Routiers cocus Libertin
Récit érotique écrit par Reve [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Routiers cocus Libertin
Le routier libertin
RésuméTrahi par sa jeune épouse Elodie, accueilli chez une veuve quadragénaire, Paul, un routier devient l’amant de sa logeuse violette. Il a pris à bord une jeune journaliste et se laisse tenter par les avances de sa passagère Roxane.
Roxane a décidé de m’éblouir. Sans doute afin de se rendre indispensable pour la suite du voyage. Elle veut publier un article sur ma vie de routier et tente d’y ajouter un chapitre sur ce qu’elle nomme des avantages liés au métier en matière de vie sexuelle. Comment les découvrir mieux, sinon par un apport personnel intensif. C’est une collaboratrice intéressée et très dévouée. Elle pourra rédiger un second article à propos des avantages d’une vie de pigiste itinérante qui n’a pas froid aux yeux et libérée, avide de ressentir les feux de l’amour. Cette fille me séduit. En acrobate parfaite elle réussit un demi-tour au-dessus de moi et m’enfourche avec aisance, coince mon bassin entre ses genoux, approche mon pal de ses grandes lèvres gonflées et appuie mon gland sur le capuchon de son clitoris, l’y frotte habilement et tressaille quand s’établit le contact gland contre gland. Hardiment, entre les lèvres externes elle me fait déraper vers l’entrée abondamment lubrifiée de son vagin et s’empale en tourbillonnant sur mon pénis envahi de sang. La sensation formidable de cette descente vers mon pubis m’enivre, je pénètre, perce, écarte les parois engorgées du vagin. Elle s’est embrochée sur ma pique durcie et raide.
Commence le chevauchement. Elle y met un entrain surprenant, une vivacité rare, elle monte et revient, cherche le meilleur angle d’attaque, courbe son dos auquel je m’accroche des deux mains. Ses frémissements tumultueux durent, l’allure ne faiblit pas, elle m’engloutit plus que je ne l’enfile. Sur la couchette étroite je subis l’assaut de ce corps si leste. Jeune pigiste peut-être mais « baiseuse chevronnée ».L’effrontée toujours active me nargue en projetant un sein sur mon visage. Il n’est plus question de froid nocturne dans la cabine. La sueur facilite le glissement des peaux l’une contre l’autre. Le clapotis des sexes remplit l’espace de conduite du camion et nous fait rire en plein effort. Elle souffle, voudrait ralentir. Je la relance, la larde de coups de bite, la serre sur moi, empoigne ses fesses folles, je voudrais la percer, la perforer. Et pour accroître le vent de rage qui nous colle ventre à ventre, je chatouille l’espace entre le bas de sa vulve et sa rose épanouie. Alors elle se déchaîne, se lance dans une course rapide, suspend son envol et s’écroule comme foudroyée sur mes jets de sperme contre son utérus. Nous restons immobiles, apaisés par l’orgasme, étonnés de sa violence.
Roxane s’est détachée de moi, descend sur son siège. Je l’entends bouger discrètement. Elle annonce gentiment-Attends, je vais faire un peu de toilette, c’est indispensable, tu comprends. Repose-toi et prépare-toi pour une suite encore plus exubérante. Je te promets une grosse surprise. Je frapperai contre la porte au retour.
Elle quitte la cabine, referme la porte avec précaution. La journée a été fatigante et les vingt dernières minutes m’ont achevé, je m’endors.
Je me réveille. Le jour se lève; je suis seul. Je m’inquiète, je vais inspecter la station, Roxane a disparu. Je reviens à mon volant. C’est curieux, elle a oublié un mini string, mais son sac a disparu. Mon porte-monnaie aussi. Heureusement, elle ne savait pas où j’avais mes papiers et ma carte de crédit. Je comprends : j’ai eu affaire à une professionnelle. Elle s’est payée. Il faut être pris pour être appris. Le petit souvenir abandonné me rassure, je n’ai pas rêvé, mon plaisir a été réel. Tant pis pour les billets qui ont payé sa prestation de qualité. Elle a su m’endormir avec son enquête, son désir de voyage, le pseudo intérêt pour mon métier. Cela me rappelle une fable célèbre. Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. Mais j’ai reçu mieux qu’un fromage !
Evidemment, une fois suffit.
J’ai retrouvé avec plaisir une Violette plus tendre, presque trop maternelle : on ne fait pas l’amour avec sa mère : nos rapports me semblent équivoques. La bonne maman se transforme en hétaïre quand tombe la nuit. Au moins ne me vole-t-elle pas mon argent. A la différence de Roxane elle a des élans sincères. De plus elle s’empresse de cueillir le plaisir, avec l’appétit de celles qui craignent de le voir s’envoler trop tôt. Je ne lui parle pas de ma mésaventure. Cette première infidélité la peinerait.
