Samia - 27 Deux salopes sans slips.
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Samia - 27 Deux salopes sans slips.
Les jumeaux sont assis sur le bord de l'oued, il y en a un qui a un petit appareil photo et l'autre son cahier de croquis et un crayon. Il ne leur manque qu'une caméra !
Maintenant, il faut qu'on fasse participer les cocus. Ah, si, appelons un chat un chat, on vient de se faire tirer par deux mecs virils sous leurs yeux, ils sont cocus, désolée. On va les gâter, tant que c'est chaud, si vous voyez ce que je veux dire. Non vous ne voyez pas ? Je leur dis : — Tous les deux couchés sur le dos.
Là, vous voyez ! On s'accroupit au-dessus de leurs visages et on les fait participer, plus exactement, ils sont chargés du nettoyage. J'entends Djibril dire quelque chose en berbère à son cousin. Je ne serais pas étonnée qu'il lui dise "Ces Occidentales, y a pas plus salope." J'espère que le jumeau photographe réussit à bien prendre la bulle de sperme et de sécrétions qui sort de la chatte de sa belle-mère pour aller dans la bouche de son père. On termine en s'asseyant carrément sur leurs visages.
Je comprends que Djibril et son cousin soient un peu scandalisés, dans leur culture, les femmes ne trompent pas leurs maris sous leurs yeux. D'ailleurs, il nous dit : — On va vous montrer où est votre place, les filles. Venez vous mettre à genoux devant nous.
Je laisse à Josiane le soin de lui dire d'aller se faire foutre... Ah non, elle ne dit rien. Au contraire, elle obéit... Alors, moi aussi. On est dans leur pays après tout et surtout, ils sont grands, costauds et décidés. Il nous dit : — A votre tour de nettoyer.
Ouah ! Bonne réplique. Bon, d'accord, on va leur faire plaisir. Alors on se retrouve toutes les deux avec une belle bite dans la bouche. Du côté des jumeaux on entend les "clic clic", de l'appareil photo et les "kkrriich kkrriicch" du crayon sur le papier. Ce qui est curieux, c'est que je ne retrouve pas le goût de ma chatte sur les sexes que je suce. Oh ! C'est le cousin, ils se ressemblent tellement qu'on s'est trompées. Bah, une bite c'est un bite, sauf que celle-ci a le goût de la chatte de Josiane. On est presque synchrones elle et moi, notre tête va et vient sur les bites dressées. Les jumeaux viennent voir de tout près. Faut bien qu'ils s'instruisent. Djibril nous dit : — Croisez les mains sur les reins, les filles.
Il ajoute pour les jumeaux : — Voilà comment il faut traiter vos femmes !
Têtes des maris, qui iraient bien se cacher dans un trou de souris, ce qui va être difficile pour Robert qui doit approcher des 100 kg. Ce que Djibril ne comprend pas c'est qu'il y a des hommes qui aiment les salopes qui les trompent et les traitent... comme on les traite. Il nous dit : — Arrêtez de sucer, c'étais juste pour vous montrer votre place. Si on a envie de vous baiser, on claquera des doigts !
Il y va faire fort quand même, mais ni Josiane, ni moi n'ouvrons la bouche pour protester. Pour les sucer, oui, pour les remettre à leurs places, on se dégonfle !
En montant le sentier, Josiane me dit : — Je peux prendre ta place à l'arrière ? J'ai trop envie de me faire baiser.
Bien sûr, j'ai aussi envie, c'est normal, mais j'ai aussi envie de voir Josiane avec Djibril et puis, je veux rester amie avec Josiane, je m'amuse avec elle. Je lui dis : — D'accord...
— Merci Samia, je te revaudrai ça.
Elle m'embrasse sur la bouche.
On monte dans la voiture. Le cousin conduit, Julien est assis à côté de lui. Je suis sur la banquette entourée des deux jumeaux et à l'arrière il y a Djibril, Josiane sur ses genoux et Robert à leurs pieds.
On démarre... Josiane a mis un grand tee shirt au dessus de son maillot. Elle dit à Djibril : — J'ai oublié de mettre ma culotte de maillot, ça ne fait rien, Monsieur Djibril ?
