Sacrés routiers - histoire érotique

Sacrés routiers.

J'ai toujours été impressionné par les camions . Leurs tailles, leurs puissances mais encore plus par la dextérité et l'endurance de ceux qui les conduisent.

Pensez, rouler des heures par tous les temps et toutes les conditions pour ensuite faire de subtiles manœuvres pour décharger à l'aube leurs marchandises.

Grâce à eux , pas de rupture de stock dans votre supermarché habituel, les étals des marchés sont pleins de produits frais à moindre coût.

Mais aussi je rêve de leur vider les couilles à fond, eux qui sont loin de chez eux et forcément en manque.


Je passe régulièrement devant un parking sur une départementale très fréquentée. Il y toujours une dizaine de camions le plus souvent polonais, bulgares, roumains, lituaniens qui ont remplacé les français et les espagnols.

Il y a aussi un petit bois adjacent et l'envie me démange d'y faire un tour.

Lorsque j'arrive, plusieurs camions sont garés et je suis vêtu simplement d'un jogging et d'un tee shirt. Je gare ma voiture comme pour assouvir une envie pressente et je m'enfonce dans le bois de quelques dizaines de mètres.

Devant moi, un grand blond aux épaules large pisse devant lui. Je m'installe à ses côtés légèrement de biais . Je sors mon costume trois pièces et urine au même endroit que lui.

Il ne se détourne pas. Je peux voir ses attributs et réciproquement. Son jet se tarit et il se secoue sans ranger son matériel et nos regards se croisent. Un petit sourire éclaire son visage. Il a de beaux yeux clairs.

Sa main coulisse sur sa verge. J'ai terminé et je l'imite.

Maintenant nous sommes face à face, très proche. Je ne sais plus lequel des deux prend l'initiative. Ma main coulisse sur son sexe. Il caresse le mien avec deux doigts.

Le sien s'allonge et se redresse. Je me baisse pour l'embrasser. Mes lèvres sont autour de son gland et ma langue titille son méat.

Il ouvre complètement son calbut qui repose au sol et je baisse son shorty. Je peux ainsi le caresser de mes doigts plus facilement, je peux aussi caresser ses couilles en même temps.

Je m'agenouille et entreprend une fellation dans les règles de l'art. Mes mains caressent ses fesses.
Les siennes me tiennent l'arrière de la tête et donne le tempo. Je lèche toute la longueur et l'enfourne jusqu'au fond de ma gorge.
Il apprécie et ses soupirs m'encouragent. Il donne des petits coups de rein lui aussi et accélère le mouvement.
Il me baise littéralement pendant plusieurs minutes.
Il veut se retirer mais je le saisis aux hanches et écrase ma bouche sur son pubis.

Plusieurs rasades de jus tapissent mon gosier. Je m'en délecte et continue de le sucer pour en extraire la dernière goutte.

Depuis quelques minutes, j'entends des bruits de brindilles écrasées et je sens une présence à mes côtés. Cela m'excite encore plus. Moi le commercial en congé à genoux en train de pomper un camionneur.
Quand je me relève ce n'est pas un voyeur mais trois mecs très excités qui sont autour de moi.
Le premier se masturbe ouvertement, devant moi. Son sexe est large et veineux, il me fait comprendre que je dois le sucer. Ils ont des mines patibulaires. Avec mes soixante kilos, je ne pèse pas lourd. Les deux autres malaxent leur paquet dans leur fut.
Je m'exécute, je jouis intérieurement de n'être qu'une pute à leurs yeux.

Je baisse mon jogging sous les genoux pour le confort et je le prends en bouche. Ma langue plaque son sexe contre mon palais, tantôt je l'aspire, tantôt je le malaxe, je l'écrase en me retirant.

Il a la main sur ma tête et il me bourre, il accélère en m'insultant dans une langue que je ne connais pas puis s'arrache et inonde mon visage et ma tête.
J'ouvre la bouche pour le nettoyer puis je me relève et enlève mon tee shirt pour m'essuyer.

Le troisième prend la suite sous les yeux des autres qui se caressent à nouveau. Ils échangent quelques mots alors ce dernier me relève, me tourne et il m'appuie sur une souche d'arbre sur le ventre, les fesses à l'air.
Il a clairement l'intention de me sodomiser. Je me suis préparé à cette éventualité en faisant un lavement.
Je sors un préservatif de ma poche et pendant qu'il déchire l'emballage, je mets du gel sur mon anus et sur son sexe.
J'enlève aussi mon pantalon pour être plus à l'aise et bien écarter mes jambes. Il frotte sa bite bien dure et s'enfonce jusqu'à la garde. Je le sens passer. Il ressort pour me pénétrer à nouveau encore plus fort. Je gémis puis je couine au fur et à mesure qu'il me pilonne.
Mon sexe coule sans discontinuer. Je jouis involontairement de la prostate. Son acolyte voudrait que je le suce mais je suis secoué comme un prunier. J'ouvre la bouche et tire la langue. Il me biffle et son sperme jaillit sur mon visage pendant que son camarade jouit dans mon cul.


Je me relève, récupère vêtements et accessoires. Je sors kleenex et ils me raccompagne en silence. Sacrés routiers, ils ont de la ressource.