sabine aime prendre du plaisir!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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sabine aime prendre du plaisir!
Alors que je suis en train de papoter assis avec Manu sur un banc du quartier, voilà que Sabine quitte son halle.
Comme toujours, elle porte une jupe en cuir rouge qui paraît trop courte sur elle. Révélant ses jambes de sportive, ses cuisses gainées par du nylon. Quant à son chemisier, il a tout aussi bien pu se passer de boutons du haut. Je ne sais pas si elle m’a vue mais elle s’apprête de passer tout proche de nous.
- Je me la ferais bien ! Lâche Manu.
- Tu parles de qui là ?
- Ne fais pas celui qui ne sait pas… de Sabine pardi !
- Ah elle !
- Oui, elle, tu ne la vois pas ?
- Bien sûr que je la vois !
- Ne me dit pas que tu ne te la ferais pas !
- Maintenant que tu me le dis, oui…
- Je devine que toi aussi tu te la mettrais bien…
- Et qu’est-ce qui te fait dire cela ?
- Je t’ai surpris à tourner la tête dès que tu la vue quitter son hall. Et tel que je te connais…
- Tu dis insinues quoi là ?
- J’ai dis quelque chose… moi !
- Tiens bonjour Alain… fait Sabine, en s’arrêtant à notre hauteur.
- Bonjour Sabine, vous allez bien.
- Oui, merci ! Ça tombe bien de vous avoir là, j’ai besoin de bras forts.
- Et ça tombe moi et mon pote nous sommes très forts ? Réponds Manu…
- Et bien c’est mon jour de chance alors ! Lâche Sabine en me fixant avec insistance.
- Alors Madame, que peut-on pour vous ? Fait Manu.
- Il se trouve que ma fille m’a informé ce matin que j’avais la roue avant droite de ma voiture à plat.
- Et vous comptiez la changer ? Poursuit Manu. Dans cette tenue…
- Mais mon cher, que cela te dérange ainsi que quelques unes dans le quartier, c’est la tenue que j’aime portée.
- Et cela vous va bien ! Ajoute Manu…
- Je t’en remercie ! Fait-elle avant d’ajouter : alors c’est d’accord pour changer la roue ?
- Ce serait avec plaisir ! Dit Manu, n’est pas Alain ?
- Oui bien sûr ! Fais-je en quittant le banc, pour accompagner Sabine jusqu’à sa voiture garée sur le parking.
J’ai beau résister pour ne pas me compromettre, mais je suis hypnotisé par Sabine. Une femme qui ose sortir dans des tenues provocantes, qui font bander les hommes. Qui éveille sa tendance à l’exhibitionnisme. Qui refoule son éducation que je devine rigoriste.
Une fois la roue changée, Sabine s’adressant à moi seul, dit qu’elle souhaite me montrer quelque chose. Je leur réponds qu’aujourd’hui je suis occupé, mais qu’en revanche, demain je suis libre.
- Va pour demain, 14H00 chez moi ! Répond-t-elle.
- Je peux emmener Manu ?
- Si cela te dit, pourquoi pas !
Son excitation fouette la mienne. Je sens des ondes de chaleur courir partout sur ma peau, ma queue durcit.
Une fois partie, j’ai droit à une interrogation en règle de la part de Manu.
- Mec, ne me dis pas qu’il ne s’est rien passé entre elle et toi, je ne te croirais pas !
Comme c’est mon pote depuis toujours, je me devais de tout lui révéler. Surtout qu’il était question qu’il m’accompagne le lendemain.
Le jour dit, avec Manu, nous sommes au rendez-vous devant la porte de Sabine. Sitôt la porte ouverte, elle nous guide jusqu’au salon. Là-même, où notre relation a commencé.
- Alors, comme ça, tu as quelque chose à me montrer ? Fais-je en reprenant le tutoiement.
- Asseyez-vous.
Une fois, elle aussi installée, elle se met à faire un monologue. Pour enfin terminer par un :
- Tu la trouves comment ma fille, en parlant franchement !
- Vesna…bien…
- Oui…mais plus encore ?
- Je ne sais pas quoi dire moi…
- Bandante ? Me fait-elle.
