Sa vraie première fois, avec un autre homme.3.

Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Sa vraie première fois, avec un autre homme.3.
Elle vient de finir son récit.
"Tu m'aimes toujours ?".
"Bien sur ! J'ai hâte d'être à ce soir ! Que tu me racontes vos p'tits jeux, pendant que je t'encule !".
"Hummm ! Moi aussi, alors !".
Malgré tout, j'y repense, et j'ai quand même un peu la haine !
Cet enfoiré avait plus de quarante ans, quand il a baisé, et enculé Corinne, qui en avait à peine plus de 17 !
Bon, résonnes toi ! Si ce n'avait pas été lui, il y en aurait eu un autre !
C'était en elle ! Et c'est moi qui l'ai initiée au sexe ! J'y suis pour quelque chose !
Quand à son gout pour le sexe anal, j'en profite bien aujourd'hui !
Et c'était encore moi l'initiateur ! Celui qui a semé la graine !
Bien sûr, je l'ai harcelée de questions !
Est qu'il l'enculait à chaque rencontre ? Pratiquement.
Venait il tous les jours, quand il était sur Toulon ? Evidemment.
Avait elle toujours des remords ? De moins en moins.
A t-il eu un jour, sa préférence ? Pour le sexe, oui ! Plus d'une fois !
On baise comme à notre habitude, je la sodomise, puisque son vagin est douloureux.
"Racontes-moi, encore !".
"Orhhh ! Quand il est revenu, le lendemain, c'était trop bon !".
Elle attend son coup de sonnette.
Il la prend en main, dès son arrivée.
Il l'emmène nue dans la chambre, et lui dévore sa jeune chatte, puis l'anus.
Il se nourrit ensuite de tout son corps, en particulier de ses magnifiques seins fermes.
Elle n'en peut plus, elle le réclame !
"Tu le vois ce soir ?".
"Oui ! De 17h à 18h30 !".
"J'vais rien lui laisser ! Tu le sais, ça !".
"Orhhh ! Tant pis ! Baise-moi ! Ou laisse-moi te sucer ! mais, je veux ta queue ! S'il te plait !".
"Viens là !".
Il l'entraine devant mon armoire.
Ma belle fixe son reflet dans le miroir.
Son joli visage d'adolescente, très proche de la grosse bite de Robert, qui termine de se dénuder le torse.
Elle se mate entrain de saisir la grosse verge à la base, puis diriger son gros gland vers sa bouche.
Elle a un frisson de plaisir, en lui posant sa langue, puis en tournant autour pour le lécher.
Elle voit la main de son amant, qui se pose sur sa tête.
Signe d'une complicité perverse.
Elle ouvre ses lèvres, et s'enfonce sa bite, à s'en étouffer.
Puis remonte jusqu'au gland, pour un nouveau jeu de léchage vicieux.
Elle se pénètre à nouveau, coulisse longuement, et ainsi de suite, en gloussant de plaisir cérébral.
"Hummm ! Encore ma chérie ! Tu vas bien me sucer ! Et après, je te défoncerai la chatte ! Et ton p'tit cul, aussi ! Tu veux ?".
"Mmmmm ! Mmmmmmm ! Oui ! Je veux encore jouir ! Comme hier ! J'veux faire des trucs cochons ! Mmmmm...".
"Comptes sur moi ma belle ! J'vais bien m'occuper de toi ! Tant pis, pour ton mec !".
Il ajoute sa deuxième main, pour lui bloquer le visage, et lui baise la gorge.
Elle régurgite de nombreuses fois, la grosse bite de Robert se couvre de salive.
Elle se fixe encore dans le reflet, avec la verge épaisse, qui coulisse dans sa bouche trempée.
Le bas de son visage est couvert de salive aussi.
Elle a à peine le temps de se masturber un peu, parce que ça l'excite.
Mais qu'il la relève ensuite, en la tournant debout, devant sa verge épaisse.
Il la penche en avant, en relevant sa cuisse, assez pour qu'elle voit, ce qu'elle va recevoir en elle.
"Tu la vois bien, là ? Tu la veux ?".
"Orhhhh ! Oui, je la vois ! Enfonces la moi ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Oui ! Orghhhhh ! Je l'aime ! Elle est bien grosse, dans ma petite chatte !".
Il joue avec elle, et sa chatte juvénile. Il sort souvent, pour l'empaler vicieusement ensuite.
A un moment, il augmente son rythme, et sa puissance de pénétration.
"Orhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Oui ! Comme ça ! Défonce-moi comme une salope ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! ...".
Il lâche sa jambe, et s'accroche à son cul, pour la buriner comme une chienne.
Elle prend son troisième orgasme vaginal, mais bien puissamment que les premiers.
