Sacrée nièce !
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sacrée nièce !
Je profite de ma journée de récupération et mais surtout d’être seul chez moi pour écrire mes histoires érotiques. Mais cette passion, ce jour-là, est de courte durée, puisqu’on vient de sonner à la porte d’entrée. Encore un emmerdeur ! Mon premier réflexe qui me vient à l’idée alors, et de faire comme si je n’avais rien entendu. Mais ce n’est pas de l’avis de la personne à la porte, qui persiste elle, en s’acharnant sur la sonnette.
Je coupe l’ordi et m’avance jusqu’à la porte, que j’ouvre. Ma nièce Aline m’apparaît.
-Tiens surprise ! Je laisse tomber.
-Tu es seul ? Fait sa voix.
-Oui !
-Tant mieux, lâche-elle en pénétrant les lieux.
J’attends d’avoir fermer la porte pour lui demander le but de sa visite.
-Tu couches avec maman ? Me fait-elle.
Je me clous sur place. Je ne sais quoi répondre.
-Alors ? Est-ce que tu couches avec maman, oui ou non ?
-Je pense que si tu t’es déplacé jusqu’ici, c’est que tu sais. Cela répond à ta question ?
-Ce jour là je m’apprête à entrée à la maison. Alors que je me déchausse, j’entends le rire de ma mère puis une voix que je reconnais n‘étant pas celle de mon père. Je retiens mon souffle, cherchant d’où viennent les sons. Mon cœur bat vite. Excitée à l’idée de voir quelque chose d’interdit, je me déplace avec précaution, je connais parfaitement la soif sexuelle de ma mère et je devine qu’elle est avec quelqu’un. Ce quelqu’un est toi, oui toi mon oncle. Ma mère minaude avec une expression vulgaire que je ne lui connaissais pas. Mon regard tombe sur ta virilité, je ressens un choc. Et dire que je l’ai pris dans la chatte. Tu te rappelles ?
Bien sûr que je me rappelle, c’était même sur cette table en plein visionnage d’un séjour de vacance, d’ailleurs elle m’en fait part.
-Tu l’as récupérer ?
-Oui, ta grand-mère n’a plus la place.
-Je commence à transpirer en vous espionnant, et tout de suite mon cœur fait un bond en découvrant ton pénis en érection. J’ai aussitôt pensé que j’ais eu la chance d’avoir cette chose dans mon ventre. Je ne peux détacher les yeux de la tige. Ma mère aussi, le couvre du regard, ses joues se colorent. Elle te repousse sur le divan et s’accroupie au-dessus de toi. La touffe de poils qu’elle a entre les cuisses se divise en deux bouquets drus, laissant apparaître une fente d’un rouge sombre. Je tique, jamais je n’aurais imaginé d’être témoin de ce genre de chose. Ma mère respire fort, la bouche entrouverte. Et là pliant les jambes, maman se laisse lentement retomber sur ton pénis. Ses poils me cachent à demi l’entrée du vagin, mais je comprends au soupir rauque qu’elle pousse que l=ta putain de verge entre en elle.
-Bon.. bon ! Je sais la suite. Dis-moi pourquoi tu es là ?
Elle s’installe de biais sur le bord de la table en sapin. Cette petite salope est excitée et je ne trompe pas, il y a de l’enjouement dans sa voix. D’ailleurs elle ajoute, un ton en dessous, comme pour elle-même :
- Je la veux… j’ai envie de la sentir en moi. Comme maman l’a sentit.
-Approche, alors ma belle !
Elle bat des paupières sous le compliment, sourit, puis s’avance. Longues jambes, une démarche élégante, des fesses hautes et largement évasées, elle s’avance jusqu’à toucher la chaise où j’ai posé mon cul pour écouter ses mémoires. Je prends l’initiative de remonter ma main sous la robe, en suivant la cuisse, jusqu’à l’ourlet de la culotte. Je glisse un doigt sous l’élastique et la ressort gluant de mouille. Elle a un rire vicieux.
