Rock'n'roll attitude
Récit érotique écrit par Bitrock [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rock'n'roll attitude
Je m’appelle Philippe, j’ai 35 ans et voici un petite aventure qui m’est arrivée il y
a quelques années, à l’époque avec 4 autres musiciens, nous avions montés un groupe de
Hard-Rock et nous tournions un peu partout en Belgique et en France. A cinq (2
guitaristes – Mathieu et Yannick, un bassiste - Michel, un batteur - Anthony et moi «
Philou » au chant),
nous tournions assez régulièrement depuis 2 ans, quand Toni, notre batteur reçoit une
proposition pour aller jouer en première partie d’un groupe américain connu, dans une
grande salle à Caen. Bien sur, nous acceptons de suite.
Comme nous venons de Belgique, l’organisateur nous envoie les contrats, une avance et
un timing, avec heure d’arrivée, endroit de rendez-vous, lieux où nous serons logés,
etc, etc…
Nous louons un van pour mettre le matos et décidons de l’heure du départ pour être à
l’aise (on a 500 bornes à faire). Mais, je m’aperçois 3 jours avant le départ que,
pour des raisons professionnelles, je ne pourrais pas partir avec les autres, qu’à
cela ne tienne, je partirai seul en voiture……
« Non, me dit Michel, le bassiste, ma copine veut venir, mais elle, non plus, ne peut
pas partir aussi tôt le matin, tu n’as qu’à la prendre avec toi »
Le jour J arrive, les copains partent à 10 h du matin et moi, je démarre vers 14 h
avec Mélanie, la copine en question. Je dois être là pour 20 h, et je compte sur plus
ou moins 5 heures de route. Cool….
Mélanie, que je n’ai vu que deux ou trois fois avant, vit avec Michel depuis un peu
plus de 6 mois, est une jolie fille de 19 ans, 1m 70, blonde comme les blés, yeux
gris-bleu, toujours souriante. De plus, concert oblige, elle a mis une tenue Rock, un
t-shirt noir sans manche tendu par sa généreuse poitrine, un perfecto, une mini jupe
en latex qui moule son superbe derrière et des bottes en cuir noir qui remontent plus
haut que les genoux… Ouah !!!
On se fait la bise, je mets son sac à côté du mien dans le coffre, et quand j’entre
dans la voiture, elle a déjà enlevé son blouson et dans son mouvement pour mettre sa
ceinture, je peux apercevoir qu’elle ne porte pas de soutien-gorge….
Pendant la première heure de route, on parle de tout et rien, de la pluie et du beau
temps, du boulot…..
Peu après le passage de la frontière, Mélanie me demande de m’arrêter car elle doit
aller au « petit coin » ; première station, c’est chose faite… j’en profite aussi. Et
j’achète à boire et quelques trucs à grignoter.
A mon retour à la voiture, Mélanie est en train d’enlever ses bottes !!!
« Fait chaud et on a encore pas loin de 4 h de route, je me mets à l’aise » dit-elle
Une fois reparti, je lui demande comment elle a rencontré Michel. Tout en me racontant
son histoire, elle recule son siège à fond : « Ca te dérange si je pose mes pieds là
dit-elle en montrant le dessus de la boite à gants »
« Non, mets toi à l’aise, et si tu veux te reposer et même dormir, tu peux » dis-je.
Elle tend ses jambes que je ne peux manquer d’admirer, j’ai même du mal à refixer mon
regard sur la route. Je sens comme un sentiment de chaleur qui monte dans la voiture
!!!
« Et toi, dit-elle, tu vis avec quelqu’un car je te vois souvent seul en dehors des
concerts »
« Non, pour le moment, je suis libre et j’en profite »
« Moi, j’aime Michel mais la liberté, c’était bien aussi, surtout au niveau sexe, car
pour ça, Michel est un peu coincé et limité, tu vois ? »
« Non, pas du tout !!! Pourtant il a l’air très amoureux »
« Mais moi aussi, je l’aime, mais je dois dire qu’il a une petit queue, tu vois ? Et
en plus il n’est pas très endurant, ça ne dure jamais longtemps avec lui, tu vois ? En
plus, il n’aime pas que je le suce car il jouit encore plus vite alors, tu vois ?
