Romain et Sarah 11 ("Tchin" et plus... si affinités...)
Récit érotique écrit par Mysterious1991 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Romain et Sarah 11 ("Tchin" et plus... si affinités...)
Romain s'assied sur sa chaise. Lui aussi a le port aliter. La tête droite. L'air digne, sûr de lui. Et dans ce genre de situation, son self-control me fascine. Son sang-froid me coupe le souffle. Et il sait conserver cette élégance qui est propre à lui. Qu'elle soit vestimentaire ou bien caractérielle, cette élégance… je suis toujours folle de mon homme. J'ai Romain dans la peau. C'est aussi simple que ça. Et ce soir… j'ai bel et bien l'intention de le lui prouver…
Nous sommes face-à-face et nous ne nous quittons pas des yeux. Nous nous faisons face et c’est intense comme moment. Je me tiens droite et, bien que Romain m’impressionne, je ne cligne pas des yeux, je ne détourne pas le regard. Un côté blanc, un côté noir… Un côté ange, un côté démon… Un côté mari, un côté Maître… J’aime sa perversité. Ce n’est jamais simple mais justement, ça me plaît ainsi. Je m’ennuierais si ce n’était pas le cas. Et là… Depuis que nous sommes entrés à l’intérieur du ‘Secret’… Je dirais même, depuis tout à l’heure… La chambre d’hôtel… Nos préparatifs… Le plug dans mon anus… Je ne suis pas au bout de mes surprises. Disons… Je ne suis plus à ça près, désormais.
– Sarah… Comment tu te sens, à présent? Je veux savoir.
– À part être presque à poil… Que tu m’aies donnée la fessée devant tout le monde, tout à l’heure… Que j’aie un plug dans le cul… Tout va bien dans le meilleur des mondes, Romain.
– Et… je suis sûr… que ça t’excite, Sarah…
– Pervers!
– J’a… voue!
– Tu vas… me prendre?
– Peut-être…
Voilà. Typiquement Romain, ça. Me laisser sur ma faim… Me faire mariner… Jouer avec toi et faire jusqu’à ce que je le supplie… Jouer avec mon désir, ma lubricité… Jouer avec mon excitation, avec ma moiteur… Oui… Romain sait tirer les ficelles et faire de moi ce dont il a envie. Comme, où ET quand bon lui semble. Et là, même si c’est lui qui tire les ficelles, je reste aux aguets. J’ai les oreilles tout ouïes. Et mon corps parle, répond pour moi.
Romain joue avec ma patience, avec mon désir. Il joue avec mon appétit, avec mes envies les plus profondes. Mais j'aime ça, à vrai dire. Je suis tout aussi perverse que lui. Que je me disais tout à l'heure qu'il faut qu'il fasse gaffe… Je suis tout à fait capable de marcher sur ses plates-bandes. Ce n'est pas parce que je me métamorphose en soumise ce soir que j'en oublie mes envies les plus inavouables, les fantasmes qui me font de plus en plus envie. Et si les lubies devenaient réalité ce soir? Je signe des deux mains, alors.
Romain tend alors le bout des doigts vers sa coupe de champagne remplie. Il l'attrape et la lève en hauteur. Ses yeux se posent sur ceux de sa jeune et jolie femme. Rhoo… Qu'est-ce qu'elle est belle, il doit se dire… Ça ne fait pas l'ombre d'un doute. Et c'est dingue… à quel point il a envie d'elle ce soir, qui plus est dans CE contexte. Il y a un conflit en lui, pourtant. En effet… Rien ne presse. Nous avons la soirée devant nous, et là, nous n'en sommes qu'à l'apéritif. De plus, il jouit de jouer avec le désir et l'envie de sa chère et tendre. Mais… d'un autre côté, il me désire tellement. À mon avis, et je m'en suis rendue compte avant que nous sommes entrés… il bande comme ce n'est pas permis. C'est… intéressant, ce paradoxe. J'aime cette ambivalence, je dois avouer. Et comme j'ai pu le penser aux toilettes, moi aussi, j'aime jouer… Et là, j'en ai envie d'y jouer, avec cette ambivalence. Je suis comme ça: moi aussi, j'ai mon côté perverse! Et j'ai bien envie d'en user ce soit. Oh… oui. Romain ne paie rien pour attendre… Patience, patience…
Il me regarde. Ses yeux sont on-ne-peut-plus pétillants. J’aime… J’AIME! Il me désire! Je lui plais! IL M’AIME! Il ne dit pas un mot depuis, et pourtant… Ses iris me disent tout. Ils me disent que c’est MOI la star, la reine de la soirée. Un sourire se dessine sur ses lèvres. Romain est bien. Romain est heureux. Il me fait fondre. Je me sens pousser des ailes.
