Roger, le vicieux quinquagénaire et Sébastien le bourru
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Roger, le vicieux quinquagénaire et Sébastien le bourru
Je reviens sur une période où je bossais à l'arsenal naval, à l'âge de 22 ans.
Je partageais le vestiaire avec mes camarades intérimaires, et croisait souvent des hommes qui étaient eux, des employés fonctionnaires civils payés par l'armée ou l'état, je ne sais plus.
Il y avait toujours, un moment où l'on était une dizaine à discuter en arrivant.
Un homme quinquagénaire, très grand, du prénom de Roger, parlait sans arrêt de sexe.
A force de sous-entendus, on a compris qu'il aimait baiser des jeunes hommes, alors qu'il était marié.
Il avait soutenu qu'un homme était plus disposé au plaisir anal, qu'une femme, à cause de la prostate.
Il commence à m'exciter avec ses allusions, mais je refuse catégoriquement les relations avec des connaissances.
Rencontrer des inconnus me satisfait amplement, et c'est beaucoup plus discret.
Toutefois, en le regardant, j'ai toujours peur qu'il parle aux autres d'un certain jour, on s'est reconnus lors d'une escapade en bord de mer.
Nous nous sommes croisés, ni lui ni moi n'étions en train de baiser, mais notre simple présence dans l'endroit générait le doute sur notre sexualité.
Puis, un soir, il recommence ses allusions sexuelles, il se sent écouté par un nouvel employé intérimaire, dans une autre branche que nous, mais qui profite de nos vestiaires.
L'homme est très trapu, hyper actif et me lance de nombreux regards depuis le début de la semaine.
Tout le monde s'en va peu à peu, je comprend que je vais devoir prendre ma douche avec Sébastien, le nouveau venu.
Je lui tourne le dos, puis vais dans la pièce sanitaire remplie de douches et de deux toilettes munis de portes.
Il entre à son tour, je suis surpris par l'épaisseur de sa bite, on pourrai penser qu'il a commencé par se branler avant de me rejoindre.
Je réalise qu'il a vu mon regard sur son sexe.
Je me retourne d'un coup, gêné.
"T'as déjà vu la queue d'un autre mec ! J'espère ?".
"Euh, oui, mais c'est toujours gênant !".
"Moi, ça me gêne pas ! C'est normal ! Il a raison Roger ! Faut goûter à tout dans la vie ! D'ailleurs ! J'adore ton cul ! Tu t'es déjà fait baiser ?".
"Euh, non, ça va pas de me demander ça ?".
"Mmmm, je ne te crois pas, vu comme tu regardais ma bite, je suis sur que t'aimerai la sucer ! Je me trompe ?".
Il se savonne la queue en se branlant et ajoute:
"Tu veux pas remplacer ma main ? T'es sur ? J'ai envie de toi depuis le début de la semaine et Roger ne m'a pas aidé avec ses histoires de cul entre mecs!".
Il me prend la main, malgré mes réticences, je fais coulisser mes doigts sur son large membre.
"Sébastien, je ne peux pas faire ça, s'il te plait !".
"Allez Pascal ! T'en as envie, tu ne peux pas le nier, regardes comme tu aimes me branler ! Humm, tu fais ça bien !".
"Oui, c'est vrai, mais je veux pas baiser avec des hommes que je côtoie, je préfère les inconnus, ça me pose moins de problème!".
"Laisses-toi faire ! Ca restera entre nous ! Tu vas prendre ton pied, tu le regretteras pas ! Allez viens !".
Il appuie sur mes épaules pour guider mes lèvres vers son gros pieu.
Il a gagné, je lui laisse me pénétrer la gorge et lui procure un long plaisir buccal.
Après une séance perverse de fellations profondes et goulues, il me soulève et entreprend de me pénétrer.
Afin de l'aider, je m'écarte les fesses avec mes mains.
Lentement, il s'insinue en moi, aidé de l'excès de salive laissé par ma bouche, sur sa bite.
Il profite de ses coulissements dans mon cul pour mieux se lubrifier la bite.
Il glisse sans difficulté à présent, je lui fais part de mon premier orgasme anal.
"Putain, je savais que ce serait bon de t'enculer, petite salope ! T'aimes ça ? Dis-moi ! Tu regrettes ?".
"Arhhhhhhhhh ! Non ! Sébastien ! Encore, encules-moi ! Arhhhhhh !".
Il se déchaine comme un bourrin, en me procurant un autre orgasme, puis me rejoint en me remplissant le cul de sperme.
Il appuie sur le bouton qui fait couler l'eau entre nos deux corps, en me retournant pour m'embrasser sans quitter mon anus.
Voila comment, je me suis fais enculer par un camarade de travail pour la première fois.
Nos rapports deviennent fréquents, presque quotidiens.
Une semaine avant, Sébastien m'a baisé dans la cabine d'un bateau militaire en maintenance, on profite de tous les moments propices que l'on a.
Mais, malheureusement, je suis victime de la vantardise incontrôlable de l'homme.
