Sa vraie première fois, avec un autre homme.2.

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Sa vraie première fois, avec un autre homme.2. Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sa vraie première fois, avec un autre homme.2.
Je viens d'apprendre qu'elle m'a trompée, et bien plus tôt que je le croyais !

Heureusement, que je suis devenu un adepte du candaulisme.
Ca minimise les conséquences, mais quand même !

"C'est lui qui m'a fait comprendre, à quel point j'aimais le sexe ! Plus que toi ! Il avait raison, j'étais faite pour ça ! Comme toi avec les hommes ! Mais c'est de toi que j'étais amoureuse ! J'avais aussi besoin de toi ! On a eu de la chance de vivre cette vie ! C'est toi qui me l'a dit un jour !".

"Oui, plus tard ! Mais, c'est vrai, je le pense toujours ! Mais, pourquoi, tu me l'as caché aussi longtemps ?".

"Parce que c'était trop tôt ! Que je m'en voulais, et qu'au même moment, ou je l'ai rencontré, toi, tu faisais l'effort de t'arrêter avec les autres filles, pour ne pas me faire de mal ! Tu étais si fier, de ça ! J'avais honte de moi ! Mais c'était trop tard, j'y ai pris gout, moi aussi ! Tu l'aurais pas accepté ! Avoues le !".

"Oui, probablement ! Tant qu'à faire ! Je t'aurai quittée !".

"Et moi, je voulais pas te perdre ! C'est toi qui me l'a dit aussi, des années plus tard, on doit séparer le sexe et les sentiments ! Donc, pour en revenir à ta question ! Moi aussi, ça a commencé par la force, mais, j'y ai vite pris du plaisir ! Je m'en voulais, mais je pouvais pas m'empêcher de vouloir baiser encore avec lui ! Et avec les autres, ensuite ! Et tu peux pas savoir comme j'avais honte de moi !".

"Orhh ! Si je sais ! T'oublies que je vivais la même chose, avec mon coté homo ! J'arrivais pas à me passer des hommes ! Me dire que tu m'admirais, alors que je rencontrais des hommes qui m'enculaient comme une salope ! C'était trop dur à vivre ! J'en ai passé des mauvaises nuits ! A pleurer sur mon sort de salope pour hommes ! Alors que je t'aimais comme un fou ! Bon, on arrête de parler de ça ! A l'âge qu'on a, on peut se dire qu'on en a bien profité ! De nos corps !".

"Ouais, toi beaucoup plus que moi ! D'ailleurs !".
"J'avoue ! Tu l'as revu souvent ?".

"Euh... Oui... !".
"Combien ?".

"Je... Je sais plus... Une vingtaine de fois, non plus ! Parce qu'on a recommencé, quand je le croisais en ville ! Ca a duré des années ! Il habitait à Paris, et ne descendait à Toulon, que pour son travail ! C'était pas évident ! Surtout les premières fois ! On a profité de ton appartement, dès qu'on a pu, comme tu bossais, c'était plus pratique ! Et là ! Hummmm ! Plus on baisait, et plus j'y prenais gout ! J'acceptais mieux mon vice, aussi ! Pardon mon amour, mais tu me connais !".

"Orhhh ! Oui, Salope ! Je t'imagine très bien !".

"Surtout que la deuxième fois, au jardin, c'était pas top ! On avait pas eu assez de temps ! Il a fait que me baiser, et il a joui dans ma bouche ! Alors, quand il est venu à l'appart ! On s'est régalé ! C'est lui, qui m'a rendu accroc aux sodomies qui durent longtemps ! J'étais pas encore "fontaine", mais je coulais déjà beaucoup !".

"A ce propos ! Ta mère s'est douté de quelque chose ?".
"Non, mais quand elle me criait ses insultes, je me disais qu'elle avait raison, à cette époque !".

"Désolé ! Mon amour ! Ca ne l'excuse pas pour autant !".
"Merci ! je t'aime !".

"Tu regrettais ?".
"Non, j'avais trop bien joui ! J'étais jeune ! On est boulimique de sexe, à cet âge là !".

