Romance avec mon beau-frère 4
Récit érotique écrit par Leo1004 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Romance avec mon beau-frère 4
Cela faisait plusieurs semaines que j'entretenais une relation avec Samy, mon beau-frère. Plus qu'une double relation, c'était une véritable double vie que je menais... D'un côté ma petite vie rangée de mari disponible, aimant et hétéro avec ma femme et, de l'autre, une vie où j'étais l'homme qui s'était soumis totalement à un autre et qui aimait cette relation de domination qui s'était naturellement installée.
Samy était grand, fort et incroyablement beau mais il arrivait à être aussi à l'écoute et faisait tout pour me traiter le mieux possible afin que je me sentes bien. Jamais dans ma vie je n'avais rencontré une personne aussi attentionnée envers moi et je me sentais parfaitement bien avec lui. J'étais vraiment très heureux.
Ces dernières semaines nous avons donc multiplié nos « escapades »... Au début nous ne nous voyions qu'une fois par semaine, je prétextait un rendez-vous avec un client un peu tardif (je suis agent immobilier), ou alors je disais à ma femme que j'allais boire un coup en ville avec des amis. Il m'était aussi arriver de dire que j'allais jouer a la console chez un pote. De temps en temps, je choisissais volontairement de dire que j'allais chez Samy pour discuter ou jouer, histoire d'éviter de raconter toujours des mensonges...
Puis nous avons commencé à rapidement multiplié nos rendez-vous... Je trouvais toujours la bonne phrase pour m'éclipser et retrouver mon amant au corps d'Apollon et son merveilleux membre...
Très vite, nous nous sommes aperçus que notre passion n'atteignait plus aucune limite, sans doute a cause du caractère secret de notre relation qui pimentait encore plus les choses, en tout cas, c'était ainsi que je le ressentais.
Nos rendez-vous suivaient régulièrement la même trame : je le rejoignais, je me jetais sur lui, je le suçais avidement plusieurs minutes et il me baisait sauvagement. Et ce cycle se répétait parfois plusieurs fois pendant le rendez-vous et ce, peu importe le lieu où nous nous trouvions : chez lui, dans sa voiture, dans la mienne, sous la douche...
Notre passion était tellement forte que nous nous retrouvions parfois volontairement dans des situations complètement folles qui nous excitaient de plus en plus. Voici quelques exemples :
- Il me rejoignais à mon travail et me prenait sur mon bureau entre deux rendez-vous;
- Je le suçais en plein visionnage d'un film au cinéma et il finissait par me baiser sur le parking en repartant;
- Il me baisais dans son salon me plaquant contre la vitre de sa fenêtre à la vue de tous;
- Je le suçais pendant qu'il conduisait et il finissait par craquer et me baiser sur une aire d'autoroute...
Bref, vous l'aurez compris notre relation avait prit une tournure particulièrement folle et la situation, tant sur le plan émotionnel que physique, était devenue incontrôlable. Du moins, jusqu'à ce fameux après-midi...
Il était 16h et je terminais un rendez-vous non loin de chez lui. Je n'ai pas d'autres rendez-vous et j'avais terminé ma journée car le rendez-vous suivant s'était annulé quelques minutes plus tôt.
Je décidais donc ne pas prévenir ma femme et d'aller le rejoindre. Cela fait 5 jours que l'on ne s'était pas vu et j'avais très envie de le voir.
Je choisissais donc de lui faire la surprise et prenais la route en direction de son domicile.
En arrivant, je remarquais que sa voiture était garée en bas, à sa place habituelle et je me réjouissais de constater que mon amant était bien chez lui. Je décidais donc de monter en profitant qu'un voisin sorte de l'immeuble.
« Cool ! Cela m'évitera de sonner, la surprise sera totale! pensais-je »
Je montais un à un les escaliers et arrivais rapidement devant sa porte. Je toquais mais il ne m'entendait pas alors je tendais l'oreille contre la porte et constatais qu'il avait mis la musique sans doute un peu trop fort... J'essayais donc de l'ouvrir en baissant la poignée et, coup de chance, je réussissais à l'ouvrir sans difficulté. Le petit coquin avait dû oublier de la verrouiller !
Lorsque j'entrais, personne n'était là et je remarquais que la musique assourdissante provenais de sa chambre. Je progressais donc lentement vers la pièce et remarquais que la porte était assez largement entrouverte ce qui me permettais de découvrir rapidement ce qu'il s'y passait et ce que je voyais me laissait sans voix : il était en train de prendre sa copine en levrette !