Roger bossait seul avec Sébastien, et comme à son habitude, il parle de sexe et d'homosexualité.
Après un temps d'hésitation, Sébastien lâche une info:
"Moi, je baise un jeune hétéro qui bosse ici !".
"Ah bon ? Qui c'est ?".
"Je vais pas te le dire ! C'est pas sympa pour lui !".
"Allez ! Dis le moi ! Peut-être que je le connais ! Et qui sait ? Je peux aussi le baiser !".
"Ok, mais tu gardes le secret ! Il s'appelle Pascal !".
Il me décrit, confirmant à Roger que c'est bien à moi qu'il pensait !
"Oh, putain ! Il m'a toujours attiré ce jeune ! Et alors ? Il baise bien ? C'est un bon coup ?".
"Une vraie petite salope !".
"Oh ! Putain ! Il faut que je le baise alors !".
Donc, ce qui est arrivé était inévitable.
Le lendemain, je bossais seul dans une coursive.
Il s'approche de moi, et me parle de tout et de rien, puis bifurque sur le sexe.
Il me reparle de sa grosse bite, il remarque surement l'émoi qu'il provoque en moi.
Je réponds avec des phrases courtes, pour éviter le sujet.
Il me parle de sodomie et des jeunes hommes qu'il a déjà enculé.
Il me demande carrément, si je me suis déjà fait prendre par un autre homme.
"Non ! Pourquoi, tu me demandes ça ? J'ai une copine !".
"Et alors, ça n'empêche rien !".
Il sourit et me parle du plaisir que prennent les hommes qui pratiquent la sodomie.
Il m'intimide avec sa très grande taille et sa carrure imposante, je n'ose pas lui répondre, le désir me gagne, puis il ose :
"Bon, assez joué ! Tu mens ! Je sais que toi aussi, tu aimes te faire baiser ! Et même que tu es une sacrée salope ! On m'a dit que tu encaissais les grosses bites, très facilement !".
Je suis tétanisé par cette phrase, je me sens démasqué et je pense inévitablement à Sébastien, il est le seul à savoir !
"Qu'est-ce que tu dis ! Non ! C'est pas vrai !".
"Allez, je sais tout, c'est Sébastien qui m'a dit qu'il te baisait presque tous les soirs dans les chiottes à cotés des douches ! Il m'a dit que t'adorai ça ! Tu jouis du cul, il parait ! T'inquiètes pas, ça restera secret ! Tu aimes les grosses queues, avoues !".
Il me prend la main et la pose contre son sexe en érection dans son pantalon.
Je souffle, dépassé par l'annonce et déçu par mon amant qui n'a pas su tenir sa langue:
"Pfffffffffffff ! Et merde ! Vous me rendez dingue !".
De plus, le toucher de sa longue bite dure et épaisse, éveille encore un fort désir en moi.
"Viens avec moi, dans une cabine, on va s'amuser, tu ne vas pas le regretter !".
Je suis écœuré, mais je le suis, il me tient par le secret, et j'en ai envie aussi.
Moins de 2 minutes après, il nous enferme dans une cabine.
Il baisse sa braguette.
"Ca fait longtemps que tu me plais ! Je vais me régaler ! Allez montres-moi, comment tu suces une belle queue !".
Il défait son bouton de pantalon, pendant que je m'accroupi devant lui, puis il baisse son slip, faisant apparaitre une queue foncée, très veinée et épaisse, elle est splendide.
Je réfléchis à sa phrase sur sa bite, c'est vrai qu'il est bien doté par la nature.
"Elle te plait, ma grosse bite ?".
"Oui !".
"Super, tu vas voir comme elle va être bonne dans ton cul !".
Je dépose quelques coups de langue sur son gland gonflé, son érection est au maximum.
Puis, je saisis sa bite à la base et l'enfonce dans ma gorge humide.
"Mmmmm, Oh ! je comprends Sébastien ! Elle est bonne, ta petite bouche ! J'ai hâte de gouter ton petit trou !".
Je vais donc devoir me faire enculer par cet homme que je côtoie périodiquement, j'avoue que cela ne m'arrange pas, pour la discrétion.
Sébastien n'était là que temporairement, et ils seront deux maintenant, à profiter de moi !
Mais, j'ai sa grosse queue dans la bouche et je ne résiste pas à ce plaisir buccal, j'adore le sucer !
Je dévore chaque centimètre de sa queue en le couvrant de salive. Roger gémit en découvrant mon côté soumis, avide de queues.
"Oh, c'est vrai que t'es une petite salope ! J'adore ça ! Continues, bouffes-moi bien la bite !".
Il entre dans un jeu pervers avec sa bite, il m'humilie en me giflant avec puis me baise la bouche ensuite, avant de me laisser lui donner du plaisir buccal.
Il m'assène de nombreux mots crus, de plus en plus humiliants.
Il se conforte ainsi sur le fait qu'en sexe, je suis une vraie salope soumise.
"Oh putain ! C'est bon ! Tu caches bien ton jeu avec ton air timide et ta petite gueule d'ange !".
