Sacrée salope!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sacrée salope!
Je suis en train de rédiger des rapports quand Sylvie la femme d’un collègue fait son entrée.
-Tu as vue dernièrement Philippe.
-Bonjour Sylvie ! Oui ton mec est en ville haute.
-Tu peux le joindre ? Le connard ne répond pas aux appels de son portable.
-Je vais essayer avec le fixe !
Je décroche alors le combiné et fait le numéro. Au bout de la cinquième sonnette on décroche.
-Oui ? Répond la voix que je reconnais étant celle de Philippe.
-Tu en as pour longtemps ?
Mais alors que je profite de l’avoir à l’autre bout du fil pour prendre des nouvelles sur les lieux après la location du week-end, voilà que sa femme se glisse alors sous le bureau et entreprend par la suite d’ouvrir ma braguette.
Elle fait partie de ma liste de maîtresse. Il nous arrive dans les couloirs de l’administration de nous embrasser, comme il nous arrive aussi de nous caresser dès que l’occasion nous est permise. Bien entendu, hors de la vue des autres employés. Il m’arrive même de la trousser sous les portes cochères des immeubles avoisinants. Je la baise vite, debout, comme elle aime.
-Qu’est-ce que tu fais ? Fais-je, les yeux écarquillés d’étonnement, plaquant ma main sur le combiné pour que mon correspondant n’entende rien.
Mais la coquine a déjà descendu la fermeture de ma braguette et glisse sans attendre sa main dans l’ouverture. Pendant ce moment le mari me cause toujours. Sans savoir à quoi joue sa femme sous le bureau. Elle qui vient d’extraire ma verge de son nid de coton. Et qu’elle caresse dans ses doigts en s’amusant à tirer sur la peau du prépuce pour faire jaillir le gland. Je tente tout de même à la repousser de la main par pur respect pour mon collègue, mais sans plus de résultat
Elle passe sa langue sur mon gland tout en serrant mon sexe à la base. Je commence très vite à réagir sous ses caresses. Ma queue se met à gonfler et à se raidir pour le plus grand plaisir de Sylvie, qui la prend dans sa bouche. La suce lentement, agitant sa langue par-dessous.
Après réflexion, tout cela est extrêmement excitant. Se faire sucer par une femme alors que son mari me parle au téléphone, il n’y a pas de mot pour expliquer cela. Surtout qu’elle y met tout son cœur à me faire du bien. M’avalant la queue en pressant les lèvres dessus. La malicieuse ne porte pas de soutien-gorge sous son bustier et libère ainsi facilement un sein. Elle frotte mon gland sur le téton érigé. J’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur la conversation avec le mari. Je peux raccrocher me direz-vous ? Mais c’est tellement agréable ce genre de scénario que je me force à prolonger la discussion. Et je n’es pas de mal à le faire, tant j’ai à faire à une pipelette.
Surtout que la coquine sous le bureau reprend ses coups rapides de langue sur mon gland. De temps en temps, elle s’autorise même de se l’enfoncer au fond de sa bouche. C’est la première fois depuis notre relation qu’elle témoigne une telle audace avec moi, surtout avec sa bouche.
Malheureusement pour moi, la voilà qu’elle sort de dessous le bureau. Elle est plus que délicieuse, vraiment, elle se dandine devant mes yeux, une main plaquée sur ses seins et l’autre sur sa minuscule touffe de poils sombre. Puis elle prend place sur le bureau, face à moi. Ses pieds en appui sur les accoudoirs de mon fauteuil, le corps penché vers l’arrière. Elle tripote sa vulve, insinuant son index entre ses lèvres.
Tant bien que mal je continu à toujours parler à l’époux, le regard fixé entre les jambes de sa femme. Je suis de moins en moins pressé que notre conversation stoppe. C’est trop jouissif tout cela !
Surtout que de notre côté sa bouge, voilà que Sylvie me prend la main et la plaque sur sa fente pour me faire sentir à quel point elle est chaude ! Je pense même qu’elle va me faire devenir fou de désir.
Un rictus au coin des lèvres, la voilà qu’elle pousse dans son ventre. Puis très vite une giclée de pisse jaillit de sa touffe et ruissèle sur mon ventre.
- Oh, pardon je suis dégueulasse… me fait-elle avant de se pouffer de rire.
