Sa vraie première fois, avec un autre homme.1. - histoire érotique

Ma femme me surprendra toujours !

En temps qu'ancien couple libre, on parle souvent de sexe avec Corinne.
Cette série est composée de récits, soutirés par mes questionnements.

Récemment, on a eu un rapport sexuel, amoureux et débridé.

Depuis quelques années, elle souffre de vaginisme.
Probablement son endomètre qui lui rejoue des tours, malgré une petite opération, il y a dix ans.
Toujours est il, qu'elle a encore mal lors, des pénétrations vaginales.
Elle tient tout de même, à ce que j'insiste.

Donc, je lui ai procuré un orgasme ainsi, mais j'ai bien vu qu'elle n'était pas détendue, pour bien jouir.
Pourtant, je ne l'ai pénétrée, qu'en prenant soin, que son vagin m'accepte, peu à peu.

Finalement, plutôt que de continuer dans ces conditions, je me suis dirigé vers son anus.
Et elle a enfin pu se libérer de ses craintes, elle a jouit analement à cinq reprises, bien plus pleinement.

Donc, je me suis fait cette réflexion:

Si elle n'avait pas eu ce goût exagéré pour le sexe anal, notre sexualité serait déplorable, voire inexistante aujourd'hui !
Merci mon amour !

Surtout que ce n'est pas parce que je l'encule, que ça ne doit pas être tendre.
On s'y épanouit aussi pleinement, qu'avec le sexe vaginal.

Donc, n'y voyez pas une obsession dans mes récits, de tous ses écarts avec des hommes.
Elle leur réclamait souvent la sodomie, parce qu'elle aime ça, c'est une réalité !

Voici encore, un survol d'une récente conversation.

"Tu as encore eu mal hier ! T'es pas déçue ? Au fait, tu te rends compte, que si on avait pas la sodomie, on ferait quasiment plus du tout l'amour !".
"Pas déçue, du tout ! Je sais pas pourquoi, j'insiste avec ma chatte ! Mais, hummmmm ! d'ailleurs ! C'était booooonnn ! J'ai bien joui avec mon cul !...".

Elle ajoute:

"Je pense aussi à mon envie de retourner au club libertin, si ça s'arrange pas, je vais pas apprécier de me faire baiser ! C'est sûr ! Et je peux pas exiger des mecs, qu'ils m'enculent directement ! Ils vont me prendre pour une folle !".
"Ha ! Ha ! Ouais, c'est sur !".

Je ne sais pas pourquoi, cette conversation m'en rappelle une autre, sur le fait d'être surpris d'accepter un rapport sexuel.
C'était, il y a six mois, je crois:

"Je t'ai déjà dit qu'à 25 ans, un homme m'avait baisé, en me faisant mal ?".
"Non !".
"je peux pas lui en vouloir, puisque je l'ai suivi, en montant dans sa voiture, donc j'étais consentant ! Mais, il avait déjà sa queue dans mon cul, quand il a commencé à être violent et sadique, j'ai été surpris, et je l'ai laissé se défouler, en espérant que ça ne dure pas trop longtemps. Il a joui en m'écrasant les couilles avec une main, j'ai dégusté ! Le pire, c'est qu'il a cru que j'avais pris mon pied ! Alors qu'en fait, j'ai pas pris de plaisir du tout !".

"Je sais ce que c'est !".
"Oui, je sais, toi, c'est Patrice qui te baisait comme ça, il aimait le SM !".

"Oui, continues ! J'aime bien quand tu me racontes tes baises, avec des hommes !
"OK ! Ce qui me revient, en premier ! C'était un vieil arabe de presque 60 ans, une force de la nature ! Il m'a surpris dans les dunes, près de Fréjus ! C'est vrai que j'étais là pour rencontrer des hommes, mais lui, je le voulais pas ! Il était trop laid et sale !".

"Et alors ?".
"Ben, j'ai rien pu faire ! Il m'a forcé la bouche avec sa grosse queue ! J'ai eu l'impression d'être une poupée gonflable ! Il me défonçait la bouche, sans problème, pourtant je poussais sur son ventre pour le retenir ! Ca m'a trop dégouté !".

