Samir et ma belle
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2022 dans la catégorie Plus on est
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Samir et ma belle
Nous avions envie de découvrir le désert en faisant un périple à dos de chameau. Nous avons réservé notre voyage en prenant directement contact avec une agence locale, qui nous a organisé un séjour au sein d'une caravane de nomades.
Une fois sur place, nous avons été emmené en 4x4 jusqu'au campement de la tribu où on nous a récupéré et affecté une tente pour la nuit. Le lendemain très tôt, pour éviter la chaleur de la mi-journée, nous nous sommes mis en route. Nous avons cheminé tantôt sur nos chameaux, tantôt à pied. Après une longue pause entre midi et cinq heures, nous avons continué à nous enfoncer dans le désert et le soir, nous avons installé notre campement dans le lit d'un oued.
Si vous ne connaissez pas le désert, quand je parle d'un oued, vous imaginez sans doute une rivière. Un oued dans cette région est toujours asséché, sauf lors de grandes pluies. Comme le lit est le point le plus bas de la plaine, c'est là que l'eau s'accumule et forme un torrent. Quand il est sec, le lit reste bien visible à cause de la végétation, rare mais présente tout le long. L'oued est utile aux nomades parce que c'est un pâturage pour les bêtes et c'est aussi le lieu où l'on peut trouver du bois pour le feu.
Durant cette première journée nous avons fait connaissance avec nos guides, et plus particulièrement Mustapha, Abdou et Sami. Abdou a même changé le prénom de ma femme en décidant de l'appeler Aïcha. "Aïcha, photo" dit-il en prenant l'appareil et en nous demandant de poser pour nous prendre à côté d'un chameau ou au pied d'un massif à la forme évocatrice. Il lui arrive aussi de me dire "B., Tu laisses la gazelle tranquille!" quand je taquine ma femme. Abdou est plutôt grand et sec. Mustapha a la corpulence d'un pilier de rugby. Quant à Sami, il est entre les deux : taille moyenne, poids moyen. Pour ma part, je ressemble plutôt à Sami avec la musculature d'un intellectuel plutôt que celle d'un nomade. Ma femme, elle, est plutôt rondelette, avec des formes là où il faut comme on dit.
Je ne fus pas long à m'endormir le premier soir, assez fatigué par la chaleur et la marche toute la journée. Le lendemain matin, très tôt, je me suis rendu compte que ma femme n'était plus à mes côtés. Je sais qu'elle aime partir seule à l'affût de belles photos. Je suis sorti de la tente pour aller à sa rencontre et en même temps faire mes besoins à l'abri des regards. Le campement était encore endormi. J'ai essayé de repérer l'empreinte de ses pas dans le sable pour suivre ses traces et chercher dans une direction probable ou du moins possible. Je me suis éloigné jusqu'à ce que je ne vois plus les tentes, toujours sans voir ma femme. Au bout d'une heure environ, j'étais de retour mais sans savoir où se trouvait J. et je commençais à m'inquiéter.
Puis, je la vis se glisser sous la tente. Elle avait un drôle de regard. Gênée. Je lui dis que je m'étais inquiété. Elle m'expliqua qu'elle s'était levée avant le soleil, pour faire des photos et ses besoins, elle aussi (paradoxalement, il n'est jamais facile de s'isoler dans le désert). Et puis, alors qu'elle faisait pipi, Abdou l'avait surprise. Elle avait dû se reculotter en vitesse, mais le mal était fait. Il l'avait certainement vue accroupie, les fesses à l'air. Elle m'avoua qu'il l'avait violée.
