seulement couverte par un soutien-gorge percé qui exhibe les tétons. Une chemise longue complète sa tenue vestimentaire.
Je me relève, lui tend son sac et retourne m'assoir au bureau.
- Vous pensez que c'est une tenue pour étudier ? dis-je en ouvrant un livre.
- Ben quoi ! qu'est-ce qu'elle a ma tenue ! répond-elle en se regardant des pieds aux épaules. Elle ne vous plaît pas ?
Je pousse un long soupir et lui demande de venir s'assoir pour commencer le cours.
- Vous n'êtes pas drôle, ajoute Sara qui avance à petits pas en traînant des pieds.
- Et fermez la porte, dis-je.
Sara fait demi-tour, puis revient et s'assoit lourdement sur la chaise. Nous commençons le cours. Je lui explique certains points qu'elle n'a pas compris.
Parfois je me lève pour écrire sur le tableau noir. Mais je constate que ce n'est pas une bonne chose pour moi. Même si je dois rester calme et sérieux, mes yeux s'attardent plus que nécessaire sur la jeune poitrine de l'étudiante.
Et malgré moi, je sens mon sexe durcir dans mon pantalon. Je suis sûre qu'elle le remarque. Pour preuve, sa tête reste fixée sur ma taille. Je continue le cours pendant vingt minutes. Pas de réaction de Sara. Quelques réponses évasives de sa part.
- Est-ce que vous comprenez ce que je vous explique ? dis-je en croisant les bras sur mon torse.
- Oui...oui bien sûr, répond Sara le regard toujours bloqué sur ma taille.
Je vois qu'elle passe sa langue sur ses lèvres. Au bout de quelques secondes, elle retire sa chemise longue. Elle fouille dans son sac avant d'y rouler sa chemise dedans.
Je regarde cette jeune femme assise à moins de deux mètres de moi, en micro-jupe et soutien-gorge percé. Mais que fait-elle ? Á quoi joue-t-elle ? Elle veut me faire virer ?
Je sais que je ne dois pas penser à ça, mais elle est charmante, excitante, bandante même.
- Sara, enfilez votre chemise s'il-vous-plaît, dis-je.
- Je peux le faire mais vu votre état, répond-elle en pointant un doigt sur mon pantalon, je vais rester comme ça.
Sur ces mots, elle se lève, fait deux pas et se colle à moi. Elle avance encore et me plaque contre le tableau noir. Ses mains prennent les miennes et les posent sur ses fesses. Je ne me retiens pas. Je les masse, les caresse, les presse.
- Elles te plaisent mes fesses ? demande Sara qui s'occupe avec hâte d'ouvrir mon pantalon.
Elle y plonge la main et s'empire de ma bite raide. Elle la presse, la branle. Nos bouches se rapprochent puis se collent.
- HHuummm, gémit Sara. Ça fait trop longtemps que j'attends ça.
Elle glisse contre mes cuisses. Á genoux devant moi, elle libère ma bite et la suce sans attendre. Elle la lèche, l'embrasse. Elle tète le gland, gobe les couilles. Je l'accompagne en posant mes mains sur sa tête quand elle enfonce toute ma bite jusqu'au fond de sa gorge. Elle bave, râle, gémit.
- J'adooore, dit-elle quand elle recrache mon sexe couvert de bave.
Je tends la main pour dégrafer son soutien-gorge. J'empoigne son petit sein, tire sur le téton. Sara lèche le gland avant de l'enfoncer entre ses lèvres humides.
- Baise-moi, ajoute Sara qui se relève et se penche sur le bureau.
Sa micro-jupe ne cache rien de son intimité. Ses fesses dévoilent une raie profonde avec en son centre l'anneau plissé sombre de son anus. Je frotte ma bite raide dessus et pousse doucement.
Sara attrape ses fesses à pleines mains, les écarte pour faciliter la pénétration. Je pousse un peu plus. L'orifice cède et laisse entrer le gland d'un coup.
- OOUUIIIII, crie Sara qui pousse vers moi pour que ma bite la pénètre.
Je l'attrape par les hanches et m'enfonce toujours plus profond. Je stoppe quand mes couilles frappent l'arrière de ses cuisses. Je sors et retourne dans ce conduit chaud et étroit de plus en plus vite et fort. Mon pubis claque contre ses fesses.
Sara tire sur ses tétons. Je la baise encore et encore. Ses muscles anaux compriment ma bite.
Sara se redresse et plaque son dos contre mon buste. Elle pose ses mains sur mes fesses et m'attire plus fort contre elle, en elle.
- Je ne vais pas tenir longtemps, dis-je.
Sur ces mots, Sara se dégage et va s'assoir sur une chaise. Je reste debout, le sexe tendu.
Hasard ou non mais au même moment, on frappe à la porte. Je me rhabille rapidement pendant que Sara reste assise sans bouger, sans se couvrir. Elle me sourit puis regarde la porte.