"Pourquoi ? Ca te plait de sucer un homme, avec un gros sexe !".
"Euh, oui, mais lui, il était ... pas ... pas propre ! Il avait un gout d'urine !".

"Beurkkkk ! Comment t'as fait ?".
"Ben, il s'est lavé dans ma bouche, ce salaud ! Au bout d'un moment, c'est parti !".

"Bahhhh ! Dégueulasse ! Et après ?".
"Après, il m'a redressé, et m'a retourné comme une crêpe, en me baissant mon pantalon. Je te dis pas quand il m'a enfoncé sa bite ! J'ai dégusté !".

"Mais ? Tu prenais pas de plaisir ?".
"Jusque là, non ! Mais après, j'ai commencé à ressentir un orgasme anal qui montait, malgré moi ! Et comme il était vraiment très gros, et très endurant, il m'a fait jouir du cul, plusieurs fois ! Il a éjaculé une fois, au bout de 45 minutes, environ. Et il a pas eu besoin de me forcer pour qu'on recommence, ça a duré deux heures ! J'ai honte de dire ça ! Tu dois pas comprendre mon point de vue ! Parce que du coup, c'est devenu un de mes souvenirs sexuels, les plus forts !".

"Bien sur que si, je comprend !".
"Comment ça ? Bien sur que si ?".

"Euh, laisses tomber ! J'ai rien dis !".
"Corinne ? Tu me caches un truc !".

Après de longues négociations, elle me raconte ceci, avec la crainte que je ne comprenne pas:
Je précise que les notions de réflexions et ressentis, sont ajoutées par ce que je l'ai pressée de questions.

Elle a à peine dix-sept ans et demi, vit encore chez ses parents, et est en relation avec moi, depuis le mois de ses seize ans.
Elle a hâte de vivre enfin avec moi, faire l'amour quand on veut, etc...

Elle marche d'un pas décidé sur un grand boulevard à quatre voies, de Toulon.
De nombreuses voitures s'entassent aux feux rouges, qui se suivent sur le boulevard.
Grâce à moi, elle se sent belle, fini la jeune fille intravertie.

Elle ne fait plus attention aux coups de klaxons qui résonnent, pour attirer son attention.
Au contraire, ça la stimule !
C'est vrai, que dans sa petite jupe courte, sans être mini, elle ne peut empêcher son cul magnifique de se déhancher.
Pour certains, c'est un appel à la sodomie.

Je lui ai appris à se tenir bien droite, ce qui a pour effet de la rendre encore plus belle.
Sa poitrine ferme est tendue vers l'avant, attirant tous les regards masculins.

Une bande de magrébins lui parle, au travers de leurs vitres de voitures.
Les compliments fusent,

"Putain, t'es trop bonne !","Viens avec nous, ma belle ! On a quelque chose pour toi !". etc...

Puis, un peu plus loin, une voiture de luxe se gare devant elle.

"Psssttt ! Mademoiselle !".

Elle se penche à la vitre ouverte, coté passager.

"Oui ?".
"Bonjour ! Je suis pas d'ici ! Je cherche le quartier de Chateauvallon ! Vous pouvez m'aider ?".

"Euh, c'est pas tout près ! Je sais pas comment vous expliquer !".
"Ca vous déranges de monter ? Je vous ramène, après ! A moins que vous ne soyez attendue ! Ou occupée !".

Il est tombé pile sur ses points faibles, sa gentillesse ! Et son innocence d'ingénue.
En me racontant, elle précise:

"En plus, il était très charmant ! Belle voiture, bien habillé ! Environ une quarantaine d'années ! Il m'a inspiré confiance !".

Elle lui répond, innocemment:

"Non, je suis libre ! J'ai jusqu'à 18h30 ! Ma mère ne m'attend qu'après !".
"C'est parfait ! On a plus de 3 h ! Montez, et expliquez moi la route !".

Je vous passe ses sensations de troubles, pendant le trajet, l'homme l'intimide beaucoup.
Elle mouille sa culotte, mais c'est encore des sensations qu'elle peut contrôler, en souriant.