- Je ne sais pas si je dois me permettre de dire cela…
- Et bien cela me ferait plaisir que tu sortes avec elle.
- Je pense que cela ne va pas être possible.
- Ah oui… et pourquoi ça ?
- Je n’aime pas sortir avec les filles de mon âge.
- Voilà ça ! Me fait-elle. Tu n’es jamais sortie avec une fille ?
- Oui, avec Annie quand j’avais dix ans. C’était plus pour avoir accès aux culottes de sa mère et de sa sœur aînée Viviane. Cela me changé des culottes de ma mère et de celles de la mère de Manu.
- Mais Alain, enfin, tu n’as pas besoin d’étaler nos frasques sur la voie publique ! S’enrage Manu.
- Il se trouve que cette Annie avait une bonne copine, Christèle de son prénom. Mais voilà elles n’acceptaient pas que je leur doigte le cul. Alors elles ont rompu. Puis ce fut le tour de Nathalie. La belle Nathalie, qui elle aussi n’aimait pas que je taquine du doigt son cul. Alors elle m’a jeté dans les mains de sa sœur aînée Catherine. Qui, elle, un doigt dans le cul ne lui faisait pas peur. Je fis avec elle mon premier 69, aussi. Elle m’a quitté parce que je ne voulais pas la baiser. Fabienne fut la prochaine. Elle aimait se faire peloter et téter les seins, mais pas question de jouer avec son cul. Hormis cela elle me refuser la branlette, alors j’ai tout fait pour qu’elle me largue. Pour prendre à sa place Nadia, elle, une bonne branleuse.
- Je pense que Vesna ne serait pas contre de te la branler !
- Tu penses ? Lui fais-je.
- J’en suis même certaine. Elle tient de sa mère, elle aime donner du plaisir !
Avec Manu, nous sommes insensiblement rapprochés d’elle. La serrant de plus en plus près sur le canapé.
L’atmosphère commence à s’alourdir dans la pièce. Très vite je parcoure ses lèvres et j’insinue ma langue dans sa bouche. Manu profite de l’instant pour la toucher. Son absence de réaction est pour lui comme un accord. Sabine prend elle aussi, sa part de participer activement au débat.
Elle profite que j’éloigne ma bouche de la sienne pour s’occuper de mettre à l’air la queue de Manu. Et dans l’élan, elle passe sa main sous sa jupe en cuir rouge et d’un geste, fait glisser son string pour offrir à ma bouche sa chatte.
Ni une, ni deux, je plonge sous les yeux témoins de mon pote, mon nez entre les lèvres que j’ouvre préalablement de mes doigts, humant à pleins poumons les odeurs intimes de Sabine. Je lance à l’intention de Manu :
-Elle sent bon. Même sans poil !
-Tu me donnes l’eau à la bouche, mon salaud !
-T’inquiète… il y en a pour deux !
-Ouais, c’est ça, répond Sabine. Je veux que vous me donner une tonne de plaisir !
Et là, elle empaume la tige dressée de Manu devant ses yeux et, la langue sortie, commence à la lécher. Va jusqu’à sous les couilles velues, en remontant sur la hampe en direction du frein. Et tel un reptile, tout autour du gland.
Je profite de l’instant pour relever les jambes de Sabine en la positionnant un peu de travers sur le canapé. Lui faisant poser ses genoux sur sa poitrine, dû à son étonnante souplesse. Dans cette position que j’encense, la chatte est ouverte à l’extrême. Son anus est bien perceptible.
J’enfile deux puis trois doigts dans le puits d’amour, d’où s’écoule une mouille dont l’odeur m’enivre au plus haut point. Je la fouille avec une soudaine brutalité. Elle est trempée et si ouverte. Elle ne peut réprimer un sanglot d’excitation. Je bouge mes doigts à l’intérieur de son ventre. Impulse un léger mouvement de rotation avec mon poignet.
