Sabine s'exhibe devant Richard, fils d'une voisine, qui se masturbe
Récit érotique écrit par Sabine Edwarda [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2024 dans la catégorie Fétichisme
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Sabine s'exhibe devant Richard, fils d'une voisine, qui se masturbe
RAPPEL et INTRODUCTION : Je vis seule avec Vesna, 19 ans, que j'ai eue d'un amant d'une nuit que je n'ai jamais revu, elle est apprentie-esthéticienne à mon salon. Nous sommes toutes les deux très « fusionnelles ». Ma relation avec Vesna est à la fois très belle et très émouvante. C'est une relation « totale » aussi bien affective que physique. Cette relation mère/fille doit être pour nous deux une vraie source de bonheur. J'ai Patrice, 51 ans, mari de la voisine d'en face sur le palier. Il passe le matin pour prendre un café/croissant avec nous, je lui fais une fellation (environ deux minutes) ou bien il me saute dans la cuisine debout contre l'évier. C'est en fait un « sexfriend », plutôt qu'un amant. Vesna s'occupe de la table du petit déjeuner.
Aujourd'hui, Richard doit venir me rendre visite. Chaque fois que je sors de chez moi, je croise Richard, un adolescent d'environ 18, dans l'escalier comme « par hasard ». De temps en temps ça devenait gênant même. En se croisant, il simule une bousculade au prétexte que le passage est étroit. C'est vrai que l'espace n'est pas très grand mais il en rajoute un peu quand même. En cet instant, sa main traîne sur moi, en particulier il s'arrange toujours pour être placé de sorte qu'elle se trouve sur mon cul et donc il peut caresser mes fesses. Ce qui est gênant surtout c'est que les voisines et autres femmes de l'immeuble s'en sont aperçues. Toute la gente féminine est au courant et fait des remarques sur ce garçon. Il sonne à notre porte. C'est Vesna qui va lui ouvrir et le faire entrer. L'effet qu'elle procure, seins nus, petit tablier et talons hauts est dévastateur. Je viens rejoindre Richard dans l'entrée pour un baiser « pleine bouche » avec mélange de nos langues sans lui demander son avis. Dans l'entrée exigüe, je m'arrange pour laisser traîner me main sur sa braguette. Je sens la sienne frôler mes fesses à travers mon short en cuir. J'aime beaucoup ces caresses. Alors que je lui propose de venir en cuisine, il me fait part d'une forte envie d'uriner auparavant. Il sait où sont les toilettes dont la porte est un rideau plastifié translucide (sorte e rideau de douche) comme toutes les portes et cloisons chez nous. Dans nos toilettes, il y a un petit lavabo, sorte de lave-mains, ainsi qu'une tringle horizontale montée sur roulettes. Sur la tringle, sont pendues des porte-manteaux où sont accrochées mes culottes. De plus, un perroquet est là pour pendre mes tabliers, des tabliers modèle « La Redoute » des années soixante, c'est-à-dire le tablier à bavette en toile cirée souple, uni, lisse. Mon goût pour les culottes date de mes 18 ans environ, lorsque j'ai trouvé une culotte rose de ma mère dans le panier à linge sale de la buanderie alors que j'y jetais mon slip. Là, juste au-dessus, il y avait une culotte rose. Ce n'était pas la première fois que je voyais une culotte de ma mère, mais c'était la première fois que l'une d'elles éveillait en moi un trouble intérêt. Je l'ai portée à mon nez, l'ai longuement humé et j'ai commencé à m'exciter, voir même à me branler. L'entrejambe en était encore humide. J'ai pris en main ma chatte palpitante et me suis masturbée avec volupté jusqu'à l'orgasme. A ce moment, ma mère a frappé à la porte et m'a dit de me dépêcher, le dîner était prêt. En toute hâte, j'ai remis la culotte dans le panier, me suis rajustée et suis montée. Le lendemain, j'ai regardé s'il y avait d'autres culottes dans le panier, mais il était vide et la machine à laver tournait. J'allais devoir attendre un jour ou deux. Quelques jours plus tard en effet, il y en avait deux nouvelles. Je me suis masturbée dans l'une pendant que je portais l'autre à mes narines. J'ai recommencé ainsi toute la semaine. Quand je suis rentrée du lycée, un soir, ma mère était assise sur le canapé en train de lire un livre. J'ai remarqué le titre « Fétiches et adolescentes ». Je me suis retournée pour aller dans ma chambre et ma mère m'a demandé de revenir lui parler dès que j'aurais rangé mes affaires. De quoi traitait ce livre ? me demandais-je. Je n'avais aucune idée de ce qu'était le fétichisme. Quand je suis revenue dans le salon, ma mère a posé le livre et m'a demandé comment s'était passée ma journée. Nous avons discuté pendant un moment puis elle m'a demandé si je savais ce qu'elle lisait. J'ai répondu que non, mais je me doutais que si elle avait besoin de lire des articles sur les adolescents, c'était à mon sujet.
