Sa vraie nature (1) - histoire érotique

chapitre 1 (pas sur qu'il y en ait d'autres) Le premier contact a eu lieu sur un chat, elle n’avait pas d’idée précise de ce qu’elle cherchait mais ce 15 août Paris était désert, tous ces amis étaient en vacances et elle tuait le temps comme elle pouvait comme d’habitude elle était seule chez elle, l’air était lourd et elle s’ennuyait ferme.
Pas d’homme dans sa vie, elle avait tout donné à sa carrière.
Depuis combien de temps n’avait elle pas fait l’amour, elle ne s’en souvenait plus et puis cela ne l’intéressait pas plus que ça.
Pourtant aujourd’hui elle se sentait disponible pour une aventure.
C’est pourquoi lorsque l’homme proposa qu’elle l’appelle , elle accepta.
- Bonjour, on s’est parlé sur le chat.
- Oui, que proposez vous ?
- Il fait chaud et je suis seul alors si une jolie femme désire passer un moment avec moi, boire un verre ce serait sympa.
Vite ils se fixèrent rendez vous dans un café sur les Champs Elysées.
Elle noua ces longs cheveux bruns, enfila une robe légère et se rendit au rendez vous.
Elle le reconnu sans peine, un homme d’une quarantaine d’année en polo jaune et jean, plutôt séduisant.
Ils parlèrent de banalités, elle se sentait attirée mais quelque chose en lui la troublait , la mettait mal à l’aise, pourtant elle accepta son invitation à dîner.
Le repas fut agréable, il se montrait prévenant et plein d’humour.
Les heures passaient et la nuit était tombée.
Il proposa de la raccompagner et ils prirent place dans une voiture très confortable.
Bizarrement ils ne parlaient plus , seule la musique de l’autoradio faisait un bruit de fond.
Le chemin de son appartement passait par le bois de Boulogne et même pour un 15 août les travestis semblaient occupés.
Soudain il arrêta la voiture dans une allée déserte..
- Il serait peut être temps de passer à autre chose non ?
Elle le fixa mais ne répondit pas, le vin du dîner lui tournait un peu la tête, puis elle se sentait prête à faire ce qu’il voulait , pour une fois qu’il se passait quelque chose dans sa vie.
Elle ne résista pas quand la main de l’homme s’immisça sous sa robe caressant ses jambes nues , machinalement elle ouvrit les jambes.
- Tu es chaude, j’ai tout de suite vu que tu étais en manque.
Les mots ne la firent même pas réagir et elle avança la main vers l’entrejambe de l’homme et commença à caresser le sexe à travers la toile légère du pantalon.
- Ecoute moi bien, tu vas faire tout ce que je veux , tu as le choix où tu refuses et je te ramène chez toi où tu restes mais il faudra être très docile, que choisis tu ?
- Je reste murmura t elle dans un souffle.
- Bien je me doutais de ta réponse , relève ta robe et retire ta culotte.
Elle remonta sa robe sur sa taille et baissa son string blanc découvrant un sexe rasé.
- J’aime les chattes rasées se contenta de dire l’homme.
- Merci dit elle.
- Tu vas commencer par m’appeler monsieur compris.
La voix était devenue ferme et dure.
- Oui monsieur.
- Sors ma queue et montre moi ce que tu sais faire.
Elle tira sur la fermeture éclair , dégagea le sexe tendu du slip et commença à le caresser du bout des doigts.
- Tu ne sais pas te servir de ta bouche dit il en lui poussant la tête vers sa bite tendue.
D’habitude elle n’aimait pas ce genre de caresse mais la situation l’amusait .alors elle commença à lécher lentement le gland à tourner sa langue autour de la verge.
- Tu as l’air douée ma salope continue.
Les mots l’excitaient , elle était là au milieu de la nuit dans une voiture la robe relevée en train de sucer un homme qu’elle ne connaissait que depuis quelques heures.
Elle se sentait chienne comme ces putes qui sucent pour quelques billets.
Elle prit le membre dans la bouche et commença un lent va et vient en prenant soin de descendre à chaque fois jusqu’aux couilles de l’homme..
- Tu suces comme une vraie professionnelle lui dit il en caressant le sexe offert de la femme..
Elle s’ouvrait laissant les doigts la pénétrer.
- Tu mouilles , enlève ta robe je veux te voir nue.
Elle abandonna sa caresse et ôta sa robe et son soutien gorge.
- Tu es vraiment une belle femme met toi a quatre pattes sur le siége et suce moi ;Elle s’exécuta et repris le sexe en bouche cette fois elle caressait les couilles en même temps.
Un bruit l’intrigua , il venait d’appuyer sur l’ouverture automatique des vitres elle sentie l’air sur son corps.
Soudain des mains lui caressèrent sa croupe offerte, elle voulu se redresser mais la main de l’homme lui maintient fermement la tête.
- Laisse toi faire salope, tu vas être la reine de la soirée.
Résignée elle ne réagit plus, les mains malaxaient ses fesses, des doigts la fouillaient elle commençait à perdre toute notion de ce qu’il se passait..
Au bout d’un moment il ouvrit la portière descendit et la tira nue dehors..
- Tu vas adorer dit il en la forçant à s’agenouiller devant les phares allumés de la voiture.
Aussitôt des hommes l’entourèrent , elle ne pouvait distinguer leur visage.
Un sexe malodorant s’introduisit dans sa bouche et elle saisi un autre qu’elle commença à branler.
Elle se sentait chienne, excitée par tous ces hommes inconnus qui forçaient son corps.
Ils s’étaient mis en file indienne et l’un après l’autre elle suçait leur sexe ,elle n’était plus qu’une bouche..
Il la tirèrent par les cheveux et la plaquèrent sur le capot ;Ils commencèrent à la prendre sans ménagement, son sexe son anus rien ne lui fut épargné.
Elle ne savait plus où elle était, toute notion du temps lui était inconnue elle n’était plus qu’une chienne offerte à ces hommes qui jouissaient sur elle dans sa bouche sur ses seins ses fesses..
Bientôt le calme revint les hommes étaient partis , des mains la redressèrent c’était l’homme du chat .
Il la fit s’agenouiller et lui mis son sexe dans la bouche, il ne tarda pas à jouir et elle bu sa semence.
Puis il sorti son sexe de la bouche et commença à uriner sur son corps nu.
Le liquide chaud coulait sur elle et au lieu de se rebeller elle restait là passive à recevoir cette pluie dorée.
- C’est un bon début ma chérie dit il en lui tendant une serviette , demain je viendrai te chercher et je continuerai ton éducation es tu d’accord ?
- Oui monsieur soupira t elle.
La trajet jusqu’à chez elle se fit sans qu’ils échangent une parole, elle savait qu’après cette nuit elle ne serait plus jamais la même et que demain elle l’attendrait. ..