Elle se relève pour le calmer.
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Orhhhh ! J'ai bien joui ! Stop ! Laisse-moi reprendre des forces ! Ourhhh ! Tu m'as bien défoncée !".
Il retire sa verge.
"Attends-moi ici !".
Elle reste là, étonnée ! Que va-t-il faire ?
Il revient avec mes deux gros coussins de canapé, et les pose par terre.
Il s'allonge dessus, devant le miroir.
"Viens sur ma queue ! Mets toi là, dans le cul !".
"Quoi ? Déjà ?".
"Tu veux du cochon, ou pas ?".
"Oui !...C'est vrai ! ...T'as raison, ça va être excitant !".
Elle lui pompe la verge, afin de bien la lubrifier, pendant qu'il dépose plusieurs doses de salive, sur sa rosette anale.
Elle se positionne face à la glace.
"Orhhh ! Aides moi, tu peux la tenir, contre mon petit cul ? Orhhhh ! C'est beau ! Ca m'excites !".
Elle s'ouvre très lentement.
Chaque terrain conquis par sa grosse bite, la submerge de nouvelles sensations anales intenses.
"Orghhhhhhhhh ! J'aime de plus en plus, me faire enculer ! Je pensais pas, que je pouvais y prendre autant de plaisir !".
"Ca t'plait tant que ça ?".
"Arghhhhhh ! Oui ! Hier, j'ai joui plus fort, qu'avec ma chatte !".
"C'est beau, ce que tu vois ?".
"Arghhhhhhhhh ! Ouiiiiiii ! Elle est grosse dans mon cul ! Arghhhhhhhhh ! Putain ! Ca y est ! Je l'ai toute entière ! Arggggggggggghhhhhhhhhhhh !".
"Tu penses à ton mec ? Imagines, s'il était là ! Obligé de te regarder, entrain de t'enculer, toute seule ! Qu'est-ce qu'il penserait ?".
Elle a entamé ses coulissements de bassin, elle veut jouir, à présent.
"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Il verrait que je joui plus fort, avec ta bite dans mon cul ! Que je suis une salope ! Parce que j'aime ta bite !".
"T'aimerais qu'il te voit ?".
"Orhhhh ! Je sais paaaaaaaaaaas ! Oui, peut-être ! Je l'aime, mais, c'est si bon de baiser avec un autre ! Qui me défonces comme toi ! Arghhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiii !".
Il la laisse vivre son premier orgasme anal, très pleinement.
En s'enfonçant sa grosse verge, le plus profondément possible.
Ensuite, elle se cale encore sur lui, jusqu'aux couilles.
"Orghhh ! Robert ! C'est de mieux en mieux ! J'adore ça ! Merci !".
"Tu me remercies parce que je t'encule ?".
"Oui, et aussi, parce que tu m'as dévergondée ! J'aime dire des mots vulgaires, en baisant ! J'me lâches plus avec toi ! Je... J'ai adoré ...me c... casser le cul... sur ta grosse bite !".
"Putain, j'ai plus grand chose à t'apprendre ! Je t'adore, ma p'tite salope !".
Elle se tient sur ses bras, derrière elle, et sur ses pieds, en soulevant son bassin, et lui lance:
"A toi de m'enculer, maintenant ! Défonces-moi le cul ! Je veux encore jouir comme une salope !".
Il la soutient par le dessous des fesses, et se déchaine en elle.
Elle gueule, comme une truie qu'on égorge.
Robert est excité comme un dingue, fier de sa jeune recrue.
Fier d'enculer cette jeune ingénue, et pense moi, qui ignore tout ça.
Ca l'excite tellement, qu'il en oublie de se contrôler.
Il l'enlève de sa verge, ce qui est parfait.
Elle vit une longue retombée d'orgasme anal.
"Orghhh ! Merci ! J'ai trop joui ! Orghhhhhhhhhhhh ! C'était trop bon !".
Elle le voit s'approcher de son visage.
"Tu veux du vicieux ? Tu vas en avoir !".
Elle est surexcitée, fébrile, en attente de ce qu'il va faire !
Il lui bloque le visage, et lui envoie son foutre sur la face.
C'est la première fois qu'elle réalise, qu'il éjacule avec autant de puissance.
Il a toujours éjaculé dans son cul, ou au fond de sa gorge.
Il est à 15 cm de son visage, les jets de foutre s'écrasent, sur toute sa face juvénile.
Elle est si excitée, qu'elle se frotte la vulve frénétiquement.
Elle râle de plaisir, en ouvrant sa bouche instinctivement, pour cela.
Elle y reçoit des jets de sperme brulants, qui la surprennent.
