Rose et Clara - histoire érotique

Rose revient après cette absence de presque un an: elle avait du suivre son mari à l’étranger. Bien sur elle préférait la certitude d’un avenir normal plutôt que notre aventure qui risquait de finir sur un échec. Elle reprenait sa vie de tous les jours, avec autant de liberté, tant que son mari de connaissait pas notre liaison scabreuse. Dès que nous nous sommes revus elle m’a poussé à aller aussitôt dans le même petit hôtel où nous avions nos habitudes.
Elle s’est déshabillée rapidement pour montrer que son corps n’avait pas changé. C’est vrai, elle était toujours aussi sexy et bien proportionnée. Rose est venue vers moi pour notre baiser de retrouvaille. Elle embrasse toujours aussi bien, sa langue avait la même saveur. Seule sa transpiration est un peu plus salée. Elle a tenu à sortir elle-même ma queue pour voir simplement si elle n’avait pas changée. Je me suis déshabillé.
Avant de nous coucher, nous sommes restées assis au bord du lit. Il faut passer au confessionnal: Elle a commencé:- Nous sommes partis en avion, dès l’arrivée mon mari a voulu me baiser, tu sais, qu’il aime me baiser et que j’aime quand il me la met. Il ne le fait pas souvent, c’est pour ça, souviens toi que nous sommes amants. Pour une fois il m’a faite fort bien jouir, presque aussi bien que toi. La routine est vite venue: j’ai cherché ailleurs pour retrouver mon équilibre. Je n’ai trouvé personne. Enfin pas d’homme qui me plaise. J’en revenait à me branler trop souvent. Je me suis même fait surprendre par la femme de chambre que nous avions: les salaires bas nous permettaient d’avoir des employés de maison. J’étais allongée sur le lit, nue, ma main sur mon sexe qui caressait mon clitoris. Quand la bonne m’a vue, elle n’a rien dit: elle s’est mise nue pour venir me caresser. J’étais surprise et j’ai accepté qu’elle pose sa bouche sur ma chatte. Je lui ai rendu la pareille. Si tu avais été là, tu en aurai profité: elle aurai voulu que mon mari soit là pour la baiser aussi.
Tous les après midi, vers 15 heures, elle venait pour jouir avec moi. Heureusement que j’avais mon gode, tu sais celui que tu m’a offert l’autre année. Nous pouvions nous baiser, surtout elle qui aimait les queues. Elle aimait que je la suce en 69 pour que je puisse lui mettre le gode là où elle voulait: c’était souvent dans le cul.
J’avais envie d’une vrai bite comme la tienne. C’est elle qui l’a trouvé. C’était celle de son cousin avec qui elle baisait quelques fois. Nous avons baiser en trio. C’était drôlement excitant. J’avais envie de le faire depuis mon départ, puisque tu sais m’offrir une fois une fille.
A la fin je comptais les jours qui nous séparaient.
Enfin nous sommes ensemble, nous pouvons baiser à nouveau ensemble.
Et toi ?
Moi, quand tu es partie je me suis beaucoup branlé avant de trouver un sexe à combler: tu la connais, c’est la femme du maire, Clara. Il est trop occupé pour baisait sa femme normalement, c’est toujours vite, vite: elle est sevré d’orgasme. Nous avons mis plusieurs jours avant de nous accorder. Là elle s’est décoincée. Elle est devenue une adepte du sexe à tout prix. Avec elle je n’ai pas d’interdit: je la baise, je l’encule, nous nous suçons. Elle se met dessous, dessus, même debout. Dès que je lui demande de se branler devant moi, elle est heureuse: elle n’oserai jamais le faire devant son mari. Tu sais je crois que je vais rester son amant, à moins que te ne le veuille pas.
Pourquoi je refuserai que tu jouisse avec une autre du moment que tu me fais toujours jouir. En plus, si elle veut nous pourrons jouer à trois.
Je promet d’en parler.
En attendant nous restons presque immobiles au bord du lit. C’est quand je pose une main sur son genoux qu’enfin pour entamons notre retrouvaille réelle. Elle écarte ses cuisses presque de suite sans attendre que je sois bien haut. Elle prend ma queue pour la branler. Elle n’a pas changé ses habitudes de masturbation. Elle est d’une douceur extrême: elle peut faire durer ce plaisir particulier plusieurs dizaines de minutes alors que d’autre vous expédie ça en mois de temps qu’il faut pour le dire.
