Samia - 31 Oui, qui ?
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 176 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Mia-michael ont reçu un total de 781 388 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 3 736 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Samia - 31 Oui, qui ?
On se couche, N°1 et moi, et je sens aussitôt quelque chose de dur qui vient me flairer les fesses. Oui, mais non, hein Je lui dis : — On dort Pour le reste, on verra demain... Si tu te lèves pour aller pisser la nuit, fais attention de ne pas marcher sur le chien.
— Le chien ?
— Je voulais dire Julien.
Ça rime... et puis il est couché en rond sur sa couverture, comme un chien.
N°1 répond : — Ah oui Julien... Dis... est-ce que...
J'ai compris Je dis à Julien : — Viens sucer mon amoureux, moi j'ai sommeil.
Julien, en chien obéissant, saute sur le lit et vient se coucher entre les jambes de N° 1. Allez, suce, petit chien. Moi, je dors...
*** Le lendemain, dès que je suis réveillée, je sens la bite de N°1 à nouveau contre mes fesses... Ils sont grave obsédés ces jumeaux Je n'ai pas spécialement envie mais je lui prête un derrière distrait... Ensuite, je dis à Julien : — Couche-toi.
Aussitôt il est sur le dos. Je vais m'accroupir au-dessus de son visage et je pousse... Julien avale la décharge matinale de N°1. C'est mon éducation, ça, mon père disait toujours : « On ne gaspille pas la nourriture ».
On descend déjeuner. Robert est déjà au fourneau... c'est-à-dire qu'il fait du café pour moi, du thé pour Josiane, du chocolat pour les jumeaux... Elle arrive avec N°2 et m'embrasse en disant : — Ils sont super excités, les petits — Tu parles, de vrais petits satyres !
Les jumeaux sont tout fiers d'entendre ça. Franchement, ils vont de mieux en mieux depuis qu'ils ont découvert le sexe. Je me souviens tout à coup de ce qui s'est passé hier. Josiane s'est fait monter par un des frères tandis que je l'inséminais avec le sperme de l'autre. J'adore l'idée. Josiane m'a dit : « Tu seras la marraine »... Ça, j'aime moins Les futurs pères sont aux petits soins avec nous : bisous, mains caressantes, compliments... Par contre, ils sont nettement moins gentils avec les maris qui sont juste vêtus d'un tee-shirt et se prennent quelques bons coups de la grande cuiller en bois sur les fesses. Pas parce qu'ils ont fait une connerie, mais parce que les jumeaux trouvent ça trop amusant !
Un autre mec excité arrive : Djibril. On s'embrasse. Il regarde les marques rouges de la cuiller sur les fesses des maris en fronçant les sourcils... mais il n'ose rien dire, tenant trop à notre collaboration pour convaincre les futurs investisseurs. Il nous annonce : — On va tous aller, là-bas, aujourd'hui. Il y a beaucoup à préparer. Et ce soir, différents chefs se réuniront. Vous serez utile pour mettre une bonne ambiance.
Qu'est-ce que c'est, ce plan ? Il n'a jamais été prévu qu'on allait devoir s'envoyer en l'air avec des chefs de tribus Je regarde Josiane qui me regarde... Je réponds à Djibril : — On ne va pas passer nos derniers jours de vacances à travailler. Il était prévu que nous y allions demain soir et juste pour distraire les invités.
— Oui, mais j'ai besoin de vous tous à partir d'aujourd'hui.
— Désolé, pour moi et Julien, c'est non.
Eh Il est bon, l'autre On n'est pas ses esclaves. Je sens qu'il va essayer un truc pour me convaincre. Vas-y coco, supplie un peu... Il nous dit : — Si le projet d'hôtel et de Parc de l'Atlas se concrétise, le chef de la région vous donnera une petite maison dans le village.
Une maison ? Il est fou Juste pour coucher un peu avec les investisseurs et les chefs de tribus... ça fait cher la passe Josiane lui demande : — Une petite maison pour Samia et moi, pour de vrai ?
— Oui, à vos deux noms... Bon, ce n'est pas grand : deux pièces au rez-de-chaussée, deux chambres à l'étage et un petit jardin avec un puits.
Josiane me dit : — Une maison pour nous, Samia On pourra se retrouver ici...
Je fais la moue... Bien sûr, ce serait amusant d'avoir une petite maison, mais je tiens Djibril par les couilles et ça, c'est amusant. Donc je vais serrer encore un peu. Je dis à Josiane : — Faut voir son état... et qu'est ce qu'on devra faire en échange ?
