Rugbywomen’s Club de La Fistinière
Récit érotique écrit par Cplang16 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-01-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Rugbywomen’s Club de La Fistinière
Marcel nous invite Sophie, mes filles, Mélissa, Mélina et Julia à venir voir un match de rugby où ses poulains combattent.
Il veut nous parler d'une idée qui lui est passée par la tête pour dynamiser et féminiser le Club où il manage des jeunes. Je m’inquiète de ses idées toujours un peu tordues mais nous nous rendons toutes au rendez-vous.
Nous assistons au match et quand les joueurs sont au vestiaire, Marcel en profite pour nous parler de son projet, avec mon mari. Il nous emmène dans les vestiaires où les joueurs sont tous nus en train de prendre leurs douches. Nous n'avons d'yeux que pour ces beaux mecs musclé à poil, mais Marcel, comme si de rien était, commence à nous expliquer son idée.
« Voilà les filles, j'ai envie de former un club avec des salopes comme vous. On appellerait votre équipe de rugby féminin « Rugbywomen’s Club de La Fistinière ». Je serai votre coach.
Le Président en serait ton mari Annie. Les soigneurs, Kinés et tout le staff seraient composé de Jo, William, Tom, Ric et Mitch qui eux même seraient libres d'inviter leurs amis. Vous joueriez contre des équipes masculines et féminines à poil.
Le bureau va se charger de créer une association de supporter et nous planifierons vos entraînements. Qu'en dites vous mes femelles préférées ?.
Un silence de mort règne dans le vestiaire suite à cette déclaration. Nous nous regardons les unes, les autres dubitatives. Les jeunes joueurs nus on entendus le discours et semblent très intéressés par notre réponse.
Leur capitaine lance même en blaguant :
« On veut bien vous servir de soigneurs les filles ! »
Certaines comme Sophie et moi, sommes partantes mais où un tel projet risque-t-il de nous entraîner. Sophie prend la première la parole :
« Heu... Oui votre projet est plutôt ambitieux et il n'est pas pour nous déplaire. Et je propose Annie, comme Annie vient de subir un stage de dressage poussé, je pense, et je parle aussi pour les filles, qu'elle est la plus apte à être notre Capitaine. »
Jean tape dans les mains et approuve la décision en disant :
« L'affaire est rondement mené. Fêtons ça avec l'équipe ! Au boulot les filles ! Sucez-nous et que le sperme coule à flot ! »
Il ne faut pas le dire deux fois aux joueurs qui nous sautent dessus la bite à la main. Bon gré, mal gré, nous nous affairons plutôt joyeusement à satisfaire nos mâles. Quelques minutes plus tard, les verges commencent à nous arroser de leurs jus ! On avale, on en prend sur la figure et tout ce petit microcosme d’obsédé sexuel se met à rire de bon cœur.
On va tous sous la douche en rigolant et en jouant comme des gamins. Mais si les hommes ont joui, nous avons pris du plaisir à les sucer mais le feu mouronne au creux de nos ventres. Rapidement nos caresses entre filles deviennent plus appuyées. Mélina et Julia s'occupe bien de moi. J'ai l'impression que leurs bouches et leurs mains sont partout à la foi.
«Putain, vous m'excitez comme des folles mes salopes ! »
C'est chaud, torride, les autres filles sont également chauffées à mort et les mâles nous contemplent avec un plaisir non dissimulé. Savourant le délice de ce piège, je partage des baisés avec les lèvres assoiffées de mes partenaires. Des langues descendent en sillon humide jusqu'à la vallée de mes seins et agressent agréablement mes tétons dressés de plaisir.
Les seins d'Isa se présentent à mes lèvres. Je me mets à les lécher et les titille de la pointe de ma langue, en fait le tour, les énerve à nouveau avant de les déguster tels des fruits savoureux dont je me délecte avec un plaisir intense. Je me laisse entraîner dans ce tourbillon de sensation et couine comme une gamine.
Nous ne savons plus qui branle qui, qui lèche qui. Nous ne sommes qu'une masse de femelles enchevêtrées se tortillant sous tous ces délices. Nous ne nous préoccupons peu du groupe de mâles qui se délectent du spectacle. Nous entendons dans nos délires des bouchons de champagne qui pètent. Les mecs boivent quelques lampées et nous arrosent avec.
Nous nous mettons alors à laper le précieux nectar qui sur nos corps en fusion nous arrache des cris de plaisir. Certains de mâles présents se saisissent des bouteilles vides pour nous les fourrer dans le cul ou dans la chatte. C'est le déclenchement d'une multitude d'orgasmes qui nous laissent anéanties sur le carrelage.
Allongées à même le carrelage, enchevêtrées les unes dans les autres, nous reprenons nos esprits, anéantie par de tels orgasmes. Les jeunes joueurs voudraient bien remettre le couvert mais Marcel et Jean les virent de la douche en leurs disant qu'ils auront bien d'autres occasions de s'occuper de nous s'ils jouent bien.
Nous nous séchons aidés de Jean et de Marcel qui en profitent pour fouiller quelques chattes ou sucer quelques seins au passage. Avant d'aller nous rhabiller, il n'en faut pas beaucoup plus pour que mes deux filles dans leur jeunesse éclatante vident les couilles de nos deux Maître et dirigeant.
Après cette première réunion de Club, Nous rentrons chez nous chacune de notre côté. Jean insiste pour que Sophie passe prendre un verre chez-nous. Elle accepte avec plaisir.
Arrivés chez-nous, Jean nous sert du champagne en nous félicitant de notre initiative et de ma nomination comme Capitaine de l'équipe des femelles de La Fistinière. Comme il se doit nous honorons de nos bouches le Président du Club et trop épuisée par ces événements, nous partons nous coucher.
Après s'être assoupies deux petites heures, Sophie s'éveille. Elle se colle à moi et embrasse ma nuque. Je me tends à ce baiser. Elle remonte jusqu'au lobe de mon oreille qu'elle se met à mordiller. Sensible à cette caresse, je me retourne et me met à califourchon sur elle pour lui dévorer la bouche. Nos langues jouent un ballet sensuel. Ma bouche quitte ses lèvres pour descendre vers ses seins dont je mordille les tétons au passage et termine la tête entre ses cuisses.
« Ouiii.... Bouffe-moi la chatte ! Dévore-moi Capitaine ! » Je joue son jeu et lui réponds : « Si tu m'cherches, tu vas m'trouver ! » Avant de lui dévorer la chatte comme elle me le demande, je place mon bassin entre les cuisses de Sophie et pubis contre pubis, chatte trempée contre chatte trempée, clito dardé contre clito dardé, nous entamons des ondulations du bassin en frottant de plus en plus furieusement nos inimitées.
L'excitation grandissante, je quitte cette position pour maintenant lui dévorer le minou dégoulinant de cyprine. Nous sommes toutes les deux dans un tel état d'extase que nous entrons dans une sorte de transe sexuelle qui nous transporte vers le nirvana du sexe.
Sophie prend l'initiative et en un coup de rein nous voilà à nous gouiner dans un divin 69 d'enfer. L’excitation est à son comble. Nous jouissons intensément dans un orgasme commun qui nous entraîne dans un tourbillon de plaisir. Nos hurlements ont attiré Jean qui entre dans la chambre pour se faire plaisir à admirer l'apothéose de ses deux salopes.
Ivres de plaisir mais encore assoiffées de sexe, nous présentons nos culs à mon mari qui ne se fait pas prier pour se servir. Sachant que Sophie adore se faire sodomiser, il commence par elle en la pourfendant d'un coup, lui arrachant un cri de douleur et de surprise. Pendant qu'il la sodomise, il fouille activement ma chatte baveuse.
« Vous êtes des putes insatiables ! J'ai hâte d'arriver au premier match avec les jeunes du Club. Dans une semaine, il faudra que ton équipe fasse des étincelles sur le terrain ma chérie ! »
Jean, comme par jeu, passe du cul de Sophie à ma chatte alternativement sans oublier de nous claquer les fesses au passage. Sophie et moi sommes entre plaisir et jeu jouissif extrême. Nous nous embrassons fougueusement pendant que Jean nous bourre avec une ferveur de plus en plus brutale. A un tel rythme, il ne tarde pas à jouir et nous nous retournons rapidement pour déguster son précieux liquide tout en gloussant comme des pintades.
« Ha ! Vous êtes vraiment de bonnes vides couilles. Vous allez faire une sacré équipe de salopes au Rugby ! Venez dans la salle de bain. J'ai envie de pisser.»
Encore sous notre excitation, nous allons dans la baignoire et Jean se met à nous pisser dessus. Toujours aussi salope, Sophie va jusqu'à prendre sa queue dans la bouche pour mieux profiter de cette douche dorée.
Après une pause pour faire redescendre l'adrénaline, nous prenons tout les trois une bonne douche, chaleureuse et sensuelle.
Le grand jour est arrivé. Nous devons faire un match avec l'équipe de jeune du Club de rugby. Ça va être le moment de prouver nos qualités sportives et faire éclater toute notre féminité sur le terrain. Je passe chercher Sophie chez elle. Je frappe à sa porte déjà toute excitée de ce qui nous attend au stade.
Elle m'ouvre, et je m'aperçois qu'elle est nue. Surprise et un peu agacée je lui dis d'un ton sec :
« Tu n'est pas encore prête ? Tu veux sortir comme ça ? On va être en retard pour notre première prestation et le staff ne va pas être content. On risque la punition à cause de toi ! ».
A ma surprise, elle me répond sur un ton sensuel : « Et alors ? Ça ne ferait que pimenter le match ! ». Elle me fait entrer, referme la porte et en glissant sa main sous ma jupette, elle me dit : « T'es resplendissante ma chérie aujourd'hui. ».
Elle sait qu'elle me fait craquer et que je ne mets pas longtemps à être excité avec elle. Même si je savais qu'on risquait d'être en retard et attirer le courroux du staff, inconsciemment, je suis heureuse d'un tel accueil et je commence à mouiller. Cependant je reste encore un peu crispée.
Lorsqu'elle commence à déboutonner mon chemisier, je ne peux m'empêcher de répondre à ses avances et caresse ses adorables seins. Totalement nue devant moi, tout en me dénudant, elle se met à genoux lèche la cuisse en remontant vers mon entrejambe.
J'ouvre largement mes cuisses pour lui laisser le libre accès à mon coquillage qui perle déjà de ma rosée féminine. De sa langue, elle pénètre tendrement mes petites lèvres et se met à aspirer mon clito si sensible. Je ne pense plus à notre rendez-vous et nous entamons un 69. Nos corps agités font monter notre plaisir vers l'extase.
Pendant un bon moment, nous jouons ensemble sans faire attention à l'heure. Dans un instant de lucidité, je m'aperçois que nous sommes en retard d'une heure sur notre rendez-vous.
« Merde ! T'as vu l'heure ? Allez ouste ! On y va sinon on va manger chérie ! »
Je récupère mes vêtements à la hâte sans remettre mon string et mon soutif et Sophie en fait de même de son côté en gloussant : « Je pense qu'on va être très sollicitées tout à l'heure ! »
Nous partons rapidement avec l'espoir de ne pas être les seules en retard. Comme nous marchons vite, la jupe de Sophie remonte trop haut et dévoile au passant son intimité. Je pense que je dois être dans le même cas mais ne m'en inquiète pas désirant arriver au plus vite au stade.
Finalement, nous arrivons au stade et filons vers les vestiaires où nous attendent impatient tout le staff et les joueurs. Marcel et Jean s'approchent de nous en nous invectivant sévèrement.
Sophie tente de gérer le coup. « Écoutez, le mecs, on voulait pas …... »
Elle se prend une gifle et d'un tour de main Jean lui arrache ses vêtements.
Marcel en fait de même avec moi et d'un air courroucé me lance :
« Pour une Capitaine c'est pas malin ! On a été obligé d'annuler le match ! Maintenant vous allez payer pour ça ! En compensation, nous allons nous amuser avec vous deux. Vous rendez-vous compte que pour faire patienter nos gars, votre équipe de salopes a été obligée de donner de leurs corps aux jeunes ? »
Quatre jeunes black se joignent au coach et au Président pour commencer à nous bourrer sauvagement en nous défonçant par tous les trous. Ensuite c'est tout le staff et le reste de l'équipe masculine qui nous passent dessus.
Nous avalons du sperme à flot. Ils se servent de nous comme vides couilles pendant que nos copines se gouinent dans le coin du vestiaire.
Puis une fois qu'ils ont bien abusés de nous, ils nous attachent aux poteaux de but et font des tirs au but sur nous. Nous les supplions d'arrêter mais rien y fait. Au bout d'un moment, meurtries, anéanties, Marcel et Jean nous détachent en nous disant :
« Que ça vous serve de leçon ! La prochaine fois, vous serez à l'heure à l'entraînement ! »
Le staff s'est réuni et souhaite organiser une séance de shooting photo pour mettre en avant notre nouvelle équipe des Rugbywomen’s Club de La Fistinière.
Un photographe de renom est commandité pour immortaliser notre équipe dans des positions plus sexy les unes que les autres. Cette série devra être publiée dans un magazine de sport et diffusé sur le net. Une idée de calendrier est aussi évoquée.
Marcel et Jean nous briefent en nous recommandant d'être les plus salopes possible et que nous n'avons pas le droit à l’erreur. J'avoue qu'en tant que Capitaine, je suis super stressée au milieu des assistants,
Le jour du shooting, nous voilà toutes nues dans les vestiaires au milieu des assistants, attachées de presse, du photographe et bien entendu du staff et des rugbymen du Club. Des maquilleuses s'occupent de nous et je ne sais plus trop dans cette effervescence où donner de la tête, prise dans le tourbillon des événements.
Comme nous sommes franchement très nerveuses, le photographe, très pro parvient à nous détendre et même nous faire rire.
J'avais déjà fait des séances photos auparavant mais jamais d'une telle ampleur. Grâce au photographe et la complicité qui nous unie dans l'équipe, la séance se déroule dans une ambiance pour le moins sensuelle. Tout en essayant de garder un maximum de professionnalisme, je remarque que Fred le photographe, est rapidement sous le charme de notre sensualité.