Une fois le pantalon remis en place, je me tourne vers la porte de la salle de classe.
- Entrez, dis-je.
Personne, pas de réponse. La porte reste fermée. Je patiente un peu. Je regarde Sara toujours sans réaction.
- ENTREZ, dis-je plus fort.
Toujours rien. Je fais un pas pour me diriger vers la porte et je vois un petit sourire se dessiner sur les lèvres de Sara. Elle passe les bras au-dessus de sa tête pour s'étirer comme une chatte à son réveil.
Quand j'ouvre la porte, je suis stupéfait. Je fais un pas en arrière. Je n'en crois pas mes yeux. Je regarde la personne de la tête aux pieds debout devant moi. Elle ne bouge pas, garde les yeux fermés, les bras le long du corps.
J'avance vers elle, je passe la tête pour vérifier s'il n'y a personne dans le couloir puis la tire par le poignet pour la faire entrer dans la salle de classe.
Après quelques secondes, je reconnais enfin Mademoiselle Pénélope.
La tenue qu'elle porte est complétement différente de celle de la veille au matin. Terminé le legging, la chemise longue. Oublié le body et la ceinture. Maintenant c'est un harnais soutien-gorge qui tient sa grosse poitrine aux larges auréoles et gros tétons. La culotte ajourée laisse libre accès à ses orifices nus de tous poils.
Je baisse la tête pour voir la base d'un gode, tenue par une sangle, qui dépasse de son sexe.
- Je te présente mon amie, lâche Sara qui se lève et avance vers nous. Surpris ? ajoute-t-elle.
Sara passe derrière Mademoiselle Pénélope. Elle se colle contre la jeune secrétaire qui ouvre les yeux brillants. Parfois ses lèvres dessinent un léger sourire.
Sara effleure du bout des doigts les gros seins de Mademoiselle Pénélope, pince puis tire sur les tétons. Le sourire de son amie disparaît aussitôt. Elle crispe la mâchoire, projette le bassin en avant et gémit quand Sara lui donne une violente claque sur les fesses. Puis une seconde. Elle avance encore son bassin jusqu’à se coller à moi. Elle porte ses bras pour les passer autour de mon cou. Aussitôt Sara lui attrape les poignets qu'elle bloque dans le dos de la jeune femme.
- Tu ne bouges pas ! dit-elle.
De sa main libre, Sara continue de la fesser plus vite et plus fort. Chaque son ressemble à celui d'un petit pétard qui éclate. Mademoiselle Pénélope se tord, croise et plie les jambes.
Cette séance de fessée dure cinq minutes. La jeune secrétaire ne tient plus debout. Je suis obligé de la retenir par les épaules comme une poupée articulée au bout des fils.
Alors que Sara lui assène une dernière claque sur les fesses rougies, j'aperçois le gode de la taille d'une canette en fer qui tombe d'entre les cuisses de ma jeune partenaire. Quelques jets coulent le long des cuisses et inondent le sol couvert de mouille.
- La place est libre maintenant, lâche Sara qui se frotte et écrase ses petits seins contre le dos de Mademoiselle Pénélope. Ça va rentrer tout seul...comme d'habitude, ajoute-t-elle.
Sara la prend par le cou et l'entraîne jusqu'au bureau. Elle me tire par le poignet comme un chien au bout de sa laisse.
Je ne suis que spectateur de ses deux jeunes femmes qui s'adonnent à des pulsions sexuelles intenses. J'adore ça.
Sara me pousse contre le bureau sur lequel je m'assois. Elle tire son amie jusqu'entre mes cuisses.
- J'espère que tu n'as pas prévue de rentrer tout de suite, demande Sara à Mademoiselle Pénélope. Parce que tu as des heures de permanence à rattraper, ajoute-t-elle.
Sara oblige sa partenaire féminine à se pencher en avant sur mes cuisses. La tête de Mademoiselle Pénélope s'écrase sur mon sexe maintenant raide dans mon pantalon.
- Sors ta bite, m'ordonne Sara.
J'exécute aussitôt.
Je tire sur la peau pour décalotter le gland humide. Sara tire la tête de la jeune secrétaire en arrière et la dirige vers ma bite qui disparaît entre les lèvres chaudes et humides. J'appuie sur le crâne pour m'enfoncer le plus profond possible. Je sens le bout de ma bite cogner au fond de la gorge. Mademoiselle Pénélope déglutie, râle, gémit.
Je regarde Sara qui frotte ses mains entre les fesses, les cuisses de son amie. Elle les porte ensuite près de visage de ma suceuse. Sara glisse ses doigts couverts de mouille sous le nez de son amie qui me suce toujours.
- Sens cette odeur de petite chatte en chaleur, lui dit Sara.
