Sa langue (fin : deuxième version) - histoire érotique

Je reviens un peu en arrière : mon mec, presque sous mes yeux vient de baiser l’hôtesse chez laquelle nous avions été invités. Pour me venger, je suis sortie avec une jeune femme de mon âge, femme qui aime baiser les filles. Je me suis laissée embarquée dans cette nouvelle forme de jouissance sans le regretter.
Elle m’a bien faite jouir, je lui ai rendu ses orgasmes. Nous avons fini tard dans la nuit pour nous aimer encore plus le lendemain samedi pour finir de passer en revue tout ce que deux femmes peuvent échanger comme caresses.
Avant d’aller plus loin que les masturbations excellentes échangées, elle m’embrasse. Que sa langue est agréable dans ma bouche. Je sais qu’elle va la mettre dans ma chatte, j’en suis impatiente.
Dans l’immédiat elle me déshabille. Mes seins sont la cible de sa bouche et de sa langue. Elle fait bander mes tétons. J’ai envie de ses seins contre les miens, j’ai adoré cette nouvelle sensation d’avoir sa poitrine contre la mienne. Je commence une chose que je n’aurai jamais faite en temps ordinaire, je caresse mes seins contre les siens. C’est plus excitant encore.
Je ne fais même pas attention à ma chatte qui dégouline de cyprine, je sais qu’elle va me calmer tout à l’heure. Toujours couchées cette fois c’est plus facile de prendre des positions excitante. C’est de ma faute si nous sommes réveillées tôt tellement il me tarde qu’elle me fasse jouir à sa façon. Je me doute qu’elle va mettre sa langue dans ma chatte, j’en suis impatiente.
Au lieu de sa langue pour le moment je n’ai droit qu’à sa main qui se loge sur mon clitoris. Elle commence à me branler, j’étais prête à aller loin avec elle quand elle arrête la masturbation. Elle me donne ses doigts pour que je suce mon jus. Du coup je me venge en lui en faisant autant mais en suçant sa cyprine.
- Veux-tu baiser comme une gouine ?
- Bien sur je suis avec toi pour ça, pour apprendre tout.
- Tu ne saura pas tout, en tout cas-tu en sauras assez pour baiser une fille.
- Qu’est ce que tu vas m’appendre ?
- Simplement ce que tu sais déjà faire avec ton mec, un 69.
J’en jubile, avoir sa langue dans mon con, qu’elle veine, ça changera d‘une bite pleine de sperme. Elle se coule vers le fond du lit, me fait écarter les jambes, chose facile jusque là. Je n’ai aucune pudeur avec elle, elle me regarde le sexe partout. Je lève la tête pour surveiller ce qu’elle va me faire.
Elle commence par lécher mes cuisses à l’intérieur, je mouille encore plus. Quand elle arrive à hauteur de ma chatte je sais que je ruisselle. Enfin sa langue essuie toute la cyprine superflue : elle doit se régaler de mon jus. Elle prend mon clitoris, l’avale en partie et le lèche longuement, sans tenir compte de mes orgasmes. Je jouie plus longtemps que d’habitude. Elle s’arrête quand elle a la langue fatiguée avant de la mettre dans mon vagin habitué lui aux bites. La différence est sensible, elle ne peux me faire jouir qu’en rusant. Je sens juste le bout qui caresse mon point G. Là encore je jouis sans cesse.
Si elle continue ainsi, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps en baisant avec elle.
Elle le sait. Pour me reposer de mes jouissances, elle revient sur mes seins. Sa langue est partout à la fois. Elle s’arrête sur une aréole pour me sucer. Je me cabre encore pour ce plaisir, si elle continue je sans que je vais jouir.
- N’arrêtes pas de me sucer le sein, tu dois pouvoir me faire jouir ainsi.
- Bien sur.
Sa langue et sa bouches sont encore plus présentes. Je sens ce plaisir simple se transformer en plaisir jouissif. Je reste offerte à sa bouche quand je sens un drôle d’orgasme monter depuis mon sexe jusqu’à mon cou. C’est la première fois que je jouis grâce à une succion de mon téton. J’aimerai ne jamais en finir tellement c’est agréable. Ma jouissance dure tout le temps de sa présence sur mon téton. C’était divin.