-Tu n’es pas seul ? Me fait le mari.
-C’est Patricia !
-C’est drôle mais j’ai cru reconnaître le rire de ma femme.
-Pourquoi voudrais-tu qu’elle soit là ?
-Bien sûr !
Sylvie me sourie, satisfaite d’elle. Après avoir mouillé de salive le bout de ses doigts, elle les passe dans sa fente. Puis elle s’enfonce deux doigts au fond de son vagin, et leur imprime un vif mouvement de va-et-vient. Sa respiration s’accélère, alors qu’elle ondule sur le plateau du bureau. Ses yeux deviennent flous, elle se met à jouir en se retenant de crier, pour le mari toujours en conversion, ne l’entende pas.
-Bon Philippe, ce n’est pas que tu m’embête mais je dois raccrocher pour voir quelque chose avec Patricia.
Puis je raccroche.
-Je m’excuse Alain pour tout ça, mais j’avais envie de jouer à la petite secrétaire dévouée à son directeur. C’est agréable, non ?
-T’aurais pu éviter de me pisser dessus. Tu n’as pas mis de culotte ?
-Je me suis dis que ce serait mieux pour te rendre une petite visite.
Je me lève du fauteuil et colle ma bouche à la sienne. En même temps, je caresse ses seins avant d’approcher ma bouche pour en lécher les pointes. Je les tète, je les mordille avec délicatesse. Dans l’action nos bouches se soudent à nouveau. A bout de souffle, je me laisse glisser pour me retrouver ma tête entre ses cuisses. Mécaniquement ma langue glisse sur le sillon de ses lèvres et titille son bouton. Enchantée, Sylvie s’étend sur le bureau, jambes fléchies et largement écartées pour me faciliter l’accès de sa chatte. Je darde ma langue à l’intérieur de sa vulve, ce qui la fait gémir. Je lui pourlèche l’intérieur du vagin. Parfois je relève la tête pour scruter son visage et l’observer prendre du bon temps.
Je demeure toujours attentif aux sensations de mes partenaires quand je les suce !
Après une caresse plus vive, le ventre de Sylvie tressaille et des spasmes parcourent ses cuisses. Sa respiration devient sifflante. Elle s’approche de nouveau d’une jouissance. Pas le temps de cuver son orgasme que déjà elle réclame la suite :
-Prends-moi comme j’aime que tu me prennes ! Comme une pute, murmure-t-elle !
J’approche pour la combler ma queue de sa fente. Avant de la pénétrer, je glisse mon gland entre ses lèvres à plusieurs reprises, puis l’immobilise et l’introduis d’un seul coup de reins. Je prends ses jambes pour les faire passer sur mes épaules et la lime de toutes mes forces, tout en suçant ses orteils à la sudation salés.
Sylvie est haletante sur mon bureau.
-Cela te dit de me prendre par-derrière ?
Pour toute réponse, je me retire et je me penche de nouveau entre ses cuisses. Je soulève ses jambes, les replis pour mieux les écarter. Les jambes en l’air, elle m’offre de nouveau sa fente, du clitoris à l’anus. Ses poils se raccourcissent sous le vagin mais en rangs serrés, ils envahissent la raie jusqu’au coccyx, mettant une note bestiale dans le galbe parfait de son cul. Autour de l’anus protubérant, plissé comme un œillet mauve, s’étend une petite plage lisse en forme de médaille. Très excité, j’écarte les fesses pour mieux dégager l’orifice.
Son anus se déplie et s’ouvre dans ses poils. Il bée, il m’appel, tant que j’approche mon visage. Je me demande si elle ne va pas chier devant moi tant elle pousse.
L’odeur qui imprègne son sillon, mélange de parfum de sueur de mouille et de sécrétion anales, me saoule. Je commence par donner des coups de langue autour de l’anus, coiffant les poils dans l’entre fesse. Écartant l’anus avec mes pouces, j’enfile ma langue à l’intérieur. J’ai par la même occasion introduit deux doigts dans le vagin pour le branler. Sylvie gémit en agitant les fesses. Mon nez dans ses polis de cul, je lèche à perdre haleine, gobant toute ses odeurs. Et ça jusqu’à ce que je me décide à passer à autre chose.