Au bout de dix minutes, il décide de passer à mon cul pour ne pas prendre trop de risque, au niveau du temps.
"Déshabilles-toi, je vais te baiser ! On a pas trop le temps ! Si t'encaisses la grosse queue de Sébastien, on ne devrait pas avoir de problème !".
Je m'exécute, il me tourne en m'obligeant à me tenir sur la couchette devant nous.
Il crache plusieurs fois sur mon œillet, puis se redresse en collant son membre dur et épais contre mon anus.
"Putain, t'as un beau cul en plus ! T'aurais dû me dire que t'aimais ça, je t'aurai baisé depuis longtemps ! J'adore les salopes comme toi !".
Son sexe commence à se frayer un chemin dans mon cul.
"Arhhhhh ! J'évite de baiser avec des gens de mon entourage, c'est trop risqué ! Arhhhhhhhh !".
Sa bite viens de me pénétrer entièrement, me forçant à me cambrer, pour encaisser cette possession.
"C'est nul ! Elle est pas bonne, ma queue dans ton cul ? Petit pédé ?".
"Ohhhhh, si, elle est bonne, salaud !".
Il se met à coulisser amplement dans mon cul, sa bite commence à se lubrifier de plus en plus.
"Tu sais ! J'en ai baisé pas mal des salopes, mais rarement aussi bonnes que toi ! Tu mouilles bien du cul ! T'as du en prendre pas mal, à mon avis, des bites !".
"Arhhhhhhhhhh ! Oui, c'est vrai ! Arhhhhhhhhhh !".
"Je t'ai reconnu un jour, sur le sentier du bord de mer, mais j'étais pas sûr que t'étais là pour te faire baiser !".
"Arhhhh ! Moi aussi, je t'ai reconnu ! J'ai eu peur que tu le dises aux autres ! Arhhhhhhhhhhhh !".
"Tu t'es amusé ce jour là ?".
"Arhhhhh ! Oui, Ils m'ont baisé à plusieurs ! Ils étaient cinq ! Arhhhhhh !".
"Putain ! Salope ! Tu me plais trop ! Tiens ! Prends toi ça dans le cul !".
Il va me procurer mon premier orgasme anal, son gros pieu me transperce en cognant au fond de moi.
"Putain, Roger, tu me fais jouir ! Arhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il s'acharne de plus belle et s'agrippe à mes fesses en me défonçant le cul, excité comme un dingue de pouvoir m'enculer enfin.
"Putain, si les autres savaient ce que je te mets ! C'est excitant de t'enculer !".
"S'il te plait, ne dis rien ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".
Il me baise encore jusqu'à entendre mon deuxième orgasme, qui le fait craquer et il éjacule dans un râle étouffé, dans mon cul.
Il s'est étendu sur mon dos en se déversant.
"Oh, c'est bon, Pascal ! Ohhh, je suis en train de me vider ! Aahhh ! Je te mets tout, tiens !".
Je ressens les derniers effets de mon plaisir anal, la raison me revient et la peur que cette relation m'échappe aussi.
Je reste plié, ma tête reposée sur la couchette avec les fesses offertes, j'ai besoin d'un petit moment pour récupérer.
Roger regarde les effets de la défonce anale qu'il m'a imposé.
Mon anus est très ouvert et coulant de sécrétions, un début d'écoulement de sperme se produit, je serre mon muscle pour le contenir.
"Hummm ! On va bien s'amuser, petit Pascal ! Tu as aimé ?".
"Oui, j'ai bien joui, mais ce genre de relation me fait peur ! Avec Seb, c'est différent, il est de passage ! Et en plus, tu vois, il n'a pas su rester discret !".
"Je te promet que ça restera entre nous ! J'aime trop t'enculer ! Bon, je te laisse te rhabiller ! A la prochaine fois !".
"Ok, mais pas ici !".
"Ou, alors ?".
"Chez moi, après le travail ! je vis seul, et pas loin de la sortie principale !".
"Super, attends-moi ce soir, à la porte !".
Il m'embrasse goulument, puis me dit:
"Je suis trop content de t'avoir baisé ! Si tu savais comme je fantasmais sur toi !".
"Ah bon ? Et t'es pas déçu ?".
"Oh non ! C'est encore meilleur que je l'imaginais !".
Il m'embrasse encore goulument et s'éloigne pour aller bosser un peu.
Il m'a baisé encore, ce soir-là, chez moi. Il était très endurant pour mon plus grand plaisir.
Il m'a enculé dans toutes les positions possibles, puis il m'a rempli la gorge de foutre en vociférant des mots crus.
On recommencera quelques soirs, chez moi et dans la même cabine, malgré mes réticences, mais ça l'excitait.
Il adorait que je le fasse éjaculer en le suçant longuement, nous avons souvent utilisé les toilettes des navires ou nous travaillions.
J'ai quelquefois été à l'origine de baises et fellations excitantes.
Sa présence à mes cotés éveillait des désirs de sexe, je lui envoyais des regards explicites, ou lui touchai la bite discrètement.