Après avoir raconté tout ceci à Richard, je lui demande « Sais-tu ce qu'est un fétiche ? ». Il me répond qu'il n'en a aucune idée. Je lui explique qu'il s'agit d'un attachement sexuel, généralement à un vêtement porté par une autre personne, le plus souvent du sexe opposé. Je lui révèle qu'après son passage dans nos toilettes j'ai une de mes culottes trempée ou encore un de mes tabliers sur lequel un liquide blanchâtre dégouline doucement en restant collé à la toile cirée. Richard rougit. Voilà qu'il apprend que je sais qu'il se masturbe dans mes culottes ou mes tabliers. « tu sembles avoir un fétichisme pour mes culottes, Richard. J'en ai déjà trouvé plusieurs tachées de ton sperme. Aimes-tu te masturber dans mes culottes, mon chéri ? ». Puis, je poursuis : « Est-ce que tu aimes te masturber dans mes culottes ? Oh, je sais que oui. Il n'est pas difficile de le dire quand on les voit toutes collantes de sperme ou sèches et raides. Dis-moi ce que tu aimes chez elles. Nous pouvons en parler ». Richard se tortille, horriblement gêné, « je veux juste savoir. C'est leur odeur ? Une femme a une odeur qui est censée donner envie aux mâles de s'accoupler avec la femelle. C'est le plan biologique pour la continuation de l'espèce. C'est peut-être pour ça que tu aimes te masturber dans ma culotte ? » Richard est assis là, tout excité, sa bite raidie, rien qu'à entendre le mot culotte. Je suis assise en face de lui, mon chemisier grand ouvert laisse apparaître mes seins. Je me penche en avant, mes jambes s'écartent. La pièce est faiblement éclairée par une lumière orangée tamisée de sorte que Richard puisse quand même voir jusqu'à ma culotte, ma culotte rose quasi transparente. Richard est tellement excité qu'il ne peut que fixer ses yeux vers mon entrecuisses. Je le remarque et je dis à Richard « Ce sont tes culottes préférées, les roses, n'est-ce pas ? » Richard murmure, honteux, « Oui ». J'écarte un peu plus les jambes pour que Richard puisse mieux voir et je lui dis « Regarde bien mon chéri... ». Richard est hypnotisé par ce spectacle, incapable même de penser, haletant. Il en arrive à bander sans se toucher, sa respiration s'accélère, son visage vire au cramoisi..... et voilà qu'il gicle, incapable de se retenir. Son sperme se répand dans son short. « Lève-toi et approche-toi, mon coeur » lui dis-je sur le ton d'un ordre à exécuter, puis « fais-moi voir ce qui s'est passé. Tu as joui dans ton short ? ». Cette fois encore, Richard ne peut que murmurer un timide oui. Il se tient devant moi, tremblant et la tache qui s'étend dans l'entrejambes de son short témoigne de son manque de contrôle... ou d'une preuve du pouvoir que ma culotte a sur lui. Entretemps, j'ai enfilé ma mini-jupe ou plutôt ma micro-jupe tellement elle est courte, une jupe en cuir noire agneau plongé, fermée devant par des boutons pressions qui moule bien mes fesses. « baisse ton short, Richard, ton caleçon aussi. Maintenant » en passant mes mains par dessous ma jupette. Je la relève jusqu'à la fourche. Richard n'en croit pas ses yeux ! Le souffle coupé, il me voit pincer ma culotte de chaque côté pour la faire descendre le long de mes cuisses et mes jambes, ensuite la porter sous son nez pour qu'il la renifle. Pour la première fois, Richard voit ma chatte complètement lisse, telle un savon, entre mes cuisses écartées. Me voici assise les cuisses et les jambes bien écartées avec ma culotte sur mes chevilles. C'en est trop ! Sa queue se dresse à nouveau, impérieuse, pendant qu'il enlève son short.
