Reynald est une bonne pute - histoire érotique

Reynald, 30 ans, vit encore chez ses parents. Il travaille dans une filature, mais un jour son tempérament fougueux, fait que son patron le surprend au lit avec sa femme. Le licenciement est immédiat. Il n'en parle pas à ses parents, et vit pendant quelques mois de ses allocations de chômage. Un jour, à la terrasse d'un café, il rencontre une ancienne collègue de travail. Il l'invite à boire un verre et tout en discutant, la femme lui demande :

-Combien elle te payait la femme du vieux pour que tu la baises ?

Cette question fait sourire Reynald, qui, en plaisantant, lance un chiffre au hasard. La femme avale son verre et dit :

-C'est bon pour moi, suis-moi !

Reynald croit rêver, son mensonge est si gros qu'il veut savoir jusqu'où cela peut aller. Comme un automate, il suit la femme. Elle l'emmène chez elle, le paye, et là, c'est le délire total, il fait l'amour à la femme comme une bête, jamais cette femme n'a été prise de la sorte.



Le bouche-à-oreille va bon train, une deuxième femme le contacte, pour subir ses faveurs, moyennant rémunération bien-sûr. Cela fait un déclic chez Reynald, il se dit pourquoi ne pas vivre de mes charmes, en un mot faire la pute quoi.
Après cette deuxième prestation, sa réputation n'est plus à faire, elle fait vite le tour de la petite ville. Maintenant, il fixe ses tarifs, selon la prestation. Le bougre ne chôme pas. Les jeunes adultes préfèrent se faire lécher, le sucer et le branler, plutôt que la pénétration en elle-même. Mais pour ce qui est des plus âgées, elles sont plus exigeantes, cela va d'un broutage de chatte et d'anus, jusqu'à la pénétration vaginale et anale, mais pour cela, c'est le plein tarif.


Un jour, Reynald reçoit une demande d'Audrey, la meilleure amie de sa maman, elle a plus du double de son âge, mais dans la profession du sexe, l'âge n'a pas d'importance, il faut tout accepter, d'ailleurs, tout est confidentiel. Bien qu’elle soit mariée, Audrey a recours aux services de Reynald. Il se rend chez elle, elle lui offre un verre, il la sent troublée, directement, il lui parle des prix et des prestations qu'il fait. Audrey rougit légèrement et choisit la totale, après une rapide toilette. Il se doit de satisfaire sa cliente.


Audrey subit les assauts les plus hardes de sa vie, ses jouissances sont monstrueuses, Reynald mérite bien sa réputation d'étalon, son mari à côté est un débutant. Infatigable, parce que c'est l'amie de sa maman, il lui fait une deuxième prestation totale, mais gratuite celle-là. Les coups de reins de son amant d'un jour, et les nombreuses jouissances qu'elle a, l'ont épuisés, elle doit demander grâce. Elle promet d'avoir encore recours à ses services.



En visite chez Josette, la maman de Reynald, Audrey lui parle de son fils, et petit à petit les deux amies parlent de sexe. Une parole fait sursauter Josette, elle fronce les sourcils et dit :

-Oh toi ma salope, tu me caches quelque chose, aller raconte !



Pour ne pas mentir à son amie, Audrey, très mal à l'aise, lui avoue avoir couché avec Reynald, et qu'elle aura encore besoin de ses services, tellement, cela avait été extraordinaire. Josette se cabre et c'est presque en hurlant qu'il dit :

-Mais comment tu as pu faire une chose pareille avec mon fils !


C'est très ennuyée, qu'Audrey répond :

-C'est une amie qui m'avait parlé de lui, et de ses performances, j'ai voulu moi aussi connaitre ce qu'elle me décrivait, dont j'ai sauté le pas !



Josette reste dubitative aux révélations de son amie, elle a beaucoup de mal à la croire. Audrey entre dans les détails, elle dit que jamais, elle n'a joui comme ça avec son mari, et que son fils est un amant merveilleux, infatigable. Josette serre les dents, elle refuse de croire que son fils loue ses charmes, et qu'il ne travaille plus à la filature. Complétement déstabilisée, Josette dit :

-Tu trompes ton mari et avec mon fils en plus, tu n'as pas hontes, tu pourrais être sa maman, je ne te crois pas, tout est pipeau !



