Robert, l'amant lointain.
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Robert, l'amant lointain.
C'était la fin des années 90, j'avais eu une embolie financière, en passant devant une agence de voyage, je vois une offre pour partir a Montréal pendant l'été indien (deux mois plus tard).
Je prends deux billets, puis en rentrant, j'annonce à Lisa que nous partons 12 jours au Canada.
L'amour de ma vie, n'en croit pas ses yeux, mais elle est bloquée par la peur de l'avion.
Pendant les semaines qui précèdent notre départ, les affaires continuent de marcher, nous offrant un bon pécule pour profiter de nos vacances.
Notre séjour à Montréal est magique, cela fait déjà 6 jours que nous profitons de la beauté de la ville et ses alentours.
Un après-midi, nous nous promenons dans le quartier proche de notre hôtel. Je remarque que bizarrement, les hommes ne reluquent pas Lisa. Ils ont l'air d'être plus intéressés par ma personne.
Nous entrons dans un petit bar restaurant, la musique est sympa.
On commande deux expressos. Puis je dis a Lisa:"Mon amour, je crois qu'on est dans le quartier gay!".
"Ah, c'est ça! Je me demandais pourquoi le type d'à coté te regardait comme ça! mais, il est pas le seul!".
"Lequel?".
"A coté du comptoir! Mais, j'y pense, ça va, ça te manques pas? T'as rencontré quelqu'un avant de partir?".
"Ben, j'avais pas trop le temps! c'est vrai que j'en ai envie depuis quelques temps, et toi?".
"Moi, ça va, j'ai profité que t'étais à Antibes pour baiser avec Dimitri et son copain, ça m'a comblé suffisamment!".
"Bon, Lisa, je vais aux toilettes, commandes toi quelque chose!".
Je me dirige vers les toilettes, en passant près de l'homme dont m'a parlé Lisa. Il me dévisage avec envie, je lui souris, puis le dépasse.
Je vais me placer contre un urinoir en forme de cuvette, pour satisfaire mon besoin naturel.
L'homme entre dans l'endroit, il m'excite déjà, même si les autres mecs qui me dévisageaient étaient plus beaux que lui, ils ne correspondaient pas a mon type d'homme.
Il avait tout pour me donner envie de lui, très grand, large avec une impression de puissance, et des mains épaisses.
Il me dit:"Tu m'attendais?".
"Oui, on doit faire vite!".
Il m'entraine dans un cabinet de toilette très large, je remarque un distributeur de préservatifs à l'intérieur, des doses de gel et des serviettes en papier.
Je ne vais pas être le premier à me faire baiser dans cet endroit!
"Allez, viens me sucer la pine! après je vais te péter la cenne!".
"Quoi?".
"Ah, t'es français! Je vais t'enculer!".
Il défait ses boutons de pantalon, pendant que je sors sa queue de son fourreau de tissu.
C'est quand il baisse son caleçon que je découvre ses deux énormes couilles, surplombées par un sexe de taille moyenne, 18 cm environ, mais d'une largeur exceptionnelle.
"Ca te plait?".
"J'adore!".
Je commence par lui lécher le gland, puis assez vite recouvre son membre de ma bouche humide, j'aimerai tellement avoir plus de temps pour profiter de sa magnifique queue.
"Humm, t'es doué pour faire les pipes! hummmm!".
Pendant que je lui pompe ardemment la bite, je défais mon pantalon, avec ma main libre.
Puis je me relève et lui tends mes fesses. Pendant qu'il s'affuble d'une capote, je salive entre mes doigts pour me lubrifier l'anus.
Mais cela s'avère inutile, puisqu'il prend une petite dose de gel, s'enduit le sexe et me badigeonne l'anus du produit.
Je prends appui contre le mur, son sexe force aussitôt contre mon œillet, je sais déjà que je vais prendre un plaisir énorme avec sa grosse bite.
Il n'est pas le premier homme avec des dimensions hors normes à m'enculer, mais cela n'arrive pas très souvent, malheureusement.
