Révisions avec une étudiante pas très sage
Récit érotique écrit par Orangina07 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 35 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.9
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Révisions avec une étudiante pas très sage
Révisions avec une étudiante pas très sage
Vous allez me dire ou m'écrire :
Oui c'est bien, c'est du déjà vu et lu. L'histoire du jeune prof qui donne des cours particuliers et ensuite baise son élève.
J'avoue, c'est une histoire classique. Vous allez penser que j'ai copié les idées de cette histoire parmi toutes celles publiées. Alors pourquoi continuer ?
Et bien peut-être parce que cette élève est la fille du directeur de l'établissement dans lequel j'ai enseigné.
Je suis un jeune professeur de biologie. Je suis impressionné par tous ces élèves et surtout par une en particulier. Sara. La fille du directeur. Petite femme brune cheveux courts, énergique, très speed comme disent les jeunes. Toujours à faire beaucoup d'activités, du sport, membres de plusieurs associations, participe à des rencontres pour aider les autres. Elle n'arrête pas de bouger, de parler vite. De petite taille et menue, elle s'impose et ne se laisse pas intimider. C’est même le contraire. Les autres semblent la craindre même si beaucoup de garçons lui tournent autour.
Il lui arrive parfois d'avoir des flirts avec certains d'entre eux, mais elle s'en détache rapidement. Elle préfère passer du temps avec ses amis plutôt que d'étudier. C'est compréhensible à son âge.
Son père m'appelle dans son bureau. Il m’explique rapidement que sa fille a des difficultés scolaires. Il veut que j’aide Sara.
- Je suis professeur de biologie Monsieur le directeur, c’est plutôt à un autre professeur de l'aider.
- Peut-être...mais…répond-il, le nez plongé dans ses dossiers, sans vraiment entendre ma réponse. Alors c'est d'accord...je vais obliger Sara à suivre des cours particuliers avec vous deux fois par semaine.
Il se lève, me serre la main et me pousse vers la sortie. Je sors et reste devant la porte qu’il referme aussitôt.
La semaine suivante, j'attends Sara dans la salle de classe. Elle arrive avec dix minutes de retard, essoufflée. Elle est surprise et marque un temps d'arrêt devant la porte.
- Entre Sara...dis-je en me levant de derrière le bureau.
- Mais vous êtes qui ? demande-t-elle.
- Ton professeur de biologie, dis-je.
Elle affiche un air de surprise. Elle avance en traînant des pieds. Elle laisse glisser son sac contre sa cuisse et s'assoit. Après une rapide explication de notre présence ici je lui explique ce qu'on attend de moi et ce que je dois faire pour l'aider.
- Encore ce vieux grincheux, dit-elle, il ne peut pas me laisser vivre un peu ajoute-t-elle.
- Qui !
- Mon père bien sûre, dit-elle en soufflant, toujours vouloir le meilleur pour moi.
Je ramasse un petit carnet plastifié tombé de son sac contenant des photos. Mes yeux restent bloqués sur deux photos. Les deux montrent Sara en sous-vêtement seins nus. Je lui tends le carnet, elle n'est pas choquée ni troublée. Elle le prend tout en gardant son regard fixé dans le mien.
Pendant les deux heures suivantes, nous travaillons en reprenant les bases de certains chapitres. Je n'arrête pas de revoir ses images, d'imaginer pourquoi Sara a ce genre de photos avec elle. Elle sait que cela me fait de l'effet à en juger par son attitude et ses postures sur la chaise. Tantôt elle s'étire les bras dans le dos pour dévoiler sa petite poitrine aux pointes dressées sous son teeshirt, ou pose ses pieds sur le bord du bureau en écartant les genoux en équilibre sur la chaise.
Elle me laisse voir son entrecuisse à peine caché par un shorty très échancré et serré. Je me tourne vers le tableau noir pour faire des schémas. Mais des idées, des images me passent en tête. Pour ne pas montrer mon trouble et surtout mon érection naissante, je vais m'asseoir à mon bureau.
- Nous verrons un nouveau chapitre Jeudi, dis-je alors que Sara se lève puis se penche dos à moi pour ramasser son sac.
Je n'arrive pas à détacher mon regard de son petit cul qui appelle à la caresse et bien plus encore. Elle prend son temps, prenant une position provocante en écartant les pieds et pliant les genoux.