Je fais buter ma queue sur ses chairs délicates, et tenant ses fesses très écartées, je force, par à-coups, pour m’introduire.
-Tu veux que je rappel ton mari, pour lui demander son autorisation pour t’enculer ! Fais-je en perdant mon self-control. De bourrer le cul à fond.
-Pas cape ! Laisse-t-elle tomber en posant ses doigts sur son clitoris.
Elle se caresse tout en s’ouvrant de son mieux pour me recevoir. Quand je suis en elle, je passe de nouveau ses jambes sur mes épaules, et me mets à aller et venir.
-Oui, vas-y bourre-moi bien le cul !
La position me permet qu’elle me reçoive jusqu’à la garde. Je me déchaîne. Je fixe son visage en sueur. Je ne me retiens même pas pour jouir dans son cul.
- T’aime ça mon salaud… bourrer le cul de la femme de ton collègue ?
-C’est le pied !
Elle se dandine, remuant le cul dans tous les sens. Je suis surpris par la facilité avec laquelle je m’étais enfoncé ! Elle donne quelques secousses pour m’aspirer tout en me massant la queue dans son écrin de velours en même temps. Je soupire d’aise. Elle me pompe délicatement, comme une experte de la chose. Ces palpitations charnues m’enthousiasment, elles suffisent amplement à entretenir mon érection et à me porter lentement vers l’apogée d’une joyeuse jouissance.
-Reste dans mon cul, me conseille-t-elle alors que je tente de me retirer.
Elle m’attire à elle pour poser ses lèvres aux miennes.
-Alors ? Lâche-t-elle. Dis-moi si je suis bonne ?
-Délicieuse ! Je ne comprends même pas ton mari.
-Laisse tomber, veux-tu… Fait-elle en mettant de l’ordre sur elle.
Cinq minutes plus tard elle quitte mon bureau, après m’avoir donné rendez-vous pour le lendemain.
Très vite après la porte s’est ouverte sur Myriam. Toute rouge, en sueur, les yeux brillants, elle se plante devant mon bureau, et laisse tomber :
-Tu te la tape elle-aussi?
-Oui…
-Elle est meilleure que moi ? Fait Myriam en se trémoussant sur place sans retenue.
-Dis, Alain, tu sais, je ne serais pas contre de m’ajouter à vous.
-Je te reconnais bien là !
Je lui donne ma parole que j’y penserais. Nous nous sommes séparés quelques minutes plus tard sur le parking. Je ne suis pas mécontent de prendre la route qui me mène chez moi. Dans la salle de bains, alors que je me déshabille pour prendre une douche, voilà qu’une excitation me procure des petits frissons très agréables. Assez, pour me donner l’envie de me masturber.
Quelques jours plus tard, voilà que Myriam me confis qu’elle s’impatiente pour ce qu’elle m’a dit. Je ne lui cache pas que je suis dans le même cas. Que j’ai hâte de réaliser ce trio diabolique, mais que pour cela il ne faut pas que je me plante.
Alors je me suis jeté à l’eau, j’ai donné rendez-vous à Sylvie de venir me rejoindre un soir dans mon bureau, après le boulot. Dès la porte franchis, je m’empresse de lui ligoté les mains. Elle me lance alors :
-Eh bien si je m’attendais à ça !
-Tu n’aimes pas ?
-J’approuve, tu veux dire. Cela fait partie de mes fantasmes !
C’est une fois immobilisé que Myriam sort de sa planque.
-Qu’est-ce qu’elle fout ici celle-là ? Lâche Sylvie.
-T’occupes ma belle, tu vas voir, répond Myriam en s’accroupissant au-dessus de la tête de Sylvie qui essaye de la repousser avec ses mains liés, alors que pour ma part je verrouille la porte du bureau.
-Non, pas ça ! Crie Sylvie.
-Dans la vie il faut tout essayer ! réplique Myriam, lui collant son sexe sur la figure.
Après avoir pris le soin de verrouiller toutes les issues, je m’installe sur un fauteuil. Regardant Myriam assise en équilibre instable sur sa partenaire. Lui coinçant la tête entre ses jambes repliées. La bouche de Sylvie se dérobe d’abord de sa fente de son tortionnaire, que je devine humide, connaissant parfaitement l’oiseau.
