S.W.A.T.X : Opération ALPHA (7)
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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S.W.A.T.X : Opération ALPHA (7)
S.W.A.T.X : Opération ALPHA (chap : 7/12)
Lorsqu'il revient à lui, la première chose que ressent Daniel Harrelson est ce crissement insupportable entre les oreilles.
- Ne vous inquiétez pas, Sergent, j'ai juste augmenté l'intensité électrique de vos électrodes. Ça occasionne toujours une gêne inconfortable mais on finit par s'y habituer.
Admirant le corps musclé de son prisonnier, allongé nu sur la grande table de fer.
- Surtout quand le plaisir vous submerge, à la fin...
Une main cagneuse remonte depuis ses chevilles jusqu'aux lourds testicules sombres. Elle ne fait qu'effleurer sa peau, pourtant Harrelson frémit malgré lui. Il se doute qu'on l'a shooté avec quelque drogue sexuelle, sinon il ne se mettrait pas à bander à ce simple contact.
- Exact, Sergent. J'ai rajouté un peu de MDMA (drogue de l'amour) à votre dernière injection.
Caressant la verge tendue du militaire qui pointe vers le ciel.
- Belle bête, Sergent. Félicitation! Dommage que je ne sois pas attiré par la gente masculine sinon nous aurions pu passer un moment agréable. Par contre...
Désignant les huit afro-américains qui s'activent autour de Street et Deacon.
- … Ceux-là auraient tendance à baiser tout ce qui bouge.
Harrelson se refuse à tourner la tête. Il n'a aucun doute sur l'orgie de sexe que subissent ses deux partenaires. Le plus troublant pour lui, est qu'ils y prennent autant de plaisir. Ils sont hétéros pourtant, merde! Deacon est même marié avec quatre enfants à charge...
Soudain un doute s'immisce dans son esprit. Se pourrait-il que lui aussi finisse par succomber. Qu'il révèle le code secret de huit chiffres permettant l'ouverture du coffre?
Cette perspective le fait frémir. Il secoue la tête, comme pour chasser ces pensées néfastes. Une chose est sûre. Il n'aime pas les hommes. Il n'a jamais eu d'attirance particulière pour les personnes de même sexe que lui. Même dans les vestiaires, quand ils se déshabillent pour enfiler leur uniforme, il n'a jamais laissé traîner le moindre regard sur les corps sculptés par l'effort ou par les slips avantageusement remplis.
- En êtes-vous certain, Sergent Harrelson?
Cette voix douce, étrangement masculine, le fait sursauter. Son tortionnaire a l'avantage sur lui, il peut lire dans ses pensées. C'est un facteur dont il doit tenir compte pour la suite. Grâce à cette machine infernale et les électrodes placées à chacune de ses tempes, la moindre zone de son cerveau est scrutée, fouillée, analysée sans qu'il puisse s'y opposer.
- Souvenez-vous, poursuit cette voix lancinante, en primaire avec votre jeune camarade de classe, Colway, je crois. Déjà, à l'époque, vous exhibiez votre petit zizi dans les toilettes de l'école.
Ce souvenir lui revient immédiatement en mémoire.
- Nous avions sept ans, ce n'était que des jeux idiots. Ça se résumait à savoir qui pisserait le plus loin, c'est tout. En quoi cela ferait-il de moi un homo?
Pour toute réponse, la main de son persécuteur quitte sa queue bandée pour s'attarder sur ses abdominaux. Une petite touffe de poils noirs les recouvre. Il les effleure du bout des doigts. Cette légère pression fait réagir Harrelson qui se cambre vers l'avant, recherchant le contact de cette caresse érotique.
Un sourire sournois se dessine sur les lèvres de son bourreau . Il semblerait que l'effet de la drogue agisse plus vite que prévu.
Il quitte à regret le corps musculeux de son prisonnier pour s'avancer en direction de Deacon, maintenu par quatre de ses hommes. Il est courbé en deux, toujours vêtu de son gilet pare-balles, avec son pantalon militaire sur les chevilles. Il se fait pilonner par une énorme queue noire qui lui arrache des couinements de plaisir à chaque fois qu'elle l'écartèle en deux.
À la vue de son nouveau Maître, le sergent tente de se redresser. Il lorgne en direction de la braguette volumineuse et tend une main fébrile vers la bosse qui déforme la toile du pantalon.
- Non, mon bon toutou. Pas moi.
Tout en le complimentant, son tyran lui caresse la barbe poivre-sel puis remonte en direction de ses cheveux argentés. Il lui présente ses doigts qu'il lèche avec reconnaissance.
- Je te réserve pour ton supérieur, le Sergent-chef Daniel Harrelson.