Je ferme les yeux et me caresse doucement sous le bureau. Je sens ma bite gonfler, se tendre dans mon pantalon devenu trop petit. Sans m'en rendre compte, je le déboutonne et me branle doucement.
- Je peux vous envoyer quelques photos si ça peut vous aider dit-elle alors qu'elle se tient à côté de moi et me fixe.
Pris en flagrant délit, je pose mes mains sur le bureau en feignant celui qui n'a pas compris. Elle se rapproche, se penche à mon oreille. Je ne bouge pas. Je vois sa main passer sous le bureau. Le contact de ses doigts sur ma bite est chaud, doux. Elle la presse.
- Huummm, ajoute-t-elle tout bas. Monsieur le professeur de biologie a une grosse anatomie, finit-elle par dire.
Elle commence une lente masturbation, tirant sur la peau pour libérer le gland. Ses doigts caressent le bout humide pour le lubrifier. Je ne peux m'empêcher d'écarter les cuisses et de soupirer de plaisir.
Elle me mord le lobe de l'oreille, enfonce sa langue dedans pendant que sa main accélère. Elle me branle sans gêne et sans retenue. Son avant-bras frappe le bureau en montant avant de redescendre plus fort et vite.
- Ça te plaît hein ? dit-elle.
Je réponds oui d'un signe de tête. Je me mords la lèvre, je souffle et respire vite.
- Tu aimes te faire branler par une petite salope comme moi, ajoute-t-elle en tirant sur la chaise pour me dégager de dessous le bureau.
Pendant qu'une main s'agite sur ma bite, l'autre caresse mes couilles, les presse. Je commence à remuer sur la chaise. Ma bite se contracte, se gonfle. Je ne vais pas tarder à éjaculer. C'est à ce moment qu'elle retire ses mains et s'arrête brusquement.
Ma bite tressaute quelques secondes. Je regarde Sara sans comprendre pourquoi elle s'arrête.
- On se voit au prochain cours, lance-t-elle, et ne tirez pas trop dessus, finit-elle par dire un doigt pointé vers ma bite qui débande rapidement.
Elle sort de la salle de classe.
Un peu confus et encore excité, je remballe mes affaires et rentre chez moi.
Les cours suivants s'enchaînent. Les semaines se succèdent. Je dois rendre compte au directeur des progrès que fait mon élève, sa fille.
Tout se passe bien jusqu'à cet fin d'après-midi du mois de mai. Il fait chaud, lourd toute la journée. Le ciel est nuageux. Un violent orage éclate. Je suis dans la salle de classe. Je vois des éclairs, la pluie tombe très fort.
Les ampoules clignotent avant de s'éteindre complètement. Je vais m'asseoir au bureau et j'attends l'arrivée de Sara. La pluie s'arrête vite. La lumière revient. Je suis surpris de voir Sara dans l'encadrement de la porte complètement trempée. Une flaque s'est formée à ses pieds.
Des mèches de cheveux lui collent au front. C'est pareil pour son teeshirt qui dessine sa poitrine aux larges auréoles et sa mini-jupe qui plaque contre ses fesses. Je me lève et vais la rejoindre.
Je souris en la voyant ruisselante de la tête aux pieds. Elle répond à mon sourire et entre dans la salle de classe.
- Vous n'allez pas rester comme ça, dis-je, vous allez attraper froid et tomber malade.
- Et vous voulez que je fasse quoi ! répond-elle en croisant ses bras sur sa petite poitrine.
Je réfléchis un instant sans lever mon regard de ses seins qui pointent de façon provocante.
- Vous allez rentrer chez vous, dis-je, on fera cours la prochaine fois.
Elle me regarde sans trop savoir si je suis sérieux ou non.
- J'ai une autre solution, répond-elle.
Sans gêne et sans pudeur, elle quitte la mini-jupe qu'elle essors avant de la poser sur le dossier d'une chaise. Elle fait la même chose avec son teeshirt. Elle se retrouve en tanga blanc et chaussures debout devant moi.
Elle se tient droite sur ses jambes légèrement écartées, les mains sur la taille. Mes yeux se posent sur sa poitrine nue. Les tétons bruns sont tendus. Puis je baisse mon regard sur sa toison fournie que je distingue à travers le tanga blanc.