Depuis j’ai connu d’autres auto-stoppeuses. Des malhonnêtes, formées au même procédé, ont voulu imiter Roxane, elles ont eu une surprise. Elles ont découvert et volé dans la pénombre de la cabine une vieille bourse qui traînait sous leurs yeux. Après leur départ « pour une indispensable toilette », à l’intérieur elles ont trouvé des photocopies de billets de cinquante euros. Aucune voleuse n’est venue réclamer. Mais rassurez-vous, si toutes n’étaient pas des voleuses, rares étaient celles qui levaient le pouce sans penser à me faire lever ce que vous supposez à raison. J’y ai pris goût, je suis devenu un prédateur à ma façon. Une belle silhouette, jeune de préférence, à l’allure libérée reconnaissable à des vêtements courts ou serrés, une mini-jupe engageante sur des jambes alléchantes : je ne cherchais plus à éviter la tentation. Je me déclarais toujours célibataire, j’attendais l’amour sur la route comme d’autres le cherchent dans le pré à la télé.
Ma sincérité affichée inspire parfois de la compassion, parfois des espoirs, le résultat est toujours le même: la fille profite de mon temps de repos pour me rejoindre sur la couchette, propose une petite gâterie ou me montre de l’intérêt en offrant ingénument la preuve que je peux espérer trouver l’amour. Les ébats suivent, quelles que soient les motivations. Ils sont conduits pour la satisfaction commune. La partie de jambes en l’air, avec ou sans sentiments comble la fille et me rassure sur mon pouvoir de séduction. Trahi par mon épouse, sans comprendre pourquoi, j’attribue à ces amours éphémères un retour à la confiance en moi. Ces rencontres se terminent avantageusement, preuve est faite que je peux être un bon amant. Alors pourquoi Elodie a-t-elle eu besoin de ce satané Amédée ?
Habituellement, par nécessité de discrétion au milieu des autres camions arrêtés sur les parkings, les rapports se déroulent dans le noir ou dans une semi-obscurité. Tantôt je visite le conduit d’une grande cheminée aux jambes qui m’enlacent comme des lianes à ventouses, tantôt j’essouffle une petite grosse aux cuisses dodues. Je suis animé d’envie d’exotisme, je me souviendrai toujours de certaines odeurs fortes et épicées d‘une martiniquaise, ou des petits cris d’une asiatique fort douce qui pleurait là où les autres rient de jubilation.
Il m‘arrive d‘hésiter. Cette jeune fille, par exemple, m’a ému par sa candeur. Elle s‘applique à m’embrasser, reste maladroite. Elle insiste pour que je sois doux, tient à s’allonger sur le dos. Devant ma verge elle a l’air étonnée, me caresse avec embarras. Elle me demande de la prendre. Je tiens à la préparer. La tête calée entre ses cuisses soyeuses je lèche les lèvres où afflue son sang, je décapuchonne un clitoris minuscule de la taille d’un tout minuscule petit pois, j’effleure d’un index curieux les lèvres internes à peine mouillées de son fluide sexuel, je cherche du bout du doigt le passage et me heurte à un obstacle inattendu. Elle m’avoue compter sur moi pour la déflorer. Je lui conseille de garder sa virginité pour un mari ou un fiancé. Elle se met à pleurer.
Je ne sais qui lui a seriné qu’un camionneur est tout indiqué pour ce service. Les légendes sans fondement sont plus tenaces que toutes les bonnes raisons que je puisse objecter. Ses larmes ont raison de mes scrupules. Chaque essai échoue à cause des gémissements de l’impétrante. Je recule, elle cesse de geindre et me demande de persévérer. L’exiguïté de la couchette rend la prise difficile. Pour finir, en levrette je réussis à percer la fine peau : les deux mains fortement ancrées sur ses hanches, avec l’aide de ses doigts qui séparent les chairs de la vulve, je gagne un centimètre et soudain la barrière cède. Le cri de douleur est heureusement couvert par le ronronnement d’un camion qui arrive.
La suite n’est pas gaie. La fille exige une pénétration complète, mais se plaint d’une douleur brûlante. Je m’arrête, recommence, atteins enfin le fond du vagin. Le plaisir escompté par la donzelle fuit. Nous prenons une douche et remontons dans le camion. Plus détendue, heureuse de m’avoir convaincu, Sonia connaît enfin la vague d’un orgasme avare. Désormais elle n’aura plus peur du loup. Ce n’est pas mon meilleur souvenir.