À l'évocation de son nom, Harrelson tourne la tête de côté pour découvrir le cerveau du gang passer un collier hérissé de pointes autour du cou de Kay. Il l'attache à une laisse en cuir puis l'oblige à marcher à quatre pattes à ses côtés, jusqu'à la table métallique.
Une telle scène aurait de quoi susciter l'hilarité d'un public non averti. Un homme blanc, en uniforme, avoisinant les cent kilos de muscles se déplaçant tel un gentil toutou au côté d'un afro-américain qui pourrait être son père.
Mais cette vision d'un de ses hommes soumis à un black, loin de l'indigner, décuple son émoi. La MDMA agit à fond. Il commence à respirer fort, une boule de chaleur se forme au niveau du ventre et irradie progressivement tout son corps. Il bande comme un cerf, sans même savoir pourquoi. Tout ce qu'il espère, soudain, c'est une peau contre la sienne et des mains qui le touchent, le flattent, l'excitent...
Aussi, lorsque Deacon saute sur la table et avance en direction de son sexe dressé, il écarte instinctivement les jambes, sans même se rendre compte de sa reddition. Les sangles qui le maintiennent pieds et poings liés l'empêchent d'aller plus loin.
Un dernier sursaut de lucidité le fait hésiter. Il ferme les yeux et tente de se concentrer. Penser aux nombres ou aux couleurs.
Des nombres, des couleurs. Des nombres,...
« VERT BLEU 100 NOIR 25 30 BLANC … »
- Je vous ai perdu, mon cher Daniel. (Putain, cette ordure se permet même de l'appeler par son prénom!)
- Ah, ça y est, c'est revenu. Oui, permettez cette familiarité, nous apprenons à nous connaître, mais sans doute mon grand cœur me fait-il brûler les étapes. C'est l'un de mes péchés mignons, m'attacher plus que de raison aux gens qui me résistent.
Il se rapproche un peu plus et lui glisse dans le creux de l'oreille.
- Vous devriez regarder, Sergent... Le spectacle qui s'offre à nous ne manque pas de sel.
Dévoré par la curiosité, il ouvre les yeux et découvre Kay au dessus de lui, les cheveux emmêlés de sueur, une fine bave qui coule le long de sa barbe grise et cet horrible collier autour du cou.
Son visage est à quelques centimètres du sien. Il est étrangement pâle avec ses grands yeux dilatés, comme s'il était défoncé. Il grimace bêtement, de ce rire idiot qui dénote son état de bonheur absolu.
- Hey, Hondo, dit-il en se rapprochant encore un peu plus de son supérieur.
- Deacon, non, Deacon...
Harrelson détourne la tête, tant les lèvres de son coéquipier sont proches des siennes.
- Je suis là, poursuit-il en s'écrasant de tout son poids contre le torse musclé d'Harrelson. Je serai toujours là pour toi, Hondo. Tu le sais...
- Deacon, nom de Dieu, ressaisis-toi. Demande-nous de l'aide. On ne peut pas...
Tirant sur la laisse, son nouveau Maître fait redresser Kay. Il lui retire son gilet pare-balles, puis sa chemise militaire. Il se retrouve nu, lui aussi. Une pression sur ses omoplates l'oblige à se coucher contre Harrelson. Une sensation de chaleur les envahit tous les deux. Leurs peaux sont fermes, puissantes, légèrement velues. Elles se frottent l'une contre l'autre, dégageant une aura érotique comme ils n'en avaient jamais ressenti auparavant. Harrelson sent la bite dure de son partenaire presser contre la sienne. Il se rend compte que son corps réagit même si lui, tente de résister.
Kay embrasse Harrelson dans le cou pendant qu'il se serre contre lui.
- Je peux t'aider. Je peux t'aider...
Harrelson tourne le tête et le regarde dans les yeux pendant qu'ils continuent à frotter leurs queues bandées.
- Hondo, je t'aime. Je t'aime, répète-t-il en posant ses lèvres sur la bouche de son chef.
Puis, il force le passage des dents. Harrelson ne lutte plus. Il sait que Kay est drogué, qu'il ignore ce qu'il fait. Même quand sa langue prend possession de son palais, le Sergent-chef se dit que rien de ce qu'il vit n'est réel. Que ce baiser ne représente rien.
Pourtant, il se surprend à réagir, à gémir entre deux respirations. Si les chaînes ne le retenaient pas prisonnier, il enroulerait ses bras autour du corps puissant de Kay, le ferait rouler sous lui et lui imposerait sa virilité d'homme dominant.