"Arghhhhhhhh ! Tiens, prends encore ça ! P'tite pute ! Putain ! Ce que j'adore t'enculer ! T'es ma p'tite chienne ! Dis le !".
Le sperme la gêne pour parler.
"Mmmm ! Bouiii ! Che choui ta chienne ! Gllllrp ! Gllllrp ! Oui, je suis ta chienne ! Orhhhh ! J'adore ça ! Tu m'as couvert de sperme ! Arghhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiii !".
Il penche son regard, et comprend pourquoi !
Cette salope, se branle en le suçant, à présent.
Il l'entraine sur mon lit, s'allonge, et la laisse se régaler de sa bite juteuse.
Il bloque parfois sa belle petite gueule spermée, pour lui récupérer du foutre, et lui donne sa verge à laver.
"Hummmm ! J'aime trop faire te ça ! Gllllrp ! C'est trop vicieux ! Pascal ne jouit pas comme toi ! Il en a pas beaucoup ! Et ça gicle pas ! Putain, ce que j'aime, quand ça fait ça ! Tu m'en a mis partout, c'est trop excitant !".
"Mmmmm ! Oui, encore ! Je savais que ça te plairait ! Vas y salope! Nettoie ta petite gueule de princesse, avec ma bite ! Avales tout ! Orhhh ! Mmmmm ! Oui, comme ça !".
Elle ne cesse de lui dire vulgairement, à quel point, elle se régale de lui faire ça !
Après une pause, il est allé uriner.
Ils ont recommencé, sans se soucier de l'ordre des choses.
Il la baisait, l'enculait, se faisait pomper la bite.
L'enculait encore, et ainsi de suite.
Passant de son anus, à sa chatte, sa bouche, sans cesse.
A un moment, il lui défonce le cul, plus longuement, jusqu'à éjaculer à l'intérieur.
Lorsqu'il daigne sortir sa grosse verge, du fourreau anal de ma fiancée.
Il remarque avec elle, que le matelas est trempé, sous sa chatte.
"Ohhh ! C'est quoi ça ? Je me disais bien que je coulais ! Putain ! Pascal va se demander, ce que c'est ! Il va rentrer bientôt, en plus !".
Ils s'arrangent pour "cacher" cette tache humide.
Il la quitte, juste avant qu'elle n'entre dans la douche.
"Bon, ma belle ! Je reviens demain, c'est notre dernier jour ! On va encore en profiter !".
"Oui ! A demain ! Bisous !".
Elle essaie d'effacer toutes les traces, de leur baise perverse.
La vue de son visage, dans le miroir, portant des traces de sperme séché, l'excite encore.
"Oh putain ! J'en ai dans les cheveux ! J'vais devoir les mouiller !".
Elle se frotte l'anus sous le jet d'eau, pour essayer d'ôter le plus de sperme possible.
Elle flatule beaucoup ! Il faudra qu'elle s'habitue à cet inconvénient.
Ensuite, elle se rhabille, remarque les coussins de canapé, par terre.
Elle pense, en les ramassant: (Hummm ! C'était trop bon ! Vivement demain !)
Quand j'arrive, elle se jette sur moi, les fenêtres sont ouvertes.
"Je t'aime ! Tu m'as manqué, mon amour !".
"Toi aussi ! Ouf ! T'as pas froid ? Fermes !".
"Oui, t'as raison, mais ca sentait la cuisine, quand je suis arrivée ! Ca sent plus maintenant ! Tu veux qu'on aille faire un tour ?".
"Ben, j'aurai aimé faire l'amour ! Même si, on a pas beaucoup de temps !".
Je l'embrasse, elle a encore un gout de dentifrice.
Je la dénude tendrement.
Elle se plaint, quand je lui malaxe les seins.
"Orhh ! Doucement ! Ils me font mal !".
Tu m'étonnes ! L'autre enfoiré les a malmenés ! Mais elle ne s'en plaignait pas !
Quand je l'ai pénétré vaginalement, elle a eu aussi, une légère grimace.
Mais le plaisir a naturellement pris le dessus.
Elle redécouvre le plaisir de la passion, et de la tendresse.
Nos baisers sont délicieux et passionnés.
Elle pense: (Ca aussi, c'est trop bon ! J'ai besoin de ça ! Je t'aime tellement, Pascal ! Pardon, mon amour !".
"Orhhhh ! Je t'aime ! J'aime faire l'amour avec toi ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
"Moi aussi ! Je regrette pas les autres filles ! C'est toi que j'aime ! C'était moins bien, avec elles !".
"Orhhh ! Merci ! Mon amour ! Je veux plus que tu baises avec les autres ! Tu es à moi ! Rien qu'à moi !".
"Oui, rien qu'à toi !".
