Salon de l'érotisme

- Par l'auteur HDS Cplcandaudu60 -
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Récit libertin : Salon de l'érotisme Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Salon de l'érotisme
Nous fréquentions à une époque plusieurs sites et visiochat libertins, ce qui nous permettait de faire des pas mal de rencontres.
Adepte des relations triolistes, deux hommes une femme, nous y prenions beaucoup de plaisirs.
Parfois la rencontre était rapide (le jour même de nos discussions), parfois elle prenait plus de temps.
C’était principalement Nathalie qui tchater avec les mecs et moi je validais ses choix.
Il arrivait parfois de discuter plusieurs jours, voire plusieurs semaines avant de rencontrer un mec.

Cette année-là, le salon de l’érotisme se déroulait au Bourget vers la mi-Mars.
Nathalie, qui discutait occasionnellement sur un visiochat avec un mec depuis pas mal de temps déjà, lui dit que ce Samedi nous irions au Salon de l’érotisme.
Il lui répondit alors que lui aussi comptait s’y rendre.
Nous avons donc prévu de nous y retrouver pour enfin se rencontrer.
Le rendez-vous fut donc pris.

Nous avons garé la voiture sur le parking de parc expo, puis nous sommes dirigés vers les guichets d’accès au salon.
Il y avait pas mal de monde qui faisait la queue pour rentrer, il fallait donc prendre son mal en patience et attendre son tour.
Nathalie a reçu un texto alors que nous étions dans la file d’attente.
C’était Léo, le mec que nous devions rencontrer.
« Je suis arrivé, est-ce que vous êtes là ? »Ma femme lui a répondu en indiquant à peu près l’endroit de la file ou nous étions.
« J’arrive »Le visiochat aidant, nous connaissions déjà au moins nos visage.
Quelques minutes plus tard il nous rejoignait dans la file d’attente.
Il avait 5 ans de moins que nous, châtain, de taille et de corpulence moyenne et un physique agréable (mieux en vrai qu’en cam)Il faisait froid dehors et nous avions tous des manteaux ou blousons assez chaud.
Nathalie avait un long manteaux qui la couvrait de la base du cou jusqu’au mollet.
Quand nous avons enfin pu rentrer, nous nous sommes dirigés vers le vestiaire payant pour y déposer nos pardessus, qui devenaient inutile car il faisait beaucoup plus chaud qu’à l’extérieur.
Le salon de l’érotisme est un des rares endroit public ou l’on peut voir des femmes (et des hommes aussi parfois) habillés de tenues très sexy, très provocantes, relativement hard, parfois presque nues, sans que personne ne s’offusque.

Quand Nathalie a ôté son manteaux, j’ai cru que notre nouvel ami Léo n’allait pas s’en remettre, il faut dire que beaucoup d’autres regards masculin, mais pas que, se sont posés sur elle.
Une paire de cuissardes qui montaient jusqu’à mi-cuisse et une robe noir très courte, ouverte en « V » dans le dos des épaules jusqu’à la raie de ses fesses et devant avec le même type d’ouverture jusqu’au-dessous du nombril.
Son opulente poitrine faisait qu’elle tendait tellement le tissus de sa robe qu’elle ne couvrait qu’une partie de ses seins.

Nous sommes donc partis tous les trois à la découverte des différents stands.
Vibromasseurs et gadgets en tout genre, élixir, bijoux, vêtements, chaussures, vidéos et livres, il y avait de tout.
Nathalie s’est attardée sur plusieurs stands de vêtements et robes sexy puis a décidée d’en essayer quelques-unes.
Elle est donc entrée dans une cabine d’essayage et nous a offert un défilé de tenues toutes plus sexy les unes que les autres en nous demandant notre avis à chaque fois.
Je m’amusais discrètement à regarder Léo qui n’en pouvait plus d’excitation à force de regarder ma femme défiler.

Elle a enfin décidé de mettre fin à son supplice en achetant deux ou trois robes avant de quitter le stand.

Nous avons continué notre balade à travers le salon, nous arrêtant ici ou là pour regarder quelques gadgets ou vêtements.
Nous sommes ensuite allés boire un verre et nous sommes assis à une table pour siroter nos boissons.
Une fois Nathalie installée sur sa chaise, nous ne pouvions plus ignorer qu’elle ne portait pas de sous-vêtements tant sa robe remontait haut.
Les yeux de Léo ne savaient plus sur quel partie de son anatomie se poser.

Un show allait démarrer sur l’estrade principale.
Nous avons donc fini rapidement nos boissons puis nous y sommes dirigés.
Beaucoup de monde s’était retrouvé à cet endroit.
Nous étions entourés de plein de gens qui venaient regarder le spectacle.
Un peu tassé par la foule, je me suis retrouvé légèrement à droite devant Nathalie qui me tenait la main.
Léo lui était juste derrière elle.
Rapidement j’ai senti la main de ma femme serrait un peu plus la mienne.
Il était complètement collé à elle et avait commencé à faire courir ses mains partout sur son corps.
D’abord les fesses, ensuite le ventre, les seins puis son sexe.
Ses doigts se sont attardés sur ses lèvres intimes avant d’aller titiller le clito.
Elle sentait bien contre ses fesses l’érection qu’il avait et a passé sa main pour le caresser à travers la toile de son pantalon.
S’approchant de mon oreille elle m’a dit :« Attends-moi là, je reviens »Puis elle est partie, prenant Léo par la main pour qu’il la suive.