Dis, tu la sens bien, ma main qui te serre les couilles, sale macho ? Oh oui, il la sent et ça ne lui plaît pas. Il me répond : — On ira dormir là, pour pouvoir commencer tôt demain matin. Ce soir, il y a un repas de gens de chez nous. Demain, on va tout préparer et le soir, il y aura les investisseurs à distraire. Julien pourrait se déguiser en femme, ça amuserait les gens.
— Au départ, c'était juste Josiane, moi et d'autres filles. Quant à Julien, il se déguise en fille mais seulement en petit comité.
Il me prend par le bras pour me mettre debout. Ensuite, il me colle à lui. Je suis juste en culotte de maillot et mes seins s'écrasent contre sa poitrine. Il baisse la tête pour me regarder tandis que je la lève pour le voir. Il me répond : — Tu fais ce que je dis et vous aurez une maison. Tout le monde est d'accord.
— Oui, mais pas moi. Aaïïee Vous me faites mal — Tu as déjà vu un fouet pour les chameaux ? Ça fait vraiment mal — Vous n'avez pas le droit de... Aïe D'accord, je suis d'accord.
Il m'embrasse. Sa langue force ma bouche, qui se défend mollement, j'avoue. Son corps est musclé et je sens son sexe dur qui se presse contre mon nombril. Toujours cette différence de taille... Je lâche ses couilles... craintivement. Après que sa bouche a quitté la mienne, il me demande : — Tu vas obéir sans discuter ?
— Ouiii...
— Oui qui ?
— Oui, Monsieur Djibril.
Quoi, dégonflée ? Il est trop costaud Et puis on est chez les Berbères. J'ai pas envie de les mécontenter et qu'il me vende sur le marché aux esclaves d'Alger... D'accord, c'était il y a un siècle, mais qui sait si on ne l'a pas ouvert à nouveau, sans me le dire. Il se tourne vers Josiane qui s’aplatit tout de suite : — Je suis d'accord aussi, Monsieur Djibril.
Il regarde les jumeaux qui disent d'une seule voix : — On va vous aider, Monsieur Djibril.
Normal, ils ont l'impression que c'est grâce à lui qu'ils ont pu baiser leur jolie belle-mère et la ravissante Samia. Djibril s'adresse à Robert : — Toi, tu aideras aussi ?
— Oui Monsieur.
Et enfin, à Julien : — Et toi, tu te déguiseras ?
— Oui, si Samia est d'accord, monsieur Djibril.
Mais voilà un chien fidèle... Je lui donnerai un sucre, tout à l'heure. Djibril poursuit : — Je viendrai vous chercher à 15 h. Là bas, on vous dira quoi faire. Ah, Samia...
— Oui Monsieur Djibril ?
— C'est toi la plus susceptible de faire des conneries. Alors, n'oublie pas le fouet à chameau.
— Oui, Monsieur Djibril.
M'en fous de son bête fouet... Enfin, je ferai ce qu'on me dit pour la maison. Il s'en va en disant : — Je viens vous chercher tout à l'heure.
Lorsqu’il a disparu, Josiane me dit : — Râle pas, on va le faire parce que ça nous amuse et puis on aura une maison de vacances, on pourra se retrouver.
— Oui, je sais, mais il a une façon de faire...
— Tu vas revoir Malha.
— Oui, c'est vrai...
J'aurai une demi-maison dans le village de Malha... et puis, on distraira les invités avec elle, demain, et ensuite on se refera des câlins. N° 1 me dit : — Nous serons ensemble, on va bien s'amuser.
On va tous se préparer. On se lave et on s'habille léger... très léger en ce qui me concerne. Je mets un short qui ne couvre que la moitié supérieure de mes fesses et un top. Quand je marche, je sens mes seins et mes fesses se balancer un peu. Je me regarde dans un miroir : je suis trop belle, trop excitante comme ça. Je voudrais me dédoubler pour me faire l'amour.