Elle prend trois orgasmes, que je me régale à lui donner.
Puis, le temps presse, j'ai envie de jouir en elle.
"Je peux t'enculer ? Mon amour ? J'ai pas envie de me retirer pour jouir, c'est frustrant, à la longue !".
Elle s'affole un peu, est ce que je vais remarquer, qu'elle a déjà donné son cul ?
"Oui, encules-moi ! Ca ira plus vite, je vais être en retard chez ma mère, sinon !".
Je glisse vers son orifice anal.
Il s'ouvre assez rapidement, elle râle plus fort qu'habituellement.
"Orhhhh ! Pascal ! C'est bon ! Si tu savais !".
"Hummm ! C'est rentré tout seul ! Tu commence à t'habituer ! On dirait !".
Tout d'abord, je lui fait l'amour analement, jusqu'à lui procurer ce que je pense être son premier plaisir anal du jour.
Ensuite, je pense à moi, et elle aussi, parce qu'elle adore ça, en l'enculant plus vulgairement.
Je la vois se pâmer de plaisir anal.
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Pascal ! Si tu savais comme c'est bon ! J'aime ça, de plus en plus ! Oui, jouiiis ! Laisses toi aller, donnes moi tout ! Arghhhhhhhhhhhh...".
En me déversant en elle, je suis loin d'imaginer que je ne suis pas le premier de l'après-midi, qui se vide dans cet orifice !
Je ne reconnais même pas, ce que j'ai sur la verge.
Pensant que c'est du jus anal, alors que c'est des restes du sperme de Robert.
Tout ça se mêle au mien, sans que je le devine.
Corinne me surprend, en se jetant sur ma queue, pour la sucer avec gourmandise.
"Mmmm ! Gllllrp ! Mmmmm ! Je t'aime ! Tu m'a trop excitée, mon amour !".
"Orhhhh ! Ma p'tite coquine ! Ma p'tite salope ! C'est trop bon !".
"Oui, je suis ta p'tite salope ! Ma mère va encore m'insulter, en entrant, mais je m'en fous ! Je l'emmerde ! Elle sait pas que c'est trop bon de jouir ! Je t'aime Pascal !".
Elle va vite aux W-C, alors que je me rhabille.
Je l'entend flatuler de l'anus, plus que d'habitude, j'espère qu'elle pourra gérer ça, chez elle !
On se quitte, avec regret.
Elle rentre chez elle, ses pensées, vont de son amant, à moi, sans cesse.
Elle se sent privilégiée, de connaitre cet excès de plaisirs.
Et s'imagine déjà au lendemain, dans les bras de Robert, son vicieux quarantenaire !
Elle va vivre un manque de sexe, après son départ.
Ce n'est que trois mois plus tard, lorsqu'elle trouve un emploi jeune, dans l'administration, et qu'elle saisit une opportunité.
Un autre homme la drague ouvertement.
Avant de lui céder, elle cherche des signes qui la combleraient.
D'abord ses grandes mains, sa corpulence, qui lui rappelle Robert.
Un certain regard vicieux, tout en étant très charmeur et sympathique.
Et enfin, le détail qui la fait basculer !
Une grosse bosse entre les cuisses.
Elle espère qu'il sera aussi endurant que Robert, mais qui ne tente rien ! Comme on dit !
Pour elle, bien lui en a pris ! Il l'a défoncé comme son premier amant.
Mais avec une particularité ! Une plus grosse verge encore !
Quand il l'a enculée, elle a jouit encore davantage !
C'est cet homme, qui a fini de la persuader.
C'est décidé, elle va enchainer les aventures extra conjugales !
Sans m'en parler, elle fera son choix plus tard.
Pour le moment, elle ne pense qu'à jouir, avec tout son corps.
Elle craint l'échéance fatidique, à tout ça.
Comment se passera la suite ? Va t'elle s'en passer ?
Ou s'en lasser tout simplement ! Pour se contenter de moi.
Ou alors se lasser de moi, pour se donner aux hommes, sans scrupules ?
Où le pire ! Que je la prenne en flagrant délit, et peut-être me perdre pour toujours !
(Non ! Je veux pas ! Je vais tout faire pour éviter ça ! On verra bien !) Pense t-elle.
Elle va vite se lasser de cet amant, et se laisser séduire par un autre.
Puis d'autres encore, jusqu'à Chris, qui est dans le milieu du libertinage.
Il l'initie à d'autres jeux, en trio d'abord, puis en gang bang, ensuite.
Par chance, moi aussi, j'avais des choses à me faire pardonner ! Les hommes !
Notre pacte de liberté sexuelle, n'a fait que sceller notre amour.