Il tente de combattre, de se dire que ce qu'ils font est mal, surtout devant leurs ravisseurs qui n'attendent que ça. Mais la puissance de la drogue injectée se révèle la plus forte. Jamais aucune femme n'avait réussi à déclencher de telles sensations comme en cet instant. Tout est différent, l'odeur de mâle en chaleur, le goût d'une langue râpeuse dans sa bouche, un corps musclé qui l'écrase et surtout, ce manche dur qui pulse contre sa propre queue...
- J'ai envie de toi, murmure Kay en rompant le baiser.
- Comme c'est mignon, renchérit le chef de la bande. Deux beaux policiers qui se déclarent leur flamme. Pour un peu, je serais presque jaloux.
Des rires fusent dans le hangar. Mais harrelson se moque des quolibets. Il hoche la tête en signe d'acceptation.
- Donnez-nous le code d'accès et nous vous libérons. Vous pourrez alors vivre votre idylle en toute liberté.
Nouveaux rires moqueurs.
- Pas question, vous entendez. Vous vous servez de mes hommes que vous droguez pour arriver à vos fin, mais je vous préviens, ça ne marchera pas.
- Qu'à cela ne tienne!
Il tire violemment sur la laisse, obligeant Kay à se relever. Il le positionne entre les jambes d'Harrelson.
Ce dernier redresse la tête comme il peut, toujours enchaîné sur la grande table de fer.
- Non, arrête, ce n'est pas réel. Pense à ta femme, à tes gosses...
Pour toute réponse, le sexy père de famille empoigne le sexe dressé devant lui et le fait coulisser délicatement entre ses grosses mains masculines.
- Pitié, Deacon, ne fait pas ça.... Ooohh! Putain, oui...
Harrelson sent la table bouger. Elle a des sections qui écartent ses cuisses tout en abaissant son torse. Son œillet se trouve soudain exposé.
Il sent une langue chaude pénétrer en lui. Il ne peut retenir un cri de surprise.
- Urrgggh !!!
- Vous n'imaginiez pas tout le potentiel de votre binôme, n'est-ce-pas? Désormais, pendant vos patrouilles, vous saurez comment occuper votre temps libre.
Harrelson n'entend pas les railleries de l'assistance. Il perd progressivement toute notion des réalités. Sa seule préoccupation est la langue rugueuse de son collègue flic qui force sa pastille vierge et pénètre là où aucun homme ne s'était jamais aventuré. Il avait vaguement conscience que l'anus pouvait être utilisé comme zone érogène. Il faisait parfois jouir ses conquêtes féminines simplement en leur titillant la rondelle, mais, putain,...là!!! Jamais... jamais, il n'aurait pensé que,.... Ooohhh!!!
Kay lui écarte davantage les fesses et le bouffe encore plus profondément. Harrelson se tortille comme un ver sous l'effet de ces caresses buccales. Il tente de combattre le désir qui monte en lui mais chaque coup de langue le fait renoncer. Il grogne en sentant sa pastille céder.
- Huumm! Ouai... Deacon, s'il te plaît...
Il s'entend pleurnicher alors qu'il pousse son bassin le plus loin possible à l'encontre de la bouche de Kay.
- Deacon, non!!! Il ne faut paaas...
Mais son ami est sourd à ses protestations. Il continue et creuse plus profondément en lui. Il sait qu'il ne devrait pas penser cela, mais il est fier de son équipier, heureux que dans la police des hommes aussi macho que Kay puisse donner autant de plaisir. Et même s'il agit sous l'emprise de la drogue...
- Il est doué en cunnilingus, n'est-ce-pas?
Mince, il avait oublié que l'autre détraqué pouvait lire dans ses pensées.
- Ce n'est pas très courtois de traiter les gens ainsi. Mais vu le spectacle que vous nous offrez, je vous pardonne.
Se penchant tout près d'Harrelson.
- Pouvez-vous me donner la définition de cunnilingus, Sergent?
L'image se forme instantanément dans son cerveau. Femme, organes génitaux, foufoune, lèvres,...
- Ceci s'applique au sexe féminin, mais chez un homme?
Le flou succède à cette nouvelle question.
- Je vais vous aider, cher ami. Croyez-vous que le Sergent Kay vous fasse un cunnilingus?!
Sa bouche se colle soudain contre son oreille.
- Vous aimez ce que vous fait votre coéquipier, n'est-ce-pas?
- Urrggghh!
- Oui, vous appréciez, pas de doute. Il vous mange bien la chatte, avouez.
- Oohh ! Non...
Harrelson se débat d'un côté et de l'autre, tirant sur ses chaînes. Il essaie de rester lucide mais entre la langue de Kay et les mots de son tourmenteur, il perd pied.
- Dites-le simplement, Sergent. Demandez à Kay de jouer avec votre chatte. Laissez-vous aller, lâchez prise...
