SaÏd - histoire érotique

J'avais si peu dormi en donnant du meilleur de moi même que la vaisselle a été vite expédiée . J'ai monté les escaliers comme un zombie Il n'était pas nu, allongé sur le lit, juste les skeets enlevées.
Dessapes moi. Profite de chaque morceau de moi. Mais passe te rincer les dents avant tout!
Je suis revenu et j'ai défait sa ceinture. Il était tellement chaud que de près je sentais la chaleur de son sexe. J'ai tiré le jean par le bas.
Enlève mes chaussettes avec les dents! j'ai le temps et profites en pour traiter mes gros orteils comme des bites. Lèche bien.
J'ai pris je ne sais quel plaisir pervers à le faire. Penché sur lui les cuisses ouvertes le poids se balançait. Les pieds sentaient pas fort et il m'a fait remonter en lèchant jusqu'au boxer.
Retire mon tee shirt.
Je ne pensais plus qu'à sa queue et j'ai fait glisser le tee shirt. Une main très proche appuyée sur sa cuisse.
Tu te sens femelle Dominique?
Oui de plus en plus et là je n'en peux plus. Je crois que j'ai vraiment envie d'une queue.
Tu la connais, tu penses prendre ton pied avec?
Je ne sais pas , tout ce que je sais c'est qu'elle va me remplir , c'est de ça que j'ai envie. Avoir le cul comblé par une belle queue.
Il a soulevé un peu les fesses, pour me laisser descendre son boxer. J'ai pris plaisir à voir la queue lovée dans le slip se détendre doucement comme un serpent dans son panier.
Tu sais moi je suis en pleine forme et j'ai tout le temps, je ne crois pas que tu dormes beaucoup. Tête la! Juste le bout du gland avec le bout de ta langue. Là, c'est bien. Maintenant tu descends le long jusquà mes couilles que tu lèches une à une. Pas mal, descend encore le long sous mes couilles. Oui! Tu y es. Lèche moi le cul , enfonce bien ta langue. Ule salope doit tout connaître de son maître.
Il avait une odeur curieuse, musquée, pas désagréable. Et son trou fermé était l'endroit le plus doux après son gland.
Il s'est poussé me faisant allonger à coté de moi. il a caressé les bouts de tétons qui dépassaient des embouts, tout durs et sensibles puis a descendu sur ma cage , glissant un peu de son doigt sur la fente il a ramené un filet de bave que j'ai sucé avec le doigt. Il a soulevé le poids et l'a calé sur le coté pour accéder facilement à cet endroit il y a encore deux jours presque vierge. Le doigt glissant dans la raie sans s'arrêter au trou.
Tourne toi sur le coté. J'aime voir tes fesses . j'ai juste changé le poids de place et j'ai creusé les reins, allant me frotter à sa verge. J'étais fou mais j'étais bien. Il a pas eu a chercher du lubrifiant , passant sur ma cage il trouvait du naturel pour enduire mes fesses. Je m'y attendais mais quand il a mis le gland contre le trou il a fallu toute ma pensée sur le fait que je pouvais le prendre pour qu'il entre . Le gland surtout m'a creusé comme un coup de barre à mine ou de tisonnier. Il a attendu un peu que je m'habitue puis a poussé doucement, s'arrêtant mais pour aller un peu plus loin, ouvrant des voies inconnues de moi. Je râlais doucement, petits couinements de femelle et j'ai enfin senti ses hanches contre mes fesses.
Je savais que tu y arriverais. T'as le cul fait pour les grosses bites.
Ses mots auraient blessé celui que j'étais avant mais plus du tout à ce moment là. Il me comblait. Il a commencé le mouvement inverse et en plein milieu de moi a commencé de doux va-et-vient. Cette fois je me sentais vraiment chienne et j'ai gémis de plaisir. il a duré, duré et j'ai râlé, couiné, gueulé de plaisir. J'avais du jouir sans bander et suis tombé un peu dans les vaps de plaisir, de l'avoir en moi , de fatigue aussi mais c'est à ce moment la que j'ai su que j'étais une salope faite pour le plaisir des mâles. De retour de mes vaps il me limait toujours, attentif à son plaisir de mâle mais un peu à mon bien être.
Tu vas bien? Pas trop mal?
Non non, t'inquiètes pas si je pars de temps en temps, c'est de plaisir.