Aussitôt les têtes des jumeaux se tournent vers elle. Ils ont un grand sourire aux lèvres. Notre façon de vivre un peu... olé olé, leur fait un bien fou à ces petits. Jumeau 1 dit à Djibril : — Vous allez la baiser, M'sieur Djibril ?
Il fait une moue un peu dégoûtée et répond : — On vient de les baiser dans la rivière... Vous aimeriez que je le fasse ?
Jumeau 2, la bave aux lèvres : — Oh oui M'sieur, elle est en chaleur !
— Ça c'est vrai, elles sont toutes les deux en chaleur... Bon, ça vous ferait vraiment plaisir ?
Jumeaux 1 et 2, presque en choeur : — Oh oui M'sieur.
Les jumeaux et moi on se met carrément à genoux sur la banquette pour mieux voir. On est au spectacle. Djibril sait y faire, il dit à Josiane : — Et toi tu as envie de te faire baiser.
— Oui.
— Fais une phrase !
Putain, j'adore sa façon de faire. Je mouille déjà !
Josiane répond : — J'ai terriblement envie que vous me baisiez, Monsieur Djibril.
Ça lui convient. Il commence par l'embrasser sur la bouche, mais bien avec les langues... qui se cherchent, se trouvent et mélangent leurs salives. Un beau baiser bien mouillé... Djibril dit à Robert qui est par terre devant eux : — Prépare ta femme pour moi, lèche-la.
J'aime... faut que je fasse ça avec Julien. Robert rampe entre les jambes de sa femme et de son futur amant pour la préparer. A mon avis ce n'est pas nécessaire, vu le tempérament de Josiane... Ils recommencent à s'embrasser tandis que le mari s'active à l'étage en dessous. Djibril remonte son tee shirt et lui caresse les seins. Les jumeaux se sont rapprochés de moi et je sens une main sur ma cuisse, puis une autre de l'autre côté. Je ne dis rien...Aussitôt les mains se retrouvent sur mes fesses nues, car moi aussi, j'ai oublié de remettre ma culotte, comme quoi les grands esprits se rencontrent.
Jumeau 1 me murmure à l'oreille : — Tu as le plus beau cul du monde.
Je le sais, mais ça fait toujours plaisir... Je rigole !
Juneau 2 me dit : — On se sent bien avec toi.
— Vous êtes gentils....
— On peut te caresser... steuplléééé...
— Mais c'est ce que vous faites.
Ne faites pas la moue ! Je vous signale qu'ils ont 18 ans et qu'ils sont beaucoup plus normaux qu'au début. Josiane et moi, on les guérit...
Il se passe des choses devant et derrière moi. Derrière Djibril a sorti son sexe de son short et en prenant Josiane par les cuisses, comme on le fait pour faire pisser une petite fille, il l'assied sur sa bite. Elle aime, le dit, le crie. C'est une extravertie, elle décrit tout. A Djibril : — Oh, je la sens bien monsieur Djibril ! C'est bon...
A son mari qui est à genoux le nez à 10 cm de sa chatte : — Regarde comment baise un vrai homme, ça me change de ta bite aussi molle que de la pâte à crêpe.
C'est vrai que de la pâte à crêpe, c'est mou ! Vous voyez que ce n'est pas un hasard, si nos maris sont cocus ! Julien a la bite d'un enfant de 8 ans et Robert en a une extra molle ! On me dira pourquoi les avoir épousées dans ces conditions... Ben, la réponse est simple : le fric ! Et puis, leur tempérament soumis qui nous permet de nous envoyer en l'air avec qui on veut. J'imagine leur faire faire une bataille de zizis : une minuscule contre une molle !
Derrière moi les mains des deux garçons m'investissent de plus en plus, j'ai deux doigts dans la chatte et un doigt dans le cul. Jumeau 1 me dit : — Je peux embrasser ta chatte ?
— Mais...oui !
Il se glisse derrière moi, je me cambre bien. Il a peut être une forme atténuée d'autisme, mais, pas pour trouver une chatte et y fourrer sa langue, il est champion. Il me lèche soigneusement depuis le clito jusqu'au coccyx tout en écartant mes fesses. Putain, il est trop bon ! Comment c'est possible ? Josiane m'a dit qu'ils étaient puceaux ! Des puceaux comme eux, j'achète.