Je la regardais, incrédule. J'aurais dû être en colère et en même temps protecteur mais je restais plutôt inerte. C'était sans doute parce qu'elle ne correspondait pas à l'image, sans doute un cliché, de la femme violée. Je lui demandais s'il l'avait frappée. Elle me raconta qu'il était venu vers elle, qu'il avait relevé sa gandoura, qu'il était nu en dessous et qu'il lui avait montré son érection. Il l'avait alors allongée sur le sable et l'avait forcée. J'ai demandé à J. pourquoi elle n'avait pas crié. Elle me dit qu'elle n'avait pas pu, qu'elle s'était plus ou moins laissée faire. Je n'osais pas l'interroger bien que j'aurais voulu avoir des détails. Je redoutais qu'elle me dise qu'elle ne s'était pas opposé à ce viol parce qu'elle ne le voyait pas ainsi. Son attitude en revenant n'avait pas été celle de quelqu'un de terrifié mais comme je l'ai dit, elle exprimait plutôt la gène. Sans doute vis à vis de moi.
Mais je lui ai quand même fait remarquer que ce qu'elle venait de me raconter avait tout au plus dû durer quelques minutes, ce qui n'expliquait pas sa disparition pendant plus d'une heure, même en comptant le temps de l'escapade elle-même. Son embarras s'accentua. Elle semblait ne pas savoir comment se justifier. Elle hésitait à dire la vérité. Ou bien, elle cherchait un mensonge plausible. Elle finit pas m'expliquer laborieusement qu'Abdou l'avait ramenée au campement puis invitée sous sa tente. Je compris à demi-mot qu'elle n'avait pas cherché à lui échapper, qu'elle ne m'avait pas appelé à son secours et qu'elle l'avait suivi de son plein gré.
Après cette confession, nous sommes restés silencieux tous les deux, chacun dans ses pensées. Elle devait se préoccuper du futur alors que moi, j'étais abattu par le passé.
Elle alla prendre l'eau qui nous servait pour la toilette. Elle me tourna le dos, retira sa culotte, se lava le sexe et laissa retomber sa robe. Elle ne pouvait pas se soustraire à ma présence parce qu'il n'y avait aucun endroit où s'enfermer. Je compris qu'elle nettoyait le sperme qui était en elle. Je lui fis remarquer qu'elle n'avait pas remis de slip. Elle devint instantanément cramoisie et me dit qu'elle ne pouvait pas. Je pensais qu'elle était blessée ou qu'elle avait un empêchement physique mais devant mon incompréhension, elle se sentit obligée de me donner une explication. Je fus effaré d'apprendre que c'était Abdou qui avait exigé qu'elle ne porte plus de sous-vêtement. Je tentais de la ramener à la raison, de lui dire qu'elle n'avait aucune obligation de suivre ses ordres mais rien n'y fit. Elle resta sans dessous et enleva même son soutien-gorge.
Abdou vint nous rejoindre. Il tenait, pendue sur son avant bras, une gandoura rouge vif. Il me demanda de sortir. Je regardais ma femme et je vis qu'elle m'implorait d'obéir. Je baissais la tête et je quittais la tente, les laissant seuls tous les deux. C'était l'humiliation suprême.
Je regardais par l'ouverture de l'entrée et je vis que ma femme était nue. Abdou lui avait commandé de se déshabiller et elle s'était exécutée. Il lui tendait la gandoura et elle l'enfila. Je l'entendis lui dire "Tu garderas cet habit traditionnel et tu resteras nue en dessous, comme je le suis moi aussi. Tu resteras à ma disposition jour et nuit. Je te prendrai chaque fois que j'en aurai envie. Tu expliqueras ça à ton mari. Il devra sortir de la tente chaque fois que je rentrerai, sans que j'ai rien à lui dire." Il sortit et m'invita à rentrer, précisant que ma femme souhaitait me parler.
Elle n'osait pas me regarder en face. Je ne disais rien. Puis, elle s'enhardit et bredouilla qu'elle devait rester dans cette tenue, qu'Abdou l'exigeait. Je fis mine de m'opposer à cette décision, de plaider pour un front commun, mais je sentis que ma femme avait changé de camp. Je ne comprenais pas pourquoi, mais il semblait clair que le principal obstacle à un refus de notre part était que J. était consentante.
L'atmosphère resta lourde toute la journée. Les nomades s'étaient apparemment installés pour quelques jours et nous n'avions rien d'autre à faire qu'à attendre qu'on nous appelle pour le déjeuner puis pour le dîner, pris sur des tapis déroulés à même le sable, à l'ombre d'une immense muraille rocailleuse.