Nous nous détendons rapidement et devenons très exhibitionnisme devant ce parterre qui nous observe comme des bêtes curieuses. Les poses individuelles ou collectives se succèdent de plus en plus suggestives. L'excitation nous gagne. Une maquilleuse au moment d'une retouche me confie : « J'admire vos seins et vos tétons qui darde me font mouiller. »
Si elle savait que mon sexe est également complètement trempé. Fred, avec les gros plans, le sait bien. Son œil avisé de pro ne ratent rien des tentions sexuels qui nous envahisses. Malgré son professionnalisme, je remarque bien son érection comprimée dans son jean trop étroit. Pour calmer le jeu, nous passons aux photos en extérieur. Photos de groupe, assises sur le ballon ovale comme pour le faire pénétrer, langue le léchant comme si c'était une bite, tout y passe.
Voilà déjà deux heures que la séance photo dure. Jean et Marcel propose une pose autour d'un verre de champagne et en profite pour discuter avec le photographe d'autre forme de pose plus poussée avec ses jeunes pour montrer la cohésion du groupe. Fred nous regarde, regarde les jeunes rugbymen et déjà il échafaude les possibilités de shooting entre l'équipe masculine et féminine.
A ce moment, je sais que le shooting va passer à l'orgie. C'est vrai qu'excitée comme nous sommes toutes, nous ne pensons maintenant qu'à une seule chose, pas faire une autre séance photo, mais bien ce faire culbuter par ce photographe, son équipe d’assistance, notre staff ou bien les joueurs, mais peu importe qui.
La seule envie que nous avons désormais c'est de nous prendre des queues. J'ai envie de leur hurler : « Culbutez-moi ! Prenez-moi là tout de suite ! Baisez-nous sauvagement ! »
Mais je laisse notre coach, notre Président et le photographe mener notre barque. La séance recommence et cette foi on entre dans l'action avec les mecs du Club.
Avec son appareil, il ne perd pas une miette des scènes. Son équipe nous dirige et les poses sont de plus en plus pornos. Fred nous photographie sous tous les angles.
« Vous êtes vraiment trop bonnes bande de salopes ! Je n’ai jamais fait un shooting aussi chaud ! Avec des chiennes comme vous, ça va être le shooting ultime ! »
Jean me lance : « Pendant que tu suce Henry et te fait prendre par Ric, tripote-toi les mamelles ! Oui c'est ça c'est bien continue comme ça ! ». Je suis ses consignes à la lettre. Sophie se fait démonter par les attachés de presse et mes filles se frottent le pubis entre elles en suçant des joueurs.
Fred, le photographe a du mal à contenir ses envies de participer à la bataille qui se déroule sous son objectif. On se fait traiter de putes, de salopes, de chiennes et on aime ça. Nous ne sommes maintenant que des tigresses en mal de mâles. Nous sommes décidées à faire tout ce que nous pouvons pour satisfaire ces mecs et aussi les maquilleuses qui se joignent à nous.
Fred n'en peut plus. Il sort sa queue qui est dure comme une barre de fer et se jette sur la première bouche disponible. C'est Mélissa qui bénéficie de cette verge rageuse qu'elle ne se fait pas prier pour la prendre en bouche.
La situation est complètement folle. Le shooting débute en orgie générale. On se prend des queues et des chattes de tout côté. C’est trop bon. Nos seins sont malmenés et nous y prenons un plaisir extraordinaire. Fred a laissé une caméra tourner et je pense que les rushes vont être d'enfer. Je pousse des couinements en permanence, accompagnée dans ce concert par mes autres copines.
Fred saisit Mélissa par les cheveux pour lui ôter sa queue de la bouche en lui disant : « Tu pompes comme une vraie pro grosse salope ! Prend là bien au fond de ta gorge de chienne !».
Elle ne se fait pas prier. Une chatte mouillée se pose sur ma bouche et je la déguste avec gourmandise. Arrivée à ce stade là, je ne m'occupe plus que de mon plaisir. Je ne pense qu'à me faire pénétrer dans tous les trous, sentir leurs sexes dans mon corps. Tout mon corps brûle de désir. J'ai cinq mâles à ma disposition.
Je me retrouve avec deux sexes dans la bouche et deux dans la chatte et le cul avec une verge d'un black dans la main. C'est l'extase. Si j'avais su que la création de notre équipe de femelles rugbywomen allait tourner de cette façon...
Le shooting enfin si on peu maintenant parler de shooting continue dans ce dérapage orgiaque un bon moment. Les mecs sont infatigables. Ils me font prendre pratiquement toutes les positions possibles. J'ai eu droit à leurs sexes dans ma bouche, mon petit trou et mon vagin. Les deux dans ma bouche éjaculent pendant qu'un troisième se lâche dans mon cul. Ce n'est que couinement, cris, gémissement alors que les éjaculations se succèdent comme un final de feux d'artifices.
Alors que j'avale comme je peux le sperme de mes deux mecs, Fred me fait face et me retournant comme une crêpe, prend la place de celui qui m'enculait pour m'empaler d'un mouvement sec en s'enfonçant jusqu'à la garde. La double pénétration avec un gros black dans mon vagin me fait hurler de plaisir. Le plaisir est continu et je suis à deux doigts de l'orgasme.
Je ne touche plus terre, au propre comme au figuré. Mes amants me portent en m'embrochant. Enculée, baisée, je suis saturée de caresse et de claques. Des doigts pinces mon clito poussant mon excitation jusqu'à l'orgasme. De nouvelles pénétrations énergiques et brutales décuplent mon plaisir. Les va-et-vient endiablés font ressurgir des émotions démoniaques. Deux autres verges me forcent la bouche.
Avec mes mains, ma bouche, ma langue, je pompe mes amants sans savoir qui ils sont. J'avais déjà expérimenté les effets d'une triple pénétration sur une plage en Guadeloupe il y a quelques années maintenant. Mais aujourd'hui, dans ce stade, au milieu de mes copines qui se font défoncer comme moi en étant pénétrée par quatre amants en même temps, tout en en masturbant deux autres, je suis sur un nuage.
Mes baiseurs explosent de plaisir et échangent leurs places pour se relayer lorsqu'ils jouissent. Ils m'honorent avec vigueur et profite d'avoir d'aussi salopes femelles vides couilles à leurs disposition, offrant leurs corps avides de plaisir. Le final approche et tous sont épuisés. L'un d'eux m'arrose le visage dans un spasme de plaisir provoquant la jouissance d'un de ceux qui me pénétraient profondément ne sachant dans quel orifice se répandait ce foutre brûlant en moi me maintenant en état d'orgasme permanent.
Puis très vite leurs couilles vidées, nous nous retrouvons allongées sur la pelouse, haletantes encore de plaisir, inondée de spermes, nos trous totalement dilatés laissant s’échapper le trop plein de sperme.
Quand nous reprenons nos esprits, Nous ne sommes plus qu'avec le staff du Club. Couvertes de baisés, ils nous emmènent avec précaution au douches. Jean et Marcel nous félicite pour nos prestations exceptionnelles et ça nous suffit pour être fière de nous.
Sous les douches, ils profitent encore de nous en nous lavant dans les parties les plus intimes de nos corps. Le désir est bien présent mais les forces nous font défaut. Nous nous rinçons, savonnons, shampooinons devant nos admirateurs.
La soirée qui s'en suit dans les locaux du stade est voluptueuse et raffinée. Bien entendu, nous sommes restées nues. J'ai affirmée ma position de Capitaine de l'équipe car mes copines me disent être admirative de ce que j'avais osé faire et qu'elles avaient passé aussi un merveilleux moment et étaient prête à me suivre dans n'importe qu'elle occasion.
Le temps passe, les demandes aussi, Marcel et Jean se font de plus en plus insistant pour faire un match exhibition au Club avec des invités trié sur le volet.
En tant que capitaine du Rugbywomen’s Club de La Fistinière, la pression est grande. Je dois faire preuve de discipline et de fermeté avec mes femelles. Je les réuni et adopte la tactique pour ce match.
Ça y est la soirée gala du Rugbywomen’s Club de La Fistinière est adoptée et lancée. C'est remonté à bloc que notre Femelles-Club se rend au club pour ce match spécial gang-bang rugby BDSM. Il ne s’agit pas de décevoir notre Président et le Coach.
Arrivées au Club, c'est décidée et en Capitaine que je dis au staff : « Nous sommes prêtes Messieurs ! Nous acceptons toutes vos conditions et sommes prêtes à nous battre comme des furies dans ce match et nous faire baiser comme des chiennes en cas de défaite. »
Ils esquissent un sourire vicieux qui ne nous rassure pas. Ça a le don de m'exaspérer. Les tribunes sont remplies d’homme et de couples. Nous commençons comme c'est prévu à nous mettre nues.
Le match commence sous les quolibets et les joueurs adverses ne ratent pas un moment pour nous plaquer, nous tripoter, claquer nos seins, nos cul, nos chattes qu'ils fouillent à la moindre action de jeu.
Leur force physique fait rapidement la différence et nous sommes battue à plate couture. Je sais que notre destin va se jouer d'un instant à l'autre et que nous serons la proie des joueurs, du staff et de leurs invités pour le reste de la soirée.
Mais j'avais préparé mon équipe à cette éventualité et nous sommes fortes de notre asservissement à ces mâles sans scrupule. Nous sommes totalement désinhibées au moment fatidique de la défaite.
A la fin du match, c'est sans arrière pensée que je m'agenouille devant le Capitaine de l'équipe adverse et que je sors son sexe du short en signe de capitulation pour le sucer comme une affamée qui n’aurait pas touché à une queue depuis des mois.
Mon équipe en fait autant avec les autres joueurs qui crient victoire. Une foi qu’ils ont tous juté dans nos bouches, ils regagnent les vestiaires et nous laissent en pâture au Staff et à leurs invités.
On nous emmène dans un local aménagé en donjon BDSM. Je me sens fière de diriger mon équipe de femelles et à l’aise malgré la défaite et cette ambiance malsaine. Un VIP attache Sophie par les cheveux et passe sa tête dans un carcan devant moi.
Les autres filles sont prises en main et utilisées de différentes façons. Comme je les ai bien briefées, elles sont dociles et se laissent faire sans rechigner.
Sans avoir le temps de réagir, un grand black me fait face et m'attache les poignées pour me retrouver en croix. Me voici prise au piège également. Je suis là comme mes copines et mes filles dans une position indécente.
Marcel se place devant moi et avec un air très dominateur, il déclare : « Tu as conclu un pacte avec nous. Ton équipe a perdu. Maintenant il faut en payer le prix. Nous avons donc décidé de vous livrer aux VIP. Ils vont vous utiliser à leur guise et vous prendre comme ils veulent. Vous allez ce soir être leurs choses, leurs objets de plaisirs. »
Ses mots qui n’annoncent rien de bon pour nous, éveillent aussi en moi le côté chienne que le stage de dressage a si bien révélé en moi. Je regarde Sophie qui semble plus à l'aise que moi en me faisant un clin d’œil.
Je dois être forte en tant que Capitaine de l'équipe mais j'ai peur d'en prendre plus que les autres.
Nues, offertes devant ces inconnus, je sens une chaleur bien connue naître au creux de mon ventre. Le processus est en route. Je me mets à mouiller abondamment au point que de la cyprine coule sur mes cuisses. J’entends les plaintes et les cris de mes joueuses qui se font entreprendre plus ou moins durement.
Des cris répondent aux coups de martinet ou de fouet. L’un d’eux se rapproche de moi, il me claque les seins pendant qu'une autre fouette mon cul. Je crie de douleur et me tortille dans mes liens.
Ils rigolent en me disant :
« Tu n’es pas là pour savourer votre défaite mais pour subir celle-ci sale pute. En tant que Capitaine, tu es responsable de la défaite de ton équipe et maintenant tu vas déguster. Marcel nous a donné carte blanche et on va te punir et te prendre comme une chienne ! »
Ces mots me glacent le sang. Je n'ai pas trop le temps de réfléchir qu'on me fustige de tous côtés. Aucune partie de mon corps n'est épargné. L'orgie bat son plein. Les coups, les queues, les bouches nous utilisent plus ou moins sauvagement. Nous ne sommes là que pour satisfaire leurs délires.
Après avoir bien rougi mon corps, les uns après les autres, ils viennent prendre leur part. Je ne suis plus la Capitaine de l'équipe mais une vulgaire femelle dont ont se sert, dans laquelle on éjacule et que l'on besogne sans vergogne. Des sexes tapent au fond de ma chatte, explose mon cul, se finissent dans ma bouche.
Même si c'est parfois douloureux ou humiliant de servir ainsi, les sensations si particulière sont tout de même jouissive.
Le stress ressenti au début laisse peu à peu place au plaisir. La Capitaine est loin. Je suis leur chienne. Je ne contrôle plus rien. Dans un moment de lucidité je capte Sophie ou mes filles qui se pâment sur de verges agressives. Des femmes s'activent sur d'autres de mes femelles comme des harpies.
Un orgasme s'abat sur moi provoquant des spasmes incontrôlables. Mes jambes me lâchent. Je ne m'effondre pas juste soutenu par de queues enfoncées en moi ou retenue par mes seins. Nous sommes toutes baisées sans relâche. Livrées en pâture tel que mon homme et Marcel le voulaient, je dois dire que je prends un plaisir indescriptible.
Les assauts répétés de leurs queues, de leurs mains dans mon corps me font planer. Je me surprends même à leur demander d’êtres plus brutaux avec moi pour me punir de ma défaite. Les VIP se déchaînent. Nous ne sommes plus que des vides couilles.
Soudain, une sensation de pénétration intense me fait hurler. Je comprends alors que le grand black me fiste la chatte et que sa main entière est en moi me défonçant et me dilatant à l’excès. Je suis leur pantin, leur chienne, leur sac à foutre.
Au fur et à mesure, nous sommes recouvertes de sperme. Je n'en peux plus et ma vue se trouble sous toutes ces sollicitations extrêmes. Je suis au paradis des chiennes.
Après avoir reçus tant d'hommages, les VIP et une partie du staff repartent, nous laissant seules avec Jean, Marcel et quelques soigneurs. Ils nous cajolent et nous laissent le temps de récupérer un peu. Nous sommes toutes souillées, la mine défaite, nos orifices dilatés dégoulinants de sperme. Je réalise tout le chemin parcouru depuis mon stage de dressage.
« Mon dieu, mais que m’est-il passé par la tête ? Ai-je bien rempli mon rôle de Capitaine et le Président et le Coach vont-ils être satisfait de ma position ? Mon équipe de femelles sera-t-elle derrière moi après une soirée si intense ? »
Les mecs nous douchent et nous sommes ramenées chacune chez nous pour un repos bien mérité. J’apprendrais plus tard que Marcel a gardé Sophie pour la finir en tête à tête chez lui. Elle a du manger la pauvre.