"Arrêtes de m'exciter ! Racontes moi plutôt !".
"T'en as pas marre ?".

"Jamais !".
"Bon ! Tu l'auras voulu ! Voilà....".

C'est leur troisième rencontre.
Il la surprend une fois de plus, dans le square, où elle promène le chien de sa mère.
Il la baise un moment, dans la pénombre, au fond des fourrés, puis se déverse en lui collant sa verge, au fond de la gorge, pour jouir.

"Je suis là pour quelques jours ! Tu m'as pas parlé d'un appart ? Parce que l'hôtel, c'est pas discret !".
"Oui, celui de Pascal ! Mais, on aura que jusqu'à 17h30, maximum !".
"C'est nickel, Où est-ce qu'on se donne Rendez-vous ?".

Elle rentre chez maman, heureuse de se sentir vivante, avec cet enivrant gout de sperme, dans la bouche.
Le lendemain, peu après 14 heures, elle fait entrer son loup, dans ma tanière.
C'est imagé, mais très proche de la vérité.
Parce qu'elle m'avoue, qu'il prend plaisir à la baiser chez moi, en sachant que j'ignore tout.

"Donc, c'est ici qu'il te baise !".
"Oui, de temps en temps, parce qu'il est plutôt tendre, comme mec !".

"Quel idiot ! Il te connait mal ! C'est du lourd qu'il te faut ! Une bonne grosse queue, comme la mienne ! Viens là ! Ma belle".

Elle s'approche, il l'attrape fermement, en la serrant contre lui.
Sa grande taille, et sa puissance la font fondre, il n'a rien à voir avec moi, qui fait la même taille qu'elle.

Elle pense à moi, qu'est-ce qu'elle fait encore ?
C'est immoral, pour elle qui n'était jamais sortie en dehors des clous, avant de le connaitre !

Elle s'en veut, mais son corps le réclame, c'est plus fort qu'elle.
La pulsion est trop forte, sa culotte est déjà toute trempée.
Son corps dit un grand "oui", sa tête dit un minuscule "non".

"Qu'est ce qu'il y a ? T'as pas envie que je te baise ?".
"Orhhh ! Je sais pas, je m'en veux ! Je pense encore à Pascal !".

"C'est trop tard, ma chérie ! C'est déjà fait ! Une fois de plus, ou de moins ! Et vaut mieux une de plus, surtout pour moi ! Allez ! Laisses tomber tes scrupules ! Je sais que t'en as envie, autant que moi ! Avoues le !".

"...Oui ! Je le mérite pas, je... je suis une salope !".

Il a sorti sa verge, dure et droite, son gros gland est gonflé de sang.

"Regardes la ! Tu la veux, ou pas ?".

Elle fixe sa grosse queue, les souvenirs remontent, le plaisir puissant, vécu avec elle.
Elle la caresse, sans la quitter des yeux.

Un frisson de désir l'envahit, c'est trop dur de résister.
Elle se baisse lentement, pour lui lécher le gland.

"A la bonne heure ! C'est mieux comme ça ! Orhhh ! Oui, putain, t'es douée, ma belle ! T'aimes ça ! Me sucer la bite !".
"Mmmmm ! Oui, ça me rend folle ! Je l'adore ! J'arrive pas à lui résister ! Elle m'excite ! Mmmmmm ! Mmmmmm !...".

"Je vois surtout, que ça te plait de le faire cocu, ton Pascal ! Tu te venges !".
"Mmmmm ! Non ! Dis pas ça !".

Il lui écarte le visage, de sa bite.

"Orhhh ! Pourquoi tu m'empêches de la sucer ?".
"Admets que t'aimes le faire cocu !".

"...N ...Non !".
"Pourquoi, tu me suces la bite ? alors ?".

"Je... Je... orhh ! Et puis, tant pis ! Oui ! Voilà ! T'as gagné ! Oui, ça m'excite ! Je jouis encore plus fort qu'avec lui, parce que tu me baises mieux ! Tu me prends comme une salope, et ç'est ça qui me rends folle ! T'es plus vicieux ! J'aime ça ! C'est bon, maintenant ? Je peux continuer ? S'il te plait ?".