Sabine n’en peut plus, elle lâche un soupir significatif. Manu, dont la queue est toujours enfournée dans la bouche de Sabine, explose littéralement. Il vide ses couilles, et cela le clouent sur place. Sans attendre, Sabine glisse le gland sur sa langue et recueille le précieux liquide avant de le goûter tranquillement. En laissant le reste de la jouissance lui envahir la bouche. Lorsque la queue cesse ses bonds, elle élève les yeux vers Manu. Elle lui tend sa bouche et, lorsqu’il enfourche sa langue dans la sienne, lui fait partager le goût de sa semence dans un baiser profond et torride.
Je profite de leur union pour venir poser mon gland à l’entrée de la vulve de Sabine. Je me la branle doucement en faisant glisser mon gland entre les lèvres de sa chatte. Manu, à présent installé à genoux à côté de Sabine, se contente de lui caresser les seins, descendant jusqu’à son bas-ventre, jusqu’à effleurer mon gland turgescent.
Très vite, Sabine fait sentir son impatience d’être prise en bougeant son bassin. L’entrée de son vagin, par des contractions dont les femmes ont le secret, libère un filet de mouille qui s’écoule vers son anus. La queue à la main, je fixe l’anus. Puis, sans attendre plus longtemps, je pose mon gland devant l’entrée et, d’une poussée rectiligne, m’enfonce doucement, appréciant chaque centimètre de progression dans le tunnel accueillant.
Depuis le temps que je rêvais de ça, Sabine, c’est encore meilleur que dans mes fantasmes.
Sabine regarde ma queue s’enfoncer centimètre après centimètre dans son trou de balle. Je me penche sur elle et cherche sa bouche. Sabine enfourne ma langue qui cherche à envahir sa bouche. Elle l’accueille et la suce comme si c’était la queue de Manu. Va jusqu’à enroulé sa langue autour d’elle.
Submergé par le plaisir, je commence à m’emballer. Mes coups de reins deviennent plus profonds, plus forts aussi. À chaque coup de boutoir, Sabine laisse échapper une plainte sourde et profonde. Témoignant son plaisir d’être enculée sans ménagement. Elle passe ses jambes autour de ma taille pour m’emprisonner en crochetant ses pieds derrière moi, me forçant par cette action à la prendre plus profondément.
Les yeux dans les yeux, Sabine et moi, nous nous fixons, déchiffrant dans le regard de l’autre, le plaisir qui monte inexorablement. Sabine a un grand mal à conserver ses yeux ouverts. De temps en temps, ses prunelles renversent en arrière, comme au moment de l’orgasme. Mon souffle de plus en plus court, s’accélère en même temps que mes mouvements de ma bite dans le cul de Sabine. Qui, elle, respire à pleins poumons, prête à laisser exploser sa jouissance.
Incapable de me retenir plus longtemps, plantant ma queue au plus profond de son cul, j’expulse ma première salve de sperme. Sabine se recroqueville sur elle-même. Elle me serre de ses jambes et de ses bras tandis que je reprends un lent va-et-vient dans ses chairs. Achevant de jouir en maintenant les sensations d’infime douceur de cet anus maintenant souillé de ma semence.
Nous restons un moment épousés, emboîtés l’un dans l’autre, sans bouger. Savourant, pour ma part, la douceur de l’anneau qui m’accueille. Manu assiste à l’accouplement en restant à sa place initiale. Sa queue a repris de la vigueur et se tient à l’horizontale, à hauteur de nos visages.
Je me redresse et, tout naturellement, entoure de mes doigts la hampe de Manu comme tant de fois auparavant lors de nos séances en tête à tête, entamant un lent mais savant va-et-vient.
Ma queue toujours enfoncée dans le cul de Sabine, je pose ses lèvres en corolle autour du gland, puis le flatte avec sa langue. À sentir les contractions de son anneau culier sur ma queue, je pense que c’est la première fois que Sabine voit un homme en sucer un autre.
-J’espère que cela t’excite ?
-J’avoue que c’est peu commun, d’assister à ce genre de spectacle !
Je suce Manu quelques secondes encore puis, il est temps pour moi de libérer Sabine.
- Si cela te dit Manu, Sabine est à toi. Je pense qu’elle attend que ça !