Quoi, narcissique ? Eh bien oui, j'avoue. Les jumeaux sont emballés par ma tenue. N° 2 sort son appareil photo pour me mitrailler. Josiane est aussi en short ultra-court et il la photographie également. On a un moment avant que Djibril ne vienne nous chercher. On va jusqu'à la maison avec piscine. Les gens qui l'ont louée n'arrivent que demain. On peut se baigner, si on ne fout pas le bordel... Comme si c'était notre genre On prépare quelques affaires pour passer la nuit là-bas. En ce qui me concerne, je prends juste ma brosse à dents et celle de Julien. J'aime voyager léger. On ferme la porte et on va quelques maisons plus bas.
Il peut y avoir d'autres gens qui viennent se baigner, aussi Robert doit rester près de l'entrée pour nous dire si des personnes arrivent. Julien fait le service pendant que, Josiane, moi et les deux N°, on va batifoler dans la piscine. À poil, bien sûr. Comme les deux frères sont toujours aussi collants, je dis à Josiane : — Faut qu'ils se calment, moi, je vais sucer le mien.
— Oui, t'as raison, moi pareil.
Les jumeaux s'assoient l'un à côté de l'autre, tandis que Josiane et moi, on va dans l'eau, entre leurs cuisses. Elle me dit : — On fait la course ?
— Quel genre ?
— La première qui fait jouir le sien a gagné.
— D'accord.
J'aime bien les idées de Josiane... Et puis, j'aime aussi faire des choses spéciales, avouez que faire une course au premier qui jouira, ce n'est pas très habituel. J'aime bien N° 1, j'aime bien le sucer, l'entendre gémir... Je commence par embrasser ses couilles avant de le sucer. Il me caresse la nuque en disant : — C'est... le paradis Il devient poète... Je le suce, ma tête va et vient sur son sexe. J'aime sentir son gland me chatouiller les amygdales.
Au bout de quelques minutes, je me dis qu’il vaudrait mieux lui filer mon doigt dans le cul pour gagner, mais ce n'est pas facile. Je vais lui demander de se coucher sur le bord... Trop tard J'entends N°2 pousser des petits cris. N°1 le suit de peu, son sperme envahit ma bouche. J'avale tout comme une grande fille. Quand il a fini, je le retire de ma bouche pour reconnaître ma défaite : — T'as gagné, Josiane.
Elle se tourne et m'embrasse. On mélange le sperme des jumeaux qui nous reste en bouche, comme on l’a fait dans son vagin, l'autre soir.
Cette petite compétition a calmé les jumeaux, on peut enfin nager tranquillement.
Vers 13 h, on sort de l'eau et on se rhabille. Enfin, Josiane est aussi en short et top. Disons qu'on n'est plus tout à fait, à poil... On envoie Robert et Julien chercher à manger. Ils reviennent avec des sandwichs et de la bière. On mange à quatre, servis par eux. Quand on a fini, ils peuvent finir nos restes. C'est symbolique. Ensuite on fait la sieste dans les fauteuils de plage.
Vers 15 h, on voit arriver Djibril surexcité qui nous demande : — Qu'est ce que vous faites là ?
— Ben, on s'est baignés.
— Vous deviez être chez vous — Oui, mais on a pensé qu'intelligent comme vous êtes, vous comprendriez qu'on est allés se baigner et vous voyez, on ne s'est pas trompés... Monsieur Djibril.
Il sait que je me fous de lui, mais qu'est ce qu'il peut répondre ? Quand on se lève, il fait la grimace en voyant nos shorts à Josiane et moi. Il doit trouver que notre tenue... manque de tenue, justement. Il me demande : — Le stade suivant, tu vas à poil ?
— Je fais ça pour le bien de la région, Monsieur Djibril. Il faut distraire les investisseurs, c'est pas ça ?
— Arrête de te foutre de moi, Samia Bon, on y va.
Si je peux encore lui serrer un peu les couilles, je ne vais pas me gêner On sort et on embarque tous dans le gros 4 X 4 qui est devant la porte.
Djibril conduit, Robert est à côté de lui. Derrière, il y a les 2 couples d'amoureux : Josiane et N°2, moi et N° 1. Julien est dans le coffre... Ben oui, je ne vais pas le faire courir derrière la voiture Il faut être humain, tout de même.
Les amoureux s'embrassent tandis que Djibril monologue sur l'importance de ce projet pour la région et aussi, qu'on devra faire de notre mieux et qu'il y a aura quand même une petite maison à la clef. Je lui demanderais bien : "Pourquoi petite ?" Mais bon, j'ai déjà pas mal joué avec ses couilles aujourd'hui et puis j'ai la langue de N° 1 dans ma bouche et ses mains passent de mes seins à mes cuisses. Un vrai mille-pattes, ce petit
À suivre.
