Roger et "Kong" - histoire érotique

Pendant le mois suivant l'orgie, Roger a recommencé ses visites rapprochées !

Il était tellement excité, qu'il en perdait son habituelle endurance !
Il me citait sans cesse ses amis, qui m'avaient "adoré" !

"On veut encore lui mettre deux bites dans la chatte !".
"Cracher notre foutre, dans sa belle petite gueule de salope ! Il avale trop bien !".
"Ne nous dis pas, qu'on va devoir se retaper l'autre vieille pute ? C'est meilleur avec ta salope !".
"Dis lui de revenir ! On l'adore ! C'est une bonne salope ! Il doit être fier de ça !".

Je lis cette fierté, sur le visage de mon amant, mais je n'arrive pas à être du même avis !
Tous ces hommes, Français et étrangers, qui ont joui de mon corps, ça me fait peur !
Même le trouble qui me traverse, et me fait bander, m'effraie !

J'aime pas être dépendant ! Et c'est déjà une drogue dangereuse, pour moi !
Je dois jouir avec ma chatte, avec plus de retenue !
Sinon, je vais aller trop loin ! C'est quoi la suite ?

Et puis, je repense à l'état dans lequel, ils m'ont laissé !
A la fin, je prenais peu de plaisir ! Ca devenait machinal !
Je n'étais plus qu'un robot sexuel !
C'est pas mon but !

Il a du mal à me comprendre !

"Putain ! Pourtant ! Si tu te voyais entrain de jouir, ce jour là ! C'est clair, que t'es fait pour ça ! Tu dois pas en avoir honte ! Moi, je t'aime encore plus, pour ça !".

les jours passent.
Les venues de Roger s'espacent enfin !
Il regagne en endurance !
6 semaines après l'orgie, je le fais monter, en appuyant sur l'interphone.
Je sors mon gel anal, et une serviette de bain.
Comme la porte est ouverte, il entre sans frapper.

Mais il n'est pas seul, à force de suppliques de Kong, il l'a emmené chez moi !

"Oh ! Putain ! Kong ! Pas toi ! Je vais morfler !".
"Ca te fait pas plaisir ? Je peux repartir, si tu veux ?".

"Euh... Non ! Excuses-moi ! Tu sais que tu vas quand même me baiser ! Je m'y attendais pas ! C'est tout !".
"Ahhh ! Merci ! Ma chérie ! T'es gentille !".

"Ouais ! C'est ma p'tite chérie ! Je t'adore Pascal ! Tu dis jamais non !".

Il vient de révéler mon vrai prénom, à un autre homme.
Je me dis qu'après tout, il n'est pas le seul à le connaitre !
Tant d'hommes m'ont baisé !

"Bon, vu l'heure qu'il est ! Ca te dit de manger d'abord, et on te baise après ?".
"Comme tu veux, Roger !".
"Je vous laisse, je vais chercher des Kebabs ! Amusez-vous, mais attendez-moi un peu, quand même !".

Kong n'a pas su rester sage !
Quand Roger est revenu, il me baisait la gorge, contre le dossier de mon canapé !
Je produisais des bruits étranglés, sur sa grosse bite noire !

"Laisses le tranquille ! Venez manger tant que c'est chaud !". Dit Roger.
On a diné autour de ma petite table de salon.
Kong était déjà nu, moi aussi !

Il m'avait imposé de lui poser ses anneaux péniens, avant que je le suce !
En mangeant, je suis gêné par l'humidité de mon anus.

Ce vicieux m'a bouffé la chatte comme un affamé !
Je suis excité comme une petite pute ! Vivement qu'on me défonce !

Mais j'aimerai que Roger le fasse en premier !
Ce sera plus facile pour moi !

Roger termine son repas en premier, il me caresse pendant que j'avale ma dernière bouchée.

"Dépêches toi, chérie ! J'ai envie que tu me prennes dans ta bouche !".
Quand je lui offre ce plaisir, le mien est évident !
C'est bien plus facile pour moi, de le sucer !
J'en glousse de bonheur !

"Orhhh ! Putain ! Issa ! Regardes, comme elle aime me sucer la bite ! Elle est pas belle ? Ma salope ?".
"Hummm ! Ouais, j'adore !".

Je me régale, en découvrant le vrai prénom de "Kong", pendant qu'il approche sa grosse verge, afin d'en profiter lui aussi !
Le contraste entre leurs deux queues est saisissant !

Apparemment, ma bouche est leur dessert !
Plus je lèche, et plus je pense au moment fatidique.
Celui, ou l'un d'eux va m'enculer !

Je prends les devants en demandant à Roger:

"J'ai envie que tu m'encules en premier ! Prends-moi !".
"D'accord ! Ma puce ! Mets toi en levrette, alors !".

Kong s'allonge, me permettant de plonger entre ses cuisses, afin de lui manger la bite.