Comme je le craignais, Sébastien lui a demandé si, il était arrivé à ses fins.
Et bien sûr, il n'a pas manqué de se joindre au rituel du soir sous la douche.
La première fois, très peu de temps après, Roger ne cessait de me faire des clins d'œil, quand on se changeait pour aller bosser.
Puis, le soir venu, je remarque qu'il traine en laissant les autres quitter l'endroit après leur douche.
Seb nous rejoint alors dans le vestiaire, je commence à comprendre que je vais partir plus tard du boulot !
Les derniers copains sont partis, Roger ferme le vestiaire à clefs et me regarde en souriant, je dis alors:
"Enfoirés, vous avez tout prévu !".
"Oui, ma petite salope ! Tu vas avoir deux grosses bites ce soir !". Me dit Roger.
Je suis déjà en slip, comme Roger et Sébastien qui pose son vêtement à côté de ses chaussures.
Roger l'imite et le rejoint pendant qu'il s'approche de moi.
Ils m'entrainent dans la salle de douches communes, puis ils guident mon visage sur leurs queues.
Ils me font saliver abondamment en m'enfonçant leurs bites profondément contre ma glotte, à tour de rôle.
C'est Sébastien qui me soulève en premier pour m'enculer.
Il fait couler un peu d'eau pour se savonner la bite et mon anus.
"Ah bon, tu l'encules au savon ?".
"Ouais, c'est pratique quand on a pas de gel !".
Son sexe pousse déjà pour retrouver ce fourreau anal qu'il aime tant.
Je suis pénétré, au même instant que Roger pousse fort, au fond de ma gorge.
Mon visage se déforme de plaisir, je n'ai pas le temps de respirer que Sébastien se met à m'enculer comme une bête excitée.
"Ouais, défonces-le ! Putain Pascal ! T'imagines le plaisir qu'on a raté ! Pourquoi tu m'as pas dit que t'aimais la bite !"
"Mmmm ! Muuuuuuuuuummmmmmmmmm ! Muuuummmmmmmmmm !".
Il m'est impossible de répondre, les deux hommes me défoncent par les deux extrémités.
Je pense respirer un peu et que les choses vont se calmer enfin, mais ils ne font que changer de place et recommencer à abuser de moi.
Un premier orgasme anal étouffé m'envahit, je ne sais plus qui m'a fait jouir en premier.
Le temps passe, et les assauts se multiplient sans cesse, j'ai joui de nombreuses fois.
Ils font de moi, leur pute de la soirée, j'ai le sentiment qu'ils sont en compétition pour être celui qui me fera jouir le plus longtemps.
C'est Sébastien qui se lâche en premier, son corps se voute en se déversant dans mon cul, il remplit le vestiaire de ses râles et couvre mes gémissements.
Roger relève mon visage en reculant sa bite, qu'il masturbe énergiquement.
Instinctivement, je garde ma gorge ouverte, il ne tarde pas à éjaculer une grosse dose de sperme chaud en approchant son gland pour tout y déverser.
"Tu vas tout avaler salope ! Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
Je mets un point d'honneur à tout recevoir, en attendant d'ingurgiter avec envie son nectar de plaisir.
Sébastien finit de jouir dans mon anus, excité lui aussi par Roger qui me remplit la gorge.
Un silence règne enfin, nous reprenons nos esprits, puis passons sous la douche.
Les deux complices s'amusent à me laver ensemble en m'embrassant, puis chacun rentre de son côté.
Plusieurs soirs de semaines, ils me cassent le cul à tour de rôle sous la douche, parfois pendant plus d'une heure.
Par bonheur, on ne nous a jamais surpris, il faut dire que les autres étaient toujours pressés de rentrer dans leurs familles.
Quand ils ne me baisent pas sous la douche, ils viennent chez moi, la plupart du temps.
J'ai ensuite perdu mon emploi, mais Roger m'a rendu quelques visites pendant plus de six mois, dont deux, avec Sébastien.
La présence d'un ami, que j'hébergerai ensuite a rendu les visites surprises impossibles.
Cette relation a perduré au gré de nos rencontres en bord de mer, ensuite.
Puis, un jour, dix ans plus tard, il est entré dans un magasin que je venais d'ouvrir, il m'a reconnu tout de suite et a attendu la fermeture pour m'enculer encore dans ma remise.
Notre relation a repris de plus belle, à un rythme plus soutenu, s'ajoutant au nombre de plus en plus important de mes amants réguliers.
Je partageais le vestiaire avec mes camarades intérimaires, et croisait souvent des hommes qui étaient eux, des employés fonctionnaires civils payés par l'armée ou l'état, je ne sais plus.
Il y avait toujours, un moment où l'on était une dizaine à discuter en arrivant.
Un homme quinquagénaire, très grand, du prénom de Roger, parlait sans arrêt de sexe.
A force de sous-entendus, on a compris qu'il aimait baiser des jeunes hommes, alors qu'il était marié.
Il avait soutenu qu'un homme était plus disposé au plaisir anal, qu'une femme, à cause de la prostate.