Je le retiens dans sa pénétration, en passant une main contre son ventre, derrière moi.
"Attends! doucement, laisses-moi le temps de m'habituer, tu es gros!".
Pendant qu'il m'assène des mouvements de pénétration, je pousse sur mon muscle anal pour accompagner son enfoncement.
Puis, son énorme sexe me pénètre d'un coup en écartelant mon œillet qui a lâché sous la pression de sa poussée.
Je mords mon bras, l'homme me besogne assez vite sans retenue, j'ai l'impression d'être fragile entre ses mains.
Je jouis du cul assez rapidement, je prends plaisir à passer une main sous mon ventre pour toucher ses énormes couilles qui claquent contre mes fesses.
Mon orgasme est interminable, puis il retombe enfin, l'homme comprend que j'ai bien joui.
Il se retire, puis me demande:"Je vais bientôt jouir aussi, fais moi une pipe!".
Je me jette à ses pieds en le pompant goulument.
3 minutes à peine, ensuite, il lâche un énorme flot de sperme en râlant longuement.
"Ahhhhhhhhhhhhhhh, oui, avales mon jus, ouiiiiiiiiiiiiiiiii!".
L'écoulement est continu et très abondant.
Malgré le gout très agréable, mielleux et très légèrement salé de son sperme, j'ai de légers reflux causés par la quantité de son éjaculation.
J'avale de nombreuses fois son jus de plaisir, puis enfin, je peux quitter son membre vidé pour lui lécher ses énormes couilles, remonter ensuite vers son gland afin de récupérer le dernier filet de sperme qui coule le long de sa hampe.
"Humm, c'était très très bon! ils baisent tous comme toi les français?".
"Je sais pas, moi c'est comme ça que j'aime le faire, en tout cas! Et les Canadiens, ils ont tous autant de sperme que toi?".
"Ah ah, non, c'est que moi, je fourni beaucoup, ça te déranges?".
"Humm, non, au contraire! Dommage que tu sois pas chez moi, on aurait baisé souvent ensemble tous les deux!".
"Viens habiter ici, je dirais pas non de te péter la cenne tous les jours!".
"Tu sais que ç'est pas possible, mais merci pour l'invitation! Bon, je vais rejoindre ma femme! On a un hôtel à coté, je reviendrai peut être".
"Tu t'appelles comment?".
"Patrick! Et toi?".
"Robert! Si ça te dis, j'habite pas loin, viens demain matin à 8 h 30, je serai dans le bar, et je t'emmène chez moi!".
"Je te promets rien, si elle dort, je risque de venir, qui sait?".
Je rejoins Lisa, elle me demande:"J'ai pris deux pancakes, t'en veux aussi? T'en as mis du temps? J'ai vu que le type t'as suivi!".
"Euh,... non, je peux plus rien avaler, je suis rempli!".
"Tu l'a croisé le mec?".
"Chht, oui, on a baisé dans les toilettes, bon, on paie et on va se balader?".
On profite ensemble de la fin de notre journée, puis nous allons manger un Smoked Meat Sandwich dans une adresse conseillée par le guide du routard.
Lisa avait l'air heureuse que j'ai enfin comblé mon envie de sexe avec un homme, elle se sentait moins coupable d'avoir baisé avec Dimitri et son ami.
Notre fin de soirée fut mouvementée, pleine de sexe et de tendresse, de mots d'amour et de mots crus, aussi.
Il faut avouer que nous n'avions que ça à faire, la télévision, ne nous offrait que peu de programmes en français et l'abondance de pubs (toutes les 6 minutes!) nous coupait l'envie de l'allumer.
Le matin suivant, je sors de mon sommeil vers 7h00, je me débarrasse de mes besoins naturels, puis prends une douche, en pratiquant un lavement anal.
Je me rase, puis m'habille afin de rejoindre Robert au RDV fixé. Lisa dort profondément, avec un léger ronflement.