Nous n’en avons pas fini : elle m’enjambe pour poser sa bouche sur mon con. Elle me donne le sien. Je suis ébloui par la beauté de sa chatte alors que la mienne quand je la regarde en détail devant un miroir me parait fade. Je ne la repousse pas quand elle reprend mon clitoris juste comme ça pour commencer. Elle revient sur et dans ma vulve avant d’aller se mettre sur l’anus. Je suis totalement détendu quand elle entre dans mon cul. Je me laisse faire en remarquant qu’elle n’a pas la langue assez longue, je préfère une bite à cet endroit. Elle revient sur le clitoris pour à la fois me mettre trois doigts dans le cul. Là je suis satisfaite de cette caresse qui m’envoie au paradis.
Pour ma part je ne m’attarde que sur son bouton, je le lèche longuement jusqu’au moment où je la sens jouir. Je quitte son petit bouton pour aller dans son vagin. Je ne suis pas comme elle. Je ne fais que tourner ma langue à l’intérieur, c’est suffisant pour que je l’expédie aux pays d’Eros.
Il me vient une idée : la fait mettre à plat ventre, je me couche sur elle pour avoir mon visage sur ses fesses que j’embrasse longuement, je pose une main entre les globes pour arriver à son cul. J’entre deux doigts dans son petit trou qui s’ouvre facilement. Je les fait coulisser, elle semble aimer ça. Je descend encore plus pour y mettre ma langue pendant que j’arrive à la doigter. Je sens mon pubis contre ses cheveux.
Je trouve le gode facilement pout le lui mettre au cul. J’aime regarder quand la fausse bite entre dans ses fesses. Son anus est déformé par le gode quand il rentre. J’y suis entré doucement pendant qu’elle se détendait. J’entre le plus possible. Quand je suis le plus profond elle me dit qu’elle était vierge de ce coté. On ne dirait pas, je vois son anus se refermer, puis s’ouvrir à nouveau pour se refermer encore. Sa jouissance m’excite beaucoup, trop sans doute.
Je sors le gode de son cul pour me coucher sur le dos et lentement, devant elle je le met dans mon cul. Je me fais une sodomie comme elle ne saurai pas la faire. Pour ajouter un autre plaisir elle se met sur ma figure pour me donner son con en entier à lécher. Je sors ma langue à la recherche de son clitoris. Dès que je le trouve, elle se penche vers mon ventre, pose ses seins sur mon nombril, descend encore sa tête et me suce le bouton qui n’en demandait pas tant.
Nous finissons ainsi notre séance de baise.
Il est encore tôt. Elle se lève pour revenir comme elle est partie: nue, avec un plateau pour le petit déjeuner. Elle me sert avant de prendre un grand bol de lait. Elle a une idée folle : elle se met un croissant dans son vagin:
- C’est pour toi, mange le par petites bouchées.
- Quand il est dans ton con ?
- Bien sur, ce sera meilleur et tu me donneras du plaisir si tu l’enfonces un peu à chaque fois.
Je le prend par les dents, le pousse dans sa chatte. Je la branle avec un aliment. Aussi bizarre que ça puisse paraître je la fais jouir ainsi. Je coupe le petit morceau que j’ai dans la bouche pour recommencer avec la bouchée suivante. Le même scénario la fait encore jouir. Quand j’arrive à la dernière bouchée, je n’ai pas à tremper le croissant dans le bol : il est mouillé de cyprine ! Je le mâche longuement pour profiter de son goût. Le mélange de la viennoiserie et sa cyprine est assez détonnant.
Pendant toute la durée de mon petit déjeuner particulier elle reste les yeux fermés. Pour me remercier, elle se penche sur mon minou pour le lécher. Je n’en peux plus. Je refuse d’aller plus loin.
Mon seul désir est de rentrer chez moi pour passer mon dimanche à dormir.
Quand je suis chez moi, je tombe sur mon ex, celui qui sans vergogne baise, presque devant moi, une autre femme. Quand il me demande où j’étais, je lui prend la bite, je le branle et lui demande de me quitter, je ne veux plus le voir : je viens de baiser avec une autre femme et c’était bien meilleur qu’avec lui. Tout n’est pas vrai, il me suffit qu’il me croit pour que je sois vengée.
Ma vie future est tracée : je baiserai avec ma nouvelle compagne et souvent avec des hommes que je ne connais pas du tout pour bien jouir.
Je suis devenue une salope, j’en suis fière.