Il commence à m'exciter avec ses allusions, mais je refuse catégoriquement les relations avec des connaissances.
Rencontrer des inconnus me satisfait amplement, et c'est beaucoup plus discret.
Toutefois, en le regardant, j'ai toujours peur qu'il parle aux autres d'un certain jour, on s'est reconnus lors d'une escapade en bord de mer.
Nous nous sommes croisés, ni lui ni moi n'étions en train de baiser, mais notre simple présence dans l'endroit générait le doute sur notre sexualité.
Puis, un soir, il recommence ses allusions sexuelles, il se sent écouté par un nouvel employé intérimaire, dans une autre branche que nous, mais qui profite de nos vestiaires.
L'homme est très trapu, hyper actif et me lance de nombreux regards depuis le début de la semaine.
Tout le monde s'en va peu à peu, je comprend que je vais devoir prendre ma douche avec Sébastien, le nouveau venu.
Je lui tourne le dos, puis vais dans la pièce sanitaire remplie de douches et de deux toilettes munis de portes.
Il entre à son tour, je suis surpris par l'épaisseur de sa bite, on pourrai penser qu'il a commencé par se branler avant de me rejoindre.
Je réalise qu'il a vu mon regard sur son sexe.
Je me retourne d'un coup, gêné.
"T'as déjà vu la queue d'un autre mec ! J'espère ?".
"Euh, oui, mais c'est toujours gênant !".
"Moi, ça me gêne pas ! C'est normal ! Il a raison Roger ! Faut goûter à tout dans la vie ! D'ailleurs ! J'adore ton cul ! Tu t'es déjà fait baiser ?".
"Euh, non, ça va pas de me demander ça ?".
"Mmmm, je ne te crois pas, vu comme tu regardais ma bite, je suis sur que t'aimerai la sucer ! Je me trompe ?".
Il se savonne la queue en se branlant et ajoute:
"Tu veux pas remplacer ma main ? T'es sur ? J'ai envie de toi depuis le début de la semaine et Roger ne m'a pas aidé avec ses histoires de cul entre mecs!".
Il me prend la main, malgré mes réticences, je fais coulisser mes doigts sur son large membre.
"Sébastien, je ne peux pas faire ça, s'il te plait !".
"Allez Pascal ! T'en as envie, tu ne peux pas le nier, regardes comme tu aimes me branler ! Humm, tu fais ça bien !".
"Oui, c'est vrai, mais je veux pas baiser avec des hommes que je côtoie, je préfère les inconnus, ça me pose moins de problème!".
"Laisses-toi faire ! Ca restera entre nous ! Tu vas prendre ton pied, tu le regretteras pas ! Allez viens !".
Il appuie sur mes épaules pour guider mes lèvres vers son gros pieu.
Il a gagné, je lui laisse me pénétrer la gorge et lui procure un long plaisir buccal.
Après une séance perverse de fellations profondes et goulues, il me soulève et entreprend de me pénétrer.
Afin de l'aider, je m'écarte les fesses avec mes mains.
Lentement, il s'insinue en moi, aidé de l'excès de salive laissé par ma bouche, sur sa bite.
Il profite de ses coulissements dans mon cul pour mieux se lubrifier la bite.
Il glisse sans difficulté à présent, je lui fais part de mon premier orgasme anal.
"Putain, je savais que ce serait bon de t'enculer, petite salope ! T'aimes ça ? Dis-moi ! Tu regrettes ?".
"Arhhhhhhhhh ! Non ! Sébastien ! Encore, encules-moi ! Arhhhhhh !".
Il se déchaine comme un bourrin, en me procurant un autre orgasme, puis me rejoint en me remplissant le cul de sperme.
Il appuie sur le bouton qui fait couler l'eau entre nos deux corps, en me retournant pour m'embrasser sans quitter mon anus.
Voila comment, je me suis fais enculer par un camarade de travail pour la première fois.
Nos rapports deviennent fréquents, presque quotidiens.
Une semaine avant, Sébastien m'a baisé dans la cabine d'un bateau militaire en maintenance, on profite de tous les moments propices que l'on a.
Mais, malheureusement, je suis victime de la vantardise incontrôlable de l'homme.
Roger bossait seul avec Sébastien, et comme à son habitude, il parle de sexe et d'homosexualité.
Après un temps d'hésitation, Sébastien lâche une info:
"Moi, je baise un jeune hétéro qui bosse ici !".
"Ah bon ? Qui c'est ?".
"Je vais pas te le dire ! C'est pas sympa pour lui !".
"Allez ! Dis le moi ! Peut-être que je le connais ! Et qui sait ? Je peux aussi le baiser !".
"Ok, mais tu gardes le secret ! Il s'appelle Pascal !".
Il me décrit, confirmant à Roger que c'est bien à moi qu'il pensait !
"Oh, putain ! Il m'a toujours attiré ce jeune ! Et alors ? Il baise bien ? C'est un bon coup ?".
"Une vraie petite salope !".
"Oh ! Putain ! Il faut que je le baise alors !".