Elle appuie plus fort sur la tête pour que ma bite disparaisse dans la bouche de Mademoiselle Pénélope. Puis elle porte ses mains entre les fesses et les cuisses. Elle serre les poings sur chaque orifice et pousse.
J'entends la jeune secrétaire gémir jusqu'à ce que les deux mains ouvrent, dilatent, s'enfoncent et pénètrent les trous. Elle recrache ma bite pour crier, râler. Sara continue de lui baiser le cul et la chatte avec plus de force. Je vois les avant-bras s'enfoncer plus profond.
Cette double pénétration dure plus de dix minutes.
Les poings de Sara sont couverts de mouille, de cyprine. Mademoiselle Pénélope n'a plus la force de me sucer. Elle reste pliée sur mes genoux, sa tête heurte mon pubis, ma bite, quand ses trous sont pénétrés, percutés.
- Viens là, me dit-elle en sortant ses mains baveuses, crémeuses.
Elle pousse Mademoiselle Pénélope contre le bureau. Elle m'attrape par la taille, pointe ma bite entre les fesses de la jeune femme courbée devant moi.
Ma bite est aspirée par ce trou plissé maintenant ouvert à l'extrême. La jeune secrétaire rejette la tête en arrière, se cramponne aux bords du bureau quand je commence à la baiser.
C'est chaud, doux, soyeux. Parfois j'alterne entre les deux trous à portée de ma bite.
Sara se penche sur les reins de Mademoiselle Pénélope et m'offre sa bouche comme troisième orifice à pénétrer. Elle m'aspire le gland, le tète. Elle se redresse pour écarter au maximum les fesses de son amie et ouvrir un peu plus l'anus boursoufflé. Les parois internes rouges vifs s'exhibent à l'extérieur comme un popcorn.
Après encore quelques minutes de baise intense, Sara monte à son tour sur le bureau. Elle se couche sur le dos de son amie et me présente ses orifices couverts de mouille.
- Vas-y, me dit-elle en écartant ses fesses. Ne te retient pas, baise-nous.
Je baisse la tête et sourit. Quel bonheur. Qu'est-ce que je peux imaginer de plus et de mieux ?
Devant moi, devant ma bite dressée il y a quatre orifices prêt à se faire défoncer, dilater. Je ne sais lequel choisir. Je joue avec ma bite en la frottant dans chacune des raies à ma disposition.
J'enfonce parfois le bout du gland dans un trou puis ressort. Je frappe sur les fesses ou contre l'anus qui se contracte puis se relâche.
- Alleeez...dépêches-toi ! dit Sara qui se redresse et me donne une gifle. On ne va pas y passer la soirée.
Piqué au vif, j'attrape ses hanches et pousse mon bassin en avant.
Ma bite glisse sur la cuisse de Sara, pointe vers l'anus qui résiste une seconde avant de s'ouvrir comme une fleur. Je m'engouffre dans ce conduit serré d'un seul coup jusqu'à la garde. Mes couilles frappent contre le sexe baveux de Mademoiselle Pénélope qui pousse un cri.
Je m'accroche aux hanches de la jeune étudiante et la pilonne comme un forcené. Je ne cherche pas à prendre du plaisir, ni à lui en donner. Je veux seulement la défoncer.
Sara se cramponne au bureau, s'accroche parfois à sa partenaire couchée sous elle. Je pèse de tout mon poids sur les reins de Sara. Je claque ses fesses, les écarte.
Je sors de son trou pour remplir à nouveau le cul de Mademoiselle Pénélope qui ouvre la bouche, surprise par cette pénétration soudaine, la respiration bloquée. Je lui baise le cul, puis je m'enfonce dans sa chatte dégoulinante. Je m'amuse avec tous ces trous à ma disposition.
Je reviens entre les fesses de Sara qui glisse sur le dos de Mademoiselle Pénélope et m'accompagne pendant que je lui défonce l'anus. Je les baise tour à tour pendant un long moment.
J'empoigne les fesses de Sara, les claque. La fille du directeur se dresse à quatre pattes sur la table. Je vois Mademoiselle Pénélope qui se tourne sous sa partenaire qui frotte maintenant ses seins contre ceux de la secrétaire. Les deux jeunes femmes se caressent, se frottent l'une contre l'autre.
Je recule un peu pour les admirer, pour voir leurs corps glisser l'un contre l'autre. Elles s'embrassent à pleine bouche lorsque Sara empoigne la chevelure de sa partenaire et tire violement la tête en arrière.
- Tu crois qu'on est là pour s'amuser ? lui dit-elle avant de la gifler. Toi ! me dit-elle, ramasse-le gode et approche.
Sara se tourne sur la table et présente ses fesses, sa chatte baveuse sur le visage de Mademoiselle Pénélope.