Mais peu à peu, voilà que Sylvie s’abandonne et entrouvre enfin sa bouche. Avalant de la mouille tout en se trémoussant sur son siège.
Satisfaite d’elle, Myriam relâche légèrement son étreinte. Bientôt, je discerne la langue de Sylvie qui frétille entre ses lèvres béantes et malmène le clitoris de sa partenaire. Alors que cette dernière s’accroche aux épaules de la prisonnière, le corps parcouru de vibrations délicieuses. Sylvie la suce en aspirant sa mouille bruyamment. La pointe de la langue enfoncée dans son orifice béant. Sylvie passe tant bien que mal ses mains liées sous les fesses de Myriam.
Myriam se redresse juste assez pour que sa prisonnière glisse ses doigts dans sa raie, alors que cette dernière continue à s’activer avec la bouche, produisant des petits bruits mouillés. Myriam est sur le point de jouir quand Sylvie détourne sa tête du sexe, ruisselant de mouille et de salive.
-Ne t’arrête pas salope… continue ! Ordonne Myriam.
Elle la force à la sucer en la tenant par les cheveux. Elle est maintenant carrément assise sur la figure de sa victime. Ondulant sur la bouche suceuse et le menton. Frottant sa chair trempée sur tout ce qui lui procurer du plaisir. Elle se pince elle-même le bout des seins. Je découvre les doigts de Sylvie, tâtonnées entre ses fesses écartées. A pointer un doigt sur son anus, qu’elle enfonce aussi loin que le lui permet les liens.
Empalée sur la main, sur le doigt qui lui masse l’anus, Myriam ballote de droite à gauche, alors que la bouche de la prisonnière s’active plus vite. J’entends Myriam gémir de plaisir, elle prend son pied et le fait savoir.
C’est seulement après avoir repris vie que Myriam se dégage.
-Alors Sylvie qu’est-ce que tu as dire de cette expérience… me renseigné-je.
-Tu sais, j’ai chaud partout. Tu veux me tâter la fente ? Tu verras, je ne mens pas, je suis mouillée, chuchote-t-elle.
-Je pense que je te fais confiance pour ça.
-Mais j’insiste, m’interrompe-t-elle d’une voix hachée. Cette fois, je suis trempée…
Elle palpe en même temps ses seins ronds, écartés dont la peau blanche fait ressortir les aréoles roses et les mamelons mauves. Je fais rouler entre mes doigts les pointes fripées. Suspendue à mon bras, les yeux clos et la tête renversée, Sylvie respire avec force, soulevant ses seins. Je les tâte à pleines mains sous les yeux ravis de Myriam qui a pris place sur le divan. Pivotant d’un quart de tour, Sylvie se presse contre moi, frottant son ventre contre le mien. Elle colle ses lèvres aux miennes, cherche à m’enfoncer la langue dans la bouche. Le visage congestionné, je me dégage. La prenant aux hanches, je l’assois sur un coin du bureau. Elle relève et écarte les cuisses pendant que je sors ma queue. Avant de la baiser, je m’agenouille, examine avec une curiosité passionné ce sexe dont la grande entaille verticale bâille largement. Au sommet des nymphes, le clitoris ressemble à une petite bite violacée. D’une main fébrile, elle m’appuie sur la nuque.
-Oh oui, balbutie-elle, suce mon bouton…
Je me dégage de sa prise, et me redresse. Sans perdre de temps je guide ma queue de la main, pour l’enfoncer dans le vagin de Sylvie. Mon membre glisse avec facilité dans le con engorgé de mouille. Sans attendre, je me mets à aller et venir en soufflant bruyamment. Elle noue ses jambes autour de ma taille et s’agrippe aux épaules. Malgré moi, je ne peux retenir longtemps ma jouissance. Un spasme brutal crispe ma queue. Je sens mes couille se rétracte et répand d’épaisses giclées de sperme.
Le souffle court, je me retire puis me rajuste. Sylvie de son côté en fait de même sous les yeux moqueurs de Myriam. Comme par magie Sylvie retrouve son expression sérieuse, un peu figée.
-C’est pas tout ! Fait-elle. Mais je dois aller faire la popote, moi… salut !
Une fois sortie, Myriam me lance :
-Eh bien, je n’aurais pas cru que ce soit aussi facile… C’st vraiment une sacrée salope !