Dans le bar, déjà ouvert, Robert m'attend en buvant un café, il laisse de l'argent sur la table et sort pour me rejoindre.
Le patron lui dit:"A tout à l'heure Robert, amusez vous bien!".
Quand il arrive, je lui dis:"Tu lui as parlé de moi, je suppose!".
"Oui, lui aussi, il a flashé sur toi! Je lui ai raconté notre petite séance, ça l'a fait bander! Ah ah ah".
Je le suis jusqu'à son appartement, en effet, il est très proche, à moins de 100 m de notre hôtel.
L'intérieur est mignon, mais je n'ai pas trop le loisir de visiter les lieux.
Robert m'enlace assez vite, et m'embrasse goulument. J'ai envie de lui, et lui montre mon désir en frottant ma main sur sa queue à travers son pantalon.
Il m'appuie sur la tête pour que je lui fasse une fellation.
Je retrouve avec bonheur les dimensions hors normes de sa queue, paré de ses grosses couilles que je m'empresse de lécher avec passion.
Robert gémit longuement, mes caresses buccales l'excitent, il ne résiste plus et me relève d'un coup.
"Il faut que je t'encules! tu m'excites trop !".
Il me couche sur la table de sa cuisine, me défait mon pantalon, puis me déshabille les jambes en les tenant en l'air.
Sa précipitation m'excite, je me retrouve avec le dos couché sur sa table, nu à partir de la taille. Il s'éloigne en disant:"Reste comme ça, je vais prendre du gel!".
Je tiens mes jambes relevées, pressé de recevoir ses assauts, même le contact froid du gel m'excite, il est le signe de l'arrivée imminente de son énorme queue.
Enfin, je sens son gland qui pousse contre mon anus.
"Oh Robert, moi aussi, j'en peux plus d'attendre! Encules-moi, je te veux dans mon cul!".
Pendant qu'il progresse peu à peu dans sa pénétration, j'écarte mes fesses avec mes mains tout en poussant sur mon anus pour qu'il s'ouvre plus vite.
Nous prenons tous les deux beaucoup de plaisir pendant ce début de pénétration extrême.
On atteint enfin le moment ou il renverse toutes les dernières barrières de mon œillet, pour se faufiler jusqu'au fond de mon anus.
"Ahrhhhhhhhhhhhhhhh, Robert, c'est bonnnnnnnnnnnnnnnnn!".
"Oh, oui, c'est bon, arhhhhhhhhhhhhhhhhhh, j'adore ton cul Patrick!".
Son mouvement ressemble à un piston qui démarre lentement puis s'emballe.
Il me fait gueuler comme un animal, je lubrifie abondamment sur sa grosse bite qui me déchire le cul.
Je lui crie mon premier orgasme anal.
Puis, il me tourne sur le ventre, toujours sur la table et m'encule à nouveau comme une bête.
Au bout de quelques minutes, je lui dis en râlant:"Ah, tu me défonces trop bien, je vais encore jouir, arhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Il s'acharne à me faire crier mes derniers instants d'orgasme.
Enfin, il m'entraine dans la chambre pour s'allonger nu et attendant que je me baise encore sur lui.
Notre copulation est bestiale, je me vide de plaisir anal.
Ayant trop joui, je m'écroule sur son épaule.
"Robert, je suis vidé, je t'en supplie, il faut que tu jouisses maintenant!".
"T'as failli m'avoir! Tu baises divinement bien! Suces moi, je vais te donner ta récompense!".
Je m'empale la gorge en le pompant avec une passion dévoratrice.
A peine 3 minutes plus tard, je retrouve son énorme flot abondant de sperme.
J'avale avec envie son jus brulant, qui malgré mes efforts coule à la commissure de mes lèvres.
Son éjaculation est interminable et j'adore ça! J'adore aussi ses gémissements qui sont une deuxième récompense, pour moi.
Tout a une fin, son corps se relâche, les spasmes dans sa queue ont cessé, je relève lentement mon visage en écartant mes lèvres souillées, pour quitter sa magnifique bite.