Cette vision me gelait sur place, je ne savais plus quoi faire à part regarder les coups de reins qu'il lui mettait et je ressentais un véritable pincement au cur quand je pensais qu'habituellement c'était moi qu'il prenait sauvagement...
Je ne savais pas pourquoi mais un immense sentiment de jalousie s'emparait de moi. Je mourrais d'envie d'entrer brutalement dans la chambre pour les interrompre mais je savais que c'était impossible... J'étais comme cloué au sol, incapable d'effectuer le moindre mouvement...
Puis, mes pensées m'emmenaient hors de la scène et je repensais à ces dernières semaines : notre première fois, nos rendez-vous, nos ébats passionnés partout dans cet appartement, dans cette chambre où cette salope se faisait baiser... Quand soudain, une phrase prononcée par Samy m'arrachait à mes pensées :
- Oh putain bébé c'est tellement bon !
- Oh oui continue mon cœur !
- Ah ta petite chatte m'avait tellement manquée...
- Dis-moi que personne ne t'as jamais autant fait prendre ton pied !
- Ah c'est clair t'es la meilleure bébé !
La dernière phrase était celle de trop pour moi. Je décidais donc de partir aussi discrètement que j'étais venu. Je n'avais rien à faire là.
En redescendant les escaliers j'étais en colère mais surtout contre moi-même car je n'avais pas le droit d'être surpris. Il était en couple, tout comme moi et il aimait sa copine. Il n'y avait donc rien de surprenant à le trouver chez lui en train de la sauter ! Mais pour une raison qui m'échappait, cette situation m'énervait et me faisait perdre toute lucidité. Je pensais être quelqu'un de spécial pour lui... Je pensais que ce que l'on vivait était unique mais c'était surtout physique... Mais quand ai-je commencé à penser que cela aurait pu être différent ? À quel moment ai-je voulu plus ?
Ce questions revenaient sans cesse me hanter sur le chemin qui me ramenait à la maison...
Je décidais donc de tout arrêter. Et je n'ai plus écrit ni répondu à Samy pendant deux semaines. Tout cela, sans lui donner d'explications...
Il m'écrivait. La plupart du temps en journée et me demandait ce qui n'allait pas, ce que je lui reprochais et me demandait de briser le silence que j'avais instauré. Mais je décidais de ne pas lui répondre car je savais que si je répondais je n'arriverais pas à résister à l'envie de le revoir.
Un soir, alors que je rentrais du travail, j'étais complètement exténué et je décidais de prendre une bonne douche pour me détendre un peu. Je me déshabillais donc rapidement et me dirigeais vers la salle de bain en me rappelant que ce soir j'étais seul car ma femme avait prévue une sortie avec ses amies.
- Une soirée parfaite pour appeler Samy, pensais-je.
Mais je chassais vite cette idée de mon esprit.
J'entrais donc sous la douche à l'italienne que nous venions de faire installer et décidais de profiter pleinement de cet instant pour me relaxer au maximum en sentant l'eau chaude couler sur moi. Sensation exquise après une dure journée de travail.
Puis deux mains se posaient sur mes hanches et je manquais de tomber tellement je prenais peur. Heureusement, j'étais rattrapé rapidement par Samy qui était donc entré dans la douche complètement nu pour me surprendre...
- N'aie pas peur, c'est moi !
- Mais t'es malade de faire ça !
- Je suis désolé, tu as laissé la porte ouverte et j'ai entendu la douche. Je me suis dit que j'allais te faire une petite surprise...
- Ouais bah félicitations j'ai faillit me vautrer littéralement à cause de toi !
- Je t'ai rattrapé, c'est l'essentiel.
- Mais qu'est-ce que tu fais là d'ailleurs ?
- Nos femmes étaient de sortie ensemble ce soir, je me suis dit que tu serais probablement seul.
- Ah ? Effectivement j'avais oublié qu'elles seraient ensemble ce soir... disais-je tout en regardant son magnifique corps musclé.
- Bon maintenant à moi de te demander à quoi tu joues ?
- Je ne joues pas. Je n'avais juste plus envie de te revoir.
- Ça, j'avais compris. Mais j'aimerais bien savoir pourquoi. Ça y est tu es rassasié ? T'as pris ton pied et puis quand tu en as eu marre t'as préfère me rayé de ta vie ?