La jeune étudiante s'assoit sans ménagement et écrase la secrétaire. Elle lui relève les cuisses, attrape le gode et l'enfonce sans attendre dans la fente. Elle m'attrape ensuite par la bite et la pointe entre les fesses écartées.
Je m'enfonce d'un coup puissant.
J'entends Mademoiselle Pénélope gémir, râler. Ses cris sont étouffés par Sara qui s'assoit plus fort, remue son bassin en cercle sur elle. Ma bite frotte contre le gode à travers la paroi interne.
La vue de ce gode entre les lèvres gonflées et de ma bite qui coulisse dans l'anus est un délice. Les pénétrations sont de plus en plus rapides jusqu'à ce que je n'arrive plus à me retenir.
- Oui vas-y, dit Sara en me prenant par le cou, balance tout dans cette petite salope, ajoute-t-elle en retirant le gode pour le remplacer par son autre main.
Je pousse, je claque plusieurs fois contre Mademoiselle Pénélope quand j'explose en elle.
La jeune femme me suit dans la jouissance. Elle contracte son anus sur ma bite.
De son côté, Sara se crispe à son tour et jouit en déversant son jus sur le visage et dans la bouche de la secrétaire.
Je me laisse tomber sur une chaise. Sara roule sur le côté sur le bureau et libère Mademoiselle Pénélope.
Après quelques minutes, Sara descend du bureau. Elle enfile sa chemise longue, ramasse son sac.
- Merci pour le cours, dit-elle en ouvrant la porte. On se voit demain ! ajoute-t-elle plus pour affirmer que pour poser la question avant de refermer la porte derrière elle.
Je reste assis. Je regarde ma bite molle couverte de jus et traces blanches.
Mademoiselle Pénélope descend du bureau, ramasse le gode puis disparaît à son tour sans un mot ni un regard.
Cinq minutes plus tard, je sors de la salle de classe. Les couloirs, plongés dans l'obscurité, sont déserts.
Arrivée en bas des escaliers, je trouve le bureau des surveillants allumé. Une femme d'une quarantaine, penchée sur un bureau, remplit un registre.
- Bonsoir, dis-je.
- Bonsoir, répond-elle en se levant pour venir vers moi. Le cours particulier est terminé ?
- Oui terminé.
Elle joue avec une mèche de ses cheveux bruns avant de la glisser derrière son oreille.
- Ah...dommage, ajoute-t-elle, j'ai quelques lacunes et je me demande si vous ne pouvez pas m'aider !
Je la regarde. Elle me sourit.
- Pas de problème, dis-je après quelques secondes. On voit ça la semaine prochaine.
- Avec plaisir, finit-elle par dire. En plus j'adore les cours particuliers à plusieurs.
- Bonjour à tous, dit-elle d'une voix douce à peine audible.
Du haut de ses un mètre soixante, elle dégage le charme d'une jeune étudiante sortie de l'école. Ses cheveux courts, ramenés en chignon au-dessus de son crâne, libèrent son cou. Ses petits yeux en amandes, sa bouche aux lèvres fines et son nez en trompette lui donnent un air de poupée. Mais qu'elle magnifique poupée. Tout est là.
La chemise longue ouverte qu'elle porte cache à peine ses courbes, des proportions idéales et parfaites. Des seins volumineux, lourds sans pour autant tomber, couverts par un body. Une taille de guêpe soulignée par une ceinture, des fesses rondes, fermes sur des jambes fuselées sous un legging.
Je la regarde évoluer dans la pièce d'un pas hésitant, glisser des documents dans les casiers de certains professeurs. Une fois les enveloppes distribuées, elle s'avance vers moi. Elle s'arrête et colle sa cuisse contre la table sur laquelle je travaille.
Avant de lever la tête jusqu'à son visage, mes yeux bloquent plusieurs secondes sur son entrecuisse. Ce que je vois me semble irréel, impossible. Peut-être que la luminosité dans la pièce, sa position par rapport à moi, les pans de sa chemise longue qui apportent des ombres, tout ça ajouté à mon manque de sommeil font que je penche la tête sur le côté pour mieux voir et être sûre de ne pas rêver.
Là, devant mes yeux, en plus de distinguer parfaitement les lèvres intimes gonflées, je vois le tissu du legging tendu sur quelques centimètres comme la toile d'un chapiteau sur un mat. Lentement, je relève la tête sur son ventre, puis sur ses seins dont je remarque nettement les tétons dressés.
Mon regard se poursuit sur ses lèvres couvertes par un doux rose à lèvres jusqu'à ses yeux.
- Bonjour, me dit-elle.
- Bonjour Mademoiselle Pénélope, dis-je.
Plusieurs secondes passent durant lesquelles je la vois se trémousser contre la table debout à côté de moi. Elle croise les jambes, puis les décroise, porte son poids d'un pied sur l'autre.
La porte de la salle des professeurs qui se ferme en claquant la fait sursauter.
