S.W.A.T.X : Opération ALPHA (3)

- Par l'auteur HDS DeeWar -
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : S.W.A.T.X : Opération ALPHA  (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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S.W.A.T.X : Opération ALPHA (3)
S.W.A.T.X : Opération ALPHA (chap : 3/12)


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Dans ce chapitre, sont présents:

Le psychiatre Peter ''Lewis'' Borrow, cinquante ans, professeur dans la prestigieuse Université de Berkeley. De taille moyenne, plutôt rondouillard, il dispose d'un physique des plus quelconques. Son visage est ovale avec de petits yeux noirs inquisiteurs et quelques cheveux blancs sur le crâne.
Il a été contacté par le Commandant Robert Hicks pour une affaire de viol.


Le Sergent David Kay, surnommé ''Deacon''. 41 ans, grand, musclé, type caucasien, cheveux coupés courts en brosse et barbe poivre-sel, mâchoires carrées, yeux marron foncés.
Il suit une analyse afin de surmonter son traumatisme psychique suite à une intervention dans les S.W.A.T. qui a mal tournée.



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PREMIÈRE SCÉANCE.


- Savez-vous pourquoi vous êtes ici, Sergent Kay?

- Affirmatif. Suite à mon agression, le Commandant Robert Hicks m'a fortement conseillé d'aller voir un psychothérapeute.

David Kay était confortablement installé sur un divan de cuir noir. Il reposait de tout son long, les mains contre le corps, les jambes écartées et le buste légèrement orienté vers l'avant.

Peter Borrow se tenait derrière lui, assis dans un modeste fauteuil gris à roulettes, une pile de papiers posés sur ses genoux.

- Pouvez-vous me rappeler ce qui s'est passé ce fameux jour de votre enlèvement?

Le sergent frémit à ce souvenir et ses doigts se crispèrent contre le bord du divan.

- Je... Je crois que je ne me rappelle plus trop, finit-il par avouer, presque honteux.

Le professeur Peter Borrow laissa s'installer le silence. Il connaissait trop bien cette pathologie qui rongeait la plupart de ses patients. Un déni de réalité ou plus exactement, un blocage émotionnel qui permettait de placer dans ce que l'on avait coutume d'appeler l'inconscient, toute sorte de traumatisme psychologique. (Il regarda le Sergent Kay s'agiter sur le divan). Et dans ce cas précis, il s'agissait d'un viol.

Il fouilla dans ses documents placés devant lui et lut l'un des comptes-rendu consignés par le Commandant Hicks.

- Lors de l'enquête, vous avez affirmé, je cite: « Il donne un ultime coup de reins en criant, ACAB, ACAB. Je sais que c'est un cri de vainqueur et que même les flics les plus aguerris finissent par s'y soumettre. »Qu'entendez-vous par... ''s'y soumettre''?

- Je, ...je ne sais plus trop, docteur. Ce que je voulais sans doute dire, c'est que nous avons affaire à des barbares, vous comprenez? Dès qu'ils mettent la mains sur l'un d'entre nous, ils l'humilient et le traitent comme un animal.

- Comme un animal, dites-vous?

- Oui,... oui, docteur, pire qu'un esclave. (le Sergent Kay était maintenant en proie à des tremblements incontrôlables). Ils nous martyrisent, nous obligent à faire des choses les plus...

- Obscènes?!

- C'est cela. Nous sommes pourtant préparés à ce genre de confrontation, mais quand ça vous tombe dessus, l'entraînement aussi poussé soit-il ne suffit pas.

Le policier d'élite transpirait à grosses gouttes. Le professeur se rapprocha du divan. Il fit glisser les roulettes de son fauteuil de manière à se trouver de trois-quart vis-à-vis de son sujet. Kay ne pouvait le voir mais lui, en revanche, sentait le souffle saccadé qui sortait de sa bouche et ses lèvres qui tremblaient de terreur.

À ce stade de la séance, il importait de faire diversion afin que le patient reprenne pied.