- Mais pas du tout !
- Qu'est-ce que tu as alors ? T'as trouvé un autre mec qui est plus disponible que moi pour te sauter ?
- Samy je pense qu'il est temps que tu sortes de chez moi.
- Non ! Pas avant que tu m'expliques !
- Tu comprends vraiment rien ! Je suis juste allé chez toi il y a deux semaines pour te faire une surprise et voilà que je débarque et je te vois en train de baiser ta copine en lui disant que c'était la meilleure et qu'elle te fait prendre ton pied comme jamais !
Samy me regardait l'air choqué et totalement perdu. Il ne devait pas s'attendre à ce genre de motif... Une interminable minute de silence s'installait dans notre conversation. Je prenais conscience qu'il était entièrement nu sous la douche avec moi et je me disais qu'il y a quelques temps, j'aurais complètement craqué face à cette situation mais je me devais de rester concentré. Malgré cela je n'ai pas pu me résoudre à ne pas regarder son membre à moitié bandé à quelques centimètres du bien, ce qui provoquait chez moi une incontrôlable montée de chaleur... Je décidais de reprendre la main afin de ne pas m'égarer :
- Donc voilà. Tu comprends mieux pourquoi je n'avais plus envie de te voir ni de te parler après ça.
- Non, je ne comprends pas.
- Et bien tant pis pour toi. Maintenant sors de là. Je n'ai plus rien à te dire.
- Non, moi j'en ai pas fini avec toi. Je ne te comprends pas Leo. Je suis en couple et tu l'es aussi, ce genre de situation devait forcément arriver...
- Je sais. Me te voir avec elle et t'entendre prononcer ces mots ça m'a mis hors de moi...
- Tu voulais que je lui dise quoi ? Que je prenais plus mon pied avec toi qu'avec elle ? Je pense qu'elle ne l'aurait pas très bien prit.
- Peu importe. Maintenant tu sors !
- Non...
- Tu n'es pas chez toi ici, alors tu sors !
Je cherchais a le pousser et à le faire sortir de la douche (et de ma vie par la même occasion) mais il était beaucoup plus fort que moi et parvenait facilement à repousser mes assauts.
Je continuais de le repousser mais il finissait rapidement par se saisir de mes bras et, un peu trop facilement, il les plaçait derrière mon dos avec une seule main. Il était beaucoup plus proche et je sentais son membre en érection contre mon ventre...
- Ça m'excite quand tu me résiste.
- Je t'interdis de me toucher, disais-je tout en ayant du mal à retenir une érection que je sentais naître.
- C'est une menace ou une promesse ? disait-il en souriant.
Puis il se saisissait mon penis en semi-erection et se mettait à me branler lentement tout en m'embrassant le coup. Ces gestes me faisait littéralement fondre mais je ne voulais pas lui donner la satisfaction de lui montrer que je pouvais lui céder très facilement. Je tachais donc de ne rien dire ni faire en essayant de contenir mes gémissements meme si ma respiration se faisait plus forte et mon érection, plus dure.
- Tu sais bien ce que je ressens pour toi...
- Oui, je ne suis qu'un trou dans lequel tu te décharges quand tu en as envie. Mais maintenant c'est fini, lançais-je sèchement.
- Tu es vraiment sûr ?
Il me serrait la bite de plus en plus fort pour essayer de me faire craquer.
- Va t'en...
- On va voir ça.
D'un coup ferme il me faisait perdre l'équilibre et je me retrouvais à genou dans la douche face à lui et son imposant membre qui semblait plus dur que jamais. Ma résistance lui faisait de l'effet et j'avais envie de m'en amuser un peu...
Je tentais de me relever mais il me bloquais une épaule contre le mur de la douche avec son genou droit et l'autre épaule avec sa main gauche. Sa poutre était désormais tellement proche qu'elle effleurait mon visage et mes lèvres. Samy en profitait pour la plaquer encore plus contre mon visage. Bon sang qu'est-ce que j'avais envie de le sucer... Mais je voulais voir jusqu'où il pouvait aller.
Il continuait de me plaquer son membre contre mon visage et s'amusait à bouger son bassin de sorte à ce que sa bite se frotte sur chaque partie de mon visage et que ses boules se heurtent à ma bouche. Je luttais pour ne pas les lui gober tellement il me faisait de l'effet...