Après le déjeuner, nous nous dirigeâmes vers la tente pour faire la sieste. Malgré la chaleur, je ne dormais pas. Je cherchais à savoir si ma femme, elle, était assoupie. J'écoutais sa respiration. Je fus assez vite fixée. Elle se leva sans faire de bruit, pensant que je ne l'entendais pas. Elle sortit de la tente. Je savais qu'elle allait rejoindre Abdou. Je restais seul, imaginant ce qui se passait, ce qu'ils faisaient. Je jetais un œil à ma montre pour pouvoir estimer la durée de son absence. Elle ne revint qu'au bout de trois heures. Elle vit que je ne dormais pas. Elle ne chercha pas à se justifier. Elle semblait simplement me demander de lui pardonner. Son regard disait "Je n'ai pas pu résister. Excuse moi."
Après le repas du soir, Abdou, Mustapha et Sami nous accompagnèrent jusqu'à notre tente. Abdou entra avec ma femme, nous laissant dehors. Nous les entendîmes discuter. Abdou proposait que ma femme s'occupe de ses amis. Elle refusait. Elle dit à Abdou qu'elle l'aimait, qu'elle ne faisait pas ça par vice. Mais Abdou était inflexible. Il disait que ses amis avait aussi envie d'elle et qu'elle devait se soumettre. Comme les positions ne changeaient pas ni d'un côté ni de l'autre, Abdou appela Mustapha et Sami.
J'entrais avec eux, bien décidé à aider ma femme à se sortir de là. Mais pendant quelques minutes, la tension retomba parce que Abdou, Mustapha et Sami discutaient entre eux dans une autre langue que je ne comprenais pas. Puis Sami est ressorti. Mustapha, Abdou, ma femme et moi nous nous regardions sans plus parler ni agir. Sami est revenu au bout de quelques minutes. Il tenait des cordages. Il en attacha deux au pied du mât central de la tente et un troisième en bas d'un bois de soutien du pourtour. Je le vis s'assurer qu'ils étaient suffisamment serrés pour ne pas pouvoir glisser vers le haut.
Abdou déplaça notre lit composé d'un matelas léger à même le sol et d'une couette. Il demanda à ma femme de s'agenouiller sur le lit, face au poteau. Sami lui passa une des deux cordes du mât derrière les genoux et avec celle ancrée au cercle externe il fit le tour de sa taille. J. était solidement fixée, maintenue à l'avant par le lien autour de son ventre et à l'arrière par celui autour de ses jambes. Abdou lui appuya sur la nuque pour qu'elle incline son buste jusqu'à ce que sa joue touche le coussin. Elle avait la position de la prière musulmane. Sami lui passa le troisième cordage autour du cou. Elle ne pouvait plus relever la tête.
J'aurais dû m'opposer à tous ces préparatifs dont je comprenais petit à petit le sens mais d'une part Mustapha me surveillait et d'autre part, j'étais paralysé par la docilité de ma femme.
Abdou releva la gandoura de J. jusqu'à la taille, découvrant ses fesses. Il me fit signe de m'approcher. "Tu es le mari, tu as le droit de passer en premier." Comme je ne bougeais pas, Sami et Mustapha me forcèrent à avancer. Puis ils me firent signe de baisser mon bermuda. Je fis ce qu'ils me demandaient. Je n'avais pas le courage de leur résister. Puis je retirais mon caleçon et je me retrouvais debout derrière ma femme, cul nu et en t-shirt. Les trois hommes pouvaient constater que cette contrainte et l'image de ma femme offerte me faisaient bander. Mustapha me fit mettre à genoux, souleva le cul de J. et me fit comprendre que je devais la prendre en levrette.
Quand je l'ai pénétrée, j'ai bien vu qu'elle était trempée. Moi, je bandais et elle, elle mouillait. Je tenais J. aux hanches et j'allais et je venais en elle, plus doucement que d'habitude. Sans doute étais-je gêné par la présence des autres hommes.