Audrey, pour que son amie ne mette pas en doute sa parole, lui propose de filmer ses prochains ébats avec Reynald. Comme elle a encore la caméra avec laquelle elle surveillait sa fille bébé pendant qu'elle dormait. Josette en peut qu'accepter.
Le jour arrive, Audrey défaille, elle délire même, ses cris sont terribles autant que ses jouissances. Prise de toutes les manières possibles, Audrey se fait éclater par son amant. Une fois payé et lavé, Reynald prend congé. Immédiatement après, Audrey se rend chez son amie Josette avec le film. Les deux femmes prennent place devant l'écran et Audrey introduit la cassette dans le lecteur. Josette reste scotchée sur l'écran, elle entend et voit son amie s'agiter, et gémir sous les coups de reins de son fils. Sa bouche fait hurler Audrey de plaisir, elle s'accroche à Reynald en geignant de plaisir. Audrey dit en visionnant le film :

-Oh putain rien que de voir ça, je mouille comme une fontaine, alors tu me crois maintenant !


Josette reste sans voix un instant, jamais, elle n'aurait pensé que son fils fasse la pute. Elle dit à son amie :

-Laisse-moi le film !


Les deux amies parlent encore longuement de Reynald, avant de se séparer. Plusieurs fois Josette regarde le film, elle serre les dents en voyant son amie s'envoyer en l'air avec son fils. Une fois couchée au ôté de son mari, elle ne cesse de s'agiter, de se retourner, de souffler comme un bœuf. Elle se remémore le film, elle revoit la bite puissante de son fils forer les entrailles d'Audrey. Elle serre les cuisses, pour retenir le jus que sa chatte laisse échapper, sa nuit est horrible. Elle entend Reynald rentrer, il est tard, le bougre est très demandé, il est vrai que son métier de pute est très prenant et sûrement lucratif. Le coquin n'épargne pas ses efforts, il comble de plaisir les femmes en manquent.


Enfin Josette s'endort, son réveil est laborieux, elle descend, ses traits sont tirés, ses yeux cernés. Son mari est déjà à son travail. Elle prend son petit déjeuner, elle est dans un état de mal-être profond, ses yeux d'un coup s'emplissent de larmes. Elle renifle fortement, s'essuie les yeux d'un revers de la main, puis avale son café. Elle va prendre sa douche, sans trop de volonté. Lorsqu'elle en ressort, enveloppée dans un peignoir de bain. Son fils est attablé, il lui sourit, se lève et l'embrasse. Sans répondre, elle se dirige vers le buffet, en sort une liasse de billet et la jette sur la table :

Reynald sursaute et demande :

-Mais c'est pourquoi cet argent maman ?



Sa maman répond :

- C'est ton salaire, comme tu es une pute, je demande tes services, et je veux que tu me fasses la totale, aller fais ton travail !


Reynald, très gêné, répond :

-Tu es déjà au courant de mon nouveau métier !

Josette répond :

-Tu sais les ragots vont bon train, ta réputation n'est plus à faire, même Audrey m'a parlé de tes exploits avec elle, donc je veux le même traitement, au même tarif !

Reynald pince les lèvres, et dit très embarrassé :

-Je ne peux tout de même pas baiser ma maman !

Josette réplique :

-Donc d'après toi, je vaux moins que les femmes que tu baises hein !


Reynald répond en grinçant les dents :

-Oh non maman, tu vaux beaucoup mieux que mes clientes !



Josette, un peu agacée, réplique :

-Eh bien, je veux le même traitement que tes clientes, comme tu dis si bien !


En soufflant, Reynald dit :

-Bon, puisque c'est ton souhait, allons-y maman !



Il prend une bonne douche et c'est en rageant un peu qu'il ressort entièrement nu de la salle de bain. Sa maman regarde la verge balancer sur le bas-ventre de son fil, il est vrai que le fiston est bien monté, elle ravale sa salive, sans quitter le pénis encore au repos. Il s'approche d'elle, lui prend la main et l'emmène vers le salon. Il sent la main de sa maman trembler dans la sienne, il la presse doucement comme pour la rassurer. Devant la table du salon, il lui délie la ceinture qui ferme son peignoir, et ouvre largement les deux pans. Josette se contracte en rougissant de honte. Il dit en regardant sa maman dans les yeux :

-Tu veux toujours que je te fasse l'amour maman, tu peux encore reculer, tu sais !



Josette répond en baissant les yeux :

-Fais, ce que je te paie !



Reynald fait tomber le peignoir sur le sol, c'est la première fois qu'il voit sa maman nue. Il l'observe un instant, il ne peut s'empêcher de dire :

-Tu as un corps magnifique maman !

Avec douceur, il la bascule sur la petite table, dès qu'il commence à lui caresser les seins, immédiatement sa maman ferme les yeux et se met à geindre faiblement. Les doigts agiles s'activent sur la poitrine opulente de la maman qui est rouge de honte. Ils s'enfoncent dans la chair souple, malaxent, pétrissent les lobes charnus en profondeur un long moment.
Comme par enchantement, les mamelons se dressent aux centres des aréoles, les seins se raffermissent. Le souffle de la maman devient rapide, son corps ne cesse de frissonner sous les doigts agiles de son fils.










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