-Tu as vue dernièrement Philippe.
-Bonjour Sylvie ! Oui ton mec est en ville haute.
-Tu peux le joindre ? Le connard ne répond pas aux appels de son portable.
-Je vais essayer avec le fixe !
Je décroche alors le combiné et fait le numéro. Au bout de la cinquième sonnette on décroche.
-Oui ? Répond la voix que je reconnais étant celle de Philippe.
-Tu en as pour longtemps ?
Mais alors que je profite de l’avoir à l’autre bout du fil pour prendre des nouvelles sur les lieux après la location du week-end, voilà que sa femme se glisse alors sous le bureau et entreprend par la suite d’ouvrir ma braguette.
Elle fait partie de ma liste de maîtresse. Il nous arrive dans les couloirs de l’administration de nous embrasser, comme il nous arrive aussi de nous caresser dès que l’occasion nous est permise. Bien entendu, hors de la vue des autres employés. Il m’arrive même de la trousser sous les portes cochères des immeubles avoisinants. Je la baise vite, debout, comme elle aime.
-Qu’est-ce que tu fais ? Fais-je, les yeux écarquillés d’étonnement, plaquant ma main sur le combiné pour que mon correspondant n’entende rien.
Mais la coquine a déjà descendu la fermeture de ma braguette et glisse sans attendre sa main dans l’ouverture. Pendant ce moment le mari me cause toujours. Sans savoir à quoi joue sa femme sous le bureau. Elle qui vient d’extraire ma verge de son nid de coton. Et qu’elle caresse dans ses doigts en s’amusant à tirer sur la peau du prépuce pour faire jaillir le gland. Je tente tout de même à la repousser de la main par pur respect pour mon collègue, mais sans plus de résultat
Elle passe sa langue sur mon gland tout en serrant mon sexe à la base. Je commence très vite à réagir sous ses caresses. Ma queue se met à gonfler et à se raidir pour le plus grand plaisir de Sylvie, qui la prend dans sa bouche. La suce lentement, agitant sa langue par-dessous.
Après réflexion, tout cela est extrêmement excitant. Se faire sucer par une femme alors que son mari me parle au téléphone, il n’y a pas de mot pour expliquer cela. Surtout qu’elle y met tout son cœur à me faire du bien. M’avalant la queue en pressant les lèvres dessus. La malicieuse ne porte pas de soutien-gorge sous son bustier et libère ainsi facilement un sein. Elle frotte mon gland sur le téton érigé. J’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur la conversation avec le mari. Je peux raccrocher me direz-vous ? Mais c’est tellement agréable ce genre de scénario que je me force à prolonger la discussion. Et je n’es pas de mal à le faire, tant j’ai à faire à une pipelette.
Surtout que la coquine sous le bureau reprend ses coups rapides de langue sur mon gland. De temps en temps, elle s’autorise même de se l’enfoncer au fond de sa bouche. C’est la première fois depuis notre relation qu’elle témoigne une telle audace avec moi, surtout avec sa bouche.
Malheureusement pour moi, la voilà qu’elle sort de dessous le bureau. Elle est plus que délicieuse, vraiment, elle se dandine devant mes yeux, une main plaquée sur ses seins et l’autre sur sa minuscule touffe de poils sombre. Puis elle prend place sur le bureau, face à moi. Ses pieds en appui sur les accoudoirs de mon fauteuil, le corps penché vers l’arrière. Elle tripote sa vulve, insinuant son index entre ses lèvres.
Tant bien que mal je continu à toujours parler à l’époux, le regard fixé entre les jambes de sa femme. Je suis de moins en moins pressé que notre conversation stoppe. C’est trop jouissif tout cela !
Surtout que de notre côté sa bouge, voilà que Sylvie me prend la main et la plaque sur sa fente pour me faire sentir à quel point elle est chaude ! Je pense même qu’elle va me faire devenir fou de désir.
Un rictus au coin des lèvres, la voilà qu’elle pousse dans son ventre. Puis très vite une giclée de pisse jaillit de sa touffe et ruissèle sur mon ventre.
- Oh, pardon je suis dégueulasse… me fait-elle avant de se pouffer de rire.
-Tu n’es pas seul ? Me fait le mari.