- On peut faire cours maintenant, enchaîne-t-elle en me prenant par le bras pour aller à mon bureau.
- Mais je ne peux pas, dis-je. C’est interdit et je risque d’avoir des problèmes.
- Des problèmes ? Á cause de qui ? répond-elle, il n’y a plus personne ici à par nous.
Elle me pousse contre la chaise sur laquelle je tombe lourdement. Elle m'enjambe et s'assoit à califourchon face à moi. Elle se rapproche pour se coller contre mon torse, se frotter, accrochant parfois ses tétons aux boutons de ma chemise.
Elle bouge son bassin contre mon sexe qui gonfle doucement mais sûrement dans mon pantalon. Elle frotte son pubis. Elle passe ses bras autour de mon cou. Je la prends par les épaules et le repousse doucement.
Je vois de la tristesse dans son regard. Ses petits seins pointent vers moi et cette vue m'excite un peu plus. Sans attendre je l'embrasse, nos lèvres se caressent, nos langues se lèchent. Mes mains parcourent son corps avant de pincer ses tétons.
- Huummm, gémit-elle bougeant son bassin plus fort sur moi.
Il n'est pas difficile pour moi de la soulever et la poser sur le bureau. Je regarde sa toison à travers le tanga. Je plonge la tête entre ses jambes pour embrasser son entrecuisse chaud. Je sens déjà sous ma langue son clito dur et tendu sous le tissu.
- Tu m'excites mon salaud, dit-elle en attirant ma tête plus fort contre elle.
Je la vois se caresser un sein de l'autre main, le pincer, l'écraser. Lorsque je lui enlève sa culotte pour libérer sa fente humide et y poser ma bouche, elle se cambre sur le bureau. Elle lâche un long gémissement.
Ma langue s'enfonce en elle, mon nez s’écrase contre son clito libéré de son capuchon et se dresse fièrement. Il mesure environs deux centimètres. Je peux le prendre entre mes lèvres pour le sucer, le mordre. Un liquide blanc sort de sa fente baveuse. Je reconnais immédiatement du sperme. Je m'écarte aussitôt, surpris.
- Un petit service rendu au surveillant, dit-elle en m'attrapant la tête à deux mains.
Elle me force à venir la lécher.
Je trouve cela dérangeant au début mais sa mouille se mélange au sperme et cette odeur m'excite un peu plus. Je m'empresse alors d'enfoncer ma langue, puis mon nez et même mon menton dans cette petite chatte baveuse et poilue.
Parfois elle relève les jambes sur sa poitrine pour que je vienne lécher son anus. Je peux y introduire ma langue tant l'anneau est détendu. Je me demande si le surveillant n’a pas eu droit à plus qu’un petit service.
- Oohh vas-y...continuuuuee, hurle-t-elle dans la salle de classe alors que l'orage s'abat à nouveau sur la ville avec le tonnerre.
Elle bloque ma tête entre ses fesses, mon nez s'enfonce dans sa chatte odorante. Elle remue du bassin sur mon visage.
- Baise-moi, dit-elle en tirant sur mon pantalon qui tombe rapidement sur mes chevilles.
Elle caresse ma bite dure au gland décalotté. Elle passe sa main entre ses cuisses pour la couvrir de mouille et l'applique sur ma bite. La caresse est rapide et énergique. Elle la tire ensuite contre elle, pointant le gland lubrifié sur son intimité qui bute contre le clito.
- OOhh vas-y mon salaud...maintenant ! ajoute-t-elle en m'entourant la taille avec ses jambes.
Une pression de ses pieds sur mes fesses et je m'enfonce d'un coup en elle.
- Aarrgghhhh ! hurle-t-elle alors que l'orage s'intensifie dehors.
La pluie frappe violement sur les carreaux. J'accélère la cadence. Mon pubis frappe avec force contre le sien. Je lui prends les hanches et la baise aussi vite et fort que je peux. Elle pince son clito fort et le branle comme une petite bite. Je sens les muscles de son sexe comprimer le mien.
Je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Elle le remarque lorsque je commence à crisper les muscles du visage. Elle s'arrête aussitôt et me repousse.
- Pas si vite mon beau...dit-elle en se levant pour m'embrasser, je veux que tu me baise le cul ajoute-t-elle.