Donc, ce qui est arrivé était inévitable.
Le lendemain, je bossais seul dans une coursive.
Il s'approche de moi, et me parle de tout et de rien, puis bifurque sur le sexe.
Il me reparle de sa grosse bite, il remarque surement l'émoi qu'il provoque en moi.
Je réponds avec des phrases courtes, pour éviter le sujet.
Il me parle de sodomie et des jeunes hommes qu'il a déjà enculé.
Il me demande carrément, si je me suis déjà fait prendre par un autre homme.
"Non ! Pourquoi, tu me demandes ça ? J'ai une copine !".
"Et alors, ça n'empêche rien !".
Il sourit et me parle du plaisir que prennent les hommes qui pratiquent la sodomie.
Il m'intimide avec sa très grande taille et sa carrure imposante, je n'ose pas lui répondre, le désir me gagne, puis il ose :
"Bon, assez joué ! Tu mens ! Je sais que toi aussi, tu aimes te faire baiser ! Et même que tu es une sacrée salope ! On m'a dit que tu encaissais les grosses bites, très facilement !".
Je suis tétanisé par cette phrase, je me sens démasqué et je pense inévitablement à Sébastien, il est le seul à savoir !
"Qu'est-ce que tu dis ! Non ! C'est pas vrai !".
"Allez, je sais tout, c'est Sébastien qui m'a dit qu'il te baisait presque tous les soirs dans les chiottes à cotés des douches ! Il m'a dit que t'adorai ça ! Tu jouis du cul, il parait ! T'inquiètes pas, ça restera secret ! Tu aimes les grosses queues, avoues !".
Il me prend la main et la pose contre son sexe en érection dans son pantalon.
Je souffle, dépassé par l'annonce et déçu par mon amant qui n'a pas su tenir sa langue:
"Pfffffffffffff ! Et merde ! Vous me rendez dingue !".
De plus, le toucher de sa longue bite dure et épaisse, éveille encore un fort désir en moi.
"Viens avec moi, dans une cabine, on va s'amuser, tu ne vas pas le regretter !".
Je suis écœuré, mais je le suis, il me tient par le secret, et j'en ai envie aussi.
Moins de 2 minutes après, il nous enferme dans une cabine.
Il baisse sa braguette.
"Ca fait longtemps que tu me plais ! Je vais me régaler ! Allez montres-moi, comment tu suces une belle queue !".
Il défait son bouton de pantalon, pendant que je m'accroupi devant lui, puis il baisse son slip, faisant apparaitre une queue foncée, très veinée et épaisse, elle est splendide.
Je réfléchis à sa phrase sur sa bite, c'est vrai qu'il est bien doté par la nature.
"Elle te plait, ma grosse bite ?".
"Oui !".
"Super, tu vas voir comme elle va être bonne dans ton cul !".
Je dépose quelques coups de langue sur son gland gonflé, son érection est au maximum.
Puis, je saisis sa bite à la base et l'enfonce dans ma gorge humide.
"Mmmmm, Oh ! je comprends Sébastien ! Elle est bonne, ta petite bouche ! J'ai hâte de gouter ton petit trou !".
Je vais donc devoir me faire enculer par cet homme que je côtoie périodiquement, j'avoue que cela ne m'arrange pas, pour la discrétion.
Sébastien n'était là que temporairement, et ils seront deux maintenant, à profiter de moi !
Mais, j'ai sa grosse queue dans la bouche et je ne résiste pas à ce plaisir buccal, j'adore le sucer !
Je dévore chaque centimètre de sa queue en le couvrant de salive. Roger gémit en découvrant mon côté soumis, avide de queues.
"Oh, c'est vrai que t'es une petite salope ! J'adore ça ! Continues, bouffes-moi bien la bite !".
Il entre dans un jeu pervers avec sa bite, il m'humilie en me giflant avec puis me baise la bouche ensuite, avant de me laisser lui donner du plaisir buccal.
Il m'assène de nombreux mots crus, de plus en plus humiliants.
Il se conforte ainsi sur le fait qu'en sexe, je suis une vraie salope soumise.
"Oh putain ! C'est bon ! Tu caches bien ton jeu avec ton air timide et ta petite gueule d'ange !".
Au bout de dix minutes, il décide de passer à mon cul pour ne pas prendre trop de risque, au niveau du temps.
"Déshabilles-toi, je vais te baiser ! On a pas trop le temps ! Si t'encaisses la grosse queue de Sébastien, on ne devrait pas avoir de problème !".
Je m'exécute, il me tourne en m'obligeant à me tenir sur la couchette devant nous.
Il crache plusieurs fois sur mon œillet, puis se redresse en collant son membre dur et épais contre mon anus.
"Putain, t'as un beau cul en plus ! T'aurais dû me dire que t'aimais ça, je t'aurai baisé depuis longtemps ! J'adore les salopes comme toi !".
Son sexe commence à se frayer un chemin dans mon cul.
"Arhhhhh ! J'évite de baiser avec des gens de mon entourage, c'est trop risqué ! Arhhhhhhhh !".