"Voilà ! ...Je veux seulement que tu acceptes ce que tu es ! Orhhhhh ! Te poses plus de questions, ma chérie ! Prends ton pied, c'est tout ! Lâches-toi ! Orhhhh ! Oui, comme ça !".

Ma jeune fiancée le pompe avec gourmandise, en lui faisant profiter de toute son expérience buccale, avec moi.

Elle est descendue vers la base de sa bite, en la tenant d'une main, pendant qu'elle ose lui gober une couille, puis l'autre.

"Mmmmm ! J'aime tes grosses boules ! Ca m'a toujours excitée ! Pascal aussi, en a des grosses ! J'aime lui faire ça !".
"Putain, j'adore ça ! Moi aussi ! Tu suces vraiment bien ! Tu sais ! On sent que t'aimes ça !".

Elle remonte tout du long, en lui collant sa langue humide, jusqu'à son gland, puis simule une baise sur sa grosse verge, avec sa bouche.
Il l'admire dans sa fellation assumée, en posant ses mains sur son crâne.

Il la trouve excitante et belle, avec sa bite dans la gorge.

"Putain ! Ca fait plaisir à voir ! De te sentir aussi gourmande ! Tu vas en rendre dingue, plus d'un, ma p'tite salope ! Moi, j'te l'dis ! Ils vont être nombreux tes amants ! Laisses les venir à toi ! Profites de la vie !".
"Mmmmmm ! Mmmmmmmmmmmm ! Mmmmmm ! C'est vrai ? Je le fais bien ? Tu aimes ma façon de sucer ?".

Il lui repénètre la bouche.

"Oui, continues ! C'est le top ! Tu aimes donner du plaisir à un homme de mon âge ! Pas vrai ?".
"Mmmmmm ! Mmmmmmmmmmmm ! Oui ! De plus en plus ! Ca me rend folle !".

"Alors profites en, les hommes adorent ça ! Ils vont faire la queue pour t'avoir ! Ca te fait envie, de gouter d'autres bites comme la mienne ?".
"Mmmmmm ! Slllllrp ! Mmmmm ! Je... je sais pas ! Oui, je crois ! Ca m'exciterai ! Je suis une salope ! Je crois que tu as raison ! C'est excitant de savoir qu'on a envie de moi ! Et j'aime faire jouir un homme !".

Il fait partie de ceux qui aiment assoir leur domination, en se faisant sucer longuement.
Ensuite, il lui demande:

"Montres moi votre lit ! Je veux y marquer mon territoire ! J'vais bien t'y défoncer ! Allez ! Emmènes moi !".

Elle lui prend la main, et l'attire près de mon lit.
Il remarque mon armoire, munie d'un long miroir. Un détail qui l'excite davantage.

Elle est toute penaude, comme une biche, qui sait qu'elle va se faire dévorer toute crue.

"Déshabilles-toi ! Excites-moi !".

Il se dénude, sans perdre une miette du strip-tease de ma fiancée, et mate son cul parfait dans le miroir.
Elle ne quitte jamais sa grosse bite du regard.

"Parles-moi, toi aussi ! Supplies-moi de te baiser ! Tu la veux ? Ma queue ?".
"Oui ! Tu le sais !".

Elle se tord, comme une chienne en chaleur.
Ses mains malaxent ses nichons, elle s'enfonce deux doigts dans la chatte.

"Orhhhhhh ! Baises-moi ! J'en peux plus ! Je la veux ! Arrêtes de me faire attendre !".
"Où tu la veux ?".

"Orhhh ! Je la veux partout ! Elle est trop bonne ! J'en ai besoin ! Tu me baises trop bien ! Même dans mon cul, c'est trop bon ! Orhhhhhhhhh ! Stop ! Baise-moi ! Encules-moi ! Fais moi tout ce que tu veux, mais, fais moi jouir ! Tu vois pas que tu me rend dingue ?".