Sa langue vient s'enrouler autour de son oreille, stimulant une nouvelle zone érogène. Harrelson sait parfaitement que son bourreau cherche à l'humilier, à le briser psychologiquement pour lui soutirer les informations dont il dispose. Il sait que tant qu'il gardera la combinaison des huit chiffres secrets il ne lui arrivera rien, ni à lui, ni à ses hommes. Sa vie ne sera pas mise en danger, elle pèse 2 millions de $.
Mais il ne s'attendait pas à subir ce type de torture lui, le militaire hyper entraîné. Il sent que sa résistance est sur le point de voler en éclats.
Il cherche à se soustraire au plaisir qui ne cesse de l'envahir. Kay vient de lui écarter les jambes et tourne sa langue dans tous les sens à l'intérieur de sa ch....
- Avouez, Sergent. Admettez que vous avez une chatte, comme les femmes.
- Non,.. Non...
La sueur coule sur son front. Il se mord les lèvres pour ne pas hurler son plaisir.
- Dîtes-le. Laissez-vous aller, Sergent... Vous avez une chatte bien baveuse, un minou qui voudrait se faire défoncer par une grosse queue d'arabe.
Le léchage devient plus intense, des ondes de volupté traversent son corps. Harrelson sent sa résolution craquer. Il est au bout de ses capacités de résistance.
- OUI, PUTAIN... OUI !!! Il pleure, horrifié par sa réaction.
- Vous aimez ça, hein?! Ça fait du bien de vous sentir femme.
Harrelson relève la tête, les bras toujours en croix. Il voit son coéquipier lui bouffer le cul comme s'il s'agissait d'une nana. Il finit par se redresser et ses yeux noirs, vitreux, croisent les siens. Sa barbe est couverte de bave et il transpire abondamment.
Un rictus coquin se dessine sur ses lèvres lorsqu'il lui montre son majeur. Trois grosses phalanges longues, bien larges,...
Soudain, son œillet est déchiré. Kay vient de lui introduire son doigt à l'intérieur. Il halète sous l'effort. Son trou maltraité s'habitue petit à petit à l'intrus. Il tente de resserrer son sphincter mais rien n'y fait, il n'a plus de force. Son cul ne lui appartient plus.
Il ferme les yeux et tente de calmer sa respiration, comme on le lui a enseigné lors des stages commandos. Mais quand l'ongle effleure sa prostate, un choc électrique traverse tout son corps. Son cerveau est inondé d'endorphines alors que les électrodes compriment davantage ses tempes. C'est un doux supplice qu'il ne veut surtout pas voir s'arrêter.
- Dites-le, Sergent que vous avez une chatte et que vous voulez qu'on s'en occupe.
- Ohh ! Putain, oui joue avec ma chatte. Plus fort,... PLUS FORT...
Le chef sourit.
- Quel genre de chatte?
Le majeur stimule sa prostate, la griffe sur toute sa longueur puis la caresse amoureusement. Harrelson en perd la raison.
- Arrggghhh ! Une chatte de... femme. Ooohhh, s'il te plaît, Deacon, baise-moi fort... OOHHH, OUI, PLUS FORT !!!
Harrelson ne sait plus trop ce qu'il dit. Il doit se rappeler que ce n'est pas lui, ce sont les drogues et cette putain de machine qui... oh, Mon Dieu, ce doigt...
- Vous en voulez plus, Sergent? demande l'homme de couleur tout en lui pinçant un téton.
Il ne veut pas être baisé, mais ce majeur dans son cul... Il voudrait le sentir plus profond, encore.
- Ouuurrgghh!!! Oui,... Oui, continue,... Humm ! C'est bon,... ouai, tu vas me faire jouir!
- Alors, donnez-moi au moins le premier chiffre du code.
- Non, Non...
Son ravisseur lui tord le téton gauche.
- ARRGGGHHH... LE... neuf...
À cet instant, Harrelson décharge sans même se toucher.
- C'est bien, Sergent, c'est bien. Un autre, juste un autre chiffre, et ensuite on vous laisse tranquille.
- Ourrggghhh ! HAAARGH, LE,... LE,... Siiiix!!!
Harrelson retombe sur la table métallique, terrassé par l'orgasme qui vient de l'emporter. Il ne voit pas son coéquipier, le Sergent Daniel Kay laper les traces de son propre foutre sur sa peau sombre. Il se délecte des dernières gouttes, sous l'œil satisfait de son maître.
- Brave bête. Tu as réussi ta mission. Tu auras droit à huit gros nonos bien noirs avec tout plein de viande autour.
Le Sergent-chef Daniel Harrelson est ailleurs, une douce plénitude l'envahit. Son esprit flotte tellement loin qu'il ne sent pas la piqûre sur son bras droit et le nuage blanc qui progressivement alourdit ses paupières...
