Sabine, la femme qui aime portée une jupe en cuir rouge...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sabine, la femme qui aime portée une jupe en cuir rouge...
Je suis assis sur un banc public en train de lire mon journal sportif quand ma voisine passe devant moi dans sa jupette en cuir de couleur rouge. Je ne peux comme toujours me retenir de la mater. Elle est très féminine, brune, 1m70. À chacune de nos rencontres, je la mate avec insistance. Il faut dire qu’elle est souvent l’héroïne de mes plaisirs solitaires. Je pense, sans me tromper, qu’elle sait parfaitement qu’elle ne met pas insensible. Et une fois encore je ne peux empêcher mes rétines de reluquer son cul, ses jambes alors qu’elle ne va pas tarder de disparaître de mes yeux, avaler qu’elle va être par le hall.
Et comme prévu, une fois disparu de mon champ de vision, je me remets à m’intéresser à mon journal. Mais voilà que pour plus grand bonheur, je la vois de nouveau ressortir du hall, oui Sabine de son prénom et mère d’une ado qu’elle élève seule. Il se dit dans le quartier qu’elle est très portée sur le sexe !
Après s’être immobilisée devant le hall, sans toute à la recherche d’une bonne âme qui vis dans le quartier, la voilà qu’elle s’avance dans ma direction.
- Bonjour ! Me fait-elle en stoppant sa marche à seulement de quelques centimètres du banc où je me trouve.
- Bonjour Madame !
- J’aimerais que tu m’appelles Sabine !
-Alors bonjour Sabine.
- Je peux te demander un service ?
- Je serais heureux de vous le donner ! Enfin, si cela est dans mes capacités !
- J’ai perdu mon trousseau de clés et je me retrouve dans la rue.
- C’est très embêtant !
- Oui comme tu dis…
- Mais, je ne vois pas bien où je peux vous aider là !
- Un peu de patience, j’y arrive. Il se trouve que j’ai laissé par carence la fenêtre de la cuisine entrouverte, et comme j’habite au premier, je me disais qu’il serait possible de se hausser jusqu’à la fenêtre.
- On peut toujours essayer.
Je plie le journal et saute sur mes pas. Déjà Sabine file du côté de la façade du bâtiment, là où se trouve la cuisine. Je ne me suis pas gêné de contempler ses pieds chaussés d’escarpins pendant le court trajet.
Arrivée sur place, elle se retourne vers moi et me demande :
- Tu vas me faire la courte échelle.
-Vous ne préférez que nous fassions l’inverse ?
- Je pense, mon coco, que je ne vais pas avoir assez de force pour te hisser jusqu’à la fenêtre !
Sans attendre mon avis, là, elle se sépare de ses escarpins et pose un pied moite dans le creux de la paume de ma main droite. Cela me procure une drôle de sensation, comme toujours dans ses cas là, assez agréable !
Je la hisse tant que je peux. Et comme ce n’est pas suffisant, Sabine appuie son second pied sur mon épaule pour se grandir. Tandis que son attention se porte sur l’ouverture de la fenêtre, je me donne le droit de contempler furtivement sous sa jupe en cuir rouge. Et là surprise, la coquine ne porte pas de culotte. Je distingue nettement ses fesses joliment rondes, mais ma centralisation se porte sur son sexe. Et s’en est trop pour ce que je peux supporter. A en perdre l’équilibre et à atterrir sur l’herbe, couchée sur le dos. Bien sûr, Sabine me suit dans ma chute, mais elle, en criant.
Dans l’effondrement, c’est sur moi qu’elle finit. Dans sa chute sa jupette se soulève et l’instant d’après, je sens comme une tiédeur humide venant de son sexe contre ma bouche. Très confus, je me relève tant bien que mal, et assiste Sabine à se relever.
- Mais qu’est-ce que tu as foutu ?
- Je m’excuse, Sabine…
- Il n’y a pas de Sabine qui tienne. Pour des cons comme toi, ce sera Madame.
- Et bien excusez-moi, Madame. Qu’est-ce que je peux faire pour réparer mon échec ?
- Que tu m’aides à nouveau à pouvoir entrer chez moi, pardi.