Ainsi donc, sans véritable amour, je répète de plus en plus fréquemment les gestes de l’amour. C’est le sexe pour le sexe. Je collectionne les berlingots comme d’autres collectionnent les timbres, avec le souci de découvrir des variétés nouvelles par leur forme, leur chaleur. Poilues ou rasées, toutes méritent le détour et une attention affectueuse, le respect de préliminaires appliqués et l’application d’un sexe qui donne le plaisir. J’adore les variations de ton et de rythme dans l’expression de l’orgasme, il y a celles qui éclatent bruyamment de joie, celles qui contiennent avec maîtrise des cris quasi inaudibles mais m’étouffent dans leurs bras. Jamais cependant je n’ai recours à la force. Je m’étonne du nombre de femmes qui s’offrent au bord des routes, certaines par besoin d’argent, d‘autres pour le fun. Les volontaires ne manquent pas et je m’estime satisfait et même vengé de mon cocufiage.
Je donne certainement du plaisir à quelques épouses volages. Mais il m’arrive de faire descendre sans courtoisie celles qui se disent ouvertement insatisfaites des maris : elles me rappellent trop les propos d’Elodie ce matin où elle accueillait son amant et le flattait en dénigrant mes insuffisances. Je n’aime pas entendre une femme en goguette, décidée à s’amuser et à prendre du plaisir avec un inconnu, se donner bonne conscience en renvoyant la responsabilité de ses actes sur un mari défaillant. Mes conquêtes détruisent l’acte d’accusation : mes moyens ne sont pas aussi limités qu’Elodie le prétendait alors. Je ressasse encore son discours, il était destiné à booster le désir du coucou installé à ma place mais si injuste et humiliant pour moi. Régulièrement des relents d’amertume m’assaillent et particulièrement lorsqu’une femme entame le même refrain : a-t-elle eu le courage d’en discuter avec son homme avant de se lancer à la recherche d’un amant ? Pourtant je ressens souvent un malaise à passer de l’une à l’autre, et surtout je me sens infidèle à cette dévouée veuve. Violette est toujours disponible, le lien informel qui nous unit mériterait plus de respect. Lors de certains retours je suis trop fatigué pour répondre à son attente de sexe. Elle accuse le poids d’un métier usant pour m‘excuser, ignorant qu’une autre m’a épuisé. Elle se montre alors encore plus attentive, plus affectueuse, attend patiemment le petit miracle de l’orgasme et sème involontairement en moi un remords pesant.
Revenu un peu plus tôt je m’arrête au bar. En buvant un verre avec Charles, inconsolable, pas remis de sa mésaventure conjugale, séparé de sa Charlène à la cuisse légère, pour lui remonter le moral, je lui rappelle le dicton « Une de perdu, dix de retrouvées » et je commets l’imprudence de lui parler de mes dernières aventures. Charles vit avec l’espoir de trouver une femme aimante et fidèle. J’ai l’idée absurde de lui vanter la gentillesse, l’honnêteté à toute épreuve et l’amitié de Violette. Il la connaît de vue.
- J’aimerais avoir une femme comme ta Violette. Tu m’en dis tant de bien. Pourquoi cours-tu après les filles faciles ? Si tu continues tes rencontres furtives tu perdras cette brave Violette.
C’est une remarque pleine de bon sens. La fête foraine est installée sur la place. On danse sous une tente. Je suis attablé devant une bière en face de Violette. Charles se présente, s’invite à côté de moi, attiré par ma charmante compagne. J’ai compris qu’il cultive l’espoir de me remplacer dans le cœur et dans le lit de l’aimable quadragénaire. Il avait épousé une Charlène trop jeune, elle lui avait fait porter des cornes. Une femme mûre, un peu plus âgée que lui serait certainement un meilleur choix. Pourquoi me suis-je vanté devant lui de mes aventures? Tout à coup il devient un candidat sérieux à ma succession. Si par malheur il raconte mes écarts à Violette, elle se détachera de moi. …
Autant organiser ma succession. Je veux épargner à ma chère Violette le choc d’une révélation brutale et la déception de se sentir trahie. Il arrivera un jour où une séparation s’imposera pour les raisons évoquées par elle dès le début de notre relation intime, notamment cette fameuse différence d’âge. Je devrais lui proposer un remplaçant : Charles représente à mes yeux le compagnon idéal : plus âgé que moi, sérieux, travailleur, il aspire à une vie calme dans un foyer solide. Je me réjouis quand il invite Violette à danser. Ils forment un joli couple. Je propose à ma compagne de partager le repas du soir avec notre ami.
La maîtresse de maison prépare le repas. Charles rêve tout éveillé :
- Si ta logeuse m’adoptait, tu garderais ton logement chez elle?
- Eh! Oui, comme ça tu serais assuré de coucher dans son lit chaque nuit. Je te laisserais la place, je vivrais dans ma partie en attendant de trouver mieux ailleurs; parce que ça m’embêterait de devoir de nouveau cuisiner pour moi tout seul. Mais nous n’y sommes pas encore.
Violette nous appelle. -J’ai rallongé la soupe puisque ton ami accepte de partager le repas avec nous.