Je passe mon doigt de chaque coté de mon menton, essuie le sperme qui s'y trouve pour lécher ensuite.
Puis je plonge sur son ventre pour le nettoyer du surplus qui s'est échappé de ma bouche.
"Ahh, Patrick, j'adore, t'es un super amant!".
"Merci, j'apprécie le compliment! Bon, je vais y aller, si je peux, je reviens demain, vite fait!".
En retrouvant Lisa, qui dormait toujours, je lui apporte deux cafés légers, puis lui propose de sortir déjeuner dans un coffee shop, avant d'aller bruncher deux heures plus tard.
Nous éviteront le quartier gay, je ne tiens pas à croiser un copain de Robert, qui me parlerai de notre liaison.
Les deux jours suivant, j'ai rejoins Robert chez lui, chaque matin, j'étais devenu accroc à sa queue épaisse en sodomie et son éjaculation abondante.
Le troisième jour, sera consacré à une visite hors de la ville, et le dernier à la préparation du retour en France.
Mais comme nous avions un peu de temps, nos valises étant prêtes, Lisa a voulu retourner au bar gay, je lui demande pourquoi? Elle me répond:"Tu pourras dire au revoir au type de l'autre jour!".
En arrivant au bar, le patron nous accueille avec un grand sourire et ajoute:"Ca fait plaisir de vous revoir! Vous êtes les bienvenus".
Lisa s'étonne et me demande:"Il se souvient de nous? comment c'est possible?".
"Il connait bien Robert! l'homme que j'ai rencontré et qui m'attend, d'ailleurs!".
"Oui, je l'ai vu moi aussi! A tout à l'heure!".
Ce qu'elle n'a pas su, c'est que si Robert m'a retrouvé aux toilettes pour m'enculer encore une dernière fois, son copain, le patron du bar en a profité lui aussi.
En la retrouvant, elle me demande:"Eh ben, ç'était long cette fois!".
"On avait une grosse envie! Robert te remercie d'avoir insisté pour venir ici".
"C'est gentil! Tu veux quelque chose?".
Les assauts des deux hommes dans mon anus et leurs spermes que j'ai avalé, m'ont coupé tout besoin de me nourrir.
"Non, le café suffira!".
En voulant régler, le serveur nous dit que le patron nous offrait la note, on a malgré tout payé son service avant de partir.
Je la remercie, de m'avoir autorisé ce moment de plaisir, elle ajoute alors:"C'est normal, je te dois bien ça, surtout quand je pense à tout ce que tu me laisses faire de mon coté".
A peine, arrivés en France, son téléphone sonne:"Allo? Dimitri!".
Après leur conversation, assez coquine, je lui demande ce qui se passe.
"C'est Dimitri, il aimerait qu'on s'organise un truc, un peu chaud! Je peux dire oui?".
"Bien sûr, amuses-toi bien mon amour!".
J'apprécie beaucoup leur complicité amicale sexuelle, on dirait deux sex-friends qui découvrent ensemble leurs délires pervers.
En arrivant à la maison, elle appelle son ami de sexe et lui annonce la bonne nouvelle, en confirmant un RDV en fin de semaine.
Puis, elle revient vers moi, toute excitée.
"Mon amour, Dimitri passe me prendre en moto, il peut pas attendre Vendredi, on va aller vers le Faron, tu me laisses y aller?".
"Je t'ai déjà dis non?".
"Non!""Alors, t'as ta réponse! et après, je te raconterai des trucs qui se sont passés au Canada".
"Comment ça?".
"Ben, en fait, depuis le jour ou j'ai baisé avec Robert, je suis allé tous les matins chez lui, pendant que tu dormais, sauf la veille du départ! Il habitait à moins de 100 m de l'hôtel".
"Ah, d'accord, du coup, je vais bien en profiter de mon coté, c'est génial, je t'aime, mon amour, bon allez ! j'y vais, j'ai une énorme envie de faire la salope! Je vais lui dire de se lâcher !Bisous, à tout à l'heure!".