"T'es devenue une salope ! Tu le sais ?".
"Oui, je le sais ! Baises-moi ! Je t'en supplie !".

Il jubile, en arborant un sourire triomphateur.
Il se dresse, et la couche sur le lit.

Il prend les mains de ma fiancée, en lui imposant de se tenir les jambes ouvertes, en "V".

"Tu restes comme ça ! Ta chatte est à moi, maintenant ! Je fais ce que je veux avec !".

Il n'a aucun mal à l'écarteler vaginalement, tant elle est mouillée.

"Orghhhhhhhhhhhhh ! Ouiii ! Comme ça ! Mmmmmmmmmmm ! C'est boooooooooon !".

D'un coup puissant, mais non brutal, il s'enfonce, en cognant au fond d'elle.

"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Salaud ! Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! Orghhhhhh ! Putain, je la sens bieeeeeeennn !".

Il lui assène plusieurs coups de queues, en s'enivrant de la voir, et l'entendre râler de plaisir.
Ca y est, elle est à lui, à présent ! Il a gagné.
Il va la posséder à sa guise.

"Putain ! T'es trop belle ! J'me régales à te baiser ! J'vais prendre mon temps ! J'vais rien laisser pour ton mec !".

Il se penche sur elle, et lui bloque le visage pour l'embrasser, elle qui évitait les baisers, pour rester distante.
L'envie de jouir est plus forte, elle ouvre ses lèvres, et l'accompagne dans un baiser pervers et baveux.

Elle reçoit ses enfoncements puissants, en atteignant son premier orgasme, sans quitter sa bouche.

Il se relève, et la remplace pour lui tenir les chevilles, en la burinant comme une salope.
Elle gueule qu'elle va encore jouir, qu'elle aime sa bite, et lui demande:

"Encorrrrrrrrrrrrrrre ! Défonces-moi ! J'suis ta salope ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".

Il l'emmène jusqu'au bout de son plaisir, puis joue avec sa vulve.

Il s'allonge sur le lit.
Il n'a même pas besoin de demander.

Elle grimpe sur lui, à califourchon, prend sa grosse verge, pour se l'insérer, en écartant ses cuisses.
Il la voit se donner du plaisir comme un folle, alors que lui s'occupe de lui branler les seins.

"Alors, chérie ! T'es pas bien là ? Sur ma bite !".
"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! C'est trop booonn ! J'm'en fous du reste ! Arghhhhhhhhh ! ...!".

"C'est ça qui est bon ! Tu trouves pas ? C'est excitant de faire cocu les autres ! Moi aussi, j'aime ma femme ! Mais elle est pas là ! C'est toi que je baise !".
"Arghhhhhhhhh ! Oui, et tu me baises trop bien ! Je... Je... je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !".

"Putain, t'es exceptionnelle ! T'es trop facile à baiser ! Tu jouis sans arrêt ! J'adore !".

Elle ralentit ses secousses, sur sa verge.

"Orhhh ! C'était bon encore ! C'est toi qui as raison, j'admets que ça m'excite de baiser avec un autre que Pascal ! Ca participe à mon plaisir ! Je jouis plus fort !".

"Ca confirme ce que j'ai deviné chez toi, ma belle ! T'es une cérébrale ! Plus c'est vicieux, et plus tu jouis !".

"Oui, j'ai honte, mais c'est vrai ! Orhh ! J'aime trop ta queue, Robert ! Putain, j'aurai jamais cru, que je baiserai avec un mec qui s'appelle Robert ! Tu pourrais être mon père ! Mais, ça m'excite encore plus !".

"T'es ma p'tite salope !".

Elle se place en levrette.

"Viens ! Baise-moi comme une salope, alors ! Je veux que tu me défonces !".

Il la lime sans retenue, elle crie !

"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Frappes moi ! Oui, comme çaaaaaaaaarhhhhhhhh !".

Au bout d'une longue séquence de baise déchainée, emplie de claques, de seins pétris par dessous, elle fuit sa verge, épuisée d'orgasmes successifs.
En se tenant la vulve, avec sa main entre les cuisses.

