Sa fente
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Sa fente
J’aime son sexe depuis la première fois ensemble. Vu de l’extérieur ce n’est jamais qu’une chatte, une chatte de race qui aime les caresses. Pas toutes heureusement. Les miennes lui plaisent beaucoup parce que j’y met tout mon cœur entre autre. J’aime ouvrir sa fente pour faire ressortir son bouton qui grossit sous ma langue. J’adore son puits dans lequel je vais pêcher avec la langue et son plaisir et le mien à cause de son gout légèrement ambré. J’aime m’abreuver à cette source qui donne cette délicieuse cyprine, comme j’adore lui lécher l’anus comme elle aime et en abuser pour y mettre toute ma langue.
J’avais à peine 19 ans quand je l’ai rencontrer chez des amis pour une petit sauterie. Nous avons bavardé un bon moment avant qu’elle murmure dans mon oreille que je lui plaisait beaucoup. Pour moi ça ne voulais dire qu’une chose: ma conversation lui plaisait.
Nous sommes sorties ensemble toujours en parlant. Elle m’a invité chez elle: j’ai accepté. Je ne m’attendais pas du tout à la suite heureuse qui suivrai.
Il était tard, plus de 23 heures en tout cas. Habitant seule, personne ne pouvait m’attendre. A cette heure Rosine ne pouvait m’offrir qu’un alcool. Je choisissait une liqueur pendant qu’elle prenait un armagnac. Nous parlions jusqu’à présent de choses et autres, maintenant elle arrivait lentement à parler de plaisir sexuel. A mon âge je ne connaissait pas grand-chose: je n’avais fait l’amour qu’avec deux garçons plus âgés que moi (pas avec les deux à la fois). Je savais me donner du plaisir, en prendre avec un homme, le second.
Elle avait beaucoup plus de connaissance que moi en la matière. C’est normal elle avait 27 ans.
Pourtant elle ne me parlait pas d’homme de sa vie. Elle aussi aimait se branler, elle aimait jouir avec d’autres personnes.
C’est là que tout a basculé: elle avouait qu’elle me trouvait très sexy et qu’elle avait envie de me donner du plaisir. Nous étions assises très proches il lui a été simple de poser sa bouche sur la mienne. Je ne pouvais pas me dégager. J’étais forcé d’accepter sa langue dans ma bouche. Au début j’étais écœurée. Ensuite je trouvais les caresses dans ma bouche agréable. Je me laissais faire. Elle passait une main sous ma chemise, trouvais mon soutien gorge pour le dégrafer et caresser mes seins. J’ai craqué quand je sentais le plaisir d’être caressée. Je fermais le yeux pour profiter de cette nouveauté. Elle a enlevé la chemise et le soutien gorge. Je me trouvais pour la première fois de ma vie sans pudeur devant une femme. Sans rien me demander elle fait tomber mon jean et le string.
- Déshabilles moi, s’il te plais. Me demande Rosine.
- Je ne sais pas faire ça.
- Fais le tu verra ma poitrine et mon sexe que tu touchera.
Voir et caresser ses seins. Je veux lui rendre ce qu’elle m’a fait. Son sexe: mis à part le mien, je n’en connais aucun.
Je m’y prends comme un manche. J’arrive péniblement à la mettre toute nue. Je réalise enfin qu’elle est belle avec ses seins bien hauts munis de mamelons plus sombres que sa peau. Son ventre sans poils et le début de sa fente. Je sais ce qu’il y a dedans, si elle est faite comme moi. Je caresse un peu les seins. Je doit m’y prendre très mal et pourtant elle me tient la main. J’ai besoin d’encouragement aussi je l’embrasse de moi-même. C’est ma langue qui entre dans sa bouche. Je trouve qu’elle a bon gout. Je reste sur sa langue.
Elle garde sa bouche sur la mienne: pourtant une main va sur une cuisse pour la caresser. Jusqu’à présent elle ne fait rien de plus qu’un garçon. Je réalise que c’est une femme qui me fait du bien: je mouille depuis un bon moment. J’espère qu’elle va de caresser entre les jambes, là où j’aime me faire jouir. Qu’elle lenteur pour aller vers mon intimité que j’accepte de lui donner. Ouf, enfin je sens ses doigts arriver sur ma féminité. Elle commence par écarter les lèvres vers le haut: pile là où j’ai le clitoris. J’écarte bien les jambes. Je sens au début juste comme une déchainement qui monte, plus forte que quand je me masturbe. Je me crispe un peu juste au moment où je sens que je m’envole.
