Samir, ou une chasse ordinaire

- Par l'auteur HDS Flam -
Récit érotique écrit par Flam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Samir, ou une chasse ordinaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Samir, ou une chasse ordinaire
C’était pourtant un jour comme un autre. Un vendredi soir comme un autre, même. Le soleil des dernières belles journées de septembre brillait encore. La fac avait repris, la routine avait repris. Les deux mois de vacances avaient filé à une vitesse impressionnante.
Je sursautais lorsque mon téléphone sonna. Et après avoir échangé quelques paroles avec mon interlocuteur, je décidais d’accepter d’aller à cette soirée. Je ne connaitrais personne, mais bon, c’était l’occasion de tisser quelques liens, de danser, de m’amuser un peu.
J'entrais dans une grande maison et suivis la propriétaire des lieux jusqu’au garage d’où émanait des rires et de la musique.
Dans le garage, il devait y avoir une quinzaine de personnes tout au plus. Plus de filles que d’hommes, et aucun n’attira mon regard. Finalement, ce ne sera peut être pas une partie de chasse ce soir, pensais-je. Je saluais rapidement l’ensemble du groupe.
La porte grande ouverte donnait sur un petit jardin, où quelques gars fumaient, accompagnés de quelques filles. L’odeur de chicha.
Je rentrais à l’intérieur du garage et m’affalais sur le canapé, canette de coca entre les doigts.
J'écoutais distraitement la musique, lorsqu’un homme entra dans la pièce. Grand, baraqué, un bel arabe. Lui, il me plaisait. Je lui souriais, avant de me glisser dans un groupe où j’avais aperçu quelqu’un de ma connaissance.
Entre les danses et les discussions, le temps passait rapidement. J'avais chaud.
Je délaissai mon partenaire de danse pour prendre l’air dans le jardin.
Appuyée contre le mur, je vis lentement se mouvoir une silhouette. Je souris en découvrant mon bel inconnu.
« Samir » me dit-il en me tendant une canette de boisson énergisante.
J'attrapais la canette, en profitant du contact de sa main, en lui demandant pourquoi venir me voir.
« T’as beaucoup dansé, tu dois avoir soif… »
La lumière du garage éclairait ses traits. Il était beau, piètre dragueur, certes, mais ce n’était pas important.
Je posais la canette par terre et attirait l’homme contre moi.
Délicatement, je posais mes lèvres contre les siennes. Il ne réagissait pas. J’approfondissais le baiser.
Il céda enfin. Nos langues se mêlaient et s’emmêlaient. Il était à la fois doux et fort. C’était bon.
Je me plaquais contre lui en étouffant un gémissement. Je sentais sa bite devenir dure contre moi. Sa main me caressait les fesses. J'avais envie. Envie de lui. Envie de jouir. Envie de le sentir en moi.
J’interrompis le baiser.
« Tu connais la maison ? » soufflais-je.
« Un peu… »
« On trouve un endroit sympa ? »
Il me répondit pas, mais m’attrapa la main en me trainant à l’intérieur.
On se retrouva dans un bureau, la porte close. Juste nous deux. Il me plaqua contre le mur proche de la porte, en m’enserrant de ses bras.
J’embrassais doucement son cou, entre sa barbe et son t-shirt. Il gémissait doucement.
Samir m’enleva rapidement ma chemise, puis mon soutien gorge. Je fis passer son t-shirt au dessus de sa tête admirant son torse dessiné.
Je caressais toute sa peau apparente, alors que lui me suçait langoureusement les tétons. Je rejetais la tête en arrière, profitant de l’instant.
Je défaisais alors son jean, laissant apparaitre une belle barre dans son boxer. Je massais doucement ce sexe tendu.
Il poussa un grognement de satisfaction, alors qu’il se baissait pour finir de retirer son jean.
Lentement, il déboutonna la braguette de mon jean. Puis, il passa sa langue au dessus de mon shorty.
Que c’était bon !
Il enleva mon dernier vêtement. J’étais nue devant lui. Il était nu devant moi. Ce que j’avais envie !
Il replongea sa tête dans ma chatte.
De sa main, il écartait mes grandes lèvres. Je sentais son souffle chaud sur ma vulve. Je n’en pouvais plus. Je plaquais sa tête contre mon intimité.
« Lèche moi ! »
Sa langue entra en contact avec mon clito. Un râle de plaisir m’échappa. Sa langue s’inséra dans mon vagin détrempé, alors qu’il titillait mon anus de sa main libre. Je sentais ma mouille s’échapper de ma chatte. Je l’encourageais en poussant des gémissements de plus en plus sonores.
Sa langue appuyait sur mon clito, deux doigts jouaient avec mon vagin, un autre élargissait ma pastille. Je sentais mon corps se tendre. J’allais jouir.
Pressentant ma jouissance, il stoppa son cunnilingus. Je grognais de frustration.
« Continue ! Je vais jouir ! »
Il lapa mon intimité avant de s’arrêter de nouveau.
Je le repoussais au sol. Je lui enjambais la tête, plaquant ma chatte trempée contre sa bouche, alors que je me positionnais en 69.
Son sexe était beau. Pas très long, mais large. Je le prenais en bouche. Je le suçais lentement en lui massant les boules. Puis j’alternais les va et viens longs et profonds et les plus rapides. Il gémissait autant que moi.
Sa langue dans ma chatte faisait des miracles. J’allais jouir. Le va et vient de ses deux doigts dans mon sexe combiné à sa langue sur mon clito me fit me cambrer en hurlant.