(à suivre...)
Lorsqu'il revient à lui, la première chose que ressent Daniel Harrelson est ce crissement insupportable entre les oreilles.
- Ne vous inquiétez pas, Sergent, j'ai juste augmenté l'intensité électrique de vos électrodes. Ça occasionne toujours une gêne inconfortable mais on finit par s'y habituer.
Admirant le corps musclé de son prisonnier, allongé nu sur la grande table de fer.
- Surtout quand le plaisir vous submerge, à la fin...
Une main cagneuse remonte depuis ses chevilles jusqu'aux lourds testicules sombres. Elle ne fait qu'effleurer sa peau, pourtant Harrelson frémit malgré lui. Il se doute qu'on l'a shooté avec quelque drogue sexuelle, sinon il ne se mettrait pas à bander à ce simple contact.
- Exact, Sergent. J'ai rajouté un peu de MDMA (drogue de l'amour) à votre dernière injection.
Caressant la verge tendue du militaire qui pointe vers le ciel.
- Belle bête, Sergent. Félicitation! Dommage que je ne sois pas attiré par la gente masculine sinon nous aurions pu passer un moment agréable. Par contre...
Désignant les huit afro-américains qui s'activent autour de Street et Deacon.
- … Ceux-là auraient tendance à baiser tout ce qui bouge.
Harrelson se refuse à tourner la tête. Il n'a aucun doute sur l'orgie de sexe que subissent ses deux partenaires. Le plus troublant pour lui, est qu'ils y prennent autant de plaisir. Ils sont hétéros pourtant, merde! Deacon est même marié avec quatre enfants à charge...
Soudain un doute s'immisce dans son esprit. Se pourrait-il que lui aussi finisse par succomber. Qu'il révèle le code secret de huit chiffres permettant l'ouverture du coffre?
Cette perspective le fait frémir. Il secoue la tête, comme pour chasser ces pensées néfastes. Une chose est sûre. Il n'aime pas les hommes. Il n'a jamais eu d'attirance particulière pour les personnes de même sexe que lui. Même dans les vestiaires, quand ils se déshabillent pour enfiler leur uniforme, il n'a jamais laissé traîner le moindre regard sur les corps sculptés par l'effort ou par les slips avantageusement remplis.
- En êtes-vous certain, Sergent Harrelson?
Cette voix douce, étrangement masculine, le fait sursauter. Son tortionnaire a l'avantage sur lui, il peut lire dans ses pensées. C'est un facteur dont il doit tenir compte pour la suite. Grâce à cette machine infernale et les électrodes placées à chacune de ses tempes, la moindre zone de son cerveau est scrutée, fouillée, analysée sans qu'il puisse s'y opposer.
- Souvenez-vous, poursuit cette voix lancinante, en primaire avec votre jeune camarade de classe, Colway, je crois. Déjà, à l'époque, vous exhibiez votre petit zizi dans les toilettes de l'école.
Ce souvenir lui revient immédiatement en mémoire.
- Nous avions sept ans, ce n'était que des jeux idiots. Ça se résumait à savoir qui pisserait le plus loin, c'est tout. En quoi cela ferait-il de moi un homo?
Pour toute réponse, la main de son persécuteur quitte sa queue bandée pour s'attarder sur ses abdominaux. Une petite touffe de poils noirs les recouvre. Il les effleure du bout des doigts. Cette légère pression fait réagir Harrelson qui se cambre vers l'avant, recherchant le contact de cette caresse érotique.
Un sourire sournois se dessine sur les lèvres de son bourreau . Il semblerait que l'effet de la drogue agisse plus vite que prévu.
Il quitte à regret le corps musculeux de son prisonnier pour s'avancer en direction de Deacon, maintenu par quatre de ses hommes. Il est courbé en deux, toujours vêtu de son gilet pare-balles, avec son pantalon militaire sur les chevilles. Il se fait pilonner par une énorme queue noire qui lui arrache des couinements de plaisir à chaque fois qu'elle l'écartèle en deux.
À la vue de son nouveau Maître, le sergent tente de se redresser. Il lorgne en direction de la braguette volumineuse et tend une main fébrile vers la bosse qui déforme la toile du pantalon.
- Non, mon bon toutou. Pas moi.
Tout en le complimentant, son tyran lui caresse la barbe poivre-sel puis remonte en direction de ses cheveux argentés. Il lui présente ses doigts qu'il lèche avec reconnaissance.
- Je te réserve pour ton supérieur, le Sergent-chef Daniel Harrelson.