La bite couverte de jus à la main, je me branle. Elle relève ses jambes sur sa poitrine. Son petit cul aux fesses bombées et raie profonde est un appel. Je le frappe avec ma bite plusieurs fois.
- Allez...dépêche-toi dit-elle en s'écartant les fesses.
Son petit trou s'ouvre puis se referme. Je m'y enfonce d'un seul coup jusqu'à la garde.
- Aarrghhhh, gémit-elle alors que je commence à la baiser.
Mon pubis claque contre l’arrière de ses cuisses avec force. Elle tend le bras. Elle caresse mes couilles quand je suis en elle. Elle se branle le clito. J'appuie plus fort quand je pénètre son anus maintenant dilaté et boursoufflé.
Quand je libère son anneau plissé, j'admire son orifice anal ouvert et je m'y engouffre à nouveau. Parfois ma bite glisse hors du trou et s'enfonce dans sa chatte baveuse.
- Tu vas ma faire jouiiiiiir...crie-t-elle.
J'empoigne ses hanches et la baise comme un métronome en position rapide. Le bureau glisse sur le carrelage. La pluie frappe fort sur les carreaux. Elle glisse ses jambes sur ma taille et me serre plus fort.
Je n'arrive pas à me retenir tant son fourreau anal comprime ma bite et j'explose dans ses entrailles en donnant de violents coups de reins. Sara ne se retient pas non plus et laisse éclater sa jouissance en hurlant alors qu'un coup de tonnerre résonne tout proche.
Je me laisse tomber sur elle sur le bureau.
Je me redresse. Ma bite sort de son anus. Un filet de sperme coule de son trou.
- Est-ce que je peux venir en cours particulier avec une amie la semaine prochaine ? demande-t-elle en faisant les yeux doux et son petit air coquin.
Elle prend mon sourire comme une confirmation positive.
Vous allez me dire ou m'écrire :
Oui c'est bien, c'est du déjà vu et lu. L'histoire du jeune prof qui donne des cours particuliers et ensuite baise son élève.
J'avoue, c'est une histoire classique. Vous allez penser que j'ai copié les idées de cette histoire parmi toutes celles publiées. Alors pourquoi continuer ?
Et bien peut-être parce que cette élève est la fille du directeur de l'établissement dans lequel j'ai enseigné.
Je suis un jeune professeur de biologie. Je suis impressionné par tous ces élèves et surtout par une en particulier. Sara. La fille du directeur. Petite femme brune cheveux courts, énergique, très speed comme disent les jeunes. Toujours à faire beaucoup d'activités, du sport, membres de plusieurs associations, participe à des rencontres pour aider les autres. Elle n'arrête pas de bouger, de parler vite. De petite taille et menue, elle s'impose et ne se laisse pas intimider. C’est même le contraire. Les autres semblent la craindre même si beaucoup de garçons lui tournent autour.
Il lui arrive parfois d'avoir des flirts avec certains d'entre eux, mais elle s'en détache rapidement. Elle préfère passer du temps avec ses amis plutôt que d'étudier. C'est compréhensible à son âge.
Son père m'appelle dans son bureau. Il m’explique rapidement que sa fille a des difficultés scolaires. Il veut que j’aide Sara.
- Je suis professeur de biologie Monsieur le directeur, c’est plutôt à un autre professeur de l'aider.
- Peut-être...mais…répond-il, le nez plongé dans ses dossiers, sans vraiment entendre ma réponse. Alors c'est d'accord...je vais obliger Sara à suivre des cours particuliers avec vous deux fois par semaine.
Il se lève, me serre la main et me pousse vers la sortie. Je sors et reste devant la porte qu’il referme aussitôt.
La semaine suivante, j'attends Sara dans la salle de classe. Elle arrive avec dix minutes de retard, essoufflée. Elle est surprise et marque un temps d'arrêt devant la porte.
- Entre Sara...dis-je en me levant de derrière le bureau.
- Mais vous êtes qui ? demande-t-elle.
- Ton professeur de biologie, dis-je.
Elle affiche un air de surprise. Elle avance en traînant des pieds. Elle laisse glisser son sac contre sa cuisse et s'assoit. Après une rapide explication de notre présence ici je lui explique ce qu'on attend de moi et ce que je dois faire pour l'aider.