Il lui révèle qu'il est représentant pour une marque de pharmaceutiques, de passage sur la ville.
En approchant de Chateauvallon, elle apprend qu'il ne cherche pas le quartier, mais l'endroit où se déroulent les spectacles, plus retiré.

Sur place, elle constate qu'il va beaucoup plus loin, et s'enfonce dans un chemin de terre boisé.

"Monsieur, on est arrivés ! Où vous allez ?".
"Dans un endroit tranquille ! On a bien fait de venir là ! Y a personne, à cette époque de l'année ! Je savais où je venais ! J'la connais par cœur, cette ville !".

Elle prend peur, même s'il est encore respectueux.
Il arrête la voiture, puis se penche sur elle.

"Tu m'fais bander, ma belle ! J'en pouvais plus de te regarder marcher ! De mater ton cul magnifique !".
"Non, monsieur ! s'il vous plait ! J'ai un fiancé ! Je peux pas !".

"Il en saura rien ! T'inquiètes pas pour ça ! Je crois pas que tu sois encore vierge ! Non !".
"Non, mais ! Mmmmmm ! Mmmmmmm !".

Il vient de coller sa bouche à la sienne.
Elle détourne son visage, pour éviter le baiser.

Elle ne le voit pas ouvrir sa braguette.
Quand il passe sa main derrière sa nuque, il la penche sur sa verge.

"Non ! ...Mmmmmuuuuuuuuuuuuuuuum ! Mmmmmuuuuuuuuuuuuuuuum ! Mmmmmuuuuuuuuuuuuuuuum ! ...".

Elle essaie de protester, malgré le gros sexe qui lui coulisse dans la gorge.

"Allez laisses toi faire ! Suces moi la bite ! C'est beaucoup mieux, si tu y mets du tien !".

Elle pense qu'il a raison, de toute façon, elle a déjà sa verge dans la bouche.
Et ca ne lui déplait pas tant que ça ! Il est bien plus gros que moi !

"Elle te plait ?".

Elle fait un hochement de tête, pour dire oui, sans quitter sa grosse verge.
Après une petite séance buccale, il fait le tour du véhicule.

Il la rattrape, alors qu'elle tente de s'enfuir, mais grande sans conviction.
Il la penche dans son capot arrière, avec le haillon ouvert.

Il a relevé sa jupe, et écarté sa culotte.
Son gros gland investit sa chatte, alors qu'elle s'appuie sur ses mains, dans la voiture.

"Arghhhhhhh ! Monsieur ! Non ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Orhhhhh ! Putain !....Oui ! ...".

Elle se mord la paume de la main.
L'homme doit se résonner, puisqu'il ralenti sa possession, et se calme.
Mais sans perdre sa puissance.

"Non ! Tu mérites mieux ! J'vais pas te faire ça, à la va-vite ! On va prendre notre temps !".

Il lui masturbe les seins, lui caresse le corps, les fesses.
Sa verge bouge doucement, la fait râler, il coulisse de plus en plus amplement.
Au bout de quelques minutes, il l'entend gémir puissamment.

"Ca va, ma chérie ?".
"Orhhhhh ! Arghhhhhhh ! Ouiiii ! Je jouiiiiiiiiiiiiiis ! Orhhhh ! Non, je veux pas jouiiirrrrrrrr ! Arghhhhhhhhhhhhhhhh ! Orhhhh ! Pardon, Pascal !...".

"C'est ton mec ? Ce Pascal ? T'en veux encore ? Oui, ou non ?".
"Arghhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !...Putain, j'ai trop honte ! Arghhhhhhh ! Elle est bonne, votre queue ! Monsieur !".

"Putain, t'es bonne a baiser ! Ma belle ! Ca va être trop bon, de jouir avec toi !".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Pas dans ma chatte ! Je prends pas la pilule ! s'il vous plait !".

"Orhhh ! Putain, tu fais bien de me prévenir ! Tu mérites pas ça non plus ! Mais, il y a d'autres moyens ! On verra, à ce moment là !".

Elle orgasme encore, très rapidement après.