Il y avait beaucoup moins de monde dans les allées lorsqu’un spectacle sur la scène se déroulait.
Les stands n’occupant pas tout le hall du salon, une partie de ce dernier restait vide et interdite au public.
Toutefois on pouvait y accéder à certains endroits (nous l’avions testé l’année d’avant Nathalie et moi pour une envie subite de sexe).
Se rappelant de cette petite escapade, elle a réussi à entrainer Léo dans une partie déserte du hall.
Il fallait juste se cacher derrière des piliers car il y avait quand même quelques vigiles qui surveillait cette zone afin que personne n’y vienne.
Ils se sont rapidement cachés, collé à une poutre.
Léo a aussitôt posé ses mains sur la poitrine de ma femme en l’embrassant goulument.
Leurs langues se sont longuement entremêlées alors qu’il lui caressait toutes les parties du corps avec excitation.
Nathalie s’est ensuite accroupie devant lui en dégrafant son pantalon qu’elle a descendue jusqu’aux genoux.
Un sexe bien raide était maintenant à la hauteur de son visage.
Elle a approché sa bouche qu’elle a ouverte pour l’engloutir.
Sa main le branlait et sa langue s’enroulait autour de son gland.
Elle jouait de sa langue et de ses lèvres charnues et pulpeuses sur la bite toute gonflée de Léo.
Elle le léchait, l’aspirait, le suçait tout en lui malaxant bien les couilles.
Elle s’est appliquée ainsi sur sa queue pendant une bonne dizaine de minutes.
Très excité par la fellation que ma femme lui prodiguait il lui dit alors :« Je vais jouir, c’est trop bon, putain tu suce trop bien »Plutôt que de se retirer, elle a englouti encore plus sa bite.
« Je te jure… je vais jouir… ça vient… Ahhhhhhhhhhh»Voyant que Nathalie le gardait toujours en bouche, il a pris sa tête entre ses mains pour décharger au fond de sa gorge.
Plusieurs giclées de sperme qu’elle a dégluti avant de lui nettoyer la bite.

Quand ils sont venus me retrouver, le spectacle venait de finir.
Nathalie m’a aussitôt embrassé me faisant gouter sa langue encore fraichement engluée de la semence de Léo puis s’est retourné vers lui pour lui donner le même baiser enflammé.
« Ça te dit de passer la nuit avec nous ? » lui dit-elle.
Sans aucune hésitation il répondit par l’affirmatif.

Nous avons encore navigué dans le salon pendant une bonne heure durant laquelle Nathalie nous tenait la main et nous embrassait à tour de rôle, puis avons décidé de rentrer chez nous.
Léo, qui était venu en transport, est donc monté avec nous dans notre voiture.
Nathalie l’a entrainé avec elle à l’arrière directement.
« J’ai envie de vous chauffer au maximum, vous allait me supplier de vous faire jouir » nous dit-elle.
Et avant même que j’ai démarré elle s’est jetée sur lui pour l’embrasser et lui frotter la bite par-dessus son pantalon.
Lui, avait pris dans ses mains la poitrine de ma femme qu’il caressait en lui titillant les mamelons.
Pendant tout le trajet ils se sont embrassés, léchés, caressés.
Ils étaient excités au plus haut point.

Arrivé à la maison et une fois la voiture dans le garage, Nathalie m’a à peine laissé le temps de sortir et m’a plaqué contre le mur pour venir m’embrasser fougueusement, elle passait sa langue partout sur mon visage, mon cou ma bouche.
J’ai mis ma main sur son sexe qui dégoulinait d’excitation, elle était trempée.
Alors que je voulais y enfoncer mes doigts, elle s’est soudain dégagée en disant :« Allez, on va rentrer boire un apéro pour se calmer un peu »La salope, j’avais une gaule d’enfer, Léo aussi et elle nous laissait là en plan.
Une fois dans la cuisine et pendant qu’elle préparait un plateau avec tous les ingrédients, nous nous sommes approchés d’elle pour la caresser et l’embrasser chacun de notre côté, nos mains se promenaient sur son corps, ses seins, son sexe.
Elle semblait très réceptive presque prête à s’abandonner quand de nouveau elle s’est dégagée de nous.
« Allez hop, allez donc vous assoir sur le canapé, je vous rejoins avec l’apéro et mettez-vous à poil. »

Cacahuètes, saucisson, crakers, whisky, glaçons, elle a déposé le plateau sur la table du salon puis s’est installée entre nous deux.
« Hummmmm j’adore » dit-elle en posant ses mains sur nos gourdin fièrement dressés.
« A la vôtre et à notre folle nuit débridée, j’espère que vous allait assurer, je suis affamée de sexe ce soir »Nous avons trinqué puis consommé doucement notre apéritif.
Une caresse par-ci, un bisous par-là, une gorgée de whisky, une rondelle de saucisson, un coup de langue sur nos bites, bref elle voulait toujours nous garder bien excité mais pas trop quand même.
Puis de nouveau, un roulage de pelle chacun, un début de branlette, elle se laissait doigter un peu et re-stop, on boit une gorgée et on re-calme les esprits.