Voilà comment ma femme est devenue la salope, qu'elle assume être, depuis !
"Tu m'aimes toujours ?".
"Bien sur ! J'ai hâte d'être à ce soir ! Que tu me racontes vos p'tits jeux, pendant que je t'encule !".
"Hummm ! Moi aussi, alors !".
Malgré tout, j'y repense, et j'ai quand même un peu la haine !
Cet enfoiré avait plus de quarante ans, quand il a baisé, et enculé Corinne, qui en avait à peine plus de 17 !
Bon, résonnes toi ! Si ce n'avait pas été lui, il y en aurait eu un autre !
C'était en elle ! Et c'est moi qui l'ai initiée au sexe ! J'y suis pour quelque chose !
Quand à son gout pour le sexe anal, j'en profite bien aujourd'hui !
Et c'était encore moi l'initiateur ! Celui qui a semé la graine !
Bien sûr, je l'ai harcelée de questions !
Est qu'il l'enculait à chaque rencontre ? Pratiquement.
Venait il tous les jours, quand il était sur Toulon ? Evidemment.
Avait elle toujours des remords ? De moins en moins.
A t-il eu un jour, sa préférence ? Pour le sexe, oui ! Plus d'une fois !
On baise comme à notre habitude, je la sodomise, puisque son vagin est douloureux.
"Racontes-moi, encore !".
"Orhhh ! Quand il est revenu, le lendemain, c'était trop bon !".
Elle attend son coup de sonnette.
Il la prend en main, dès son arrivée.
Il l'emmène nue dans la chambre, et lui dévore sa jeune chatte, puis l'anus.
Il se nourrit ensuite de tout son corps, en particulier de ses magnifiques seins fermes.
Elle n'en peut plus, elle le réclame !
"Tu le vois ce soir ?".
"Oui ! De 17h à 18h30 !".
"J'vais rien lui laisser ! Tu le sais, ça !".
"Orhhh ! Tant pis ! Baise-moi ! Ou laisse-moi te sucer ! mais, je veux ta queue ! S'il te plait !".
"Viens là !".
Il l'entraine devant mon armoire.
Ma belle fixe son reflet dans le miroir.
Son joli visage d'adolescente, très proche de la grosse bite de Robert, qui termine de se dénuder le torse.
Elle se mate entrain de saisir la grosse verge à la base, puis diriger son gros gland vers sa bouche.
Elle a un frisson de plaisir, en lui posant sa langue, puis en tournant autour pour le lécher.
Elle voit la main de son amant, qui se pose sur sa tête.
Signe d'une complicité perverse.
Elle ouvre ses lèvres, et s'enfonce sa bite, à s'en étouffer.
Puis remonte jusqu'au gland, pour un nouveau jeu de léchage vicieux.
Elle se pénètre à nouveau, coulisse longuement, et ainsi de suite, en gloussant de plaisir cérébral.
"Hummm ! Encore ma chérie ! Tu vas bien me sucer ! Et après, je te défoncerai la chatte ! Et ton p'tit cul, aussi ! Tu veux ?".
"Mmmmm ! Mmmmmmm ! Oui ! Je veux encore jouir ! Comme hier ! J'veux faire des trucs cochons ! Mmmmm...".
"Comptes sur moi ma belle ! J'vais bien m'occuper de toi ! Tant pis, pour ton mec !".
Il ajoute sa deuxième main, pour lui bloquer le visage, et lui baise la gorge.
Elle régurgite de nombreuses fois, la grosse bite de Robert se couvre de salive.
Elle se fixe encore dans le reflet, avec la verge épaisse, qui coulisse dans sa bouche trempée.
Le bas de son visage est couvert de salive aussi.
Elle a à peine le temps de se masturber un peu, parce que ça l'excite.
Mais qu'il la relève ensuite, en la tournant debout, devant sa verge épaisse.
Il la penche en avant, en relevant sa cuisse, assez pour qu'elle voit, ce qu'elle va recevoir en elle.
"Tu la vois bien, là ? Tu la veux ?".
"Orhhhh ! Oui, je la vois ! Enfonces la moi ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Oui ! Orghhhhh ! Je l'aime ! Elle est bien grosse, dans ma petite chatte !".
Il joue avec elle, et sa chatte juvénile. Il sort souvent, pour l'empaler vicieusement ensuite.
A un moment, il augmente son rythme, et sa puissance de pénétration.
"Orhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Oui ! Comme ça ! Défonce-moi comme une salope ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! ...".
Il lâche sa jambe, et s'accroche à son cul, pour la buriner comme une chienne.
Elle prend son troisième orgasme vaginal, mais bien puissamment que les premiers.
Elle se relève pour le calmer.