Sa bite viens de me pénétrer entièrement, me forçant à me cambrer, pour encaisser cette possession.
"C'est nul ! Elle est pas bonne, ma queue dans ton cul ? Petit pédé ?".
"Ohhhhh, si, elle est bonne, salaud !".
Il se met à coulisser amplement dans mon cul, sa bite commence à se lubrifier de plus en plus.
"Tu sais ! J'en ai baisé pas mal des salopes, mais rarement aussi bonnes que toi ! Tu mouilles bien du cul ! T'as du en prendre pas mal, à mon avis, des bites !".
"Arhhhhhhhhhh ! Oui, c'est vrai ! Arhhhhhhhhhh !".
"Je t'ai reconnu un jour, sur le sentier du bord de mer, mais j'étais pas sûr que t'étais là pour te faire baiser !".
"Arhhhh ! Moi aussi, je t'ai reconnu ! J'ai eu peur que tu le dises aux autres ! Arhhhhhhhhhhhh !".
"Tu t'es amusé ce jour là ?".
"Arhhhhh ! Oui, Ils m'ont baisé à plusieurs ! Ils étaient cinq ! Arhhhhhh !".
"Putain ! Salope ! Tu me plais trop ! Tiens ! Prends toi ça dans le cul !".
Il va me procurer mon premier orgasme anal, son gros pieu me transperce en cognant au fond de moi.
"Putain, Roger, tu me fais jouir ! Arhhhhhhhhhhhhhhh !".
Il s'acharne de plus belle et s'agrippe à mes fesses en me défonçant le cul, excité comme un dingue de pouvoir m'enculer enfin.
"Putain, si les autres savaient ce que je te mets ! C'est excitant de t'enculer !".
"S'il te plait, ne dis rien ! Arhhhhhhhhhhhhhh !".
Il me baise encore jusqu'à entendre mon deuxième orgasme, qui le fait craquer et il éjacule dans un râle étouffé, dans mon cul.
Il s'est étendu sur mon dos en se déversant.
"Oh, c'est bon, Pascal ! Ohhh, je suis en train de me vider ! Aahhh ! Je te mets tout, tiens !".
Je ressens les derniers effets de mon plaisir anal, la raison me revient et la peur que cette relation m'échappe aussi.
Je reste plié, ma tête reposée sur la couchette avec les fesses offertes, j'ai besoin d'un petit moment pour récupérer.
Roger regarde les effets de la défonce anale qu'il m'a imposé.
Mon anus est très ouvert et coulant de sécrétions, un début d'écoulement de sperme se produit, je serre mon muscle pour le contenir.
"Hummm ! On va bien s'amuser, petit Pascal ! Tu as aimé ?".
"Oui, j'ai bien joui, mais ce genre de relation me fait peur ! Avec Seb, c'est différent, il est de passage ! Et en plus, tu vois, il n'a pas su rester discret !".
"Je te promet que ça restera entre nous ! J'aime trop t'enculer ! Bon, je te laisse te rhabiller ! A la prochaine fois !".
"Ok, mais pas ici !".
"Ou, alors ?".
"Chez moi, après le travail ! je vis seul, et pas loin de la sortie principale !".
"Super, attends-moi ce soir, à la porte !".
Il m'embrasse goulument, puis me dit:
"Je suis trop content de t'avoir baisé ! Si tu savais comme je fantasmais sur toi !".
"Ah bon ? Et t'es pas déçu ?".
"Oh non ! C'est encore meilleur que je l'imaginais !".
Il m'embrasse encore goulument et s'éloigne pour aller bosser un peu.
Il m'a baisé encore, ce soir-là, chez moi. Il était très endurant pour mon plus grand plaisir.
Il m'a enculé dans toutes les positions possibles, puis il m'a rempli la gorge de foutre en vociférant des mots crus.
On recommencera quelques soirs, chez moi et dans la même cabine, malgré mes réticences, mais ça l'excitait.
Il adorait que je le fasse éjaculer en le suçant longuement, nous avons souvent utilisé les toilettes des navires ou nous travaillions.
J'ai quelquefois été à l'origine de baises et fellations excitantes.
Sa présence à mes cotés éveillait des désirs de sexe, je lui envoyais des regards explicites, ou lui touchai la bite discrètement.
Comme je le craignais, Sébastien lui a demandé si, il était arrivé à ses fins.
Et bien sûr, il n'a pas manqué de se joindre au rituel du soir sous la douche.
La première fois, très peu de temps après, Roger ne cessait de me faire des clins d'œil, quand on se changeait pour aller bosser.
Puis, le soir venu, je remarque qu'il traine en laissant les autres quitter l'endroit après leur douche.
Seb nous rejoint alors dans le vestiaire, je commence à comprendre que je vais partir plus tard du boulot !
Les derniers copains sont partis, Roger ferme le vestiaire à clefs et me regarde en souriant, je dis alors:
"Enfoirés, vous avez tout prévu !".
"Oui, ma petite salope ! Tu vas avoir deux grosses bites ce soir !". Me dit Roger.