HDS a refusé "Samia - 30 Inséminations", si vous voulez le lire, envoyez-moi un mail mia.michael@hotmail.fr
— Le chien ?
— Je voulais dire Julien.
Ça rime... et puis il est couché en rond sur sa couverture, comme un chien.
N°1 répond : — Ah oui Julien... Dis... est-ce que...
J'ai compris Je dis à Julien : — Viens sucer mon amoureux, moi j'ai sommeil.
Julien, en chien obéissant, saute sur le lit et vient se coucher entre les jambes de N° 1. Allez, suce, petit chien. Moi, je dors...
*** Le lendemain, dès que je suis réveillée, je sens la bite de N°1 à nouveau contre mes fesses... Ils sont grave obsédés ces jumeaux Je n'ai pas spécialement envie mais je lui prête un derrière distrait... Ensuite, je dis à Julien : — Couche-toi.
Aussitôt il est sur le dos. Je vais m'accroupir au-dessus de son visage et je pousse... Julien avale la décharge matinale de N°1. C'est mon éducation, ça, mon père disait toujours : « On ne gaspille pas la nourriture ».
On descend déjeuner. Robert est déjà au fourneau... c'est-à-dire qu'il fait du café pour moi, du thé pour Josiane, du chocolat pour les jumeaux... Elle arrive avec N°2 et m'embrasse en disant : — Ils sont super excités, les petits — Tu parles, de vrais petits satyres !
Les jumeaux sont tout fiers d'entendre ça. Franchement, ils vont de mieux en mieux depuis qu'ils ont découvert le sexe. Je me souviens tout à coup de ce qui s'est passé hier. Josiane s'est fait monter par un des frères tandis que je l'inséminais avec le sperme de l'autre. J'adore l'idée. Josiane m'a dit : « Tu seras la marraine »... Ça, j'aime moins Les futurs pères sont aux petits soins avec nous : bisous, mains caressantes, compliments... Par contre, ils sont nettement moins gentils avec les maris qui sont juste vêtus d'un tee-shirt et se prennent quelques bons coups de la grande cuiller en bois sur les fesses. Pas parce qu'ils ont fait une connerie, mais parce que les jumeaux trouvent ça trop amusant !
Un autre mec excité arrive : Djibril. On s'embrasse. Il regarde les marques rouges de la cuiller sur les fesses des maris en fronçant les sourcils... mais il n'ose rien dire, tenant trop à notre collaboration pour convaincre les futurs investisseurs. Il nous annonce : — On va tous aller, là-bas, aujourd'hui. Il y a beaucoup à préparer. Et ce soir, différents chefs se réuniront. Vous serez utile pour mettre une bonne ambiance.
Qu'est-ce que c'est, ce plan ? Il n'a jamais été prévu qu'on allait devoir s'envoyer en l'air avec des chefs de tribus Je regarde Josiane qui me regarde... Je réponds à Djibril : — On ne va pas passer nos derniers jours de vacances à travailler. Il était prévu que nous y allions demain soir et juste pour distraire les invités.
— Oui, mais j'ai besoin de vous tous à partir d'aujourd'hui.
— Désolé, pour moi et Julien, c'est non.
Eh Il est bon, l'autre On n'est pas ses esclaves. Je sens qu'il va essayer un truc pour me convaincre. Vas-y coco, supplie un peu... Il nous dit : — Si le projet d'hôtel et de Parc de l'Atlas se concrétise, le chef de la région vous donnera une petite maison dans le village.
Une maison ? Il est fou Juste pour coucher un peu avec les investisseurs et les chefs de tribus... ça fait cher la passe Josiane lui demande : — Une petite maison pour Samia et moi, pour de vrai ?
— Oui, à vos deux noms... Bon, ce n'est pas grand : deux pièces au rez-de-chaussée, deux chambres à l'étage et un petit jardin avec un puits.
Josiane me dit : — Une maison pour nous, Samia On pourra se retrouver ici...
Je fais la moue... Bien sûr, ce serait amusant d'avoir une petite maison, mais je tiens Djibril par les couilles et ça, c'est amusant. Donc je vais serrer encore un peu. Je dis à Josiane : — Faut voir son état... et qu'est ce qu'on devra faire en échange ?