Euh, ça ne te gènes pas que j’en parle comme ça ? »
« Non, non, ça me gène pas, mais toi tu …. »
« Moi, j’aime tout, mais Michel, il ne veut faire l’amour qu’au lit, il éteint les
lumières, hop en missionnaire et deux minutes après c’est fini. »
« Ah bon ! Non même pas bon alors… »
« En plus, il ne faut pas lui parler de positions un peu spéciales, et puis surtout il
ne veut pas m’ENCULER !!! »
Après cette affirmation, un ange passe, mais après quelques minutes de silence.
« Tu sais, j’aime Michel, mais il y a trois mois quand je suis allée avec vous à
Liège, après le concert, je t’ai vu prendre ta douche sans que tu me vois… »
« Ah bon ! Et…. »
« J’ai vu que tu as une très belle queue, et depuis je pense souvent à toi. En plus,
ce soir là, tu es parti avec 2 filles. J’en ai eu mal au ventre » (Si je me souviens,
oh là là oui, ça avait été une belle nuit de baise)
Je reste sans voix.
Elle reprend une position normale, avance son siège…. « Philippe, je ne veux pas
tromper Michel mais j’ai envie de revoir ta queue »
« Comment, quoi là maintenant, mais je conduis et on est sur l’autoroute » (déserte
d’accord, mais quand même)
« Il n’y a personne et c’est juste pour la voir » dit-elle, en se penchant vers moi et
en posant sa main sur ma cuisse.
Comme notre conversation m’a déjà excité et que je porte un jean serrant, mon sexe
forme déjà une belle bosse. Sa main la frôle, puis se pose dessus.
« Tu vois comme elle est serrée » dit-elle en la caressant à travers le tissu, « Moi
je dis qu’il faut la libérer »
Elle a déjà relevé mon t-shirt pour déboucler ma ceinture et ouvrir le premier bouton,
elle n’hésite pas pour les autres, puis écarte les pans de mon jeans. Ses doigts se
glissent sous mon caleçon, touchent ma queue mais pas possible de la sortir.
Je ralentis l’allure, me soulève de mon siège pour qu’elle fasse glisser mon futal
sous mes fesses. Me voilà avec le pantalon sous les cuisses au volant de ma voiture
sur l’autoroute !!!
Mélanie a vite fait d’écarter mon caleçon pour découvrir ma bite bien tendue.
« Oh, qu’elle est belle, longue et bien grosse, ça change de la petite de Michel….. »
Tout en affirmant ça, elle ne me la lâche pas de la main et la caresse même lentement.
Puis elle détache sa ceinture de sécurité et se penche de plus en plus vers ma queue.
Elle parvient à trouver une position qui lui permet de déposer un tendre bisou sur mon
gland, puis elle sort la langue et me la lèche sur toute la longueur.
Moi, je me concentre sur ma conduite mais je sens des gouttes de sueur qui me
descendent le long du dos…..
« J’ai très envie de te faire une pipe, Philippe, tu veux bien ? Mais après, ce sera
tout hein !!! »
« Oui, Mélanie, oui »
Elle recommence à me lécher la bite avant de prendre mon gland en bouche puis de
plonger.
« Elle est trop longue, je ne peux pas tout avaler » dit-elle avant de se lancer dans
un travail de pompage impressionnant. Malgré le joli nombre de filles que j’ai
connues, j’ai rarement connu une telle suceuse.
« Putain ; il ne sait pas ce qu’il rate ce con de Michel, me dis-je tout bas. »
« Merde, Mélanie on arrive à un péage, remets toi sur ton siège, et trouve un truc
pour me couvrir…. »
Ouf son perfecto est juste à portée. Je tends le ticket et l’argent, la préposée me
rend la monnaie en souriant « Et bonne route, me dit-elle »
A peine la barrière levée, Mélanie a déjà repris les choses où elles étaient…. Une
vraie nympho…. Elle en veut…. Et elle met tellement de cœur à l’ouvrage qu’elle
parvient à prendre toute ma queue.
