S.W.A.T.X : Opération ALPHA (4)
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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S.W.A.T.X : Opération ALPHA (4)
S.W.A.T.X : Opération ALPHA (chap : 4/12)
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COMPTE-RENDU Du Docteur Peter ''Lewis'' Borrow.
« Le patient Davis Kay présente un nombre important de TSPT (Troubles du Stress Post-Traumatisme) suite à son enlèvement du 22 juin 2021.
Après trois séances de psychothérapie effectuées sous mon contrôle, il est indéniable que le sujet présente une amnésie partielle de la mémoire doublée d'une souffrance morale qui pourraient engendrer des complications physiques préjudiciables au bon fonctionnement des missions futures.
DIAGNOSTIC
Je base mes réflexions sur les trois symptômes décelés après étude.
Premier symptôme.
Une reviviscence répétitive des événements. Nombre de flash-back récurrents du sujet qui font revivre la scène dans laquelle son agresseur le viole et où l'intrusion envahissante et répétitive des images de sa mère détourne le viol par un retour à l'enfance.
J'ai fais téter un sein en silicone pendant une séance d'hypnose. Le patient prenait plaisir, dans un premier temps, à sucer le bout avant de chercher à l'avaler complètement.
Deuxième symptôme.
L'évitement mental et comportemental. Le Sergent se souvient parfaitement du déroulé de son viol, mais uniquement sous hypnose. Il désigne son agresseur sous l'appellation de « bourreau ». Il finit par reconnaître sa supériorité, autant physique que mentale. La présence maternelle récurrente empêche le sujet de traiter ce souvenir traumatique comme un souvenir habituel. La blessure est encore trop présente.
Toujours sous hypnose, j'ai présenté un phallus en caoutchouc devant les lèvres du sujet. Après avoir détourné la tête, et devant mon insistance, il finit par le prendre en bouche et le faire coulisser, reproduisant les mécanismes d'une fellation.
Troisième symptôme.
La connectivité des circuits neuronaux. Je veux parler ici de ceux impliquant la détection de la peur et le traitement de la récompense.
Après un délai de trois semaines, j'ai procédé à une nouvelle séance sous hypnose. Deux possibilités s'offrent au patient. Je lui présente en alternance le sein en silicone puis le pénis en caoutchouc. Il accepte les deux dans un premier temps, passant de l'un à l'autre. Puis, progressivement, le sein maternel semble moins l'intéresser. Il finit par le rejeter complètement. Seul le phallus artificiel retient son attention. Il le prend sur toute sa longueur, le lèche, salive dessus, puis mime l'acte de fellation.
Le phénomène de récompense se matérialise sur le sujet par une forte érection (pantalon tendu au niveau de l'entrejambe), par des grognements de frustration lorsque l'on cherche à lui retirer le pénis de la bouche et, pour finir, une éjaculation précoce et incontrôlée ( pantalon tâché au niveau du bas-ventre) sans aucun contact physique de sa part. »
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CONCLUSION DU RAPPORT du Docteur Peter BORROW.
« Le sergent David Kay présente encore des troubles psychiatriques proches du TSPT. Il développe à ce jour une attitude d'évitement qui renforce sa peur initiale. Son niveau de vigilance s'en trouve fortement amoindri et la peur de revivre la même détresse psychique entraîne des poussées d'adrénaline, des tremblements incontrôlés et une obéissance passive à toute personne qui le dominerait mentalement.
En conclusion, le Sergent Davis ''Deacon'' Kay est déclaré inapte à la poursuite des ses activités au sein du S.W.A.T. »
Le professeur Peter ''Lewis'' Borrow se saisit d'un autre dossier posé sur son bureau. Il enclencha son dictaphone et enchaîna à haute voix.
« Penchons-nous à présent sur le cas de l'Officier James Street.»
(à suivre...)
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COMPTE-RENDU Du Docteur Peter ''Lewis'' Borrow.
« Le patient Davis Kay présente un nombre important de TSPT (Troubles du Stress Post-Traumatisme) suite à son enlèvement du 22 juin 2021.
Après trois séances de psychothérapie effectuées sous mon contrôle, il est indéniable que le sujet présente une amnésie partielle de la mémoire doublée d'une souffrance morale qui pourraient engendrer des complications physiques préjudiciables au bon fonctionnement des missions futures.
DIAGNOSTIC
Je base mes réflexions sur les trois symptômes décelés après étude.
Premier symptôme.
Une reviviscence répétitive des événements. Nombre de flash-back récurrents du sujet qui font revivre la scène dans laquelle son agresseur le viole et où l'intrusion envahissante et répétitive des images de sa mère détourne le viol par un retour à l'enfance.
J'ai fais téter un sein en silicone pendant une séance d'hypnose. Le patient prenait plaisir, dans un premier temps, à sucer le bout avant de chercher à l'avaler complètement.
Deuxième symptôme.
L'évitement mental et comportemental. Le Sergent se souvient parfaitement du déroulé de son viol, mais uniquement sous hypnose. Il désigne son agresseur sous l'appellation de « bourreau ». Il finit par reconnaître sa supériorité, autant physique que mentale. La présence maternelle récurrente empêche le sujet de traiter ce souvenir traumatique comme un souvenir habituel. La blessure est encore trop présente.
Toujours sous hypnose, j'ai présenté un phallus en caoutchouc devant les lèvres du sujet. Après avoir détourné la tête, et devant mon insistance, il finit par le prendre en bouche et le faire coulisser, reproduisant les mécanismes d'une fellation.
Troisième symptôme.
La connectivité des circuits neuronaux. Je veux parler ici de ceux impliquant la détection de la peur et le traitement de la récompense.
Après un délai de trois semaines, j'ai procédé à une nouvelle séance sous hypnose. Deux possibilités s'offrent au patient. Je lui présente en alternance le sein en silicone puis le pénis en caoutchouc. Il accepte les deux dans un premier temps, passant de l'un à l'autre. Puis, progressivement, le sein maternel semble moins l'intéresser. Il finit par le rejeter complètement. Seul le phallus artificiel retient son attention. Il le prend sur toute sa longueur, le lèche, salive dessus, puis mime l'acte de fellation.
Le phénomène de récompense se matérialise sur le sujet par une forte érection (pantalon tendu au niveau de l'entrejambe), par des grognements de frustration lorsque l'on cherche à lui retirer le pénis de la bouche et, pour finir, une éjaculation précoce et incontrôlée ( pantalon tâché au niveau du bas-ventre) sans aucun contact physique de sa part. »
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CONCLUSION DU RAPPORT du Docteur Peter BORROW.
« Le sergent David Kay présente encore des troubles psychiatriques proches du TSPT. Il développe à ce jour une attitude d'évitement qui renforce sa peur initiale. Son niveau de vigilance s'en trouve fortement amoindri et la peur de revivre la même détresse psychique entraîne des poussées d'adrénaline, des tremblements incontrôlés et une obéissance passive à toute personne qui le dominerait mentalement.
En conclusion, le Sergent Davis ''Deacon'' Kay est déclaré inapte à la poursuite des ses activités au sein du S.W.A.T. »
Le professeur Peter ''Lewis'' Borrow se saisit d'un autre dossier posé sur son bureau. Il enclencha son dictaphone et enchaîna à haute voix.
« Penchons-nous à présent sur le cas de l'Officier James Street.»
(à suivre...)
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