Manu ne se le fait pas répéter deux fois. En deux mouvements, il est entre les jambes de Sabine. Cette dernière tend sa main pour le prendre entre ses doigts, puis le dirige entre les lèvres ouvertes, l’attirant tout de suite entre les chairs débordantes de secrétions.
-J’espère que tu vas me donner autant de plaisir qu’Alain !
D’un coup de reins, Manu s’enfonce jusqu’à la garde. Je devine qui savoure la douceur du vagin de Sabine. Sans attendre, il se met en mouvement de balancier, d’avant en arrière. Ressortant presque entièrement du vagin qu’il laisse béant en le quittant.
D’instinct, comme avec moi auparavant, elle croise ses jambes dans son dos, pour le garder en elle et sentir sa présence. Je l’entends crier qu’elle est aux anges.
- N’arrête surtout pas !
Manu, tel un métronome, la tient solidement par les hanches, la besognant sans ménagement à chaque poussée. S’acharnant à la faire crier encore plus fort son plaisir. Sabine a déjà joui deux fois sous les coups de boutoir. Elle est complètement abasourdie, saoulée de plaisir.
Dans un dernier coup de reins, il s’enfonce bien au fond et laisse échapper un râle de jouissance.
-Oui… oui… je jouis... T’es trop bonne. Prends tout ça… c’est cadeau…
Ils restent, eux aussi, un bon moment solidement ancrés l’un à l’autre quand tout à coup, Manu, la tenant fermement contre lui, la fait basculer contre lui. Je comprends très vite où il veut en venir !
- Qu’est que tu fais, jeune homme ? S’écrie Sabine. Tu vas me faire tomber !
- Fais-nous confiance ! Lui fais-je.
Nous décidons avec Manu pour ça de l’emmener dans sa chambre. Sa queue toujours ancrée dans a chatte. Jusqu’au lit où Manu se laisse tomber sur le lit, sur le dos. Me présentant ainsi son fessier. J’approche ma bouche et parcoure et lèche ses fesses, puis descends vers sa raie pour la parcourir jusqu’à son œillet, souillé par mon plaisir. Manu se remet doucement en mouvement. Sabine fait de même, en remuant lentement ses fesses. S’empalant sur le vit. Les deux mains sur ses fesses, je lui ouvre l’anneau et fais couler aussi loin que possible, ma langue dans le conduit pollué.
Puis je me positionne derrière elle. Sans broncher, elle laisse mon gland chahuter de nouveau avec sa rosette. Je pèse lentement sur son anus, et d’un seul coup, mon gland s’engouffre dans son conduit, comme avalé.
La sensation d’être de nouveau étranglé par une bague, est merveilleuse. Elle nous lance un :
-Baisez-moi… Oui, bougez… Faites-moi jouir avec vos queues.
Avec de tels encouragements, Manu et moi nous nous déchaînons dans les différents orifices. Nos queues se frottent l’une contre l’autre à travers la fine paroi. Sabine se met à nous insulter, nous ordonnons entre deux cris de bête blessée, de la faire jouir :
-C’est bien ce que vous vouliez en venant ? Me défoncer le cul et la chatte en même temps. Maintenant que vous avez ce que vous vouliez, faites-moi jouir comme je le mérite. Défoncez-moi, plus fort, plus fort, remplissez-moi, videz-vous en moi. Oui…oui…oui…
Nous tenons fermement Sabine par les hanches. Nos doigts s’imbriquant entre eux pour parfaire leur union sacrée. Nous la besognons en parfaite harmonie. Synchronisant nos pénétrations. Je lui taraude le cul en la poussant sur la queue de mon pote de cul. Et vice-versa. Rapidement, Sabine perd pied.
Elle débite une suite de mots incompréhensibles mêlant plaisir, chaleur, joie. Puis, elle se laisse retomber sur la poitrine de Manu, terrassée une énième fois par la jouissance.
Sans se préoccuper de sa jouissance, nous continuons sur le même rythme. Pour jouir presque en même temps. Moi entre les fesses de Sabine, Manu dans sa chatte.
Après cette débauche de sexe, tous trois, nous sommes complètement vidés. Nous restons un moment accouplés, Sabine en sandwich entre nous deux.