- Encore ce vieux grincheux, dit-elle, il ne peut pas me laisser vivre un peu ajoute-t-elle.
- Qui !
- Mon père bien sûre, dit-elle en soufflant, toujours vouloir le meilleur pour moi.
Je ramasse un petit carnet plastifié tombé de son sac contenant des photos. Mes yeux restent bloqués sur deux photos. Les deux montrent Sara en sous-vêtement seins nus. Je lui tends le carnet, elle n'est pas choquée ni troublée. Elle le prend tout en gardant son regard fixé dans le mien.
Pendant les deux heures suivantes, nous travaillons en reprenant les bases de certains chapitres. Je n'arrête pas de revoir ses images, d'imaginer pourquoi Sara a ce genre de photos avec elle. Elle sait que cela me fait de l'effet à en juger par son attitude et ses postures sur la chaise. Tantôt elle s'étire les bras dans le dos pour dévoiler sa petite poitrine aux pointes dressées sous son teeshirt, ou pose ses pieds sur le bord du bureau en écartant les genoux en équilibre sur la chaise.
Elle me laisse voir son entrecuisse à peine caché par un shorty très échancré et serré. Je me tourne vers le tableau noir pour faire des schémas. Mais des idées, des images me passent en tête. Pour ne pas montrer mon trouble et surtout mon érection naissante, je vais m'asseoir à mon bureau.
- Nous verrons un nouveau chapitre Jeudi, dis-je alors que Sara se lève puis se penche dos à moi pour ramasser son sac.
Je n'arrive pas à détacher mon regard de son petit cul qui appelle à la caresse et bien plus encore. Elle prend son temps, prenant une position provocante en écartant les pieds et pliant les genoux.
Je ferme les yeux et me caresse doucement sous le bureau. Je sens ma bite gonfler, se tendre dans mon pantalon devenu trop petit. Sans m'en rendre compte, je le déboutonne et me branle doucement.
- Je peux vous envoyer quelques photos si ça peut vous aider dit-elle alors qu'elle se tient à côté de moi et me fixe.
Pris en flagrant délit, je pose mes mains sur le bureau en feignant celui qui n'a pas compris. Elle se rapproche, se penche à mon oreille. Je ne bouge pas. Je vois sa main passer sous le bureau. Le contact de ses doigts sur ma bite est chaud, doux. Elle la presse.
- Huummm, ajoute-t-elle tout bas. Monsieur le professeur de biologie a une grosse anatomie, finit-elle par dire.
Elle commence une lente masturbation, tirant sur la peau pour libérer le gland. Ses doigts caressent le bout humide pour le lubrifier. Je ne peux m'empêcher d'écarter les cuisses et de soupirer de plaisir.
Elle me mord le lobe de l'oreille, enfonce sa langue dedans pendant que sa main accélère. Elle me branle sans gêne et sans retenue. Son avant-bras frappe le bureau en montant avant de redescendre plus fort et vite.
- Ça te plaît hein ? dit-elle.
Je réponds oui d'un signe de tête. Je me mords la lèvre, je souffle et respire vite.
- Tu aimes te faire branler par une petite salope comme moi, ajoute-t-elle en tirant sur la chaise pour me dégager de dessous le bureau.
Pendant qu'une main s'agite sur ma bite, l'autre caresse mes couilles, les presse. Je commence à remuer sur la chaise. Ma bite se contracte, se gonfle. Je ne vais pas tarder à éjaculer. C'est à ce moment qu'elle retire ses mains et s'arrête brusquement.
Ma bite tressaute quelques secondes. Je regarde Sara sans comprendre pourquoi elle s'arrête.
- On se voit au prochain cours, lance-t-elle, et ne tirez pas trop dessus, finit-elle par dire un doigt pointé vers ma bite qui débande rapidement.
Elle sort de la salle de classe.
Un peu confus et encore excité, je remballe mes affaires et rentre chez moi.
Les cours suivants s'enchaînent. Les semaines se succèdent. Je dois rendre compte au directeur des progrès que fait mon élève, sa fille.
Tout se passe bien jusqu'à cet fin d'après-midi du mois de mai. Il fait chaud, lourd toute la journée. Le ciel est nuageux. Un violent orage éclate. Je suis dans la salle de classe. Je vois des éclairs, la pluie tombe très fort.