Dis, tu la sens bien, ma main qui te serre les couilles, sale macho ? Oh oui, il la sent et ça ne lui plaît pas. Il me répond : — On ira dormir là, pour pouvoir commencer tôt demain matin. Ce soir, il y a un repas de gens de chez nous. Demain, on va tout préparer et le soir, il y aura les investisseurs à distraire. Julien pourrait se déguiser en femme, ça amuserait les gens.
— Au départ, c'était juste Josiane, moi et d'autres filles. Quant à Julien, il se déguise en fille mais seulement en petit comité.
Il me prend par le bras pour me mettre debout. Ensuite, il me colle à lui. Je suis juste en culotte de maillot et mes seins s'écrasent contre sa poitrine. Il baisse la tête pour me regarder tandis que je la lève pour le voir. Il me répond : — Tu fais ce que je dis et vous aurez une maison. Tout le monde est d'accord.
— Oui, mais pas moi. Aaïïee Vous me faites mal — Tu as déjà vu un fouet pour les chameaux ? Ça fait vraiment mal — Vous n'avez pas le droit de... Aïe D'accord, je suis d'accord.
Il m'embrasse. Sa langue force ma bouche, qui se défend mollement, j'avoue. Son corps est musclé et je sens son sexe dur qui se presse contre mon nombril. Toujours cette différence de taille... Je lâche ses couilles... craintivement. Après que sa bouche a quitté la mienne, il me demande : — Tu vas obéir sans discuter ?
— Ouiii...
— Oui qui ?
— Oui, Monsieur Djibril.
Quoi, dégonflée ? Il est trop costaud Et puis on est chez les Berbères. J'ai pas envie de les mécontenter et qu'il me vende sur le marché aux esclaves d'Alger... D'accord, c'était il y a un siècle, mais qui sait si on ne l'a pas ouvert à nouveau, sans me le dire. Il se tourne vers Josiane qui s’aplatit tout de suite : — Je suis d'accord aussi, Monsieur Djibril.
Il regarde les jumeaux qui disent d'une seule voix : — On va vous aider, Monsieur Djibril.
Normal, ils ont l'impression que c'est grâce à lui qu'ils ont pu baiser leur jolie belle-mère et la ravissante Samia. Djibril s'adresse à Robert : — Toi, tu aideras aussi ?
— Oui Monsieur.
Et enfin, à Julien : — Et toi, tu te déguiseras ?
— Oui, si Samia est d'accord, monsieur Djibril.
Mais voilà un chien fidèle... Je lui donnerai un sucre, tout à l'heure. Djibril poursuit : — Je viendrai vous chercher à 15 h. Là bas, on vous dira quoi faire. Ah, Samia...
— Oui Monsieur Djibril ?
— C'est toi la plus susceptible de faire des conneries. Alors, n'oublie pas le fouet à chameau.
— Oui, Monsieur Djibril.
M'en fous de son bête fouet... Enfin, je ferai ce qu'on me dit pour la maison. Il s'en va en disant : — Je viens vous chercher tout à l'heure.
Lorsqu’il a disparu, Josiane me dit : — Râle pas, on va le faire parce que ça nous amuse et puis on aura une maison de vacances, on pourra se retrouver.
— Oui, je sais, mais il a une façon de faire...
— Tu vas revoir Malha.
— Oui, c'est vrai...
J'aurai une demi-maison dans le village de Malha... et puis, on distraira les invités avec elle, demain, et ensuite on se refera des câlins. N° 1 me dit : — Nous serons ensemble, on va bien s'amuser.
On va tous se préparer. On se lave et on s'habille léger... très léger en ce qui me concerne. Je mets un short qui ne couvre que la moitié supérieure de mes fesses et un top. Quand je marche, je sens mes seins et mes fesses se balancer un peu. Je me regarde dans un miroir : je suis trop belle, trop excitante comme ça. Je voudrais me dédoubler pour me faire l'amour.
Quoi, narcissique ? Eh bien oui, j'avoue. Les jumeaux sont emballés par ma tenue. N° 2 sort son appareil photo pour me mitrailler. Josiane est aussi en short ultra-court et il la photographie également. On a un moment avant que Djibril ne vienne nous chercher. On va jusqu'à la maison avec piscine. Les gens qui l'ont louée n'arrivent que demain. On peut se baigner, si on ne fout pas le bordel... Comme si c'était notre genre On prépare quelques affaires pour passer la nuit là-bas. En ce qui me concerne, je prends juste ma brosse à dents et celle de Julien. J'aime voyager léger. On ferme la porte et on va quelques maisons plus bas.