Il se dégageait et tentait d'insérer sa bite de force dans ma bouche mais je m'y refusais. Il se servait alors de l'une de ses mains pour m'ouvrir la bouche et se frayer un chemin à travers mes dents.
La puissance de ses mains était si forte que je manquais de me déboîter la mâchoire. Il en profitait pour s'insérer brutalement dans ma bouche tout en me tenant pour ne pas que je m'échappe, quelle force !
Il me baisait la bouche sauvagement et moi je tentais de me débattre. Non pas pour qu'il arrête, mais parce que je savais que ça l'excitait. Cependant, tous mes efforts restaient vains... Je décidais donc d'arrêter et de lui donner ce qu'il voulait car je ne pouvais pas lui résister. Sentir sa bite dans ma bouche me rappelait à quel point j'étais dingue de lui, de sa bite, de son corps, de tout !
Je saisissais donc ses fesses et le poussais à s'enfoncer en moi le plus loin possible afin que je lui fasse une belle gorge profonde, ce qui, considérant la taille sa queue, n'était pas difficile.
Satisfait de m'avoir fait céder, il cessait d'user de la force et décidait de me laisser faire tout en gémissant et râlant de plaisir. Je m'appliquais donc à lui faire la meilleure pipe de sa vie car je voulais lui montrer que je le ferais mieux que n'importe qui.
Je lui appartenais et j'avais bien l'intention de lui faire comprendre ce soir.
Après quelques minutes à lui sucer et lui lécher la bite et les boules je décidais de remonter le long de son corps pour lui lécher son pubis, ses abdos, son torse, son cou...
J'arrivais au niveau de son visage et il tentait de m'embrasser mais je refusais et le repoussait, avec succès cette fois-ci, contre la paroi de la douche.
Profitant de ce moment, je décidais de lui saisir sa longue verge bien dure tout en me rapprochant de son oreille :
- Que les choses soient bien claire. Tu es à moi, cette bite est a moi je veux être le seul qui puisse te sucer de toutes les manières possibles et je ne veux partager ce privilège avec personne d'autre. C'est compris ?
- Si tel est ton désir...
- Bien. Maintenant tu va me baiser parce que ça fait deux semaines que je ne l'ai plus sentie en moi et que je meurs d'envie que tu me pénètre et que tu décharge ton foutre en moi. On est d'accord ?
Il ne me laissait pas le temps d'en dire davantage et me retournait brutalement tout en me faisant pencher en avant afin que je puisse lui offrir mon cul. Et puis, d'un coup d'un seul il me pénétrait brutalement ce qui me faisait un mal de chien mais je ne protestais pas car je sais que je l'avais bien cherché...
Il enchainait ensuite une série de coups de reins qui me ravageaient le fondement mais je ne pouvais pas retenir mon plaisir.
Le plaisir de me faire baiser par l'homme que j'aime. Car oui, j'en avais la certitude : j'étais tombé amoureux de Samy.
La tension de la situation et la grandeur de son excitation avait provoqué chez lui un puissant orgasme et, comme je lui avais demandé, il se déchargeait entièrement en moi tout en hurlant : « Ahhhh putain bébé c'est tellement bon, t'es une vraie petite salope ! »
Alors que je me rhabillais dans ma chambre, un peu plus tard. Il s'avançait vers moi pour me parler :
- Je suis désolé.
- Désolé de quoi ?
- De t'avoir forcé à me sucer, mais tu me rendais fou...
- Tu n'as pas à t'excuser, tu as été parfait.
- Désolé de t'avoir traité de salope aussi... L'orgasme était tellement intense qu'il m'a fait dire des choses sans que je puisse contrôler...
Je décidais de m'approcher de lui et de prendre sa tête entre mes mains.
- Écoute-moi Samy. Je ne veux plus jamais que tu t'excuse pour ce genre de choses. Tu peux m'appeler comme tu veux si c'est ce que ton plaisir te dit de faire. Et vu mon comportement de ce soir, j'ai mérité le surnom de salope. Et je veux bien être ta salope si tu me baise comme ça tous les jours ça ne me pose pas de problème !
Je l'embrassais chastement mais il était quelque peu perturbé par mon discours. Il était si gêné que ça le rendait encore plus mignon. Il me faisait littéralement fondre...
- Et si je n'ai plus envie de te baiser ?
- Comment ça ?
Il prenait le temps de continuer sa phrase et au bout de dix secondes qui paraissaient une éternité il poursuivait :
- Et si je n'avais plus envie de te baiser mais plutôt de te faire l'amour ?
