Samia - 16 Kristos, enfin... ou pas.
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Samia - 16 Kristos, enfin... ou pas.
J'explique à Kristos ce qu'on a fait depuis son départ : poser pour des photos et servir le midi aux Flots bleus. J'ajoute : On pourrait poser ensemble, nous aurions du succès....
— On verra.
— Si tu veux viens dormir avec nous au camping, on se serrera.
— Vous êtes venus en stop ?
— Non, à vélo. Tu verras, c'est cool d'être à poil.
— D'accord, ça m'amuserait de faire ça...
Pour les photos, je ne suis pas sûr. Il dit au revoir à ses copains. On met le sac de Kristos sur le porte-bagages de Julien. Heureusement qu'on n'a pas trop acheté. On passe par le petit bureau. Il dit à la fille de l'auberge : — Je ne couche pas ici ce soir La fille râle un peu mais elle doit être amoureuse de lui, vu qu'elle lui dit : — Tu reviens, hein ?
— Je reviens toujours vers toi, ma belle, et je n'oublie pas notre projet.
Quel projet ? Grrr !
Au passage, il prend un vieux coussin et il le fixe sur le porte-bagages du vélo avec un sandow. C'est cool d'être aussi attentionné pour mes fesses. Ça peut vouloir dire qu'il a des projets les concernant. Je m'assieds sur le coussin et je me colle à Kristos. Il est sportif et on va vite... On doit attendre cette moule de Julien. On fait assez rapidement les 6 km qui nous séparent du village naturiste. Arrivés au parking, je dis à Kristos : — Ici on doit se déshabiller.
Ce n'est pas tout à fait exact, la nudité n'est pas obligatoire, mais j'ai envie qu'ont soit nus, lui et moi, genre Adam et Ève... Et Julien fera le serpent, mais un tout petit, disons un orvet. On se déshabille... vous voyez Julien physiquement ? Kristos c'est le contraire : grand, baraqué, des poils noirs sur la poitrine, le bas-ventre, les cuisses et un sexe à rendre rêveuse un pensionnat de jeunes filles (de plus de 18 ans, bien sûr). On forme un couple très séduisant : la belle, la bête et puis... le... la souris ! On met nos vêtements dans le sac de Julien. On remonte sur le vélo, je mouille un peu le coussin qui est sur le porte-bagages. Je me colle à nouveau à Kristos, mes seins nus appuyés contre son large dos. Il me dit : — Me colle pas, je vais bander !
— Chouette.
Je veux lui montrer le village. On roule un peu et on gare les vélos en mettant l'antivol. On ne peut pas laisser le sac sur le porte-bagages. Je dis à Julien : — Tu prends le sac et tu marches 5 pas derrière nous. Compris ?
— Oui, Samia.
Kristos éclate de rire. Je lui montre la grand-rue, la plage. Derrière nous, il y a Julien, notre petit âne porte nos bagages. D'accord, le sac est lourd mais il a le spectacle de mes fesses qui se balancent juste devant lui ! C'est mieux que tous les couchers de soleil, non ? On se balade un peu sur la plage, Kristos regarde les filles, comme tous les nouveaux venus. Je ne sais pas si je ne vais pas être jalouse, moi. On achète quelques bières et on les boit en regardant la mer, en ce qui me concerne, les filles en ce qui concerne Kristos. Je voudrais qu'il ne regarde que moi ! Il me demande : — J'ai la dalle, on va acheter des sandwichs ?
— On peut aller dans un petit restaurant où ils font des sardines grillées.
Nous laissons nos vélos, le restaurant est tout près. On mange, on boit, l'ambiance est sympa. On discute avec le patron. Vers 11 h, je paye. Kristos attend un mandat, il me remboursera. On va au camping en vélo, mes seins sur le large dos de Kristos. Notre tente est du genre ringard, mais comme il "fait la route", ça ne le dérange pas.. Il s'occupe enfin de moi... Il me couche sur le dos pour me faire un cunni, c'est une grande preuve d'intérêt, car les hommes qui habitent autour de la Méditerranée ne font pas ça souvent. Il me lèche habilement, tandis que je caresse son dos de mon talon gauche... Il fait ça beaucoup mieux que Julien. J'ai l'impression de me faire lécher par un caméléon tellement sa langue est longue et s'immisce dans tous les recoins de ma... vulve. Un mot pas très classe, mais tellement excitant. Quand il arrête de flirter du bout de la langue avec tous les recoins de ma chatte, il la fait tourner autour de mon clito. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps... Quelques minutes plus tard, je grimpe aux rideaux de la tente... Je vais finir par avoir la peau de ces putains de rideaux ! Heureusement que c'est une image. C'est bon ! Il est beau, il lèche bien et il est à moi. J'ai un amant et un esclave. Je lui demande : — Tu veux que je te suce ?