Elle jouait avec nous, on bandait comme des taureaux, on en pouvait plus.
Alors sans nous consulter et juste après un regard complice, nous l’avons bloqué contre le dossier de canapé pour promener nos langues sur tout le haut de son corps.
Chacun son sein, puis remontant progressivement vers son cou une fois ses mamelons bien érigés, puis embrassant ses joues, puis enfonçant chacun notre tour la langue dans sa bouche.
Nous haletions tous les trois d’excitation et étions presque dans un état second.
Nathalie a alors passée ses mains derrière nos tête pour attirer nos bouches simultanément vers la sienne.
Presque naturellement nos trois langues se sont mélangées, passant d’une langue à l’autre, d’une bouche à l’autre.
Les yeux fermés, ce baiser à trois a duré un très long moment.
Étonnamment, passer de la bouche de Nathalie à la bouche de Léo m’excitais tout autant, je prenais du plaisir à rouler une pelle à un autre homme, je pense, je suis même sûr que c’était réciproque et voyant le visage illuminé de ma femme, je savais qu’elle aussi y prenait beaucoup de plaisir.
Elle redescendait parfois ses mains vers nos bites toutes gonflés pour nous branler doucement pendant que nos langues continuaient leur valse.
« J’en peu plus, je vais jouir » nous dit Léo.
« Moi aussi, je suis au bord de l’éjaculation »« D’accord » nous dit Nathalie. « Levez-vous face à moi, je vais vous finir avec ma bouche »
Elle avait maintenant deux gaillards face à elle, la bite bien raide et dégoulinante de liquide séminal.
Chacune de ses mains sur nos braquemarts, elle a commencé à nous sucer.
Prenant parfois les deux en même temps, sa langue experte roulait sur nos glands, ses lèvres pulpeuse aspirant nos secrétions, elle jubilait de nous voir autant à sa merci.
J’ai craqué en premier, libérant des flots de sperme dans sa bouche, suivit quelques secondes plus tard par Léo qui à son tour lui a éjaculé entre les lèvres.
Une fois toutes ces semences avalés, elle s’est relevée pour que l’on s’embrasse de nouveau à trois.
Après avoir gouter nos salives respectives, nous goutions maintenant nos spermes respectifs au travers de la bouche de Nathalie.
Elle s’est ensuite de nouveau accroupie pour nettoyer nos sexes goulument.

« A votre tour de me donner du plaisir avec vos langues »Elle s’est allongée sur le canapé en ouvrant largement les cuisses.
Léo a été le premier à plonger dans son intimité, sa langue a très vite investit la vulve de ma femme en la fouillant et la léchant du mieux qu’il pouvait.
Rapidement elle a commencé à gémir de plus en plus fort sous cette caresse buccale, jusqu’à ce qu’un orgasme la terrasse.
Elle a criée très fort sa jouissance en attrapant Léo par les cheveux pour le plaquer encore plus contre sa chatte, comme si elle voulait lui faire rentrer la tête dedans.
Il s’est relevé le visage encore trempé des secrétions de ma femme, puis est allé l’embrasser, alors que moi je m’installais à mon tour entre les cuisses de Nathalie pour lui prodiguer le même sort.
A peine dix minutes plus tard, elle criée à nouveau en m’inondant le visage.