Bonne chose ça. Mais t'étais prévenu, tu passeras la nuit avec une bite dans ton deuxième sexe qui sera bientôt le principal! Il limait conscencieusement, avec application , pas comme une machine mais insatiable J'ai eu deux ou trois spasmes de suite. Il a eu un petit rire. Tu jouis ma lopette?
J'ai passé la main et en effet j'avais joui.
Oui trop bon je pense.
T'es pas le seul de la bande à jouir quand je le prends. Mais deux c'est un bon chiffre pour moi. Il n'avait pas arrêté pour ça, simplement ses mouvements étaient plus ample, plus longs. Il sortait presque pour me planter à nouveau. Chacun de ses mouvements me tirait des gémissements. Il est quand même sorti mais pour me faire sucer, j'ai eu la suprise de pouvoir mieux le prendre en bouche ne pensant cettefois qu'à son plaisir. j'ai salivé un max avant qu'il sorte de ma bouche pour me reprendre illico. Tu vas avoir une belle chatte. Pas une de femme mais de mec , elle se referme bien à chaque fois.
J'étais tellement bien qe j'ai pas tenu , partant dans des rêves inaccessibles jusqu'à ce qu'une claque sur le cul me rappelle au jour. Il attendait , prêt à jouir et voulait que je sente son jus. Je ne pouvais le voir et encore moins savoir la dose mais j'ai senti sa queue tressauter plusieurs fois dans mes fesses. Il a attendu un moment pour débander un peu avant de se retirer.
Reste sur le ventre sinon ça va couler de ton cul , je vais prendre une douche, Bruno va arriver sous peu et le temps de ta douche tu pourras nous faire du café. T'en boiras, t'as été bonne cette nuit!
Je me suis laissé aller sur le ventre, serrant comme je pouvais les fesses. C'était fou! Le jour pointait aux fenêtre et il m'avait baisé toute la nuit! Il a pris son temps, chantant sous la douche, faux, mais il devait être content. Il est ressorti les cheveux encore humide frisés.
Allez ma salope mets toi des doigts dans le cul ou on te suivra à la trace. File, la place est à toi. Je vais fumer une clope dans ton jardin derrière.
Je me suis pas fait prier et l'eau chaude alternant avec l'eau froide l'ont redonné du tonus. Bon j'avais des poches sous les yeux mais ça je n'y pouvais rien. Je n'ai eu aucune peine à introduire l'embout pour me laver l'intérieur.Après m'être séché je suis descendu faire le café, une bonne quantité. Je ne savais pas si je pouvais mettre un vêtement et je suis allé à la fenêtre voir SaÏd. Mauvais plan il discutait avec le voisin, enfin son fils de 20ans. J'ai vite rentré la tête.
Il est sympa ton voisin qu'il a dit en entrant.Pas du tout raciste! ¨Plutôt cool. alors le café passe?
Oui maître. je m'habille comment?
Bah il fait pas froid et le tanga en dentelles doit être sec. Mets le. Tu t'habilleras le haut pour ta visioconférence. T'as encore du temps.
Merde c'est vrai j'ai failli oublier. Bon ça va il est 7heures et ils attendent 9heures.
Quand le café sera passé tu m'en sers une tasse et quand Bruno sera la j'irais au café du coin attendre que les colis express arrivent. Tu vas être superbe pour mardi soir!
Vous vous retrouvez le mardi? Oui en tant qu'assoce on a un peit local, pas immense mais isolé et des sanitaires. Ah merci pour le café, tu peux en servir un troisième je crois que j'ai vu la tire à Bruno.
Il dira rien si je bois du café dev ant lui?
Non il saura que je suis content de toi.
J'ai eu un oetit sourire, c'est vrai?
Mais oui je ments pas. T'as été bonne . Tiens le voila.
Salut ! Je vois que ça c'est bien passé!
C'est passé oui et il a à peine dormi, putôt dans les vaps mais pas endormi. Asseyez vous. moi je vais au café. Tu connais pas le voisin? Enfin le fils, il paraît cool comme mec. Pendant que l'autre fera sa conférence si il est dans la jardin va causer, je suis sur qu'il est un peu homo sur les bords. Je le sens bien ce mec!
On a bu le café dans un silence, chacun dans ses pensées. Moi j'avais du mal à penser à autre chose qu'à la queue des mecs, Bruno, lui je sais pas. Appuyé sur un coude je somnolais. J'ai servi un autre bol. Dans mes mouvements je frôlais mes tétons et ça me réveillais.