— Non, mets-toi sur le côté, j'ai envie de bien sentir tes fesses. C'est gentil aussi, ça...
Je me couche et il se met derrière moi... Plus besoin de préliminaires, ma chatte est devenue préhensile, elle attrape son sexe et l'enfonce en elle ! Il me remplit... de bite et de plaisir, je lève une de mes jambes en disant : — Julien !
Aussitôt, il vient coller sa bouche à ma chatte et au sexe de Kristos qui va et vient en elle. Je l'ai bien dressé. J'aime le savoir là, en dessous, la bouche collé à nos sexes. J'ai joui il y a seulement quelques minutes mais je suis de nouveau super excitée par ce sexe en moi et cette langue qui me lèche. Kristos sait se retenir... longtemps. Il me fait jouir à nouveau, avant d'inonder ma vulve (excitant, non ?) de son foutre (ça aussi !)... Ensuite il reste en moi... et on s'endort, avec Julien à nos pieds.
*** Le lendemain, quand on se réveille, je montre à Kristos le cérémonial du matin. Julien embrasse et lèche ma chatte qui est à peine réveillée et toute collante de nos ébats de la veille. Ça excite Kristos et son sexe remplace rapidement la langue de Julien. C'est un "quickie" comme on dit à Buckingham Palace, une petite baise express, mais ça fait un bien fou pour commencer la journée. On se douche et on va déjeuner. Ensuite nous partons aux Flots bleus. Je suis sûre qu'on demandera à Kristos de poser avec moi. On entre dans le bar. Je dis bonjour à Madame Simone et à Kriss. Je leur présente Kristos en disant : — Il serait d'accord de poser avec moi. Il me répond aussitôt : — Ah non, sorry petite, j'ai réfléchi et comme je fais des études en histoire de l'Art à Barcelone, je ne veux pas poser nu.
Merde ! Histoire de l'art comme Kriss ! C'est quoi, cette connerie ?
Kristos le routard, un étudiant ?
Et, bien sûr, Kriss lui dit : — Moi aussi, je fais Histoire de l'art, mais à Aix en Provence. Ils commencent aussitôt à parler études, universités, Barcelone et ah, Gaudy et oh, la Sagrada Familia. Et ça dure... Madame Simone finit par me dire : — Il est l'heure, va dresser les tables, Samia.
— Oui, Madame (grrrr !)Je me tourne vers Kristos et lui dis : — Si tu as envie de faire un tour sur la plage, je finis à 2 h 30 ' Madame Simone intervient : — Non, tu as des photos en début d'après-midi.
— Mais Madame, je voulais rester avec lui...
J'en ai les larmes aux yeux !
Madame Simone poursuit : — C'est bien payé... et j'ai dit que tu le ferais.
C'est aussi l'avis de Kristos : — Bien sûr, fais-le. Tu pourras m'aider en attendant mon mandat.
Mouais... Madame Simone clôt la conversation en disant : — Allez, au travail, Samia ! Je vais aider Anaïs et Julien qui ont déjà commencé.
Madame Simone et Kriss continuent de discuter avec Kristos. Je les entends rire tous les trois, ça me fait râler. Et ce n'est pas fini. Vers midi, les premiers clients arrivent et je vois que Kriss fait asseoir Kristos dans la partie de la terrasse où Anaïs fait le service. Je vais lui dire : — Tu ne voulais pas te balader sur la plage ?
— Ta patronne m'a proposé de manger ici. Elle est vraiment sympa. Sa fille aussi, d'ailleurs.
Justement, cette salope fonce sur moi en disant bien haut : — On ne te paye pas pour discuter.
Je lui arracherais bien une oreille avec les dents ! Je fais comme si tout ça était normal, mais intérieurement, je suis enragée... Je me concentre sur mon service. C'est interminable, ce midi et ça n'arrête pas, je cours plus que jamais pour servir ma moitié de terrasse. D'autant plus que Madame Simone a dit qu'elle avait besoin de Julien en cuisine. Le coup de grâce, c'est quand Kriss va s'asseoir en face de Kristos. Enfin, il est 2 h 30. Kriss fait la caisse. Elle partage les pourboires. Madame Simone me fait un petit plan pour trouver le photographe. C'est dans la plus belle partie du village. J'appelle Julien, mais Madame Simone me dit : — Il veut une fille seule. Julien peut rester ici, il me donnera un coup de main. Le client te veut à 3 h.