- Vous désirez que je trouve peut-être une autre personne pour… ?
- Pas question, je n’aime pas qu’un inconnu rentre chez moi.
- Non, je parlais pour vous hisser…
- Un grand gaillard comme toi ne peut pas le faire seul ?
-Bon Madame, allons-y si vous voulez.
- L’espère bien cette fois-ci pouvoir voir mon feuilleton.
Je me mets pour cela en position. Cette fois-ci, le dos en appui contre le mur. Comme lors de la première expérience, elle pose son pied nu toujours aussi moite, avec en plus quelques brindilles, et se hausse d’un élan, comme si elle montait un cheval. Rebelote, comme lors de la première tentative, elle appuie son autre pied sur mon épaule. Une fois encore, je me régale du spectacle offert sous sa jupe en cuir rouge.
Comme on ne reproduit jamais deux fois la même faute, j’arrive sans embuche à la hausser jusqu’à mes épaules. Là, j’aperçois un de ses pieds papillonné dans l’air avant qu’il vienne s’écraser contre mon nez, pour l’instant d’après, qu’il se pose en appuie sur mon crâne. Pour ne pas que cet incident de reproduise avec l’autre je me saisis de son jumeau et d’un effort surhumain je l’élève aussi haut que je le peux. Assez pour lui permettre de chevaucher la fenêtre et ainsi qu’elle puisse basculer du côté de la cuisine. Quand elle m’apparaît de nouveau, c’est pour me demander de lui ramener ses chaussures. Je profite alors de me retrouver seul dans le hall pour humer l’intérieur d’un des escarpins. Fourrant pour cela mon nez dans la tige en cuir. Frottant mon nez contre la cambrure, la semelle, le tout très odorant.
Quelques marches plus haut, Sabine me fait signe d’entrée dans son appartement. Elle me guide jusqu’à son salon. Le lieu est confortablement aménagé. Après m’avoir indiqué où m’asseoir, soit un fauteuil, elle pose son cul sur le divan, m’exhibant sans aucune gêne les lèvres luisantes de son sexe. Je reste cloué sur place, la bouche sèche, le regard irrésistiblement attiré par le sexe. Mon cerveau bouge. Jamais, malgré ma longue expérience avec les femmes mûres, je n’aurais imaginé qu’une femme puisse me conduire de cette façon !
En tout cas, c’est bien agréable. J’ai un peu honte parce que mon désir s’est de nouveau éveillé et se manifeste d’une façon éhontée. Sans perdre plus de temps, Sabine, d’une main, tapote sur le divan. Signe qu’elle veut que je vienne m’installer à ses côtés. Pendant un temps qui me paraît infiniment long, rien ne se passe, on discute.
Puis tout ce précipite, voilà que Sabine me lance un regard que je dirais trouble. J’interprète cela pour une petite envie de récréation. Cela m’encourage à me laisser aller. À allonger mon bras, pour poser mes doigts au contact de la cuisse de la coquine. Puis retenant mon souffle, me préparant à tout, j’avance l’autre main pour atteindre sa poitrine. Le contact élastique me fait palpiter furieusement.
Une envie folle m’envahit. Celle de lui arracher le soutien-gorge qui maintient sa poitrine. Mais très vite ma préférence va pour son sexe. Au point de prendre l’initiative de faire disparaître ma main sous la jupe en cuir. Et d’avoir le privilège de sentir aux bouts de mes doigts une tiédeur moite.
Je me mets donc lui masser le sexe, tendrement comme je sais le faire. C’est pour moi le meilleur moment de ma pauvre journée. Je ressens comme un picotement délicieux entre mes jambes. Mon érection devient même douloureuse.
Je prends l’initiative de me pencher pour apercevoir ma main. Elle écarte les jambes en soupirant, offrant ainsi une vue parfaite sur son sexe fendu où mes doigts pianotent. Les lèvres brunes, piquées d’un fin duvet, bâillent sur la chair rose du sexe.
-Qu’est-ce qui ta permis ?