À l'évocation de son nom, Harrelson tourne la tête de côté pour découvrir le cerveau du gang passer un collier hérissé de pointes autour du cou de Kay. Il l'attache à une laisse en cuir puis l'oblige à marcher à quatre pattes à ses côtés, jusqu'à la table métallique.
Une telle scène aurait de quoi susciter l'hilarité d'un public non averti. Un homme blanc, en uniforme, avoisinant les cent kilos de muscles se déplaçant tel un gentil toutou au côté d'un afro-américain qui pourrait être son père.
Mais cette vision d'un de ses hommes soumis à un black, loin de l'indigner, décuple son émoi. La MDMA agit à fond. Il commence à respirer fort, une boule de chaleur se forme au niveau du ventre et irradie progressivement tout son corps. Il bande comme un cerf, sans même savoir pourquoi. Tout ce qu'il espère, soudain, c'est une peau contre la sienne et des mains qui le touchent, le flattent, l'excitent...
Aussi, lorsque Deacon saute sur la table et avance en direction de son sexe dressé, il écarte instinctivement les jambes, sans même se rendre compte de sa reddition. Les sangles qui le maintiennent pieds et poings liés l'empêchent d'aller plus loin.
Un dernier sursaut de lucidité le fait hésiter. Il ferme les yeux et tente de se concentrer. Penser aux nombres ou aux couleurs.
Des nombres, des couleurs. Des nombres,...
« VERT BLEU 100 NOIR 25 30 BLANC … »
- Je vous ai perdu, mon cher Daniel. (Putain, cette ordure se permet même de l'appeler par son prénom!)
- Ah, ça y est, c'est revenu. Oui, permettez cette familiarité, nous apprenons à nous connaître, mais sans doute mon grand cœur me fait-il brûler les étapes. C'est l'un de mes péchés mignons, m'attacher plus que de raison aux gens qui me résistent.
Il se rapproche un peu plus et lui glisse dans le creux de l'oreille.
- Vous devriez regarder, Sergent... Le spectacle qui s'offre à nous ne manque pas de sel.
Dévoré par la curiosité, il ouvre les yeux et découvre Kay au dessus de lui, les cheveux emmêlés de sueur, une fine bave qui coule le long de sa barbe grise et cet horrible collier autour du cou.
Son visage est à quelques centimètres du sien. Il est étrangement pâle avec ses grands yeux dilatés, comme s'il était défoncé. Il grimace bêtement, de ce rire idiot qui dénote son état de bonheur absolu.
- Hey, Hondo, dit-il en se rapprochant encore un peu plus de son supérieur.
- Deacon, non, Deacon...
Harrelson détourne la tête, tant les lèvres de son coéquipier sont proches des siennes.
- Je suis là, poursuit-il en s'écrasant de tout son poids contre le torse musclé d'Harrelson. Je serai toujours là pour toi, Hondo. Tu le sais...
- Deacon, nom de Dieu, ressaisis-toi. Demande-nous de l'aide. On ne peut pas...
Tirant sur la laisse, son nouveau Maître fait redresser Kay. Il lui retire son gilet pare-balles, puis sa chemise militaire. Il se retrouve nu, lui aussi. Une pression sur ses omoplates l'oblige à se coucher contre Harrelson. Une sensation de chaleur les envahit tous les deux. Leurs peaux sont fermes, puissantes, légèrement velues. Elles se frottent l'une contre l'autre, dégageant une aura érotique comme ils n'en avaient jamais ressenti auparavant. Harrelson sent la bite dure de son partenaire presser contre la sienne. Il se rend compte que son corps réagit même si lui, tente de résister.
Kay embrasse Harrelson dans le cou pendant qu'il se serre contre lui.
- Je peux t'aider. Je peux t'aider...
Harrelson tourne le tête et le regarde dans les yeux pendant qu'ils continuent à frotter leurs queues bandées.
- Hondo, je t'aime. Je t'aime, répète-t-il en posant ses lèvres sur la bouche de son chef.
Puis, il force le passage des dents. Harrelson ne lutte plus. Il sait que Kay est drogué, qu'il ignore ce qu'il fait. Même quand sa langue prend possession de son palais, le Sergent-chef se dit que rien de ce qu'il vit n'est réel. Que ce baiser ne représente rien.
Pourtant, il se surprend à réagir, à gémir entre deux respirations. Si les chaînes ne le retenaient pas prisonnier, il enroulerait ses bras autour du corps puissant de Kay, le ferait rouler sous lui et lui imposerait sa virilité d'homme dominant.
Il tente de combattre, de se dire que ce qu'ils font est mal, surtout devant leurs ravisseurs qui n'attendent que ça. Mais la puissance de la drogue injectée se révèle la plus forte. Jamais aucune femme n'avait réussi à déclencher de telles sensations comme en cet instant. Tout est différent, l'odeur de mâle en chaleur, le goût d'une langue râpeuse dans sa bouche, un corps musclé qui l'écrase et surtout, ce manche dur qui pulse contre sa propre queue...