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Orhhhh ! J'ai bien joui ! Stop ! Laisse-moi reprendre des forces ! Ourhhh ! Tu m'as bien défoncée !".
Il retire sa verge.
"Attends-moi ici !".
Elle reste là, étonnée ! Que va-t-il faire ?
Il revient avec mes deux gros coussins de canapé, et les pose par terre.
Il s'allonge dessus, devant le miroir.
"Viens sur ma queue ! Mets toi là, dans le cul !".
"Quoi ? Déjà ?".
"Tu veux du cochon, ou pas ?".
"Oui !...C'est vrai ! ...T'as raison, ça va être excitant !".
Elle lui pompe la verge, afin de bien la lubrifier, pendant qu'il dépose plusieurs doses de salive, sur sa rosette anale.
Elle se positionne face à la glace.
"Orhhh ! Aides moi, tu peux la tenir, contre mon petit cul ? Orhhhh ! C'est beau ! Ca m'excites !".
Elle s'ouvre très lentement.
Chaque terrain conquis par sa grosse bite, la submerge de nouvelles sensations anales intenses.
"Orghhhhhhhhh ! J'aime de plus en plus, me faire enculer ! Je pensais pas, que je pouvais y prendre autant de plaisir !".
"Ca t'plait tant que ça ?".
"Arghhhhhh ! Oui ! Hier, j'ai joui plus fort, qu'avec ma chatte !".
"C'est beau, ce que tu vois ?".
"Arghhhhhhhhh ! Ouiiiiiii ! Elle est grosse dans mon cul ! Arghhhhhhhhh ! Putain ! Ca y est ! Je l'ai toute entière ! Arggggggggggghhhhhhhhhhhh !".
"Tu penses à ton mec ? Imagines, s'il était là ! Obligé de te regarder, entrain de t'enculer, toute seule ! Qu'est-ce qu'il penserait ?".
Elle a entamé ses coulissements de bassin, elle veut jouir, à présent.
"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Il verrait que je joui plus fort, avec ta bite dans mon cul ! Que je suis une salope ! Parce que j'aime ta bite !".
"T'aimerais qu'il te voit ?".
"Orhhhh ! Je sais paaaaaaaaaaas ! Oui, peut-être ! Je l'aime, mais, c'est si bon de baiser avec un autre ! Qui me défonces comme toi ! Arghhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiii !".
Il la laisse vivre son premier orgasme anal, très pleinement.
En s'enfonçant sa grosse verge, le plus profondément possible.
Ensuite, elle se cale encore sur lui, jusqu'aux couilles.
"Orghhh ! Robert ! C'est de mieux en mieux ! J'adore ça ! Merci !".
"Tu me remercies parce que je t'encule ?".
"Oui, et aussi, parce que tu m'as dévergondée ! J'aime dire des mots vulgaires, en baisant ! J'me lâches plus avec toi ! Je... J'ai adoré ...me c... casser le cul... sur ta grosse bite !".
"Putain, j'ai plus grand chose à t'apprendre ! Je t'adore, ma p'tite salope !".
Elle se tient sur ses bras, derrière elle, et sur ses pieds, en soulevant son bassin, et lui lance:
"A toi de m'enculer, maintenant ! Défonces-moi le cul ! Je veux encore jouir comme une salope !".
Il la soutient par le dessous des fesses, et se déchaine en elle.
Elle gueule, comme une truie qu'on égorge.
Robert est excité comme un dingue, fier de sa jeune recrue.
Fier d'enculer cette jeune ingénue, et pense moi, qui ignore tout ça.
Ca l'excite tellement, qu'il en oublie de se contrôler.
Il l'enlève de sa verge, ce qui est parfait.
Elle vit une longue retombée d'orgasme anal.
"Orghhh ! Merci ! J'ai trop joui ! Orghhhhhhhhhhhh ! C'était trop bon !".
Elle le voit s'approcher de son visage.
"Tu veux du vicieux ? Tu vas en avoir !".
Elle est surexcitée, fébrile, en attente de ce qu'il va faire !
Il lui bloque le visage, et lui envoie son foutre sur la face.
C'est la première fois qu'elle réalise, qu'il éjacule avec autant de puissance.
Il a toujours éjaculé dans son cul, ou au fond de sa gorge.
Il est à 15 cm de son visage, les jets de foutre s'écrasent, sur toute sa face juvénile.
Elle est si excitée, qu'elle se frotte la vulve frénétiquement.
Elle râle de plaisir, en ouvrant sa bouche instinctivement, pour cela.
Elle y reçoit des jets de sperme brulants, qui la surprennent.
"Arghhhhhhhh ! Tiens, prends encore ça ! P'tite pute ! Putain ! Ce que j'adore t'enculer ! T'es ma p'tite chienne ! Dis le !".