- Je ne suis pas sûr de bien comprendre...
- Je t'aime Leo...
A suivre !
Samy était grand, fort et incroyablement beau mais il arrivait à être aussi à l'écoute et faisait tout pour me traiter le mieux possible afin que je me sentes bien. Jamais dans ma vie je n'avais rencontré une personne aussi attentionnée envers moi et je me sentais parfaitement bien avec lui. J'étais vraiment très heureux.
Ces dernières semaines nous avons donc multiplié nos « escapades »... Au début nous ne nous voyions qu'une fois par semaine, je prétextait un rendez-vous avec un client un peu tardif (je suis agent immobilier), ou alors je disais à ma femme que j'allais boire un coup en ville avec des amis. Il m'était aussi arriver de dire que j'allais jouer a la console chez un pote. De temps en temps, je choisissais volontairement de dire que j'allais chez Samy pour discuter ou jouer, histoire d'éviter de raconter toujours des mensonges...
Puis nous avons commencé à rapidement multiplié nos rendez-vous... Je trouvais toujours la bonne phrase pour m'éclipser et retrouver mon amant au corps d'Apollon et son merveilleux membre...
Très vite, nous nous sommes aperçus que notre passion n'atteignait plus aucune limite, sans doute a cause du caractère secret de notre relation qui pimentait encore plus les choses, en tout cas, c'était ainsi que je le ressentais.
Nos rendez-vous suivaient régulièrement la même trame : je le rejoignais, je me jetais sur lui, je le suçais avidement plusieurs minutes et il me baisait sauvagement. Et ce cycle se répétait parfois plusieurs fois pendant le rendez-vous et ce, peu importe le lieu où nous nous trouvions : chez lui, dans sa voiture, dans la mienne, sous la douche...
Notre passion était tellement forte que nous nous retrouvions parfois volontairement dans des situations complètement folles qui nous excitaient de plus en plus. Voici quelques exemples :
- Il me rejoignais à mon travail et me prenait sur mon bureau entre deux rendez-vous;
- Je le suçais en plein visionnage d'un film au cinéma et il finissait par me baiser sur le parking en repartant;
- Il me baisais dans son salon me plaquant contre la vitre de sa fenêtre à la vue de tous;
- Je le suçais pendant qu'il conduisait et il finissait par craquer et me baiser sur une aire d'autoroute...
Bref, vous l'aurez compris notre relation avait prit une tournure particulièrement folle et la situation, tant sur le plan émotionnel que physique, était devenue incontrôlable. Du moins, jusqu'à ce fameux après-midi...
Il était 16h et je terminais un rendez-vous non loin de chez lui. Je n'ai pas d'autres rendez-vous et j'avais terminé ma journée car le rendez-vous suivant s'était annulé quelques minutes plus tôt.
Je décidais donc ne pas prévenir ma femme et d'aller le rejoindre. Cela fait 5 jours que l'on ne s'était pas vu et j'avais très envie de le voir.
Je choisissais donc de lui faire la surprise et prenais la route en direction de son domicile.
En arrivant, je remarquais que sa voiture était garée en bas, à sa place habituelle et je me réjouissais de constater que mon amant était bien chez lui. Je décidais donc de monter en profitant qu'un voisin sorte de l'immeuble.
« Cool ! Cela m'évitera de sonner, la surprise sera totale! pensais-je »
Je montais un à un les escaliers et arrivais rapidement devant sa porte. Je toquais mais il ne m'entendait pas alors je tendais l'oreille contre la porte et constatais qu'il avait mis la musique sans doute un peu trop fort... J'essayais donc de l'ouvrir en baissant la poignée et, coup de chance, je réussissais à l'ouvrir sans difficulté. Le petit coquin avait dû oublier de la verrouiller !
Lorsque j'entrais, personne n'était là et je remarquais que la musique assourdissante provenais de sa chambre. Je progressais donc lentement vers la pièce et remarquais que la porte était assez largement entrouverte ce qui me permettais de découvrir rapidement ce qu'il s'y passait et ce que je voyais me laissait sans voix : il était en train de prendre sa copine en levrette !
Cette vision me gelait sur place, je ne savais plus quoi faire à part regarder les coups de reins qu'il lui mettait et je ressentais un véritable pincement au cur quand je pensais qu'habituellement c'était moi qu'il prenait sauvagement...