Avant de quitter l’appartement je demande à Sabine si elle veut une suite à notre relation. Une aventure encore plus cochonne. J’attends sa réponse…
Comme toujours, elle porte une jupe en cuir rouge qui paraît trop courte sur elle. Révélant ses jambes de sportive, ses cuisses gainées par du nylon. Quant à son chemisier, il a tout aussi bien pu se passer de boutons du haut. Je ne sais pas si elle m’a vue mais elle s’apprête de passer tout proche de nous.
- Je me la ferais bien ! Lâche Manu.
- Tu parles de qui là ?
- Ne fais pas celui qui ne sait pas… de Sabine pardi !
- Ah elle !
- Oui, elle, tu ne la vois pas ?
- Bien sûr que je la vois !
- Ne me dit pas que tu ne te la ferais pas !
- Maintenant que tu me le dis, oui…
- Je devine que toi aussi tu te la mettrais bien…
- Et qu’est-ce qui te fait dire cela ?
- Je t’ai surpris à tourner la tête dès que tu la vue quitter son hall. Et tel que je te connais…
- Tu dis insinues quoi là ?
- J’ai dis quelque chose… moi !
- Tiens bonjour Alain… fait Sabine, en s’arrêtant à notre hauteur.
- Bonjour Sabine, vous allez bien.
- Oui, merci ! Ça tombe bien de vous avoir là, j’ai besoin de bras forts.
- Et ça tombe moi et mon pote nous sommes très forts ? Réponds Manu…
- Et bien c’est mon jour de chance alors ! Lâche Sabine en me fixant avec insistance.
- Alors Madame, que peut-on pour vous ? Fait Manu.
- Il se trouve que ma fille m’a informé ce matin que j’avais la roue avant droite de ma voiture à plat.
- Et vous comptiez la changer ? Poursuit Manu. Dans cette tenue…
- Mais mon cher, que cela te dérange ainsi que quelques unes dans le quartier, c’est la tenue que j’aime portée.
- Et cela vous va bien ! Ajoute Manu…
- Je t’en remercie ! Fait-elle avant d’ajouter : alors c’est d’accord pour changer la roue ?
- Ce serait avec plaisir ! Dit Manu, n’est pas Alain ?
- Oui bien sûr ! Fais-je en quittant le banc, pour accompagner Sabine jusqu’à sa voiture garée sur le parking.
J’ai beau résister pour ne pas me compromettre, mais je suis hypnotisé par Sabine. Une femme qui ose sortir dans des tenues provocantes, qui font bander les hommes. Qui éveille sa tendance à l’exhibitionnisme. Qui refoule son éducation que je devine rigoriste.
Une fois la roue changée, Sabine s’adressant à moi seul, dit qu’elle souhaite me montrer quelque chose. Je leur réponds qu’aujourd’hui je suis occupé, mais qu’en revanche, demain je suis libre.
- Va pour demain, 14H00 chez moi ! Répond-t-elle.
- Je peux emmener Manu ?
- Si cela te dit, pourquoi pas !
Son excitation fouette la mienne. Je sens des ondes de chaleur courir partout sur ma peau, ma queue durcit.
Une fois partie, j’ai droit à une interrogation en règle de la part de Manu.
- Mec, ne me dis pas qu’il ne s’est rien passé entre elle et toi, je ne te croirais pas !
Comme c’est mon pote depuis toujours, je me devais de tout lui révéler. Surtout qu’il était question qu’il m’accompagne le lendemain.
Le jour dit, avec Manu, nous sommes au rendez-vous devant la porte de Sabine. Sitôt la porte ouverte, elle nous guide jusqu’au salon. Là-même, où notre relation a commencé.
- Alors, comme ça, tu as quelque chose à me montrer ? Fais-je en reprenant le tutoiement.
- Asseyez-vous.
Une fois, elle aussi installée, elle se met à faire un monologue. Pour enfin terminer par un :
- Tu la trouves comment ma fille, en parlant franchement !
- Vesna…bien…
- Oui…mais plus encore ?
- Je ne sais pas quoi dire moi…
- Bandante ? Me fait-elle.
- Je ne sais pas si je dois me permettre de dire cela…
- Et bien cela me ferait plaisir que tu sortes avec elle.