Bruno s'est levé. Il faut t'habiller et pense fort à ce que tu as à leur dire. T'es peut être une lopette maisd' après SaÏd je sais que t'as un bon mental. Si il faut, rentre leur dedans, des fois il en résulte des effets bénéfiques. Tu le mérites. on est monté dans la chambre où il a sorti une chemise bleue un peu sombre et une cravate sombre assortie.
Enfile ça. Oui on devine les pointes, ça va les déstabiliser. Passe juste une ceinture pour tendre la chemise et mets la veste mais assez ouverte. Putain si avec ça tu passes pas haut la main , ils sont nuls. Pense seulement à ne pas te lever. L'effet pourrait être inverse. Il est parti d'un gros rire auquel je me suis joint.
Pense à attendre SaÏd dehors qu'il entre pas pendant la conférece. Je suis descendu ranger mes papiers devant l'ordi dans l'ordre où j'allais les visionner et cadrer une fois Bruno sorti. Pour qui voulait , on devinait les pointes de tétons mais à peine et Bruno m'avait réconforté.
La cam s'est allumé quand le premier s'est connecté. La quarantaine impeccable, sortant la veille d'un salon de massage, et les autres sont apparus dans de petites fenêtres. J'ai commencé en rappelant les objecifs à atteindre et j'ai foncé. J'ai vu plus d'un sourciller quand j'ai parlé de l'âge des dirigeants qui influaient sur l'esprit de jeunesse que l'on souhaitait faire passer dans notre image. J'ai été interpelé par l'un d'eux, me demandant si je voulais sa place. J'ai levé les mains. Oh non je suis très bien là ou je suis mais vous m'aviez demandé une réflexion sur votre socièté , je vous la livre. J'ai montré le bilan de divers sociètès dirigés les unes par des "vieux" et d'autres par des jeunes et je les ai laissé réfléchir , les remerciant de m'avoir écouté et une fois tous partis j'ai coupé la liaison cam. J'aurais bien des retours par SMS ou lettres. Mine de rien les affronter même par vidéo m'avait épuisé et j'ai fait signe à Bruno de rentrer. De sous la fenêtre il m'a dit qu'il allait rejoindre SaÏd au café mais qu'il avait besoin de ma carte d'identité. Je lais laissé tomber par la fenêtre et il est parti.
Pour la première fois depuis longtemps j'étais seul, certe avec la cage et le poids plus les embouts qui tenaient mes tétons dressés mais seul. Je me suis mis nu, dans la glace j'ai vu mon corps sans poils , enfin encore un peu aux jambes et aux bras. En passant la main sous la cage j'ai senti un espace , le poids attirait mes boules . Enfin j'ai entendu du bruit en bas et je suis descendu leur ouvrir si ils étaient encombrés. Je suis resté bouche bée. Ce n'était pas eux mais le jeune voisin.
Oh pardon je dérange.
Non, attends entre je vais t'expliquer j'étais pivoine surement mais lui avait un réflexe sexuel et j'ai vu son short se tendre en avant.
Bon, oui je suis homo mais je ne dérange personne, je suis avec des amis. et je suis chez moi.
Oui en effet je comprends .
Ils sont arrivés à ce moment là. Ah salut Luc ça va?
Oui mais tu m'avais pas dit que mon voisin était homo et qui plus est soumis, il suffit de voir sa cage et ses couilles!
Non mais ça c'est sa vie et pourquoi je te l'aurais dit.
Parce que je pensais souvent à lui le soir.
Bah y a pas longtemps il pensait qu'aux nanas!
Je sais, j'en ai vu passer de belles. Et maintenant il se fait mettre?
En plein oui et va même porter des vêtements féminins.
Waouh je peux voir?
Bien sur.
Ils avaient posé le paquet assez gros sur la table et ont commencé à déballer. Saîd a repéré le premier le paquet avec le porte-jarretelles sans slipIl l'a ouvert. Assieds toi et enfile ça. J'ai été long et maladroit mais en me matant et fouillant SaÏd a trouvé les talons hauts.
T'as fini? Alors mets ça avec et fixe la bretelle. Il m'a aidé à me relever. J'étais forcé de me cambrer, faisant ressortir mes fesses.
T'es un vrai appel à la queue comme ça! Il m'a tendu la jupe. Aller cache un peu ou on te viole tous! J'ai souri mais la jupe serrait ma taille et j'avais aussi un sentiment de liberté sous la jupe. Il te reste le pull. C'était presque le plus dur, le mohair frôlait mes tétons .