Sa langue ( suite et fin) - histoire érotique

Bien sur elle m’a bien faite jouir depuis que nous avons commencé. Il faut nous arrêter pour nous reposer. Jusqu’à présent elle ne s’est servi de sa langue simplement pour la mettre dans ma bouche en m’embrassant. Le plaisir qu’elle m’a donné généreusement est au moins égal à celui que me donnait mon ami, soit disant ami, qui n’hésite pas à aller baiser une autre fille presque devant moi.
Nous nous endormons presque l’une sur l’autre, sur place, complètement crevée des orgasmes multiples que nous avons eu, moi plus qu’elle.
Que c’est bon de se faire masturber par une autre fille qui connait tout les secrets d’une chatte. Quel bonheur quand elle m’a caressé les seins et a sucé les pointes.
Je me réveille dans ses bras. J’ai encore envie de ses caresses. Pour ça il me faut la réveiller. Je sais comment faire : je pose mes lèvres sur les siennes, force juste ce qu’il faut pour entrer ma langue dans sa bouche et caresser la sienne. Je savais qu’elle se réveillerai en douceur, quoi de plus doux qu’une langue dans sa bouche ?
En se réveillant, elle me prend par le cou. J’en profite pour passer mes mains sur sa poitrine nue. Je sens ses seins durcir légèrement. Délicatement j’en fais le tour avec un seul doigt. Je pose ma bouche sur un téton que je suçote. Enfin je le prend en entier dans ma main.
Je m’aperçois que je suis trempée : j’ai déjà envie qu’elle me baise. Je n’ose pas poser ma main sur son pubis.
Enfin elle me renverse sur le dos. Elle prend la direction de l’amour. Elle me pelote bien mieux que le faisait mon copain, une femme sait exactement ce qu’il faut faire à une autre pour les préliminaires. Je mouille de plus en plus, il me semble que ma cyprine descend entre mes fesses. Enfin elle pose sa main entre mes cuisses que j’ouvre. Elle va directement au clitoris. Elle sait bien maintenant comment j’aime me faire branler. Elle y réussit fort bien, je commence à ressentir mon plaisir monter lentement. Je sens enfin un orgasme monter jusqu’à ma poitrine. Elle me doigte comme hier avec deux doigts. Elle me baise ainsi comme avec une petite bite, elle va et vient dans mon ventre. Je la laisse faire jusqu’au moment où enfin je jouis.
C’est la première fois que je jouis autant, même quand je me branle je ne peux en faire autant. Elle est la championne de la masturbation.
Elle me demande de la caresser aussi dans sa chatte. C’est avec plaisir que je m’empare de sa moule toute mouillée elle aussi. Elle m’embrasse et s’allonge pour être le mieux possible quand ma main sera sur sa fente. Je ne fais que rendre ce qu’elle m’a donné.
Ce n’est pas suffisant pour elle. Cette fois nous allons nous servie des langues, je ne crains pas d’avoir ma langue dans sa bouche ou sur ses seins, par contre j’appréhende beaucoup de la mettre sur son sexe. Pour moi, c’est presque contre nature. Pourtant quand je suçais mon copain, je m’en régalais, surtout quand j’avalais son sperme. Et j’avais au moins quelque chose de concret dans la bouche et sur ma langue, avec quelque chose à déguster.
Elle se met les pieds à la tête, retournée pour avoir sa bouche à hauteur de ma chatte. Elle embrasse mon nombril puis descend sur mon pubis glabre. Elle passe un bras sous ma cuisse, puis sous l’autre en se mettant à plat ventre. Je sens son souffle venir sur moi. Elle me fait écarter les jambes, elle peut voir tous les détails de ma féminité. Je n’en ai pas honte, au contraire elle m’excite. Sa bouche descend entre mes cuisses et va pendre mon clitoris. Elle l’aspire complètement pour le lécher. Je sursaute devant cette nouvelle forme de caresse.
Elle arrête tout juste avant de commencer comme il faut pour reprendre ensuite. Par une simple pression de ses doigts elle me fait lever les jambes. Elle laisse sortir mon bouton de sa bouche, c’est sa langue entière qui passe et repasse sur lui. Je ne sais plus comment me mettre, sa langue est excitante sur moi. J’ai beau essayer de me retenir, je jouis encore. Cette fois elle entre dans ma vulve. Elle la remue de telle façon que toute la surface de mon vagin est intéressée. Je suis obligé de lui demande d’arrêter, je n’en peux plus de jouir.
Pour elle ce n’est pas grave, elle revient à mes cotés pour à nouveau que nous nous embrassions. Elle caresse encore mes seins. Je crois que si elle insiste encore elle me ferai jouir par la poitrine. Je me calme quand même.
Elle estime que c’est le grand moment pour nous deux. Elle m’enjambe, pose son sexe sur ma bouche, me la fait poser dans son entrejambe. Je sens enfin son odeur de cyprine, pas plus forte que la mienne. Je suis tentée de tendre ma langue. Je le fais dès qu’elle le demande, je vais au plus court. Je cherche un peu pour trouve son bouton. Elle me guide à peine. Je me trouve avec son principal objet de plaisir sous ma langue. Je fais comme elle : je le lèche longuement, je suis surprise du résultat : d’abord pour moi qui pensais être écœurée et pour elle. J’aime son goût moitié sucré moitié salé, et je la fais jouir plusieurs fois à la suite avec ma seule langue. Je la rentre dans sa vulve. J’y trouve plein de petits endroits faciles à omettre et semble-t-il drôlement excitants. Si au début j’allais et venais, maintenant je tourne ma langue dans tous les sens. Je dois bien agir puisque je sens son con se fermer et s’ouvrir en cadence quand elle jouit.
Elle me rend ce que je fais avec plus de « métier » que moi : je débute dans les amours au féminin. Elle sait bien mieux que moi ce qu’il faut faire, elle pose sa langue sur mon anus et sans rien demander la rentre dans mon cul. Ce semblant de sodomie est très agréable. Je sens bien sa langue entrer et sortir de mon fondement. Je ne sais pas faire une telle chose, ou plutôt je crains de le faire, alors j’entre dans son anus deux doigts qu’elle accepte également.
Quand nous arrêtons elle me dit que je démarre bien dans le lesbianisme. Si je veux nous pouvons baiser souvent ensemble. Vous connaissez la suite, nous ne baisons plus que toutes le deux !