Je prends deux billets, puis en rentrant, j'annonce à Lisa que nous partons 12 jours au Canada.
L'amour de ma vie, n'en croit pas ses yeux, mais elle est bloquée par la peur de l'avion.
Pendant les semaines qui précèdent notre départ, les affaires continuent de marcher, nous offrant un bon pécule pour profiter de nos vacances.
Notre séjour à Montréal est magique, cela fait déjà 6 jours que nous profitons de la beauté de la ville et ses alentours.
Un après-midi, nous nous promenons dans le quartier proche de notre hôtel. Je remarque que bizarrement, les hommes ne reluquent pas Lisa. Ils ont l'air d'être plus intéressés par ma personne.
Nous entrons dans un petit bar restaurant, la musique est sympa.
On commande deux expressos. Puis je dis a Lisa:"Mon amour, je crois qu'on est dans le quartier gay!".
"Ah, c'est ça! Je me demandais pourquoi le type d'à coté te regardait comme ça! mais, il est pas le seul!".
"Lequel?".
"A coté du comptoir! Mais, j'y pense, ça va, ça te manques pas? T'as rencontré quelqu'un avant de partir?".
"Ben, j'avais pas trop le temps! c'est vrai que j'en ai envie depuis quelques temps, et toi?".
"Moi, ça va, j'ai profité que t'étais à Antibes pour baiser avec Dimitri et son copain, ça m'a comblé suffisamment!".
"Bon, Lisa, je vais aux toilettes, commandes toi quelque chose!".
Je me dirige vers les toilettes, en passant près de l'homme dont m'a parlé Lisa. Il me dévisage avec envie, je lui souris, puis le dépasse.
Je vais me placer contre un urinoir en forme de cuvette, pour satisfaire mon besoin naturel.
L'homme entre dans l'endroit, il m'excite déjà, même si les autres mecs qui me dévisageaient étaient plus beaux que lui, ils ne correspondaient pas a mon type d'homme.
Il avait tout pour me donner envie de lui, très grand, large avec une impression de puissance, et des mains épaisses.
Il me dit:"Tu m'attendais?".
"Oui, on doit faire vite!".
Il m'entraine dans un cabinet de toilette très large, je remarque un distributeur de préservatifs à l'intérieur, des doses de gel et des serviettes en papier.
Je ne vais pas être le premier à me faire baiser dans cet endroit!
"Allez, viens me sucer la pine! après je vais te péter la cenne!".
"Quoi?".
"Ah, t'es français! Je vais t'enculer!".
Il défait ses boutons de pantalon, pendant que je sors sa queue de son fourreau de tissu.
C'est quand il baisse son caleçon que je découvre ses deux énormes couilles, surplombées par un sexe de taille moyenne, 18 cm environ, mais d'une largeur exceptionnelle.
"Ca te plait?".
"J'adore!".
Je commence par lui lécher le gland, puis assez vite recouvre son membre de ma bouche humide, j'aimerai tellement avoir plus de temps pour profiter de sa magnifique queue.
"Humm, t'es doué pour faire les pipes! hummmm!".
Pendant que je lui pompe ardemment la bite, je défais mon pantalon, avec ma main libre.
Puis je me relève et lui tends mes fesses. Pendant qu'il s'affuble d'une capote, je salive entre mes doigts pour me lubrifier l'anus.
Mais cela s'avère inutile, puisqu'il prend une petite dose de gel, s'enduit le sexe et me badigeonne l'anus du produit.
Je prends appui contre le mur, son sexe force aussitôt contre mon œillet, je sais déjà que je vais prendre un plaisir énorme avec sa grosse bite.
Il n'est pas le premier homme avec des dimensions hors normes à m'enculer, mais cela n'arrive pas très souvent, malheureusement.
Je le retiens dans sa pénétration, en passant une main contre son ventre, derrière moi.