- Ma mère mouille autant ?
-Baisse plutôt ta culotte, salope !
Sourire salace aux lèvres, elle tire sa culotte de dessous sa robe, et la laisse tomber sur ses pieds, s’emprisonnant les chevilles avec, j’ajoute :
-Tourne-toi !
Elle s’exécute. Un instant je reste en admiration, devant un si beau tableau. Devant une touffe noire, laissée en friche, luisante de cyprine ! Un clitoris rougissant, dressé au fait de ses deux lèvres rebondies, frêle papillon sortant de sa nymphe ! C’est torride ! C’est excitant !
Elle ne bouge pas d’un centimètre, les mains le long des hanches. Je pose ma main sur son sexe. Je tourne des doigts sur la muqueuse jusqu’à ce que je la sente assez souple, et je me glisse à l’intérieur de l’anus aussi loin que je peux. Je perçois l’étroitesse du canal mais en même temps la délicatesse de ses muqueuse. Elle se tend en poussant un braillement, et des flots de liquide coulent sur mes doigts.
Petit à petit, je me rends compte que je peux facilement enfoncer plusieurs doigts dans son anus. En même temps je masse ses fesses. Elle gémit, halète, bave aussi bien de la bouche que du sexe, jouit en enchaînant les orgasmes sous mes caresses.
Quand j’enlève mes doigts d’elle, sa muqueuse est dilatée et le reste. C’est impressionnant de constater à quel point elle est ouverte. Je vois l’intérieur rougeâtre du rectum, la rondelle avec ses plissements bien marqués dans sa chair.
Je me lève et, debout derrière elle, ouvre mon pantalon.
-Mets-toi sur la table !
-Comme la dernière fois ? Pendant qu’on visionner le film des vacances ! Me fait-elle.
-Tu veux que je te prenne ? Oui ou non ?
Elle pivote d’un quart de tour et se couche sur le plateau en bois de sapin. Son cul est haut. Je fais tourner mes deux doigts, la gorge nouée. La vulve se met à clapoter et à s’ouvrir d’une façon qui ne laisse plus de doute. Elle s’agrippe des deux mains à la table, elle se met mi à geindre et à s’étirer en tous sens, en proie à un orgasme honteux.
Je me saisis alors de son cul à deux mains et m’agenouille derrière elle. Le nez enfoui dans la raie des fesses, je capte les arômes, fortes, qui feraient sans doute fuir d’autre âme. Mon plaisir est intense. Je colle ma bouche à la chair moite et tiède de sa chatte velue. Avec mes pouces, j’écarte les volumes charnus. Je désire maintenant le petit anus froncé, dont je veux faire connaissance. J’y enfonce pour cela une langue épaisse et retrouve le goût amer qu’il m’excite tant. Déjà sous la pression de la fouille, son cul s’ouvre avec complaisance. Elle s’aplat de plus belle en avant sur le plateau, tout en continuant de dresser la croupe vers ma bouche qui la broute voracement.
Excité comme jamais, je me redresse, d’un geste sûr, je fais jaillir mon membre dur à l’air libre et le fait coulissé dans le sillon profond qui sépare les deux globes charnus de sa croupe. Elle accueille le membre viril en elle avec un long gémissement de gratitude
- Fais-moi jouir, tonton ! Comme la dernière fois.
-Ta gueule salope ! Fais-je.
Je recule et reviens, sensation folle, allant et venant dans le fluide qu’elle ne cesse de m’offrir copieusement.
Je me redresse et place la pointe de mon gland luisant de mouille entre les fesses bien ouvertes. Je pousse un peu. Le début de l’intromission fait frémir les cuisses ouvertes de chair de poule de ma nièce. Elle a un haut-le corps. Sa tête se redresse, telle une lame de ressort et sa bouche s’ouvre pour reprendre sa respiration. Elle râle et une grosse bulle d’air s’échappe bruyamment de ses intestins. Ça pue !