Il s'arrête ! Mais pourquoi ? Ah juste pour donner la place à son frère. Je sais, on pourrait croire que je suis un peu vicieuse, si, si... mais l'idée qu'ils vont mélanger leurs salives dans ma chatte, ça m'excite encore plus.
De plus, j'ai sous les yeux Josiane qui est assise sur le sexe de Djibril tandis que le mari essaye de lécher le tout, malgré les cahots de la route. M'étonne pas que ça marche l'excursion à la cascade, si c'est tout le temps comme ça.
Josiane me dit : — Ils lèchent bien, les jumeaux ?
— Oh putain, oui ! Ce sont des "natural born lickers" (nés pour lécher).
Elle rit en sautant sur le sexe de Djibril, qui s'énerve et lui donne une bonne claque sur les fesses en disant : — Vous la fermez les filles !
— Aaaaiiie ! Pardon, Monsieur Djibril Je ne sais pas si c'est la claque ou la bite en elle ou le tout, mais bientôt, elle nous annonce : — Aaaahhhh... oui... je jouiiissssss....
La voir jouir sous les yeux de son mari et d'un de ses beaux-fils (l'autre, je suis quasi assise sur son visage) ça m'achève et je crie : — Moi aauuussssssiiiiiiiiiii....
Ouch ! C'est bon, il faut dire que les stimulations viennent de partout.
Les jumeaux changent encore vite de place, sans doute pour avoir chacun sa part de nettoyage du plan de travail, ma chatte et mon cul en l'occurrence. Après un moment, c'est sûrement propre. Je repousse un peu celui qui est en-dessous de moi, en disant : — C'était super les gars, vous pouvez arrêter.
Jumeau 1 : — C'est le meilleur moment de notre vie Il est un peu exalté, non ?
Jumeau 2 : — Pour moi aussi.
Grands sourires.
Le soir tombe... On s'assoupit un peu, les jumeaux sont collés à moi, c'est mignon. Au bout d'un moment, je dis à Djibril : — J'ai soif et puis faim et puis je dois faire pipi.
Aussitôt Josiane s'écrie : — Moi, aussi.
Les jumeaux : — Nous, aussi.
— Les deux maris n'osent rien dire. Djibril soupire et répond : Il y a une pompe à essence qui vend des trucs à manger, on va s'arrêter. Tu vois où cousin ?
— Oui, oui...
Il ajoute : — Bon, les filles, c'est pas des Berbères, là. Il n'y a pas une très bonne entente entre les Arabes et nous. Donc, vous deux, pas de conneries, vous vous conduisez bien.
Comme deux gamines Josiane et moi on répond presque ensemble : — Oui M'sieur Djibril J'ajoute : — Mais pipi c'est pressé je vous jure.
Enorme soupir de Djibril qui ronchonne sur "les femmes qui sont des pisseuses." Les cousins s'arrête sur le bord de la route. Josiane et moi, on sort vite de voiture et vu tout ce qu'on a fait aujourd'hui, on estime ne pas devoir s'éloigner. Surtout qu'on n'a pas envie de pisser sur une vipère à corne. On tourne le dos aux Messieurs. Josiane retrousse son tee shirt et moi ma petite jupe. Ni l'une ni l'autre n'a de culotte. Djibril dit : — Deux salopes sans slip.
C'est mignon... On n'a pas de papier et on n'ose pas demander aux maris de venir lécher, Djibril pourrait s'énerver. On se secoue un peu puis on remonte en voiture, la chatte humide. On repart et on s'arrête enfin devant une station d'essence qui fait magasin. Josiane nous dit : — Prenez tout ce que vous voulez c'est Robert qui invite.
Robert, c'est qui ? Ah oui, son mari, je l'avais presque oublié. Il faut dire que Julien et lui, ils sont très discrets. On remercie Josiane et on achète des trucs à manger genre Bounty, Mars, Chips, cornes de gazelles (gâteau de miel au miel, comme vous savez). Djibril parle en arabe et le marchand sort d'un frigo 2 packs de bière et 2 bouteilles de vin Skoura. De retour à la voiture, on le boit à la bouteille, il est plutôt bon.
Je me dis que je dois trouver un truc un peu excitant à faire avec lui. Le faire enculer ou sucer la bite d'un dromadaire. Après tout, c'est son voyage de noce, aussi...