« Maintenant, je voudrais te voir te masturber... je veux te voir te masturber... montre-moi comment tu fais avec ma culotte ». Richard n'est plus en état de dire quoi que ce soit et c'est sans un mot qu'il enroule soigneusement l'entrejambe humide de ma culotte sur sa bite turgescente et commence à se branler, les yeux rivés sur mon con maternel. Il respire de plus en plus rapidement, ses jambes s'affaiblissent et c'est les yeux exorbités qu'il se met à gicler, nu comme au premier jour devant moi qui sourit... A partir de ce jour, la scène que Richard venait de vivre devant moi devint un rituel auquel il devait s'astreindre à son corps défendant chaque fois qu'il passe chez nous. Après ses cours terminés au lycée, il devait passer à la maison. Voilà qu'il devint incapable de résister à mes volontés. Pendant que je m'installe confortablement dans mon fauteuil, Richard doit se mettre nu. Debout nu devant moi, il doit attendre que je retire ma culotte et lui tende, ce que je ne fais que lorsque, excité par anticipation, il vienne à exhiber en rougissant son sexe dressé. Dès que je juge Richard suffisamment humilié par ce petit jeu, je retrousse ma jupe en souriant et en le traitant de « petit vicieux ». Alors il a droit au spectacle de mes cuisses plantureuses que j'écarte ou resserre au gré de mon envie pour mieux le faire bander. Malgré sa honte, il ne peut détacher ses yeux de mon sexe lisse, qu'il devine doux, dans l'attente avide du moment où, dévoilant ma fente, j'écarte les lèvres de ma chatte en ne quittant pas des yeux son regard hypnotisé. Je lui dis, d'une voix moqueuse : « tu aimes ça, hein, petit pervers, regarder d'où tu es venu... ». Et, haletant et la gorge sèche, Richard ne peut que balbutier en se branlant frénétiquement, mortifié par ma raillerie : « Oh oui, oh oui Madame ! ». Ce scénario comporte de nombreuses variantes mais j'en reviens toujours aux mêmes propos en exhibant ma grotte rose brillante de ma mouille. Quand, n'en pouvant plus devant cette vue et ces paroles, Richard finit par gicler dans ma culotte en gémissant, je le traite une dernière fois de sale petit vicieux avant de tendre vers lui une main impérieuse. Je n'ai pas besoin de dire quoi que ce soit. Je dois alors lui remettre ma culotte toute humide et chaude de son jus encore chaud. Je lui remets alors en prenant mon temps et en prenant soin de bien l'ajuster en la lissant sur ma chatte, avec sur mes lèvres le même sourire ironique.... « Tu penses à quoi toujours, hein, cochon ? ». Lorsque le bruit de la porte d'entrée se faisait entendre à cause de l'arrivée de Vesna, Richard a juste le temps de se rhabiller et de se précipiter dans la cuisine, où il fait semblant de s'occuper à des tâches anodines.