Incapable de répondre à cela, je tousse pour masquer ma gêne. C’est là que je choisis pour respirer l’odeur tiède de ses seins. Dont les bouts durs percent le tissu de son chemisier. Je me love contre elle, fixant ses seins qui se soulèvent au rythme de sa respiration. Elle relève les jambes, ce qui dévoile davantage son intimité, dont ma main a quitté depuis sa réflexion.
Je colle ma bouche sur un sein et gobe le téton qui darde. Je me mets à sucer à travers le tissu. Le bout se durcit davantage entre mes lèvres. Grâce à ma salive, l’aréole apparaît peu à peu. Elle subit mes baisers, les yeux clos, s’offrant à ma langue qui passe d’un sein à l’autre.
Je débusque son chemisier de dessous la ceinture de sa jupe. Je descends sous sa poitrine, jusqu’au nombril dénudé suite au déboutonnage. Je retrousse le chemisier sur sa figure. Sabine m’exhibe davantage son sexe en une invitation muette.
Je prends cela pour un appel. Message compris, j’approche ma bouche du pubis aux duvets bruns. Je respire l’odeur piquante de son sexe. Avec deux doigts en fourche, j’écarte les lèvres. Ce qui produit un bruit humide qui m’excite. Son sexe luit, pareil à la chair d’un fruit mûr. J’étire les lèvres déformant de manière obscène son sexe.
Sa chair frissonne et je suis emporté par l’envie brutale d’y goûter, à ne pas pouvoir me retenir d’enfuir ma bouche au milieu du compas que font ses cuisses ouvertes.
- Oh oui ! Bouffe-moi ! Réclame-t-elle. Tu ne peux pas savoir comme j’aime ça !
J’enfonce la pointe de ma langue entre les lèvres tendres et odorantes. Je titille le clitoris, aspirant la mouille qui ruissèle. Sans cesser de le sucer, j’introduis un doigt dans le vagin.
Je la pénètre aussi loin que possible. J’ajoute même un autre doigt, au comble de son excitation. Son vagin se dilate par spasmes rapprochés. À demi couché sur elle, je la masturbe avec des gestes lents. Le sexe s’ouvre encore et encore, si profondément que j’aurais pu y mettre le poignet.
Elle ondule sur le divan en se caressant les seins à travers son soutien-gorge. Qu’elle arrache tant elle prend plaisir à mes attouchements.
- Oh oui… oh oui…
Mais avec une joie perverse, je retire ma main du vagin noyé de mouille. Mais ce n’est pas du goût de la branler qui me lance :
- Branle ! Après, je te ferai tout ce que tu veux !
- Tout !
- Comme je te le dis…
- Je ne serais pas contre une branlette !
- On peut se branler mutuellement alors !
Pour cela, elle met ma queue à l’air libre et me branle. Une vraie experte, cette Sabine. De mon côté je courtise de nouveau son sexe. Sabine pousse une sorte de vagissement sous la caresse de mes doigts. Elle respire à petits coups précipités, comme si elle souffre. Elle mouille de plus en plus. Les lèvres écartées de son sexe laissent à loisir voir l’intérieur de sa vulve. Son bouton pointe plus que jamais. Je la doigte, elle gémit très fort, en écartant à son maximum les jambes.
Je profite de mon avantage, pour rejoindre de nouveau sa chatte. De lui lécher toute la vulve. Ma langue allant de son clitoris en passant par les petites lèvres, que je mordille, Sabine presse son ventre contre ma figure. Elle se plaint d’une voix aiguë. Une sale curiosité me pousse à enfoncer quatre doigts dans son vagin. Je la fouille, la branle, la masse de l’intérieur. Elle gigote de plus belle. Je la sens qu’elle est sur le point de jouir. Alors je m’active à la guider jusqu’à lui.
-Tu es un salaud, Alain… un salaud qui s’est y faire avec les salopes comme moi.
Je la baise avec ma main avec une sorte de rage. Et cela jusqu’à ce qu’elle ne veuille plus de ma main. Un signal comme un autre que j’arrête.
Etendus plus tard sur le dos, bras et jambes écartées, les yeux clos, elle semble m’avoir effacée. Sans sa respiration pressée, j’aurais cru qu’elle dormait. Elle réagit seulement alors que je m’apprêtais à partir. Et parce que le parquet à grincer sous mes pas.