- Parlez-moi des vôtres. D'Annie, votre femme,... de vos enfants.

Les traits du militaire de détendirent.

- Je travaille dur en cumulant les heures supplémentaires pour subvenir aux besoins de ma famille.

- Vous avez eu quelques problèmes d'argent, ces derniers temps, je me trompe?

À nouveau, le visage du Sergent se ferma.

- C'est exact, finit-il par avouer. Mais Hondo [le Sergent-chef Dan Harreslson] et Luca [l'Officier Dominique Luca] ont réglé l'affaire.

Borrow estima plus prudent de ne pas poursuivre dans cette voie. Il orienta la conversation sur ses quatre enfants.

- ...Ils sont tous adorables, vraiment, renchérit le haut gradé. C'est une chance, j'ai toujours rêvé d'avoir une famille nombreuse, vous savez. Avez-vous des gosses, docteur?

Le praticien préféra battre en retraite. Ici, ce n'était pas les patients qui posaient les questions. Un peu comme lors d'un interrogatoire de police. Cette comparaison le fit sourire.

Kay reprit sa litanie avec des trémolos dans la voix.

- Pourtant, j'avoue qu'Annie et moi avons quelques soucis avec Victoria, notre dernière qui doit se faire opérer bientôt.

- Est-ce grave, s'enquit le professeur tout en s'approchant davantage. Il put alors constater que quelques larmes coulaient sur les joues du soldat.

Il lui pressa l'épaule en guise d'apaisement. Ce simple geste était formellement prohibé dans le cadre strict de la profession. Aucun contact physique n'était toléré avec les malades, seule la parole devait soulager.

- On lui a diagnostiqué une malformation cardiaque. (nouveaux sanglots dans la voix) Elle est tellement fragile, je ne veux pas la perdre...

Là aussi, un changement de sujet s'imposait avant que le Sergent ne retombe dans sa dépression. Le docteur Borrow prit soin de noter quelques informations utiles dans son bloc-notes avant de réorienter le dialogue.

- Parlez-moi à présent de votre travail dans la police de Los Angeles.

Un long silence s'ensuivit avant que Kay ne réponde. Les questions qui se succédaient le faisaient passer par un ascenseur émotionnel digne des montagnes russes. Il tenta de calmer sa respiration comme enseigné lors les exercices de commandos.

- Toujours ces satanés problèmes d'argent. Je dois cumuler un autre emploi, en plus de mon travail dans la police.

- Quel est-il?

- Oh, pas grand chose, en fait. J'interviens comme consultant en sécurité pour un ami d'Hondo.

Le professeur Borrow tenta alors une question cruciale à ses yeux.

- Et le fait de transporter deux millions de $ ne vous a pas perturbé, même inconsciemment?

Cette question était censée déclencher toute une chaîne de rejet de la part du Sergent. Et c'est ce qui ne manqua pas de se produire.

- Qu'insinuez-vous par là, docteur? Que j'aurais été complice de ce braquage uniquement parce que je suis à découvert bancaire?!

- Ne vous emportez pas. Ce n'était pas le but de ma question.

Kay commençait à s'échauffer, allongé sur le divan. Peter Borrow regardait cet homme robuste, bien mis dans son uniforme bleu sombre, sortir peu à peu de ses gongs. C'était surprenant venant d'un agent des forces spéciales habitué à garder son calme. C'est à ces détails infimes que l'on pouvait déceler tous les dégâts provoqués par une agression. À plus forte raison, un viol.
Les symptômes restaient à chaque fois les mêmes: un manque flagrant de confiance en soi et un surmoi de colère dès que les choses échappaient à leur contrôle.

Il s'était remis à trembler. Les muscles volumineux de ses bras se contractaient sous la mince étoffe de sa chemise militaire. Il manipulait nerveusement sa plaque de police fédérale accrochée à sa ceinture.

- Et le viol que j'ai subi, vous croyez que je l'ai inventé. J'ai été abusé, docteur, et même si j'ai eu une érection, c'était purement mécanique. Je n'ai rien à voir là dedans, vous comprenez. Je ne suis pas gay.