Bon... J'aurai toute la soirée avec Kristos. Il discute toujours avec Kriss. Je vais lui dire : — Je serai de retour à 6 h, on ira manger, je connais...
— D'accord, bonnes photos.
Je veux l'embrasser mais il a repris sa discussion avec Kriss. Ce n'est pas mon jour. Seule chose positive, Julien me regarde d'un air suppliant, il veut rester avec sa maîtresse. Je vais lui dire : — Je reviens à 6 h. Tu obéis à Madame Simone.
— Oui, Samia...
Voilà un homme comme je les aime. Non, ce n'est pas vrai, c'est Kristos, mon genre d'homme, bien sûr. Je prends mon vélo... Cet après-midi, la magie n'opère pas : ma chatte reste presque sèche sur la selle. Je vais montrer mon cul à un connard alors que j'espérais passer une après-midi en amoureux avec Kristos. Et Julien pour tenir la chandelle. Le monde ne s'arrête pas de tourner parce que je ne serai dans ses bras que ce soir. Je me ressaisis et je termine le trajet en gigotant un peu sur mon vélo. Ça marche enfin : ma chatte me remercie silencieusement... La villa est belle, le mec sympa, je dois me déshabiller... mais non, j'arrive toute nue. Un vicieux me demanderait de m'habiller. Je fais les photos qu'il veut, je me caresse même la chatte mais avec distinction, genre le petit doigt levé, toujours comme à Buckingham Palace, là où on fait des "quickie". Je joue avec son chien, un grand clebs jaune de marque indéterminée. Il est très affectueux et il a une longue langue légèrement râpeuse. L'appareil crépite... Au début, j'ai Kristos en tête, mais rapidement la chienne en moi prend le dessus ! À la fin de la séance tout le monde est content, moi qui ai reçu 1000 francs ! Le photographe qui a des super clichés et le chien jaune qui a l'impression de m'avoir fait plein de petits chiots. Mais ça s'peut pas, bien sûr... Enfin, j'espère. Il m'embrasse, c'est mignon et... troublant... Je repars vers les Flots bleus... Je colle à la selle, oui, à cause du chien jaune. Je vais vers la maison. A suivre.
Si vous voulez me draguer ou me dire des choses sympas, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
— On verra.
— Si tu veux viens dormir avec nous au camping, on se serrera.
— Vous êtes venus en stop ?
— Non, à vélo. Tu verras, c'est cool d'être à poil.
— D'accord, ça m'amuserait de faire ça...
Pour les photos, je ne suis pas sûr. Il dit au revoir à ses copains. On met le sac de Kristos sur le porte-bagages de Julien. Heureusement qu'on n'a pas trop acheté. On passe par le petit bureau. Il dit à la fille de l'auberge : — Je ne couche pas ici ce soir La fille râle un peu mais elle doit être amoureuse de lui, vu qu'elle lui dit : — Tu reviens, hein ?
— Je reviens toujours vers toi, ma belle, et je n'oublie pas notre projet.
Quel projet ? Grrr !
Au passage, il prend un vieux coussin et il le fixe sur le porte-bagages du vélo avec un sandow. C'est cool d'être aussi attentionné pour mes fesses. Ça peut vouloir dire qu'il a des projets les concernant. Je m'assieds sur le coussin et je me colle à Kristos. Il est sportif et on va vite... On doit attendre cette moule de Julien. On fait assez rapidement les 6 km qui nous séparent du village naturiste. Arrivés au parking, je dis à Kristos : — Ici on doit se déshabiller.
Ce n'est pas tout à fait exact, la nudité n'est pas obligatoire, mais j'ai envie qu'ont soit nus, lui et moi, genre Adam et Ève... Et Julien fera le serpent, mais un tout petit, disons un orvet. On se déshabille... vous voyez Julien physiquement ? Kristos c'est le contraire : grand, baraqué, des poils noirs sur la poitrine, le bas-ventre, les cuisses et un sexe à rendre rêveuse un pensionnat de jeunes filles (de plus de 18 ans, bien sûr). On forme un couple très séduisant : la belle, la bête et puis... le... la souris ! On met nos vêtements dans le sac de Julien. On remonte sur le vélo, je mouille un peu le coussin qui est sur le porte-bagages. Je me colle à nouveau à Kristos, mes seins nus appuyés contre son large dos. Il me dit : — Me colle pas, je vais bander !