« J’y suis arrivée » crie-t-elle en reprenant son souffle puis elle repart de plus
belle.
Moi, je ne vois que le sommet de sa tête qui monte et descend à son rythme, mais je
dois surtout regarder la route, ce qui m’aide à résister à l’envie de jouir de suite.
Mais après vingt minutes à se régime, je ne tiens plus : « Mélanie, je vais jouir »
dis-je pour la prévenir.
Elle ne se retire pas et reçoit une longue et abondante giclée qu’elle ne rejette pas.
Mais la quantité de sperme que je crache est quand trop copieuse et elle en laisse
couler beaucoup.
Me voilà avec plein de sperme sur le caleçon. Enfin, Mélanie se redresse, trouve des
mouchoirs pour s’essuyer la bouche, puis m’essuyer la queue qui ramollit à peine.
« Mais, tu bandes encore, j’y crois pas….. »
« Oui, et là, tu m’as fameusement donné envie de baiser »
« On avait dit une pipe, et c’est tout »
« Tu avais dit…., moi, je vois qu’il y a une aire de repos à 2 km et là, faut qu’on
s’arrête.. »
J’ai posé ma main sur sa cuisse, puis remonté sous sa jupe. Je caresse à travers son
slip son sexe qui mouille abondement et inonde son slip en un rien de temps.
Heureusement, l’aire est quasi déserte ; et il y a un coin ombragé à l’écart avec un
camion qui nous cache des regards indiscrets.
A peine arrêté, je n’ai pas le temps de retirer ma ceinture que Mélanie m’embrasse
déjà à pleine bouche. Son haleine au goût de mon sperme m’excite.
Je la repousse doucement, défait ma ceinture, met mon siège en position couchée.
Mélanie ; pendant ce temps et malgré ses « il ne faut pas, ce n’est pas bien » a déjà
retiré son slip, pendant que j’enfile un préservatif.
« Viens sur moi » lui dis-je la queue dressée.
Elle m’enjambe aussitôt, soulève ses hanches, se saisit de ma queue, la place devant
l’entrée de son vagin et se laisse descendre d’un seul coup. Elle est tellement
trempée que j’y rentre comme dans du beurre.
Mélanie entame une chevauchée fantastique, elle monte et descend le long de ma queue à
une vitesse folle. Ses gémissements et ses cris doivent ameuter tout le parking, sans
compter que la voiture doit bouger dans tous les sens.
Moi, j’ai relevé son t-shirt par-dessus ses seins car ils méritent vraiment le détour,
et les caresses que je leur prodigue.
Après une dizaine de minutes, Mélanie se calme enfin :
« C’est incroyable, j’ai bien jouis trois fois et toi, tu bandes toujours »
Je ne dis rien, je me contente de la forcer à se mettre sur son siège et à venir sur
elle. A moi de lui asséner de solides coups de rein. Mais, d’abord, avant de la
pénétrer, je lui caresse le clitoris avec ma queue, elle devient folle, elle secoue la
tête en tout sens en gémissant de plaisir.
J’attends alors qu’elle se calme avant de la reprendre de plus belle. Je change
plusieurs fois de rythme, avant de ressortir entièrement puis de replonger bien à
fond. Je la fais ainsi jouir encore une fois. Mais, je trouve que sa chatte est
maintenant un peu trop élargie.
« Mélanie, me permettrais-tu de t’enculer » lui demandais-je, grand seigneur, tout en
me retirant, mais toujours au garde à vous.
« Ce n’est pas possible, tu peux encore, mais ce n’est pas bien,…… Michel… »
« Ne pense pas à lui »
Sur ce, j’ouvre la portière et sort ainsi, jeans et slip sur les chevilles, la queue
dressée.