Charles passe le temps du repas à boire ma maîtresse des yeux, tache sa chemise tant il est distrait. Violette assise à côté de moi pose sa main sur mon genou en signe de possession. On m’appelle au téléphone. C’est Elodie. Comment Elodie a-t-elle obtenu le numéro de mon portable? D’abord surpris je me mets à répondre n’importe quoi. La fantaisie de mon ex ne doit pas troubler la bonne ambiance. Charles et Violette n’ont pas à savoir d’où vient cet appel. J’invente
- Ah! Mon camion a été heurté? J’arrive immédiatement.
Je demande qu’on m’excuse, je prie Charles de terminer son repas et de tenir compagnie à notre hôtesse en attendant mon retour. Elodie doit me croire fou. Son appel me contrarie. Je m’absente, sans intention de rejoindre mon ex. Je laisse à Charles l’occasion de mieux faire connaissance avec Violette. Je leur accorde deux heures, le temps de remplacer une roue de mon 40 tonnes… et me promène sans but, loin du point de rendez-vous.
A mon retour Violette paraît contrariée. Charles semble pressé de s’en aller.
- Tu te rends compte, ton ami, viens de me faire une brûlante déclaration d’amour. Je lui ai dit que mon cœur était déjà pris. Il s’est montré très déçu et nous avons ensuite regardé la télé en silence.
- Ah! C’est… Il faut dire que sa femme l’a quitté. Ne t’offusque pas, c’est un brave garçon, il a besoin d’affection et comme je lui ai parlé de toi en bien il a tenté sa chance. Il faut reconnaître que tu es attirante dans cette robe qui révèle tes formes splendides.
Le compliment me vaut un baiser ardent et une nuit d’amour extraordinaire. Violette se sent désirée, désire plus fort et devient plus désirable. Je suis sur le point de la perdre, elle me devient plus précieuse et je redouble de tendresse. Quand je commence à caresser sa chatte velue, j’ai une surprise : une humidité inhabituelle baigne tout le sexe, elle mouille déjà. Serait-ce le résultat de la présence de Charles et de sa déclaration. Il ne l’a pas laissée indifférente. Elle remarque mon étonnement, reconnaît avoir été émue par ce bonhomme si enthousiaste. Elle est à point et je la pénètre une première fois : il était grand temps de revenir. Elle me berce sur son ventre et me serre très fort, se tend, pose ses talons sur mes épaules. Elle connaît un orgasme fulgurant puis peine à retrouver le calme. Entre deux étreintes, je voudrais savoir si elle pourrait retrouver une vie maritale avec un homme comme Charles. Elle proteste : - Tu es mon seul amour.
Elle me tourne le dos pour une levrette. Ainsi elle me cache ses yeux humides et me présente sa féminité dévoilée.
Quelques jours plus tard Charles est notre invité. Violette me câline, montre clairement sa préférence, se pose sur mes genoux, m’embrasse et embarrasse mon ami. Si elle continue il va se sentir en trop. Afin de détendre l’atmosphère je lance un disque. Après un premier slow j’offre à Charles le plaisir de faire danser notre hôtesse. Le séjour permet d’évoluer. Une règle tacite s’instaure : à chaque changement de morceau, Violette passe des bras de l’un dans ceux de l’autre. Je sens monter son excitation, elle s’accroche de plus en plus à moi, comme si elle craignait de prendre trop de plaisir contre Charles. Mais elle rayonne. Elle aimait tellement danser quand elle était jeune. Hélas son défunt mari ne savait pas. Parfois il la conduisait jusqu’à la salle de danse et revenait la chercher à la fin du bal. Elle dansait avec une amie, se laissait inviter par d’autres hommes. Ce soir nous réveillons un tas de souvenirs enfouis.
-Vous me rendez des plaisirs de jeunesse, je suis heureuse.
Charles est un excellent danseur. Il se réjouit de ce bonheur partagé avec Violette, s’enhardit et multiplie les astuces pour rapprocher les corps, accule sa cavalière au living ou la pousse contre le canapé.
Nous faisons une pause, j’accompagne ma chérie en cuisine pour préparer le dessert. Elle se baisse devant le réfrigérateur. J’envoie une main sous la jupe, mes doigts rencontrent l’entrejambe de sa culotte, le tissu est humide:
- Charles te fait de l’effet, tu mouilles !
- Mais non, c’est toi qui m’excites. Pourquoi insistes-tu ? Charles est un homme plaisant, c’est tout. Si tu le souhaites, je ne danserai plus avec lui.
- Au contraire, aide-le à retrouver un minimum d’assurance avec les femmes, mets-le à l’aise. Je suis sûr que tu m’aimes et je ne serai pas jaloux si tu es gentille avec lui. Par exemple réduis la distance, passe tes mains dans sa nuque ou penche ta tête sur son épaule.