Je ne savais pas pourquoi mais un immense sentiment de jalousie s'emparait de moi. Je mourrais d'envie d'entrer brutalement dans la chambre pour les interrompre mais je savais que c'était impossible... J'étais comme cloué au sol, incapable d'effectuer le moindre mouvement...
Puis, mes pensées m'emmenaient hors de la scène et je repensais à ces dernières semaines : notre première fois, nos rendez-vous, nos ébats passionnés partout dans cet appartement, dans cette chambre où cette salope se faisait baiser... Quand soudain, une phrase prononcée par Samy m'arrachait à mes pensées :
- Oh putain bébé c'est tellement bon !
- Oh oui continue mon cœur !
- Ah ta petite chatte m'avait tellement manquée...
- Dis-moi que personne ne t'as jamais autant fait prendre ton pied !
- Ah c'est clair t'es la meilleure bébé !
La dernière phrase était celle de trop pour moi. Je décidais donc de partir aussi discrètement que j'étais venu. Je n'avais rien à faire là.
En redescendant les escaliers j'étais en colère mais surtout contre moi-même car je n'avais pas le droit d'être surpris. Il était en couple, tout comme moi et il aimait sa copine. Il n'y avait donc rien de surprenant à le trouver chez lui en train de la sauter ! Mais pour une raison qui m'échappait, cette situation m'énervait et me faisait perdre toute lucidité. Je pensais être quelqu'un de spécial pour lui... Je pensais que ce que l'on vivait était unique mais c'était surtout physique... Mais quand ai-je commencé à penser que cela aurait pu être différent ? À quel moment ai-je voulu plus ?
Ce questions revenaient sans cesse me hanter sur le chemin qui me ramenait à la maison...
Je décidais donc de tout arrêter. Et je n'ai plus écrit ni répondu à Samy pendant deux semaines. Tout cela, sans lui donner d'explications...
Il m'écrivait. La plupart du temps en journée et me demandait ce qui n'allait pas, ce que je lui reprochais et me demandait de briser le silence que j'avais instauré. Mais je décidais de ne pas lui répondre car je savais que si je répondais je n'arriverais pas à résister à l'envie de le revoir.
Un soir, alors que je rentrais du travail, j'étais complètement exténué et je décidais de prendre une bonne douche pour me détendre un peu. Je me déshabillais donc rapidement et me dirigeais vers la salle de bain en me rappelant que ce soir j'étais seul car ma femme avait prévue une sortie avec ses amies.
- Une soirée parfaite pour appeler Samy, pensais-je.
Mais je chassais vite cette idée de mon esprit.
J'entrais donc sous la douche à l'italienne que nous venions de faire installer et décidais de profiter pleinement de cet instant pour me relaxer au maximum en sentant l'eau chaude couler sur moi. Sensation exquise après une dure journée de travail.
Puis deux mains se posaient sur mes hanches et je manquais de tomber tellement je prenais peur. Heureusement, j'étais rattrapé rapidement par Samy qui était donc entré dans la douche complètement nu pour me surprendre...
- N'aie pas peur, c'est moi !
- Mais t'es malade de faire ça !
- Je suis désolé, tu as laissé la porte ouverte et j'ai entendu la douche. Je me suis dit que j'allais te faire une petite surprise...
- Ouais bah félicitations j'ai faillit me vautrer littéralement à cause de toi !
- Je t'ai rattrapé, c'est l'essentiel.
- Mais qu'est-ce que tu fais là d'ailleurs ?
- Nos femmes étaient de sortie ensemble ce soir, je me suis dit que tu serais probablement seul.
- Ah ? Effectivement j'avais oublié qu'elles seraient ensemble ce soir... disais-je tout en regardant son magnifique corps musclé.
- Bon maintenant à moi de te demander à quoi tu joues ?
- Je ne joues pas. Je n'avais juste plus envie de te revoir.
- Ça, j'avais compris. Mais j'aimerais bien savoir pourquoi. Ça y est tu es rassasié ? T'as pris ton pied et puis quand tu en as eu marre t'as préfère me rayé de ta vie ?
- Mais pas du tout !
- Qu'est-ce que tu as alors ? T'as trouvé un autre mec qui est plus disponible que moi pour te sauter ?
- Samy je pense qu'il est temps que tu sortes de chez moi.
- Non ! Pas avant que tu m'expliques !