-C’est Patricia !
-C’est drôle mais j’ai cru reconnaître le rire de ma femme.
-Pourquoi voudrais-tu qu’elle soit là ?
-Bien sûr !
Sylvie me sourie, satisfaite d’elle. Après avoir mouillé de salive le bout de ses doigts, elle les passe dans sa fente. Puis elle s’enfonce deux doigts au fond de son vagin, et leur imprime un vif mouvement de va-et-vient. Sa respiration s’accélère, alors qu’elle ondule sur le plateau du bureau. Ses yeux deviennent flous, elle se met à jouir en se retenant de crier, pour le mari toujours en conversion, ne l’entende pas.
-Bon Philippe, ce n’est pas que tu m’embête mais je dois raccrocher pour voir quelque chose avec Patricia.
Puis je raccroche.
-Je m’excuse Alain pour tout ça, mais j’avais envie de jouer à la petite secrétaire dévouée à son directeur. C’est agréable, non ?
-T’aurais pu éviter de me pisser dessus. Tu n’as pas mis de culotte ?
-Je me suis dis que ce serait mieux pour te rendre une petite visite.
Je me lève du fauteuil et colle ma bouche à la sienne. En même temps, je caresse ses seins avant d’approcher ma bouche pour en lécher les pointes. Je les tète, je les mordille avec délicatesse. Dans l’action nos bouches se soudent à nouveau. A bout de souffle, je me laisse glisser pour me retrouver ma tête entre ses cuisses. Mécaniquement ma langue glisse sur le sillon de ses lèvres et titille son bouton. Enchantée, Sylvie s’étend sur le bureau, jambes fléchies et largement écartées pour me faciliter l’accès de sa chatte. Je darde ma langue à l’intérieur de sa vulve, ce qui la fait gémir. Je lui pourlèche l’intérieur du vagin. Parfois je relève la tête pour scruter son visage et l’observer prendre du bon temps.
Je demeure toujours attentif aux sensations de mes partenaires quand je les suce !
Après une caresse plus vive, le ventre de Sylvie tressaille et des spasmes parcourent ses cuisses. Sa respiration devient sifflante. Elle s’approche de nouveau d’une jouissance. Pas le temps de cuver son orgasme que déjà elle réclame la suite :
-Prends-moi comme j’aime que tu me prennes ! Comme une pute, murmure-t-elle !
J’approche pour la combler ma queue de sa fente. Avant de la pénétrer, je glisse mon gland entre ses lèvres à plusieurs reprises, puis l’immobilise et l’introduis d’un seul coup de reins. Je prends ses jambes pour les faire passer sur mes épaules et la lime de toutes mes forces, tout en suçant ses orteils à la sudation salés.
Sylvie est haletante sur mon bureau.
-Cela te dit de me prendre par-derrière ?
Pour toute réponse, je me retire et je me penche de nouveau entre ses cuisses. Je soulève ses jambes, les replis pour mieux les écarter. Les jambes en l’air, elle m’offre de nouveau sa fente, du clitoris à l’anus. Ses poils se raccourcissent sous le vagin mais en rangs serrés, ils envahissent la raie jusqu’au coccyx, mettant une note bestiale dans le galbe parfait de son cul. Autour de l’anus protubérant, plissé comme un œillet mauve, s’étend une petite plage lisse en forme de médaille. Très excité, j’écarte les fesses pour mieux dégager l’orifice.
Son anus se déplie et s’ouvre dans ses poils. Il bée, il m’appel, tant que j’approche mon visage. Je me demande si elle ne va pas chier devant moi tant elle pousse.
L’odeur qui imprègne son sillon, mélange de parfum de sueur de mouille et de sécrétion anales, me saoule. Je commence par donner des coups de langue autour de l’anus, coiffant les poils dans l’entre fesse. Écartant l’anus avec mes pouces, j’enfile ma langue à l’intérieur. J’ai par la même occasion introduit deux doigts dans le vagin pour le branler. Sylvie gémit en agitant les fesses. Mon nez dans ses polis de cul, je lèche à perdre haleine, gobant toute ses odeurs. Et ça jusqu’à ce que je me décide à passer à autre chose.
Je fais buter ma queue sur ses chairs délicates, et tenant ses fesses très écartées, je force, par à-coups, pour m’introduire.