La semaine suivante, Je dois participer à la construction d'un dossier avec deux clients exigeants.
Le boss et Dave me demande :
Tu vas accueillir nos clients et nous voulons que tu sois « Très gentille » avec eux. Il s'agit de signer un contrat juteux de droit TV pour une équipe de Rugby. »
A l'annonce du projet, j'ai un sursaut de surprise et leur demande inquiète : « C'est quel club ? » « Un Club très particulier tu verras. C'est le Rugbywomen’s Club de La Fistinière. »
En entendant ce nom, je blêmi. Ils me tendent le dossier pour que je m’imprègne du contenant. Quand je le feuillette dans mon bureau, je suis consternée en voyant les photos explicites de notre shooting et de la soirée de gala où on me reconnaît sans ambiguïté dans des positions sans équivoque. Mon nom est bien en vue dans l’organigramme comme Capitaine de l'équipe.
Les salauds, ils savaient qui j'étais dans ce Club et se servent de moi comme d'une marionnette. Quand je lis presque sans surprise le carton de Rendez-vous des clients, mon estomac se noue un peu plus et j'imagine déjà comment va se finir ce rendez-vous. « 19h00 Rugbywomen’s Club de La Fistinière Président Jean, Coach Marcel, Secrétaire Sophie. »
Je prépare la petite réception avec champagne et petits fours à la clef. Le boss m'a demandé d'être particulièrement sexy en portant une robe dévoilant mes formes avantageuses.
Ça commence par un défilé dans le bureau du boss pour décider de quelle robe je vais mettre. Ils jouent carrément à la poupée avec moi, m'habillant, me déshabillant, faisant des commentaires sur la façon dont je dois-être exhibée...etc.
Une robe hyper-courte et décolleté rouge est choisie. Je suis nue dessous. C'est ainsi vêtue et juchée sur des escarpins que j'accueille les clients. Quand ils me voient, ils sont surpris et admiratifs, ils me sautent au cou. Sophie m'embrasse à pleine bouche et me glisse à l'oreille qu'on va bien s'amuser.
Comment puis-je bien travailler en étant juge et partie ? En chemin, vers le bureau de réunion, je sens le regard de Marcel et mon mari sur mon cul moulé dans la robe trop courte. C'a me fait de l'effet et c'est bras dessus bras dessous que Sophie et moi entrons dans la salle de réunion.
Le premier accueil du Boss et de Dave est de dire : « Voilà deux belles salopes de secrétaire bonne à remplir. Je sens que notre contrat va être rondement mené avec des chiennes comme elles ! ».
Malgré mon habitude à ce genre de situation, une sorte de gêne me gagne. Je mes sens terriblement humiliée d’être ainsi cataloguée devant Marcel et mon mari. Le boss et Dave, en saluant leurs clients, ne manque pas de décrire avec un malin plaisir la façon que j'ai de les servir.
Ils s'assoient à la table de travail. Mais au moment de nous assoir à notre tour, le boss ordonne : « Annie ! À quatre pattes sur la table ! »
Aussitôt Marcel en ordonne autant à Sophie. Nous voilà toutes les deux exposées dans une position humiliante alors que les négociations vont bons trains entre les deux parties.
« Bien, très bien. Je vois que nos négociations vont être tendues. » Dit le boss.
Marcel lance : « Mais peut-être que ces deux mignonnes putes pourraient détendre nos enjeux ? »
Jean leurs fait remarquer : « De plus, je voudrais vous préciser au cas où vous ne l'auriez pas remarqué que votre soit disant secrétaire est aussi ma femme ainsi que la capitaine de notre club de femelles. C’est ma salope soumise comprenez-vous ? »
Dave intervient : « Nous le savions et nous avons déjà bien testé votre salope mon cher. Elle est docile et bonne de partout. Nous pouvons vous remercier de l'avoir aussi bien dressée. »
Jean est plutôt fier d'entendre ça et remercie le Boss et Dave : « Je vous en remercie Messieurs. Je suis heureux que vous ayez utilisé mon épouse à sa juste valeur. Elle est une excellente soumise, Capitaine et enjolive avec Sophie nos soirées du Club. Se sont de loin les deux meilleures femelles soumise que j’ai connues. »
Marcel prend l'initiative : « Foutez-vous à poils femelles et gouinez-vous avant qu'on décide de votre sort ! »
Dociles, nous nous déshabillons mutuellement et commençons à faire l'amour sur le bureau devant nos quatre mâles qui trinquent à leurs salopes de service.
Marcel leurs dit : « Ces deux femelles sont de loin les meilleurs putes que je connaisse. Je n'ai jamais eu à me plaindre de leurs services. Elles disent oui à tout, même dans les situations es plus douloureuses. Ces deux femelles sont à vous Messieurs. Nous vous autorisons même à en abuser comme bon vous semble du moment que nous trouvons un accord commun qui nous convient. »
« Merci, je pense que nous allons nous entendre. Mais profitons du spectacle qu’elles nous offrent avant de passer aux choses sérieuses. »
Dave rajoute : « On ne va pas se gêner de les faire gueuler ces salopes qui s’exhibent devant nous sans aucune pudeur ! »
Pendant que nous entamons un 69 endiablé sur la table, Dave se saisit d'un marqueur indélébile, saisit mon mamelon et marque « mamelle de Dave ». Trouvant l'idée amusante, c'est au tour du boss d'écrire sur mon autre sein « Propriété de la société SPERMA ».
« Maintenant, tu es prête à prouver que tu te dévoue totalement à tes Maîtres. »
Il marque également Sophie sur le cul. Puis ne s'arrêtant pas en si bon chemin, alors que nous approchons de l'orgasme, Dave et le boss défont leurs ceintures et se mettent à copieusement nous cingler les fesses.
Jean et Marcel trinque à cette action efficace.
« C’est bien. Gueulez comme de bonnes femelles salopes ! »
Au moment où nous explosons dans un orgasme dément, leurs ceintures claques trop fort sur nos clitos. La douleur est trop vive et renforce nos cris d'extases. Jean et Marcel sont en admiration devant leurs femelles soumises.
Dans la salle de réunion, les quatre lascars, profitent de notre position jambe écartée anéantie par ce formidable orgasme pour nous baiser sauvagement. Je suce Marcel avec avidité pendant que Dave me sodomise violemment en me claquant les fesses sévèrement.
Si ça continue à ce rythme, je ne pourrais pas m’asseoir durant plusieurs jours. Sophie n'est pas en reste avec le boss qui lui fourre la bouche en massant ses seins pendant que mon mari passe de son trou du cul à sa chatte frénétiquement.
« Vous voyez, ces salopes sont prête à tout pour nous faire plaisir. »
« Oui vous avez raison. Elles sucent comme des déesses. »
« En plus, si vous voulez soulager vos vessies, Sophie se fera un plaisir de vous boire. »
« Oh, c’est vrai ? Et Annie aussi ? »
« Oui si vous voulez. Même si elle n'aime pas ça. »
« Merci. Avec tout le champagne que nous avons bu, nous en profiterons. »
Les hommes éjaculent dans un grognement de plaisir en nous et après un instant de repos, ils se mettent à nous pisser dessus et dans la bouche. Alors que je recrache l’infâme liquide chaud, Sophie en grosse salope s'en délecte.
Alors que nous gisons nues, souillée et humiliées sur la table de réunion, baignant dans la pisse et le sperme, nos quatre compères signent le contrat.
Ensuite ils nous traînent jusqu’aux douches pour nous laver eu même intimement. Pour les remercier, nous les suçons à fond et avalons amoureusement leurs semences.
Jean et Marcel sont fiers de nous et nous avons pris notre pied à être soumises et humiliées ainsi.
Quelques jours plus tard, le boss et Dave me convoquent. Ils sont ravis de ma prestation lors du contrat passé avec Marcel, Jean et avec la collaboration de Sophie pour le Rugbywomen’s Club de La Fistinière.
Ils me remercient et j'en profite pour demander une promotion comme DRH et recruteuse.
Ils se regardent et me disent : « Et pourquoi on te donnerait cette promotion ? Que serais-tu prête à faire pour nous prouver que tu en es capable ? »
Je reste un instant dans l’expectative et me lance : « Je ferais ce que vous voulez. « Ils rigolent en me disant : « Mais tu fais déjà tout ce que l'on veut ! A genoux chienne ! ». Ils sortent leurs queues, s'approchent de moi et tour à tour plongent leur engin dans ma bouche.
« Oui t'es une salope insatiable et ta bouche n'est bonne qu'à prendre des queues ! »
Ils se plantent chacun leur tour en entier en moi.
« Ton cul est à nous ! Tu veux une promotion ? Et bien il va falloir l'offrir à d'autres. Pour prouver que tu mérite d'être DRH chez nous. »
J’ai envie de hurler. Mais je repense à Marcel qui me tanne pour que je sois DRH par tous les moyens que ma féminité met à ma disposition. Je ne veux pas le décevoir et être rétrogradé dans le Club. Ma position de Capitaine au Rugbywomen’s Club de La Fistinière me plaît trop.
Au moment où j'ai la bouche libre, je lance : « C’est vous qui décidez, Boss. »
En me refourrant à fond sa verge dans la bouche, il me dit : « Bonne réponse femelle. »
Dave poursuit en me triturant les seins : « T'as gagné une récompense. »
Les salauds avaient certainement tout organisé avec Jean et Marcel car à ce moment j'entends la porte qui s'ouvre et plusieurs hommes entrer dans la pièce.
« Tu veux être DRH recruteuse ? Et bien fais tes preuves. Nous avons besoin de hardeur pour une production X. C'est toi qui va faire le casting. Si tu es à la hauteur, ton contrat de DRH est prêt. Tu n’auras qu'à signer. »
Tu parle d'un recrutement, c'est eux qui m'utilisent. Aussitôt, je suis prise par les hanches et un dard s'enfonce dans mon vagin sans que je voie qui c'est. Malgré moi, je pousse un feulement de chienne en chaleur quand l'inconnu me pénètre.
Le boss me dit : « Quand ils en auront fini avec toi. Tu les boiras tous. Fais attention à bien tout avaler. » « Oui, merci Monsieur. »
Une autre verge s'empare de ma bouche. Puis je sens un gland faire pression sur mon anus et pousser pour y faire son passage. Cette double pénétration me devant mes patrons m'électrise et je ne pense plus qu'au contrat que je vais signer. Je donne le meilleur de moi-même.
Mes hardeurs semblent plutôt satisfait de pouvoir me prendre aussi librement. Rien ne m'est épargné. Je ne suis pas en position de DRH mais bien leur jouet sexuel entre leurs mains et leurs queues.
Ils se relaient et font durer leurs plaisirs. Mais combien sont-ils ? Combien me passent-ils dessus ? Vont-ils enfin jouir de moi ? Deux glands forcent en même temps ma bouche. Mes lèvres sont étirées à l’extrême autant que mon cul et mon vagin. Tout à coup dans un râle de bête, les deux qui sont dans ma bouche envoient la sauce. Ils ont les couilles si pleines que j'ai du mal à avaler.
Je suis prise de convulsions étreinte dans un orgasme détonnant. Mes enculeurs en remettent une couche en se lâchant eux aussi en moi aussitôt remplacé par d'autres. Je suis dans un délire d'orgie total. Ils me saillissent avec une brutalité peu commune et m’arrache des gémissements en me défonçant le cul et la chatte sans ménagement.
Quand tout se beau monde se lâche, c'est une véritable inondation. Il me gave de semence masculine. Quand ils me relâchent enfin, je suis effondrée sur le sol, complètement K.O. La tête me tourne. J'ai mal à la mâchoire, mon vagin est distendu ainsi que mon cul et mes seins me font mal. Le trop plein de sperme s'écoule de mes orifices distendus lorsque le Boss me prend par les cheveux et me redresse la tête pour que je le regarde.
Son sexe est toujours au garde-à-vous. Il n’a pas encore joui devant ce spectacle. « Ça t’a plu ce recrutement belle salope ? » « Oui. Merci Monsieur. Vous pouvez les embaucher. »
« Tu étais magnifique à voir en te faisant défoncer comme la dernière des putes. Maintenant, c’est à notre tour de s'amuser avec toi. Ensuite tu signeras ta promotion de DRH. »
Je me retrouve la queue dans la bouche à me faire secouer la tête sur son pieu pendant que Dave me prend d'un coup par le cul. Ils n'ont aucun égard pour moi et me prennent comme une vulgaire chienne. Ils sont comme des fous. Mon anus me chauffe. Ma tête me tourne.
Nous ne sommes à ce moment que trois animaux en ruts et je leurs sers seulement de vide couilles. Mais plus rien d'autre ne compte que ce contrat, cette promotion tant espérée de Marcel. C'est aussi mon homme qui va être fier de moi. Grimper dans la hiérarchie sociale en étant DRH et Capitaine d'équipe de femelles en chaleurs.
Dans cette orgie presque lyrique, je prends mon pied et pars littéralement dans un dernier orgasme qui me terrasse quand ils jouissent en moi. Cette foi s'en est trop et je m'en évanouie de plaisir au sol.
Quand je me réveille, je suis lavée, habillée sur le canapé du bureau du Boss. Dave est présent aussi et me dit : « Hé bien ma salope, voilà deux heures que tu dors. Il faudra être plus endurante les fois suivantes. Viens signer ton contrat. C'est seulement un CDD pour une période d'essai d’mois. »
Les jambes encore en flanelle, je m'approche pour signer sans lire le contrat trop heureuse d'apprendre ça à mes hommes.
D'une grande claque sur les fesses Dave me dit : « T'es une bonne femelle. Tu seras une bonne DRH, j'en suis certain. Maintenant rentre chez toi on te fera signe. »
Dés arrivée chez moi je me déshabille et me jette sur le lit pour m’endormir dans un sommeil profond.
Quand le jour se lève, j'ouvre un œil. Je suis courbaturée. Mon mari est à mes côtés. Je vais prendre une douche qui me détend et estompe mes courbatures. Mes doigts s’égarent sur mon anus qui est encore boursouflé par trop de pénétrations.
Quand je sors de la salle de bain, il dort encore. En voyant sa belle queue au repos et ses lourdes couilles entre ses cuisses, je ne peux résister à les honorer de ma bouche gourmande. C'est en douceur que je le réveille en le pompant et en malaxant ses bourses bien pleines.