- Personne n'affirme cela.

- Pourtant vous semblez insinuer le contraire.

Il tourna ses yeux noyés de larmes en direction du praticien.

- C'est comme quand j'ai cru téter le sein de ma chère maman, je ne l'ai pas rêver, ça!

- Vous avez eu le sein de votre mère dans la bouche?

- Parfaitement. C'était juste après qu'ils aient abusés de moi. Ils m'ont fait une nouvelle piqûre qui m'a fait perdre connaissance et après, quand je me suis réveillé, j'étais sur les genoux de ma mère et je...

- Attendez un instant. Borrow fouilla dans ses notes. Vous n'avez jamais mentionné cet épisode lors de votre déclaration.

Le Sergent Kay le fusilla du regard.

- Je ne veux pas en parler, vous entendez. Je ne veux pas. (après un instant d'hésitation) Même à vous...

Le psychanalyste comprit qu'il ne tirerait rien de plus de son patient. Pourtant, cette information allait se révéler d'une importance capitale pour la suite de son analyse.

- Mon objectif n'est nullement de vous forcer. Je n'oblige personne à se confier s'il n'en ressent pas le besoin.

Se levant pour rejoindre son bureau.

- Notre première entrevue est maintenant terminée. Je vous revois la semaine prochaine.


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DEUXIÈME SCÉANCE.



Ce jeudi-là, Le professeur Peter Borrow reçut le Sergent Kay plus tôt que d'habitude. Il souhaitait tenter une nouvelle expérience et craignait un trop grand manque de temps.

Le fier quadra militaire se présenta juste à l'heure. Il était vêtu d'un simple jeans blanc qui mettait parfaitement en valeur ses belles cuisses musclées et d'un T-Shirt noir, moulant son large torse athlétique.

Borrow n'était pas gay, les hommes ne l'intéressaient pas, mais la prestance de ce haut-gradé l'intimidait.

Ils se serrèrent la main avant que David Kay ne s'allonge sur le divan.

- Nous allons procéder différemment, aujourd'hui. Je me suis entretenu avec votre supérieur, le Commandant Hicks, et nous sommes convenus que seule une séance d'hypnose pourrait vous aider à aller mieux.

Le Sergent gratta sa barbe couleur poivre-sel. L'indécision se lisait sur son visage.

- Il vous le conseille fortement si vous souhaitez réintégrer les forces du S.W.A.T.

- Vous allez sonder mon passé, c'est ça?

Kay craignait que le docteur ne découvre les malversations qui l'avaient obligé à aider un escroc usurier et à détourner une certaine somme d'argent (voir S.W.A.T : saison II). Sans parler des problèmes relationnels avec Annie, sa femme.

Le psychothérapeute tenta de le rassurer.

- Pas exactement. Je me contenterai de faire remonter à la surface tout le post-traumatisme que vous avez subit au cours de votre enlèvement et que votre inconscient refoule. Nous pourrons alors entreprendre un travail de reconstruction positive.

Le Sergent Kay soupira avant de donner son accord.

Borrow avait déjà préparé le matériel. Il se plaça derrière son patient, allongé sur le divan, et agita un petit disque d'or sous ses yeux.

- Fixez bien le cercle, Sergent. Ne le perdez pas de vue. Je vais progressivement le ralentir et alors, vous entrerez dans une phase de sommeil paradoxal.

- Paradoxal?

- C'est à dire que vous ne serez pas complètement endormi. Vous voyagerez entre deux mondes: celui des rêves et celui du réel.

Il commença à mouvoir le pendule dans un sens, puis dans l'autre.

Au bout de cinq minutes, les paupières du policier se firent plus lourdes. Il tomba dans une léthargie progressive, la tête inclinée sur un côté.

Le praticien se plaça près de lui, tout en continuant à agiter son pendule.

