Samia - une vie pleine de débauches - le commencement partie 1 - histoire érotique

Pour commencer je me présente, je m'appelle Samia ( vous vous doutez bien que ce n'est pas mon vrai prénom ;)). Je suis une "blédarde", c'est à dire une femme arabe venant du bled, même si on peut bien s'assimiler à une beurette.

Veuillez m'excuser pour la longue introduction mais elle est nécessaire pour la suite.

Actuellement, je suis mariée avec deux enfants, mais avant d'arriver là, j'ai connue plein de rebondissements, plein de hauts et de bas, et en terme de sexe, un nombre d'aventures largement supérieur à la moyenne pour mes semblables, même si au début, je n'aurais pas trop parié dessus.

Je suis née dans le sud d'un des pays du Maghreb, dans un environnement très conservateur, où la séparation homme / femme est la norme, sauf dans les établissements scolaires.

Mon histoire commence à l'âge de 18 ans, nous sommes au mois d'Avril, et j'allais passer le bac dans deux mois, étant une très bonne lycéenne, c'était pour moi une formalité, et j'avais déjà entamée les démarches pour étudier en France post bac.

C'est l'âge également ou le corps s'approche de l'âge adulte, avec les formes qui apparaissent et qui s'affirment. Etant inscrite au club de hand de la région, j'avais un physique d'athlète, j'étais une très belle jeune fille, avec un bronzage naturel, des seins assez gros sous forme de petits melons, une belle croupe avec un fessier charnu et ferme et un ventre plat. Autant vous dire que les camarades du lycée et même quelques adultes rodaient autour de moi, mais je n'avais d'oeil que pour un seul mec : Karim. Un bogoss de ma classe, avec qui je discutais le plus souvent, j'étais à vrai dire sa copine, mais sans avoir rien fait au niveau sexe.

C'est l'âge aussi où l'innocence nous faire dire tout : pour moi, j'allais finir mes études et me marier avec Karim. Il faut dire que dans notre région, la réussite d'une fille se résume tout simplement au mariage, celle qui tarde à le faire est montrée du doigt, et celle qui dépasse les 30 ans devient none ou presque.

Nous sommes donc au mois d'Avril, les préparatifs au bac commencent, et on avait pour habitude de réviser en groupes (filles et garçons), chez un de nos camarades, avec la présence des parents de celui ou celle qui reçoit. C'était une garantie pour nos parents de nous laisser passer la nuit en révision. Evidement, nous nous sommes arrangés, Karim et moi, d'être dans un même groupe, et surtout, on ne faisait pas que réviser : ça nous arrive de faire des parties de jeux vidéos, de jeux de société, de discuter de tout et de rien.

Un soir, c'était le tour de Karim de nous recevoir. Je me suis partie donc chez lui avec juste ce qu'il faut pour réviser, sans se douter que cette nuit changera ma vie pour toujours.

J'arrive chez lui, habillée de façon simple : un jean serré mais avec un pull ample cachant mon derrière. Je sonne, c'est Karim qui m'ouvre avec un sourire vicieux et on se serre la main.

- ahla, ça va ?
- ahla, ça va et toi ? on dirait que je suis la première à arriver
- oui en effet, reste pas à la porte, entre !

J'entre, c'est très calme, Karim était tout seul chez lui.

- tes parents ne sont pas là ?
- non, ils ont du partir voir ma grand mère car elle a eu un souci de santé (sa grand mère habite à plus de 200 km de chez lui)
- d'accord, je pensais être en retard, que font les autres ? demanda-je

Je fais quelques pas dans le salon, remarquant que tout est étrangement calme. Le contraste avec l'excitation de la soirée qui s'annonçait m'a frappée. Karim m'invite à m'asseoir sur le canapé, mais il semble un peu plus distant que d'habitude. Il y a cette lueur dans ses yeux qui me fait réfléchir. C'est comme s'il attendait quelque chose.

Les autres sont en retard, en effet, répond-il avec un léger sourire en coin. Mais on peut toujours commencer, non ?
Je hoche la tête, légèrement gênée. Une partie de moi, tout au fond, me dit que ce n'est pas juste une soirée comme les autres.

Oui, pourquoi pas, répondis-je en essayant de masquer ma nervosité. On peut toujours réviser ensemble.
Mais Karim ne semble pas pressé de sortir ses livres. Il reste là, debout, me regardant, comme s'il attendait quelque chose. Je sens le poids de son regard sur moi, une sorte d'intensité qu'il n'avait jamais montrée auparavant. Un petit frisson me traverse, et je tente de détourner mon regard.

Tu veux boire quelque chose ? me demande-t-il finalement, brisant le silence.

Oui, un verre d'eau stp.