- Tu comprends vraiment rien ! Je suis juste allé chez toi il y a deux semaines pour te faire une surprise et voilà que je débarque et je te vois en train de baiser ta copine en lui disant que c'était la meilleure et qu'elle te fait prendre ton pied comme jamais !
Samy me regardait l'air choqué et totalement perdu. Il ne devait pas s'attendre à ce genre de motif... Une interminable minute de silence s'installait dans notre conversation. Je prenais conscience qu'il était entièrement nu sous la douche avec moi et je me disais qu'il y a quelques temps, j'aurais complètement craqué face à cette situation mais je me devais de rester concentré. Malgré cela je n'ai pas pu me résoudre à ne pas regarder son membre à moitié bandé à quelques centimètres du bien, ce qui provoquait chez moi une incontrôlable montée de chaleur... Je décidais de reprendre la main afin de ne pas m'égarer :
- Donc voilà. Tu comprends mieux pourquoi je n'avais plus envie de te voir ni de te parler après ça.
- Non, je ne comprends pas.
- Et bien tant pis pour toi. Maintenant sors de là. Je n'ai plus rien à te dire.
- Non, moi j'en ai pas fini avec toi. Je ne te comprends pas Leo. Je suis en couple et tu l'es aussi, ce genre de situation devait forcément arriver...
- Je sais. Me te voir avec elle et t'entendre prononcer ces mots ça m'a mis hors de moi...
- Tu voulais que je lui dise quoi ? Que je prenais plus mon pied avec toi qu'avec elle ? Je pense qu'elle ne l'aurait pas très bien prit.
- Peu importe. Maintenant tu sors !
- Non...
- Tu n'es pas chez toi ici, alors tu sors !
Je cherchais a le pousser et à le faire sortir de la douche (et de ma vie par la même occasion) mais il était beaucoup plus fort que moi et parvenait facilement à repousser mes assauts.
Je continuais de le repousser mais il finissait rapidement par se saisir de mes bras et, un peu trop facilement, il les plaçait derrière mon dos avec une seule main. Il était beaucoup plus proche et je sentais son membre en érection contre mon ventre...
- Ça m'excite quand tu me résiste.
- Je t'interdis de me toucher, disais-je tout en ayant du mal à retenir une érection que je sentais naître.
- C'est une menace ou une promesse ? disait-il en souriant.
Puis il se saisissait mon penis en semi-erection et se mettait à me branler lentement tout en m'embrassant le coup. Ces gestes me faisait littéralement fondre mais je ne voulais pas lui donner la satisfaction de lui montrer que je pouvais lui céder très facilement. Je tachais donc de ne rien dire ni faire en essayant de contenir mes gémissements meme si ma respiration se faisait plus forte et mon érection, plus dure.
- Tu sais bien ce que je ressens pour toi...
- Oui, je ne suis qu'un trou dans lequel tu te décharges quand tu en as envie. Mais maintenant c'est fini, lançais-je sèchement.
- Tu es vraiment sûr ?
Il me serrait la bite de plus en plus fort pour essayer de me faire craquer.
- Va t'en...
- On va voir ça.
D'un coup ferme il me faisait perdre l'équilibre et je me retrouvais à genou dans la douche face à lui et son imposant membre qui semblait plus dur que jamais. Ma résistance lui faisait de l'effet et j'avais envie de m'en amuser un peu...
Je tentais de me relever mais il me bloquais une épaule contre le mur de la douche avec son genou droit et l'autre épaule avec sa main gauche. Sa poutre était désormais tellement proche qu'elle effleurait mon visage et mes lèvres. Samy en profitait pour la plaquer encore plus contre mon visage. Bon sang qu'est-ce que j'avais envie de le sucer... Mais je voulais voir jusqu'où il pouvait aller.
Il continuait de me plaquer son membre contre mon visage et s'amusait à bouger son bassin de sorte à ce que sa bite se frotte sur chaque partie de mon visage et que ses boules se heurtent à ma bouche. Je luttais pour ne pas les lui gober tellement il me faisait de l'effet...
Il se dégageait et tentait d'insérer sa bite de force dans ma bouche mais je m'y refusais. Il se servait alors de l'une de ses mains pour m'ouvrir la bouche et se frayer un chemin à travers mes dents.
La puissance de ses mains était si forte que je manquais de me déboîter la mâchoire. Il en profitait pour s'insérer brutalement dans ma bouche tout en me tenant pour ne pas que je m'échappe, quelle force !