« Oui ! Oui ! Oui ! Je jouis ! »
Je le suçais de plus en plus vite. Il gémissait. Je sentis sa verge se contracter dans ma bouche. Puis dans un râle, il éjacula.
On se releva doucement. Il était toujours raide. Je l’entendis mettre une capote. Puis, il me poussa contre la porte, inséra trois doigts dans ma chatte avant de me pénétrer d’une traite.
Mes chaires s’écartaient alors que sa bite me transperçait, provoquant un gémissement de bien être. Il me pistonnait doucement puis de plus en plus rapidement.
J’étais pleine de sa bite. Je voulais qu’il s’enfonce loin, encore plus loin. Tous ces mouvements me faisaient gémir.
J’aimais cette bite qui me pénétrait fort. J’aimais le claquement de mes fesses contre son bassin. J’aimais me faire prendre.
Samir me décolla du mur pour me déposer sur le bureau. Les jambes écartées, la chatte luisante de mouille, une bite dans le vagin, j’étais indécente. J’étais indécente, mais c’était jouissif.
Il se ré enfonça violement en moi, me tirant une longue plainte. Il me besognait avec vigueur, avec puissance. Il était au fond de ma chatte. Il me faisait un bien fou.
Mon bel inconnu se pencha vers moi, je tendais les lèvres vers lui. Nos langues se mêlaient. Sa verge me faisait jouir. J’étais bien.
Poursuivant sa pénétration intense, il commença à jouer avec mon clito. Ses deux doigts dessus le massaient dans tous les sens. La pression qu’il exerçait dessus, ses coups de rein, je ne tarderais pas à jouir.
J’avais la chatte explosée par sa grosse bite. J’avais le clito énorme. Je sentais cette boule de jouissance monter de mon bas ventre de manière irrémédiable.
Il me pénétrait violement, relevant le bassin, lorsqu’il était au fond de moi. Ce mouvement était divin.
« Prend moi fort » lachais-je, au bord de la jouissance.
« Baise moi ! Défonce moi ! Putain ce que c’est bon ! »
Il me retourna, en me plaquant le buste contre le bureau. Il s’agenouilla derrière moi, je sentis sa langue sur mon anus. Que j’aimais cette caresse !
Sa langue titillait mon anneau, le pénétrant le plus loin possible. Bientôt, ce fut un doigt qui s’insérait en moi. Je gémissais de bonheur.
Je sentais mon anus s’ouvrir de plus en plus, s’élargir de plus en plus. J’avais envie de me faire prendre le cul.
Il se releva. D’une pénétration profonde, il réinvestit ma chatte trempée. Je reculais mon bassin à chaque va et viens pour le sentir encore plus profondément en moi.
Je laissais ma main descendre jusqu'à mon clito que je caressais. J’étais prête à jouir.
Il allait de plus en plus vite, de plus en plus loin, de plus en plus fort. Je gémissais de plus en plus fort. Mon souffle devenait archaïque.
La jouissance s’appropriait l’ensemble de mon corps. Je tremblais. Je râlais. Je demandais à Samir de me prendre encore plus fort et encore plus loin.
Je sentis ses doigts continuer à jouer avec mon anus. Il en enfonça deux profondément.
Le va et vient de ses doigts dans mon cul, son autre main frottant mon clito, sa bouche contre mon épaule et sa grosse bite dans ma chatte eurent raison de moi. Je partis dans un orgasme fulgurant.
J’hurlais de plaisir. Je sentais ma cyprine gicler et couler le long de mes cuisses. Ma chatte se contractait involontairement, mon anus aussi. Je ne contrôlais plus rien.
Samir se retira de ma chatte brûlante. J’avais la sensation d’un manque.
Je l’entendais craquer une nouvelle capote. De nouveau équipé, je le sentis se positionner sur mon anus.
Ce contact m’électrisait. Il inséra le gland et attendit. Je voulais le sentir en moi. Je voulais jouir du cul. Je murmurais : « prend moi ».
Il ne bougeait pas.
Il se retira, avant de se repositionner. Je l’enfonçais d’un coup de rein en moi en poussant un gémissement sonore.
Il me déchirait le cul, que c’était bon.
De ma main libre, je lui massais les couilles. Il gémissait de plus en plus fort. Moi aussi. Après quelques fougueux va et viens, je lui demandais de s’allonger par terre.
Je le chevauchais, sa grosse bite bien plantée au fond de mon anus. Je me caressais la chatte en même temps.
Sa bite grossissait encore dans mon conduit anal. J’allais plus vite, plus fort en lui. Il grognait. Moi aussi.
Je renversais ma tête en arrière, cherchant de l’oxygène. J’allais jouir.
Dans un râle profond, je sentis Samir se déverser en moi, son éjaculation provocant ma jouissance. J’hurlais de nouveau, mon corps se tendant comme un arc.
Je m’écroulais sur le corps de mon amant d’un soir. J’étais bien.
Je m’allongeais à ces côtés, encore étourdie par les différentes jouissances.
Je n’avais aucune notion de l’heure et du temps qu’on avait passé à baiser. Après quelques longues minutes de récupération, je me relevais et m’habillais. J’embrassais rapidement Samir en lui murmurant que ça m’avais bien plus et je partais du bureau témoin de nos scènes de sexe.
A l’intérieur du garage, les autres invités continuaient à danser. Je sortis dans le jardin pour reprendre mes esprits. Appuyée contre le mur, mon regard se posa sur un objet qui brillait au sol : la canette de Red Bull.
Je souris en l’attrapant. Samir avait raison : j’avais soif.

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