Il part vers la cuisine, et pendant ce temps, je m'assois sur le canapé, un peu perdue dans mes pensées. L'atmosphère a changé, elle est plus intime, moins innocente que d'habitude. Je suis prise entre l'envie de repartir, de rester en dehors de tout ça, et la curiosité de savoir où il veut en venir.

Karim revient avec deux verres d'eau, mais cette fois, il n'y a plus ce sourire léger. Il s'installe près de moi, trop près à mon goût. Je peux sentir son parfum, et un frisson me parcourt à nouveau.

- Samia, je crois qu'on peut enfin être seuls ce soir, juste tous les deux... Tu n'as jamais eu cette envie de sortir de la routine ?

Je sens mon cœur battre plus fort dans ma poitrine. Une chaleur étrange commence à se propager en moi, une sensation que je n'avais pas anticipée. Karim me regarde intensément, et son regard semble plus pénétrant, comme s'il cherchait à sonder mes pensées les plus secrètes.

- Sortir de la routine, c'est à dire ?? répondis-je, tentant de garder mon calme, mais je sens ma voix trahir un léger tremblement.

Il ne répond pas tout de suite. À la place, il se penche un peu plus près, et cette fois, son souffle frôle ma peau. Je peux sentir son énergie, sa présence, comme une vague d'électricité qui traverse la pièce. Le moment est suspendu, comme si tout l'univers s'était arrêté.

-Samia, tu sais ce que je veux dire, je pense que toi aussi, tu le ressens, non ?, dit-il d'une voix plus basse, presque chuchotée.

Je déglutis difficilement, mon regard accrochant le sien. Oui, il a raison, quelque chose a changé entre nous. Un malaise agréable, une attirance que je n'avais jamais osé explorer. Il n'y a plus de retour en arrière maintenant, et malgré mes réticences, une partie de moi veut voir jusqu'où cela peut aller.

Ses doigts effleurent doucement mon bras, et la sensation est à la fois agréable et déroutante. Je suis partagée entre l'envie de fuir ou de le laisser faire.

- Tu veux savoir ce que je ressens ? murmurais-je, me surprenant moi-même de ma propre audace.

Karim sourit lentement, et je vois dans ses yeux cette lueur de défi, comme s'il savait qu'il venait de faire le premier pas vers l'inconnu. Il s'approche encore un peu, assez pour sentir sa chaleur près de moi.

- Oui, Samia, j'aimerais vraiment le savoir dit-il, et sa voix est plus douce, plus intime.

Ses mains sont désormais partout sur moi, avec une assurance tranquille, comme si il connaissait chaque mouvement que mon corps allait faire. Il prend son temps, comme pour savourer chaque seconde, chaque frisson qui parcourt ma peau sous ses doigts. L’air semble lourd, chargé de promesses non dites, et je sens un mélange d’excitation et d’appréhension qui m’envahit.

"Tu veux vraiment savoir ce que c'est de briser cette routine ?" Il murmure ces mots à mon oreille, sa voix grave et presque douce. Il effleure ma bouche du bout des lèvres, un frôlement qui me fait frissonner encore plus.

Je suis là, dans cette pièce silencieuse, mon corps réagissant à ses gestes, à sa voix, à son regard. Tout semble s'effacer autour de moi, sauf lui et cette attirance brutale qui nous lie.

Je le regarde dans les yeux, et pour la première fois, je ne suis plus hésitante. J'ai envie de tout lâcher, de me laisser aller, d'explorer cette nouvelle dimension entre nous.

- Oui, je veux savoir

C’est tout ce qu’il attendait. Son regard se fait plus intense, plus audacieux, et il s’approche lentement de moi, ses lèvres effleurant les miennes à nouveau, mais cette fois-ci avec plus de ferveur, plus de désir. Le baiser est plus pressé, plus profond, et je me laisse emporter par lui. Chaque sensation, chaque frémissement de mon corps me fait perdre le contrôle, mais d'une manière que je n'avais jamais imaginée.

Ses mains glissent sous mon pull, frôlant ma peau chaude, cherchant à en dévoiler davantage. Un frisson me parcourt, et je réalise que je n'ai plus aucune envie de reculer. Le moment est là, il est tout près, et je suis prête à le suivre, à franchir cette ligne invisible qui me sépare de ce que je n'avais jamais cru pouvoir être.

- Tu es prête ? Sa voix est basse, presque un murmure, mais je sais que chaque mot a un poids particulier.

Je hoche la tête, le cœur battant à tout rompre. La chaleur entre nous est devenue insupportable, et chaque geste, chaque mouvement de ses mains sur moi semble plus irrésistible que le précédent. La pièce s’est comme transformée, envahie par cette atmosphère électrique qui me fait oublier tout le reste.

- On va dans ma chambre, dit-il en me prenant par la main
Je l'ai suivi sans savoir comment mes jambes ont pu me transporter tellement l'excitation est à son comble.

La suite dans la prochaine partie.