Je commence un mouvement d’avant en arrière avec mes reins pour lui faire l’amour. Je vais et viens, en lui entrant mes quelques centimètre jusqu’à la garde. Ses fesses tremblent comme du flanc à chaque coup donné. J’assure une prise ferme sur ses hanches et puissamment, commence à aller et venir dans son cul. J’aime regarder ma queue entrer et sortir lentement, prendre peu à peu des couleurs. J’ôte ma verge et admire le spectacle du trou béant au milieu des deux fesses, comme une bouche aux lèvres ourlés et d’un rose presque rouge. Je la plonge de nouveau, et j’accélère le rythme.
C’est alors que la porte d’entrée s’ouvre à la volé sur sa sœur boutonneuse. C’est une grande fille dégingandée, avec une épaisse chevelure rousse frisottée tout autour d’un visage allongé, de grands yeux bleus tout ronds et une large bouche aux lèvres épaisses.
Je n’attarde pas un regard pour elle, tant enculer sa sœur m’enivre. Aline, n’a d’ailleurs, même pas levé les yeux. Pourtant la gamine reste un long moment devant le spectacle que nous lui offrons, à nous observer silencieusement. Sans doute se demande-t-elle ce que nous sommes en train de faire, un contre l’autre. Malheureusement pour la suite, elle sort en claquant la porte. Je suis déçu qu’elle n’assiste pas à la suite. C’est-à-dire, ma jouissance.
J’ai comme une perte de connaissance en me libérant en violentes giclés dans le cul de ma nièce. Je mets longtemps à retrouver mon souffle. J’ai encore dans le nez les odeurs poissonneuses d’Aline, quand je me retire.
C’est décidément, une journée de folie à inscrire dans mon calendrier de la semaine. Elle se laisse tomber à plat ventre sur la table, offrant à mon regard son anus outrageusement ouvert, dont les sphincters révulsés recrachent sperme et sécrétions.
Plus tard, elle s’éclipse avec un ravissant sourire, supposé sans doute me faire comprendre qu’elle a adoré cette petite aventure.
Je coupe l’ordi et m’avance jusqu’à la porte, que j’ouvre. Ma nièce Aline m’apparaît.
-Tiens surprise ! Je laisse tomber.
-Tu es seul ? Fait sa voix.
-Oui !
-Tant mieux, lâche-elle en pénétrant les lieux.
J’attends d’avoir fermer la porte pour lui demander le but de sa visite.
-Tu couches avec maman ? Me fait-elle.
Je me clous sur place. Je ne sais quoi répondre.
-Alors ? Est-ce que tu couches avec maman, oui ou non ?
-Je pense que si tu t’es déplacé jusqu’ici, c’est que tu sais. Cela répond à ta question ?
-Ce jour là je m’apprête à entrée à la maison. Alors que je me déchausse, j’entends le rire de ma mère puis une voix que je reconnais n‘étant pas celle de mon père. Je retiens mon souffle, cherchant d’où viennent les sons. Mon cœur bat vite. Excitée à l’idée de voir quelque chose d’interdit, je me déplace avec précaution, je connais parfaitement la soif sexuelle de ma mère et je devine qu’elle est avec quelqu’un. Ce quelqu’un est toi, oui toi mon oncle. Ma mère minaude avec une expression vulgaire que je ne lui connaissais pas. Mon regard tombe sur ta virilité, je ressens un choc. Et dire que je l’ai pris dans la chatte. Tu te rappelles ?
Bien sûr que je me rappelle, c’était même sur cette table en plein visionnage d’un séjour de vacance, d’ailleurs elle m’en fait part.
-Tu l’as récupérer ?
-Oui, ta grand-mère n’a plus la place.