Abdou me tapota l'épaule et me fit signe de me retirer. Je sortis mon sexe toujours raide parce que je n'avais pas eu le temps d'éjaculer et je laissais ma place. Il s'accroupit, recouvrit les fesses de ma femme avec sa gandoura et la prit avec force. Ma femme gémit sous l'assaut. Il l'empoignait à la taille et lui bourrait le cul sans ménagement. On ne voyait pas l'accouplement qui était masqué par le vêtement mais on pouvait apprécier l'amplitude des coups de reins et imaginer qu'Abdou ressortait entièrement pour rentrer jusqu'à écraser les fesses avec son pubis. On comprenait aussi que ma femme, au lieu de tenter de se soustraire au pilonnage, bougeait son cul avec des mouvements de bassin vers l'avant pour accélérer le retrait et vers l'arrière pour accentuer l'enfoncement. Elle respirait de plus en plus fort et poussait un petit cri à chaque fois qu'Abdou frappait le fond de sa matrice. Il cria et resta fiché en elle, son ventre plaqué au derrière, avec des soubresauts et des contractions des fesses indiquant qu'il se vidait dans la chatte. Pendant toute la durée de son éjaculation, ma femme eut un orgasme. Elle criait aussi fort que lui et son visage exprimait tout le plaisir qu'elle avait.
Abdou se retira, découvrant le cul de J. La croupe était restée levée pendant toute la copulation, autant que le permettaient les liens. J. reposa ses fesses sur ses talons. Ce mouvement fit pression sur son bas-ventre et on vit le sperme sortir par la fente, formant de longs filets qui descendaient entre les cuisses.
Ce fut au tour de Mustapha. Lui se mit nu. Il bandait très dur. Il dit quelque chose aux deux autres que je ne compris pas. Puis il parla en français. "Donne-moi ton cul la gazelle.". Ma femme souleva ses fesses pour s'offrir. Il écarta la raie du cul de J. et cracha à l'aplomb de l'anus. Il badigeonna la rondelle et progressivement encula ma femme avec son pouce. Je voyais la pastille s'ouvrir petit à petit et le doigt entrer un peu plus profondément à chaque pression. Il semblait évident qu'il allait la sodomiser, peut-être parce que l'autre trou était encore plein du foutre d'Abdou.
Il enduisit son membre de salive et le plaça sur le petit trou de J. et commença à s'enfoncer. Je vis le gland franchir le passage en souplesse. Ma femme apparemment se laissait enculer et peut-être même le désirait. Une fois le nœud en place, le reste du sexe entra sans difficulté. Mustapha pesait de tout son poids sur les fesses de J., ce qui suffisait à le garder bien planté au fond de son rectum. Il commença à remuer avec des ondulations amples du bassin. Il n'allait pas vite, mais c'est son poids qui donnait toute leur puissance à ses coups de boutoir. Le visage de ma femme se tordait, mais il était difficile de dire si ses rictus étaient de douleur ou de plaisir. Elle ressentait au plus profond d'elle même cet homme qui la besognait. Je la vis porter sa main à son sexe, par dessous son ventre. Elle se mit à se branler devant nous, tâchant de se synchroniser sur les aller et retour de Mustapha dans ses reins. Le mouvement des doigts était aussi lent que celui du membre en elle. Il poussait, elle écrasait son clitoris. Il tirait, elle se caressait le tour du bouton avec son index d'un geste circulaire. Il poussait à nouveau, elle entrait trois doigts dans son vagin pour les lubrifier. Il ressortait et elle passait ses doigts sur le haut de sa vulve pour mouiller la jointure des lèvres.
On sentit que l'un et l'autre étaient unis dans la recherche de l'orgasme. Sans changer de rythme, ils ont fait doucement monter la jouissance. Bien que j'aurais dû être affligé par le spectacle, tout au contraire, j'étais fasciné par le plaisir de ma femme. J'étais toujours nu de ma partie basse et tout le monde voyait que ma queue était raide. Je bandais comme jamais, sans que je me touche. Comme avec Abdou, J. jouit au moment où Mustapha éjacula dans ses intestins. Les deux amants se libérèrent simultanément, lui se vidant, et elle prenant tout au fond d'elle-même.