Il me baisait la bouche sauvagement et moi je tentais de me débattre. Non pas pour qu'il arrête, mais parce que je savais que ça l'excitait. Cependant, tous mes efforts restaient vains... Je décidais donc d'arrêter et de lui donner ce qu'il voulait car je ne pouvais pas lui résister. Sentir sa bite dans ma bouche me rappelait à quel point j'étais dingue de lui, de sa bite, de son corps, de tout !
Je saisissais donc ses fesses et le poussais à s'enfoncer en moi le plus loin possible afin que je lui fasse une belle gorge profonde, ce qui, considérant la taille sa queue, n'était pas difficile.
Satisfait de m'avoir fait céder, il cessait d'user de la force et décidait de me laisser faire tout en gémissant et râlant de plaisir. Je m'appliquais donc à lui faire la meilleure pipe de sa vie car je voulais lui montrer que je le ferais mieux que n'importe qui.
Je lui appartenais et j'avais bien l'intention de lui faire comprendre ce soir.
Après quelques minutes à lui sucer et lui lécher la bite et les boules je décidais de remonter le long de son corps pour lui lécher son pubis, ses abdos, son torse, son cou...
J'arrivais au niveau de son visage et il tentait de m'embrasser mais je refusais et le repoussait, avec succès cette fois-ci, contre la paroi de la douche.
Profitant de ce moment, je décidais de lui saisir sa longue verge bien dure tout en me rapprochant de son oreille :
- Que les choses soient bien claire. Tu es à moi, cette bite est a moi je veux être le seul qui puisse te sucer de toutes les manières possibles et je ne veux partager ce privilège avec personne d'autre. C'est compris ?
- Si tel est ton désir...
- Bien. Maintenant tu va me baiser parce que ça fait deux semaines que je ne l'ai plus sentie en moi et que je meurs d'envie que tu me pénètre et que tu décharge ton foutre en moi. On est d'accord ?
Il ne me laissait pas le temps d'en dire davantage et me retournait brutalement tout en me faisant pencher en avant afin que je puisse lui offrir mon cul. Et puis, d'un coup d'un seul il me pénétrait brutalement ce qui me faisait un mal de chien mais je ne protestais pas car je sais que je l'avais bien cherché...
Il enchainait ensuite une série de coups de reins qui me ravageaient le fondement mais je ne pouvais pas retenir mon plaisir.
Le plaisir de me faire baiser par l'homme que j'aime. Car oui, j'en avais la certitude : j'étais tombé amoureux de Samy.
La tension de la situation et la grandeur de son excitation avait provoqué chez lui un puissant orgasme et, comme je lui avais demandé, il se déchargeait entièrement en moi tout en hurlant : « Ahhhh putain bébé c'est tellement bon, t'es une vraie petite salope ! »
Alors que je me rhabillais dans ma chambre, un peu plus tard. Il s'avançait vers moi pour me parler :
- Je suis désolé.
- Désolé de quoi ?
- De t'avoir forcé à me sucer, mais tu me rendais fou...
- Tu n'as pas à t'excuser, tu as été parfait.
- Désolé de t'avoir traité de salope aussi... L'orgasme était tellement intense qu'il m'a fait dire des choses sans que je puisse contrôler...
Je décidais de m'approcher de lui et de prendre sa tête entre mes mains.
- Écoute-moi Samy. Je ne veux plus jamais que tu t'excuse pour ce genre de choses. Tu peux m'appeler comme tu veux si c'est ce que ton plaisir te dit de faire. Et vu mon comportement de ce soir, j'ai mérité le surnom de salope. Et je veux bien être ta salope si tu me baise comme ça tous les jours ça ne me pose pas de problème !
Je l'embrassais chastement mais il était quelque peu perturbé par mon discours. Il était si gêné que ça le rendait encore plus mignon. Il me faisait littéralement fondre...
- Et si je n'ai plus envie de te baiser ?
- Comment ça ?
Il prenait le temps de continuer sa phrase et au bout de dix secondes qui paraissaient une éternité il poursuivait :
- Et si je n'avais plus envie de te baiser mais plutôt de te faire l'amour ?
- Je ne suis pas sûr de bien comprendre...
- Je t'aime Leo...
A suivre !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Est ce que il est prévue de sortir une suite prochainement?
J'adore le tournant que prend cette histoire avec la jalousie de Léo et le fait que leur sentiment soit réciproque , hâte de voir la suite !
Ouiiiii.... Enfin ils sont amoureux
superbe histoire