« Ha ma chérie tu es divine. » Je lâche un instant son dard fièrement dressé et lui dit : « Mon amour, j'ai un CDD de DRH. » « Tu es vraiment trop bonne ma petite salope ! »
Je replonge sa verge dans ma bouche et peu de temps après il me fait déguster son divin liquide marital, en me disant: «Il va falloir que tu en fasses la surprise aussi à Marcel de la même façon. »
Maintenant que je suis DRH, je décide d'embaucher Sophie comme assistante. Pour la recruter, je décide de lui faire passer certaine épreuves en présence de Mes patrons et de mon mari. Marcel se charge quand à lui d'accompagner Sophie au rendez-vous d'entretien.
Dégustant tranquillement leurs verres, les hommes ont tout loisir de m'observer dans mes œuvres. Je commence à demander à Sophie de se mettre nue.
Amusée par mon attitude autoritaire, elle s'y plie avec complaisance. Je la fais allonger sur mon bureau et je sens le regard de Sophie sur moi qui se demande quelle tournure va prendre cet entretien d'embauche si particulier.
Dans ses yeux pétillant de désir, je remarque qu'elle prend un plaisir monstre à se laisser faire entre mes mains et sous les regards concupiscent des quatre mâles.
Très vite, Sophie a la réponse. Mes mains se glissent entre ses fesses. Mon majeur appuie sur son anus. Sophie se détend et me facilite la caresse qui se fait plus intrusive dans un feulement de plaisir.
De mon autre main, je lui palpe les seins et agace ses tétons dardés d'un plaisir naissant. Je ne veux pas montrer le plaisir que je prends à la dominer devant eux, mais je me mets à mouiller abondamment. Mon ventre bouillonne et j'ai envie de précipiter les choses en lui faisant l'amour sauvagement comme deux belles femelles en chaleur.
Le boss brise le charme de cet instant. Il se lève et ouvrant une armoire, il en sort une longue cravache. Alors que je m'attends à ce qu'il s'en serve sur Sophie, il se met à me frapper sur le cul par petits coups à un rythme soutenu. Je ne crie pas, serre les dents et même me cambre un peu tout en continuant de façon plus appuyé mes massage sur Sophie.
Sophie relève un peu plus ses fesses. Mon majeur s’enfonce encore plus loin dans son étroit conduit. Le boss a passé la main à Dave qui se fait un malin plaisir à continuer de me flatter les fesses avec cette cravache.
Elle commence sérieusement à chauffer et je tortille du cul à chaque coup en émettant un petit couinement qui plaît bien à nos spectateurs.
Le boss adresse un sourire qui en dit long à Sophie pendant que Dave continue de me chauffer le cul et dans son désir d’affirmer sa domination, il sort sa queue et lui donne à sucer. Sophie s'y soumet avec joie et se met à la lécher et la sucer avec cette vigueur qui la caractérise.
Sous les petits coups répétés de cravache, je deviens plus sadique en pinçant fermement ses tétons, en les tortillant, en rentrant plusieurs doigts dans son cul.
Quand le boss lui éjacule dans la bouche, Dave passe la Cravache à mon mari et prend place à son tour dans la bouche de Sophie. C'est ensuite le tour de Marcel. On se croirait presque dans un rituel mystique.
Après presque une heure de cravachage, d'éjaculations et de torture de son corps et du mien, pour parfaire cette exhibition humiliante, les quatre mecs se mettent à nous pisser dessus. J'ai horreur de ça mais Sophie est aux anges et boit tout ce qui arrive sur sa bouche.
Je suis aussi rouge que mes fesses. Honteuse d'être traitée ainsi alors que dans ma position de DRH je devrais être la dominatrice. Mais mon entrecuisse trempé trahit dans ma honte le désir que j'ai de jouir. Sophie quand à elle se lâche dans un orgasme bruyant.
Le boss ne veut pas en rester là et profite de la gêne palpable qui m’envahit pour m'ordonner de me masturber jusqu'à la jouissance.
Je regarde honteuse, rougissante mon mari qui me sourit comme pour m'y encourager en me disant : « Tu as beau être la DRH et la Capitaine du Rugbywomen’s Club de La Fistinière, tu n'en n’es pas moins notre salope de service et ça ne fait que partie de ton éducation, ma petite salope ! »
« Oui merci Mon bon Maître. »
Sophie toujours aussi salope y met la main également.
Le boss clame fièrement : « Bravo, ça c'est du recrutement bien mené. Elle se comporte comme je le souhaite ! »
Alors que je suis à deux doigts de hurler mon plaisir, Jean lui dit : « Je suis aussi très satisfait que nos deux femelles vous plaisent. Vous ferez assurément avec Dave de bons Maîtres. Vous les baisez bien et possédez les queues adéquates pour les remplir. »
Marcel en remet une couche en leur disant : « Vous avez bien raison mais j'ai envie de vous montrer jusqu'à quel point elles sont disciplinée et même farceuses. Elles vous feront craquer attachées toutes les deux, chevauchant un cheval toute en se faisant fouetter. »
Le boss regarde d'un air interrogateur Marcel en lui disant d'un ton pervers : « Vous êtes bien sévère avec elles. » « Je sais et m’en enorgueillis de vous le démontrer. »
Joignant le geste à la parole, Jean et Marcel nous saisissent en disant à Dave : « Allez chercher le cheval dans mon coffre je vous prie. » Il revient rapidement avec l'engin et on nous installe dessus.
Nos chatte en feu, trempée à souhait se meurtrissent sur l'angle aigu du tréteau de torture venant directement de l'esprit tordu de curés de l'inquisition. Ils nous ligotent dos à dos en nous insultant ! « Espèces de salopes ! Vous bien des chiennes qui adorez souffrir ! »
Jean tend le fouet au boss en lui disant : « A vous l'honneur Monsieur. Flattez ces corps comme il se doit. »
Convaincu sans peine par mon mari, il prend le fouet et commence à lacérer le ventre de Sophie qui ne cesse de crier de douleur. Dave pour la faire taire lui colle un gode énorme dans la bouche. « Bien joué, Dave. Ça c’est un joli coup. » Complimente Marcel.
Le boss passe le fouet à Dave qui vient s'occuper de moi en me fouettant les seins pendant que le patron s'amuse à claquer ceux de Sophie. Fièrement, malgré la douleur, j'étouffe mes grognements et serre les dents.
Jean me lance à ce moment : « Je crois que t’oublie de remercier Dave ma chérie. » Dans un cri, presque un hurlement de libération, je hurle : « Merci Maître Dave !!!! »
Il est tard quand les quatre hommes en terminent avec nous. Nous sommes couvertes des traces du fouet et ils ont joui plusieurs fois de nous. Même dans ces conditions extrêmes, nous avons également joui.
Quand ils nous laissent enfin, d'une seule voix, nous leurs disons : « Merci de vous servir de nous aussi bien Messieurs. Nous sommes totalement à votre disposition pour recommencer dès que vous le souhaiterez. »
Ils nous mènent sous la douche et dans un dernier élan, nous les remettons en forme de nos bouches gourmandes pour une dernière saillie amoureuse cette fois ci.
Après toutes ces activités, tout le monde profite d’un bon temps de repos.
Trois jours plus tard le Président réuni toutes les joueuses du Rugbywomen’s Club de La Fistinière, et il annonce : « Vous allez vous entrainer pour une cérémonie qui aura lieu lors des prochains Jeux Olympiques ! »
Toute l’équipe des femelles s’étonne : « nous aux JO ? » « Oui !!! » répond le Président !
« Vos exploits ayant été télévisés le CIO nous à contactés pour que notre équipe représente un des cinq anneaux des JO lors de l’ouverture à Paris ! »
« Pas possible s’écrient toutes les joueuses ! »
« Et nous allons commencer immédiatement l’entrainement ! »
« Allez les filles toutes à poil ! Et pour celles qui ont encore gardé une petite touffe pubienne : au rasage ! Asseyez-vous sur les premiers gradins cuisses ouverte et que celles qui sont déjà lissent vous nettoient la chatte ! »
Des rasoirs sortent par miracle et rapidement toutes les chattes sont lisses.
« Maintenant les filles toutes en cercle sur le stade ! » Clame le Coach.
« Toutes à 4 pattes en cercle ! Et proche les unes des autres ! »
« Votre Capitaine est déjà bien souple, Sophie tu vas te mettre derrière elle et tu vas lui fister la chatte ! »
Sophie s’approche et me caresse, puis lorsque je suis bien trempée, elle me fiste la chatte.
Je m’excite et je m’enfonce bien sa main dans la chatte.
Le Coach dit aux autres filles : « Vous voyez c’est simple, formez le cercle et fistez celle qui vous précède ! » Les filles hurlent « On n’est pas aussi souple que notre Capitaine ! ».
Le Coach appelle les autres mâles et leur ordonne de fouetter les récalcitrantes, ce qu’ils font sans ménagement. Aussitôt toutes s’empressent de tenter de fister celles qui sont devant elles. Au bout d’un moment le cercle est formé et toutes ont la chatte bien remplie et le cercle est fermé.
Le Coach ordonne au groupe de femelles de se déplacer, elles finissent par y arriver après pas mal d’hésitations, mais quelques coups de fouets bien placés sur les culs arrondis viennent à bout des récalcitrantes.
Lorsqu’il juge que la figure est bien réalisée, le Président intervient : « Femelles c’est bien, vous avez bien méritées d’être choisies par le CIO, vous avez huit jours pour continuer à vous entrainer pour que cela devienne un jeu d’enfant pour vous toutes, après nous entreprendrons la phase finale ce cet anneau ! »
Durant une semaine toutes les femelles s’entrainaient mutuellement jusqu’à ce que toutes aient acquise la souplesse de leur Capitaine, à grand renfort de gel et de godes ; n’hésitant pas à se prêter main forte si nécessaire. Les plus hardies ayant fini la semaine en prenant deux mains fines simultanément en hurlant leur fierté.
Le jour de la reprise de l’entrainement, les femelles furent surprises de trouver une grande quantité de joueurs mâles qui étaient déjà à poil sur le terrain, arborant des membres impressionnants bien tendus.
Le Coach demanda aux femelles de se positionner devant les joueurs et de leur présenter leurs croupes bien écartées, quelques réticences furent vite vaincues par quelques zébrures sur les fesses.
Au coup de sifflet le Coach ordonna aux mâles d’enculer sans ménagements les femelles, après quelques bousculades tout fini par rentrer (dans l’ordre ?).
Durant toute la semaine suivante tous les mâles prirent toutes les croupes des femelles, qui de ce fait furent toutes bien dilatées et assouplies.
Après cette intense semaine d’entrainement, toutes avaient l’anus totalement dilaté, ayant absorbé les énormes queues des rugbymen dont certaines étaient vraiment hors normes.
Les filles étaient devenues accros des séances d’entrainement et elles rivalisaient entre elles pour s’offrir les plus membrés des rugbymen qui devaient quasiment se doper pour satisfaire toutes les envies des femelles en furie.
Le Coach réunit les joueuses, les félicita et leur dit, maintenant que vous êtes toutes bien motivées, nous allons passer à la phase finale de l’entrainement pour que vous puissiez figurer honorablement dans le tableau d’Ouverture des Jeux, d’autres pays ayant été aussi sélectionnés pour représenter les cinq anneaux Olympiques.
Chacune des participantes de chaque équipe sélectionnée aura le corps peint d’une couleur d’un des anneaux, le tirage au sort nous a attribué la couleur jaune, vous serez donc toutes revêtues d’une couleur jaune dorée qui mettra en valeurs vos corps sportifs, y compris vos chevelures qui recevront une teinture spéciale.
Notre anneau sera donc le plus brillant et le plus visible, je compte sur vous pour qu’il soit applaudit par tous ceux qui assisterons à ces Jeux !
Maintenant allez toutes vous douchez et revenez sans vous essuyer, avec le soleil qu’il fait, vos corps brilleront presque autant que lorsque vous serez préparées pour l’ouverture officielle.
Toutes courent aux douches collectives et une grande bataille de seaux d’eau s’engage dans les douches et se termine au bord du terrain. Le Coach les interpelles : « allez les femelles formez un cercle ! »
« Maintenant que vous êtes entrainées, nous allons entreprendre la figure finale ! Êtes-vous prêtes ?» « Ouiiiiiiiiii s’écrient les filles ! »
« Alors faites le cercle comme vous l’avez déjà fait, en mettant la main droite dans la chatte de celle qui vous précède ! ».
Les filles s’empressèrent de se mettre en cercle et avec juste quelques petits piaillements de quelques unes, vite calmés par de sonore claques appliquées par les mâles présents sur les croupes des insoumises.
Le Coach dit alors faites trois pas en avant en maintenant bien vos chattes serrées pour entrainer celles qui sont derrière vous ! Cela se passa sans encombre et sans qu’aucune n’émettent quelques protestations ou même couinement.
Le Coach leur dit c’est bien mes belles soumises vous voilà parfaitement en cercle et bien liées les unes aux autres, mais maintenant nous allons renforcer la solidité de ce bel anneau pour que vous puissiez trottiner sur vos deux pieds sans autre point d’appui !
Comme vous êtes déjà bien trempées, vous allez enfiler votre main gauche encore libre dans le cul de celle qui vous précède, juste au dessus de vos mains droites déjà bloquées dans les chattes ! Exécution !!!
Panique chez les filles qui ont enfin compris pourquoi leurs culs avaient été largement dilatés pendant la semaine précédente !
Et celles qui résisteront se verront fouettées jusqu’à ce qu’elles se soumettent sans broncher !
Quelques cris montèrent du cercle, vite couverts par des claquements de lanières qui rougirent un peu quelques croupes offertes, mais sans dommages réels pour leurs titulaires, qui n’avaient pas vraiment refusé l’introduction anale.
Maintenant vous tournez, doucement au début, puis en augmentant la cadence !
Le cercle s’anima lentement, puis les gourmandes firent plusieurs tours à bonne allure, à la satisfaction du Coach. Tous les mâles présents applaudirent.
Merci Coach lancèrent les filles ! Vous nous avez bien entrainées, nous méritons notre place aux JO !
C’est terminé pour aujourd’hui lança le Coach. Notre Président est fier de vous ! Il a apporté le Champagne pour fêter votre première réussite, en attendant le grand jour où vous serez diffusées sur toutes les télés du monde !
Aussitôt les bouchons sautèrent et tous le monde s’amusa à asperger les autres, jusqu’à ce que les plus salopes décident d’enfiler leurs copines avec les bouteilles.
La Capitaine pour prouver sa qualité se défonçant elle-même le cul avec le fond d’une bouteille qui laissait couler son contenu sur sa partenaire complètement excitée, qui elle-même se défonçait la chatte avec une autre bouteille !