"Attends! doucement, laisses-moi le temps de m'habituer, tu es gros!".
Pendant qu'il m'assène des mouvements de pénétration, je pousse sur mon muscle anal pour accompagner son enfoncement.
Puis, son énorme sexe me pénètre d'un coup en écartelant mon œillet qui a lâché sous la pression de sa poussée.
Je mords mon bras, l'homme me besogne assez vite sans retenue, j'ai l'impression d'être fragile entre ses mains.
Je jouis du cul assez rapidement, je prends plaisir à passer une main sous mon ventre pour toucher ses énormes couilles qui claquent contre mes fesses.
Mon orgasme est interminable, puis il retombe enfin, l'homme comprend que j'ai bien joui.
Il se retire, puis me demande:"Je vais bientôt jouir aussi, fais moi une pipe!".
Je me jette à ses pieds en le pompant goulument.
3 minutes à peine, ensuite, il lâche un énorme flot de sperme en râlant longuement.
"Ahhhhhhhhhhhhhhh, oui, avales mon jus, ouiiiiiiiiiiiiiiiii!".
L'écoulement est continu et très abondant.
Malgré le gout très agréable, mielleux et très légèrement salé de son sperme, j'ai de légers reflux causés par la quantité de son éjaculation.
J'avale de nombreuses fois son jus de plaisir, puis enfin, je peux quitter son membre vidé pour lui lécher ses énormes couilles, remonter ensuite vers son gland afin de récupérer le dernier filet de sperme qui coule le long de sa hampe.
"Humm, c'était très très bon! ils baisent tous comme toi les français?".
"Je sais pas, moi c'est comme ça que j'aime le faire, en tout cas! Et les Canadiens, ils ont tous autant de sperme que toi?".
"Ah ah, non, c'est que moi, je fourni beaucoup, ça te déranges?".
"Humm, non, au contraire! Dommage que tu sois pas chez moi, on aurait baisé souvent ensemble tous les deux!".
"Viens habiter ici, je dirais pas non de te péter la cenne tous les jours!".
"Tu sais que ç'est pas possible, mais merci pour l'invitation! Bon, je vais rejoindre ma femme! On a un hôtel à coté, je reviendrai peut être".
"Tu t'appelles comment?".
"Patrick! Et toi?".
"Robert! Si ça te dis, j'habite pas loin, viens demain matin à 8 h 30, je serai dans le bar, et je t'emmène chez moi!".
"Je te promets rien, si elle dort, je risque de venir, qui sait?".
Je rejoins Lisa, elle me demande:"J'ai pris deux pancakes, t'en veux aussi? T'en as mis du temps? J'ai vu que le type t'as suivi!".
"Euh,... non, je peux plus rien avaler, je suis rempli!".
"Tu l'a croisé le mec?".
"Chht, oui, on a baisé dans les toilettes, bon, on paie et on va se balader?".
On profite ensemble de la fin de notre journée, puis nous allons manger un Smoked Meat Sandwich dans une adresse conseillée par le guide du routard.
Lisa avait l'air heureuse que j'ai enfin comblé mon envie de sexe avec un homme, elle se sentait moins coupable d'avoir baisé avec Dimitri et son ami.
Notre fin de soirée fut mouvementée, pleine de sexe et de tendresse, de mots d'amour et de mots crus, aussi.
Il faut avouer que nous n'avions que ça à faire, la télévision, ne nous offrait que peu de programmes en français et l'abondance de pubs (toutes les 6 minutes!) nous coupait l'envie de l'allumer.
Le matin suivant, je sors de mon sommeil vers 7h00, je me débarrasse de mes besoins naturels, puis prends une douche, en pratiquant un lavement anal.
Je me rase, puis m'habille afin de rejoindre Robert au RDV fixé. Lisa dort profondément, avec un léger ronflement.
Dans le bar, déjà ouvert, Robert m'attend en buvant un café, il laisse de l'argent sur la table et sort pour me rejoindre.