On mange, on boit, on a un petit coup de mou, même les jumeaux. On somnole tous, sauf le cousin, enfin j'espère.
A suivre.
Si vous voulez me contacter, je suis ici mia.michael@hotmail.fr et je réponds gentiment.
Maintenant, il faut qu'on fasse participer les cocus. Ah, si, appelons un chat un chat, on vient de se faire tirer par deux mecs virils sous leurs yeux, ils sont cocus, désolée. On va les gâter, tant que c'est chaud, si vous voyez ce que je veux dire. Non vous ne voyez pas ? Je leur dis : — Tous les deux couchés sur le dos.
Là, vous voyez ! On s'accroupit au-dessus de leurs visages et on les fait participer, plus exactement, ils sont chargés du nettoyage. J'entends Djibril dire quelque chose en berbère à son cousin. Je ne serais pas étonnée qu'il lui dise "Ces Occidentales, y a pas plus salope." J'espère que le jumeau photographe réussit à bien prendre la bulle de sperme et de sécrétions qui sort de la chatte de sa belle-mère pour aller dans la bouche de son père. On termine en s'asseyant carrément sur leurs visages.
Je comprends que Djibril et son cousin soient un peu scandalisés, dans leur culture, les femmes ne trompent pas leurs maris sous leurs yeux. D'ailleurs, il nous dit : — On va vous montrer où est votre place, les filles. Venez vous mettre à genoux devant nous.
Je laisse à Josiane le soin de lui dire d'aller se faire foutre... Ah non, elle ne dit rien. Au contraire, elle obéit... Alors, moi aussi. On est dans leur pays après tout et surtout, ils sont grands, costauds et décidés. Il nous dit : — A votre tour de nettoyer.
Ouah ! Bonne réplique. Bon, d'accord, on va leur faire plaisir. Alors on se retrouve toutes les deux avec une belle bite dans la bouche. Du côté des jumeaux on entend les "clic clic", de l'appareil photo et les "kkrriich kkrriicch" du crayon sur le papier. Ce qui est curieux, c'est que je ne retrouve pas le goût de ma chatte sur les sexes que je suce. Oh ! C'est le cousin, ils se ressemblent tellement qu'on s'est trompées. Bah, une bite c'est un bite, sauf que celle-ci a le goût de la chatte de Josiane. On est presque synchrones elle et moi, notre tête va et vient sur les bites dressées. Les jumeaux viennent voir de tout près. Faut bien qu'ils s'instruisent. Djibril nous dit : — Croisez les mains sur les reins, les filles.
Il ajoute pour les jumeaux : — Voilà comment il faut traiter vos femmes !
Têtes des maris, qui iraient bien se cacher dans un trou de souris, ce qui va être difficile pour Robert qui doit approcher des 100 kg. Ce que Djibril ne comprend pas c'est qu'il y a des hommes qui aiment les salopes qui les trompent et les traitent... comme on les traite. Il nous dit : — Arrêtez de sucer, c'étais juste pour vous montrer votre place. Si on a envie de vous baiser, on claquera des doigts !
Il y va faire fort quand même, mais ni Josiane, ni moi n'ouvrons la bouche pour protester. Pour les sucer, oui, pour les remettre à leurs places, on se dégonfle !
En montant le sentier, Josiane me dit : — Je peux prendre ta place à l'arrière ? J'ai trop envie de me faire baiser.
Bien sûr, j'ai aussi envie, c'est normal, mais j'ai aussi envie de voir Josiane avec Djibril et puis, je veux rester amie avec Josiane, je m'amuse avec elle. Je lui dis : — D'accord...
— Merci Samia, je te revaudrai ça.
Elle m'embrasse sur la bouche.
On monte dans la voiture. Le cousin conduit, Julien est assis à côté de lui. Je suis sur la banquette entourée des deux jumeaux et à l'arrière il y a Djibril, Josiane sur ses genoux et Robert à leurs pieds.
On démarre... Josiane a mis un grand tee shirt au dessus de son maillot. Elle dit à Djibril : — J'ai oublié de mettre ma culotte de maillot, ça ne fait rien, Monsieur Djibril ?
Aussitôt les têtes des jumeaux se tournent vers elle. Ils ont un grand sourire aux lèvres. Notre façon de vivre un peu... olé olé, leur fait un bien fou à ces petits. Jumeau 1 dit à Djibril : — Vous allez la baiser, M'sieur Djibril ?