Ainsi se terminait la préparation Olympique du Rugbywomen’s Club de La Fistinière !
Il veut nous parler d'une idée qui lui est passée par la tête pour dynamiser et féminiser le Club où il manage des jeunes. Je m’inquiète de ses idées toujours un peu tordues mais nous nous rendons toutes au rendez-vous.
Nous assistons au match et quand les joueurs sont au vestiaire, Marcel en profite pour nous parler de son projet, avec mon mari. Il nous emmène dans les vestiaires où les joueurs sont tous nus en train de prendre leurs douches. Nous n'avons d'yeux que pour ces beaux mecs musclé à poil, mais Marcel, comme si de rien était, commence à nous expliquer son idée.
« Voilà les filles, j'ai envie de former un club avec des salopes comme vous. On appellerait votre équipe de rugby féminin « Rugbywomen’s Club de La Fistinière ». Je serai votre coach.
Le Président en serait ton mari Annie. Les soigneurs, Kinés et tout le staff seraient composé de Jo, William, Tom, Ric et Mitch qui eux même seraient libres d'inviter leurs amis. Vous joueriez contre des équipes masculines et féminines à poil.
Le bureau va se charger de créer une association de supporter et nous planifierons vos entraînements. Qu'en dites vous mes femelles préférées ?.
Un silence de mort règne dans le vestiaire suite à cette déclaration. Nous nous regardons les unes, les autres dubitatives. Les jeunes joueurs nus on entendus le discours et semblent très intéressés par notre réponse.
Leur capitaine lance même en blaguant :
« On veut bien vous servir de soigneurs les filles ! »
Certaines comme Sophie et moi, sommes partantes mais où un tel projet risque-t-il de nous entraîner. Sophie prend la première la parole :
« Heu... Oui votre projet est plutôt ambitieux et il n'est pas pour nous déplaire. Et je propose Annie, comme Annie vient de subir un stage de dressage poussé, je pense, et je parle aussi pour les filles, qu'elle est la plus apte à être notre Capitaine. »
Jean tape dans les mains et approuve la décision en disant :
« L'affaire est rondement mené. Fêtons ça avec l'équipe ! Au boulot les filles ! Sucez-nous et que le sperme coule à flot ! »
Il ne faut pas le dire deux fois aux joueurs qui nous sautent dessus la bite à la main. Bon gré, mal gré, nous nous affairons plutôt joyeusement à satisfaire nos mâles. Quelques minutes plus tard, les verges commencent à nous arroser de leurs jus ! On avale, on en prend sur la figure et tout ce petit microcosme d’obsédé sexuel se met à rire de bon cœur.
On va tous sous la douche en rigolant et en jouant comme des gamins. Mais si les hommes ont joui, nous avons pris du plaisir à les sucer mais le feu mouronne au creux de nos ventres. Rapidement nos caresses entre filles deviennent plus appuyées. Mélina et Julia s'occupe bien de moi. J'ai l'impression que leurs bouches et leurs mains sont partout à la foi.
«Putain, vous m'excitez comme des folles mes salopes ! »
C'est chaud, torride, les autres filles sont également chauffées à mort et les mâles nous contemplent avec un plaisir non dissimulé. Savourant le délice de ce piège, je partage des baisés avec les lèvres assoiffées de mes partenaires. Des langues descendent en sillon humide jusqu'à la vallée de mes seins et agressent agréablement mes tétons dressés de plaisir.
Les seins d'Isa se présentent à mes lèvres. Je me mets à les lécher et les titille de la pointe de ma langue, en fait le tour, les énerve à nouveau avant de les déguster tels des fruits savoureux dont je me délecte avec un plaisir intense. Je me laisse entraîner dans ce tourbillon de sensation et couine comme une gamine.
Nous ne savons plus qui branle qui, qui lèche qui. Nous ne sommes qu'une masse de femelles enchevêtrées se tortillant sous tous ces délices. Nous ne nous préoccupons peu du groupe de mâles qui se délectent du spectacle. Nous entendons dans nos délires des bouchons de champagne qui pètent. Les mecs boivent quelques lampées et nous arrosent avec.
Nous nous mettons alors à laper le précieux nectar qui sur nos corps en fusion nous arrache des cris de plaisir. Certains de mâles présents se saisissent des bouteilles vides pour nous les fourrer dans le cul ou dans la chatte. C'est le déclenchement d'une multitude d'orgasmes qui nous laissent anéanties sur le carrelage.
Allongées à même le carrelage, enchevêtrées les unes dans les autres, nous reprenons nos esprits, anéantie par de tels orgasmes. Les jeunes joueurs voudraient bien remettre le couvert mais Marcel et Jean les virent de la douche en leurs disant qu'ils auront bien d'autres occasions de s'occuper de nous s'ils jouent bien.
Nous nous séchons aidés de Jean et de Marcel qui en profitent pour fouiller quelques chattes ou sucer quelques seins au passage. Avant d'aller nous rhabiller, il n'en faut pas beaucoup plus pour que mes deux filles dans leur jeunesse éclatante vident les couilles de nos deux Maître et dirigeant.
Après cette première réunion de Club, Nous rentrons chez nous chacune de notre côté. Jean insiste pour que Sophie passe prendre un verre chez-nous. Elle accepte avec plaisir.
Arrivés chez-nous, Jean nous sert du champagne en nous félicitant de notre initiative et de ma nomination comme Capitaine de l'équipe des femelles de La Fistinière. Comme il se doit nous honorons de nos bouches le Président du Club et trop épuisée par ces événements, nous partons nous coucher.
Après s'être assoupies deux petites heures, Sophie s'éveille. Elle se colle à moi et embrasse ma nuque. Je me tends à ce baiser. Elle remonte jusqu'au lobe de mon oreille qu'elle se met à mordiller. Sensible à cette caresse, je me retourne et me met à califourchon sur elle pour lui dévorer la bouche. Nos langues jouent un ballet sensuel. Ma bouche quitte ses lèvres pour descendre vers ses seins dont je mordille les tétons au passage et termine la tête entre ses cuisses.
« Ouiii.... Bouffe-moi la chatte ! Dévore-moi Capitaine ! » Je joue son jeu et lui réponds : « Si tu m'cherches, tu vas m'trouver ! » Avant de lui dévorer la chatte comme elle me le demande, je place mon bassin entre les cuisses de Sophie et pubis contre pubis, chatte trempée contre chatte trempée, clito dardé contre clito dardé, nous entamons des ondulations du bassin en frottant de plus en plus furieusement nos inimitées.
L'excitation grandissante, je quitte cette position pour maintenant lui dévorer le minou dégoulinant de cyprine. Nous sommes toutes les deux dans un tel état d'extase que nous entrons dans une sorte de transe sexuelle qui nous transporte vers le nirvana du sexe.
Sophie prend l'initiative et en un coup de rein nous voilà à nous gouiner dans un divin 69 d'enfer. L’excitation est à son comble. Nous jouissons intensément dans un orgasme commun qui nous entraîne dans un tourbillon de plaisir. Nos hurlements ont attiré Jean qui entre dans la chambre pour se faire plaisir à admirer l'apothéose de ses deux salopes.
Ivres de plaisir mais encore assoiffées de sexe, nous présentons nos culs à mon mari qui ne se fait pas prier pour se servir. Sachant que Sophie adore se faire sodomiser, il commence par elle en la pourfendant d'un coup, lui arrachant un cri de douleur et de surprise. Pendant qu'il la sodomise, il fouille activement ma chatte baveuse.
« Vous êtes des putes insatiables ! J'ai hâte d'arriver au premier match avec les jeunes du Club. Dans une semaine, il faudra que ton équipe fasse des étincelles sur le terrain ma chérie ! »
Jean, comme par jeu, passe du cul de Sophie à ma chatte alternativement sans oublier de nous claquer les fesses au passage. Sophie et moi sommes entre plaisir et jeu jouissif extrême. Nous nous embrassons fougueusement pendant que Jean nous bourre avec une ferveur de plus en plus brutale. A un tel rythme, il ne tarde pas à jouir et nous nous retournons rapidement pour déguster son précieux liquide tout en gloussant comme des pintades.
« Ha ! Vous êtes vraiment de bonnes vides couilles. Vous allez faire une sacré équipe de salopes au Rugby ! Venez dans la salle de bain. J'ai envie de pisser.»
Encore sous notre excitation, nous allons dans la baignoire et Jean se met à nous pisser dessus. Toujours aussi salope, Sophie va jusqu'à prendre sa queue dans la bouche pour mieux profiter de cette douche dorée.
Après une pause pour faire redescendre l'adrénaline, nous prenons tout les trois une bonne douche, chaleureuse et sensuelle.
Le grand jour est arrivé. Nous devons faire un match avec l'équipe de jeune du Club de rugby. Ça va être le moment de prouver nos qualités sportives et faire éclater toute notre féminité sur le terrain. Je passe chercher Sophie chez elle. Je frappe à sa porte déjà toute excitée de ce qui nous attend au stade.
Elle m'ouvre, et je m'aperçois qu'elle est nue. Surprise et un peu agacée je lui dis d'un ton sec :
« Tu n'est pas encore prête ? Tu veux sortir comme ça ? On va être en retard pour notre première prestation et le staff ne va pas être content. On risque la punition à cause de toi ! ».
A ma surprise, elle me répond sur un ton sensuel : « Et alors ? Ça ne ferait que pimenter le match ! ». Elle me fait entrer, referme la porte et en glissant sa main sous ma jupette, elle me dit : « T'es resplendissante ma chérie aujourd'hui. ».
Elle sait qu'elle me fait craquer et que je ne mets pas longtemps à être excité avec elle. Même si je savais qu'on risquait d'être en retard et attirer le courroux du staff, inconsciemment, je suis heureuse d'un tel accueil et je commence à mouiller. Cependant je reste encore un peu crispée.
Lorsqu'elle commence à déboutonner mon chemisier, je ne peux m'empêcher de répondre à ses avances et caresse ses adorables seins. Totalement nue devant moi, tout en me dénudant, elle se met à genoux lèche la cuisse en remontant vers mon entrejambe.
J'ouvre largement mes cuisses pour lui laisser le libre accès à mon coquillage qui perle déjà de ma rosée féminine. De sa langue, elle pénètre tendrement mes petites lèvres et se met à aspirer mon clito si sensible. Je ne pense plus à notre rendez-vous et nous entamons un 69. Nos corps agités font monter notre plaisir vers l'extase.
Pendant un bon moment, nous jouons ensemble sans faire attention à l'heure. Dans un instant de lucidité, je m'aperçois que nous sommes en retard d'une heure sur notre rendez-vous.
« Merde ! T'as vu l'heure ? Allez ouste ! On y va sinon on va manger chérie ! »
Je récupère mes vêtements à la hâte sans remettre mon string et mon soutif et Sophie en fait de même de son côté en gloussant : « Je pense qu'on va être très sollicitées tout à l'heure ! »
Nous partons rapidement avec l'espoir de ne pas être les seules en retard. Comme nous marchons vite, la jupe de Sophie remonte trop haut et dévoile au passant son intimité. Je pense que je dois être dans le même cas mais ne m'en inquiète pas désirant arriver au plus vite au stade.
Finalement, nous arrivons au stade et filons vers les vestiaires où nous attendent impatient tout le staff et les joueurs. Marcel et Jean s'approchent de nous en nous invectivant sévèrement.
Sophie tente de gérer le coup. « Écoutez, le mecs, on voulait pas …... »
Elle se prend une gifle et d'un tour de main Jean lui arrache ses vêtements.
Marcel en fait de même avec moi et d'un air courroucé me lance :
« Pour une Capitaine c'est pas malin ! On a été obligé d'annuler le match ! Maintenant vous allez payer pour ça ! En compensation, nous allons nous amuser avec vous deux. Vous rendez-vous compte que pour faire patienter nos gars, votre équipe de salopes a été obligée de donner de leurs corps aux jeunes ? »
Quatre jeunes black se joignent au coach et au Président pour commencer à nous bourrer sauvagement en nous défonçant par tous les trous. Ensuite c'est tout le staff et le reste de l'équipe masculine qui nous passent dessus.
Nous avalons du sperme à flot. Ils se servent de nous comme vides couilles pendant que nos copines se gouinent dans le coin du vestiaire.
Puis une fois qu'ils ont bien abusés de nous, ils nous attachent aux poteaux de but et font des tirs au but sur nous. Nous les supplions d'arrêter mais rien y fait. Au bout d'un moment, meurtries, anéanties, Marcel et Jean nous détachent en nous disant :
« Que ça vous serve de leçon ! La prochaine fois, vous serez à l'heure à l'entraînement ! »
Le staff s'est réuni et souhaite organiser une séance de shooting photo pour mettre en avant notre nouvelle équipe des Rugbywomen’s Club de La Fistinière.
Un photographe de renom est commandité pour immortaliser notre équipe dans des positions plus sexy les unes que les autres. Cette série devra être publiée dans un magazine de sport et diffusé sur le net. Une idée de calendrier est aussi évoquée.
Marcel et Jean nous briefent en nous recommandant d'être les plus salopes possible et que nous n'avons pas le droit à l’erreur. J'avoue qu'en tant que Capitaine, je suis super stressée au milieu des assistants,
Le jour du shooting, nous voilà toutes nues dans les vestiaires au milieu des assistants, attachées de presse, du photographe et bien entendu du staff et des rugbymen du Club. Des maquilleuses s'occupent de nous et je ne sais plus trop dans cette effervescence où donner de la tête, prise dans le tourbillon des événements.
Comme nous sommes franchement très nerveuses, le photographe, très pro parvient à nous détendre et même nous faire rire.
J'avais déjà fait des séances photos auparavant mais jamais d'une telle ampleur. Grâce au photographe et la complicité qui nous unie dans l'équipe, la séance se déroule dans une ambiance pour le moins sensuelle. Tout en essayant de garder un maximum de professionnalisme, je remarque que Fred le photographe, est rapidement sous le charme de notre sensualité.
Nous nous détendons rapidement et devenons très exhibitionnisme devant ce parterre qui nous observe comme des bêtes curieuses. Les poses individuelles ou collectives se succèdent de plus en plus suggestives. L'excitation nous gagne. Une maquilleuse au moment d'une retouche me confie : « J'admire vos seins et vos tétons qui darde me font mouiller. »
Si elle savait que mon sexe est également complètement trempé. Fred, avec les gros plans, le sait bien. Son œil avisé de pro ne ratent rien des tentions sexuels qui nous envahisses. Malgré son professionnalisme, je remarque bien son érection comprimée dans son jean trop étroit. Pour calmer le jeu, nous passons aux photos en extérieur. Photos de groupe, assises sur le ballon ovale comme pour le faire pénétrer, langue le léchant comme si c'était une bite, tout y passe.