"Orhhhh ! Putain, je suis morte, mais j'adore qu'on me baise comme ça ! Pourquoi Pascal, n'aime pas ça ? J'en ai trop besoin ! Moi !".

Elle ajoute:

"Comment tu fais pour tenir aussi longtemps ?".
"J'ai l'habitude, et tu me plais énormément ! Ca me motive ! Il te baise pas aussi longtemps, ton Pascal ?".

"Quand on fait l'amour, oui, très longtemps ! Moins quand il me baise, et... tu sais ? Mon p'tit cul !"
"Ahh ! Quand il t'encule ! A propos, je me retiens aussi, parce que j'ai envie d'une chose !".

"Quoi ?".
"Ca !".

Il la fait glisser au bord du lit, et la plaque contre le matelas, avec les jambes au dehors.

"Ecartes tes fesses ! Moi aussi, je vais te la mettre dans le cul !".

Elle est fébrile, et surprise, mais sait qu'elle n'a pas le choix.
Elle aime cette domination.
Elle a tellement pris de plaisir en baisant, qu'elle ne peux pas lui refuser ce privilège.

Elle s'ouvre le cul, pendant qu'il lui crache plusieurs doses de salive.
Il pose une main dans le creux de ses reins, et se sert de l'autre, pour tenir sa grosse verge au centre, en poussant contre son petit anus.

"Orhhhhhhhhhhh ! Pas trop vite ! Tu es toujours aussi gros ! On l'a fait qu'une fois ! Put... !".
"Ouais ! Justement, j'en peux plus d'attendre de t'enculer ! C'était trop bon, la première fois !".

"Orghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Putain ! J'ai pas encore l'habitude avec toi ! C'est plus facile avec Pascal ! Arghhhhhhhhh ! ...".

Il lui faut du temps, mais patiemment, il atteint son but.

Il ne se gêne même pas, de lui cracher vulgairement sur l'orifice anal.
Pour que sa grosse verge, l'écartèle plus facilement.

Sa grosse bite glisse enfin jusqu'aux deux tiers, dans ma belle.
Il peut donc entamer sa possession ultime.

Celle du cul de ma jeune, et belle fiancée, que je crois encore pure et fidèle.

Elle s'écarte encore les fesses, signe qu'elle adore qu'il l'encule, et qu'elle lui est soumise dorénavant.

"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Robert ! J'aime trop me faire enculer ! Surtout quand c'est toiiiiiiiiiiiiii ! C'est plus fooorrrrrt !".
"Putain, t'es trop bonne, salope ! Orhhh ! Mon dieu, ce cul ! J'adore le défoncer ! Tiens ... Prends ça ! Salope !".

"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Oui, insulte-moi... Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiii !".

Il la fait monter sur le lit, et l'encule de face, plongeant sur elle.
En lui bloquant les épaules, et les cuisses pliées.

Ainsi offerte, elle jouit encore deux fois, en lui criant qu'elle aime avoir sa bite dans le cul.
Il remarque son regard, dirigé derrière lui.

"Putain, j'y crois pas, tu nous regardes dans la glace !".
"Oui, j'aime le faire avec Pascal, aussi ! Arghhhhhhhhh ! Elle est grosse dans mon cul ! Ca m'excite ! Arghhhhhhhhh ! ... !.

Il ôte sa verge, et se place face à mon miroir.

"Allez ! Régales toi ! Fais toi plaisir ! Salope ! Fais moi jouir ! Ca commençait à venir !".

Elle s'accroupi au dessus de sa verge, puis se sert du reflet dans le miroir, face à eux, et du toucher de son gros gland.

Comme ça, elle peut placer sa grosse verge, plus surement, dans son anus éclaté et poisseux.
Elle est submergée de plaisirs divers.

Celui de la verge épaisse qui la comble de sensations anales, et la vue perverse de son orifice, qui s'écartèle énormément pour se laisser conquérir.

Elle devient folle de plaisir cérébral, en voyant la grosse bite, s'enfoncer encore et encore.
Jusqu'aux couilles !
Elle râle longuement.