- J'ai envie de toi, murmure Kay en rompant le baiser.
- Comme c'est mignon, renchérit le chef de la bande. Deux beaux policiers qui se déclarent leur flamme. Pour un peu, je serais presque jaloux.
Des rires fusent dans le hangar. Mais harrelson se moque des quolibets. Il hoche la tête en signe d'acceptation.
- Donnez-nous le code d'accès et nous vous libérons. Vous pourrez alors vivre votre idylle en toute liberté.
Nouveaux rires moqueurs.
- Pas question, vous entendez. Vous vous servez de mes hommes que vous droguez pour arriver à vos fin, mais je vous préviens, ça ne marchera pas.
- Qu'à cela ne tienne!
Il tire violemment sur la laisse, obligeant Kay à se relever. Il le positionne entre les jambes d'Harrelson.
Ce dernier redresse la tête comme il peut, toujours enchaîné sur la grande table de fer.
- Non, arrête, ce n'est pas réel. Pense à ta femme, à tes gosses...
Pour toute réponse, le sexy père de famille empoigne le sexe dressé devant lui et le fait coulisser délicatement entre ses grosses mains masculines.
- Pitié, Deacon, ne fait pas ça.... Ooohh! Putain, oui...
Harrelson sent la table bouger. Elle a des sections qui écartent ses cuisses tout en abaissant son torse. Son œillet se trouve soudain exposé.
Il sent une langue chaude pénétrer en lui. Il ne peut retenir un cri de surprise.
- Urrgggh !!!
- Vous n'imaginiez pas tout le potentiel de votre binôme, n'est-ce-pas? Désormais, pendant vos patrouilles, vous saurez comment occuper votre temps libre.
Harrelson n'entend pas les railleries de l'assistance. Il perd progressivement toute notion des réalités. Sa seule préoccupation est la langue rugueuse de son collègue flic qui force sa pastille vierge et pénètre là où aucun homme ne s'était jamais aventuré. Il avait vaguement conscience que l'anus pouvait être utilisé comme zone érogène. Il faisait parfois jouir ses conquêtes féminines simplement en leur titillant la rondelle, mais, putain,...là!!! Jamais... jamais, il n'aurait pensé que,.... Ooohhh!!!
Kay lui écarte davantage les fesses et le bouffe encore plus profondément. Harrelson se tortille comme un ver sous l'effet de ces caresses buccales. Il tente de combattre le désir qui monte en lui mais chaque coup de langue le fait renoncer. Il grogne en sentant sa pastille céder.
- Huumm! Ouai... Deacon, s'il te plaît...
Il s'entend pleurnicher alors qu'il pousse son bassin le plus loin possible à l'encontre de la bouche de Kay.
- Deacon, non!!! Il ne faut paaas...
Mais son ami est sourd à ses protestations. Il continue et creuse plus profondément en lui. Il sait qu'il ne devrait pas penser cela, mais il est fier de son équipier, heureux que dans la police des hommes aussi macho que Kay puisse donner autant de plaisir. Et même s'il agit sous l'emprise de la drogue...
- Il est doué en cunnilingus, n'est-ce-pas?
Mince, il avait oublié que l'autre détraqué pouvait lire dans ses pensées.
- Ce n'est pas très courtois de traiter les gens ainsi. Mais vu le spectacle que vous nous offrez, je vous pardonne.
Se penchant tout près d'Harrelson.
- Pouvez-vous me donner la définition de cunnilingus, Sergent?
L'image se forme instantanément dans son cerveau. Femme, organes génitaux, foufoune, lèvres,...
- Ceci s'applique au sexe féminin, mais chez un homme?
Le flou succède à cette nouvelle question.
- Je vais vous aider, cher ami. Croyez-vous que le Sergent Kay vous fasse un cunnilingus?!
Sa bouche se colle soudain contre son oreille.
- Vous aimez ce que vous fait votre coéquipier, n'est-ce-pas?
- Urrggghh!
- Oui, vous appréciez, pas de doute. Il vous mange bien la chatte, avouez.
- Oohh ! Non...
Harrelson se débat d'un côté et de l'autre, tirant sur ses chaînes. Il essaie de rester lucide mais entre la langue de Kay et les mots de son tourmenteur, il perd pied.
- Dites-le simplement, Sergent. Demandez à Kay de jouer avec votre chatte. Laissez-vous aller, lâchez prise...