— Chouette.
Je veux lui montrer le village. On roule un peu et on gare les vélos en mettant l'antivol. On ne peut pas laisser le sac sur le porte-bagages. Je dis à Julien : — Tu prends le sac et tu marches 5 pas derrière nous. Compris ?
— Oui, Samia.
Kristos éclate de rire. Je lui montre la grand-rue, la plage. Derrière nous, il y a Julien, notre petit âne porte nos bagages. D'accord, le sac est lourd mais il a le spectacle de mes fesses qui se balancent juste devant lui ! C'est mieux que tous les couchers de soleil, non ? On se balade un peu sur la plage, Kristos regarde les filles, comme tous les nouveaux venus. Je ne sais pas si je ne vais pas être jalouse, moi. On achète quelques bières et on les boit en regardant la mer, en ce qui me concerne, les filles en ce qui concerne Kristos. Je voudrais qu'il ne regarde que moi ! Il me demande : — J'ai la dalle, on va acheter des sandwichs ?
— On peut aller dans un petit restaurant où ils font des sardines grillées.
Nous laissons nos vélos, le restaurant est tout près. On mange, on boit, l'ambiance est sympa. On discute avec le patron. Vers 11 h, je paye. Kristos attend un mandat, il me remboursera. On va au camping en vélo, mes seins sur le large dos de Kristos. Notre tente est du genre ringard, mais comme il "fait la route", ça ne le dérange pas.. Il s'occupe enfin de moi... Il me couche sur le dos pour me faire un cunni, c'est une grande preuve d'intérêt, car les hommes qui habitent autour de la Méditerranée ne font pas ça souvent. Il me lèche habilement, tandis que je caresse son dos de mon talon gauche... Il fait ça beaucoup mieux que Julien. J'ai l'impression de me faire lécher par un caméléon tellement sa langue est longue et s'immisce dans tous les recoins de ma... vulve. Un mot pas très classe, mais tellement excitant. Quand il arrête de flirter du bout de la langue avec tous les recoins de ma chatte, il la fait tourner autour de mon clito. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps... Quelques minutes plus tard, je grimpe aux rideaux de la tente... Je vais finir par avoir la peau de ces putains de rideaux ! Heureusement que c'est une image. C'est bon ! Il est beau, il lèche bien et il est à moi. J'ai un amant et un esclave. Je lui demande : — Tu veux que je te suce ?
— Non, mets-toi sur le côté, j'ai envie de bien sentir tes fesses. C'est gentil aussi, ça...
Je me couche et il se met derrière moi... Plus besoin de préliminaires, ma chatte est devenue préhensile, elle attrape son sexe et l'enfonce en elle ! Il me remplit... de bite et de plaisir, je lève une de mes jambes en disant : — Julien !
Aussitôt, il vient coller sa bouche à ma chatte et au sexe de Kristos qui va et vient en elle. Je l'ai bien dressé. J'aime le savoir là, en dessous, la bouche collé à nos sexes. J'ai joui il y a seulement quelques minutes mais je suis de nouveau super excitée par ce sexe en moi et cette langue qui me lèche. Kristos sait se retenir... longtemps. Il me fait jouir à nouveau, avant d'inonder ma vulve (excitant, non ?) de son foutre (ça aussi !)... Ensuite il reste en moi... et on s'endort, avec Julien à nos pieds.
*** Le lendemain, quand on se réveille, je montre à Kristos le cérémonial du matin. Julien embrasse et lèche ma chatte qui est à peine réveillée et toute collante de nos ébats de la veille. Ça excite Kristos et son sexe remplace rapidement la langue de Julien. C'est un "quickie" comme on dit à Buckingham Palace, une petite baise express, mais ça fait un bien fou pour commencer la journée. On se douche et on va déjeuner. Ensuite nous partons aux Flots bleus. Je suis sûre qu'on demandera à Kristos de poser avec moi. On entre dans le bar. Je dis bonjour à Madame Simone et à Kriss. Je leur présente Kristos en disant : — Il serait d'accord de poser avec moi. Il me répond aussitôt : — Ah non, sorry petite, j'ai réfléchi et comme je fais des études en histoire de l'Art à Barcelone, je ne veux pas poser nu.
Merde ! Histoire de l'art comme Kriss ! C'est quoi, cette connerie ?
Kristos le routard, un étudiant ?