Le sperme la gêne pour parler.
"Mmmm ! Bouiii ! Che choui ta chienne ! Gllllrp ! Gllllrp ! Oui, je suis ta chienne ! Orhhhh ! J'adore ça ! Tu m'as couvert de sperme ! Arghhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiii !".
Il penche son regard, et comprend pourquoi !
Cette salope, se branle en le suçant, à présent.
Il l'entraine sur mon lit, s'allonge, et la laisse se régaler de sa bite juteuse.
Il bloque parfois sa belle petite gueule spermée, pour lui récupérer du foutre, et lui donne sa verge à laver.
"Hummmm ! J'aime trop faire te ça ! Gllllrp ! C'est trop vicieux ! Pascal ne jouit pas comme toi ! Il en a pas beaucoup ! Et ça gicle pas ! Putain, ce que j'aime, quand ça fait ça ! Tu m'en a mis partout, c'est trop excitant !".
"Mmmmm ! Oui, encore ! Je savais que ça te plairait ! Vas y salope! Nettoie ta petite gueule de princesse, avec ma bite ! Avales tout ! Orhhh ! Mmmmm ! Oui, comme ça !".
Elle ne cesse de lui dire vulgairement, à quel point, elle se régale de lui faire ça !
Après une pause, il est allé uriner.
Ils ont recommencé, sans se soucier de l'ordre des choses.
Il la baisait, l'enculait, se faisait pomper la bite.
L'enculait encore, et ainsi de suite.
Passant de son anus, à sa chatte, sa bouche, sans cesse.
A un moment, il lui défonce le cul, plus longuement, jusqu'à éjaculer à l'intérieur.
Lorsqu'il daigne sortir sa grosse verge, du fourreau anal de ma fiancée.
Il remarque avec elle, que le matelas est trempé, sous sa chatte.
"Ohhh ! C'est quoi ça ? Je me disais bien que je coulais ! Putain ! Pascal va se demander, ce que c'est ! Il va rentrer bientôt, en plus !".
Ils s'arrangent pour "cacher" cette tache humide.
Il la quitte, juste avant qu'elle n'entre dans la douche.
"Bon, ma belle ! Je reviens demain, c'est notre dernier jour ! On va encore en profiter !".
"Oui ! A demain ! Bisous !".
Elle essaie d'effacer toutes les traces, de leur baise perverse.
La vue de son visage, dans le miroir, portant des traces de sperme séché, l'excite encore.
"Oh putain ! J'en ai dans les cheveux ! J'vais devoir les mouiller !".
Elle se frotte l'anus sous le jet d'eau, pour essayer d'ôter le plus de sperme possible.
Elle flatule beaucoup ! Il faudra qu'elle s'habitue à cet inconvénient.
Ensuite, elle se rhabille, remarque les coussins de canapé, par terre.
Elle pense, en les ramassant: (Hummm ! C'était trop bon ! Vivement demain !)
Quand j'arrive, elle se jette sur moi, les fenêtres sont ouvertes.
"Je t'aime ! Tu m'as manqué, mon amour !".
"Toi aussi ! Ouf ! T'as pas froid ? Fermes !".
"Oui, t'as raison, mais ca sentait la cuisine, quand je suis arrivée ! Ca sent plus maintenant ! Tu veux qu'on aille faire un tour ?".
"Ben, j'aurai aimé faire l'amour ! Même si, on a pas beaucoup de temps !".
Je l'embrasse, elle a encore un gout de dentifrice.
Je la dénude tendrement.
Elle se plaint, quand je lui malaxe les seins.
"Orhh ! Doucement ! Ils me font mal !".
Tu m'étonnes ! L'autre enfoiré les a malmenés ! Mais elle ne s'en plaignait pas !
Quand je l'ai pénétré vaginalement, elle a eu aussi, une légère grimace.
Mais le plaisir a naturellement pris le dessus.
Elle redécouvre le plaisir de la passion, et de la tendresse.
Nos baisers sont délicieux et passionnés.
Elle pense: (Ca aussi, c'est trop bon ! J'ai besoin de ça ! Je t'aime tellement, Pascal ! Pardon, mon amour !".
"Orhhhh ! Je t'aime ! J'aime faire l'amour avec toi ! Arghhhhhhhhhhhhhh !".
"Moi aussi ! Je regrette pas les autres filles ! C'est toi que j'aime ! C'était moins bien, avec elles !".
"Orhhh ! Merci ! Mon amour ! Je veux plus que tu baises avec les autres ! Tu es à moi ! Rien qu'à moi !".
"Oui, rien qu'à toi !".
Elle prend trois orgasmes, que je me régale à lui donner.