Elle s'appuie des deux mains à plat sur la table. Elle respire par le nez, ferme les yeux, se mord la lèvre inférieure. Je tourne la tête pour voir si quelqu'un d'autre est présent.
Personne à part Mademoiselle Pénélope et moi.
- Monsieur le directeur veut vous voir dans son bureau, dit-elle entre deux souffles, avant de s'éloigner d'un pas mal assuré, se tenant aux dossiers des chaises.
Dix minutes plus tard, je frappe à la porte du bureau du directeur. Comme à chaque fois que j'entre, il a le nez plongé dans ses dossiers, des feuilles étalées partout et même sur le sol.
- Bonjour monsieur le directeur, dis-je.
- Bonjour, répond-il en levant les yeux sur moi, ce qui est inhabituel. Comment se passent les cours avec ma fille ? demande-t-il.
- EEuuh...bien...bien je vous assure. Elle se donne à fond, dis-je alors que je repense à son premier cours avec moi.
- Tant mieux...tant mieux.
Il fouille dans ses papiers et me demande de poursuivre les cours particuliers avec Sara. Après quoi il me raccompagne vers la sortie. L'entretien a duré deux minutes. Je reste dos à la porte en essayant de comprendre cet homme.
Il n'est donc pas au courant ?
Je retourne dans la salle des professeurs, récupère mes affaires et pars donner mes cours.
Le lendemain en fin de journée, après la dernière heure de cours, j'attends Sara dans la salle de classe. Les minutes passent. Toujours personne.
Après vingt minutes d'attente, je range mes affaires et me lève. Au même moment, Sara arrive en courant, se cogne l'épaule contre le montant de la porte. Le contenu de son sac tombe sur le sol.
- AAoouu, lâche Sara en se massant l’épaule, ça fait mal.
- Bonsoir Sara, dis-je quand je m'agenouille pour ramasser ses affaires.
Une fois terminé, je lève la tête vers la jeune femme encore adossée au chambranle de la porte. Mon regard s'arrête sur ses cuisses dénudées, puis remonte sur sa micro-jupe qui ne cache presque rien de ses fesses et dévoile la toison brune sur son sexe.
Ce n'est pas mieux pour sa petite poitrine seulement couverte par un soutien-gorge percé qui exhibe les tétons. Une chemise longue complète sa tenue vestimentaire.
Je me relève, lui tend son sac et retourne m'assoir au bureau.
- Vous pensez que c'est une tenue pour étudier ? dis-je en ouvrant un livre.
- Ben quoi ! qu'est-ce qu'elle a ma tenue ! répond-elle en se regardant des pieds aux épaules. Elle ne vous plaît pas ?
Je pousse un long soupir et lui demande de venir s'assoir pour commencer le cours.
- Vous n'êtes pas drôle, ajoute Sara qui avance à petits pas en traînant des pieds.
- Et fermez la porte, dis-je.
Sara fait demi-tour, puis revient et s'assoit lourdement sur la chaise. Nous commençons le cours. Je lui explique certains points qu'elle n'a pas compris.
Parfois je me lève pour écrire sur le tableau noir. Mais je constate que ce n'est pas une bonne chose pour moi. Même si je dois rester calme et sérieux, mes yeux s'attardent plus que nécessaire sur la jeune poitrine de l'étudiante.
Et malgré moi, je sens mon sexe durcir dans mon pantalon. Je suis sûre qu'elle le remarque. Pour preuve, sa tête reste fixée sur ma taille. Je continue le cours pendant vingt minutes. Pas de réaction de Sara. Quelques réponses évasives de sa part.
- Est-ce que vous comprenez ce que je vous explique ? dis-je en croisant les bras sur mon torse.
- Oui...oui bien sûr, répond Sara le regard toujours bloqué sur ma taille.
Je vois qu'elle passe sa langue sur ses lèvres. Au bout de quelques secondes, elle retire sa chemise longue. Elle fouille dans son sac avant d'y rouler sa chemise dedans.
Je regarde cette jeune femme assise à moins de deux mètres de moi, en micro-jupe et soutien-gorge percé. Mais que fait-elle ? Á quoi joue-t-elle ? Elle veut me faire virer ?
Je sais que je ne dois pas penser à ça, mais elle est charmante, excitante, bandante même.
- Sara, enfilez votre chemise s'il-vous-plaît, dis-je.
- Je peux le faire mais vu votre état, répond-elle en pointant un doigt sur mon pantalon, je vais rester comme ça.
Sur ces mots, elle se lève, fait deux pas et se colle à moi. Elle avance encore et me plaque contre le tableau noir. Ses mains prennent les miennes et les posent sur ses fesses. Je ne me retiens pas. Je les masse, les caresse, les presse.
- Elles te plaisent mes fesses ? demande Sara qui s'occupe avec hâte d'ouvrir mon pantalon.