Les ampoules clignotent avant de s'éteindre complètement. Je vais m'asseoir au bureau et j'attends l'arrivée de Sara. La pluie s'arrête vite. La lumière revient. Je suis surpris de voir Sara dans l'encadrement de la porte complètement trempée. Une flaque s'est formée à ses pieds.
Des mèches de cheveux lui collent au front. C'est pareil pour son teeshirt qui dessine sa poitrine aux larges auréoles et sa mini-jupe qui plaque contre ses fesses. Je me lève et vais la rejoindre.
Je souris en la voyant ruisselante de la tête aux pieds. Elle répond à mon sourire et entre dans la salle de classe.
- Vous n'allez pas rester comme ça, dis-je, vous allez attraper froid et tomber malade.
- Et vous voulez que je fasse quoi ! répond-elle en croisant ses bras sur sa petite poitrine.
Je réfléchis un instant sans lever mon regard de ses seins qui pointent de façon provocante.
- Vous allez rentrer chez vous, dis-je, on fera cours la prochaine fois.
Elle me regarde sans trop savoir si je suis sérieux ou non.
- J'ai une autre solution, répond-elle.
Sans gêne et sans pudeur, elle quitte la mini-jupe qu'elle essors avant de la poser sur le dossier d'une chaise. Elle fait la même chose avec son teeshirt. Elle se retrouve en tanga blanc et chaussures debout devant moi.
Elle se tient droite sur ses jambes légèrement écartées, les mains sur la taille. Mes yeux se posent sur sa poitrine nue. Les tétons bruns sont tendus. Puis je baisse mon regard sur sa toison fournie que je distingue à travers le tanga blanc.
- On peut faire cours maintenant, enchaîne-t-elle en me prenant par le bras pour aller à mon bureau.
- Mais je ne peux pas, dis-je. C’est interdit et je risque d’avoir des problèmes.
- Des problèmes ? Á cause de qui ? répond-elle, il n’y a plus personne ici à par nous.
Elle me pousse contre la chaise sur laquelle je tombe lourdement. Elle m'enjambe et s'assoit à califourchon face à moi. Elle se rapproche pour se coller contre mon torse, se frotter, accrochant parfois ses tétons aux boutons de ma chemise.
Elle bouge son bassin contre mon sexe qui gonfle doucement mais sûrement dans mon pantalon. Elle frotte son pubis. Elle passe ses bras autour de mon cou. Je la prends par les épaules et le repousse doucement.
Je vois de la tristesse dans son regard. Ses petits seins pointent vers moi et cette vue m'excite un peu plus. Sans attendre je l'embrasse, nos lèvres se caressent, nos langues se lèchent. Mes mains parcourent son corps avant de pincer ses tétons.
- Huummm, gémit-elle bougeant son bassin plus fort sur moi.
Il n'est pas difficile pour moi de la soulever et la poser sur le bureau. Je regarde sa toison à travers le tanga. Je plonge la tête entre ses jambes pour embrasser son entrecuisse chaud. Je sens déjà sous ma langue son clito dur et tendu sous le tissu.
- Tu m'excites mon salaud, dit-elle en attirant ma tête plus fort contre elle.
Je la vois se caresser un sein de l'autre main, le pincer, l'écraser. Lorsque je lui enlève sa culotte pour libérer sa fente humide et y poser ma bouche, elle se cambre sur le bureau. Elle lâche un long gémissement.
Ma langue s'enfonce en elle, mon nez s’écrase contre son clito libéré de son capuchon et se dresse fièrement. Il mesure environs deux centimètres. Je peux le prendre entre mes lèvres pour le sucer, le mordre. Un liquide blanc sort de sa fente baveuse. Je reconnais immédiatement du sperme. Je m'écarte aussitôt, surpris.
- Un petit service rendu au surveillant, dit-elle en m'attrapant la tête à deux mains.
Elle me force à venir la lécher.
Je trouve cela dérangeant au début mais sa mouille se mélange au sperme et cette odeur m'excite un peu plus. Je m'empresse alors d'enfoncer ma langue, puis mon nez et même mon menton dans cette petite chatte baveuse et poilue.
