RONDA LIN
Récit érotique écrit par Stephane [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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RONDA LIN
L'histoire qui m'est arrivée est vraiment extraordinaire mais c'est une histoire vraie. Laissez moi plutôt vous la raconter.
A l'époque, j'avais tout juste 19 ans et j'étais beau gosse et assez sportif. Non pas que je ne savais pas faire la fête mais disons que j'étais bien équilibré et que je me disais qu'il y avait un temps pour tout. C'était aussi pour cela que les filles m'aimaient bien en général.
A la fac, j'avais pas mal de copains et on allait les uns et chez les autres se chercher pour faire du sport ou pour sortir. A ce moment là je n'avais pas de copine et j'étais assez ouvert pour de nouvelles expériences. Je précise que je j'étais loin d'être un niais en la matière! Un jour, alors que je passais chercher un ami pour aller à une séance de cinéma, je frappais à sa porte et une jolie femme asiatique, qui devait être sa mère, ouvrit. Elle avait l'air vraiment très gentille, distante et douce. Elle appella son fils qui descendit aussitôt. Mon ami me présenta rapidement sa mère et lui demanda si elle voulait venir avec nous à la séance de 15h. Il s'agissait d'un très bon film Hong-Kongais de Wong Kar Wai et il l'encouragea vivement à venir.
Sa mère fut un peu embêtée et surtout génée de devoir sortir avec ces deux grands garçons mais apparemment elle n'avait rien à faire et surtout elle devait aimer le cinéma alors elle se décida et vint avec nous.
Nous prirent ma voiture et nous nous dirigeames donc vers le centre ville. Alors que nous discutions du cinéma asiatique d'avant-garde, je fus vraiment impressionné par la discrète beauté de cette femme qui devait avoir au moins quarantaine-cinq ans. Elle ne parlait pas beaucoup et montrait relativement peu d'expressions sur son visage. Ronda, comme j'appris plus tard son prénom, avait l'air un peu préoccupée comme toutes les mères de la bonne tenue de son foyer laissé derrière elle et aussi un peu perturbée finalement à l'idée de devoir passer un moment avec nous.
Il n'y avait presque personne à cette séance et donc nous rentrâmes directement dans la salle. Mon ami nous offrit le billet et des friandises. Alors que j'observais Ronda, nous prîmes du pop-corn et curieusement ceci avait l'air de l'amuser.
Tout d'un coup le portable de mon ami sonna. Il répondit, discuta un moment puis se tourna vers nous: "Maman, cher ami, je dois absolument vous quitter, j'ai un partiel très important à préparer pour demain et je n'étais pas au courant!". Je fus prêt par solidarité à tout annuler d'autant plus que j'étais assez embêté de devoir rester seul avec sa mère. Sa mère voulait aussi partir mais son fils insista sur le fait qu'il nous avait offert les places.
Mon ami partit et nous restions donc tout seuls avec sa mère et le film commença. Un bon quart d'heure après, alors qu'un siège nous séparait, je lui demanda si elle appréciait le film, elle me répondit quelque chose que je ne compris pas. Il faisait assez sombre et je ne distinguais pas bien son visage, je me rapprochais donc à côté d'elle et je lui fit savoir que je n'avais pas entendu. Nous baignions alors dans une étrange atmosphère, je me sentais bizarre et apparemment elle aussi. Nous étions si proches et une tension un peu bizarre et incontrôlable naissait en moi. Je ne sais pas ce qu'il me prit mais personne ne nous voyait alors je l'embrassai sur la joue. Elle se laissa faire un moment sans bouger comme paralysée: tout devait lui revenir, son mari, ses enfants, son rôle de mère au foyer. Mais j'avoue que j'étais assez doué et il était assez difficile de résister à mes caresses. Peu à peu, son mutisme et son immobilité se transforma, elle commença à vibrer un peu et enfin nous nous embrassâmes.