Aujourd'hui, Richard doit venir me rendre visite. Chaque fois que je sors de chez moi, je croise Richard, un adolescent d'environ 18, dans l'escalier comme « par hasard ». De temps en temps ça devenait gênant même. En se croisant, il simule une bousculade au prétexte que le passage est étroit. C'est vrai que l'espace n'est pas très grand mais il en rajoute un peu quand même. En cet instant, sa main traîne sur moi, en particulier il s'arrange toujours pour être placé de sorte qu'elle se trouve sur mon cul et donc il peut caresser mes fesses. Ce qui est gênant surtout c'est que les voisines et autres femmes de l'immeuble s'en sont aperçues. Toute la gente féminine est au courant et fait des remarques sur ce garçon. Il sonne à notre porte. C'est Vesna qui va lui ouvrir et le faire entrer. L'effet qu'elle procure, seins nus, petit tablier et talons hauts est dévastateur. Je viens rejoindre Richard dans l'entrée pour un baiser « pleine bouche » avec mélange de nos langues sans lui demander son avis. Dans l'entrée exigüe, je m'arrange pour laisser traîner me main sur sa braguette. Je sens la sienne frôler mes fesses à travers mon short en cuir. J'aime beaucoup ces caresses. Alors que je lui propose de venir en cuisine, il me fait part d'une forte envie d'uriner auparavant. Il sait où sont les toilettes dont la porte est un rideau plastifié translucide (sorte e rideau de douche) comme toutes les portes et cloisons chez nous. Dans nos toilettes, il y a un petit lavabo, sorte de lave-mains, ainsi qu'une tringle horizontale montée sur roulettes. Sur la tringle, sont pendues des porte-manteaux où sont accrochées mes culottes. De plus, un perroquet est là pour pendre mes tabliers, des tabliers modèle « La Redoute » des années soixante, c'est-à-dire le tablier à bavette en toile cirée souple, uni, lisse. Mon goût pour les culottes date de mes 18 ans environ, lorsque j'ai trouvé une culotte rose de ma mère dans le panier à linge sale de la buanderie alors que j'y jetais mon slip. Là, juste au-dessus, il y avait une culotte rose. Ce n'était pas la première fois que je voyais une culotte de ma mère, mais c'était la première fois que l'une d'elles éveillait en moi un trouble intérêt. Je l'ai portée à mon nez, l'ai longuement humé et j'ai commencé à m'exciter, voir même à me branler. L'entrejambe en était encore humide. J'ai pris en main ma chatte palpitante et me suis masturbée avec volupté jusqu'à l'orgasme. A ce moment, ma mère a frappé à la porte et m'a dit de me dépêcher, le dîner était prêt. En toute hâte, j'ai remis la culotte dans le panier, me suis rajustée et suis montée. Le lendemain, j'ai regardé s'il y avait d'autres culottes dans le panier, mais il était vide et la machine à laver tournait. J'allais devoir attendre un jour ou deux. Quelques jours plus tard en effet, il y en avait deux nouvelles. Je me suis masturbée dans l'une pendant que je portais l'autre à mes narines. J'ai recommencé ainsi toute la semaine. Quand je suis rentrée du lycée, un soir, ma mère était assise sur le canapé en train de lire un livre. J'ai remarqué le titre « Fétiches et adolescentes ». Je me suis retournée pour aller dans ma chambre et ma mère m'a demandé de revenir lui parler dès que j'aurais rangé mes affaires. De quoi traitait ce livre ? me demandais-je. Je n'avais aucune idée de ce qu'était le fétichisme. Quand je suis revenue dans le salon, ma mère a posé le livre et m'a demandé comment s'était passée ma journée. Nous avons discuté pendant un moment puis elle m'a demandé si je savais ce qu'elle lisait. J'ai répondu que non, mais je me doutais que si elle avait besoin de lire des articles sur les adolescents, c'était à mon sujet.
Après avoir raconté tout ceci à Richard, je lui demande « Sais-tu ce qu'est un fétiche ? ». Il me répond qu'il n'en a aucune idée. Je lui explique qu'il s'agit d'un attachement sexuel, généralement à un vêtement porté par une autre personne, le plus souvent du sexe opposé. Je lui révèle qu'après son passage dans nos toilettes j'ai une de mes culottes trempée ou encore un de mes tabliers sur lequel un liquide blanchâtre dégouline doucement en restant collé à la toile cirée. Richard rougit. Voilà qu'il apprend que je sais qu'il se masturbe dans mes culottes ou mes tabliers. « tu sembles avoir un fétichisme pour mes culottes, Richard. J'en ai déjà trouvé plusieurs tachées de ton sperme. Aimes-tu te masturber dans mes culottes, mon chéri ? ». Puis, je poursuis : « Est-ce que tu aimes te masturber dans mes culottes ? Oh, je sais que oui. Il n'est pas difficile de le dire quand on les voit toutes collantes de sperme ou sèches et raides. Dis-moi ce que tu aimes chez elles. Nous pouvons en parler ». Richard se tortille, horriblement gêné, « je veux juste savoir. C'est leur odeur ? Une femme a une odeur qui est censée donner envie aux mâles de s'accoupler avec la femelle. C'est le plan biologique pour la continuation de l'espèce. C'est peut-être pour ça que tu aimes te masturber