Le patron lui dit:"A tout à l'heure Robert, amusez vous bien!".
Quand il arrive, je lui dis:"Tu lui as parlé de moi, je suppose!".
"Oui, lui aussi, il a flashé sur toi! Je lui ai raconté notre petite séance, ça l'a fait bander! Ah ah ah".
Je le suis jusqu'à son appartement, en effet, il est très proche, à moins de 100 m de notre hôtel.
L'intérieur est mignon, mais je n'ai pas trop le loisir de visiter les lieux.
Robert m'enlace assez vite, et m'embrasse goulument. J'ai envie de lui, et lui montre mon désir en frottant ma main sur sa queue à travers son pantalon.
Il m'appuie sur la tête pour que je lui fasse une fellation.
Je retrouve avec bonheur les dimensions hors normes de sa queue, paré de ses grosses couilles que je m'empresse de lécher avec passion.
Robert gémit longuement, mes caresses buccales l'excitent, il ne résiste plus et me relève d'un coup.
"Il faut que je t'encules! tu m'excites trop !".
Il me couche sur la table de sa cuisine, me défait mon pantalon, puis me déshabille les jambes en les tenant en l'air.
Sa précipitation m'excite, je me retrouve avec le dos couché sur sa table, nu à partir de la taille. Il s'éloigne en disant:"Reste comme ça, je vais prendre du gel!".
Je tiens mes jambes relevées, pressé de recevoir ses assauts, même le contact froid du gel m'excite, il est le signe de l'arrivée imminente de son énorme queue.
Enfin, je sens son gland qui pousse contre mon anus.
"Oh Robert, moi aussi, j'en peux plus d'attendre! Encules-moi, je te veux dans mon cul!".
Pendant qu'il progresse peu à peu dans sa pénétration, j'écarte mes fesses avec mes mains tout en poussant sur mon anus pour qu'il s'ouvre plus vite.
Nous prenons tous les deux beaucoup de plaisir pendant ce début de pénétration extrême.
On atteint enfin le moment ou il renverse toutes les dernières barrières de mon œillet, pour se faufiler jusqu'au fond de mon anus.
"Ahrhhhhhhhhhhhhhhh, Robert, c'est bonnnnnnnnnnnnnnnnn!".
"Oh, oui, c'est bon, arhhhhhhhhhhhhhhhhhh, j'adore ton cul Patrick!".
Son mouvement ressemble à un piston qui démarre lentement puis s'emballe.
Il me fait gueuler comme un animal, je lubrifie abondamment sur sa grosse bite qui me déchire le cul.
Je lui crie mon premier orgasme anal.
Puis, il me tourne sur le ventre, toujours sur la table et m'encule à nouveau comme une bête.
Au bout de quelques minutes, je lui dis en râlant:"Ah, tu me défonces trop bien, je vais encore jouir, arhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Il s'acharne à me faire crier mes derniers instants d'orgasme.
Enfin, il m'entraine dans la chambre pour s'allonger nu et attendant que je me baise encore sur lui.
Notre copulation est bestiale, je me vide de plaisir anal.
Ayant trop joui, je m'écroule sur son épaule.
"Robert, je suis vidé, je t'en supplie, il faut que tu jouisses maintenant!".
"T'as failli m'avoir! Tu baises divinement bien! Suces moi, je vais te donner ta récompense!".
Je m'empale la gorge en le pompant avec une passion dévoratrice.
A peine 3 minutes plus tard, je retrouve son énorme flot abondant de sperme.
J'avale avec envie son jus brulant, qui malgré mes efforts coule à la commissure de mes lèvres.
Son éjaculation est interminable et j'adore ça! J'adore aussi ses gémissements qui sont une deuxième récompense, pour moi.
Tout a une fin, son corps se relâche, les spasmes dans sa queue ont cessé, je relève lentement mon visage en écartant mes lèvres souillées, pour quitter sa magnifique bite.