Nous avons repris un verre pour nous remettre de nos émotions.
L’avoir faite jouir aussi fort nous avait redonné de la vigueur.
Nos deux bites bien droite s’exhibaient fièrement.
Nous nous embrassions et caressions en buvant notre verre.
La chaleur et l’excitation nous envahissaient une nouvelle fois.
Deux doigts enfoncés dans sa chatte, la bouche lui titillant un mamelon, Léo masturbait ma femme alors qu’elle s’était accrochée à mon cou pour m’embrasser goulument et que moi je lui caressais le sein qu’il restait.
Ses mains venaient parfois nous branler à notre tour en empoignant fermement nos membres en érection.
Ce petit jeux a duré une bonne vingtaine de minutes jusqu’à ce qu’elle se lève en nous entrainant vers la chambre.
« Venez, j’ai trop envie de me faire baiser » nous dit-elle.
Attrapant au détour une boite de préservatif, elle nous a emmené jusqu’à la chambre.
Elle a poussé Léo sur le lit, lui a enfilé une capote puis lui a sauté dessus pour s’empaler sur sa queue.
Elle était accroupie sur lui, il lui maintenait les fesses en la faisant monter et descendre sur son gourdin.
Je la regardais, lui caressant parfois le dos, parfois les seins alors qu’elle gémissait sous les coups de boutoir de son amant.
Je me caressais en les regardant.
Il l’a ensuite retourné, l’allongeant sur le dos tout en restant planté en elle.
Elle avait noué ses jambes et ses bras autour de lui en criant que sa bite était bonne et qu’il la baisait bien.
Plusieurs fois j’ai dû arrêter de me caresser pour ne pas éjaculer alors qu’elle prenait son pied.
A un moment, elle s’est relevée pour qu’il la prenne en levrette.
J’en ai profité pour me glisser tête bêche sous elle et lui bouffer la chatte pendant qu’il la démontait.
Je promenais ma langue sur les lèvres et le clito de Nathalie puis sur la hampe et les couilles de Léo.
J’ai entendu ma femme jouir à plusieurs reprises dans cette position, jusqu’à ce qu’il se vide à son tour en elle écrasant ses couilles sur mon visage et que moi je déchargeais dans la bouche de Nathalie.
Nous nous sommes allongés côte à côte, Nathalie entre nous deux pour reprendre nos esprits, puis nous sommes assoupies.
Quand ma femme s’est réveillée environ une demi-heure après (l’appel du sexe certainement), elle était collée dans le creux du bras de Léo avec la main sur sa bite… en érection.
Il dormait mais il bandait et vu qu’il bandait elle voulait en profiter.
Elle s’est détachée de lui pour approcher la bouche de ce sexe en érection et l’engloutir.
Sous cette douce caresse buccale il s’est rapidement réveillé.
« Hummm j’adore ce genre de réveil » lui dit-il.
Elle est remontée vers lui et il se sont embrassé et caressé longuement.
Sentant le braquemart de Léo au bord de ses lèvres intimes, elle lui a demandé d’enfiler un préservatif pour la prendre.
Elle s’est tournée dos à lui et face à moi, en se prêtant bien pour qu’il la pénètre.
Une main sur ses hanches, l’autre sur l’épaule, il a commencé ses vas et vient.
Je dormais encore quand il la besognait ainsi, ce sont ses cris de jouissance qui m’ont réveillé.
En ouvrant les yeux j’ai vu le visage angélique de Nathalie lorsqu’elle prend son pied, un visage qui extériorise tout le plaisir qu’elle ressent à cet instant.
Léo collé à elle œuvrait dans son corps à grands coups de rein.
« T’es trop bonne, je pourrais passer la nuit à te baiser » lui dit-il.
« Fait gaffe je pourrais te prendre au mot » répondit-elle entre deux gémissement.
De mon côté je bandais comme un fou à la voir prendre autant de plaisir avec un autre homme.
Je les ai regardé s’accoupler une bonne partie de la nuit dans toute les positions.
A un moment alors qu’il la prenait en levrette, il est sorti de son sexe pour présenter son membre au bord de son anus.
« Vas-y doucement » lui dit-elle.
J’étais stupéfait, elle qui rechigne à donner ses fesses et qu’il faut préparer longuement avant, allait se laisser enculer sans protester.
Il s’est enfoncé dans son cul en douceur et une fois complétement rentré, il a commencé ses vas et vient en passant les mains sous elle pour lui caresser le sexe.
Elle s’est très vite sentie envahie par un plaisir immense et une très grande excitation.
« Regarde mon amour » me dit-elle « il m’encule et j’aime…ça »Sa voix commençait à se saccader.
« Toi aussi… j’suis sûr… t’aime ça qu’il… m’encule ahhhhhhhhhh c’est bon putain, vas-y continu salaud, elle… elle… est bonne ta queue Salaud ahhhhhhhhhh »« Et toi… ahhhhhh… toi aussi t’aime ça m’enculer devant mon mec qui se branle en nous regardant…ahhhh oui putain c’est bon…continuuuuuu »Elle se lâchait de plus en plus.
« Vas-y salaud… dit le à mon cocu que t’adore enculer sa pute pendant qu’il regarde… oh putain... moi aussi j’adore ça putain…vas-y dit lui… regarde comme il se branle »Les paroles qui sortaient de la bouche de ma femme m’avaient terriblement excité et je me branlais frénétiquement.
Léo aussi était très excité.
Je ne sais pas si c’est le fait de me regarder me branler devant eux ou bien celui d’enculer Nathalie, mais lui aussi s’est lâché.
« Oh oui moi aussi j’adore la baiser devant toi cocu, regarde comme je l’encule bien à fond ta pute, regarde cocu comme elle aime ça la salope avoir ma grosse bite dans ses fesses… putain j’vais jouir dans son cul… ahhhhhhh salopeeeeeeeeee ouiiiiiiiiiiiiiiiii »Pendant qu’il se vidait dans le cul de ma femme, elle jouissait en même temps et moi j’éjaculais sur les draps.
Cette fois-ci nous étions complètement vidés.
