Nos bouches sont jointes comme toujours dans les préliminaires. Je la renverse sur le lit au moment où j’arrive dans sa fente. Je ne cherche même pas ou aller: je la connais, elle n’a pas du changer, malgré les rapports lesbiens. Rose est déjà mouillée, trempée, serait le terme exact. Mon doigt glisse sur son bouton. Elle n’a pas changé: elle gémit toujours. Je traine pour ne pas la faire jouir rapidement. Rose a laissé ma bite pour se caresser les seins. Je lui met deux doigts dans la chatte pour arriver au même résultat: un autre orgasme. Je la fait se mettre bien sur le dos, je prends sa mouille et l’étale sur son anus. J’écarte encore plus ses jambes: je pose ma bite sur sa rose noirâtre. Avec ses mains elle écarte ses fesses prêt à mon intrusion dans son cul. J’entre lentement en pensant que depuis presque un an, elle n’a rien eu dans le cul. J’entre très lentement mon gland: quand je sens qu’il a passé le sphincter, je suis libre d’aller au fond d’elle. Elle gémit encore de plus en plus fort. Quand je sens qu’elle lève un peu ses fesses, c’est pour passer une main sur son clitoris. Maintenant qu’elle se branle elle jouit encore plus fort. Elle aime le mélange des deux plaisirs différents. Je sens les spasmes de jouissance autour de ma bite: je ne peux plus me retenir: je lui donne une bonne ration de sperme. Je sors de son cul. Elle me laisse tranquille sans me demander de recommencer:
- Vas baiser la femme du maire, fait la bien jouir et dis lui que je la veux avec nous, nues en baisant.
- D’accord. Tu est une chic fille de me donner l’autorisation d’aller baiser une autre femme.
- C’est pour moi que je le demande pas seulement pour toi.
- Et pour elle?

Je n’ai rendez vous que ce soir avec mon autre compagne, Clara. J’ai envie de la sodomiser puisqu’elle aime ça. Je la branlerai aussi. Et….
Elle est couchée sous moi. Ses jambe croisées autour de mes hanches. Et pourtant je suis dans son cul. Elle se donne à fond. Je lui ai déjà demandé de venir avec moi pour baiser avec une autre maitresse. Il lui tarde de connaitre Rose. J’ai même du lui expliquer que Rose était du genre sensuelle un peu comme elle, qu’elle avait eu une amante à l’étranger. Baiser avec un lesbienne ne lui déplait pas, au contraire. L’expérience ne peut être que bénéfique.
Nous sommes trois dans la chambre, Clara n’ose rien faire à Rose. C’est Rose qui forte de son expérience vient l’embrasser. Je tiens les deux femmes nues dans mes bras. Ma bite se trouve bien placé, entre elles deux. Enfin Clara réagit au baiser. Je veux leur langue à la fois: elles tirent les langues comme je tire la mienne et nous nous caressons ainsi les extrémités des langues hors des bouches. Elles se collent les seins et les pubis. Je vais derrière Clara pour lui mettre ma pine entre les fesses: chez elle c‘est le signal du début du plaisir. J’espère qu’elle fera comme toujours, qu’elle voudra avoir quelque chose dans sa chatte. Elle reçoit deux doigts de Rose dans le vagin. Clara cherche à lui rendre la pareille. Elles se branlent devant moi. J’écarte les fesses de Rose: je sais que je pourrai la sodomiser sans crainte même si elle n’est pas mouillée. Je passe ma queue dans la raie des fesses. Je sens une main de Clara qui m’accompagne. Elle s’aperçoit de la sécheresse su cul de Rose, elle prend beaucoup de salive pour lui mouiller comme il faut l’anus. Je me baisse un peu pour être à la hauteur. Encore Clara qui écarte les fesses de Rose. Je peux entrer dans le cul facilement. Rose se laisse faire plus que facilement: elle a ma bite dans le cul et les doigts de Clara dans sa chatte. Elle ne tient plus sur ses jambes. Nous la maintenons debout jusqu’à ce que je sois au fond de son cul.
Quand je jouis dans le cul de Rose, c’est Clara qui vient à la rescousse: elle me prend dans sa bouche et me met un doigt dans le cul C’est la bouche de Rose qui sur la mienne dépose encore un baiser avec sa langue. Bien sur je bande à nouveau.
Clara qui ne m’a pas eu vient vers moi, me couche sur le lit, s’allonge un peu sur moi, pour finalement m’enjamber et se mettre ma pine dans le cul. Rose l’aide en la branlant et l’embrassant.
Plus tard je sais, parce qu’elles me l’avouent qu’il leur arrive souvent de baiser toutes les deux, comme ça pour le plaisir.