Une fois sur place, nous avons été emmené en 4x4 jusqu'au campement de la tribu où on nous a récupéré et affecté une tente pour la nuit. Le lendemain très tôt, pour éviter la chaleur de la mi-journée, nous nous sommes mis en route. Nous avons cheminé tantôt sur nos chameaux, tantôt à pied. Après une longue pause entre midi et cinq heures, nous avons continué à nous enfoncer dans le désert et le soir, nous avons installé notre campement dans le lit d'un oued.
Si vous ne connaissez pas le désert, quand je parle d'un oued, vous imaginez sans doute une rivière. Un oued dans cette région est toujours asséché, sauf lors de grandes pluies. Comme le lit est le point le plus bas de la plaine, c'est là que l'eau s'accumule et forme un torrent. Quand il est sec, le lit reste bien visible à cause de la végétation, rare mais présente tout le long. L'oued est utile aux nomades parce que c'est un pâturage pour les bêtes et c'est aussi le lieu où l'on peut trouver du bois pour le feu.
Durant cette première journée nous avons fait connaissance avec nos guides, et plus particulièrement Mustapha, Abdou et Sami. Abdou a même changé le prénom de ma femme en décidant de l'appeler Aïcha. "Aïcha, photo" dit-il en prenant l'appareil et en nous demandant de poser pour nous prendre à côté d'un chameau ou au pied d'un massif à la forme évocatrice. Il lui arrive aussi de me dire "B., Tu laisses la gazelle tranquille!" quand je taquine ma femme. Abdou est plutôt grand et sec. Mustapha a la corpulence d'un pilier de rugby. Quant à Sami, il est entre les deux : taille moyenne, poids moyen. Pour ma part, je ressemble plutôt à Sami avec la musculature d'un intellectuel plutôt que celle d'un nomade. Ma femme, elle, est plutôt rondelette, avec des formes là où il faut comme on dit.
Je ne fus pas long à m'endormir le premier soir, assez fatigué par la chaleur et la marche toute la journée. Le lendemain matin, très tôt, je me suis rendu compte que ma femme n'était plus à mes côtés. Je sais qu'elle aime partir seule à l'affût de belles photos. Je suis sorti de la tente pour aller à sa rencontre et en même temps faire mes besoins à l'abri des regards. Le campement était encore endormi. J'ai essayé de repérer l'empreinte de ses pas dans le sable pour suivre ses traces et chercher dans une direction probable ou du moins possible. Je me suis éloigné jusqu'à ce que je ne vois plus les tentes, toujours sans voir ma femme. Au bout d'une heure environ, j'étais de retour mais sans savoir où se trouvait J. et je commençais à m'inquiéter.
Puis, je la vis se glisser sous la tente. Elle avait un drôle de regard. Gênée. Je lui dis que je m'étais inquiété. Elle m'expliqua qu'elle s'était levée avant le soleil, pour faire des photos et ses besoins, elle aussi (paradoxalement, il n'est jamais facile de s'isoler dans le désert). Et puis, alors qu'elle faisait pipi, Abdou l'avait surprise. Elle avait dû se reculotter en vitesse, mais le mal était fait. Il l'avait certainement vue accroupie, les fesses à l'air. Elle m'avoua qu'il l'avait violée.
Je la regardais, incrédule. J'aurais dû être en colère et en même temps protecteur mais je restais plutôt inerte. C'était sans doute parce qu'elle ne correspondait pas à l'image, sans doute un cliché, de la femme violée. Je lui demandais s'il l'avait frappée. Elle me raconta qu'il était venu vers elle, qu'il avait relevé sa gandoura, qu'il était nu en dessous et qu'il lui avait montré son érection. Il l'avait alors allongée sur le sable et l'avait forcée. J'ai demandé à J. pourquoi elle n'avait pas crié. Elle me dit qu'elle n'avait pas pu, qu'elle s'était plus ou moins laissée faire. Je n'osais pas l'interroger bien que j'aurais voulu avoir des détails. Je redoutais qu'elle me dise qu'elle ne s'était pas opposé à ce viol parce qu'elle ne le voyait pas ainsi. Son attitude en revenant n'avait pas été celle de quelqu'un de terrifié mais comme je l'ai dit, elle exprimait plutôt la gène. Sans doute vis à vis de moi.