- Tu comptais partir sans me dire au revoir ?
- Tu sais où me trouver…si tu as besoin encore de moi…
- Je crois que cela va venir plus vite que tu ne le penses….
Et comme prévu, une fois disparu de mon champ de vision, je me remets à m’intéresser à mon journal. Mais voilà que pour plus grand bonheur, je la vois de nouveau ressortir du hall, oui Sabine de son prénom et mère d’une ado qu’elle élève seule. Il se dit dans le quartier qu’elle est très portée sur le sexe !
Après s’être immobilisée devant le hall, sans toute à la recherche d’une bonne âme qui vis dans le quartier, la voilà qu’elle s’avance dans ma direction.
- Bonjour ! Me fait-elle en stoppant sa marche à seulement de quelques centimètres du banc où je me trouve.
- Bonjour Madame !
- J’aimerais que tu m’appelles Sabine !
-Alors bonjour Sabine.
- Je peux te demander un service ?
- Je serais heureux de vous le donner ! Enfin, si cela est dans mes capacités !
- J’ai perdu mon trousseau de clés et je me retrouve dans la rue.
- C’est très embêtant !
- Oui comme tu dis…
- Mais, je ne vois pas bien où je peux vous aider là !
- Un peu de patience, j’y arrive. Il se trouve que j’ai laissé par carence la fenêtre de la cuisine entrouverte, et comme j’habite au premier, je me disais qu’il serait possible de se hausser jusqu’à la fenêtre.
- On peut toujours essayer.
Je plie le journal et saute sur mes pas. Déjà Sabine file du côté de la façade du bâtiment, là où se trouve la cuisine. Je ne me suis pas gêné de contempler ses pieds chaussés d’escarpins pendant le court trajet.
Arrivée sur place, elle se retourne vers moi et me demande :
- Tu vas me faire la courte échelle.
-Vous ne préférez que nous fassions l’inverse ?
- Je pense, mon coco, que je ne vais pas avoir assez de force pour te hisser jusqu’à la fenêtre !
Sans attendre mon avis, là, elle se sépare de ses escarpins et pose un pied moite dans le creux de la paume de ma main droite. Cela me procure une drôle de sensation, comme toujours dans ses cas là, assez agréable !
Je la hisse tant que je peux. Et comme ce n’est pas suffisant, Sabine appuie son second pied sur mon épaule pour se grandir. Tandis que son attention se porte sur l’ouverture de la fenêtre, je me donne le droit de contempler furtivement sous sa jupe en cuir rouge. Et là surprise, la coquine ne porte pas de culotte. Je distingue nettement ses fesses joliment rondes, mais ma centralisation se porte sur son sexe. Et s’en est trop pour ce que je peux supporter. A en perdre l’équilibre et à atterrir sur l’herbe, couchée sur le dos. Bien sûr, Sabine me suit dans ma chute, mais elle, en criant.
Dans l’effondrement, c’est sur moi qu’elle finit. Dans sa chute sa jupette se soulève et l’instant d’après, je sens comme une tiédeur humide venant de son sexe contre ma bouche. Très confus, je me relève tant bien que mal, et assiste Sabine à se relever.
- Mais qu’est-ce que tu as foutu ?
- Je m’excuse, Sabine…
- Il n’y a pas de Sabine qui tienne. Pour des cons comme toi, ce sera Madame.
- Et bien excusez-moi, Madame. Qu’est-ce que je peux faire pour réparer mon échec ?
- Que tu m’aides à nouveau à pouvoir entrer chez moi, pardi.
- Vous désirez que je trouve peut-être une autre personne pour… ?
- Pas question, je n’aime pas qu’un inconnu rentre chez moi.
- Non, je parlais pour vous hisser…
- Un grand gaillard comme toi ne peut pas le faire seul ?
-Bon Madame, allons-y si vous voulez.
- L’espère bien cette fois-ci pouvoir voir mon feuilleton.