« Mets tes genoux là sur le bord et appuie-toi sur le siège » dis-je
Mélanie se place comme demandé. Je passe ma main sur sa chatte pour en recueillir la
mouille et en enduire son petit trou, tout en y introduisant un puis deux doigts. Je
crache deux fois, pour encore mieux le lubrifier, puis je place mon gland juste en
face et je pousse doucement afin d’ouvrir cette porte.
Mélanie résiste malgré elle, alors elle place ses deux mains sur ses fesses pour mieux
les écarter. Je pousse un bon coup et ça y est, ça passe.
Mélanie me supplie d’aller doucement, ce que je fais, mais après quelques petites
poussées, je me retire, avant de faire quelques rentrées-sorties. Je sens que l’entrée
se fait plus facilement et j’accélère alors mes coups de boutoir.
Mélanie ne me supplie plus d’aller doucement, elle m’implore d’accélérer.
Après une dizaine de minutes, je sens venir le moment de conclure, je la pistonne
trois-quatre fois bien à fond, puis je me retire, enlève la capote et lui envoie une
grosse quantité de foutre sur le cul et les fesses.
Mélanie est effondrée sur le siège, elle reprend peu à peu ses esprits après une telle
séance de baise.
J’ai remis mon caleçon et mon jeans, et avalé une longue gorgée de Coca, quand elle
commence à se relever, puis se précipite vers le coffre pour prendre une serviette
dans son sac pour s’essuyer; en effet, elle a du sperme plein les fesses.
Ensuite, elle reprend sa place sur le siège passager et nous reprenons le route. Il
est grand temps car nous avons perdu presque une heure.
Vu le silence qui s’est installé dans la voiture, je remets la radio en marche.
Après une vingtaine de minute : « Philippe, tu m’as fait jouir comme jamais, mais
Michel ne doit rien savoir de tout cela, hein »
« T’inquiètes pas, il n’en saura rien par moi, en tout cas »
Puis « Par contre, tu sais Mélanie, moi ce qui m’excite beaucoup c’est les tenues en
latex ou en cuir, et là tu étais parfaite, mais je trouve dommage que tu n’avais pas
gardé tes bottes, mais ce sera pour une prochaine fois. »
« Parce que tu penses qu’il y aura une prochaine fois !!!!! »
Qui sait, sûrement !!!!!!!
a quelques années, à l’époque avec 4 autres musiciens, nous avions montés un groupe de
Hard-Rock et nous tournions un peu partout en Belgique et en France. A cinq (2
guitaristes – Mathieu et Yannick, un bassiste - Michel, un batteur - Anthony et moi «
Philou » au chant),
nous tournions assez régulièrement depuis 2 ans, quand Toni, notre batteur reçoit une
proposition pour aller jouer en première partie d’un groupe américain connu, dans une
grande salle à Caen. Bien sur, nous acceptons de suite.
Comme nous venons de Belgique, l’organisateur nous envoie les contrats, une avance et
un timing, avec heure d’arrivée, endroit de rendez-vous, lieux où nous serons logés,
etc, etc…
Nous louons un van pour mettre le matos et décidons de l’heure du départ pour être à
l’aise (on a 500 bornes à faire). Mais, je m’aperçois 3 jours avant le départ que,
pour des raisons professionnelles, je ne pourrais pas partir avec les autres, qu’à
cela ne tienne, je partirai seul en voiture……
« Non, me dit Michel, le bassiste, ma copine veut venir, mais elle, non plus, ne peut
pas partir aussi tôt le matin, tu n’as qu’à la prendre avec toi »
Le jour J arrive, les copains partent à 10 h du matin et moi, je démarre vers 14 h
avec Mélanie, la copine en question. Je dois être là pour 20 h, et je compte sur plus
ou moins 5 heures de route. Cool….
Mélanie, que je n’ai vu que deux ou trois fois avant, vit avec Michel depuis un peu
plus de 6 mois, est une jolie fille de 19 ans, 1m 70, blonde comme les blés, yeux
gris-bleu, toujours souriante. De plus, concert oblige, elle a mis une tenue Rock, un
t-shirt noir sans manche tendu par sa généreuse poitrine, un perfecto, une mini jupe
en latex qui moule son superbe derrière et des bottes en cuir noir qui remontent plus
haut que les genoux… Ouah !!!