Mais je lui ai quand même fait remarquer que ce qu'elle venait de me raconter avait tout au plus dû durer quelques minutes, ce qui n'expliquait pas sa disparition pendant plus d'une heure, même en comptant le temps de l'escapade elle-même. Son embarras s'accentua. Elle semblait ne pas savoir comment se justifier. Elle hésitait à dire la vérité. Ou bien, elle cherchait un mensonge plausible. Elle finit pas m'expliquer laborieusement qu'Abdou l'avait ramenée au campement puis invitée sous sa tente. Je compris à demi-mot qu'elle n'avait pas cherché à lui échapper, qu'elle ne m'avait pas appelé à son secours et qu'elle l'avait suivi de son plein gré.
Après cette confession, nous sommes restés silencieux tous les deux, chacun dans ses pensées. Elle devait se préoccuper du futur alors que moi, j'étais abattu par le passé.
Elle alla prendre l'eau qui nous servait pour la toilette. Elle me tourna le dos, retira sa culotte, se lava le sexe et laissa retomber sa robe. Elle ne pouvait pas se soustraire à ma présence parce qu'il n'y avait aucun endroit où s'enfermer. Je compris qu'elle nettoyait le sperme qui était en elle. Je lui fis remarquer qu'elle n'avait pas remis de slip. Elle devint instantanément cramoisie et me dit qu'elle ne pouvait pas. Je pensais qu'elle était blessée ou qu'elle avait un empêchement physique mais devant mon incompréhension, elle se sentit obligée de me donner une explication. Je fus effaré d'apprendre que c'était Abdou qui avait exigé qu'elle ne porte plus de sous-vêtement. Je tentais de la ramener à la raison, de lui dire qu'elle n'avait aucune obligation de suivre ses ordres mais rien n'y fit. Elle resta sans dessous et enleva même son soutien-gorge.
Abdou vint nous rejoindre. Il tenait, pendue sur son avant bras, une gandoura rouge vif. Il me demanda de sortir. Je regardais ma femme et je vis qu'elle m'implorait d'obéir. Je baissais la tête et je quittais la tente, les laissant seuls tous les deux. C'était l'humiliation suprême.
Je regardais par l'ouverture de l'entrée et je vis que ma femme était nue. Abdou lui avait commandé de se déshabiller et elle s'était exécutée. Il lui tendait la gandoura et elle l'enfila. Je l'entendis lui dire "Tu garderas cet habit traditionnel et tu resteras nue en dessous, comme je le suis moi aussi. Tu resteras à ma disposition jour et nuit. Je te prendrai chaque fois que j'en aurai envie. Tu expliqueras ça à ton mari. Il devra sortir de la tente chaque fois que je rentrerai, sans que j'ai rien à lui dire." Il sortit et m'invita à rentrer, précisant que ma femme souhaitait me parler.
Elle n'osait pas me regarder en face. Je ne disais rien. Puis, elle s'enhardit et bredouilla qu'elle devait rester dans cette tenue, qu'Abdou l'exigeait. Je fis mine de m'opposer à cette décision, de plaider pour un front commun, mais je sentis que ma femme avait changé de camp. Je ne comprenais pas pourquoi, mais il semblait clair que le principal obstacle à un refus de notre part était que J. était consentante.
L'atmosphère resta lourde toute la journée. Les nomades s'étaient apparemment installés pour quelques jours et nous n'avions rien d'autre à faire qu'à attendre qu'on nous appelle pour le déjeuner puis pour le dîner, pris sur des tapis déroulés à même le sable, à l'ombre d'une immense muraille rocailleuse.