Alors que nos caresses devenaient plus intenses, je lui glissait ces quelques mots à l'oreille: "oublie-toi, fait comme si tu étais ma petite amie...". Ces mots eurent l'air de l'exciter un peu. Je commençais à faire glisser ma main dans sa culotte et je commençais à la doigter. Je lui dis "tu vois c'est comme ceci que l'on fait avec les filles de notre age". Elle mouillait vraiment beaucoup. Discrètement je portais mon doigt à mon nez et je sentis la plus délicate et délicieuse des odeurs. Nous étions au dernier les rangs et les deux, trois personnes à part nous dans la salle était vraiment loin au premier rang et donc ne nous voyait pas. Mon sexe me faisait mal dans mon slip tellement il était comprimé et je décidai de baisser mon pantalon et mon slip. Mon dard, turgescent, dressait fièrement ses 20cm et exahalait une très forte odeur de musc. Ronda, commença à se rapprocher, hésita et puis pris mon sexe dans sa bouche. Elle se releva un instant vers moi et me dit: "tu sais, je n'ai jamais eu l'occasion de faire ceci", ce qui m'excita de plus belle. Puis elle me suça longuement et je lui caressai les cheveux. Au bout d'une dizaine de minutes, j'éjaculai dans sa bouche, elle ne savait trop que faire et je lui dit d'avaler en lui donnant un mouchoir. Nous allâmes aux toilettes pour nous nettoyer et elle me dit: "qu'ais je donc fait! honte à moi". Je tentais de la consoler en lui disant que nous ne le dirions à personne.
Nous quittâmes donc la séance avant la fin du film et je la raccompagna chez elle en prenant soin de nous garer à quelques rues de sa main afin d'éviter de croiser son mari. Elle me demanda de ne plus nous revoir.
La vie continua donc plusieurs mois chacun de notre côté comme si cette expérience n'avait été qu'un doux rêve qui ne s'était jamais produit.
Mais quelques temps plus tard, je tenais quand même à la revoir et un jour, je sonnais à sa porte. Son mari ouvrit. Il me dit, "ha! tu viens chercher mon fils! il n'est pas là mais il ne devrait pas tarder, rentre!". Je rentrais dans la maison et je vis Ronda, je lui lachais un "Bonjour madame" des plus conventionnels et je la sentis un peu génée.
Alors que son mari était sorti pour faire des courses, elle me dit que son fils ne rentrerait pas avant un long moment. Je m'approchais donc d'elle et lui caressa les cheveux. Elle me repoussa mais je lui dit que je l'aimais. Elle se laissa embrasser et me fit signe de la suivre en haut. Elle se déshabilla. Je lui baissais la culotte et commençais à chercher son trou d'amour avec ma bite que je trouvais très facilement. Je la pénétrais, mon sexe coulissait en elle s'était bon. Nous fîmes l'amour sauvagement et elle me dit qu'elle n'avait jamais connu cela avec son mari qui la délaissait trop souvent.
Nous nous revîmes souvent avec Ronda, avec toujours plus d'amour et d'expériences insolites.
FIN
A l'époque, j'avais tout juste 19 ans et j'étais beau gosse et assez sportif. Non pas que je ne savais pas faire la fête mais disons que j'étais bien équilibré et que je me disais qu'il y avait un temps pour tout. C'était aussi pour cela que les filles m'aimaient bien en général.
A la fac, j'avais pas mal de copains et on allait les uns et chez les autres se chercher pour faire du sport ou pour sortir. A ce moment là je n'avais pas de copine et j'étais assez ouvert pour de nouvelles expériences. Je précise que je j'étais loin d'être un niais en la matière! Un jour, alors que je passais chercher un ami pour aller à une séance de cinéma, je frappais à sa porte et une jolie femme asiatique, qui devait être sa mère, ouvrit. Elle avait l'air vraiment très gentille, distante et douce. Elle appella son fils qui descendit aussitôt. Mon ami me présenta rapidement sa mère et lui demanda si elle voulait venir avec nous à la séance de 15h. Il s'agissait d'un très bon film Hong-Kongais de Wong Kar Wai et il l'encouragea vivement à venir.
Sa mère fut un peu embêtée et surtout génée de devoir sortir avec ces deux grands garçons mais apparemment elle n'avait rien à faire et surtout elle devait aimer le cinéma alors elle se décida et vint avec nous.
Nous prirent ma voiture et nous nous dirigeames donc vers le centre ville. Alors que nous discutions du cinéma asiatique d'avant-garde, je fus vraiment impressionné par la discrète beauté de cette femme qui devait avoir au moins quarantaine-cinq ans. Elle ne parlait pas beaucoup et montrait relativement peu d'expressions sur son visage. Ronda, comme j'appris plus tard son prénom, avait l'air un peu préoccupée comme toutes les mères de la bonne tenue de son foyer laissé derrière elle et aussi un peu perturbée finalement à l'idée de devoir passer un moment avec nous.
Il n'y avait presque personne à cette séance et donc nous rentrâmes directement dans la salle. Mon ami nous offrit le billet et des friandises. Alors que j'observais Ronda, nous prîmes du pop-corn et curieusement ceci avait l'air de l'amuser.