dans ma culotte ? » Richard est assis là, tout excité, sa bite raidie, rien qu'à entendre le mot culotte. Je suis assise en face de lui, mon chemisier grand ouvert laisse apparaître mes seins. Je me penche en avant, mes jambes s'écartent. La pièce est faiblement éclairée par une lumière orangée tamisée de sorte que Richard puisse quand même voir jusqu'à ma culotte, ma culotte rose quasi transparente. Richard est tellement excité qu'il ne peut que fixer ses yeux vers mon entrecuisses. Je le remarque et je dis à Richard « Ce sont tes culottes préférées, les roses, n'est-ce pas ? » Richard murmure, honteux, « Oui ». J'écarte un peu plus les jambes pour que Richard puisse mieux voir et je lui dis « Regarde bien mon chéri... ». Richard est hypnotisé par ce spectacle, incapable même de penser, haletant. Il en arrive à bander sans se toucher, sa respiration s'accélère, son visage vire au cramoisi..... et voilà qu'il gicle, incapable de se retenir. Son sperme se répand dans son short. « Lève-toi et approche-toi, mon coeur » lui dis-je sur le ton d'un ordre à exécuter, puis « fais-moi voir ce qui s'est passé. Tu as joui dans ton short ? ». Cette fois encore, Richard ne peut que murmurer un timide oui. Il se tient devant moi, tremblant et la tache qui s'étend dans l'entrejambes de son short témoigne de son manque de contrôle... ou d'une preuve du pouvoir que ma culotte a sur lui. Entretemps, j'ai enfilé ma mini-jupe ou plutôt ma micro-jupe tellement elle est courte, une jupe en cuir noire agneau plongé, fermée devant par des boutons pressions qui moule bien mes fesses. « baisse ton short, Richard, ton caleçon aussi. Maintenant » en passant mes mains par dessous ma jupette. Je la relève jusqu'à la fourche. Richard n'en croit pas ses yeux ! Le souffle coupé, il me voit pincer ma culotte de chaque côté pour la faire descendre le long de mes cuisses et mes jambes, ensuite la porter sous son nez pour qu'il la renifle. Pour la première fois, Richard voit ma chatte complètement lisse, telle un savon, entre mes cuisses écartées. Me voici assise les cuisses et les jambes bien écartées avec ma culotte sur mes chevilles. C'en est trop ! Sa queue se dresse à nouveau, impérieuse, pendant qu'il enlève son short.
« Maintenant, je voudrais te voir te masturber... je veux te voir te masturber... montre-moi comment tu fais avec ma culotte ». Richard n'est plus en état de dire quoi que ce soit et c'est sans un mot qu'il enroule soigneusement l'entrejambe humide de ma culotte sur sa bite turgescente et commence à se branler, les yeux rivés sur mon con maternel. Il respire de plus en plus rapidement, ses jambes s'affaiblissent et c'est les yeux exorbités qu'il se met à gicler, nu comme au premier jour devant moi qui sourit... A partir de ce jour, la scène que Richard venait de vivre devant moi devint un rituel auquel il devait s'astreindre à son corps défendant chaque fois qu'il passe chez nous. Après ses cours terminés au lycée, il devait passer à la maison. Voilà qu'il devint incapable de résister à mes volontés. Pendant que je m'installe confortablement dans mon fauteuil, Richard doit se mettre nu. Debout nu devant moi, il doit attendre que je retire ma culotte et lui tende, ce que je ne fais que lorsque, excité par anticipation, il vienne à exhiber en rougissant son sexe dressé. Dès que je juge Richard suffisamment humilié par ce petit jeu, je retrousse ma jupe en souriant et en le traitant de « petit vicieux ». Alors il a droit au spectacle de mes cuisses plantureuses que j'écarte ou resserre au gré de mon envie pour mieux le faire bander. Malgré sa honte, il ne peut détacher ses yeux de mon sexe lisse, qu'il devine doux, dans l'attente avide du moment où, dévoilant ma fente, j'écarte les lèvres de ma chatte en ne quittant pas des yeux son regard hypnotisé. Je lui dis, d'une voix moqueuse : « tu aimes ça, hein, petit pervers, regarder d'où tu es venu... ». Et, haletant et la gorge sèche, Richard ne peut que balbutier en se branlant frénétiquement, mortifié par ma raillerie : « Oh oui, oh oui Madame ! ». Ce scénario comporte de nombreuses variantes mais j'en reviens toujours aux mêmes propos en exhibant ma grotte rose brillante de ma mouille. Quand, n'en pouvant plus devant cette vue et ces paroles, Richard finit par gicler dans ma culotte en gémissant, je le traite une dernière fois de sale petit vicieux avant de tendre vers lui une main impérieuse. Je n'ai pas besoin de dire quoi que ce soit. Je dois alors lui remettre ma culotte toute humide et chaude de son jus encore chaud. Je lui remets alors en prenant mon temps et en prenant soin de bien l'ajuster en la lissant sur ma chatte, avec sur mes lèvres le même sourire ironique.... « Tu penses à quoi toujours, hein, cochon ? ». Lorsque le bruit de la porte d'entrée se faisait entendre à cause de l'arrivée de Vesna, Richard a juste le temps de se rhabiller et de se précipiter dans la cuisine, où il fait semblant de s'occuper à des tâches anodines.