- Si tu le souhaites, je ferai un effort.
RésuméTrahi par sa jeune épouse Elodie, accueilli chez une veuve quadragénaire, Paul, un routier devient l’amant de sa logeuse violette. Il a pris à bord une jeune journaliste et se laisse tenter par les avances de sa passagère Roxane.
Roxane a décidé de m’éblouir. Sans doute afin de se rendre indispensable pour la suite du voyage. Elle veut publier un article sur ma vie de routier et tente d’y ajouter un chapitre sur ce qu’elle nomme des avantages liés au métier en matière de vie sexuelle. Comment les découvrir mieux, sinon par un apport personnel intensif. C’est une collaboratrice intéressée et très dévouée. Elle pourra rédiger un second article à propos des avantages d’une vie de pigiste itinérante qui n’a pas froid aux yeux et libérée, avide de ressentir les feux de l’amour. Cette fille me séduit. En acrobate parfaite elle réussit un demi-tour au-dessus de moi et m’enfourche avec aisance, coince mon bassin entre ses genoux, approche mon pal de ses grandes lèvres gonflées et appuie mon gland sur le capuchon de son clitoris, l’y frotte habilement et tressaille quand s’établit le contact gland contre gland. Hardiment, entre les lèvres externes elle me fait déraper vers l’entrée abondamment lubrifiée de son vagin et s’empale en tourbillonnant sur mon pénis envahi de sang. La sensation formidable de cette descente vers mon pubis m’enivre, je pénètre, perce, écarte les parois engorgées du vagin. Elle s’est embrochée sur ma pique durcie et raide.
Commence le chevauchement. Elle y met un entrain surprenant, une vivacité rare, elle monte et revient, cherche le meilleur angle d’attaque, courbe son dos auquel je m’accroche des deux mains. Ses frémissements tumultueux durent, l’allure ne faiblit pas, elle m’engloutit plus que je ne l’enfile. Sur la couchette étroite je subis l’assaut de ce corps si leste. Jeune pigiste peut-être mais « baiseuse chevronnée ».L’effrontée toujours active me nargue en projetant un sein sur mon visage. Il n’est plus question de froid nocturne dans la cabine. La sueur facilite le glissement des peaux l’une contre l’autre. Le clapotis des sexes remplit l’espace de conduite du camion et nous fait rire en plein effort. Elle souffle, voudrait ralentir. Je la relance, la larde de coups de bite, la serre sur moi, empoigne ses fesses folles, je voudrais la percer, la perforer. Et pour accroître le vent de rage qui nous colle ventre à ventre, je chatouille l’espace entre le bas de sa vulve et sa rose épanouie. Alors elle se déchaîne, se lance dans une course rapide, suspend son envol et s’écroule comme foudroyée sur mes jets de sperme contre son utérus. Nous restons immobiles, apaisés par l’orgasme, étonnés de sa violence.
Roxane s’est détachée de moi, descend sur son siège. Je l’entends bouger discrètement. Elle annonce gentiment-Attends, je vais faire un peu de toilette, c’est indispensable, tu comprends. Repose-toi et prépare-toi pour une suite encore plus exubérante. Je te promets une grosse surprise. Je frapperai contre la porte au retour.
Elle quitte la cabine, referme la porte avec précaution. La journée a été fatigante et les vingt dernières minutes m’ont achevé, je m’endors.
Je me réveille. Le jour se lève; je suis seul. Je m’inquiète, je vais inspecter la station, Roxane a disparu. Je reviens à mon volant. C’est curieux, elle a oublié un mini string, mais son sac a disparu. Mon porte-monnaie aussi. Heureusement, elle ne savait pas où j’avais mes papiers et ma carte de crédit. Je comprends : j’ai eu affaire à une professionnelle. Elle s’est payée. Il faut être pris pour être appris. Le petit souvenir abandonné me rassure, je n’ai pas rêvé, mon plaisir a été réel. Tant pis pour les billets qui ont payé sa prestation de qualité. Elle a su m’endormir avec son enquête, son désir de voyage, le pseudo intérêt pour mon métier. Cela me rappelle une fable célèbre. Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. Mais j’ai reçu mieux qu’un fromage !
Evidemment, une fois suffit.
J’ai retrouvé avec plaisir une Violette plus tendre, presque trop maternelle : on ne fait pas l’amour avec sa mère : nos rapports me semblent équivoques. La bonne maman se transforme en hétaïre quand tombe la nuit. Au moins ne me vole-t-elle pas mon argent. A la différence de Roxane elle a des élans sincères. De plus elle s’empresse de cueillir le plaisir, avec l’appétit de celles qui craignent de le voir s’envoler trop tôt. Je ne lui parle pas de ma mésaventure. Cette première infidélité la peinerait.