-Je commence à transpirer en vous espionnant, et tout de suite mon cœur fait un bond en découvrant ton pénis en érection. J’ai aussitôt pensé que j’ais eu la chance d’avoir cette chose dans mon ventre. Je ne peux détacher les yeux de la tige. Ma mère aussi, le couvre du regard, ses joues se colorent. Elle te repousse sur le divan et s’accroupie au-dessus de toi. La touffe de poils qu’elle a entre les cuisses se divise en deux bouquets drus, laissant apparaître une fente d’un rouge sombre. Je tique, jamais je n’aurais imaginé d’être témoin de ce genre de chose. Ma mère respire fort, la bouche entrouverte. Et là pliant les jambes, maman se laisse lentement retomber sur ton pénis. Ses poils me cachent à demi l’entrée du vagin, mais je comprends au soupir rauque qu’elle pousse que l=ta putain de verge entre en elle.
-Bon.. bon ! Je sais la suite. Dis-moi pourquoi tu es là ?
Elle s’installe de biais sur le bord de la table en sapin. Cette petite salope est excitée et je ne trompe pas, il y a de l’enjouement dans sa voix. D’ailleurs elle ajoute, un ton en dessous, comme pour elle-même :
- Je la veux… j’ai envie de la sentir en moi. Comme maman l’a sentit.
-Approche, alors ma belle !
Elle bat des paupières sous le compliment, sourit, puis s’avance. Longues jambes, une démarche élégante, des fesses hautes et largement évasées, elle s’avance jusqu’à toucher la chaise où j’ai posé mon cul pour écouter ses mémoires. Je prends l’initiative de remonter ma main sous la robe, en suivant la cuisse, jusqu’à l’ourlet de la culotte. Je glisse un doigt sous l’élastique et la ressort gluant de mouille. Elle a un rire vicieux.
- Ma mère mouille autant ?
-Baisse plutôt ta culotte, salope !
Sourire salace aux lèvres, elle tire sa culotte de dessous sa robe, et la laisse tomber sur ses pieds, s’emprisonnant les chevilles avec, j’ajoute :
-Tourne-toi !
Elle s’exécute. Un instant je reste en admiration, devant un si beau tableau. Devant une touffe noire, laissée en friche, luisante de cyprine ! Un clitoris rougissant, dressé au fait de ses deux lèvres rebondies, frêle papillon sortant de sa nymphe ! C’est torride ! C’est excitant !
Elle ne bouge pas d’un centimètre, les mains le long des hanches. Je pose ma main sur son sexe. Je tourne des doigts sur la muqueuse jusqu’à ce que je la sente assez souple, et je me glisse à l’intérieur de l’anus aussi loin que je peux. Je perçois l’étroitesse du canal mais en même temps la délicatesse de ses muqueuse. Elle se tend en poussant un braillement, et des flots de liquide coulent sur mes doigts.
Petit à petit, je me rends compte que je peux facilement enfoncer plusieurs doigts dans son anus. En même temps je masse ses fesses. Elle gémit, halète, bave aussi bien de la bouche que du sexe, jouit en enchaînant les orgasmes sous mes caresses.
Quand j’enlève mes doigts d’elle, sa muqueuse est dilatée et le reste. C’est impressionnant de constater à quel point elle est ouverte. Je vois l’intérieur rougeâtre du rectum, la rondelle avec ses plissements bien marqués dans sa chair.
Je me lève et, debout derrière elle, ouvre mon pantalon.
-Mets-toi sur la table !
-Comme la dernière fois ? Pendant qu’on visionner le film des vacances ! Me fait-elle.
-Tu veux que je te prenne ? Oui ou non ?
Elle pivote d’un quart de tour et se couche sur le plateau en bois de sapin. Son cul est haut. Je fais tourner mes deux doigts, la gorge nouée. La vulve se met à clapoter et à s’ouvrir d’une façon qui ne laisse plus de doute. Elle s’agrippe des deux mains à la table, elle se met mi à geindre et à s’étirer en tous sens, en proie à un orgasme honteux.