Roger enduit mon anus et sa verge, de gel anal, et colle son gros gland contre ma rosette.

Grâce à Kong, je l'encaisse mieux !
Mon œillet s'ouvre facilement, quand il sent sa présence.
Il le laisse m'investir, presque d'une traite !

Je pousse un long râle, en me faisant transpercer ainsi.
Cette sensation me ramène à mon addiction aux grosses pénétrations anales !

Il franchit déjà mon virage intestinal, et vient faire cogner ses couilles, contre mon canal urinaire.

"Orhhhh ! Putain ! Pascal ! J'adore te baiser avec des potes ! J'aime donner ta chatte aux autres ! T'es ma pute ! Tu le sais !".

Il m'est impossible de relever cet aveu, Issa me déforme la bouche, en me gardant enfoncé sur sa grosse verge, à la limite de l'étouffement.
De la salive s'échappe de mes lèvres, pendant que je commence à vivre mon premier orgasme anal.

Issa se rend compte de mon état, il me libère de son gland, et demande:

"Tu jouis, salope ?".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
"Profites en ! Quand ce sera mon tour, tu vas gueuler comme une chienne !".
"Argggggggggg ! Putain, je sais ! Arhhhhhhh !...".

Je reprends sa verge, et lui gobe les couilles.
Mon visage est encore secoué par Roger, qui m'insulte.

Je dis "oui" à tous ses surnoms vulgaires, je n'échangerai pas ma place !
Après deux autres moments orgasmiques, Roger se calme.

"A ton tour ! Issa ! Moi, j'arrête sinon, je lui balance mon jus !".

Tout mon corps est saisi d'appréhension !
Le grand black m'attrape le bras, et me cale contre l'accoudoir de mon canapé.
Mon cul se cambre ainsi, naturellement.

Quand je sens son énorme gland qui touche ma corolle anale, je serre déjà mes dents !
Il m'écartèle davantage que Roger, mais se heurte à ma capacité naturelle d'insertion !

Il pousse plusieurs fois, afin de repousser mes limites anales.
Comme la première fois, j'ai l'impression de vivre un "accouchement inversé" !
Au lieu de sortir, ça veux rentrer !

Il tient fermement sa verge à la base, la fait sortir, puis revient plus fort et profondément.
Il ajoute du gel silicone.

Il voit clairement que je l'accepte un peu plus à chaque retour.
Je sursaute quand son gland passe ma collerette.

Je serre mes dents dans le coussin du canapé, pendant qu'il profite de cette insertion pour aller bien plus profond.
Le gel l'aide beaucoup !

Sa verge gagne sa dure conquête de ma chatte.
Il s'accroche au canapé, qui vient de se coller au mur, pour m'imposer sa bite.

Il me fait moins mal que le premier jour, mais je me sens écartelé à l'extrême.
Son gland commence à forcer mon virage anal, il m'inflige des assauts puissants et rapides.

Je me relève pour lui montrer que je joui comme une chienne, encore !

"Arggggggggggggggggggggggggrrrrrrrrrrrrrrrrr !...".

Ma verge commence à se tendre.
Roger est au spectacle, il immortalise ma destruction anale, avec sa caméra.
Kong insiste, afin de me tirer chaque manifestation orgasmique.

Ensuite, il retire sa verge, me rajoute du gel anal, et m'écartèle encore.
A chaque moment où son gland vient toucher mon coccyx, je sens qu'il va plus loin !

Il prend l'initiative de s'allonger au sol, sur mon plaid.

"Viens te baiser sur ma grosse bite ! Salope !".

Je recouvre assez rapidement sa verge, qui se heurte encore à mon virage anal.
Je m'empale, en m'étonnant moi-même de ma volonté de me déchirer la chatte.

Il faut dire que ma queue, tendue à l'extrême, me motive.
J'ai envie d'éjaculer avec son gros pieu noir dans le cul !

D'un coup, je franchi mes barrières naturelles, il est en moi jusqu'aux couilles.
Très rapidement après, mon sperme coule de mon gland.

Je m'étrangle de plaisir, en cherchant les pénétrations profondes.
Issa se secoue le bassin pour m'accompagner, tout en me bloquant au niveau des épaules.

Il a des spasmes dans la verge, pendant que je suis gagné par un insupportable orgasme.
Mes joues sont humides de larmes, je n'ai qu'une envie, m'écrouler sur son torse !

Mais je dois tenir encore un peu, je devine son incroyable insémination.

"Orgghhhhhhhh ! Putain! Issa ! C'est trop pour moi ! T'es trop gros !".
"Argghhhhhhhhhhh ! Encore un peu ! Chérie ! Arghhhhhhhhh ! Je joui trop fort dans ta chatte ! Salope !".

Je me couche lentement sur lui, alors qu'il vit des derniers instants éjaculatoires.

Il me serre longuement contre son torse.