Il peut y avoir d'autres gens qui viennent se baigner, aussi Robert doit rester près de l'entrée pour nous dire si des personnes arrivent. Julien fait le service pendant que, Josiane, moi et les deux N°, on va batifoler dans la piscine. À poil, bien sûr. Comme les deux frères sont toujours aussi collants, je dis à Josiane : — Faut qu'ils se calment, moi, je vais sucer le mien.
— Oui, t'as raison, moi pareil.
Les jumeaux s'assoient l'un à côté de l'autre, tandis que Josiane et moi, on va dans l'eau, entre leurs cuisses. Elle me dit : — On fait la course ?
— Quel genre ?
— La première qui fait jouir le sien a gagné.
— D'accord.
J'aime bien les idées de Josiane... Et puis, j'aime aussi faire des choses spéciales, avouez que faire une course au premier qui jouira, ce n'est pas très habituel. J'aime bien N° 1, j'aime bien le sucer, l'entendre gémir... Je commence par embrasser ses couilles avant de le sucer. Il me caresse la nuque en disant : — C'est... le paradis Il devient poète... Je le suce, ma tête va et vient sur son sexe. J'aime sentir son gland me chatouiller les amygdales.
Au bout de quelques minutes, je me dis qu’il vaudrait mieux lui filer mon doigt dans le cul pour gagner, mais ce n'est pas facile. Je vais lui demander de se coucher sur le bord... Trop tard J'entends N°2 pousser des petits cris. N°1 le suit de peu, son sperme envahit ma bouche. J'avale tout comme une grande fille. Quand il a fini, je le retire de ma bouche pour reconnaître ma défaite : — T'as gagné, Josiane.
Elle se tourne et m'embrasse. On mélange le sperme des jumeaux qui nous reste en bouche, comme on l’a fait dans son vagin, l'autre soir.
Cette petite compétition a calmé les jumeaux, on peut enfin nager tranquillement.
Vers 13 h, on sort de l'eau et on se rhabille. Enfin, Josiane est aussi en short et top. Disons qu'on n'est plus tout à fait, à poil... On envoie Robert et Julien chercher à manger. Ils reviennent avec des sandwichs et de la bière. On mange à quatre, servis par eux. Quand on a fini, ils peuvent finir nos restes. C'est symbolique. Ensuite on fait la sieste dans les fauteuils de plage.
Vers 15 h, on voit arriver Djibril surexcité qui nous demande : — Qu'est ce que vous faites là ?
— Ben, on s'est baignés.
— Vous deviez être chez vous — Oui, mais on a pensé qu'intelligent comme vous êtes, vous comprendriez qu'on est allés se baigner et vous voyez, on ne s'est pas trompés... Monsieur Djibril.
Il sait que je me fous de lui, mais qu'est ce qu'il peut répondre ? Quand on se lève, il fait la grimace en voyant nos shorts à Josiane et moi. Il doit trouver que notre tenue... manque de tenue, justement. Il me demande : — Le stade suivant, tu vas à poil ?
— Je fais ça pour le bien de la région, Monsieur Djibril. Il faut distraire les investisseurs, c'est pas ça ?
— Arrête de te foutre de moi, Samia Bon, on y va.
Si je peux encore lui serrer un peu les couilles, je ne vais pas me gêner On sort et on embarque tous dans le gros 4 X 4 qui est devant la porte.
Djibril conduit, Robert est à côté de lui. Derrière, il y a les 2 couples d'amoureux : Josiane et N°2, moi et N° 1. Julien est dans le coffre... Ben oui, je ne vais pas le faire courir derrière la voiture Il faut être humain, tout de même.
Les amoureux s'embrassent tandis que Djibril monologue sur l'importance de ce projet pour la région et aussi, qu'on devra faire de notre mieux et qu'il y a aura quand même une petite maison à la clef. Je lui demanderais bien : "Pourquoi petite ?" Mais bon, j'ai déjà pas mal joué avec ses couilles aujourd'hui et puis j'ai la langue de N° 1 dans ma bouche et ses mains passent de mes seins à mes cuisses. Un vrai mille-pattes, ce petit
À suivre.
HDS a refusé "Samia - 30 Inséminations", si vous voulez le lire, envoyez-moi un mail mia.michael@hotmail.fr
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mia-michael
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...