Et, bien sûr, Kriss lui dit : — Moi aussi, je fais Histoire de l'art, mais à Aix en Provence. Ils commencent aussitôt à parler études, universités, Barcelone et ah, Gaudy et oh, la Sagrada Familia. Et ça dure... Madame Simone finit par me dire : — Il est l'heure, va dresser les tables, Samia.
— Oui, Madame (grrrr !)Je me tourne vers Kristos et lui dis : — Si tu as envie de faire un tour sur la plage, je finis à 2 h 30 ' Madame Simone intervient : — Non, tu as des photos en début d'après-midi.
— Mais Madame, je voulais rester avec lui...
J'en ai les larmes aux yeux !
Madame Simone poursuit : — C'est bien payé... et j'ai dit que tu le ferais.
C'est aussi l'avis de Kristos : — Bien sûr, fais-le. Tu pourras m'aider en attendant mon mandat.
Mouais... Madame Simone clôt la conversation en disant : — Allez, au travail, Samia ! Je vais aider Anaïs et Julien qui ont déjà commencé.
Madame Simone et Kriss continuent de discuter avec Kristos. Je les entends rire tous les trois, ça me fait râler. Et ce n'est pas fini. Vers midi, les premiers clients arrivent et je vois que Kriss fait asseoir Kristos dans la partie de la terrasse où Anaïs fait le service. Je vais lui dire : — Tu ne voulais pas te balader sur la plage ?
— Ta patronne m'a proposé de manger ici. Elle est vraiment sympa. Sa fille aussi, d'ailleurs.
Justement, cette salope fonce sur moi en disant bien haut : — On ne te paye pas pour discuter.
Je lui arracherais bien une oreille avec les dents ! Je fais comme si tout ça était normal, mais intérieurement, je suis enragée... Je me concentre sur mon service. C'est interminable, ce midi et ça n'arrête pas, je cours plus que jamais pour servir ma moitié de terrasse. D'autant plus que Madame Simone a dit qu'elle avait besoin de Julien en cuisine. Le coup de grâce, c'est quand Kriss va s'asseoir en face de Kristos. Enfin, il est 2 h 30. Kriss fait la caisse. Elle partage les pourboires. Madame Simone me fait un petit plan pour trouver le photographe. C'est dans la plus belle partie du village. J'appelle Julien, mais Madame Simone me dit : — Il veut une fille seule. Julien peut rester ici, il me donnera un coup de main. Le client te veut à 3 h.
Bon... J'aurai toute la soirée avec Kristos. Il discute toujours avec Kriss. Je vais lui dire : — Je serai de retour à 6 h, on ira manger, je connais...
— D'accord, bonnes photos.
Je veux l'embrasser mais il a repris sa discussion avec Kriss. Ce n'est pas mon jour. Seule chose positive, Julien me regarde d'un air suppliant, il veut rester avec sa maîtresse. Je vais lui dire : — Je reviens à 6 h. Tu obéis à Madame Simone.
— Oui, Samia...
Voilà un homme comme je les aime. Non, ce n'est pas vrai, c'est Kristos, mon genre d'homme, bien sûr. Je prends mon vélo... Cet après-midi, la magie n'opère pas : ma chatte reste presque sèche sur la selle. Je vais montrer mon cul à un connard alors que j'espérais passer une après-midi en amoureux avec Kristos. Et Julien pour tenir la chandelle. Le monde ne s'arrête pas de tourner parce que je ne serai dans ses bras que ce soir. Je me ressaisis et je termine le trajet en gigotant un peu sur mon vélo. Ça marche enfin : ma chatte me remercie silencieusement... La villa est belle, le mec sympa, je dois me déshabiller... mais non, j'arrive toute nue. Un vicieux me demanderait de m'habiller. Je fais les photos qu'il veut, je me caresse même la chatte mais avec distinction, genre le petit doigt levé, toujours comme à Buckingham Palace, là où on fait des "quickie". Je joue avec son chien, un grand clebs jaune de marque indéterminée. Il est très affectueux et il a une longue langue légèrement râpeuse. L'appareil crépite... Au début, j'ai Kristos en tête, mais rapidement la chienne en moi prend le dessus ! À la fin de la séance tout le monde est content, moi qui ai reçu 1000 francs ! Le photographe qui a des super clichés et le chien jaune qui a l'impression de m'avoir fait plein de petits chiots. Mais ça s'peut pas, bien sûr... Enfin, j'espère. Il m'embrasse, c'est mignon et... troublant... Je repars vers les Flots bleus... Je colle à la selle, oui, à cause du chien jaune. Je vais vers la maison. A suivre.
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