"Putain, mais tu sors d'où ? Toi ? Tu jouis beaucoup ! Ca m'plait, ça !".

Il va s'amuser avec cette particularité, pendant plus d'une demi heure.
Puis, il la couche à l'arrière, sur les sièges, et sur le dos, en lui relevant les cuisses.
Avec les fesses a l'extérieur du véhicule.

Il lui salive l'anus, après s'être couvert le gland, de la même substance.

"Monsieur ! Vous faites quoi ?".
"Ben, j'ai pas envie de me retenir pour jouir, je vais te prendre ton petit cul, ma belle !".

"Orhhhhhhhhhh ! Non ! Pas par là ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh !... Putain ! Arghhhhhhh !".
"Eh, dis moi ! C'est pas ta première fois ! Il t'encule, ton mec ! J'me trompe ?".

"Arghhhhhhhggggggggggg ! Non, c'est vrai, mais il est pas comme vous !".
"Elle est pas aussi grosse ! C'est ça ?".

"Ouiiiiiiiiiiiiii ! Orghhhhh ! J'ai pas l'habitude !".
"Tu verras ! C'est encore meilleur !".

Elle fait un constat irréversible, voilà c'est fait ! Fini la pureté de son joli corps ! Je n'en ai plus l'exclusivité !
Un autre homme, l'a souillée par tous ses orifices.

"Et alors ? C'est bon ? Tu l'aimes toujours ma grosse queue ?".
"Orhh ! Oui, pourquoi ça me fait ça ! J'ai honte de moi ! Arghhhhhhhgg !...Encorrrrrrrrrrre !...".

"Eh ben, tu m'as l'air d'aimer la sodo ! Toi !".

Il n'a pas le temps d'en dire plus.
Corinne vit son premier orgasme anal, avec lui.

"Arghhhhhhhggggggggggg ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis ! Arghhhhhhhggggggggggg ! C'est trop bonnnnnnnnnnnnnnn !".

L'inconnu est comme fou, il se déchaine dans son orifice anal.
Elle découvre l'endurance d'un autre homme que moi, lors d'une sodomie.

Moi qui l'est plutôt lors de nos rapports tendres et passionnés, beaucoup moins en sexe hard.
Elle découvre également, qu'elle peut encaisser plus de deux ou trois orgasmes, en se faisant enculer.
"Enculer" ! Ce mot qu'elle lâche de plus en plus, avec l'inconnu.

Il l'a retournée, pour la prendre comme une chienne.

"Tu cachais bien ton jeu, petite salope ! Ca te plait, en fait !".
"Arghhhhhhhggggggggggg ! Ouiiiiiiiiiii ! Enculez-moi ! Putaiiiiiiiinnnnnnn ! C'est trop bon !".

L'homme est au bord de l'abandon, il se lâche enfin.

"Arghhhhhhhggggggggggg ! Tu m'as eu salope ! Arghhhhhhhggggggggggg ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !".

Après un long moment, de jouissance commune, et d'appréciation de cet instant hors du temps.
Elle fuit sa grosse verge, pour s'étaler sur la banquette arrière, avec l'anus et les fesses polluées, bien relevées.

Elle se tourne pour regarder sa verge, en pensant: (Putain, il m'a enfoncé tout ça ?)

Il fait le tour, pour se présenter devant son visage.

"Prends-moi un peu dans ta bouche ! J'aime bien ça, après avoir joui !".

Elle vérifie qu'il soit propre, puis le suce avec tendresse et sensualité.
Ensuite, un long silence s'installe.

Brisé par le fait qu'elle s'est assise, et a tâché son siège, avec le sperme, qui est rejeté par son anus.

"C'est pas grave ! Je la porterai au nettoyage !".

Les remords la submergent, elle se met à pleurer !

"Eh, ma belle, faut pas te mettre dans des états pareils ! Tu regrettes, Ca t'as pas plu ? Tu m'en veux ?".
"Non ! C'est ça le pire ! Je pense à Pascal ! Mon mec ! Parce que j'ai beaucoup joui ! C'est à moi que j'en veux ! Je suis une salope ! Je mérite plus mon mec !".