Après le déjeuner, nous nous dirigeâmes vers la tente pour faire la sieste. Malgré la chaleur, je ne dormais pas. Je cherchais à savoir si ma femme, elle, était assoupie. J'écoutais sa respiration. Je fus assez vite fixée. Elle se leva sans faire de bruit, pensant que je ne l'entendais pas. Elle sortit de la tente. Je savais qu'elle allait rejoindre Abdou. Je restais seul, imaginant ce qui se passait, ce qu'ils faisaient. Je jetais un œil à ma montre pour pouvoir estimer la durée de son absence. Elle ne revint qu'au bout de trois heures. Elle vit que je ne dormais pas. Elle ne chercha pas à se justifier. Elle semblait simplement me demander de lui pardonner. Son regard disait "Je n'ai pas pu résister. Excuse moi."
Après le repas du soir, Abdou, Mustapha et Sami nous accompagnèrent jusqu'à notre tente. Abdou entra avec ma femme, nous laissant dehors. Nous les entendîmes discuter. Abdou proposait que ma femme s'occupe de ses amis. Elle refusait. Elle dit à Abdou qu'elle l'aimait, qu'elle ne faisait pas ça par vice. Mais Abdou était inflexible. Il disait que ses amis avait aussi envie d'elle et qu'elle devait se soumettre. Comme les positions ne changeaient pas ni d'un côté ni de l'autre, Abdou appela Mustapha et Sami.
J'entrais avec eux, bien décidé à aider ma femme à se sortir de là. Mais pendant quelques minutes, la tension retomba parce que Abdou, Mustapha et Sami discutaient entre eux dans une autre langue que je ne comprenais pas. Puis Sami est ressorti. Mustapha, Abdou, ma femme et moi nous nous regardions sans plus parler ni agir. Sami est revenu au bout de quelques minutes. Il tenait des cordages. Il en attacha deux au pied du mât central de la tente et un troisième en bas d'un bois de soutien du pourtour. Je le vis s'assurer qu'ils étaient suffisamment serrés pour ne pas pouvoir glisser vers le haut.
Abdou déplaça notre lit composé d'un matelas léger à même le sol et d'une couette. Il demanda à ma femme de s'agenouiller sur le lit, face au poteau. Sami lui passa une des deux cordes du mât derrière les genoux et avec celle ancrée au cercle externe il fit le tour de sa taille. J. était solidement fixée, maintenue à l'avant par le lien autour de son ventre et à l'arrière par celui autour de ses jambes. Abdou lui appuya sur la nuque pour qu'elle incline son buste jusqu'à ce que sa joue touche le coussin. Elle avait la position de la prière musulmane. Sami lui passa le troisième cordage autour du cou. Elle ne pouvait plus relever la tête.
J'aurais dû m'opposer à tous ces préparatifs dont je comprenais petit à petit le sens mais d'une part Mustapha me surveillait et d'autre part, j'étais paralysé par la docilité de ma femme.
Abdou releva la gandoura de J. jusqu'à la taille, découvrant ses fesses. Il me fit signe de m'approcher. "Tu es le mari, tu as le droit de passer en premier." Comme je ne bougeais pas, Sami et Mustapha me forcèrent à avancer. Puis ils me firent signe de baisser mon bermuda. Je fis ce qu'ils me demandaient. Je n'avais pas le courage de leur résister. Puis je retirais mon caleçon et je me retrouvais debout derrière ma femme, cul nu et en t-shirt. Les trois hommes pouvaient constater que cette contrainte et l'image de ma femme offerte me faisaient bander. Mustapha me fit mettre à genoux, souleva le cul de J. et me fit comprendre que je devais la prendre en levrette.
Quand je l'ai pénétrée, j'ai bien vu qu'elle était trempée. Moi, je bandais et elle, elle mouillait. Je tenais J. aux hanches et j'allais et je venais en elle, plus doucement que d'habitude. Sans doute étais-je gêné par la présence des autres hommes.