-Tu veux que je rappel ton mari, pour lui demander son autorisation pour t’enculer ! Fais-je en perdant mon self-control. De bourrer le cul à fond.
-Pas cape ! Laisse-t-elle tomber en posant ses doigts sur son clitoris.
Elle se caresse tout en s’ouvrant de son mieux pour me recevoir. Quand je suis en elle, je passe de nouveau ses jambes sur mes épaules, et me mets à aller et venir.
-Oui, vas-y bourre-moi bien le cul !
La position me permet qu’elle me reçoive jusqu’à la garde. Je me déchaîne. Je fixe son visage en sueur. Je ne me retiens même pas pour jouir dans son cul.
- T’aime ça mon salaud… bourrer le cul de la femme de ton collègue ?
-C’est le pied !
Elle se dandine, remuant le cul dans tous les sens. Je suis surpris par la facilité avec laquelle je m’étais enfoncé ! Elle donne quelques secousses pour m’aspirer tout en me massant la queue dans son écrin de velours en même temps. Je soupire d’aise. Elle me pompe délicatement, comme une experte de la chose. Ces palpitations charnues m’enthousiasment, elles suffisent amplement à entretenir mon érection et à me porter lentement vers l’apogée d’une joyeuse jouissance.
-Reste dans mon cul, me conseille-t-elle alors que je tente de me retirer.
Elle m’attire à elle pour poser ses lèvres aux miennes.
-Alors ? Lâche-t-elle. Dis-moi si je suis bonne ?
-Délicieuse ! Je ne comprends même pas ton mari.
-Laisse tomber, veux-tu… Fait-elle en mettant de l’ordre sur elle.
Cinq minutes plus tard elle quitte mon bureau, après m’avoir donné rendez-vous pour le lendemain.
Très vite après la porte s’est ouverte sur Myriam. Toute rouge, en sueur, les yeux brillants, elle se plante devant mon bureau, et laisse tomber :
-Tu te la tape elle-aussi?
-Oui…
-Elle est meilleure que moi ? Fait Myriam en se trémoussant sur place sans retenue.
-Dis, Alain, tu sais, je ne serais pas contre de m’ajouter à vous.
-Je te reconnais bien là !
Je lui donne ma parole que j’y penserais. Nous nous sommes séparés quelques minutes plus tard sur le parking. Je ne suis pas mécontent de prendre la route qui me mène chez moi. Dans la salle de bains, alors que je me déshabille pour prendre une douche, voilà qu’une excitation me procure des petits frissons très agréables. Assez, pour me donner l’envie de me masturber.
Quelques jours plus tard, voilà que Myriam me confis qu’elle s’impatiente pour ce qu’elle m’a dit. Je ne lui cache pas que je suis dans le même cas. Que j’ai hâte de réaliser ce trio diabolique, mais que pour cela il ne faut pas que je me plante.
Alors je me suis jeté à l’eau, j’ai donné rendez-vous à Sylvie de venir me rejoindre un soir dans mon bureau, après le boulot. Dès la porte franchis, je m’empresse de lui ligoté les mains. Elle me lance alors :
-Eh bien si je m’attendais à ça !
-Tu n’aimes pas ?
-J’approuve, tu veux dire. Cela fait partie de mes fantasmes !
C’est une fois immobilisé que Myriam sort de sa planque.
-Qu’est-ce qu’elle fout ici celle-là ? Lâche Sylvie.
-T’occupes ma belle, tu vas voir, répond Myriam en s’accroupissant au-dessus de la tête de Sylvie qui essaye de la repousser avec ses mains liés, alors que pour ma part je verrouille la porte du bureau.
-Non, pas ça ! Crie Sylvie.
-Dans la vie il faut tout essayer ! réplique Myriam, lui collant son sexe sur la figure.
Après avoir pris le soin de verrouiller toutes les issues, je m’installe sur un fauteuil. Regardant Myriam assise en équilibre instable sur sa partenaire. Lui coinçant la tête entre ses jambes repliées. La bouche de Sylvie se dérobe d’abord de sa fente de son tortionnaire, que je devine humide, connaissant parfaitement l’oiseau.
Mais peu à peu, voilà que Sylvie s’abandonne et entrouvre enfin sa bouche. Avalant de la mouille tout en se trémoussant sur son siège.