"Mais non ! C'est la vie ! On a tous des vices cachés ! On voit que t'es jeune ! Tout le monde fait ça ! Je suis sûr que ton mec aussi ! Tu le sais pas, c'est tout ! C'est pas parce que t'as aimé que je te baise, que tu dois plus l'aimer, c'est deux choses différentes !".

Elle se penche sur son épaule, puis entame une longue conversation, alors qu'il sèche ses larmes.
Elle lui révèle que je l'ai énormément trompée, et que je viens d'arrêter mes conneries avec les autres filles, depuis peu.

"Ben, alors ! Tu vois ? J'avais raison ! C'est naturel !".
"Je... je sais pas ! Peut être ! Mais je l'avais jamais trompé, avant aujourd'hui !".

"On commence tous un jour ! Vu comme tu aimes ça ! Tu vas vite y prendre gout ! Ca va être à ton tour, de le faire cocu !".
"Arrêtes ! Ne dis pas ça !".

Il se masturbe la verge, de nouveau en érection.

"Bon, on fait quoi ? Regardes la ! Ca te dit de recommencer ? Où on se quitte, sans jamais se revoir ?".

Elle le caresse doucement, s'attardant sur son gland, avec ses petits doigts.
Elle baisse ses yeux de biche, avec un air timide et coquin.

"N... Non, je veux recommencer ! tu dois me trouver salope ! Mais... J'me dis qu'au point où j'en suis ! Autant en profiter !".
"Mais c'est ça, qui est bon, ma chérie ! On se pose pas de question, y a pas de sentiments ! Que du plaisir ! On baise ! c'est tout !".

Elle se penche sur sa bite, pour entamer une incroyable fellation assumée.

"Voilà ! A la bonne heure ! C'est pas mieux comme ça ? Hummmm ! Orhhh ! C'est bon !".

Pour la première fois, intérieurement, elle admet, qu'elle adore sucer une autre verge que la mienne.

"Mmmmm ! Mmmmm ! Sllrrrpp ! Elle est bonne ! Elle est grosse dans ma bouche ! Ca m'excite !".

Elle lui passe longuement sa petite langue, sur le gland.

"Mmmmm ! J'aime la sucer ! C'est excitant ! Je peux te demander quelque chose ?".
"Oui, ma chérie ! Putain, tu me suces bien ! Tu sais !".

"J'aime bien quand Pascal me parle ! Avec des mots cochons ! Tu peux me faire ce plaisir, aussi ?".
"Orhhh ! J'attends que ça, je voulais pas te choquer ! Alors ! Suces moi la bite ! Salope !".

"Mmmmmmmmm ! Orghhhhhh ! Oui, comme ça ! Encoore ! Ca m'excite !".
"Orghhhh ! C'est trop bon ! Tu sais que je vais plus pouvoir te rebaiser la chatte ! J'ai surement du foutre dans la queue ! Je vais devoir t'enculer ! Ma p'tite chienne !".

"Mmmmm ! Orghhhh ! Tans pis ! J'ai bien joui comme ça, aussi ! Encules-moi autant que tu veux !".

Au terme d'une longue fellation, il l'entraine au dehors de la voiture, et la penche sur le capot avant, qui a assez refroidi, depuis qu'ils sont arrivés.

Elle râle fortement, quand il conquiert une nouvelle fois ses parois anales.

"Putain, t'aimes ça, salope ! Avoues que c'est pas aussi bon, avec ton mec !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arrêtes ! J'ai honte !".

"Dis le ! Sinon, j'enlève me queue !".
"Non ! C'est bon ! Je le dis ! Ouiiii ! C'est vraaaai, c'est encore meilleur avec ta queue ! Arghhhhhhhggggggggggg ! ...".

"Alors ? C'est pas génial de baiser avec un inconnu ?".
"Arghhhhhhh ! Si c'est excitant ! Orhhhh ! Surtout, si il me baise bien, comme toi ! Arghhhhhhhggggggggggg ! Ou qu'il m'encule ! Arhhhhhhhh ! ...".