Il fait une moue un peu dégoûtée et répond : — On vient de les baiser dans la rivière... Vous aimeriez que je le fasse ?
Jumeau 2, la bave aux lèvres : — Oh oui M'sieur, elle est en chaleur !
— Ça c'est vrai, elles sont toutes les deux en chaleur... Bon, ça vous ferait vraiment plaisir ?
Jumeaux 1 et 2, presque en choeur : — Oh oui M'sieur.
Les jumeaux et moi on se met carrément à genoux sur la banquette pour mieux voir. On est au spectacle. Djibril sait y faire, il dit à Josiane : — Et toi tu as envie de te faire baiser.
— Oui.
— Fais une phrase !
Putain, j'adore sa façon de faire. Je mouille déjà !
Josiane répond : — J'ai terriblement envie que vous me baisiez, Monsieur Djibril.
Ça lui convient. Il commence par l'embrasser sur la bouche, mais bien avec les langues... qui se cherchent, se trouvent et mélangent leurs salives. Un beau baiser bien mouillé... Djibril dit à Robert qui est par terre devant eux : — Prépare ta femme pour moi, lèche-la.
J'aime... faut que je fasse ça avec Julien. Robert rampe entre les jambes de sa femme et de son futur amant pour la préparer. A mon avis ce n'est pas nécessaire, vu le tempérament de Josiane... Ils recommencent à s'embrasser tandis que le mari s'active à l'étage en dessous. Djibril remonte son tee shirt et lui caresse les seins. Les jumeaux se sont rapprochés de moi et je sens une main sur ma cuisse, puis une autre de l'autre côté. Je ne dis rien...Aussitôt les mains se retrouvent sur mes fesses nues, car moi aussi, j'ai oublié de remettre ma culotte, comme quoi les grands esprits se rencontrent.
Jumeau 1 me murmure à l'oreille : — Tu as le plus beau cul du monde.
Je le sais, mais ça fait toujours plaisir... Je rigole !
Juneau 2 me dit : — On se sent bien avec toi.
— Vous êtes gentils....
— On peut te caresser... steuplléééé...
— Mais c'est ce que vous faites.
Ne faites pas la moue ! Je vous signale qu'ils ont 18 ans et qu'ils sont beaucoup plus normaux qu'au début. Josiane et moi, on les guérit...
Il se passe des choses devant et derrière moi. Derrière Djibril a sorti son sexe de son short et en prenant Josiane par les cuisses, comme on le fait pour faire pisser une petite fille, il l'assied sur sa bite. Elle aime, le dit, le crie. C'est une extravertie, elle décrit tout. A Djibril : — Oh, je la sens bien monsieur Djibril ! C'est bon...
A son mari qui est à genoux le nez à 10 cm de sa chatte : — Regarde comment baise un vrai homme, ça me change de ta bite aussi molle que de la pâte à crêpe.
C'est vrai que de la pâte à crêpe, c'est mou ! Vous voyez que ce n'est pas un hasard, si nos maris sont cocus ! Julien a la bite d'un enfant de 8 ans et Robert en a une extra molle ! On me dira pourquoi les avoir épousées dans ces conditions... Ben, la réponse est simple : le fric ! Et puis, leur tempérament soumis qui nous permet de nous envoyer en l'air avec qui on veut. J'imagine leur faire faire une bataille de zizis : une minuscule contre une molle !
Derrière moi les mains des deux garçons m'investissent de plus en plus, j'ai deux doigts dans la chatte et un doigt dans le cul. Jumeau 1 me dit : — Je peux embrasser ta chatte ?
— Mais...oui !
Il se glisse derrière moi, je me cambre bien. Il a peut être une forme atténuée d'autisme, mais, pas pour trouver une chatte et y fourrer sa langue, il est champion. Il me lèche soigneusement depuis le clito jusqu'au coccyx tout en écartant mes fesses. Putain, il est trop bon ! Comment c'est possible ? Josiane m'a dit qu'ils étaient puceaux ! Des puceaux comme eux, j'achète.
Il s'arrête ! Mais pourquoi ? Ah juste pour donner la place à son frère. Je sais, on pourrait croire que je suis un peu vicieuse, si, si... mais l'idée qu'ils vont mélanger leurs salives dans ma chatte, ça m'excite encore plus.