Depuis j’ai connu d’autres auto-stoppeuses. Des malhonnêtes, formées au même procédé, ont voulu imiter Roxane, elles ont eu une surprise. Elles ont découvert et volé dans la pénombre de la cabine une vieille bourse qui traînait sous leurs yeux. Après leur départ « pour une indispensable toilette », à l’intérieur elles ont trouvé des photocopies de billets de cinquante euros. Aucune voleuse n’est venue réclamer. Mais rassurez-vous, si toutes n’étaient pas des voleuses, rares étaient celles qui levaient le pouce sans penser à me faire lever ce que vous supposez à raison. J’y ai pris goût, je suis devenu un prédateur à ma façon. Une belle silhouette, jeune de préférence, à l’allure libérée reconnaissable à des vêtements courts ou serrés, une mini-jupe engageante sur des jambes alléchantes : je ne cherchais plus à éviter la tentation. Je me déclarais toujours célibataire, j’attendais l’amour sur la route comme d’autres le cherchent dans le pré à la télé.
Ma sincérité affichée inspire parfois de la compassion, parfois des espoirs, le résultat est toujours le même: la fille profite de mon temps de repos pour me rejoindre sur la couchette, propose une petite gâterie ou me montre de l’intérêt en offrant ingénument la preuve que je peux espérer trouver l’amour. Les ébats suivent, quelles que soient les motivations. Ils sont conduits pour la satisfaction commune. La partie de jambes en l’air, avec ou sans sentiments comble la fille et me rassure sur mon pouvoir de séduction. Trahi par mon épouse, sans comprendre pourquoi, j’attribue à ces amours éphémères un retour à la confiance en moi. Ces rencontres se terminent avantageusement, preuve est faite que je peux être un bon amant. Alors pourquoi Elodie a-t-elle eu besoin de ce satané Amédée ?
Habituellement, par nécessité de discrétion au milieu des autres camions arrêtés sur les parkings, les rapports se déroulent dans le noir ou dans une semi-obscurité. Tantôt je visite le conduit d’une grande cheminée aux jambes qui m’enlacent comme des lianes à ventouses, tantôt j’essouffle une petite grosse aux cuisses dodues. Je suis animé d’envie d’exotisme, je me souviendrai toujours de certaines odeurs fortes et épicées d‘une martiniquaise, ou des petits cris d’une asiatique fort douce qui pleurait là où les autres rient de jubilation.
Il m‘arrive d‘hésiter. Cette jeune fille, par exemple, m’a ému par sa candeur. Elle s‘applique à m’embrasser, reste maladroite. Elle insiste pour que je sois doux, tient à s’allonger sur le dos. Devant ma verge elle a l’air étonnée, me caresse avec embarras. Elle me demande de la prendre. Je tiens à la préparer. La tête calée entre ses cuisses soyeuses je lèche les lèvres où afflue son sang, je décapuchonne un clitoris minuscule de la taille d’un tout minuscule petit pois, j’effleure d’un index curieux les lèvres internes à peine mouillées de son fluide sexuel, je cherche du bout du doigt le passage et me heurte à un obstacle inattendu. Elle m’avoue compter sur moi pour la déflorer. Je lui conseille de garder sa virginité pour un mari ou un fiancé. Elle se met à pleurer.
Je ne sais qui lui a seriné qu’un camionneur est tout indiqué pour ce service. Les légendes sans fondement sont plus tenaces que toutes les bonnes raisons que je puisse objecter. Ses larmes ont raison de mes scrupules. Chaque essai échoue à cause des gémissements de l’impétrante. Je recule, elle cesse de geindre et me demande de persévérer. L’exiguïté de la couchette rend la prise difficile. Pour finir, en levrette je réussis à percer la fine peau : les deux mains fortement ancrées sur ses hanches, avec l’aide de ses doigts qui séparent les chairs de la vulve, je gagne un centimètre et soudain la barrière cède. Le cri de douleur est heureusement couvert par le ronronnement d’un camion qui arrive.
La suite n’est pas gaie. La fille exige une pénétration complète, mais se plaint d’une douleur brûlante. Je m’arrête, recommence, atteins enfin le fond du vagin. Le plaisir escompté par la donzelle fuit. Nous prenons une douche et remontons dans le camion. Plus détendue, heureuse de m’avoir convaincu, Sonia connaît enfin la vague d’un orgasme avare. Désormais elle n’aura plus peur du loup. Ce n’est pas mon meilleur souvenir.