Nous fréquentions à une époque plusieurs sites et visiochat libertins, ce qui nous permettait de faire des pas mal de rencontres.
Adepte des relations triolistes, deux hommes une femme, nous y prenions beaucoup de plaisirs.
Parfois la rencontre était rapide (le jour même de nos discussions), parfois elle prenait plus de temps.
C’était principalement Nathalie qui tchater avec les mecs et moi je validais ses choix.
Il arrivait parfois de discuter plusieurs jours, voire plusieurs semaines avant de rencontrer un mec.

Cette année-là, le salon de l’érotisme se déroulait au Bourget vers la mi-Mars.
Nathalie, qui discutait occasionnellement sur un visiochat avec un mec depuis pas mal de temps déjà, lui dit que ce Samedi nous irions au Salon de l’érotisme.
Il lui répondit alors que lui aussi comptait s’y rendre.
Nous avons donc prévu de nous y retrouver pour enfin se rencontrer.
Le rendez-vous fut donc pris.

Nous avons garé la voiture sur le parking de parc expo, puis nous sommes dirigés vers les guichets d’accès au salon.
Il y avait pas mal de monde qui faisait la queue pour rentrer, il fallait donc prendre son mal en patience et attendre son tour.
Nathalie a reçu un texto alors que nous étions dans la file d’attente.
C’était Léo, le mec que nous devions rencontrer.
« Je suis arrivé, est-ce que vous êtes là ? »Ma femme lui a répondu en indiquant à peu près l’endroit de la file ou nous étions.
« J’arrive »Le visiochat aidant, nous connaissions déjà au moins nos visage.
Quelques minutes plus tard il nous rejoignait dans la file d’attente.
Il avait 5 ans de moins que nous, châtain, de taille et de corpulence moyenne et un physique agréable (mieux en vrai qu’en cam)Il faisait froid dehors et nous avions tous des manteaux ou blousons assez chaud.
Nathalie avait un long manteaux qui la couvrait de la base du cou jusqu’au mollet.
Quand nous avons enfin pu rentrer, nous nous sommes dirigés vers le vestiaire payant pour y déposer nos pardessus, qui devenaient inutile car il faisait beaucoup plus chaud qu’à l’extérieur.
Le salon de l’érotisme est un des rares endroit public ou l’on peut voir des femmes (et des hommes aussi parfois) habillés de tenues très sexy, très provocantes, relativement hard, parfois presque nues, sans que personne ne s’offusque.

Quand Nathalie a ôté son manteaux, j’ai cru que notre nouvel ami Léo n’allait pas s’en remettre, il faut dire que beaucoup d’autres regards masculin, mais pas que, se sont posés sur elle.
Une paire de cuissardes qui montaient jusqu’à mi-cuisse et une robe noir très courte, ouverte en « V » dans le dos des épaules jusqu’à la raie de ses fesses et devant avec le même type d’ouverture jusqu’au-dessous du nombril.
Son opulente poitrine faisait qu’elle tendait tellement le tissus de sa robe qu’elle ne couvrait qu’une partie de ses seins.

Nous sommes donc partis tous les trois à la découverte des différents stands.
Vibromasseurs et gadgets en tout genre, élixir, bijoux, vêtements, chaussures, vidéos et livres, il y avait de tout.
Nathalie s’est attardée sur plusieurs stands de vêtements et robes sexy puis a décidée d’en essayer quelques-unes.
Elle est donc entrée dans une cabine d’essayage et nous a offert un défilé de tenues toutes plus sexy les unes que les autres en nous demandant notre avis à chaque fois.
Je m’amusais discrètement à regarder Léo qui n’en pouvait plus d’excitation à force de regarder ma femme défiler.

Elle a enfin décidé de mettre fin à son supplice en achetant deux ou trois robes avant de quitter le stand.

Nous avons continué notre balade à travers le salon, nous arrêtant ici ou là pour regarder quelques gadgets ou vêtements.
Nous sommes ensuite allés boire un verre et nous sommes assis à une table pour siroter nos boissons.
Une fois Nathalie installée sur sa chaise, nous ne pouvions plus ignorer qu’elle ne portait pas de sous-vêtements tant sa robe remontait haut.
Les yeux de Léo ne savaient plus sur quel partie de son anatomie se poser.

Un show allait démarrer sur l’estrade principale.
Nous avons donc fini rapidement nos boissons puis nous y sommes dirigés.
Beaucoup de monde s’était retrouvé à cet endroit.
Nous étions entourés de plein de gens qui venaient regarder le spectacle.
Un peu tassé par la foule, je me suis retrouvé légèrement à droite devant Nathalie qui me tenait la main.
Léo lui était juste derrière elle.
Rapidement j’ai senti la main de ma femme serrait un peu plus la mienne.
Il était complètement collé à elle et avait commencé à faire courir ses mains partout sur son corps.
D’abord les fesses, ensuite le ventre, les seins puis son sexe.
Ses doigts se sont attardés sur ses lèvres intimes avant d’aller titiller le clito.
Elle sentait bien contre ses fesses l’érection qu’il avait et a passé sa main pour le caresser à travers la toile de son pantalon.
S’approchant de mon oreille elle m’a dit :« Attends-moi là, je reviens »Puis elle est partie, prenant Léo par la main pour qu’il la suive.