Voilà déjà deux heures que la séance photo dure. Jean et Marcel propose une pose autour d'un verre de champagne et en profite pour discuter avec le photographe d'autre forme de pose plus poussée avec ses jeunes pour montrer la cohésion du groupe. Fred nous regarde, regarde les jeunes rugbymen et déjà il échafaude les possibilités de shooting entre l'équipe masculine et féminine.
A ce moment, je sais que le shooting va passer à l'orgie. C'est vrai qu'excitée comme nous sommes toutes, nous ne pensons maintenant qu'à une seule chose, pas faire une autre séance photo, mais bien ce faire culbuter par ce photographe, son équipe d’assistance, notre staff ou bien les joueurs, mais peu importe qui.
La seule envie que nous avons désormais c'est de nous prendre des queues. J'ai envie de leur hurler : « Culbutez-moi ! Prenez-moi là tout de suite ! Baisez-nous sauvagement ! »
Mais je laisse notre coach, notre Président et le photographe mener notre barque. La séance recommence et cette foi on entre dans l'action avec les mecs du Club.
Avec son appareil, il ne perd pas une miette des scènes. Son équipe nous dirige et les poses sont de plus en plus pornos. Fred nous photographie sous tous les angles.
« Vous êtes vraiment trop bonnes bande de salopes ! Je n’ai jamais fait un shooting aussi chaud ! Avec des chiennes comme vous, ça va être le shooting ultime ! »
Jean me lance : « Pendant que tu suce Henry et te fait prendre par Ric, tripote-toi les mamelles ! Oui c'est ça c'est bien continue comme ça ! ». Je suis ses consignes à la lettre. Sophie se fait démonter par les attachés de presse et mes filles se frottent le pubis entre elles en suçant des joueurs.
Fred, le photographe a du mal à contenir ses envies de participer à la bataille qui se déroule sous son objectif. On se fait traiter de putes, de salopes, de chiennes et on aime ça. Nous ne sommes maintenant que des tigresses en mal de mâles. Nous sommes décidées à faire tout ce que nous pouvons pour satisfaire ces mecs et aussi les maquilleuses qui se joignent à nous.
Fred n'en peut plus. Il sort sa queue qui est dure comme une barre de fer et se jette sur la première bouche disponible. C'est Mélissa qui bénéficie de cette verge rageuse qu'elle ne se fait pas prier pour la prendre en bouche.
La situation est complètement folle. Le shooting débute en orgie générale. On se prend des queues et des chattes de tout côté. C’est trop bon. Nos seins sont malmenés et nous y prenons un plaisir extraordinaire. Fred a laissé une caméra tourner et je pense que les rushes vont être d'enfer. Je pousse des couinements en permanence, accompagnée dans ce concert par mes autres copines.
Fred saisit Mélissa par les cheveux pour lui ôter sa queue de la bouche en lui disant : « Tu pompes comme une vraie pro grosse salope ! Prend là bien au fond de ta gorge de chienne !».
Elle ne se fait pas prier. Une chatte mouillée se pose sur ma bouche et je la déguste avec gourmandise. Arrivée à ce stade là, je ne m'occupe plus que de mon plaisir. Je ne pense qu'à me faire pénétrer dans tous les trous, sentir leurs sexes dans mon corps. Tout mon corps brûle de désir. J'ai cinq mâles à ma disposition.
Je me retrouve avec deux sexes dans la bouche et deux dans la chatte et le cul avec une verge d'un black dans la main. C'est l'extase. Si j'avais su que la création de notre équipe de femelles rugbywomen allait tourner de cette façon...
Le shooting enfin si on peu maintenant parler de shooting continue dans ce dérapage orgiaque un bon moment. Les mecs sont infatigables. Ils me font prendre pratiquement toutes les positions possibles. J'ai eu droit à leurs sexes dans ma bouche, mon petit trou et mon vagin. Les deux dans ma bouche éjaculent pendant qu'un troisième se lâche dans mon cul. Ce n'est que couinement, cris, gémissement alors que les éjaculations se succèdent comme un final de feux d'artifices.
Alors que j'avale comme je peux le sperme de mes deux mecs, Fred me fait face et me retournant comme une crêpe, prend la place de celui qui m'enculait pour m'empaler d'un mouvement sec en s'enfonçant jusqu'à la garde. La double pénétration avec un gros black dans mon vagin me fait hurler de plaisir. Le plaisir est continu et je suis à deux doigts de l'orgasme.
Je ne touche plus terre, au propre comme au figuré. Mes amants me portent en m'embrochant. Enculée, baisée, je suis saturée de caresse et de claques. Des doigts pinces mon clito poussant mon excitation jusqu'à l'orgasme. De nouvelles pénétrations énergiques et brutales décuplent mon plaisir. Les va-et-vient endiablés font ressurgir des émotions démoniaques. Deux autres verges me forcent la bouche.
Avec mes mains, ma bouche, ma langue, je pompe mes amants sans savoir qui ils sont. J'avais déjà expérimenté les effets d'une triple pénétration sur une plage en Guadeloupe il y a quelques années maintenant. Mais aujourd'hui, dans ce stade, au milieu de mes copines qui se font défoncer comme moi en étant pénétrée par quatre amants en même temps, tout en en masturbant deux autres, je suis sur un nuage.
Mes baiseurs explosent de plaisir et échangent leurs places pour se relayer lorsqu'ils jouissent. Ils m'honorent avec vigueur et profite d'avoir d'aussi salopes femelles vides couilles à leurs disposition, offrant leurs corps avides de plaisir. Le final approche et tous sont épuisés. L'un d'eux m'arrose le visage dans un spasme de plaisir provoquant la jouissance d'un de ceux qui me pénétraient profondément ne sachant dans quel orifice se répandait ce foutre brûlant en moi me maintenant en état d'orgasme permanent.
Puis très vite leurs couilles vidées, nous nous retrouvons allongées sur la pelouse, haletantes encore de plaisir, inondée de spermes, nos trous totalement dilatés laissant s’échapper le trop plein de sperme.
Quand nous reprenons nos esprits, Nous ne sommes plus qu'avec le staff du Club. Couvertes de baisés, ils nous emmènent avec précaution au douches. Jean et Marcel nous félicite pour nos prestations exceptionnelles et ça nous suffit pour être fière de nous.
Sous les douches, ils profitent encore de nous en nous lavant dans les parties les plus intimes de nos corps. Le désir est bien présent mais les forces nous font défaut. Nous nous rinçons, savonnons, shampooinons devant nos admirateurs.
La soirée qui s'en suit dans les locaux du stade est voluptueuse et raffinée. Bien entendu, nous sommes restées nues. J'ai affirmée ma position de Capitaine de l'équipe car mes copines me disent être admirative de ce que j'avais osé faire et qu'elles avaient passé aussi un merveilleux moment et étaient prête à me suivre dans n'importe qu'elle occasion.
Le temps passe, les demandes aussi, Marcel et Jean se font de plus en plus insistant pour faire un match exhibition au Club avec des invités trié sur le volet.
En tant que capitaine du Rugbywomen’s Club de La Fistinière, la pression est grande. Je dois faire preuve de discipline et de fermeté avec mes femelles. Je les réuni et adopte la tactique pour ce match.
Ça y est la soirée gala du Rugbywomen’s Club de La Fistinière est adoptée et lancée. C'est remonté à bloc que notre Femelles-Club se rend au club pour ce match spécial gang-bang rugby BDSM. Il ne s’agit pas de décevoir notre Président et le Coach.
Arrivées au Club, c'est décidée et en Capitaine que je dis au staff : « Nous sommes prêtes Messieurs ! Nous acceptons toutes vos conditions et sommes prêtes à nous battre comme des furies dans ce match et nous faire baiser comme des chiennes en cas de défaite. »
Ils esquissent un sourire vicieux qui ne nous rassure pas. Ça a le don de m'exaspérer. Les tribunes sont remplies d’homme et de couples. Nous commençons comme c'est prévu à nous mettre nues.
Le match commence sous les quolibets et les joueurs adverses ne ratent pas un moment pour nous plaquer, nous tripoter, claquer nos seins, nos cul, nos chattes qu'ils fouillent à la moindre action de jeu.
Leur force physique fait rapidement la différence et nous sommes battue à plate couture. Je sais que notre destin va se jouer d'un instant à l'autre et que nous serons la proie des joueurs, du staff et de leurs invités pour le reste de la soirée.
Mais j'avais préparé mon équipe à cette éventualité et nous sommes fortes de notre asservissement à ces mâles sans scrupule. Nous sommes totalement désinhibées au moment fatidique de la défaite.
A la fin du match, c'est sans arrière pensée que je m'agenouille devant le Capitaine de l'équipe adverse et que je sors son sexe du short en signe de capitulation pour le sucer comme une affamée qui n’aurait pas touché à une queue depuis des mois.
Mon équipe en fait autant avec les autres joueurs qui crient victoire. Une foi qu’ils ont tous juté dans nos bouches, ils regagnent les vestiaires et nous laissent en pâture au Staff et à leurs invités.
On nous emmène dans un local aménagé en donjon BDSM. Je me sens fière de diriger mon équipe de femelles et à l’aise malgré la défaite et cette ambiance malsaine. Un VIP attache Sophie par les cheveux et passe sa tête dans un carcan devant moi.
Les autres filles sont prises en main et utilisées de différentes façons. Comme je les ai bien briefées, elles sont dociles et se laissent faire sans rechigner.
Sans avoir le temps de réagir, un grand black me fait face et m'attache les poignées pour me retrouver en croix. Me voici prise au piège également. Je suis là comme mes copines et mes filles dans une position indécente.
Marcel se place devant moi et avec un air très dominateur, il déclare : « Tu as conclu un pacte avec nous. Ton équipe a perdu. Maintenant il faut en payer le prix. Nous avons donc décidé de vous livrer aux VIP. Ils vont vous utiliser à leur guise et vous prendre comme ils veulent. Vous allez ce soir être leurs choses, leurs objets de plaisirs. »
Ses mots qui n’annoncent rien de bon pour nous, éveillent aussi en moi le côté chienne que le stage de dressage a si bien révélé en moi. Je regarde Sophie qui semble plus à l'aise que moi en me faisant un clin d’œil.
Je dois être forte en tant que Capitaine de l'équipe mais j'ai peur d'en prendre plus que les autres.
Nues, offertes devant ces inconnus, je sens une chaleur bien connue naître au creux de mon ventre. Le processus est en route. Je me mets à mouiller abondamment au point que de la cyprine coule sur mes cuisses. J’entends les plaintes et les cris de mes joueuses qui se font entreprendre plus ou moins durement.
Des cris répondent aux coups de martinet ou de fouet. L’un d’eux se rapproche de moi, il me claque les seins pendant qu'une autre fouette mon cul. Je crie de douleur et me tortille dans mes liens.
Ils rigolent en me disant :
« Tu n’es pas là pour savourer votre défaite mais pour subir celle-ci sale pute. En tant que Capitaine, tu es responsable de la défaite de ton équipe et maintenant tu vas déguster. Marcel nous a donné carte blanche et on va te punir et te prendre comme une chienne ! »
Ces mots me glacent le sang. Je n'ai pas trop le temps de réfléchir qu'on me fustige de tous côtés. Aucune partie de mon corps n'est épargné. L'orgie bat son plein. Les coups, les queues, les bouches nous utilisent plus ou moins sauvagement. Nous ne sommes là que pour satisfaire leurs délires.
Après avoir bien rougi mon corps, les uns après les autres, ils viennent prendre leur part. Je ne suis plus la Capitaine de l'équipe mais une vulgaire femelle dont ont se sert, dans laquelle on éjacule et que l'on besogne sans vergogne. Des sexes tapent au fond de ma chatte, explose mon cul, se finissent dans ma bouche.
Même si c'est parfois douloureux ou humiliant de servir ainsi, les sensations si particulière sont tout de même jouissive.
Le stress ressenti au début laisse peu à peu place au plaisir. La Capitaine est loin. Je suis leur chienne. Je ne contrôle plus rien. Dans un moment de lucidité je capte Sophie ou mes filles qui se pâment sur de verges agressives. Des femmes s'activent sur d'autres de mes femelles comme des harpies.
Un orgasme s'abat sur moi provoquant des spasmes incontrôlables. Mes jambes me lâchent. Je ne m'effondre pas juste soutenu par de queues enfoncées en moi ou retenue par mes seins. Nous sommes toutes baisées sans relâche. Livrées en pâture tel que mon homme et Marcel le voulaient, je dois dire que je prends un plaisir indescriptible.
Les assauts répétés de leurs queues, de leurs mains dans mon corps me font planer. Je me surprends même à leur demander d’êtres plus brutaux avec moi pour me punir de ma défaite. Les VIP se déchaînent. Nous ne sommes plus que des vides couilles.
Soudain, une sensation de pénétration intense me fait hurler. Je comprends alors que le grand black me fiste la chatte et que sa main entière est en moi me défonçant et me dilatant à l’excès. Je suis leur pantin, leur chienne, leur sac à foutre.
Au fur et à mesure, nous sommes recouvertes de sperme. Je n'en peux plus et ma vue se trouble sous toutes ces sollicitations extrêmes. Je suis au paradis des chiennes.
Après avoir reçus tant d'hommages, les VIP et une partie du staff repartent, nous laissant seules avec Jean, Marcel et quelques soigneurs. Ils nous cajolent et nous laissent le temps de récupérer un peu. Nous sommes toutes souillées, la mine défaite, nos orifices dilatés dégoulinants de sperme. Je réalise tout le chemin parcouru depuis mon stage de dressage.
« Mon dieu, mais que m’est-il passé par la tête ? Ai-je bien rempli mon rôle de Capitaine et le Président et le Coach vont-ils être satisfait de ma position ? Mon équipe de femelles sera-t-elle derrière moi après une soirée si intense ? »
Les mecs nous douchent et nous sommes ramenées chacune chez nous pour un repos bien mérité. J’apprendrais plus tard que Marcel a gardé Sophie pour la finir en tête à tête chez lui. Elle a du manger la pauvre.
La semaine suivante, Je dois participer à la construction d'un dossier avec deux clients exigeants.