Parfois elle relève les jambes sur sa poitrine pour que je vienne lécher son anus. Je peux y introduire ma langue tant l'anneau est détendu. Je me demande si le surveillant n’a pas eu droit à plus qu’un petit service.
- Oohh vas-y...continuuuuee, hurle-t-elle dans la salle de classe alors que l'orage s'abat à nouveau sur la ville avec le tonnerre.
Elle bloque ma tête entre ses fesses, mon nez s'enfonce dans sa chatte odorante. Elle remue du bassin sur mon visage.
- Baise-moi, dit-elle en tirant sur mon pantalon qui tombe rapidement sur mes chevilles.
Elle caresse ma bite dure au gland décalotté. Elle passe sa main entre ses cuisses pour la couvrir de mouille et l'applique sur ma bite. La caresse est rapide et énergique. Elle la tire ensuite contre elle, pointant le gland lubrifié sur son intimité qui bute contre le clito.
- OOhh vas-y mon salaud...maintenant ! ajoute-t-elle en m'entourant la taille avec ses jambes.
Une pression de ses pieds sur mes fesses et je m'enfonce d'un coup en elle.
- Aarrgghhhh ! hurle-t-elle alors que l'orage s'intensifie dehors.
La pluie frappe violement sur les carreaux. J'accélère la cadence. Mon pubis frappe avec force contre le sien. Je lui prends les hanches et la baise aussi vite et fort que je peux. Elle pince son clito fort et le branle comme une petite bite. Je sens les muscles de son sexe comprimer le mien.
Je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Elle le remarque lorsque je commence à crisper les muscles du visage. Elle s'arrête aussitôt et me repousse.
- Pas si vite mon beau...dit-elle en se levant pour m'embrasser, je veux que tu me baise le cul ajoute-t-elle.
La bite couverte de jus à la main, je me branle. Elle relève ses jambes sur sa poitrine. Son petit cul aux fesses bombées et raie profonde est un appel. Je le frappe avec ma bite plusieurs fois.
- Allez...dépêche-toi dit-elle en s'écartant les fesses.
Son petit trou s'ouvre puis se referme. Je m'y enfonce d'un seul coup jusqu'à la garde.
- Aarrghhhh, gémit-elle alors que je commence à la baiser.
Mon pubis claque contre l’arrière de ses cuisses avec force. Elle tend le bras. Elle caresse mes couilles quand je suis en elle. Elle se branle le clito. J'appuie plus fort quand je pénètre son anus maintenant dilaté et boursoufflé.
Quand je libère son anneau plissé, j'admire son orifice anal ouvert et je m'y engouffre à nouveau. Parfois ma bite glisse hors du trou et s'enfonce dans sa chatte baveuse.
- Tu vas ma faire jouiiiiiir...crie-t-elle.
J'empoigne ses hanches et la baise comme un métronome en position rapide. Le bureau glisse sur le carrelage. La pluie frappe fort sur les carreaux. Elle glisse ses jambes sur ma taille et me serre plus fort.
Je n'arrive pas à me retenir tant son fourreau anal comprime ma bite et j'explose dans ses entrailles en donnant de violents coups de reins. Sara ne se retient pas non plus et laisse éclater sa jouissance en hurlant alors qu'un coup de tonnerre résonne tout proche.
Je me laisse tomber sur elle sur le bureau.
Je me redresse. Ma bite sort de son anus. Un filet de sperme coule de son trou.
- Est-ce que je peux venir en cours particulier avec une amie la semaine prochaine ? demande-t-elle en faisant les yeux doux et son petit air coquin.
Elle prend mon sourire comme une confirmation positive.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
CETTE PETITE ETUDIANTE EST VRAIMENTJUBILATOIREET DETERMINER A VOULOIR CE FAIRE CE PROF POUR RECEVOIR ET BIEN S'OCUPER DE LA BITE DE CELUI CI EN LE BRANLANT ET L'HUMIDIFIER DE SA MOUILLE POUR CE LA FAIRE INTRODUIRE DANS SA DOUCE CHATTE ET PUISB ENSUITE CE LA PRENDRE DANS SA RONDELLE ET JOUIR JOYEUSEMENT RECEVANT DE RECEVOIR TOUTE SA LIQUEUR SON SPERME
Trés Beau récits. excitant à souhait vivement la suite avec sa camarades de classe