Il y avait beaucoup moins de monde dans les allées lorsqu’un spectacle sur la scène se déroulait.
Les stands n’occupant pas tout le hall du salon, une partie de ce dernier restait vide et interdite au public.
Toutefois on pouvait y accéder à certains endroits (nous l’avions testé l’année d’avant Nathalie et moi pour une envie subite de sexe).
Se rappelant de cette petite escapade, elle a réussi à entrainer Leo dans une partie déserte du hall.
Il fallait juste se cacher derrière des piliers car il y avait quand même quelques vigiles qui surveillait cette zone afin que personne n’y vienne.
Ils se sont rapidement cachés, collé à une poutre.
Léo a aussitôt posé ses mains sur la poitrine de ma femme en l’embrassant goulument.
Leurs langues se sont longuement entremêlées alors qu’il lui caressait toutes les parties du corps avec excitation.
Nathalie s’est ensuite accroupie devant lui en dégrafant son pantalon qu’elle a descendue jusqu’aux genoux.
Un sexe bien raide était maintenant à la hauteur de son visage.
Elle a approché sa bouche qu’elle a ouverte pour l’engloutir.
Sa main le branlait et sa langue s’enroulait autour de son gland.
Elle jouait de sa langue et de ses lèvres charnues et pulpeuses sur la bite toute gonflée de Léo.
Elle le léchait, l’aspirait, le suçait tout en lui malaxant bien les couilles.
Elle s’est appliquée ainsi sur sa queue pendant une bonne dizaine de minutes.
Très excité par la fellation que ma femme lui prodiguait il lui dit alors :« Je vais jouir, c’est trop bon, putain tu suce trop bien »Plutôt que de se retirer, elle a englouti encore plus sa bite.
« Je te jure… je vais jouir… ça vient… Ahhhhhhhhhhh»Voyant que Nathalie le gardait toujours en bouche, il a pris sa tête entre ses mains pour décharger au fond de sa gorge.
Plusieurs giclées de sperme qu’elle a dégluti avant de lui nettoyer la bite.

Quand ils sont venus me retrouver, le spectacle venait de finir.
Nathalie m’a aussitôt embrassé me faisant gouter sa langue encore fraichement engluée de la semence de Léo puis s’est retourné vers lui pour lui donner le même baiser enflammé.
« Ça te dit de passer la nuit avec nous ? » lui dit-elle.
Sans aucune hésitation il répondit par l’affirmatif.

Nous avons encore navigué dans le salon pendant une bonne heure durant laquelle Nathalie nous tenait la main et nous embrassait à tour de rôle, puis avons décidé de rentrer chez nous.
Léo, qui était venu en transport, est donc monté avec nous dans notre voiture.
Nathalie l’a entrainé avec elle à l’arrière directement.
« J’ai envie de vous chauffer au maximum, vous allait me supplier de vous faire jouir » nous dit-elle.
Et avant même que j’ai démarré elle s’est jetée sur lui pour l’embrasser et lui frotter la bite par-dessus son pantalon.
Lui, avait pris dans ses mains la poitrine de ma femme qu’il caressait en lui titillant les mamelons.
Pendant tout le trajet ils se sont embrassés, léchés, caressés.
Ils étaient excités au plus haut point.

Arrivé à la maison et une fois la voiture dans le garage, Nathalie m’a à peine laissé le temps de sortir et m’a plaqué contre le mur pour venir m’embrasser fougueusement, elle passait sa langue partout sur mon visage, mon cou ma bouche.
J’ai mis ma main sur son sexe qui dégoulinait d’excitation, elle était trempée.
Alors que je voulais y enfoncer mes doigts, elle s’est soudain dégagée en disant :« Allez, on va rentrer boire un apéro pour se calmer un peu »La salope, j’avais une gaule d’enfer, Léo aussi et elle nous laissait là en plan.
Une fois dans la cuisine et pendant qu’elle préparait un plateau avec tous les ingrédients, nous nous sommes approchés d’elle pour la caresser et l’embrasser chacun de notre côté, nos mains se promenaient sur son corps, ses seins, son sexe.
Elle semblait très réceptive presque prête à s’abandonner quand de nouveau elle s’est dégagée de nous.
« Allez hop, allez donc vous assoir sur le canapé, je vous rejoins avec l’apéro et mettez-vous à poil. »

Cacahuètes, saucisson, crakers, whisky, glaçons, elle a déposé le plateau sur la table du salon puis s’est installée entre nous deux.
« Hummmmm j’adore » dit-elle en posant ses mains sur nos gourdin fièrement dressés.
« A la vôtre et à notre folle nuit débridée, j’espère que vous allait assurer, je suis affamée de sexe ce soir »Nous avons trinqué puis consommé doucement notre apéritif.
Une caresse par-ci, un bisous par-là, une gorgée de whisky, une rondelle de saucisson, un coup de langue sur nos bites, bref elle voulait toujours nous garder bien excité mais pas trop quand même.
Puis de nouveau, un roulage de pelle chacun, un début de branlette, elle se laissait doigter un peu et re-stop, on boit une gorgée et on re-calme les esprits.