Puis, le temps presse, j'ai envie de jouir en elle.
"Je peux t'enculer ? Mon amour ? J'ai pas envie de me retirer pour jouir, c'est frustrant, à la longue !".
Elle s'affole un peu, est ce que je vais remarquer, qu'elle a déjà donné son cul ?
"Oui, encules-moi ! Ca ira plus vite, je vais être en retard chez ma mère, sinon !".
Je glisse vers son orifice anal.
Il s'ouvre assez rapidement, elle râle plus fort qu'habituellement.
"Orhhhh ! Pascal ! C'est bon ! Si tu savais !".
"Hummm ! C'est rentré tout seul ! Tu commence à t'habituer ! On dirait !".
Tout d'abord, je lui fait l'amour analement, jusqu'à lui procurer ce que je pense être son premier plaisir anal du jour.
Ensuite, je pense à moi, et elle aussi, parce qu'elle adore ça, en l'enculant plus vulgairement.
Je la vois se pâmer de plaisir anal.
"Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Pascal ! Si tu savais comme c'est bon ! J'aime ça, de plus en plus ! Oui, jouiiis ! Laisses toi aller, donnes moi tout ! Arghhhhhhhhhhhh...".
En me déversant en elle, je suis loin d'imaginer que je ne suis pas le premier de l'après-midi, qui se vide dans cet orifice !
Je ne reconnais même pas, ce que j'ai sur la verge.
Pensant que c'est du jus anal, alors que c'est des restes du sperme de Robert.
Tout ça se mêle au mien, sans que je le devine.
Corinne me surprend, en se jetant sur ma queue, pour la sucer avec gourmandise.
"Mmmm ! Gllllrp ! Mmmmm ! Je t'aime ! Tu m'a trop excitée, mon amour !".
"Orhhhh ! Ma p'tite coquine ! Ma p'tite salope ! C'est trop bon !".
"Oui, je suis ta p'tite salope ! Ma mère va encore m'insulter, en entrant, mais je m'en fous ! Je l'emmerde ! Elle sait pas que c'est trop bon de jouir ! Je t'aime Pascal !".
Elle va vite aux W-C, alors que je me rhabille.
Je l'entend flatuler de l'anus, plus que d'habitude, j'espère qu'elle pourra gérer ça, chez elle !
On se quitte, avec regret.
Elle rentre chez elle, ses pensées, vont de son amant, à moi, sans cesse.
Elle se sent privilégiée, de connaitre cet excès de plaisirs.
Et s'imagine déjà au lendemain, dans les bras de Robert, son vicieux quarantenaire !
Elle va vivre un manque de sexe, après son départ.
Ce n'est que trois mois plus tard, lorsqu'elle trouve un emploi jeune, dans l'administration, et qu'elle saisit une opportunité.
Un autre homme la drague ouvertement.
Avant de lui céder, elle cherche des signes qui la combleraient.
D'abord ses grandes mains, sa corpulence, qui lui rappelle Robert.
Un certain regard vicieux, tout en étant très charmeur et sympathique.
Et enfin, le détail qui la fait basculer !
Une grosse bosse entre les cuisses.
Elle espère qu'il sera aussi endurant que Robert, mais qui ne tente rien ! Comme on dit !
Pour elle, bien lui en a pris ! Il l'a défoncé comme son premier amant.
Mais avec une particularité ! Une plus grosse verge encore !
Quand il l'a enculée, elle a jouit encore davantage !
C'est cet homme, qui a fini de la persuader.
C'est décidé, elle va enchainer les aventures extra conjugales !
Sans m'en parler, elle fera son choix plus tard.
Pour le moment, elle ne pense qu'à jouir, avec tout son corps.
Elle craint l'échéance fatidique, à tout ça.
Comment se passera la suite ? Va t'elle s'en passer ?
Ou s'en lasser tout simplement ! Pour se contenter de moi.
Ou alors se lasser de moi, pour se donner aux hommes, sans scrupules ?
Où le pire ! Que je la prenne en flagrant délit, et peut-être me perdre pour toujours !
(Non ! Je veux pas ! Je vais tout faire pour éviter ça ! On verra bien !) Pense t-elle.
Elle va vite se lasser de cet amant, et se laisser séduire par un autre.
Puis d'autres encore, jusqu'à Chris, qui est dans le milieu du libertinage.
Il l'initie à d'autres jeux, en trio d'abord, puis en gang bang, ensuite.
Par chance, moi aussi, j'avais des choses à me faire pardonner ! Les hommes !
Notre pacte de liberté sexuelle, n'a fait que sceller notre amour.
Voilà comment ma femme est devenue la salope, qu'elle assume être, depuis !
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