Elle ne s’arrête pas là, elle entre des doigts dans ma chatte. C’est bien moins gros qu’une bite en érection, elle me fait quand même jouir. Avec qu‘elle douceur de sa part pour me les mettre. Elle sait faire durer le plaisir avant l’orgasme. Quand elle sort de ma gaine je la retiens, elle recommence pour me faire jouir très vite.
Pour le moment je suis comblée. Je voudrai lui rendre la monnaie de sa pièce. Elle aussi écarte les jambes. J’arrive à passer ma main entre ses cuisses. Je la monte lentement vers son entrejambe. Je dois aller trop lentement, elle prend mon bras pour le pousser plus vite. Je suis maintenant sur son sexe, sur sa fente. J’ai deux doigts qui écartent également ses lèvres. Je les caresse lentement pour arriver enfin sur son clito. Je suis étonnée de le sentir plus grand que le mien. Je peux le prendre entre deux doigts que je serre et desserre en cadence. Je la sens jouir. J’en suis satisfaite; j’ai fait jouir une femme. Je voudrai recommencé au même endroit d’où elle a bien joui. Elle me veux ailleurs. Je vais le plus bas possible: son anus. Je pensais qu’elle ne voudrai pas. Elle accepte mon doigt. Je ne fait que passer dessus sans presque la toucher. Elle me laisse faire un instant avant de coller cet endroit sur mon doigt. Ma caresse lui plait: je vais aller d’une autre façon: je fait le tour de son cul sans trop appuyer. Elle me prend presque au dépourvue quand elle serre ses cuisses sur ma main.
En jouissant elle me dit des gros mots!
- Je suis une salope d’aimer les filles, je suis une gouine, une pute à femme, j’ouvre mon con aux femmes, je mouille comme s’il pleuvait, j’aime que te langue soit dans ma bouche. Branles moi encore, sans arrêt; j’ai envie de jouir. Putain que c’est bon ta paluche sur mon connard de cul.
- Tu veux que je te suce ?
- Oui, suces moi le con.
Elle se couche, écarte les jambes ce qu’il faut pour que le passe la tête. Je suis l’apprentie et c’est à moi d’inventer ce que je doit faire pour qu’elle jouisse. Je me glisse vers sa fente, j’écarte un peu avec mes doigts l’endroit où je vais mettre ma langue et ma bouche. Je suis surprise par l’odeur de femelle en chaleur. Par contre le gout excellant de son liquide m’enivre. Je ne sais pourquoi j’innove en passant mon nez depuis l’anus jusqu’au bouton. C’est drôle de sentir les odeurs et les diverses partie du sexe. Je sais que son clitoris réagit vite dès que mon nez le touche. Je caresse donc le clito avec mon nez uniquement. Nez ou pas nez, je la fait jouir. J’ai pu ainsi lui mettre la langue dans son trou des plaisirs. J’ai encore ce bon gout de se mouille sur ma langue. Je ne m’en lasse pas tellement je le trouve délicieux.
Je peux également lui entre deux doigts dans le cul. Je les fais aller et venir comme si je la sodomisais.
- Viens sur moi pour un 69.
- Je me met sur elle, les jambes ouvertes pour lui donner tout ce que je possède de plus précieux.
C’est elle qui rapidement prend mon clito pour le lécher. Je lèche le sien un poil plus tard. Je ne pensais jamais prendre un tel plaisir pour un simple 69. Ses seins sur mon ventre me font du bien comme son ventre sur mes seins. Ses mains entourent mes cuisses, vers le haut. Si elle pouvait mettre un ou plusieurs doigts dans mon fondement comme je vais lui faire.
Elle ne fais pas se que je désirai: elle fait bien de poser sa langue sur mon cul. Elle force à peine pour la rentrer dans mon ventre. Je frémis toujours quand elle la fait aller et venir. Elle fait tout ce qu’il faut pour que mon plaisir monte lentement. Alors à ce moment là je crie mon bonheur, je crie mon orgasme. Je me sens mourir d’amour pour elle.
Je crois que mon sentiment est partagé depuis que nous vivons ensemble: nous sommes comme de jeunes mariés, près à baiser n’importe où, n’importe quand et souvent. Si nous partons en voiture, elle conduit: je dois avoir les cuisses presque nue, sans string, prête à recevoir sa main quand elle veut me masturber. Je lui fait pareil quand j’en ai envie. Prudente elle s’arrête au bord de la route, relève le bas de sa jupe et me donne directement son sexe nu que je caresse ou suce si je peux.