Abdou me tapota l'épaule et me fit signe de me retirer. Je sortis mon sexe toujours raide parce que je n'avais pas eu le temps d'éjaculer et je laissais ma place. Il s'accroupit, recouvrit les fesses de ma femme avec sa gandoura et la prit avec force. Ma femme gémit sous l'assaut. Il l'empoignait à la taille et lui bourrait le cul sans ménagement. On ne voyait pas l'accouplement qui était masqué par le vêtement mais on pouvait apprécier l'amplitude des coups de reins et imaginer qu'Abdou ressortait entièrement pour rentrer jusqu'à écraser les fesses avec son pubis. On comprenait aussi que ma femme, au lieu de tenter de se soustraire au pilonnage, bougeait son cul avec des mouvements de bassin vers l'avant pour accélérer le retrait et vers l'arrière pour accentuer l'enfoncement. Elle respirait de plus en plus fort et poussait un petit cri à chaque fois qu'Abdou frappait le fond de sa matrice. Il cria et resta fiché en elle, son ventre plaqué au derrière, avec des soubresauts et des contractions des fesses indiquant qu'il se vidait dans la chatte. Pendant toute la durée de son éjaculation, ma femme eut un orgasme. Elle criait aussi fort que lui et son visage exprimait tout le plaisir qu'elle avait.
Abdou se retira, découvrant le cul de J. La croupe était restée levée pendant toute la copulation, autant que le permettaient les liens. J. reposa ses fesses sur ses talons. Ce mouvement fit pression sur son bas-ventre et on vit le sperme sortir par la fente, formant de longs filets qui descendaient entre les cuisses.
Ce fut au tour de Mustapha. Lui se mit nu. Il bandait très dur. Il dit quelque chose aux deux autres que je ne compris pas. Puis il parla en français. "Donne-moi ton cul la gazelle.". Ma femme souleva ses fesses pour s'offrir. Il écarta la raie du cul de J. et cracha à l'aplomb de l'anus. Il badigeonna la rondelle et progressivement encula ma femme avec son pouce. Je voyais la pastille s'ouvrir petit à petit et le doigt entrer un peu plus profondément à chaque pression. Il semblait évident qu'il allait la sodomiser, peut-être parce que l'autre trou était encore plein du foutre d'Abdou.
Il enduisit son membre de salive et le plaça sur le petit trou de J. et commença à s'enfoncer. Je vis le gland franchir le passage en souplesse. Ma femme apparemment se laissait enculer et peut-être même le désirait. Une fois le nœud en place, le reste du sexe entra sans difficulté. Mustapha pesait de tout son poids sur les fesses de J., ce qui suffisait à le garder bien planté au fond de son rectum. Il commença à remuer avec des ondulations amples du bassin. Il n'allait pas vite, mais c'est son poids qui donnait toute leur puissance à ses coups de boutoir. Le visage de ma femme se tordait, mais il était difficile de dire si ses rictus étaient de douleur ou de plaisir. Elle ressentait au plus profond d'elle même cet homme qui la besognait. Je la vis porter sa main à son sexe, par dessous son ventre. Elle se mit à se branler devant nous, tâchant de se synchroniser sur les aller et retour de Mustapha dans ses reins. Le mouvement des doigts était aussi lent que celui du membre en elle. Il poussait, elle écrasait son clitoris. Il tirait, elle se caressait le tour du bouton avec son index d'un geste circulaire. Il poussait à nouveau, elle entrait trois doigts dans son vagin pour les lubrifier. Il ressortait et elle passait ses doigts sur le haut de sa vulve pour mouiller la jointure des lèvres.
On sentit que l'un et l'autre étaient unis dans la recherche de l'orgasme. Sans changer de rythme, ils ont fait doucement monter la jouissance. Bien que j'aurais dû être affligé par le spectacle, tout au contraire, j'étais fasciné par le plaisir de ma femme. J'étais toujours nu de ma partie basse et tout le monde voyait que ma queue était raide. Je bandais comme jamais, sans que je me touche. Comme avec Abdou, J. jouit au moment où Mustapha éjacula dans ses intestins. Les deux amants se libérèrent simultanément, lui se vidant, et elle prenant tout au fond d'elle-même.
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