On se fait la bise, je mets son sac à côté du mien dans le coffre, et quand j’entre
dans la voiture, elle a déjà enlevé son blouson et dans son mouvement pour mettre sa
ceinture, je peux apercevoir qu’elle ne porte pas de soutien-gorge….
Pendant la première heure de route, on parle de tout et rien, de la pluie et du beau
temps, du boulot…..
Peu après le passage de la frontière, Mélanie me demande de m’arrêter car elle doit
aller au « petit coin » ; première station, c’est chose faite… j’en profite aussi. Et
j’achète à boire et quelques trucs à grignoter.
A mon retour à la voiture, Mélanie est en train d’enlever ses bottes !!!
« Fait chaud et on a encore pas loin de 4 h de route, je me mets à l’aise » dit-elle
Une fois reparti, je lui demande comment elle a rencontré Michel. Tout en me racontant
son histoire, elle recule son siège à fond : « Ca te dérange si je pose mes pieds là
dit-elle en montrant le dessus de la boite à gants »
« Non, mets toi à l’aise, et si tu veux te reposer et même dormir, tu peux » dis-je.
Elle tend ses jambes que je ne peux manquer d’admirer, j’ai même du mal à refixer mon
regard sur la route. Je sens comme un sentiment de chaleur qui monte dans la voiture
!!!
« Et toi, dit-elle, tu vis avec quelqu’un car je te vois souvent seul en dehors des
concerts »
« Non, pour le moment, je suis libre et j’en profite »
« Moi, j’aime Michel mais la liberté, c’était bien aussi, surtout au niveau sexe, car
pour ça, Michel est un peu coincé et limité, tu vois ? »
« Non, pas du tout !!! Pourtant il a l’air très amoureux »
« Mais moi aussi, je l’aime, mais je dois dire qu’il a une petit queue, tu vois ? Et
en plus il n’est pas très endurant, ça ne dure jamais longtemps avec lui, tu vois ? En
plus, il n’aime pas que je le suce car il jouit encore plus vite alors, tu vois ?
Euh, ça ne te gènes pas que j’en parle comme ça ? »
« Non, non, ça me gène pas, mais toi tu …. »
« Moi, j’aime tout, mais Michel, il ne veut faire l’amour qu’au lit, il éteint les
lumières, hop en missionnaire et deux minutes après c’est fini. »
« Ah bon ! Non même pas bon alors… »
« En plus, il ne faut pas lui parler de positions un peu spéciales, et puis surtout il
ne veut pas m’ENCULER !!! »
Après cette affirmation, un ange passe, mais après quelques minutes de silence.
« Tu sais, j’aime Michel, mais il y a trois mois quand je suis allée avec vous à
Liège, après le concert, je t’ai vu prendre ta douche sans que tu me vois… »
« Ah bon ! Et…. »
« J’ai vu que tu as une très belle queue, et depuis je pense souvent à toi. En plus,
ce soir là, tu es parti avec 2 filles. J’en ai eu mal au ventre » (Si je me souviens,
oh là là oui, ça avait été une belle nuit de baise)
Je reste sans voix.
Elle reprend une position normale, avance son siège…. « Philippe, je ne veux pas
tromper Michel mais j’ai envie de revoir ta queue »
« Comment, quoi là maintenant, mais je conduis et on est sur l’autoroute » (déserte
d’accord, mais quand même)
« Il n’y a personne et c’est juste pour la voir » dit-elle, en se penchant vers moi et
en posant sa main sur ma cuisse.
Comme notre conversation m’a déjà excité et que je porte un jean serrant, mon sexe
forme déjà une belle bosse. Sa main la frôle, puis se pose dessus.
« Tu vois comme elle est serrée » dit-elle en la caressant à travers le tissu, « Moi
je dis qu’il faut la libérer »
Elle a déjà relevé mon t-shirt pour déboucler ma ceinture et ouvrir le premier bouton,
elle n’hésite pas pour les autres, puis écarte les pans de mon jeans. Ses doigts se
glissent sous mon caleçon, touchent ma queue mais pas possible de la sortir.