"Orhhh ! Putain, Roger ! Merci de me le prêter un peu ! Je prends mon pied avec lui ! Quand je pense que je voulais pas te croire, quand tu m'as dis qu'il pouvait encaisser ma bite ! Putain ! C'est trop bon ! Et toi chérie ? Ca t'a plu ?".

Je bouge ma tête de bas en haut pour acquiescer:

"Mmmmmmmm ! Oui, mais c'est énorme ! Quand même ! Tu m'as vidé ! Je sens plus mon cul ! Orhhhh !".

Roger filme mes fesses transpercées par le membre énorme de Kong.

Il pose la caméra, de manière idéale, puis s'approche avec un verre, pris dans ma cuisine.
Il attend le moment, ou Issa va me libérer de sa présence.
Ce qui arrive, inexorablement.

Son jus gluant se déverse avec abondance.
Ma pauvre corolle anale est béante comme jamais.
J'essaie de fermer mon anus, mais il reprend sa béance aussitôt !

"Putain ! C'est magnifique ! Ma puce ! T'as jamais eu la chatte aussi éclatée ! J'adore !".
"T'es encore plus vicieux que moi ! Roger ! Orhhh ! Putain ! Ca coule encore !".

Il pose le verre, et vient me planter sa bite, d'une traite dans l'anus.
Il est déchainé.
Il m'insulte !

Sa pute l'a trop excité ! C'est ma faute, si il m'encule comme ça !

Issa ôte ses anneaux péniens, et m'offre à boire ses restes de foutre.
Le moment est bestial et pervers !

Malgré la sodomie d'Issa, je vis un nouvel orgasme anal avec Roger, en léchant la bite noire.

Des bruits liquides leur révèlent que je trempe le plaid sous moi.

Roger me redresse, sans cesser sa défonce anale, afin de mieux voir mes écoulements.
Le sourire vicieux du black, devant moi, me révèle qu'il adore voir mon supplice !
Roger m'humilie verbalement.

"Allez pisses ! Sale pute ! Chienne ! Vide moi tout ça !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Salaud !...".
"C'est toi la salope ! Tiens ! Prends ça, encore !".

Il se laisse emporter par son excitation, et se secoue comme un forcené, jusqu'à son explosion dans ma chatte.

Il se contrôle parfaitement, en m'inséminant le plus profondément possible !

Ensuite, il recule lentement, en attrapant le verre que lui donne Issa !
Dès que son gland sort de ma chatte, il récupère son jus, encore chaud, qui coule en plusieurs effluves.

Je sais ou ils veulent en venir, et je l'accepte.
Quand le verre approche mes lèvres, j'ai déjà la gorge ouverte !

"Avales tout salope ! N'en perds pas une goutte !".
Je déglutine, en me laissant envahir par un frisson de plaisir cérébral.
Le foutre gluant coule dans ma gorge.

Roger m'enfonce sa verge de nouveau, en me fixant au plus près, par derrière.

"T'adore ça ! T'aime le foutre, sale pute !".
"Orhhhh ! Gllllrp ! Oui, je suis fou de ça ! Glllrp !".

Le calme sexuel arrive enfin, je m'étale sur le canapé en long, pendant qu'ils s'assoient face à moi.

"Eh ben ! C'était bien bon ! Roger ! Il faut tout faire pour la garder, ta salope !".
"Ouais, je pensais pas, quand je l'ai connu la première fois, que je l'aimerais autant ! J'en suis accroc, maintenant ! Ca fait plus de 3 ans que je le baise ! Et je m'en lasse toujours pas !".
"J'pourrais m'amuser avec lui, de temps en temps ?".
"Pas de souci ! Demandes lui !".
"Pascal ?".
"Oui ! Tu pourras ! Mais pas trop souvent ! C'est épuisant !".
"Bon, je me suis bien soulagé ! Je vais rentrer chez moi ! Je vous laisse les amoureux !".

Après ma douche, Roger m'a fait l'amour plus sensuellement, au départ.

Puis, il s'est encore laissé gagner par le démon du sexe.
Et il m'a défoncé, jusqu'au moment, où il est sorti de ma chatte, pour m'abreuver de son plaisir chaud et salé.

A 6h du matin, avant qu'il parte au boulot, il m'a remercié de la nuit passée, en m'abreuvant encore de son foutre matinal.
Quelle soirée encore !

Issa m'a surpris par sa venue, imprévue !
On a baisé plus longtemps que les premières fois.
Je m'habitue à sa verge, et lui à ma chatte !

Cette fois, il a explosé dans ma gorge !
J'ai adoré la douceur de son gout, et son abondance !
Le pied total !

Il est resté pour la nuit, et m'a repris encore, mais bien plus calmement.
J'ai changé les draps le lendemain, trop de traces !
On s'est peu revu, parce qu'il a été reconduit à la frontière, un mois après !