– À la tienne, mon amour. Passe une belle soirée, toi aussi. C’est NOTRE soirée. Je suis honoré que ce soit TOI, la femme que j’ai à mon bras. Sais-tu… à quel point j’ai envie de toi, Sarah? Non… Je crois pas que tu aies idée… Moi, je sais…
– Non, je sais pas, Ro… main. Mais… À en croire la bosse que j’ai touchée tout à l’heure… Tu aurais tort, ché… ri. Tu bandais… Tu aurais pu me prendre…
– Petite… perverse!
– Tu n’as… pas… idée, a… mour.
– Tu ne paies rien pour attendre, ma «petite pute»…
Sa phrase résonne, plane comme une menace. Nous nous regardons dans le blanc des yeux. C’est un duel de regards. Qui va dégainer le premier (… la première…)? C’est intense. C’est électrique. Et pourtant… C’est aussi simple que ça. Ça nous représente. C’est NOUS. Tout simplement.
Nous jouons, ce soir. C’est une nouvelle étape dans notre vie de couple. Dans notre vie sexuelle. Et… à mon avis… C’est un tournant… Au regard du début de la soirée et du cours que les événements prennent depuis… La tension monte crescendo. Il y a de l’électricité dans l’air et nos regards en disent long. C’est NOTRE soirée et nous avons furieusement envie l’un de l’autre.
Nous nous regardons dans le blanc des yeux.
– Sarah… Ma «p’tite salope»… Tu es presque toute nue… Tu mouilles… Tes jolis tétines pointent… T’es… bandante.
Presque par réflexe, comme en guise de réponse, j’attrape ma flûte de Bollinger et je la lève.
– Santé, mon amour. Hmm… T’es pas mal non plus, toi, je dois avouer.
Je réponds du tac au tac. Quand je disais que je suis en réalité perverse… Que je n’étais pas que soumise… Que j’étais capable de marcher sur ses plates-bandes… Eh bien, voilà.
– Tu fais un peu trop la maligne, chérie. Tu vas pas t’exprimer ainsi, tout à l’heure… Ça, j’te le garantis.
Et comme pour relayer, étayer ses propos, ses yeux me fixent, me foudroient. Il… ne plaisante pas, apparemment. Ses prunelles lancent des éclairs. Son regard est sombre. Oh! Il semblerait que ce ne soient pas que des paroles en l’air. Et… Connaissant Romain… La méfiance est de mise… Elle le reste. Je reste… sur mes gardes. Mais ce n’est que faire «tchin»… Je ne me mets pas le doigt dans l’oeil. Non… Je sais… par expérience…. Que Romain finira par frapper, tôt ou tard… Ma tenue… Le plug dans mon cul… La lubrification de mon vagin… La dilatation progressive de mon anus… Mes tétons qui sont tout durs… J’ai beau être d’ors et déjà une «petite chose perdue»… Mmmh… Je n’en pense pas moins…
Romain me prendra à un moment ou à un autre…
Ce n’est qu’une question de temps.
J’affûte…
J’aiguise encore un peu plus ma sensualité.
Nous sommes face-à-face et nous ne nous quittons pas des yeux. Nous nous faisons face et c’est intense comme moment. Je me tiens droite et, bien que Romain m’impressionne, je ne cligne pas des yeux, je ne détourne pas le regard. Un côté blanc, un côté noir… Un côté ange, un côté démon… Un côté mari, un côté Maître… J’aime sa perversité. Ce n’est jamais simple mais justement, ça me plaît ainsi. Je m’ennuierais si ce n’était pas le cas. Et là… Depuis que nous sommes entrés à l’intérieur du ‘Secret’… Je dirais même, depuis tout à l’heure… La chambre d’hôtel… Nos préparatifs… Le plug dans mon anus… Je ne suis pas au bout de mes surprises. Disons… Je ne suis plus à ça près, désormais.
– Sarah… Comment tu te sens, à présent? Je veux savoir.
– À part être presque à poil… Que tu m’aies donnée la fessée devant tout le monde, tout à l’heure… Que j’aie un plug dans le cul… Tout va bien dans le meilleur des mondes, Romain.
– Et… je suis sûr… que ça t’excite, Sarah…
– Pervers!
– J’a… voue!
– Tu vas… me prendre?
– Peut-être…
Voilà. Typiquement Romain, ça. Me laisser sur ma faim… Me faire mariner… Jouer avec toi et faire jusqu’à ce que je le supplie… Jouer avec mon désir, ma lubricité… Jouer avec mon excitation, avec ma moiteur… Oui… Romain sait tirer les ficelles et faire de moi ce dont il a envie. Comme, où ET quand bon lui semble. Et là, même si c’est lui qui tire les ficelles, je reste aux aguets. J’ai les oreilles tout ouïes. Et mon corps parle, répond pour moi.
Romain joue avec ma patience, avec mon désir. Il joue avec mon appétit, avec mes envies les plus profondes. Mais j'aime ça, à vrai dire. Je suis tout aussi perverse que lui. Que je me disais tout à l'heure qu'il faut qu'il fasse gaffe… Je suis tout à fait capable de marcher sur ses plates-bandes. Ce n'est pas parce que je me métamorphose en soumise ce soir que j'en oublie mes envies les plus inavouables, les fantasmes qui me font de plus en plus envie. Et si les lubies devenaient réalité ce soir? Je signe des deux mains, alors.