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11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
MERCI 😉
OK? je prépare un récit sur « le sans culotte »
Pour un rdv, je ne pense pas que vous soyez de ma région, ce qui est bien dommage!!!
Oh que oui! Le sans culotte ça m'excite !!!
Vivement la parution de ces récits !
Vivement la parution de ces récits !
« venir tremper ma biscotte pour le p'tit déj !!! » est une excellente idée. On se donne RV ?
En ce moment je prépare deux récits dont un qui explique le goût de Vesna pour le « free pussy », en français le « sans culotte », ça vous intéresse ?
En ce moment je prépare deux récits dont un qui explique le goût de Vesna pour le « free pussy », en français le « sans culotte », ça vous intéresse ?
Bonjour Sabine, à quand une nouvelle histoire ? J'aimerais tant venir tremper ma biscotte pour le p'tit déj !!!
Je que je trouve extraordinaire, c'est ce contraste entre le fait que vous prenez les choses en main dès le début et que vous vous laissiez faire pour la suite: vous passée de dominante à dominée... Vous embrassez directement, puis vous vous laissée carresser...
La façon de faire « direct, sans ambiguïté », c'est un peu ma spécialité avec les jeunes de la cité. A cela j'ajoute mes tenues extrêmement suggestives, cuir ou vinyl sont de mise ou encore ensemble short et crop top en satin ou soie fine et légère, ça donne de fortes envies.
Les mains se promènent sur mes fesses ou dans mon entrecuisses de façon très naturelle.
Les mains se promènent sur mes fesses ou dans mon entrecuisses de façon très naturelle.
Il faudrait être difficile pour ne pas aimer cette ambiance et ce genre d'accueil!!! C'est direct, sans ambiguïté : j'adore !!! 👍
Oui, nous accueillons tous les invités comme cela, comme j'ai écrit, « c'est Vesna qui va ouvrir la porte et le faire entrer. L'effet qu'elle procure, seins nus, petit tablier et talons hauts est dévastateur. Je viens rejoindre Richard dans l'entrée pour un baiser "pleine bouche" avec mélange de nos langues sans lui demander son avis. Dans l'entrée exigüe, je m'arrange pour laisser traîner me main sur sa braguette. Je sens la sienne frôler mes fesses à travers mon short en cuir ».
Vous aimez cette ambiance ? le style de ce genre d'accueil ?
Vous aimez cette ambiance ? le style de ce genre d'accueil ?
Bonjour Sabine, c'est moi!!!
J'ai adoré votre récit! Je n'ai pas eu de mal à m'imaginer la scène...
Vous accueillez tout tes invités comme ça pour le p'tit déj ??? Il y en a qui rêverait d'avoir vu sur mer, mais moi j'adorerais avoir vu sur vous!!! Mais ce n'est pas dans votre culotte que mon jus finirait...
J'ai adoré votre récit! Je n'ai pas eu de mal à m'imaginer la scène...
Vous accueillez tout tes invités comme ça pour le p'tit déj ??? Il y en a qui rêverait d'avoir vu sur mer, mais moi j'adorerais avoir vu sur vous!!! Mais ce n'est pas dans votre culotte que mon jus finirait...