Satisfaite d’elle, Myriam relâche légèrement son étreinte. Bientôt, je discerne la langue de Sylvie qui frétille entre ses lèvres béantes et malmène le clitoris de sa partenaire. Alors que cette dernière s’accroche aux épaules de la prisonnière, le corps parcouru de vibrations délicieuses. Sylvie la suce en aspirant sa mouille bruyamment. La pointe de la langue enfoncée dans son orifice béant. Sylvie passe tant bien que mal ses mains liées sous les fesses de Myriam.
Myriam se redresse juste assez pour que sa prisonnière glisse ses doigts dans sa raie, alors que cette dernière continue à s’activer avec la bouche, produisant des petits bruits mouillés. Myriam est sur le point de jouir quand Sylvie détourne sa tête du sexe, ruisselant de mouille et de salive.
-Ne t’arrête pas salope… continue ! Ordonne Myriam.
Elle la force à la sucer en la tenant par les cheveux. Elle est maintenant carrément assise sur la figure de sa victime. Ondulant sur la bouche suceuse et le menton. Frottant sa chair trempée sur tout ce qui lui procurer du plaisir. Elle se pince elle-même le bout des seins. Je découvre les doigts de Sylvie, tâtonnées entre ses fesses écartées. A pointer un doigt sur son anus, qu’elle enfonce aussi loin que le lui permet les liens.
Empalée sur la main, sur le doigt qui lui masse l’anus, Myriam ballote de droite à gauche, alors que la bouche de la prisonnière s’active plus vite. J’entends Myriam gémir de plaisir, elle prend son pied et le fait savoir.
C’est seulement après avoir repris vie que Myriam se dégage.
-Alors Sylvie qu’est-ce que tu as dire de cette expérience… me renseigné-je.
-Tu sais, j’ai chaud partout. Tu veux me tâter la fente ? Tu verras, je ne mens pas, je suis mouillée, chuchote-t-elle.
-Je pense que je te fais confiance pour ça.
-Mais j’insiste, m’interrompe-t-elle d’une voix hachée. Cette fois, je suis trempée…
Elle palpe en même temps ses seins ronds, écartés dont la peau blanche fait ressortir les aréoles roses et les mamelons mauves. Je fais rouler entre mes doigts les pointes fripées. Suspendue à mon bras, les yeux clos et la tête renversée, Sylvie respire avec force, soulevant ses seins. Je les tâte à pleines mains sous les yeux ravis de Myriam qui a pris place sur le divan. Pivotant d’un quart de tour, Sylvie se presse contre moi, frottant son ventre contre le mien. Elle colle ses lèvres aux miennes, cherche à m’enfoncer la langue dans la bouche. Le visage congestionné, je me dégage. La prenant aux hanches, je l’assois sur un coin du bureau. Elle relève et écarte les cuisses pendant que je sors ma queue. Avant de la baiser, je m’agenouille, examine avec une curiosité passionné ce sexe dont la grande entaille verticale bâille largement. Au sommet des nymphes, le clitoris ressemble à une petite bite violacée. D’une main fébrile, elle m’appuie sur la nuque.
-Oh oui, balbutie-elle, suce mon bouton…
Je me dégage de sa prise, et me redresse. Sans perdre de temps je guide ma queue de la main, pour l’enfoncer dans le vagin de Sylvie. Mon membre glisse avec facilité dans le con engorgé de mouille. Sans attendre, je me mets à aller et venir en soufflant bruyamment. Elle noue ses jambes autour de ma taille et s’agrippe aux épaules. Malgré moi, je ne peux retenir longtemps ma jouissance. Un spasme brutal crispe ma queue. Je sens mes couille se rétracte et répand d’épaisses giclées de sperme.
Le souffle court, je me retire puis me rajuste. Sylvie de son côté en fait de même sous les yeux moqueurs de Myriam. Comme par magie Sylvie retrouve son expression sérieuse, un peu figée.
-C’est pas tout ! Fait-elle. Mais je dois aller faire la popote, moi… salut !
Une fois sortie, Myriam me lance :
-Eh bien, je n’aurais pas cru que ce soit aussi facile… C’st vraiment une sacrée salope !
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Slt jadore té histoire de maman de gros nibards