De plus, j'ai sous les yeux Josiane qui est assise sur le sexe de Djibril tandis que le mari essaye de lécher le tout, malgré les cahots de la route. M'étonne pas que ça marche l'excursion à la cascade, si c'est tout le temps comme ça.
Josiane me dit : — Ils lèchent bien, les jumeaux ?
— Oh putain, oui ! Ce sont des "natural born lickers" (nés pour lécher).
Elle rit en sautant sur le sexe de Djibril, qui s'énerve et lui donne une bonne claque sur les fesses en disant : — Vous la fermez les filles !
— Aaaaiiie ! Pardon, Monsieur Djibril Je ne sais pas si c'est la claque ou la bite en elle ou le tout, mais bientôt, elle nous annonce : — Aaaahhhh... oui... je jouiiissssss....
La voir jouir sous les yeux de son mari et d'un de ses beaux-fils (l'autre, je suis quasi assise sur son visage) ça m'achève et je crie : — Moi aauuussssssiiiiiiiiiii....
Ouch ! C'est bon, il faut dire que les stimulations viennent de partout.
Les jumeaux changent encore vite de place, sans doute pour avoir chacun sa part de nettoyage du plan de travail, ma chatte et mon cul en l'occurrence. Après un moment, c'est sûrement propre. Je repousse un peu celui qui est en-dessous de moi, en disant : — C'était super les gars, vous pouvez arrêter.
Jumeau 1 : — C'est le meilleur moment de notre vie Il est un peu exalté, non ?
Jumeau 2 : — Pour moi aussi.
Grands sourires.
Le soir tombe... On s'assoupit un peu, les jumeaux sont collés à moi, c'est mignon. Au bout d'un moment, je dis à Djibril : — J'ai soif et puis faim et puis je dois faire pipi.
Aussitôt Josiane s'écrie : — Moi, aussi.
Les jumeaux : — Nous, aussi.
— Les deux maris n'osent rien dire. Djibril soupire et répond : Il y a une pompe à essence qui vend des trucs à manger, on va s'arrêter. Tu vois où cousin ?
— Oui, oui...
Il ajoute : — Bon, les filles, c'est pas des Berbères, là. Il n'y a pas une très bonne entente entre les Arabes et nous. Donc, vous deux, pas de conneries, vous vous conduisez bien.
Comme deux gamines Josiane et moi on répond presque ensemble : — Oui M'sieur Djibril J'ajoute : — Mais pipi c'est pressé je vous jure.
Enorme soupir de Djibril qui ronchonne sur "les femmes qui sont des pisseuses." Les cousins s'arrête sur le bord de la route. Josiane et moi, on sort vite de voiture et vu tout ce qu'on a fait aujourd'hui, on estime ne pas devoir s'éloigner. Surtout qu'on n'a pas envie de pisser sur une vipère à corne. On tourne le dos aux Messieurs. Josiane retrousse son tee shirt et moi ma petite jupe. Ni l'une ni l'autre n'a de culotte. Djibril dit : — Deux salopes sans slip.
C'est mignon... On n'a pas de papier et on n'ose pas demander aux maris de venir lécher, Djibril pourrait s'énerver. On se secoue un peu puis on remonte en voiture, la chatte humide. On repart et on s'arrête enfin devant une station d'essence qui fait magasin. Josiane nous dit : — Prenez tout ce que vous voulez c'est Robert qui invite.
Robert, c'est qui ? Ah oui, son mari, je l'avais presque oublié. Il faut dire que Julien et lui, ils sont très discrets. On remercie Josiane et on achète des trucs à manger genre Bounty, Mars, Chips, cornes de gazelles (gâteau de miel au miel, comme vous savez). Djibril parle en arabe et le marchand sort d'un frigo 2 packs de bière et 2 bouteilles de vin Skoura. De retour à la voiture, on le boit à la bouteille, il est plutôt bon.
Je me dis que je dois trouver un truc un peu excitant à faire avec lui. Le faire enculer ou sucer la bite d'un dromadaire. Après tout, c'est son voyage de noce, aussi...
On mange, on boit, on a un petit coup de mou, même les jumeaux. On somnole tous, sauf le cousin, enfin j'espère.
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