Je suis devenue totalement lesbienne et j’en suis heureuse.
Il est des endroits où on nous regarde différemment: dans les restaurants où nous ne nous gênons pas pour nous embrasser sur le bouche et si nous sommes bien placées nous branler.
J’avais à peine 19 ans quand je l’ai rencontrer chez des amis pour une petit sauterie. Nous avons bavardé un bon moment avant qu’elle murmure dans mon oreille que je lui plaisait beaucoup. Pour moi ça ne voulais dire qu’une chose: ma conversation lui plaisait.
Nous sommes sorties ensemble toujours en parlant. Elle m’a invité chez elle: j’ai accepté. Je ne m’attendais pas du tout à la suite heureuse qui suivrai.
Il était tard, plus de 23 heures en tout cas. Habitant seule, personne ne pouvait m’attendre. A cette heure Rosine ne pouvait m’offrir qu’un alcool. Je choisissait une liqueur pendant qu’elle prenait un armagnac. Nous parlions jusqu’à présent de choses et autres, maintenant elle arrivait lentement à parler de plaisir sexuel. A mon âge je ne connaissait pas grand-chose: je n’avais fait l’amour qu’avec deux garçons plus âgés que moi (pas avec les deux à la fois). Je savais me donner du plaisir, en prendre avec un homme, le second.
Elle avait beaucoup plus de connaissance que moi en la matière. C’est normal elle avait 27 ans.
Pourtant elle ne me parlait pas d’homme de sa vie. Elle aussi aimait se branler, elle aimait jouir avec d’autres personnes.
C’est là que tout a basculé: elle avouait qu’elle me trouvait très sexy et qu’elle avait envie de me donner du plaisir. Nous étions assises très proches il lui a été simple de poser sa bouche sur la mienne. Je ne pouvais pas me dégager. J’étais forcé d’accepter sa langue dans ma bouche. Au début j’étais écœurée. Ensuite je trouvais les caresses dans ma bouche agréable. Je me laissais faire. Elle passait une main sous ma chemise, trouvais mon soutien gorge pour le dégrafer et caresser mes seins. J’ai craqué quand je sentais le plaisir d’être caressée. Je fermais le yeux pour profiter de cette nouveauté. Elle a enlevé la chemise et le soutien gorge. Je me trouvais pour la première fois de ma vie sans pudeur devant une femme. Sans rien me demander elle fait tomber mon jean et le string.
- Déshabilles moi, s’il te plais. Me demande Rosine.
- Je ne sais pas faire ça.
- Fais le tu verra ma poitrine et mon sexe que tu touchera.
Voir et caresser ses seins. Je veux lui rendre ce qu’elle m’a fait. Son sexe: mis à part le mien, je n’en connais aucun.
Je m’y prends comme un manche. J’arrive péniblement à la mettre toute nue. Je réalise enfin qu’elle est belle avec ses seins bien hauts munis de mamelons plus sombres que sa peau. Son ventre sans poils et le début de sa fente. Je sais ce qu’il y a dedans, si elle est faite comme moi. Je caresse un peu les seins. Je doit m’y prendre très mal et pourtant elle me tient la main. J’ai besoin d’encouragement aussi je l’embrasse de moi-même. C’est ma langue qui entre dans sa bouche. Je trouve qu’elle a bon gout. Je reste sur sa langue.
Elle garde sa bouche sur la mienne: pourtant une main va sur une cuisse pour la caresser. Jusqu’à présent elle ne fait rien de plus qu’un garçon. Je réalise que c’est une femme qui me fait du bien: je mouille depuis un bon moment. J’espère qu’elle va de caresser entre les jambes, là où j’aime me faire jouir. Qu’elle lenteur pour aller vers mon intimité que j’accepte de lui donner. Ouf, enfin je sens ses doigts arriver sur ma féminité. Elle commence par écarter les lèvres vers le haut: pile là où j’ai le clitoris. J’écarte bien les jambes. Je sens au début juste comme une déchainement qui monte, plus forte que quand je me masturbe. Je me crispe un peu juste au moment où je sens que je m’envole.
Elle ne s’arrête pas là, elle entre des doigts dans ma chatte. C’est bien moins gros qu’une bite en érection, elle me fait quand même jouir. Avec qu‘elle douceur de sa part pour me les mettre. Elle sait faire durer le plaisir avant l’orgasme. Quand elle sort de ma gaine je la retiens, elle recommence pour me faire jouir très vite.