"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh... ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh... ! ...".

Puis, elle prend un énorme plaisir, à coulisser sur lui, jusqu'à faire sortir sa verge, et recommencer de nombreuses fois !

"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Robert ! C'est trop vicieux ! J'ai plus envie de m'arrêter ! Arghhhhhhhhh ...!.
"C'est gentil, mais moi, j'ai envie de jouir !".

Il lui bloque le bassin, et la pilonne par dessous.
Elle est surprise par cette défonce anale soudaine, et enchaine les orgasmes en se matant dans la glace.

Il se secoue en criant.

"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Je jouis dans ton cul ! Salope ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh... !.

Corinne est épuisée, mais n'en perd pas une miette, elle le voit jouir en elle.
Elle en devient accroc, de ce spectacle pervers.
Elle sait dorénavant, qu'elle voudra souvent répéter ça, même si c'est sans moi !

Il la garde un long moment, enfoncée sur lui.
Puis, lui tapote les fesses.

"Allez ! Ma belle ! Laisse-moi me lever ! Serres les fesses, sinon, ça va couler !".

En effet, elle pollue un peu sa bite, et son bas ventre.

"Ca t'ennuie de me nettoyer tout ça ?".

Elle s'exécute sans rechigner, en ajoutant:

"Hummm ! J'adore baiser avec toi, c'est encore plus cochon, qu'avec Pascal ! Tu me feras faire d'autres trucs comme ça ? Mmmmmmm ! Mmmmmmmmmmm! Slllrp ! Sllllllrrrp ! Mmmmmm !".

"Bien sûr, Il rentre quand, au fait ?".
"Je le vois pas ! Je rentre plus tôt ! Je vais y aller ! Ma mère m'attend !".

Ils se rhabillent, en se confirmant leur bonheur d'avoir joui ensemble.
Il lui révèle que sa sexualité de couple est beaucoup plus conventionnelle.

"Déjà, je l'encule pas !".

Elle se sent privilégiée, et commence à aimer le fait de prendre le mari d'une autre femme.
Rendez vous est pris pour le lendemain.

"Putain, j'ai pas le temps de me doucher ici, je le ferai chez ma mère ! Orghhh... merde ! Ca coule !".

Il rit.

"Il faut assumer, quand on joue à la salope ! C'est les inconvénients, et tu vas encore y passer demain !".
"Tant pis, c'est trop vicieux, et c'est trop bon ! Je regrette pas ! Orhhhh ! J'ai mal au cul ! Aussi !".

Il rit de plus belle.

Sa mère ne supporte pas notre relation, donc en la voyant rentrer, elle s'étonne:

"Il devait pas travailler, ton Pascal ? T'as encore baisé ! Salope ! Vous pensez qu'à ça ! T'as pas honte ! SALOPE !".
"Maman ! Arrêtes ! Je l'ai pas vu, si, il travaille !".

"Tu t'fous de moi ? T'as vu ta tête ? Et tes yeux ? Ca se voit que t'as baisé ! C'est ça ! Va t'enfermer dans les chiottes ! Tu finiras sur le trottoir ! SALOPE !".

Elle s'est couvert l'anus de papier, pour étouffer les bruits, avant d'évacuer le sperme, puis, elle s'est précipitée dans la douche.
Un pré-nettoyage de sa culotte, spermée au niveau de l'anus, à été primordial !

Voilà l'une des raisons qui a fait que Corinne s'accrochait à moi, j'étais sa bulle de bonheur !
Elle avait, elle aussi ses blessures d'enfance, un père absent, parce qu'il baisait tout ce qui bouge.
Une mère tyrannique, qui reportait sa haine de son mari volage, sur sa fille !

Comment voulez vous qu'elle ne soit pas une cible parfaite, pour le premier manipulateur qu'elle croise, comme le Docteur Georges, par exemple !

Nos sentiments réciproques, l'un pour l'autre, ont été le ciment de base, pour surmonter ensemble ces déchirures, et toutes les épreuves que l'ont a du rencontrer.

Mais pour le moment, je veux encore la faire parler !

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