Ainsi donc, sans véritable amour, je répète de plus en plus fréquemment les gestes de l’amour. C’est le sexe pour le sexe. Je collectionne les berlingots comme d’autres collectionnent les timbres, avec le souci de découvrir des variétés nouvelles par leur forme, leur chaleur. Poilues ou rasées, toutes méritent le détour et une attention affectueuse, le respect de préliminaires appliqués et l’application d’un sexe qui donne le plaisir. J’adore les variations de ton et de rythme dans l’expression de l’orgasme, il y a celles qui éclatent bruyamment de joie, celles qui contiennent avec maîtrise des cris quasi inaudibles mais m’étouffent dans leurs bras. Jamais cependant je n’ai recours à la force. Je m’étonne du nombre de femmes qui s’offrent au bord des routes, certaines par besoin d’argent, d‘autres pour le fun. Les volontaires ne manquent pas et je m’estime satisfait et même vengé de mon cocufiage.
Je donne certainement du plaisir à quelques épouses volages. Mais il m’arrive de faire descendre sans courtoisie celles qui se disent ouvertement insatisfaites des maris : elles me rappellent trop les propos d’Elodie ce matin où elle accueillait son amant et le flattait en dénigrant mes insuffisances. Je n’aime pas entendre une femme en goguette, décidée à s’amuser et à prendre du plaisir avec un inconnu, se donner bonne conscience en renvoyant la responsabilité de ses actes sur un mari défaillant. Mes conquêtes détruisent l’acte d’accusation : mes moyens ne sont pas aussi limités qu’Elodie le prétendait alors. Je ressasse encore son discours, il était destiné à booster le désir du coucou installé à ma place mais si injuste et humiliant pour moi. Régulièrement des relents d’amertume m’assaillent et particulièrement lorsqu’une femme entame le même refrain : a-t-elle eu le courage d’en discuter avec son homme avant de se lancer à la recherche d’un amant ? Pourtant je ressens souvent un malaise à passer de l’une à l’autre, et surtout je me sens infidèle à cette dévouée veuve. Violette est toujours disponible, le lien informel qui nous unit mériterait plus de respect. Lors de certains retours je suis trop fatigué pour répondre à son attente de sexe. Elle accuse le poids d’un métier usant pour m‘excuser, ignorant qu’une autre m’a épuisé. Elle se montre alors encore plus attentive, plus affectueuse, attend patiemment le petit miracle de l’orgasme et sème involontairement en moi un remords pesant.
Revenu un peu plus tôt je m’arrête au bar. En buvant un verre avec Charles, inconsolable, pas remis de sa mésaventure conjugale, séparé de sa Charlène à la cuisse légère, pour lui remonter le moral, je lui rappelle le dicton « Une de perdu, dix de retrouvées » et je commets l’imprudence de lui parler de mes dernières aventures. Charles vit avec l’espoir de trouver une femme aimante et fidèle. J’ai l’idée absurde de lui vanter la gentillesse, l’honnêteté à toute épreuve et l’amitié de Violette. Il la connaît de vue.
- J’aimerais avoir une femme comme ta Violette. Tu m’en dis tant de bien. Pourquoi cours-tu après les filles faciles ? Si tu continues tes rencontres furtives tu perdras cette brave Violette.
C’est une remarque pleine de bon sens. La fête foraine est installée sur la place. On danse sous une tente. Je suis attablé devant une bière en face de Violette. Charles se présente, s’invite à côté de moi, attiré par ma charmante compagne. J’ai compris qu’il cultive l’espoir de me remplacer dans le cœur et dans le lit de l’aimable quadragénaire. Il avait épousé une Charlène trop jeune, elle lui avait fait porter des cornes. Une femme mûre, un peu plus âgée que lui serait certainement un meilleur choix. Pourquoi me suis-je vanté devant lui de mes aventures? Tout à coup il devient un candidat sérieux à ma succession. Si par malheur il raconte mes écarts à Violette, elle se détachera de moi. …
Autant organiser ma succession. Je veux épargner à ma chère Violette le choc d’une révélation brutale et la déception de se sentir trahie. Il arrivera un jour où une séparation s’imposera pour les raisons évoquées par elle dès le début de notre relation intime, notamment cette fameuse différence d’âge. Je devrais lui proposer un remplaçant : Charles représente à mes yeux le compagnon idéal : plus âgé que moi, sérieux, travailleur, il aspire à une vie calme dans un foyer solide. Je me réjouis quand il invite Violette à danser. Ils forment un joli couple. Je propose à ma compagne de partager le repas du soir avec notre ami.
La maîtresse de maison prépare le repas. Charles rêve tout éveillé :
- Si ta logeuse m’adoptait, tu garderais ton logement chez elle?
- Eh! Oui, comme ça tu serais assuré de coucher dans son lit chaque nuit. Je te laisserais la place, je vivrais dans ma partie en attendant de trouver mieux ailleurs; parce que ça m’embêterait de devoir de nouveau cuisiner pour moi tout seul. Mais nous n’y sommes pas encore.
Violette nous appelle. -J’ai rallongé la soupe puisque ton ami accepte de partager le repas avec nous.