Sa langue vient s'enrouler autour de son oreille, stimulant une nouvelle zone érogène. Harrelson sait parfaitement que son bourreau cherche à l'humilier, à le briser psychologiquement pour lui soutirer les informations dont il dispose. Il sait que tant qu'il gardera la combinaison des huit chiffres secrets il ne lui arrivera rien, ni à lui, ni à ses hommes. Sa vie ne sera pas mise en danger, elle pèse 2 millions de $.
Mais il ne s'attendait pas à subir ce type de torture lui, le militaire hyper entraîné. Il sent que sa résistance est sur le point de voler en éclats.
Il cherche à se soustraire au plaisir qui ne cesse de l'envahir. Kay vient de lui écarter les jambes et tourne sa langue dans tous les sens à l'intérieur de sa ch....
- Avouez, Sergent. Admettez que vous avez une chatte, comme les femmes.
- Non,.. Non...
La sueur coule sur son front. Il se mord les lèvres pour ne pas hurler son plaisir.
- Dîtes-le. Laissez-vous aller, Sergent... Vous avez une chatte bien baveuse, un minou qui voudrait se faire défoncer par une grosse queue d'arabe.
Le léchage devient plus intense, des ondes de volupté traversent son corps. Harrelson sent sa résolution craquer. Il est au bout de ses capacités de résistance.
- OUI, PUTAIN... OUI !!! Il pleure, horrifié par sa réaction.
- Vous aimez ça, hein?! Ça fait du bien de vous sentir femme.
Harrelson relève la tête, les bras toujours en croix. Il voit son coéquipier lui bouffer le cul comme s'il s'agissait d'une nana. Il finit par se redresser et ses yeux noirs, vitreux, croisent les siens. Sa barbe est couverte de bave et il transpire abondamment.
Un rictus coquin se dessine sur ses lèvres lorsqu'il lui montre son majeur. Trois grosses phalanges longues, bien larges,...
Soudain, son œillet est déchiré. Kay vient de lui introduire son doigt à l'intérieur. Il halète sous l'effort. Son trou maltraité s'habitue petit à petit à l'intrus. Il tente de resserrer son sphincter mais rien n'y fait, il n'a plus de force. Son cul ne lui appartient plus.
Il ferme les yeux et tente de calmer sa respiration, comme on le lui a enseigné lors des stages commandos. Mais quand l'ongle effleure sa prostate, un choc électrique traverse tout son corps. Son cerveau est inondé d'endorphines alors que les électrodes compriment davantage ses tempes. C'est un doux supplice qu'il ne veut surtout pas voir s'arrêter.
- Dites-le, Sergent que vous avez une chatte et que vous voulez qu'on s'en occupe.
- Ohh ! Putain, oui joue avec ma chatte. Plus fort,... PLUS FORT...
Le chef sourit.
- Quel genre de chatte?
Le majeur stimule sa prostate, la griffe sur toute sa longueur puis la caresse amoureusement. Harrelson en perd la raison.
- Arrggghhh ! Une chatte de... femme. Ooohhh, s'il te plaît, Deacon, baise-moi fort... OOHHH, OUI, PLUS FORT !!!
Harrelson ne sait plus trop ce qu'il dit. Il doit se rappeler que ce n'est pas lui, ce sont les drogues et cette putain de machine qui... oh, Mon Dieu, ce doigt...
- Vous en voulez plus, Sergent? demande l'homme de couleur tout en lui pinçant un téton.
Il ne veut pas être baisé, mais ce majeur dans son cul... Il voudrait le sentir plus profond, encore.
- Ouuurrgghh!!! Oui,... Oui, continue,... Humm ! C'est bon,... ouai, tu vas me faire jouir!
- Alors, donnez-moi au moins le premier chiffre du code.
- Non, Non...
Son ravisseur lui tord le téton gauche.
- ARRGGGHHH... LE... neuf...
À cet instant, Harrelson décharge sans même se toucher.
- C'est bien, Sergent, c'est bien. Un autre, juste un autre chiffre, et ensuite on vous laisse tranquille.
- Ourrggghhh ! HAAARGH, LE,... LE,... Siiiix!!!
Harrelson retombe sur la table métallique, terrassé par l'orgasme qui vient de l'emporter. Il ne voit pas son coéquipier, le Sergent Daniel Kay laper les traces de son propre foutre sur sa peau sombre. Il se délecte des dernières gouttes, sous l'œil satisfait de son maître.
- Brave bête. Tu as réussi ta mission. Tu auras droit à huit gros nonos bien noirs avec tout plein de viande autour.
Le Sergent-chef Daniel Harrelson est ailleurs, une douce plénitude l'envahit. Son esprit flotte tellement loin qu'il ne sent pas la piqûre sur son bras droit et le nuage blanc qui progressivement alourdit ses paupières...
(à suivre...)
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