Je ralentis l’allure, me soulève de mon siège pour qu’elle fasse glisser mon futal
sous mes fesses. Me voilà avec le pantalon sous les cuisses au volant de ma voiture
sur l’autoroute !!!
Mélanie a vite fait d’écarter mon caleçon pour découvrir ma bite bien tendue.
« Oh, qu’elle est belle, longue et bien grosse, ça change de la petite de Michel….. »
Tout en affirmant ça, elle ne me la lâche pas de la main et la caresse même lentement.
Puis elle détache sa ceinture de sécurité et se penche de plus en plus vers ma queue.
Elle parvient à trouver une position qui lui permet de déposer un tendre bisou sur mon
gland, puis elle sort la langue et me la lèche sur toute la longueur.
Moi, je me concentre sur ma conduite mais je sens des gouttes de sueur qui me
descendent le long du dos…..
« J’ai très envie de te faire une pipe, Philippe, tu veux bien ? Mais après, ce sera
tout hein !!! »
« Oui, Mélanie, oui »
Elle recommence à me lécher la bite avant de prendre mon gland en bouche puis de
plonger.
« Elle est trop longue, je ne peux pas tout avaler » dit-elle avant de se lancer dans
un travail de pompage impressionnant. Malgré le joli nombre de filles que j’ai
connues, j’ai rarement connu une telle suceuse.
« Putain ; il ne sait pas ce qu’il rate ce con de Michel, me dis-je tout bas. »
« Merde, Mélanie on arrive à un péage, remets toi sur ton siège, et trouve un truc
pour me couvrir…. »
Ouf son perfecto est juste à portée. Je tends le ticket et l’argent, la préposée me
rend la monnaie en souriant « Et bonne route, me dit-elle »
A peine la barrière levée, Mélanie a déjà repris les choses où elles étaient…. Une
vraie nympho…. Elle en veut…. Et elle met tellement de cœur à l’ouvrage qu’elle
parvient à prendre toute ma queue.
« J’y suis arrivée » crie-t-elle en reprenant son souffle puis elle repart de plus
belle.
Moi, je ne vois que le sommet de sa tête qui monte et descend à son rythme, mais je
dois surtout regarder la route, ce qui m’aide à résister à l’envie de jouir de suite.
Mais après vingt minutes à se régime, je ne tiens plus : « Mélanie, je vais jouir »
dis-je pour la prévenir.
Elle ne se retire pas et reçoit une longue et abondante giclée qu’elle ne rejette pas.
Mais la quantité de sperme que je crache est quand trop copieuse et elle en laisse
couler beaucoup.
Me voilà avec plein de sperme sur le caleçon. Enfin, Mélanie se redresse, trouve des
mouchoirs pour s’essuyer la bouche, puis m’essuyer la queue qui ramollit à peine.
« Mais, tu bandes encore, j’y crois pas….. »
« Oui, et là, tu m’as fameusement donné envie de baiser »
« On avait dit une pipe, et c’est tout »
« Tu avais dit…., moi, je vois qu’il y a une aire de repos à 2 km et là, faut qu’on
s’arrête.. »
J’ai posé ma main sur sa cuisse, puis remonté sous sa jupe. Je caresse à travers son
slip son sexe qui mouille abondement et inonde son slip en un rien de temps.
Heureusement, l’aire est quasi déserte ; et il y a un coin ombragé à l’écart avec un
camion qui nous cache des regards indiscrets.
A peine arrêté, je n’ai pas le temps de retirer ma ceinture que Mélanie m’embrasse
déjà à pleine bouche. Son haleine au goût de mon sperme m’excite.
Je la repousse doucement, défait ma ceinture, met mon siège en position couchée.
Mélanie ; pendant ce temps et malgré ses « il ne faut pas, ce n’est pas bien » a déjà
retiré son slip, pendant que j’enfile un préservatif.
« Viens sur moi » lui dis-je la queue dressée.