Tout d'un coup le portable de mon ami sonna. Il répondit, discuta un moment puis se tourna vers nous: "Maman, cher ami, je dois absolument vous quitter, j'ai un partiel très important à préparer pour demain et je n'étais pas au courant!". Je fus prêt par solidarité à tout annuler d'autant plus que j'étais assez embêté de devoir rester seul avec sa mère. Sa mère voulait aussi partir mais son fils insista sur le fait qu'il nous avait offert les places.
Mon ami partit et nous restions donc tout seuls avec sa mère et le film commença. Un bon quart d'heure après, alors qu'un siège nous séparait, je lui demanda si elle appréciait le film, elle me répondit quelque chose que je ne compris pas. Il faisait assez sombre et je ne distinguais pas bien son visage, je me rapprochais donc à côté d'elle et je lui fit savoir que je n'avais pas entendu. Nous baignions alors dans une étrange atmosphère, je me sentais bizarre et apparemment elle aussi. Nous étions si proches et une tension un peu bizarre et incontrôlable naissait en moi. Je ne sais pas ce qu'il me prit mais personne ne nous voyait alors je l'embrassai sur la joue. Elle se laissa faire un moment sans bouger comme paralysée: tout devait lui revenir, son mari, ses enfants, son rôle de mère au foyer. Mais j'avoue que j'étais assez doué et il était assez difficile de résister à mes caresses. Peu à peu, son mutisme et son immobilité se transforma, elle commença à vibrer un peu et enfin nous nous embrassâmes.
Alors que nos caresses devenaient plus intenses, je lui glissait ces quelques mots à l'oreille: "oublie-toi, fait comme si tu étais ma petite amie...". Ces mots eurent l'air de l'exciter un peu. Je commençais à faire glisser ma main dans sa culotte et je commençais à la doigter. Je lui dis "tu vois c'est comme ceci que l'on fait avec les filles de notre age". Elle mouillait vraiment beaucoup. Discrètement je portais mon doigt à mon nez et je sentis la plus délicate et délicieuse des odeurs. Nous étions au dernier les rangs et les deux, trois personnes à part nous dans la salle était vraiment loin au premier rang et donc ne nous voyait pas. Mon sexe me faisait mal dans mon slip tellement il était comprimé et je décidai de baisser mon pantalon et mon slip. Mon dard, turgescent, dressait fièrement ses 20cm et exahalait une très forte odeur de musc. Ronda, commença à se rapprocher, hésita et puis pris mon sexe dans sa bouche. Elle se releva un instant vers moi et me dit: "tu sais, je n'ai jamais eu l'occasion de faire ceci", ce qui m'excita de plus belle. Puis elle me suça longuement et je lui caressai les cheveux. Au bout d'une dizaine de minutes, j'éjaculai dans sa bouche, elle ne savait trop que faire et je lui dit d'avaler en lui donnant un mouchoir. Nous allâmes aux toilettes pour nous nettoyer et elle me dit: "qu'ais je donc fait! honte à moi". Je tentais de la consoler en lui disant que nous ne le dirions à personne.
Nous quittâmes donc la séance avant la fin du film et je la raccompagna chez elle en prenant soin de nous garer à quelques rues de sa main afin d'éviter de croiser son mari. Elle me demanda de ne plus nous revoir.
La vie continua donc plusieurs mois chacun de notre côté comme si cette expérience n'avait été qu'un doux rêve qui ne s'était jamais produit.
Mais quelques temps plus tard, je tenais quand même à la revoir et un jour, je sonnais à sa porte. Son mari ouvrit. Il me dit, "ha! tu viens chercher mon fils! il n'est pas là mais il ne devrait pas tarder, rentre!". Je rentrais dans la maison et je vis Ronda, je lui lachais un "Bonjour madame" des plus conventionnels et je la sentis un peu génée.
Alors que son mari était sorti pour faire des courses, elle me dit que son fils ne rentrerait pas avant un long moment. Je m'approchais donc d'elle et lui caressa les cheveux. Elle me repoussa mais je lui dit que je l'aimais. Elle se laissa embrasser et me fit signe de la suivre en haut. Elle se déshabilla. Je lui baissais la culotte et commençais à chercher son trou d'amour avec ma bite que je trouvais très facilement. Je la pénétrais, mon sexe coulissait en elle s'était bon. Nous fîmes l'amour sauvagement et elle me dit qu'elle n'avait jamais connu cela avec son mari qui la délaissait trop souvent.
Nous nous revîmes souvent avec Ronda, avec toujours plus d'amour et d'expériences insolites.
FIN
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