Charles passe le temps du repas à boire ma maîtresse des yeux, tache sa chemise tant il est distrait. Violette assise à côté de moi pose sa main sur mon genou en signe de possession. On m’appelle au téléphone. C’est Elodie. Comment Elodie a-t-elle obtenu le numéro de mon portable? D’abord surpris je me mets à répondre n’importe quoi. La fantaisie de mon ex ne doit pas troubler la bonne ambiance. Charles et Violette n’ont pas à savoir d’où vient cet appel. J’invente
- Ah! Mon camion a été heurté? J’arrive immédiatement.
Je demande qu’on m’excuse, je prie Charles de terminer son repas et de tenir compagnie à notre hôtesse en attendant mon retour. Elodie doit me croire fou. Son appel me contrarie. Je m’absente, sans intention de rejoindre mon ex. Je laisse à Charles l’occasion de mieux faire connaissance avec Violette. Je leur accorde deux heures, le temps de remplacer une roue de mon 40 tonnes… et me promène sans but, loin du point de rendez-vous.
A mon retour Violette paraît contrariée. Charles semble pressé de s’en aller.
- Tu te rends compte, ton ami, viens de me faire une brûlante déclaration d’amour. Je lui ai dit que mon cœur était déjà pris. Il s’est montré très déçu et nous avons ensuite regardé la télé en silence.
- Ah! C’est… Il faut dire que sa femme l’a quitté. Ne t’offusque pas, c’est un brave garçon, il a besoin d’affection et comme je lui ai parlé de toi en bien il a tenté sa chance. Il faut reconnaître que tu es attirante dans cette robe qui révèle tes formes splendides.
Le compliment me vaut un baiser ardent et une nuit d’amour extraordinaire. Violette se sent désirée, désire plus fort et devient plus désirable. Je suis sur le point de la perdre, elle me devient plus précieuse et je redouble de tendresse. Quand je commence à caresser sa chatte velue, j’ai une surprise : une humidité inhabituelle baigne tout le sexe, elle mouille déjà. Serait-ce le résultat de la présence de Charles et de sa déclaration. Il ne l’a pas laissée indifférente. Elle remarque mon étonnement, reconnaît avoir été émue par ce bonhomme si enthousiaste. Elle est à point et je la pénètre une première fois : il était grand temps de revenir. Elle me berce sur son ventre et me serre très fort, se tend, pose ses talons sur mes épaules. Elle connaît un orgasme fulgurant puis peine à retrouver le calme. Entre deux étreintes, je voudrais savoir si elle pourrait retrouver une vie maritale avec un homme comme Charles. Elle proteste : - Tu es mon seul amour.
Elle me tourne le dos pour une levrette. Ainsi elle me cache ses yeux humides et me présente sa féminité dévoilée.
Quelques jours plus tard Charles est notre invité. Violette me câline, montre clairement sa préférence, se pose sur mes genoux, m’embrasse et embarrasse mon ami. Si elle continue il va se sentir en trop. Afin de détendre l’atmosphère je lance un disque. Après un premier slow j’offre à Charles le plaisir de faire danser notre hôtesse. Le séjour permet d’évoluer. Une règle tacite s’instaure : à chaque changement de morceau, Violette passe des bras de l’un dans ceux de l’autre. Je sens monter son excitation, elle s’accroche de plus en plus à moi, comme si elle craignait de prendre trop de plaisir contre Charles. Mais elle rayonne. Elle aimait tellement danser quand elle était jeune. Hélas son défunt mari ne savait pas. Parfois il la conduisait jusqu’à la salle de danse et revenait la chercher à la fin du bal. Elle dansait avec une amie, se laissait inviter par d’autres hommes. Ce soir nous réveillons un tas de souvenirs enfouis.
-Vous me rendez des plaisirs de jeunesse, je suis heureuse.
Charles est un excellent danseur. Il se réjouit de ce bonheur partagé avec Violette, s’enhardit et multiplie les astuces pour rapprocher les corps, accule sa cavalière au living ou la pousse contre le canapé.
Nous faisons une pause, j’accompagne ma chérie en cuisine pour préparer le dessert. Elle se baisse devant le réfrigérateur. J’envoie une main sous la jupe, mes doigts rencontrent l’entrejambe de sa culotte, le tissu est humide:
- Charles te fait de l’effet, tu mouilles !
- Mais non, c’est toi qui m’excites. Pourquoi insistes-tu ? Charles est un homme plaisant, c’est tout. Si tu le souhaites, je ne danserai plus avec lui.
- Au contraire, aide-le à retrouver un minimum d’assurance avec les femmes, mets-le à l’aise. Je suis sûr que tu m’aimes et je ne serai pas jaloux si tu es gentille avec lui. Par exemple réduis la distance, passe tes mains dans sa nuque ou penche ta tête sur son épaule.
- Si tu le souhaites, je ferai un effort.
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