- Sergent David Kay, vous vous trouvez dans cette cave, entre les mains de vos ravisseurs. Ils vous ont fait subir un grand nombre de brimades, mais vous avez su résister en combattant d'élite que vous êtes. Vous êtes un héro, Sergent Kay, aux yeux de la police, de l'administration, de vos supérieurs hiérarchiques...

Un soupir de satisfaction s'échappa des lèvres mi-closes du militaire amorphe.

- Même votre mère est fière de vous. Elle vous le dit.

- …
- Elle était présente à vos côtés pendant vos sévices, vous vous souvenez?

- …
Le praticien éleva la voix.

- ELLE ÉTAIT LÀ. ELLE ÉTAIT BIEN LÀ,...

Un premier gémissement plaintif résonna dans la pièce.

- C'est cela, Sergent. Vous la voyez, n'est-ce pas? Elle est à vos côtés dans cette cave obscure. elle vous protège contre ces barbares...

- Oui...

- Elle vous prend dans ses bras, vous réconforte, vous embrasse...

- Non. NON,... elle me donne le sein. Je suis son bébé, son petit enfant chéri.

- C'est ça... Continuez.

- J'ai ma tête contre ses genoux. Ils m'ont humilié, ils m'ont... v,... violenté... et maintenant je tête son sein pour me faire pardonner.

- Vous n'avez rien à vous faire pardonner, Sergent.

L'agitation devenait palpable. Kay tremblait de tous ses membres. À ce stade de l'analyse, il aurait été souhaitable d'orienter la discussion sur un sujet moins clivant. Mais Borrow manquait cruellement de temps. Il importait de terminer la séance même si les conséquences en terme psychiques pourraient s'avérer irréversibles.

Le clinicien l'incita à poursuivre, une main posée sur son épaule.

- Si. SI..., reprit Kay, c'est ma faute, je n'ai pas été sage. Je n'aurais jamais du aller dans cette cave, j'ai désobéi et on m'a puni... alors maintenant, maman me console.

Tout en parlant, Kay s'était replié sur lui-même, sa grande carcasse d'adulte en position du fétus. Il suçait son pouce tel un nouveau-né.

Le professeur Borrow agita le pendule un peu plus vite. Les yeux de Kay finirent par se fermer complètement.

- Dites-moi ce que vous voyez, à présent.

Un silence pesant envahit le cabinet de consultation, la pénombre enveloppa peu à peu les deux protagonistes. Puis ce furent un torrent de mots, de paroles continues... Un flot de souvenirs qui remontèrent à la mémoire du militaire. Il replia ses genoux contre son torse, formant une boule compacte, avant de se libérer du traumatisme trop longtemps refoulé.

« … Ils m'ont fait une piqûre, ça m'a fait dormir. Quand je reviens à moi, je suis encore inconscient, comme si je flottais. Je sens qu'on soulève ma tête par les cheveux. On la repose sur des cuisses accueillantes. Elles sont fermes et chaudes. Je suis bien, je ne veux pas revenir à moi, je veux rester dans ce monde d'innocence.

… On me pince le nez. Automatiquement, j'ouvre la bouche. Un truc bizarre glisse entre mes lèvres. Je suis redevenu un bébé. C'est ma maman qui me donne le sein. Je le tête. Je ne veux plus penser à rien, seulement à ça. Et puis, ma mère enfonce son téton dans ma bouche. Loin, profond,... ça fait mal. Je peine à respirer, un peu de lait coule dans ma bouche.

… Ça devient horrible! Je manque d'air, il faut que je respire. J'ouvre les yeux. Je vois un gros ventre et des poils. Je me demande ce que c'est...

… Et pourquoi je dois sucer cette chose étrange?!

… Une voix dans le lointain me ramène à la réalité. Elle a des accents graves, un peu nasillards. Je la reconnais presque aussitôt.

« Si tu mords, je te fourre ton flingue dans le cul et je t'explose les boyaux. »
… Je ne suis pas encore sorti de ma torpeur. J'aimerais que ce soit la douce voix de ma mère. Un écho féminin, calme et mélodieux qui résonnerait dans le lointain. Mais ce timbre masculin n'a rien de rassurant, il me donne des ordre comme dans mon cauchemar.