Elle m’enjambe aussitôt, soulève ses hanches, se saisit de ma queue, la place devant
l’entrée de son vagin et se laisse descendre d’un seul coup. Elle est tellement
trempée que j’y rentre comme dans du beurre.
Mélanie entame une chevauchée fantastique, elle monte et descend le long de ma queue à
une vitesse folle. Ses gémissements et ses cris doivent ameuter tout le parking, sans
compter que la voiture doit bouger dans tous les sens.
Moi, j’ai relevé son t-shirt par-dessus ses seins car ils méritent vraiment le détour,
et les caresses que je leur prodigue.
Après une dizaine de minutes, Mélanie se calme enfin :
« C’est incroyable, j’ai bien jouis trois fois et toi, tu bandes toujours »
Je ne dis rien, je me contente de la forcer à se mettre sur son siège et à venir sur
elle. A moi de lui asséner de solides coups de rein. Mais, d’abord, avant de la
pénétrer, je lui caresse le clitoris avec ma queue, elle devient folle, elle secoue la
tête en tout sens en gémissant de plaisir.
J’attends alors qu’elle se calme avant de la reprendre de plus belle. Je change
plusieurs fois de rythme, avant de ressortir entièrement puis de replonger bien à
fond. Je la fais ainsi jouir encore une fois. Mais, je trouve que sa chatte est
maintenant un peu trop élargie.
« Mélanie, me permettrais-tu de t’enculer » lui demandais-je, grand seigneur, tout en
me retirant, mais toujours au garde à vous.
« Ce n’est pas possible, tu peux encore, mais ce n’est pas bien,…… Michel… »
« Ne pense pas à lui »
Sur ce, j’ouvre la portière et sort ainsi, jeans et slip sur les chevilles, la queue
dressée.
« Mets tes genoux là sur le bord et appuie-toi sur le siège » dis-je
Mélanie se place comme demandé. Je passe ma main sur sa chatte pour en recueillir la
mouille et en enduire son petit trou, tout en y introduisant un puis deux doigts. Je
crache deux fois, pour encore mieux le lubrifier, puis je place mon gland juste en
face et je pousse doucement afin d’ouvrir cette porte.
Mélanie résiste malgré elle, alors elle place ses deux mains sur ses fesses pour mieux
les écarter. Je pousse un bon coup et ça y est, ça passe.
Mélanie me supplie d’aller doucement, ce que je fais, mais après quelques petites
poussées, je me retire, avant de faire quelques rentrées-sorties. Je sens que l’entrée
se fait plus facilement et j’accélère alors mes coups de boutoir.
Mélanie ne me supplie plus d’aller doucement, elle m’implore d’accélérer.
Après une dizaine de minutes, je sens venir le moment de conclure, je la pistonne
trois-quatre fois bien à fond, puis je me retire, enlève la capote et lui envoie une
grosse quantité de foutre sur le cul et les fesses.
Mélanie est effondrée sur le siège, elle reprend peu à peu ses esprits après une telle
séance de baise.
J’ai remis mon caleçon et mon jeans, et avalé une longue gorgée de Coca, quand elle
commence à se relever, puis se précipite vers le coffre pour prendre une serviette
dans son sac pour s’essuyer; en effet, elle a du sperme plein les fesses.
Ensuite, elle reprend sa place sur le siège passager et nous reprenons le route. Il
est grand temps car nous avons perdu presque une heure.
Vu le silence qui s’est installé dans la voiture, je remets la radio en marche.
Après une vingtaine de minute : « Philippe, tu m’as fait jouir comme jamais, mais
Michel ne doit rien savoir de tout cela, hein »
« T’inquiètes pas, il n’en saura rien par moi, en tout cas »
Puis « Par contre, tu sais Mélanie, moi ce qui m’excite beaucoup c’est les tenues en
latex ou en cuir, et là tu étais parfaite, mais je trouve dommage que tu n’avais pas
gardé tes bottes, mais ce sera pour une prochaine fois. »
« Parce que tu penses qu’il y aura une prochaine fois !!!!! »
Qui sait, sûrement !!!!!!!
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