Je me mets pour cela en position. Cette fois-ci, le dos en appui contre le mur. Comme lors de la première expérience, elle pose son pied nu toujours aussi moite, avec en plus quelques brindilles, et se hausse d’un élan, comme si elle montait un cheval. Rebelote, comme lors de la première tentative, elle appuie son autre pied sur mon épaule. Une fois encore, je me régale du spectacle offert sous sa jupe en cuir rouge.
Comme on ne reproduit jamais deux fois la même faute, j’arrive sans embuche à la hausser jusqu’à mes épaules. Là, j’aperçois un de ses pieds papillonné dans l’air avant qu’il vienne s’écraser contre mon nez, pour l’instant d’après, qu’il se pose en appuie sur mon crâne. Pour ne pas que cet incident de reproduise avec l’autre je me saisis de son jumeau et d’un effort surhumain je l’élève aussi haut que je le peux. Assez pour lui permettre de chevaucher la fenêtre et ainsi qu’elle puisse basculer du côté de la cuisine. Quand elle m’apparaît de nouveau, c’est pour me demander de lui ramener ses chaussures. Je profite alors de me retrouver seul dans le hall pour humer l’intérieur d’un des escarpins. Fourrant pour cela mon nez dans la tige en cuir. Frottant mon nez contre la cambrure, la semelle, le tout très odorant.
Quelques marches plus haut, Sabine me fait signe d’entrée dans son appartement. Elle me guide jusqu’à son salon. Le lieu est confortablement aménagé. Après m’avoir indiqué où m’asseoir, soit un fauteuil, elle pose son cul sur le divan, m’exhibant sans aucune gêne les lèvres luisantes de son sexe. Je reste cloué sur place, la bouche sèche, le regard irrésistiblement attiré par le sexe. Mon cerveau bouge. Jamais, malgré ma longue expérience avec les femmes mûres, je n’aurais imaginé qu’une femme puisse me conduire de cette façon !
En tout cas, c’est bien agréable. J’ai un peu honte parce que mon désir s’est de nouveau éveillé et se manifeste d’une façon éhontée. Sans perdre plus de temps, Sabine, d’une main, tapote sur le divan. Signe qu’elle veut que je vienne m’installer à ses côtés. Pendant un temps qui me paraît infiniment long, rien ne se passe, on discute.
Puis tout ce précipite, voilà que Sabine me lance un regard que je dirais trouble. J’interprète cela pour une petite envie de récréation. Cela m’encourage à me laisser aller. À allonger mon bras, pour poser mes doigts au contact de la cuisse de la coquine. Puis retenant mon souffle, me préparant à tout, j’avance l’autre main pour atteindre sa poitrine. Le contact élastique me fait palpiter furieusement.
Une envie folle m’envahit. Celle de lui arracher le soutien-gorge qui maintient sa poitrine. Mais très vite ma préférence va pour son sexe. Au point de prendre l’initiative de faire disparaître ma main sous la jupe en cuir. Et d’avoir le privilège de sentir aux bouts de mes doigts une tiédeur moite.
Je me mets donc lui masser le sexe, tendrement comme je sais le faire. C’est pour moi le meilleur moment de ma pauvre journée. Je ressens comme un picotement délicieux entre mes jambes. Mon érection devient même douloureuse.
Je prends l’initiative de me pencher pour apercevoir ma main. Elle écarte les jambes en soupirant, offrant ainsi une vue parfaite sur son sexe fendu où mes doigts pianotent. Les lèvres brunes, piquées d’un fin duvet, bâillent sur la chair rose du sexe.
-Qu’est-ce qui ta permis ?
Incapable de répondre à cela, je tousse pour masquer ma gêne. C’est là que je choisis pour respirer l’odeur tiède de ses seins. Dont les bouts durs percent le tissu de son chemisier. Je me love contre elle, fixant ses seins qui se soulèvent au rythme de sa respiration. Elle relève les jambes, ce qui dévoile davantage son intimité, dont ma main a quitté depuis sa réflexion.
Je colle ma bouche sur un sein et gobe le téton qui darde. Je me mets à sucer à travers le tissu. Le bout se durcit davantage entre mes lèvres. Grâce à ma salive, l’aréole apparaît peu à peu. Elle subit mes baisers, les yeux clos, s’offrant à ma langue qui passe d’un sein à l’autre.