… Je comprends que je dois lui obéir. Il se retire un peu, libérant ma gorge. Je respire enfin! Une effluve atroce envahit alors mon palais. Un goût de sang, de sperme, d'excréments mélangés. Ça me donne la nausée, une envie de vomir me prend aux tripes, mais je résiste. Je ne veux pas leur donner la satisfaction de ma déchéance, ils seraient trop fiers de m'avoir fait craquer.

… La voix au fort accent africain reprend. Elle m'explique comment le sucer, le caresser de ma langue, de tout avaler après. Je dois obéir si je ne veux pas finir cribler de balles.

… Je reste immobile, la tête sur ses genoux et son truc puant dans la bouche. Je le caresse de ma langue. Il me donne un nouvel ordre. Je referme délicatement mes lèvres sur son pieu. Je fais monter et descendre ma tête le long de son engin. J'ai retrouvé complètement mes esprits. Je sais que je suce une queue pour la première fois de ma vie. Même si je suis encore un peu groggy, j'ai conscience de ce que je fais.

… J'entends des rires gras dans le fond de la pièce, des insultes à mon encontre, des envies d'être encore plus utilisé.

… Une deuxième voix m'intime l'ordre de le prendre sur toute sa longueur. Il veut que mon nez touche son ventre. Quand le gland franchit la luette, j'ai du mal à retenir mes larmes. Je continue, je le fais rentrer dans ma gorge. Il me viole la bouche sous les encouragements de ses complices.

… Je me sens humilié, sali, brisé, mais ma langue continue à caresser son sexe, à s'enrouler autour de la hampe et ça a l'air de lui plaire à entendre ses gémissements. Enfin, mon nez touche son bas-ventre, je ne respire plus, ma respiration reste à nouveau bloquée.

… Je veux me retirer mais deux mains puissantes me saisissent les oreilles. Je pousse un grognement de douleur. Lui, n'en a rien à faire. Il fait monter et descendre ma tête le long de son braquemart, de plus en plus vite, de plus en plus fort. J'ai l'impression qu'il va me décoller les oreilles tant ses gestes sont bestiaux.

… Il me viole la bouche. Rien ne pourra l'arrêter. Je l'entends haleter bruyamment pendant que de grosses larmes coulent le long de mes joues. Un mélange de bave et de salive s'écoulent de la commissure de mes lèvres et inondent ma barbe.

… Soudain, un torrent envahit ma bouche. J'en avale le maximum mais une partie ressort par le nez, comme quand on boit la tasse. Les quolibets redoublent de plus belle. Je ne suis plus qu'une pompe à foutre. Quand il retire sa queue luisante de jus, je retombe sur ses cuisses. Je n'ai plus la force de retenir ma tête, je suis vaincu, anéanti. Ce monstre m'a dépucelé de partout, moi un homme à femmes, un soldat d'élite entraîné aux situations les plus extrêmes. Quand j'ai quitté Annie ce matin, j'étais encore hétéro et me voilà maintenant transformé en vide-couilles de négros qui me fécondent à tour de rôle...

… Du sperme s'échappe de ma bouche entre-ouverte, vient tâcher le haut de son pantalon de toile. Il me repousse violemment et m'oblige à nettoyer cette souillure avec la langue.

… Je repose ensuite ma joue contre sa cuisse, en bon toutou obéissant. Mon tortionnaire me caresse les cheveux comme pour me signifier quelle est ma place désormais et qui est mon nouveau maître.

… Mon corps tressaute par moment, comme s'il avait Parkinson. Petit à petit, le calme revient. Je vois a nouveau le visage souriant de ma mère. Elle me cajole, me dorlote, me donne son autre sein à téter. J'ai encore cette chose bizarre qui glisse entre mes lèvres... »


(à suivre...)

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Texte coquin : S.W.A.T.X : Opération ALPHA  (3)
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