Elle y plonge la main et s'empire de ma bite raide. Elle la presse, la branle. Nos bouches se rapprochent puis se collent.
- HHuummm, gémit Sara. Ça fait trop longtemps que j'attends ça.
Elle glisse contre mes cuisses. Á genoux devant moi, elle libère ma bite et la suce sans attendre. Elle la lèche, l'embrasse. Elle tète le gland, gobe les couilles. Je l'accompagne en posant mes mains sur sa tête quand elle enfonce toute ma bite jusqu'au fond de sa gorge. Elle bave, râle, gémit.
- J'adooore, dit-elle quand elle recrache mon sexe couvert de bave.
Je tends la main pour dégrafer son soutien-gorge. J'empoigne son petit sein, tire sur le téton. Sara lèche le gland avant de l'enfoncer entre ses lèvres humides.
- Baise-moi, ajoute Sara qui se relève et se penche sur le bureau.
Sa micro-jupe ne cache rien de son intimité. Ses fesses dévoilent une raie profonde avec en son centre l'anneau plissé sombre de son anus. Je frotte ma bite raide dessus et pousse doucement.
Sara attrape ses fesses à pleines mains, les écarte pour faciliter la pénétration. Je pousse un peu plus. L'orifice cède et laisse entrer le gland d'un coup.
- OOUUIIIII, crie Sara qui pousse vers moi pour que ma bite la pénètre.
Je l'attrape par les hanches et m'enfonce toujours plus profond. Je stoppe quand mes couilles frappent l'arrière de ses cuisses. Je sors et retourne dans ce conduit chaud et étroit de plus en plus vite et fort. Mon pubis claque contre ses fesses.
Sara tire sur ses tétons. Je la baise encore et encore. Ses muscles anaux compriment ma bite.
Sara se redresse et plaque son dos contre mon buste. Elle pose ses mains sur mes fesses et m'attire plus fort contre elle, en elle.
- Je ne vais pas tenir longtemps, dis-je.
Sur ces mots, Sara se dégage et va s'assoir sur une chaise. Je reste debout, le sexe tendu.
Hasard ou non mais au même moment, on frappe à la porte. Je me rhabille rapidement pendant que Sara reste assise sans bouger, sans se couvrir. Elle me sourit puis regarde la porte.
Une fois le pantalon remis en place, je me tourne vers la porte de la salle de classe.
- Entrez, dis-je.
Personne, pas de réponse. La porte reste fermée. Je patiente un peu. Je regarde Sara toujours sans réaction.
- ENTREZ, dis-je plus fort.
Toujours rien. Je fais un pas pour me diriger vers la porte et je vois un petit sourire se dessiner sur les lèvres de Sara. Elle passe les bras au-dessus de sa tête pour s'étirer comme une chatte à son réveil.
Quand j'ouvre la porte, je suis stupéfait. Je fais un pas en arrière. Je n'en crois pas mes yeux. Je regarde la personne de la tête aux pieds debout devant moi. Elle ne bouge pas, garde les yeux fermés, les bras le long du corps.
J'avance vers elle, je passe la tête pour vérifier s'il n'y a personne dans le couloir puis la tire par le poignet pour la faire entrer dans la salle de classe.
Après quelques secondes, je reconnais enfin Mademoiselle Pénélope.
La tenue qu'elle porte est complétement différente de celle de la veille au matin. Terminé le legging, la chemise longue. Oublié le body et la ceinture. Maintenant c'est un harnais soutien-gorge qui tient sa grosse poitrine aux larges auréoles et gros tétons. La culotte ajourée laisse libre accès à ses orifices nus de tous poils.
Je baisse la tête pour voir la base d'un gode, tenue par une sangle, qui dépasse de son sexe.
- Je te présente mon amie, lâche Sara qui se lève et avance vers nous. Surpris ? ajoute-t-elle.
Sara passe derrière Mademoiselle Pénélope. Elle se colle contre la jeune secrétaire qui ouvre les yeux brillants. Parfois ses lèvres dessinent un léger sourire.
Sara effleure du bout des doigts les gros seins de Mademoiselle Pénélope, pince puis tire sur les tétons. Le sourire de son amie disparaît aussitôt. Elle crispe la mâchoire, projette le bassin en avant et gémit quand Sara lui donne une violente claque sur les fesses. Puis une seconde. Elle avance encore son bassin jusqu’à se coller à moi. Elle porte ses bras pour les passer autour de mon cou. Aussitôt Sara lui attrape les poignets qu'elle bloque dans le dos de la jeune femme.
- Tu ne bouges pas ! dit-elle.
De sa main libre, Sara continue de la fesser plus vite et plus fort. Chaque son ressemble à celui d'un petit pétard qui éclate. Mademoiselle Pénélope se tord, croise et plie les jambes.