Elle jouait avec nous, on bandait comme des taureaux, on en pouvait plus.
Alors sans nous consulter et juste après un regard complice, nous l’avons bloqué contre le dossier de canapé pour promener nos langues sur tout le haut de son corps.
Chacun son sein, puis remontant progressivement vers son cou une fois ses mamelons bien érigés, puis embrassant ses joues, puis enfonçant chacun notre tour la langue dans sa bouche.
Nous haletions tous les trois d’excitation et étions presque dans un état second.
Nathalie a alors passée ses mains derrière nos tête pour attirer nos bouches simultanément vers la sienne.
Presque naturellement nos trois langues se sont mélangées, passant d’une langue à l’autre, d’une bouche à l’autre.
Les yeux fermés, ce baiser à trois a duré un très long moment.
Etonnamment, passer de la bouche de Nathalie à la bouche de Léo m’excitais tout autant, je prenais du plaisir à rouler une pelle à un autre homme, je pense, je suis même sûr que c’était réciproque et voyant le visage illuminé de ma femme, je savais qu’elle aussi y prenait beaucoup de plaisir.
Elle redescendait parfois ses mains vers nos bites toutes gonflés pour nous branler doucement pendant que nos langues continuaient leur valse.
« J’en peu plus, je vais jouir » nous dit Léo.
« Moi aussi, je suis au bord de l’éjaculation »« D’accord » nous dit Nathalie. « Levez-vous face à moi, je vais vous finir avec ma bouche »Elle avait maintenant deux gaillards face à elle, la bite bien raide et dégoulinante de liquide séminal.
Chacune de ses mains sur nos braquemards, elle a commencé à nous sucer.
Prenant parfois les deux en même temps, sa langue experte roulait sur nos glands, ses lèvres pulpeuse aspirant nos secrétions, elle jubilait de nous voir autant à sa merci.
J’ai craqué en premier, libérant des flots de sperme dans sa bouche, suivit quelques secondes plus tard par Léo qui à son tour lui a éjaculé entre les lèvres.
Une fois toutes ces semences avalés, elle s’est relevée pour que l’on s’embrasse de nouveau à trois.
Après avoir gouter nos salives respectives, nous goutions maintenant nos spermes respectifs au travers de la bouche de Nathalie.
Elle s’est ensuite de nouveau accroupie pour nettoyer nos sexes goulument.

« A votre tour de me donner du plaisir avec vos langues »Elle s’est allongée sur le canapé en ouvrant largement les cuisses.
Léo a été le premier à plonger dans son intimité, sa langue a très vite investit la vulve de ma femme en la fouillant et la léchant du mieux qu’il pouvait.
Rapidement elle a commencé à gémir de plus en plus fort sous cette caresse buccale, jusqu’à ce qu’un orgasme la terrasse.
Elle a criée très fort sa jouissance en attrapant Léo par les cheveux pour le plaquer encore plus contre sa chatte, comme si elle voulait lui faire rentrer la tête dedans.
Il s’est relevé le visage encore trempé des secrétions de ma femme, puis est allé l’embrasser, alors que moi je m’installais à mon tour entre les cuisses de Nathalie pour lui prodiguer le même sort.
A peine dix minutes plus tard, elle criée à nouveau en m’inondant le visage.