Le boss et Dave me demande :
Tu vas accueillir nos clients et nous voulons que tu sois « Très gentille » avec eux. Il s'agit de signer un contrat juteux de droit TV pour une équipe de Rugby. »
A l'annonce du projet, j'ai un sursaut de surprise et leur demande inquiète : « C'est quel club ? » « Un Club très particulier tu verras. C'est le Rugbywomen’s Club de La Fistinière. »
En entendant ce nom, je blêmi. Ils me tendent le dossier pour que je m’imprègne du contenant. Quand je le feuillette dans mon bureau, je suis consternée en voyant les photos explicites de notre shooting et de la soirée de gala où on me reconnaît sans ambiguïté dans des positions sans équivoque. Mon nom est bien en vue dans l’organigramme comme Capitaine de l'équipe.
Les salauds, ils savaient qui j'étais dans ce Club et se servent de moi comme d'une marionnette. Quand je lis presque sans surprise le carton de Rendez-vous des clients, mon estomac se noue un peu plus et j'imagine déjà comment va se finir ce rendez-vous. « 19h00 Rugbywomen’s Club de La Fistinière Président Jean, Coach Marcel, Secrétaire Sophie. »
Je prépare la petite réception avec champagne et petits fours à la clef. Le boss m'a demandé d'être particulièrement sexy en portant une robe dévoilant mes formes avantageuses.
Ça commence par un défilé dans le bureau du boss pour décider de quelle robe je vais mettre. Ils jouent carrément à la poupée avec moi, m'habillant, me déshabillant, faisant des commentaires sur la façon dont je dois-être exhibée...etc.
Une robe hyper-courte et décolleté rouge est choisie. Je suis nue dessous. C'est ainsi vêtue et juchée sur des escarpins que j'accueille les clients. Quand ils me voient, ils sont surpris et admiratifs, ils me sautent au cou. Sophie m'embrasse à pleine bouche et me glisse à l'oreille qu'on va bien s'amuser.
Comment puis-je bien travailler en étant juge et partie ? En chemin, vers le bureau de réunion, je sens le regard de Marcel et mon mari sur mon cul moulé dans la robe trop courte. C'a me fait de l'effet et c'est bras dessus bras dessous que Sophie et moi entrons dans la salle de réunion.
Le premier accueil du Boss et de Dave est de dire : « Voilà deux belles salopes de secrétaire bonne à remplir. Je sens que notre contrat va être rondement mené avec des chiennes comme elles ! ».
Malgré mon habitude à ce genre de situation, une sorte de gêne me gagne. Je mes sens terriblement humiliée d’être ainsi cataloguée devant Marcel et mon mari. Le boss et Dave, en saluant leurs clients, ne manque pas de décrire avec un malin plaisir la façon que j'ai de les servir.
Ils s'assoient à la table de travail. Mais au moment de nous assoir à notre tour, le boss ordonne : « Annie ! À quatre pattes sur la table ! »
Aussitôt Marcel en ordonne autant à Sophie. Nous voilà toutes les deux exposées dans une position humiliante alors que les négociations vont bons trains entre les deux parties.
« Bien, très bien. Je vois que nos négociations vont être tendues. » Dit le boss.
Marcel lance : « Mais peut-être que ces deux mignonnes putes pourraient détendre nos enjeux ? »
Jean leurs fait remarquer : « De plus, je voudrais vous préciser au cas où vous ne l'auriez pas remarqué que votre soit disant secrétaire est aussi ma femme ainsi que la capitaine de notre club de femelles. C’est ma salope soumise comprenez-vous ? »
Dave intervient : « Nous le savions et nous avons déjà bien testé votre salope mon cher. Elle est docile et bonne de partout. Nous pouvons vous remercier de l'avoir aussi bien dressée. »
Jean est plutôt fier d'entendre ça et remercie le Boss et Dave : « Je vous en remercie Messieurs. Je suis heureux que vous ayez utilisé mon épouse à sa juste valeur. Elle est une excellente soumise, Capitaine et enjolive avec Sophie nos soirées du Club. Se sont de loin les deux meilleures femelles soumise que j’ai connues. »
Marcel prend l'initiative : « Foutez-vous à poils femelles et gouinez-vous avant qu'on décide de votre sort ! »
Dociles, nous nous déshabillons mutuellement et commençons à faire l'amour sur le bureau devant nos quatre mâles qui trinquent à leurs salopes de service.
Marcel leurs dit : « Ces deux femelles sont de loin les meilleurs putes que je connaisse. Je n'ai jamais eu à me plaindre de leurs services. Elles disent oui à tout, même dans les situations es plus douloureuses. Ces deux femelles sont à vous Messieurs. Nous vous autorisons même à en abuser comme bon vous semble du moment que nous trouvons un accord commun qui nous convient. »
« Merci, je pense que nous allons nous entendre. Mais profitons du spectacle qu’elles nous offrent avant de passer aux choses sérieuses. »
Dave rajoute : « On ne va pas se gêner de les faire gueuler ces salopes qui s’exhibent devant nous sans aucune pudeur ! »
Pendant que nous entamons un 69 endiablé sur la table, Dave se saisit d'un marqueur indélébile, saisit mon mamelon et marque « mamelle de Dave ». Trouvant l'idée amusante, c'est au tour du boss d'écrire sur mon autre sein « Propriété de la société SPERMA ».
« Maintenant, tu es prête à prouver que tu te dévoue totalement à tes Maîtres. »
Il marque également Sophie sur le cul. Puis ne s'arrêtant pas en si bon chemin, alors que nous approchons de l'orgasme, Dave et le boss défont leurs ceintures et se mettent à copieusement nous cingler les fesses.
Jean et Marcel trinque à cette action efficace.
« C’est bien. Gueulez comme de bonnes femelles salopes ! »
Au moment où nous explosons dans un orgasme dément, leurs ceintures claques trop fort sur nos clitos. La douleur est trop vive et renforce nos cris d'extases. Jean et Marcel sont en admiration devant leurs femelles soumises.
Dans la salle de réunion, les quatre lascars, profitent de notre position jambe écartée anéantie par ce formidable orgasme pour nous baiser sauvagement. Je suce Marcel avec avidité pendant que Dave me sodomise violemment en me claquant les fesses sévèrement.
Si ça continue à ce rythme, je ne pourrais pas m’asseoir durant plusieurs jours. Sophie n'est pas en reste avec le boss qui lui fourre la bouche en massant ses seins pendant que mon mari passe de son trou du cul à sa chatte frénétiquement.
« Vous voyez, ces salopes sont prête à tout pour nous faire plaisir. »
« Oui vous avez raison. Elles sucent comme des déesses. »
« En plus, si vous voulez soulager vos vessies, Sophie se fera un plaisir de vous boire. »
« Oh, c’est vrai ? Et Annie aussi ? »
« Oui si vous voulez. Même si elle n'aime pas ça. »
« Merci. Avec tout le champagne que nous avons bu, nous en profiterons. »
Les hommes éjaculent dans un grognement de plaisir en nous et après un instant de repos, ils se mettent à nous pisser dessus et dans la bouche. Alors que je recrache l’infâme liquide chaud, Sophie en grosse salope s'en délecte.
Alors que nous gisons nues, souillée et humiliées sur la table de réunion, baignant dans la pisse et le sperme, nos quatre compères signent le contrat.
Ensuite ils nous traînent jusqu’aux douches pour nous laver eu même intimement. Pour les remercier, nous les suçons à fond et avalons amoureusement leurs semences.
Jean et Marcel sont fiers de nous et nous avons pris notre pied à être soumises et humiliées ainsi.
Quelques jours plus tard, le boss et Dave me convoquent. Ils sont ravis de ma prestation lors du contrat passé avec Marcel, Jean et avec la collaboration de Sophie pour le Rugbywomen’s Club de La Fistinière.
Ils me remercient et j'en profite pour demander une promotion comme DRH et recruteuse.
Ils se regardent et me disent : « Et pourquoi on te donnerait cette promotion ? Que serais-tu prête à faire pour nous prouver que tu en es capable ? »
Je reste un instant dans l’expectative et me lance : « Je ferais ce que vous voulez. « Ils rigolent en me disant : « Mais tu fais déjà tout ce que l'on veut ! A genoux chienne ! ». Ils sortent leurs queues, s'approchent de moi et tour à tour plongent leur engin dans ma bouche.
« Oui t'es une salope insatiable et ta bouche n'est bonne qu'à prendre des queues ! »
Ils se plantent chacun leur tour en entier en moi.
« Ton cul est à nous ! Tu veux une promotion ? Et bien il va falloir l'offrir à d'autres. Pour prouver que tu mérite d'être DRH chez nous. »
J’ai envie de hurler. Mais je repense à Marcel qui me tanne pour que je sois DRH par tous les moyens que ma féminité met à ma disposition. Je ne veux pas le décevoir et être rétrogradé dans le Club. Ma position de Capitaine au Rugbywomen’s Club de La Fistinière me plaît trop.
Au moment où j'ai la bouche libre, je lance : « C’est vous qui décidez, Boss. »
En me refourrant à fond sa verge dans la bouche, il me dit : « Bonne réponse femelle. »
Dave poursuit en me triturant les seins : « T'as gagné une récompense. »
Les salauds avaient certainement tout organisé avec Jean et Marcel car à ce moment j'entends la porte qui s'ouvre et plusieurs hommes entrer dans la pièce.
« Tu veux être DRH recruteuse ? Et bien fais tes preuves. Nous avons besoin de hardeur pour une production X. C'est toi qui va faire le casting. Si tu es à la hauteur, ton contrat de DRH est prêt. Tu n’auras qu'à signer. »
Tu parle d'un recrutement, c'est eux qui m'utilisent. Aussitôt, je suis prise par les hanches et un dard s'enfonce dans mon vagin sans que je voie qui c'est. Malgré moi, je pousse un feulement de chienne en chaleur quand l'inconnu me pénètre.
Le boss me dit : « Quand ils en auront fini avec toi. Tu les boiras tous. Fais attention à bien tout avaler. » « Oui, merci Monsieur. »
Une autre verge s'empare de ma bouche. Puis je sens un gland faire pression sur mon anus et pousser pour y faire son passage. Cette double pénétration me devant mes patrons m'électrise et je ne pense plus qu'au contrat que je vais signer. Je donne le meilleur de moi-même.
Mes hardeurs semblent plutôt satisfait de pouvoir me prendre aussi librement. Rien ne m'est épargné. Je ne suis pas en position de DRH mais bien leur jouet sexuel entre leurs mains et leurs queues.
Ils se relaient et font durer leurs plaisirs. Mais combien sont-ils ? Combien me passent-ils dessus ? Vont-ils enfin jouir de moi ? Deux glands forcent en même temps ma bouche. Mes lèvres sont étirées à l’extrême autant que mon cul et mon vagin. Tout à coup dans un râle de bête, les deux qui sont dans ma bouche envoient la sauce. Ils ont les couilles si pleines que j'ai du mal à avaler.
Je suis prise de convulsions étreinte dans un orgasme détonnant. Mes enculeurs en remettent une couche en se lâchant eux aussi en moi aussitôt remplacé par d'autres. Je suis dans un délire d'orgie total. Ils me saillissent avec une brutalité peu commune et m’arrache des gémissements en me défonçant le cul et la chatte sans ménagement.
Quand tout se beau monde se lâche, c'est une véritable inondation. Il me gave de semence masculine. Quand ils me relâchent enfin, je suis effondrée sur le sol, complètement K.O. La tête me tourne. J'ai mal à la mâchoire, mon vagin est distendu ainsi que mon cul et mes seins me font mal. Le trop plein de sperme s'écoule de mes orifices distendus lorsque le Boss me prend par les cheveux et me redresse la tête pour que je le regarde.
Son sexe est toujours au garde-à-vous. Il n’a pas encore joui devant ce spectacle. « Ça t’a plu ce recrutement belle salope ? » « Oui. Merci Monsieur. Vous pouvez les embaucher. »
« Tu étais magnifique à voir en te faisant défoncer comme la dernière des putes. Maintenant, c’est à notre tour de s'amuser avec toi. Ensuite tu signeras ta promotion de DRH. »
Je me retrouve la queue dans la bouche à me faire secouer la tête sur son pieu pendant que Dave me prend d'un coup par le cul. Ils n'ont aucun égard pour moi et me prennent comme une vulgaire chienne. Ils sont comme des fous. Mon anus me chauffe. Ma tête me tourne.
Nous ne sommes à ce moment que trois animaux en ruts et je leurs sers seulement de vide couilles. Mais plus rien d'autre ne compte que ce contrat, cette promotion tant espérée de Marcel. C'est aussi mon homme qui va être fier de moi. Grimper dans la hiérarchie sociale en étant DRH et Capitaine d'équipe de femelles en chaleurs.
Dans cette orgie presque lyrique, je prends mon pied et pars littéralement dans un dernier orgasme qui me terrasse quand ils jouissent en moi. Cette foi s'en est trop et je m'en évanouie de plaisir au sol.
Quand je me réveille, je suis lavée, habillée sur le canapé du bureau du Boss. Dave est présent aussi et me dit : « Hé bien ma salope, voilà deux heures que tu dors. Il faudra être plus endurante les fois suivantes. Viens signer ton contrat. C'est seulement un CDD pour une période d'essai d’mois. »
Les jambes encore en flanelle, je m'approche pour signer sans lire le contrat trop heureuse d'apprendre ça à mes hommes.
D'une grande claque sur les fesses Dave me dit : « T'es une bonne femelle. Tu seras une bonne DRH, j'en suis certain. Maintenant rentre chez toi on te fera signe. »
Dés arrivée chez moi je me déshabille et me jette sur le lit pour m’endormir dans un sommeil profond.
Quand le jour se lève, j'ouvre un œil. Je suis courbaturée. Mon mari est à mes côtés. Je vais prendre une douche qui me détend et estompe mes courbatures. Mes doigts s’égarent sur mon anus qui est encore boursouflé par trop de pénétrations.
Quand je sors de la salle de bain, il dort encore. En voyant sa belle queue au repos et ses lourdes couilles entre ses cuisses, je ne peux résister à les honorer de ma bouche gourmande. C'est en douceur que je le réveille en le pompant et en malaxant ses bourses bien pleines.