- Je pense que cela ne va pas être possible.
- Ah oui… et pourquoi ça ?
- Je n’aime pas sortir avec les filles de mon âge.
- Voilà ça ! Me fait-elle. Tu n’es jamais sortie avec une fille ?
- Oui, avec Annie quand j’avais dix ans. C’était plus pour avoir accès aux culottes de sa mère et de sa sœur aînée Viviane. Cela me changé des culottes de ma mère et de celles de la mère de Manu.
- Mais Alain, enfin, tu n’as pas besoin d’étaler nos frasques sur la voie publique ! S’enrage Manu.
- Il se trouve que cette Annie avait une bonne copine, Christèle de son prénom. Mais voilà elles n’acceptaient pas que je leur doigte le cul. Alors elles ont rompu. Puis ce fut le tour de Nathalie. La belle Nathalie, qui elle aussi n’aimait pas que je taquine du doigt son cul. Alors elle m’a jeté dans les mains de sa sœur aînée Catherine. Qui, elle, un doigt dans le cul ne lui faisait pas peur. Je fis avec elle mon premier 69, aussi. Elle m’a quitté parce que je ne voulais pas la baiser. Fabienne fut la prochaine. Elle aimait se faire peloter et téter les seins, mais pas question de jouer avec son cul. Hormis cela elle me refuser la branlette, alors j’ai tout fait pour qu’elle me largue. Pour prendre à sa place Nadia, elle, une bonne branleuse.
- Je pense que Vesna ne serait pas contre de te la branler !
- Tu penses ? Lui fais-je.
- J’en suis même certaine. Elle tient de sa mère, elle aime donner du plaisir !
Avec Manu, nous sommes insensiblement rapprochés d’elle. La serrant de plus en plus près sur le canapé.
L’atmosphère commence à s’alourdir dans la pièce. Très vite je parcoure ses lèvres et j’insinue ma langue dans sa bouche. Manu profite de l’instant pour la toucher. Son absence de réaction est pour lui comme un accord. Sabine prend elle aussi, sa part de participer activement au débat.
Elle profite que j’éloigne ma bouche de la sienne pour s’occuper de mettre à l’air la queue de Manu. Et dans l’élan, elle passe sa main sous sa jupe en cuir rouge et d’un geste, fait glisser son string pour offrir à ma bouche sa chatte.
Ni une, ni deux, je plonge sous les yeux témoins de mon pote, mon nez entre les lèvres que j’ouvre préalablement de mes doigts, humant à pleins poumons les odeurs intimes de Sabine. Je lance à l’intention de Manu :
-Elle sent bon. Même sans poil !
-Tu me donnes l’eau à la bouche, mon salaud !
-T’inquiète… il y en a pour deux !
-Ouais, c’est ça, répond Sabine. Je veux que vous me donner une tonne de plaisir !
Et là, elle empaume la tige dressée de Manu devant ses yeux et, la langue sortie, commence à la lécher. Va jusqu’à sous les couilles velues, en remontant sur la hampe en direction du frein. Et tel un reptile, tout autour du gland.
Je profite de l’instant pour relever les jambes de Sabine en la positionnant un peu de travers sur le canapé. Lui faisant poser ses genoux sur sa poitrine, dû à son étonnante souplesse. Dans cette position que j’encense, la chatte est ouverte à l’extrême. Son anus est bien perceptible.
J’enfile deux puis trois doigts dans le puits d’amour, d’où s’écoule une mouille dont l’odeur m’enivre au plus haut point. Je la fouille avec une soudaine brutalité. Elle est trempée et si ouverte. Elle ne peut réprimer un sanglot d’excitation. Je bouge mes doigts à l’intérieur de son ventre. Impulse un léger mouvement de rotation avec mon poignet.
Sabine n’en peut plus, elle lâche un soupir significatif. Manu, dont la queue est toujours enfournée dans la bouche de Sabine, explose littéralement. Il vide ses couilles, et cela le clouent sur place. Sans attendre, Sabine glisse le gland sur sa langue et recueille le précieux liquide avant de le goûter tranquillement. En laissant le reste de la jouissance lui envahir la bouche. Lorsque la queue cesse ses bonds, elle élève les yeux vers Manu. Elle lui tend sa bouche et, lorsqu’il enfourche sa langue dans la sienne, lui fait partager le goût de sa semence dans un baiser profond et torride.