Cette séance de fessée dure cinq minutes. La jeune secrétaire ne tient plus debout. Je suis obligé de la retenir par les épaules comme une poupée articulée au bout des fils.
Alors que Sara lui assène une dernière claque sur les fesses rougies, j'aperçois le gode de la taille d'une canette en fer qui tombe d'entre les cuisses de ma jeune partenaire. Quelques jets coulent le long des cuisses et inondent le sol couvert de mouille.
- La place est libre maintenant, lâche Sara qui se frotte et écrase ses petits seins contre le dos de Mademoiselle Pénélope. Ça va rentrer tout seul...comme d'habitude, ajoute-t-elle.
Sara la prend par le cou et l'entraîne jusqu'au bureau. Elle me tire par le poignet comme un chien au bout de sa laisse.
Je ne suis que spectateur de ses deux jeunes femmes qui s'adonnent à des pulsions sexuelles intenses. J'adore ça.
Sara me pousse contre le bureau sur lequel je m'assois. Elle tire son amie jusqu'entre mes cuisses.
- J'espère que tu n'as pas prévue de rentrer tout de suite, demande Sara à Mademoiselle Pénélope. Parce que tu as des heures de permanence à rattraper, ajoute-t-elle.
Sara oblige sa partenaire féminine à se pencher en avant sur mes cuisses. La tête de Mademoiselle Pénélope s'écrase sur mon sexe maintenant raide dans mon pantalon.
- Sors ta bite, m'ordonne Sara.
J'exécute aussitôt.
Je tire sur la peau pour décalotter le gland humide. Sara tire la tête de la jeune secrétaire en arrière et la dirige vers ma bite qui disparaît entre les lèvres chaudes et humides. J'appuie sur le crâne pour m'enfoncer le plus profond possible. Je sens le bout de ma bite cogner au fond de la gorge. Mademoiselle Pénélope déglutie, râle, gémit.
Je regarde Sara qui frotte ses mains entre les fesses, les cuisses de son amie. Elle les porte ensuite près de visage de ma suceuse. Sara glisse ses doigts couverts de mouille sous le nez de son amie qui me suce toujours.
- Sens cette odeur de petite chatte en chaleur, lui dit Sara.
Elle appuie plus fort sur la tête pour que ma bite disparaisse dans la bouche de Mademoiselle Pénélope. Puis elle porte ses mains entre les fesses et les cuisses. Elle serre les poings sur chaque orifice et pousse.
J'entends la jeune secrétaire gémir jusqu'à ce que les deux mains ouvrent, dilatent, s'enfoncent et pénètrent les trous. Elle recrache ma bite pour crier, râler. Sara continue de lui baiser le cul et la chatte avec plus de force. Je vois les avant-bras s'enfoncer plus profond.
Cette double pénétration dure plus de dix minutes.
Les poings de Sara sont couverts de mouille, de cyprine. Mademoiselle Pénélope n'a plus la force de me sucer. Elle reste pliée sur mes genoux, sa tête heurte mon pubis, ma bite, quand ses trous sont pénétrés, percutés.
- Viens là, me dit-elle en sortant ses mains baveuses, crémeuses.
Elle pousse Mademoiselle Pénélope contre le bureau. Elle m'attrape par la taille, pointe ma bite entre les fesses de la jeune femme courbée devant moi.
Ma bite est aspirée par ce trou plissé maintenant ouvert à l'extrême. La jeune secrétaire rejette la tête en arrière, se cramponne aux bords du bureau quand je commence à la baiser.
C'est chaud, doux, soyeux. Parfois j'alterne entre les deux trous à portée de ma bite.
Sara se penche sur les reins de Mademoiselle Pénélope et m'offre sa bouche comme troisième orifice à pénétrer. Elle m'aspire le gland, le tète. Elle se redresse pour écarter au maximum les fesses de son amie et ouvrir un peu plus l'anus boursoufflé. Les parois internes rouges vifs s'exhibent à l'extérieur comme un popcorn.
Après encore quelques minutes de baise intense, Sara monte à son tour sur le bureau. Elle se couche sur le dos de son amie et me présente ses orifices couverts de mouille.
- Vas-y, me dit-elle en écartant ses fesses. Ne te retient pas, baise-nous.
Je baisse la tête et sourit. Quel bonheur. Qu'est-ce que je peux imaginer de plus et de mieux ?
Devant moi, devant ma bite dressée il y a quatre orifices prêt à se faire défoncer, dilater. Je ne sais lequel choisir. Je joue avec ma bite en la frottant dans chacune des raies à ma disposition.
J'enfonce parfois le bout du gland dans un trou puis ressort. Je frappe sur les fesses ou contre l'anus qui se contracte puis se relâche.
- Alleeez...dépêches-toi ! dit Sara qui se redresse et me donne une gifle. On ne va pas y passer la soirée.