Pour le moment je suis comblée. Je voudrai lui rendre la monnaie de sa pièce. Elle aussi écarte les jambes. J’arrive à passer ma main entre ses cuisses. Je la monte lentement vers son entrejambe. Je dois aller trop lentement, elle prend mon bras pour le pousser plus vite. Je suis maintenant sur son sexe, sur sa fente. J’ai deux doigts qui écartent également ses lèvres. Je les caresse lentement pour arriver enfin sur son clito. Je suis étonnée de le sentir plus grand que le mien. Je peux le prendre entre deux doigts que je serre et desserre en cadence. Je la sens jouir. J’en suis satisfaite; j’ai fait jouir une femme. Je voudrai recommencé au même endroit d’où elle a bien joui. Elle me veux ailleurs. Je vais le plus bas possible: son anus. Je pensais qu’elle ne voudrai pas. Elle accepte mon doigt. Je ne fait que passer dessus sans presque la toucher. Elle me laisse faire un instant avant de coller cet endroit sur mon doigt. Ma caresse lui plait: je vais aller d’une autre façon: je fait le tour de son cul sans trop appuyer. Elle me prend presque au dépourvue quand elle serre ses cuisses sur ma main.
En jouissant elle me dit des gros mots!
- Je suis une salope d’aimer les filles, je suis une gouine, une pute à femme, j’ouvre mon con aux femmes, je mouille comme s’il pleuvait, j’aime que te langue soit dans ma bouche. Branles moi encore, sans arrêt; j’ai envie de jouir. Putain que c’est bon ta paluche sur mon connard de cul.
- Tu veux que je te suce ?
- Oui, suces moi le con.
Elle se couche, écarte les jambes ce qu’il faut pour que le passe la tête. Je suis l’apprentie et c’est à moi d’inventer ce que je doit faire pour qu’elle jouisse. Je me glisse vers sa fente, j’écarte un peu avec mes doigts l’endroit où je vais mettre ma langue et ma bouche. Je suis surprise par l’odeur de femelle en chaleur. Par contre le gout excellant de son liquide m’enivre. Je ne sais pourquoi j’innove en passant mon nez depuis l’anus jusqu’au bouton. C’est drôle de sentir les odeurs et les diverses partie du sexe. Je sais que son clitoris réagit vite dès que mon nez le touche. Je caresse donc le clito avec mon nez uniquement. Nez ou pas nez, je la fait jouir. J’ai pu ainsi lui mettre la langue dans son trou des plaisirs. J’ai encore ce bon gout de se mouille sur ma langue. Je ne m’en lasse pas tellement je le trouve délicieux.
Je peux également lui entre deux doigts dans le cul. Je les fais aller et venir comme si je la sodomisais.
- Viens sur moi pour un 69.
- Je me met sur elle, les jambes ouvertes pour lui donner tout ce que je possède de plus précieux.
C’est elle qui rapidement prend mon clito pour le lécher. Je lèche le sien un poil plus tard. Je ne pensais jamais prendre un tel plaisir pour un simple 69. Ses seins sur mon ventre me font du bien comme son ventre sur mes seins. Ses mains entourent mes cuisses, vers le haut. Si elle pouvait mettre un ou plusieurs doigts dans mon fondement comme je vais lui faire.
Elle ne fais pas se que je désirai: elle fait bien de poser sa langue sur mon cul. Elle force à peine pour la rentrer dans mon ventre. Je frémis toujours quand elle la fait aller et venir. Elle fait tout ce qu’il faut pour que mon plaisir monte lentement. Alors à ce moment là je crie mon bonheur, je crie mon orgasme. Je me sens mourir d’amour pour elle.
Je crois que mon sentiment est partagé depuis que nous vivons ensemble: nous sommes comme de jeunes mariés, près à baiser n’importe où, n’importe quand et souvent. Si nous partons en voiture, elle conduit: je dois avoir les cuisses presque nue, sans string, prête à recevoir sa main quand elle veut me masturber. Je lui fait pareil quand j’en ai envie. Prudente elle s’arrête au bord de la route, relève le bas de sa jupe et me donne directement son sexe nu que je caresse ou suce si je peux.
Je suis devenue totalement lesbienne et j’en suis heureuse.
Il est des endroits où on nous regarde différemment: dans les restaurants où nous ne nous gênons pas pour nous embrasser sur le bouche et si nous sommes bien placées nous branler.
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