Je profite de leur union pour venir poser mon gland à l’entrée de la vulve de Sabine. Je me la branle doucement en faisant glisser mon gland entre les lèvres de sa chatte. Manu, à présent installé à genoux à côté de Sabine, se contente de lui caresser les seins, descendant jusqu’à son bas-ventre, jusqu’à effleurer mon gland turgescent.
Très vite, Sabine fait sentir son impatience d’être prise en bougeant son bassin. L’entrée de son vagin, par des contractions dont les femmes ont le secret, libère un filet de mouille qui s’écoule vers son anus. La queue à la main, je fixe l’anus. Puis, sans attendre plus longtemps, je pose mon gland devant l’entrée et, d’une poussée rectiligne, m’enfonce doucement, appréciant chaque centimètre de progression dans le tunnel accueillant.
Depuis le temps que je rêvais de ça, Sabine, c’est encore meilleur que dans mes fantasmes.
Sabine regarde ma queue s’enfoncer centimètre après centimètre dans son trou de balle. Je me penche sur elle et cherche sa bouche. Sabine enfourne ma langue qui cherche à envahir sa bouche. Elle l’accueille et la suce comme si c’était la queue de Manu. Va jusqu’à enroulé sa langue autour d’elle.
Submergé par le plaisir, je commence à m’emballer. Mes coups de reins deviennent plus profonds, plus forts aussi. À chaque coup de boutoir, Sabine laisse échapper une plainte sourde et profonde. Témoignant son plaisir d’être enculée sans ménagement. Elle passe ses jambes autour de ma taille pour m’emprisonner en crochetant ses pieds derrière moi, me forçant par cette action à la prendre plus profondément.
Les yeux dans les yeux, Sabine et moi, nous nous fixons, déchiffrant dans le regard de l’autre, le plaisir qui monte inexorablement. Sabine a un grand mal à conserver ses yeux ouverts. De temps en temps, ses prunelles renversent en arrière, comme au moment de l’orgasme. Mon souffle de plus en plus court, s’accélère en même temps que mes mouvements de ma bite dans le cul de Sabine. Qui, elle, respire à pleins poumons, prête à laisser exploser sa jouissance.
Incapable de me retenir plus longtemps, plantant ma queue au plus profond de son cul, j’expulse ma première salve de sperme. Sabine se recroqueville sur elle-même. Elle me serre de ses jambes et de ses bras tandis que je reprends un lent va-et-vient dans ses chairs. Achevant de jouir en maintenant les sensations d’infime douceur de cet anus maintenant souillé de ma semence.
Nous restons un moment épousés, emboîtés l’un dans l’autre, sans bouger. Savourant, pour ma part, la douceur de l’anneau qui m’accueille. Manu assiste à l’accouplement en restant à sa place initiale. Sa queue a repris de la vigueur et se tient à l’horizontale, à hauteur de nos visages.
Je me redresse et, tout naturellement, entoure de mes doigts la hampe de Manu comme tant de fois auparavant lors de nos séances en tête à tête, entamant un lent mais savant va-et-vient.
Ma queue toujours enfoncée dans le cul de Sabine, je pose ses lèvres en corolle autour du gland, puis le flatte avec sa langue. À sentir les contractions de son anneau culier sur ma queue, je pense que c’est la première fois que Sabine voit un homme en sucer un autre.
-J’espère que cela t’excite ?
-J’avoue que c’est peu commun, d’assister à ce genre de spectacle !
Je suce Manu quelques secondes encore puis, il est temps pour moi de libérer Sabine.
- Si cela te dit Manu, Sabine est à toi. Je pense qu’elle attend que ça !
Manu ne se le fait pas répéter deux fois. En deux mouvements, il est entre les jambes de Sabine. Cette dernière tend sa main pour le prendre entre ses doigts, puis le dirige entre les lèvres ouvertes, l’attirant tout de suite entre les chairs débordantes de secrétions.