Je me saisis alors de son cul à deux mains et m’agenouille derrière elle. Le nez enfoui dans la raie des fesses, je capte les arômes, fortes, qui feraient sans doute fuir d’autre âme. Mon plaisir est intense. Je colle ma bouche à la chair moite et tiède de sa chatte velue. Avec mes pouces, j’écarte les volumes charnus. Je désire maintenant le petit anus froncé, dont je veux faire connaissance. J’y enfonce pour cela une langue épaisse et retrouve le goût amer qu’il m’excite tant. Déjà sous la pression de la fouille, son cul s’ouvre avec complaisance. Elle s’aplat de plus belle en avant sur le plateau, tout en continuant de dresser la croupe vers ma bouche qui la broute voracement.
Excité comme jamais, je me redresse, d’un geste sûr, je fais jaillir mon membre dur à l’air libre et le fait coulissé dans le sillon profond qui sépare les deux globes charnus de sa croupe. Elle accueille le membre viril en elle avec un long gémissement de gratitude
- Fais-moi jouir, tonton ! Comme la dernière fois.
-Ta gueule salope ! Fais-je.
Je recule et reviens, sensation folle, allant et venant dans le fluide qu’elle ne cesse de m’offrir copieusement.
Je me redresse et place la pointe de mon gland luisant de mouille entre les fesses bien ouvertes. Je pousse un peu. Le début de l’intromission fait frémir les cuisses ouvertes de chair de poule de ma nièce. Elle a un haut-le corps. Sa tête se redresse, telle une lame de ressort et sa bouche s’ouvre pour reprendre sa respiration. Elle râle et une grosse bulle d’air s’échappe bruyamment de ses intestins. Ça pue !
Je commence un mouvement d’avant en arrière avec mes reins pour lui faire l’amour. Je vais et viens, en lui entrant mes quelques centimètre jusqu’à la garde. Ses fesses tremblent comme du flanc à chaque coup donné. J’assure une prise ferme sur ses hanches et puissamment, commence à aller et venir dans son cul. J’aime regarder ma queue entrer et sortir lentement, prendre peu à peu des couleurs. J’ôte ma verge et admire le spectacle du trou béant au milieu des deux fesses, comme une bouche aux lèvres ourlés et d’un rose presque rouge. Je la plonge de nouveau, et j’accélère le rythme.
C’est alors que la porte d’entrée s’ouvre à la volé sur sa sœur boutonneuse. C’est une grande fille dégingandée, avec une épaisse chevelure rousse frisottée tout autour d’un visage allongé, de grands yeux bleus tout ronds et une large bouche aux lèvres épaisses.
Je n’attarde pas un regard pour elle, tant enculer sa sœur m’enivre. Aline, n’a d’ailleurs, même pas levé les yeux. Pourtant la gamine reste un long moment devant le spectacle que nous lui offrons, à nous observer silencieusement. Sans doute se demande-t-elle ce que nous sommes en train de faire, un contre l’autre. Malheureusement pour la suite, elle sort en claquant la porte. Je suis déçu qu’elle n’assiste pas à la suite. C’est-à-dire, ma jouissance.
J’ai comme une perte de connaissance en me libérant en violentes giclés dans le cul de ma nièce. Je mets longtemps à retrouver mon souffle. J’ai encore dans le nez les odeurs poissonneuses d’Aline, quand je me retire.
C’est décidément, une journée de folie à inscrire dans mon calendrier de la semaine. Elle se laisse tomber à plat ventre sur la table, offrant à mon regard son anus outrageusement ouvert, dont les sphincters révulsés recrachent sperme et sécrétions.
Plus tard, elle s’éclipse avec un ravissant sourire, supposé sans doute me faire comprendre qu’elle a adoré cette petite aventure.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je viens de lire ce récit et il me rappelle un moment de ma jeunesse ou j'ai profité de mon oncle alors qu'il me croyait innocente.
Je vais continuer de lire tes autres récits.
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