« Ha ma chérie tu es divine. » Je lâche un instant son dard fièrement dressé et lui dit : « Mon amour, j'ai un CDD de DRH. » « Tu es vraiment trop bonne ma petite salope ! »
Je replonge sa verge dans ma bouche et peu de temps après il me fait déguster son divin liquide marital, en me disant: «Il va falloir que tu en fasses la surprise aussi à Marcel de la même façon. »
Maintenant que je suis DRH, je décide d'embaucher Sophie comme assistante. Pour la recruter, je décide de lui faire passer certaine épreuves en présence de Mes patrons et de mon mari. Marcel se charge quand à lui d'accompagner Sophie au rendez-vous d'entretien.
Dégustant tranquillement leurs verres, les hommes ont tout loisir de m'observer dans mes œuvres. Je commence à demander à Sophie de se mettre nue.
Amusée par mon attitude autoritaire, elle s'y plie avec complaisance. Je la fais allonger sur mon bureau et je sens le regard de Sophie sur moi qui se demande quelle tournure va prendre cet entretien d'embauche si particulier.
Dans ses yeux pétillant de désir, je remarque qu'elle prend un plaisir monstre à se laisser faire entre mes mains et sous les regards concupiscent des quatre mâles.
Très vite, Sophie a la réponse. Mes mains se glissent entre ses fesses. Mon majeur appuie sur son anus. Sophie se détend et me facilite la caresse qui se fait plus intrusive dans un feulement de plaisir.
De mon autre main, je lui palpe les seins et agace ses tétons dardés d'un plaisir naissant. Je ne veux pas montrer le plaisir que je prends à la dominer devant eux, mais je me mets à mouiller abondamment. Mon ventre bouillonne et j'ai envie de précipiter les choses en lui faisant l'amour sauvagement comme deux belles femelles en chaleur.
Le boss brise le charme de cet instant. Il se lève et ouvrant une armoire, il en sort une longue cravache. Alors que je m'attends à ce qu'il s'en serve sur Sophie, il se met à me frapper sur le cul par petits coups à un rythme soutenu. Je ne crie pas, serre les dents et même me cambre un peu tout en continuant de façon plus appuyé mes massage sur Sophie.
Sophie relève un peu plus ses fesses. Mon majeur s’enfonce encore plus loin dans son étroit conduit. Le boss a passé la main à Dave qui se fait un malin plaisir à continuer de me flatter les fesses avec cette cravache.
Elle commence sérieusement à chauffer et je tortille du cul à chaque coup en émettant un petit couinement qui plaît bien à nos spectateurs.
Le boss adresse un sourire qui en dit long à Sophie pendant que Dave continue de me chauffer le cul et dans son désir d’affirmer sa domination, il sort sa queue et lui donne à sucer. Sophie s'y soumet avec joie et se met à la lécher et la sucer avec cette vigueur qui la caractérise.
Sous les petits coups répétés de cravache, je deviens plus sadique en pinçant fermement ses tétons, en les tortillant, en rentrant plusieurs doigts dans son cul.
Quand le boss lui éjacule dans la bouche, Dave passe la Cravache à mon mari et prend place à son tour dans la bouche de Sophie. C'est ensuite le tour de Marcel. On se croirait presque dans un rituel mystique.
Après presque une heure de cravachage, d'éjaculations et de torture de son corps et du mien, pour parfaire cette exhibition humiliante, les quatre mecs se mettent à nous pisser dessus. J'ai horreur de ça mais Sophie est aux anges et boit tout ce qui arrive sur sa bouche.
Je suis aussi rouge que mes fesses. Honteuse d'être traitée ainsi alors que dans ma position de DRH je devrais être la dominatrice. Mais mon entrecuisse trempé trahit dans ma honte le désir que j'ai de jouir. Sophie quand à elle se lâche dans un orgasme bruyant.
Le boss ne veut pas en rester là et profite de la gêne palpable qui m’envahit pour m'ordonner de me masturber jusqu'à la jouissance.
Je regarde honteuse, rougissante mon mari qui me sourit comme pour m'y encourager en me disant : « Tu as beau être la DRH et la Capitaine du Rugbywomen’s Club de La Fistinière, tu n'en n’es pas moins notre salope de service et ça ne fait que partie de ton éducation, ma petite salope ! »
« Oui merci Mon bon Maître. »
Sophie toujours aussi salope y met la main également.
Le boss clame fièrement : « Bravo, ça c'est du recrutement bien mené. Elle se comporte comme je le souhaite ! »
Alors que je suis à deux doigts de hurler mon plaisir, Jean lui dit : « Je suis aussi très satisfait que nos deux femelles vous plaisent. Vous ferez assurément avec Dave de bons Maîtres. Vous les baisez bien et possédez les queues adéquates pour les remplir. »
Marcel en remet une couche en leur disant : « Vous avez bien raison mais j'ai envie de vous montrer jusqu'à quel point elles sont disciplinée et même farceuses. Elles vous feront craquer attachées toutes les deux, chevauchant un cheval toute en se faisant fouetter. »
Le boss regarde d'un air interrogateur Marcel en lui disant d'un ton pervers : « Vous êtes bien sévère avec elles. » « Je sais et m’en enorgueillis de vous le démontrer. »
Joignant le geste à la parole, Jean et Marcel nous saisissent en disant à Dave : « Allez chercher le cheval dans mon coffre je vous prie. » Il revient rapidement avec l'engin et on nous installe dessus.
Nos chatte en feu, trempée à souhait se meurtrissent sur l'angle aigu du tréteau de torture venant directement de l'esprit tordu de curés de l'inquisition. Ils nous ligotent dos à dos en nous insultant ! « Espèces de salopes ! Vous bien des chiennes qui adorez souffrir ! »
Jean tend le fouet au boss en lui disant : « A vous l'honneur Monsieur. Flattez ces corps comme il se doit. »
Convaincu sans peine par mon mari, il prend le fouet et commence à lacérer le ventre de Sophie qui ne cesse de crier de douleur. Dave pour la faire taire lui colle un gode énorme dans la bouche. « Bien joué, Dave. Ça c’est un joli coup. » Complimente Marcel.
Le boss passe le fouet à Dave qui vient s'occuper de moi en me fouettant les seins pendant que le patron s'amuse à claquer ceux de Sophie. Fièrement, malgré la douleur, j'étouffe mes grognements et serre les dents.
Jean me lance à ce moment : « Je crois que t’oublie de remercier Dave ma chérie. » Dans un cri, presque un hurlement de libération, je hurle : « Merci Maître Dave !!!! »
Il est tard quand les quatre hommes en terminent avec nous. Nous sommes couvertes des traces du fouet et ils ont joui plusieurs fois de nous. Même dans ces conditions extrêmes, nous avons également joui.
Quand ils nous laissent enfin, d'une seule voix, nous leurs disons : « Merci de vous servir de nous aussi bien Messieurs. Nous sommes totalement à votre disposition pour recommencer dès que vous le souhaiterez. »
Ils nous mènent sous la douche et dans un dernier élan, nous les remettons en forme de nos bouches gourmandes pour une dernière saillie amoureuse cette fois ci.
Après toutes ces activités, tout le monde profite d’un bon temps de repos.
Trois jours plus tard le Président réuni toutes les joueuses du Rugbywomen’s Club de La Fistinière, et il annonce : « Vous allez vous entrainer pour une cérémonie qui aura lieu lors des prochains Jeux Olympiques ! »
Toute l’équipe des femelles s’étonne : « nous aux JO ? » « Oui !!! » répond le Président !
« Vos exploits ayant été télévisés le CIO nous à contactés pour que notre équipe représente un des cinq anneaux des JO lors de l’ouverture à Paris ! »
« Pas possible s’écrient toutes les joueuses ! »
« Et nous allons commencer immédiatement l’entrainement ! »
« Allez les filles toutes à poil ! Et pour celles qui ont encore gardé une petite touffe pubienne : au rasage ! Asseyez-vous sur les premiers gradins cuisses ouverte et que celles qui sont déjà lissent vous nettoient la chatte ! »
Des rasoirs sortent par miracle et rapidement toutes les chattes sont lisses.
« Maintenant les filles toutes en cercle sur le stade ! » Clame le Coach.
« Toutes à 4 pattes en cercle ! Et proche les unes des autres ! »
« Votre Capitaine est déjà bien souple, Sophie tu vas te mettre derrière elle et tu vas lui fister la chatte ! »
Sophie s’approche et me caresse, puis lorsque je suis bien trempée, elle me fiste la chatte.
Je m’excite et je m’enfonce bien sa main dans la chatte.
Le Coach dit aux autres filles : « Vous voyez c’est simple, formez le cercle et fistez celle qui vous précède ! » Les filles hurlent « On n’est pas aussi souple que notre Capitaine ! ».
Le Coach appelle les autres mâles et leur ordonne de fouetter les récalcitrantes, ce qu’ils font sans ménagement. Aussitôt toutes s’empressent de tenter de fister celles qui sont devant elles. Au bout d’un moment le cercle est formé et toutes ont la chatte bien remplie et le cercle est fermé.
Le Coach ordonne au groupe de femelles de se déplacer, elles finissent par y arriver après pas mal d’hésitations, mais quelques coups de fouets bien placés sur les culs arrondis viennent à bout des récalcitrantes.
Lorsqu’il juge que la figure est bien réalisée, le Président intervient : « Femelles c’est bien, vous avez bien méritées d’être choisies par le CIO, vous avez huit jours pour continuer à vous entrainer pour que cela devienne un jeu d’enfant pour vous toutes, après nous entreprendrons la phase finale ce cet anneau ! »
Durant une semaine toutes les femelles s’entrainaient mutuellement jusqu’à ce que toutes aient acquise la souplesse de leur Capitaine, à grand renfort de gel et de godes ; n’hésitant pas à se prêter main forte si nécessaire. Les plus hardies ayant fini la semaine en prenant deux mains fines simultanément en hurlant leur fierté.
Le jour de la reprise de l’entrainement, les femelles furent surprises de trouver une grande quantité de joueurs mâles qui étaient déjà à poil sur le terrain, arborant des membres impressionnants bien tendus.
Le Coach demanda aux femelles de se positionner devant les joueurs et de leur présenter leurs croupes bien écartées, quelques réticences furent vite vaincues par quelques zébrures sur les fesses.
Au coup de sifflet le Coach ordonna aux mâles d’enculer sans ménagements les femelles, après quelques bousculades tout fini par rentrer (dans l’ordre ?).
Durant toute la semaine suivante tous les mâles prirent toutes les croupes des femelles, qui de ce fait furent toutes bien dilatées et assouplies.
Après cette intense semaine d’entrainement, toutes avaient l’anus totalement dilaté, ayant absorbé les énormes queues des rugbymen dont certaines étaient vraiment hors normes.
Les filles étaient devenues accros des séances d’entrainement et elles rivalisaient entre elles pour s’offrir les plus membrés des rugbymen qui devaient quasiment se doper pour satisfaire toutes les envies des femelles en furie.
Le Coach réunit les joueuses, les félicita et leur dit, maintenant que vous êtes toutes bien motivées, nous allons passer à la phase finale de l’entrainement pour que vous puissiez figurer honorablement dans le tableau d’Ouverture des Jeux, d’autres pays ayant été aussi sélectionnés pour représenter les cinq anneaux Olympiques.
Chacune des participantes de chaque équipe sélectionnée aura le corps peint d’une couleur d’un des anneaux, le tirage au sort nous a attribué la couleur jaune, vous serez donc toutes revêtues d’une couleur jaune dorée qui mettra en valeurs vos corps sportifs, y compris vos chevelures qui recevront une teinture spéciale.
Notre anneau sera donc le plus brillant et le plus visible, je compte sur vous pour qu’il soit applaudit par tous ceux qui assisterons à ces Jeux !
Maintenant allez toutes vous douchez et revenez sans vous essuyer, avec le soleil qu’il fait, vos corps brilleront presque autant que lorsque vous serez préparées pour l’ouverture officielle.
Toutes courent aux douches collectives et une grande bataille de seaux d’eau s’engage dans les douches et se termine au bord du terrain. Le Coach les interpelles : « allez les femelles formez un cercle ! »
« Maintenant que vous êtes entrainées, nous allons entreprendre la figure finale ! Êtes-vous prêtes ?» « Ouiiiiiiiiii s’écrient les filles ! »
« Alors faites le cercle comme vous l’avez déjà fait, en mettant la main droite dans la chatte de celle qui vous précède ! ».
Les filles s’empressèrent de se mettre en cercle et avec juste quelques petits piaillements de quelques unes, vite calmés par de sonore claques appliquées par les mâles présents sur les croupes des insoumises.
Le Coach dit alors faites trois pas en avant en maintenant bien vos chattes serrées pour entrainer celles qui sont derrière vous ! Cela se passa sans encombre et sans qu’aucune n’émettent quelques protestations ou même couinement.
Le Coach leur dit c’est bien mes belles soumises vous voilà parfaitement en cercle et bien liées les unes aux autres, mais maintenant nous allons renforcer la solidité de ce bel anneau pour que vous puissiez trottiner sur vos deux pieds sans autre point d’appui !
Comme vous êtes déjà bien trempées, vous allez enfiler votre main gauche encore libre dans le cul de celle qui vous précède, juste au dessus de vos mains droites déjà bloquées dans les chattes ! Exécution !!!
Panique chez les filles qui ont enfin compris pourquoi leurs culs avaient été largement dilatés pendant la semaine précédente !
Et celles qui résisteront se verront fouettées jusqu’à ce qu’elles se soumettent sans broncher !
Quelques cris montèrent du cercle, vite couverts par des claquements de lanières qui rougirent un peu quelques croupes offertes, mais sans dommages réels pour leurs titulaires, qui n’avaient pas vraiment refusé l’introduction anale.
Maintenant vous tournez, doucement au début, puis en augmentant la cadence !
Le cercle s’anima lentement, puis les gourmandes firent plusieurs tours à bonne allure, à la satisfaction du Coach. Tous les mâles présents applaudirent.
Merci Coach lancèrent les filles ! Vous nous avez bien entrainées, nous méritons notre place aux JO !
C’est terminé pour aujourd’hui lança le Coach. Notre Président est fier de vous ! Il a apporté le Champagne pour fêter votre première réussite, en attendant le grand jour où vous serez diffusées sur toutes les télés du monde !
Aussitôt les bouchons sautèrent et tous le monde s’amusa à asperger les autres, jusqu’à ce que les plus salopes décident d’enfiler leurs copines avec les bouteilles.
La Capitaine pour prouver sa qualité se défonçant elle-même le cul avec le fond d’une bouteille qui laissait couler son contenu sur sa partenaire complètement excitée, qui elle-même se défonçait la chatte avec une autre bouteille !
Ainsi se terminait la préparation Olympique du Rugbywomen’s Club de La Fistinière !
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