Romain tend alors le bout des doigts vers sa coupe de champagne remplie. Il l'attrape et la lève en hauteur. Ses yeux se posent sur ceux de sa jeune et jolie femme. Rhoo… Qu'est-ce qu'elle est belle, il doit se dire… Ça ne fait pas l'ombre d'un doute. Et c'est dingue… à quel point il a envie d'elle ce soir, qui plus est dans CE contexte. Il y a un conflit en lui, pourtant. En effet… Rien ne presse. Nous avons la soirée devant nous, et là, nous n'en sommes qu'à l'apéritif. De plus, il jouit de jouer avec le désir et l'envie de sa chère et tendre. Mais… d'un autre côté, il me désire tellement. À mon avis, et je m'en suis rendue compte avant que nous sommes entrés… il bande comme ce n'est pas permis. C'est… intéressant, ce paradoxe. J'aime cette ambivalence, je dois avouer. Et comme j'ai pu le penser aux toilettes, moi aussi, j'aime jouer… Et là, j'en ai envie d'y jouer, avec cette ambivalence. Je suis comme ça: moi aussi, j'ai mon côté perverse! Et j'ai bien envie d'en user ce soit. Oh… oui. Romain ne paie rien pour attendre… Patience, patience…
Il me regarde. Ses yeux sont on-ne-peut-plus pétillants. J’aime… J’AIME! Il me désire! Je lui plais! IL M’AIME! Il ne dit pas un mot depuis, et pourtant… Ses iris me disent tout. Ils me disent que c’est MOI la star, la reine de la soirée. Un sourire se dessine sur ses lèvres. Romain est bien. Romain est heureux. Il me fait fondre. Je me sens pousser des ailes.
– À la tienne, mon amour. Passe une belle soirée, toi aussi. C’est NOTRE soirée. Je suis honoré que ce soit TOI, la femme que j’ai à mon bras. Sais-tu… à quel point j’ai envie de toi, Sarah? Non… Je crois pas que tu aies idée… Moi, je sais…
– Non, je sais pas, Ro… main. Mais… À en croire la bosse que j’ai touchée tout à l’heure… Tu aurais tort, ché… ri. Tu bandais… Tu aurais pu me prendre…
– Petite… perverse!
– Tu n’as… pas… idée, a… mour.
– Tu ne paies rien pour attendre, ma «petite pute»…
Sa phrase résonne, plane comme une menace. Nous nous regardons dans le blanc des yeux. C’est un duel de regards. Qui va dégainer le premier (… la première…)? C’est intense. C’est électrique. Et pourtant… C’est aussi simple que ça. Ça nous représente. C’est NOUS. Tout simplement.
Nous jouons, ce soir. C’est une nouvelle étape dans notre vie de couple. Dans notre vie sexuelle. Et… à mon avis… C’est un tournant… Au regard du début de la soirée et du cours que les événements prennent depuis… La tension monte crescendo. Il y a de l’électricité dans l’air et nos regards en disent long. C’est NOTRE soirée et nous avons furieusement envie l’un de l’autre.
Nous nous regardons dans le blanc des yeux.
– Sarah… Ma «p’tite salope»… Tu es presque toute nue… Tu mouilles… Tes jolis tétines pointent… T’es… bandante.
Presque par réflexe, comme en guise de réponse, j’attrape ma flûte de Bollinger et je la lève.
– Santé, mon amour. Hmm… T’es pas mal non plus, toi, je dois avouer.
Je réponds du tac au tac. Quand je disais que je suis en réalité perverse… Que je n’étais pas que soumise… Que j’étais capable de marcher sur ses plates-bandes… Eh bien, voilà.
– Tu fais un peu trop la maligne, chérie. Tu vas pas t’exprimer ainsi, tout à l’heure… Ça, j’te le garantis.
Et comme pour relayer, étayer ses propos, ses yeux me fixent, me foudroient. Il… ne plaisante pas, apparemment. Ses prunelles lancent des éclairs. Son regard est sombre. Oh! Il semblerait que ce ne soient pas que des paroles en l’air. Et… Connaissant Romain… La méfiance est de mise… Elle le reste. Je reste… sur mes gardes. Mais ce n’est que faire «tchin»… Je ne me mets pas le doigt dans l’oeil. Non… Je sais… par expérience…. Que Romain finira par frapper, tôt ou tard… Ma tenue… Le plug dans mon cul… La lubrification de mon vagin… La dilatation progressive de mon anus… Mes tétons qui sont tout durs… J’ai beau être d’ors et déjà une «petite chose perdue»… Mmmh… Je n’en pense pas moins…
Romain me prendra à un moment ou à un autre…
Ce n’est qu’une question de temps.
J’affûte…
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