"Merci ! C'est gentil ça, tu mérites que je te fasse encore bien jouir, alors !".
"Ouiiiiii ! Fais moi jouir ! Encules-moi ! Arghhhhhhh ! ...".

Elle se cambre, en se tenant sur les bras, pour s'offrir pleinement à ses assauts.
Ils changent de positions quelques fois, jusqu'à choisir de poser une couverture au sol, prise dans son coffre.

Il s'allonge.

"Allez, viens sur ma queue ! Salope ! Montres moi, combien t'aimes l'avoir dans le cul !".
"Orghhh ! J'en peux plus ! J'ai trop joui ! Tu veux pas que je te suces ?".
"Allez ! Fais moi plaisir ! C'est toi qui bouges, à ton rythme !".

Il l'admire, face à lui, elle a les traits tirés, épuisée de jouissance anale.
Il s'extasie de voir sa chatte ouverte et vide, et dessous, son anus rempli à l'extrême, par sa grosse verge.

Admirer l'ensemble de son entrecuisses nu, qui monte et descend sur sa bite, le comble d'un bonheur pervers.

"Putain, c'est trop bon ! J'ai bien fait de m'écouter ! Je pensais pas que mon excuse pour te baiser, marcherai ! Orhhhh ! Tu vas me faire cracher mon jus ! Salope ! Encore, plus fort ! Plus vite !".

Corinne vit son dernier orgasma anal, malgré elle, mécaniquement.

"Arghhhhhhhggggggggggg ! Ca y est ! Suces moi maintenant, j'veux jouir dans ta bouche ! Vite !".

Elle s'affole, mais se précipite sur sa verge, qui commence à se polluer d'un filet de sperme.
Elle gémit de plaisir cérébral, en recevant son jus gluant et chaud.

Elle l'avale avec gloutonnerie, alors qu'il est perdu dans son plaisir.
Celui de lui éjaculer dans la gorge.

Il la regarde avec étonnement ensuite.
Elle a tout avalé, mais ne peut plus s'empêcher de lui dévorer la verge.

"Orghhhh ! Doucement ma belle ! Putain ! Et tu disais non, au début ! Tu t'en rends compte ?".

Elle se redresse, en reprenant ses esprits !

"Oui, je me reconnais pas ! Mais j'ai tellement joui ! C'est bien avec Pascal, aussi ! Mais on fait l'amour ! Avec toi, c'était beaucoup plus vicieux, j'ai adoré ça ! C'est pas bien d'être comme ça ?".
"Mais si, ma chérie ! Si t'aimes le sexe ! Profites en, t'es jeune ! Ne regrettes rien ! Putain, j'aimerai bien habiter Toulon ! Je t'aurai gardée comme maitresse ! Quand je repasserai par là, ça te dit de recommencer ?".

"Je... Je sais pas ! Il y a Pascal ! Le pauvre ?".
"Ben, ne lui dis rien ! Il est pas obligé de savoir !".

"Je sais pas, on verra ! Et comment, on se joint, si tu es à Toulon ?".
"On trouvera bien ! T'habites où ?".

Il la ramène, enregistre les rues, et le parc où elle se rend avec le chien.
Elle lui donne ses habitudes, en particulier l'heure, où elle promène le chien de sa mère.

Ils se sont retrouvés trois mois plus tard, dans le jardin.
Il l'a emmenée ailleurs, pour la baiser, alors que le chien aboyait dans la voiture, surtout au début.

Elle s'est confirmée à elle-même, qu'elle aimait le sexe avec un autre que moi.

Donc, lors de son premier job, dix mois plus tard, quand un homme a jeté son dévolu sur elle, le travail était bien entamé !
Elle était prête !

Elle termine son récit, en me précisant qu'elle a eu une longue période de remords, par la suite.
Surtout les premiers jours, lors de nos rapports sexuels, elle s'empêchait de jouir cérébralement.
Le pouvoir du cerveau est incompréhensible !

Elle se disait, qu'elle ne méritait plus le plaisir, que je tentais de lui donner.
Ce qui lui a fait du bien, c'est ma persévérance, et de se dire que moi aussi, que je l'avais trompée.
Et beaucoup plus souvent qu'elle !