Nous avons repris un verre pour nous remettre de nos émotions.
L’avoir faite jouir aussi fort nous avait redonné de la vigueur.
Nos deux bites bien droite s’exhibaient fièrement.
Nous nous embrassions et caressions en buvant notre verre.
La chaleur et l’excitation nous envahissaient une nouvelle fois.
Deux doigts enfoncés dans sa chatte, la bouche lui titillant un mamelon, Léo masturbait ma femme alors qu’elle s’était accrochée à mon cou pour m’embrasser goulument et que moi je lui caressais le sein aqu’il restait.
Ses mains venaient parfois nous branler à notre tour en empoignant fermement nos membres en érection.
Ce petit jeux a duré une bonne vingtaine de minutes jusqu’à ce qu’elle se lève en nous entrainant vers la chambre.
« Venez, j’ai trop envie de me faire baiser » nous dit-elle.
Attrapant au détour une boite de préservatif, elle nous a emmené jusqu’à la chambre.
Elle a poussé Léo sur le lit, lui a enfilé une capote puis lui a sauté dessus pour s’empaler sur sa queue.
Elle était accroupie sur lui, il lui maintenait les fesses en la faisant monter et descendre sur son gourdin.
Je la regardais, lui caressant parfois le dos, parfois les seins alors qu’elle gémissait sous les coups de boutoir de son amant.
Je me caressais en les regardant.
Il l’a ensuite retourné, l’allongeant sur le dos tout en restant planté en elle.
Elle avait noué ses jambes et ses bras autour de lui en criant que sa bite était bonne et qu’il la baisait bien.
Plusieurs fois j’ai dû arrêter de me caresser pour ne pas éjaculer alors qu’elle prenait son pied.
A un moment, elle s’est relevée pour qu’il la prenne en levrette.
J’en ai profité pour me glisser tête bêche sous elle et lui bouffer la chatte pendant qu’il la démontait.
Je promenais ma langue sur les lèvres et le clito de Nathalie puis sur la hampe et les couilles de Léo.
J’ai entendu ma femme jouir à plusieurs reprises dans cette position, jusqu’à ce qu’il se vide à son tour en elle écrasant ses couilles sur mon visage et que moi je déchargeais dans la bouche de Nathalie.
Nous nous sommes allongés côte à côte, Nathalie entre nous deux pour reprendre nos esprits, puis nous sommes assoupies.
Quand ma femme s’est réveillée environ une demi-heure après (l’appel du sexe certainement), elle était collée dans le creux du bras de Léo avec la main sur sa bite… en érection.
Il dormait mais il bandait et vu qu’il bandait elle voulait en profiter.
Elle s’est détachée de lui pour approcher la bouche de ce sexe en érection et l’engloutir.
Sous cette douce caresse buccale il s’est rapidement réveillé.
« Hummm j’adore ce genre de réveil » lui dit-il.
Elle est remontée vers lui et il se sont embrassé et caressé longuement.
Sentant le braquemard de Léo au bord de ses lèvres intimes, elle lui a demandé d’enfiler un préservatif pour la prendre.
Elle s’est tournée dos à lui et face à moi, en se prêtant bien pour qu’il la pénètre.
Une main sur ses hanches, l’autre sur l’épaule, il a commencé ses vas et vient.
Je dormais encore quand il la besognait ainsi, ce sont ses cris de jouissance qui m’ont réveillé.
En ouvrant les yeux j’ai vu le visage angélique de Nathalie lorsqu’elle prend son pied, un visage qui extériorise tout le plaisir qu’elle ressent à cet instant.
Léo collé à elle œuvrait dans son corps à grands coups de rein.
« T’es trop bonne, je pourrais passer la nuit à te baiser » lui dit-il.
« Fait gaffe je pourrais te prendre au mot » répondit-elle entre deux gémissement.
De mon côté je bandais comme un fou à la voir prendre autant de plaisir avec un autre homme.
Je les ai regardé s’accoupler une bonne partie de la nuit dans toute les positions.
A un moment alors qu’il la prenait en levrette, il est sorti de son sexe pour présenter son membre au bord de son anus.
« Vas-y doucement » lui dit-elle.
J’étais stupéfait, elle qui rechigne à donner ses fesses et qu’il faut préparer longuement avant, allait se laisser enculer sans protester.
Il s’est enfoncé dans son cul en douceur et une fois complétement rentré, il a commencé ses vas et vient en passant les mains sous elle pour lui caresser le sexe.
Elle s’est très vite sentie envahie par un plaisir immense et une très grande excitation.
« Regarde mon amour » me dit-elle « il m’encule et j’aime…ça »Sa voix commençait à se saccader.
« Toi aussi… j’suis sûr… t’aime ça qu’il… m’encule ahhhhhhhhhh c’est bon putain, vas-y continu salaud, elle… elle… est bonne ta queue Salaud ahhhhhhhhhh »« Et toi… ahhhhhh… toi aussi t’aime ça m’enculer devant mon mec qui se branle en nous regardant…ahhhh oui putain c’est bon…continuuuuuu »Elle se lâchait de plus en plus.
« Vas-y salaud… dit le à mon cocu que t’adore enculer sa pute pendant qu’il regarde… oh putain... moi aussi j’adore ça putain…vas-y dit lui… regarde comme il se branle »Les paroles qui sortaient de la bouche de ma femme m’avaient terriblement excité et je me branlais frénétiquement.
Léo aussi était très excité.
Je ne sais pas si c’est le fait de me regarder me branler devant eux ou bien celui d’enculer Nathalie, mais lui aussi s’est lâché.
« Oh oui moi aussi j’adore la baiser devant toi cocu, regarde comme je l’encule bien à fond ta pute, regarde cocu comme elle aime ça la salope avoir ma grosse bite dans ses fesses… putain j’vais jouir dans son cul… ahhhhhhh salopeeeeeeeeee ouiiiiiiiiiiiiiiiii »Pendant qu’il se vidait dans le cul de ma femme, elle jouissait en même temps et moi j’éjaculais sur les draps.
Cette fois-ci nous étions complètement vidés.

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