Je débusque son chemisier de dessous la ceinture de sa jupe. Je descends sous sa poitrine, jusqu’au nombril dénudé suite au déboutonnage. Je retrousse le chemisier sur sa figure. Sabine m’exhibe davantage son sexe en une invitation muette.
Je prends cela pour un appel. Message compris, j’approche ma bouche du pubis aux duvets bruns. Je respire l’odeur piquante de son sexe. Avec deux doigts en fourche, j’écarte les lèvres. Ce qui produit un bruit humide qui m’excite. Son sexe luit, pareil à la chair d’un fruit mûr. J’étire les lèvres déformant de manière obscène son sexe.
Sa chair frissonne et je suis emporté par l’envie brutale d’y goûter, à ne pas pouvoir me retenir d’enfuir ma bouche au milieu du compas que font ses cuisses ouvertes.
- Oh oui ! Bouffe-moi ! Réclame-t-elle. Tu ne peux pas savoir comme j’aime ça !
J’enfonce la pointe de ma langue entre les lèvres tendres et odorantes. Je titille le clitoris, aspirant la mouille qui ruissèle. Sans cesser de le sucer, j’introduis un doigt dans le vagin.
Je la pénètre aussi loin que possible. J’ajoute même un autre doigt, au comble de son excitation. Son vagin se dilate par spasmes rapprochés. À demi couché sur elle, je la masturbe avec des gestes lents. Le sexe s’ouvre encore et encore, si profondément que j’aurais pu y mettre le poignet.
Elle ondule sur le divan en se caressant les seins à travers son soutien-gorge. Qu’elle arrache tant elle prend plaisir à mes attouchements.
- Oh oui… oh oui…
Mais avec une joie perverse, je retire ma main du vagin noyé de mouille. Mais ce n’est pas du goût de la branler qui me lance :
- Branle ! Après, je te ferai tout ce que tu veux !
- Tout !
- Comme je te le dis…
- Je ne serais pas contre une branlette !
- On peut se branler mutuellement alors !
Pour cela, elle met ma queue à l’air libre et me branle. Une vraie experte, cette Sabine. De mon côté je courtise de nouveau son sexe. Sabine pousse une sorte de vagissement sous la caresse de mes doigts. Elle respire à petits coups précipités, comme si elle souffre. Elle mouille de plus en plus. Les lèvres écartées de son sexe laissent à loisir voir l’intérieur de sa vulve. Son bouton pointe plus que jamais. Je la doigte, elle gémit très fort, en écartant à son maximum les jambes.
Je profite de mon avantage, pour rejoindre de nouveau sa chatte. De lui lécher toute la vulve. Ma langue allant de son clitoris en passant par les petites lèvres, que je mordille, Sabine presse son ventre contre ma figure. Elle se plaint d’une voix aiguë. Une sale curiosité me pousse à enfoncer quatre doigts dans son vagin. Je la fouille, la branle, la masse de l’intérieur. Elle gigote de plus belle. Je la sens qu’elle est sur le point de jouir. Alors je m’active à la guider jusqu’à lui.
-Tu es un salaud, Alain… un salaud qui s’est y faire avec les salopes comme moi.
Je la baise avec ma main avec une sorte de rage. Et cela jusqu’à ce qu’elle ne veuille plus de ma main. Un signal comme un autre que j’arrête.
Etendus plus tard sur le dos, bras et jambes écartées, les yeux clos, elle semble m’avoir effacée. Sans sa respiration pressée, j’aurais cru qu’elle dormait. Elle réagit seulement alors que je m’apprêtais à partir. Et parce que le parquet à grincer sous mes pas.
- Tu comptais partir sans me dire au revoir ?
- Tu sais où me trouver…si tu as besoin encore de moi…
- Je crois que cela va venir plus vite que tu ne le penses….
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La suite svp
Merci d'avoir utilisé mon nom pour ce beau récit.
Prévoyez vous d'autres récits me mettant en scène ? Vesna aussi ? mon amant Patrice ?
A bientôt.
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A bientôt.