Je suis déjà en slip, comme Roger et Sébastien qui pose son vêtement à côté de ses chaussures.
Roger l'imite et le rejoint pendant qu'il s'approche de moi.
Ils m'entrainent dans la salle de douches communes, puis ils guident mon visage sur leurs queues.
Ils me font saliver abondamment en m'enfonçant leurs bites profondément contre ma glotte, à tour de rôle.
C'est Sébastien qui me soulève en premier pour m'enculer.
Il fait couler un peu d'eau pour se savonner la bite et mon anus.
"Ah bon, tu l'encules au savon ?".
"Ouais, c'est pratique quand on a pas de gel !".
Son sexe pousse déjà pour retrouver ce fourreau anal qu'il aime tant.
Je suis pénétré, au même instant que Roger pousse fort, au fond de ma gorge.
Mon visage se déforme de plaisir, je n'ai pas le temps de respirer que Sébastien se met à m'enculer comme une bête excitée.
"Ouais, défonces-le ! Putain Pascal ! T'imagines le plaisir qu'on a raté ! Pourquoi tu m'as pas dit que t'aimais la bite !"
"Mmmm ! Muuuuuuuuuummmmmmmmmm ! Muuuummmmmmmmmm !".
Il m'est impossible de répondre, les deux hommes me défoncent par les deux extrémités.
Je pense respirer un peu et que les choses vont se calmer enfin, mais ils ne font que changer de place et recommencer à abuser de moi.
Un premier orgasme anal étouffé m'envahit, je ne sais plus qui m'a fait jouir en premier.
Le temps passe, et les assauts se multiplient sans cesse, j'ai joui de nombreuses fois.
Ils font de moi, leur pute de la soirée, j'ai le sentiment qu'ils sont en compétition pour être celui qui me fera jouir le plus longtemps.
C'est Sébastien qui se lâche en premier, son corps se voute en se déversant dans mon cul, il remplit le vestiaire de ses râles et couvre mes gémissements.
Roger relève mon visage en reculant sa bite, qu'il masturbe énergiquement.
Instinctivement, je garde ma gorge ouverte, il ne tarde pas à éjaculer une grosse dose de sperme chaud en approchant son gland pour tout y déverser.
"Tu vas tout avaler salope ! Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
Je mets un point d'honneur à tout recevoir, en attendant d'ingurgiter avec envie son nectar de plaisir.
Sébastien finit de jouir dans mon anus, excité lui aussi par Roger qui me remplit la gorge.
Un silence règne enfin, nous reprenons nos esprits, puis passons sous la douche.
Les deux complices s'amusent à me laver ensemble en m'embrassant, puis chacun rentre de son côté.
Plusieurs soirs de semaines, ils me cassent le cul à tour de rôle sous la douche, parfois pendant plus d'une heure.
Par bonheur, on ne nous a jamais surpris, il faut dire que les autres étaient toujours pressés de rentrer dans leurs familles.
Quand ils ne me baisent pas sous la douche, ils viennent chez moi, la plupart du temps.
J'ai ensuite perdu mon emploi, mais Roger m'a rendu quelques visites pendant plus de six mois, dont deux, avec Sébastien.
La présence d'un ami, que j'hébergerai ensuite a rendu les visites surprises impossibles.
Cette relation a perduré au gré de nos rencontres en bord de mer, ensuite.
Puis, un jour, dix ans plus tard, il est entré dans un magasin que je venais d'ouvrir, il m'a reconnu tout de suite et a attendu la fermeture pour m'enculer encore dans ma remise.
Notre relation a repris de plus belle, à un rythme plus soutenu, s'ajoutant au nombre de plus en plus important de mes amants réguliers.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci beaucoup, c'est gratifiant !
je sais que je ne fais pas l'unanimité ! On ne peux pas plaire à tout le monde !
Ce langage est coutumier dans le Sud de la la France: "Putain" fais partie des mots courants ! Je m'en excuse !
Le tempérament latin fait le reste !
je sais que je ne fais pas l'unanimité ! On ne peux pas plaire à tout le monde !
Ce langage est coutumier dans le Sud de la la France: "Putain" fais partie des mots courants ! Je m'en excuse !
Le tempérament latin fait le reste !
Toujours aussi ravie de lire vos récits très excitant, accentuer par les mots crus et une plume magnifique j'en suis devenue addicte 😉💋
Merci pour tes messages, tu as l'air d'avoir vécu les mêmes situations que moi.
Donc, on se comprend pour ce qui est du plaisir entre hommes.
Donc, on se comprend pour ce qui est du plaisir entre hommes.
Belle histoire très excitante , se faire baiser par deux types en même temps , sublimes . Cela m'est arrivé à plusieurs reprises , pour moi c'était < la petite mort > mort de plaisir . Surtout quand mes deux partenaires se relayaient , l'un dans la bouche et l'autre dans mon cul et après un bon moment sentir mes partenaire se vider tout au fond de moi.
J’espère lire d'autres de tes histoires
J’espère lire d'autres de tes histoires