-J’espère que tu vas me donner autant de plaisir qu’Alain !
D’un coup de reins, Manu s’enfonce jusqu’à la garde. Je devine qui savoure la douceur du vagin de Sabine. Sans attendre, il se met en mouvement de balancier, d’avant en arrière. Ressortant presque entièrement du vagin qu’il laisse béant en le quittant.
D’instinct, comme avec moi auparavant, elle croise ses jambes dans son dos, pour le garder en elle et sentir sa présence. Je l’entends crier qu’elle est aux anges.
- N’arrête surtout pas !
Manu, tel un métronome, la tient solidement par les hanches, la besognant sans ménagement à chaque poussée. S’acharnant à la faire crier encore plus fort son plaisir. Sabine a déjà joui deux fois sous les coups de boutoir. Elle est complètement abasourdie, saoulée de plaisir.
Dans un dernier coup de reins, il s’enfonce bien au fond et laisse échapper un râle de jouissance.
-Oui… oui… je jouis... T’es trop bonne. Prends tout ça… c’est cadeau…
Ils restent, eux aussi, un bon moment solidement ancrés l’un à l’autre quand tout à coup, Manu, la tenant fermement contre lui, la fait basculer contre lui. Je comprends très vite où il veut en venir !
- Qu’est que tu fais, jeune homme ? S’écrie Sabine. Tu vas me faire tomber !
- Fais-nous confiance ! Lui fais-je.
Nous décidons avec Manu pour ça de l’emmener dans sa chambre. Sa queue toujours ancrée dans a chatte. Jusqu’au lit où Manu se laisse tomber sur le lit, sur le dos. Me présentant ainsi son fessier. J’approche ma bouche et parcoure et lèche ses fesses, puis descends vers sa raie pour la parcourir jusqu’à son œillet, souillé par mon plaisir. Manu se remet doucement en mouvement. Sabine fait de même, en remuant lentement ses fesses. S’empalant sur le vit. Les deux mains sur ses fesses, je lui ouvre l’anneau et fais couler aussi loin que possible, ma langue dans le conduit pollué.
Puis je me positionne derrière elle. Sans broncher, elle laisse mon gland chahuter de nouveau avec sa rosette. Je pèse lentement sur son anus, et d’un seul coup, mon gland s’engouffre dans son conduit, comme avalé.
La sensation d’être de nouveau étranglé par une bague, est merveilleuse. Elle nous lance un :
-Baisez-moi… Oui, bougez… Faites-moi jouir avec vos queues.
Avec de tels encouragements, Manu et moi nous nous déchaînons dans les différents orifices. Nos queues se frottent l’une contre l’autre à travers la fine paroi. Sabine se met à nous insulter, nous ordonnons entre deux cris de bête blessée, de la faire jouir :
-C’est bien ce que vous vouliez en venant ? Me défoncer le cul et la chatte en même temps. Maintenant que vous avez ce que vous vouliez, faites-moi jouir comme je le mérite. Défoncez-moi, plus fort, plus fort, remplissez-moi, videz-vous en moi. Oui…oui…oui…
Nous tenons fermement Sabine par les hanches. Nos doigts s’imbriquant entre eux pour parfaire leur union sacrée. Nous la besognons en parfaite harmonie. Synchronisant nos pénétrations. Je lui taraude le cul en la poussant sur la queue de mon pote de cul. Et vice-versa. Rapidement, Sabine perd pied.
Elle débite une suite de mots incompréhensibles mêlant plaisir, chaleur, joie. Puis, elle se laisse retomber sur la poitrine de Manu, terrassée une énième fois par la jouissance.
Sans se préoccuper de sa jouissance, nous continuons sur le même rythme. Pour jouir presque en même temps. Moi entre les fesses de Sabine, Manu dans sa chatte.
Après cette débauche de sexe, tous trois, nous sommes complètement vidés. Nous restons un moment accouplés, Sabine en sandwich entre nous deux.
Avant de quitter l’appartement je demande à Sabine si elle veut une suite à notre relation. Une aventure encore plus cochonne. J’attends sa réponse…
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