Je passe mon doigt de chaque coté de mon menton, essuie le sperme qui s'y trouve pour lécher ensuite.
Puis je plonge sur son ventre pour le nettoyer du surplus qui s'est échappé de ma bouche.
"Ahh, Patrick, j'adore, t'es un super amant!".
"Merci, j'apprécie le compliment! Bon, je vais y aller, si je peux, je reviens demain, vite fait!".
En retrouvant Lisa, qui dormait toujours, je lui apporte deux cafés légers, puis lui propose de sortir déjeuner dans un coffee shop, avant d'aller bruncher deux heures plus tard.
Nous éviteront le quartier gay, je ne tiens pas à croiser un copain de Robert, qui me parlerai de notre liaison.
Les deux jours suivant, j'ai rejoins Robert chez lui, chaque matin, j'étais devenu accroc à sa queue épaisse en sodomie et son éjaculation abondante.
Le troisième jour, sera consacré à une visite hors de la ville, et le dernier à la préparation du retour en France.
Mais comme nous avions un peu de temps, nos valises étant prêtes, Lisa a voulu retourner au bar gay, je lui demande pourquoi? Elle me répond:"Tu pourras dire au revoir au type de l'autre jour!".
En arrivant au bar, le patron nous accueille avec un grand sourire et ajoute:"Ca fait plaisir de vous revoir! Vous êtes les bienvenus".
Lisa s'étonne et me demande:"Il se souvient de nous? comment c'est possible?".
"Il connait bien Robert! l'homme que j'ai rencontré et qui m'attend, d'ailleurs!".
"Oui, je l'ai vu moi aussi! A tout à l'heure!".
Ce qu'elle n'a pas su, c'est que si Robert m'a retrouvé aux toilettes pour m'enculer encore une dernière fois, son copain, le patron du bar en a profité lui aussi.
En la retrouvant, elle me demande:"Eh ben, ç'était long cette fois!".
"On avait une grosse envie! Robert te remercie d'avoir insisté pour venir ici".
"C'est gentil! Tu veux quelque chose?".
Les assauts des deux hommes dans mon anus et leurs spermes que j'ai avalé, m'ont coupé tout besoin de me nourrir.
"Non, le café suffira!".
En voulant régler, le serveur nous dit que le patron nous offrait la note, on a malgré tout payé son service avant de partir.
Je la remercie, de m'avoir autorisé ce moment de plaisir, elle ajoute alors:"C'est normal, je te dois bien ça, surtout quand je pense à tout ce que tu me laisses faire de mon coté".
A peine, arrivés en France, son téléphone sonne:"Allo? Dimitri!".
Après leur conversation, assez coquine, je lui demande ce qui se passe.
"C'est Dimitri, il aimerait qu'on s'organise un truc, un peu chaud! Je peux dire oui?".
"Bien sûr, amuses-toi bien mon amour!".
J'apprécie beaucoup leur complicité amicale sexuelle, on dirait deux sex-friends qui découvrent ensemble leurs délires pervers.
En arrivant à la maison, elle appelle son ami de sexe et lui annonce la bonne nouvelle, en confirmant un RDV en fin de semaine.
Puis, elle revient vers moi, toute excitée.
"Mon amour, Dimitri passe me prendre en moto, il peut pas attendre Vendredi, on va aller vers le Faron, tu me laisses y aller?".
"Je t'ai déjà dis non?".
"Non!""Alors, t'as ta réponse! et après, je te raconterai des trucs qui se sont passés au Canada".
"Comment ça?".
"Ben, en fait, depuis le jour ou j'ai baisé avec Robert, je suis allé tous les matins chez lui, pendant que tu dormais, sauf la veille du départ! Il habitait à moins de 100 m de l'hôtel".
"Ah, d'accord, du coup, je vais bien en profiter de mon coté, c'est génial, je t'aime, mon amour, bon allez ! j'y vais, j'ai une énorme envie de faire la salope! Je vais lui dire de se lâcher !Bisous, à tout à l'heure!".
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