Piqué au vif, j'attrape ses hanches et pousse mon bassin en avant.
Ma bite glisse sur la cuisse de Sara, pointe vers l'anus qui résiste une seconde avant de s'ouvrir comme une fleur. Je m'engouffre dans ce conduit serré d'un seul coup jusqu'à la garde. Mes couilles frappent contre le sexe baveux de Mademoiselle Pénélope qui pousse un cri.
Je m'accroche aux hanches de la jeune étudiante et la pilonne comme un forcené. Je ne cherche pas à prendre du plaisir, ni à lui en donner. Je veux seulement la défoncer.
Sara se cramponne au bureau, s'accroche parfois à sa partenaire couchée sous elle. Je pèse de tout mon poids sur les reins de Sara. Je claque ses fesses, les écarte.
Je sors de son trou pour remplir à nouveau le cul de Mademoiselle Pénélope qui ouvre la bouche, surprise par cette pénétration soudaine, la respiration bloquée. Je lui baise le cul, puis je m'enfonce dans sa chatte dégoulinante. Je m'amuse avec tous ces trous à ma disposition.
Je reviens entre les fesses de Sara qui glisse sur le dos de Mademoiselle Pénélope et m'accompagne pendant que je lui défonce l'anus. Je les baise tour à tour pendant un long moment.
J'empoigne les fesses de Sara, les claque. La fille du directeur se dresse à quatre pattes sur la table. Je vois Mademoiselle Pénélope qui se tourne sous sa partenaire qui frotte maintenant ses seins contre ceux de la secrétaire. Les deux jeunes femmes se caressent, se frottent l'une contre l'autre.
Je recule un peu pour les admirer, pour voir leurs corps glisser l'un contre l'autre. Elles s'embrassent à pleine bouche lorsque Sara empoigne la chevelure de sa partenaire et tire violement la tête en arrière.
- Tu crois qu'on est là pour s'amuser ? lui dit-elle avant de la gifler. Toi ! me dit-elle, ramasse-le gode et approche.
Sara se tourne sur la table et présente ses fesses, sa chatte baveuse sur le visage de Mademoiselle Pénélope.
La jeune étudiante s'assoit sans ménagement et écrase la secrétaire. Elle lui relève les cuisses, attrape le gode et l'enfonce sans attendre dans la fente. Elle m'attrape ensuite par la bite et la pointe entre les fesses écartées.
Je m'enfonce d'un coup puissant.
J'entends Mademoiselle Pénélope gémir, râler. Ses cris sont étouffés par Sara qui s'assoit plus fort, remue son bassin en cercle sur elle. Ma bite frotte contre le gode à travers la paroi interne.
La vue de ce gode entre les lèvres gonflées et de ma bite qui coulisse dans l'anus est un délice. Les pénétrations sont de plus en plus rapides jusqu'à ce que je n'arrive plus à me retenir.
- Oui vas-y, dit Sara en me prenant par le cou, balance tout dans cette petite salope, ajoute-t-elle en retirant le gode pour le remplacer par son autre main.
Je pousse, je claque plusieurs fois contre Mademoiselle Pénélope quand j'explose en elle.
La jeune femme me suit dans la jouissance. Elle contracte son anus sur ma bite.
De son côté, Sara se crispe à son tour et jouit en déversant son jus sur le visage et dans la bouche de la secrétaire.
Je me laisse tomber sur une chaise. Sara roule sur le côté sur le bureau et libère Mademoiselle Pénélope.
Après quelques minutes, Sara descend du bureau. Elle enfile sa chemise longue, ramasse son sac.
- Merci pour le cours, dit-elle en ouvrant la porte. On se voit demain ! ajoute-t-elle plus pour affirmer que pour poser la question avant de refermer la porte derrière elle.
Je reste assis. Je regarde ma bite molle couverte de jus et traces blanches.
Mademoiselle Pénélope descend du bureau, ramasse le gode puis disparaît à son tour sans un mot ni un regard.
Cinq minutes plus tard, je sors de la salle de classe. Les couloirs, plongés dans l'obscurité, sont déserts.
Arrivée en bas des escaliers, je trouve le bureau des surveillants allumé. Une femme d'une quarantaine, penchée sur un bureau, remplit un registre.
- Bonsoir, dis-je.
- Bonsoir, répond-elle en se levant pour venir vers moi. Le cours particulier est terminé ?
- Oui terminé.
Elle joue avec une mèche de ses cheveux bruns avant de la glisser derrière son oreille.
- Ah...dommage, ajoute-t-elle, j'ai quelques lacunes et je me demande si vous ne pouvez pas m'aider !
Je la regarde. Elle me sourit.
- Pas de problème, dis-je après quelques secondes. On voit ça la semaine prochaine.
- Avec plaisir, finit-elle par dire. En plus j'adore les cours particuliers à plusieurs.
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