Sandra
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Sandra
J’étais bien jeune quand j’ai vu un couple faire l’amour, je devais avoir autour de 16 ans. J’en ai été marqué. Encore aujourd’hui à 45 ans, j’y pense quand je suis seul. J’ai en tête les gémissements de la fille sous cet homme dont je ne voyais que les fesses monter et descendre.
Quand je trouve chaussure à mon pied, ce qui arrive de plus en plus, je suis dans l’obligation de faire jouir et gémir ma conquête. J’y arrive toujours ou presque.
La dernière femme, Sandra, dans le lit est très belle, sans doute la plus belle de celles que j’ai baisées. Ses traits fins sont réguliers, encadrés par une chevelure noire. Ce n’est pas une teinture, son pubis est orné de la même couleur. A 32 ans sa poitrine est juste comme il faut pour satisfaire une main d’honnête homme. Tout son corps est parfait. Si elle n’aimait pas l’amour, je ne l’aurai pas gardée mais elle est une inconditionnelle de l’orgasme.
Sandra est provocante, quand je tarde à venir l’honorer, elle vient nue sur mes genoux, m’embrasse longuement comme une véritable courtisane ou Escort-girl. J’aime l’oublier à cause de ses initiatives toujours chaudes. Toujours sur moi, elle me donne sa poitrine que je lèche et suce, surtout les tétons qui durcissent rapidement. Je la fais tourner pour qu’elle soit à cheval sur ma jambe. Comme elle est très excitée elle se caresse en longs aller et venue de sa vulve. Je me contente de passer une main sur ses fesses, à la recherche de sa raie où je passe un doigt pour découvrir son joli petit trou. Grace à ses mouvements elle touche mon doigt avec son anus, je n’ai qu’à l’avancer un peu pour qu’elle le fasse entrer dans son cul. Elle me regarde bien dans le yeux et me dit :
- Tu es un salaud, tu me mets un doigt dans le cul, je me branle sur ta jambe, je ne sais même pas si tu bandes.
- Regarde vers le bas, ma bite est bien tendue. Elle attend que tu jouisses pour venir dans ton con.
- C’est vrai, tu bandes et je vais jouir, tu me promets de me la mettre ?
- Non, je la mettrai à la voisine.
- Idiot. Tu me fais jouir !
C’est vrai, Sandra jouit, je le sens par mon doigt que je retire doucement de son cul.
Nous nous levons pour aller au lit, le seul endroit du monde où nous faisons bien l’amour. Elle est déjà nue, c’est facile pour elle de se coucher pour me regarder me déshabiller. J’enlève mon caleçon en dernier pour camoufler ma queue le plus possible. Je me tourne avant de l’enlever. Quand je me tourne elle peut voir que je bande toujours, que je la désire, que j’ai envie d’elle, de son entrejambes et même de sa bouche. Je me couche sur le ventre, ma bite bien arrangée sous moi, je peux ainsi embrasser Sandra sur la bouche, nos langues sont à la fête. Je peux poursuivre mes léchages sur ses seins qui du coup sont durcis à l’extrême. Ma main libre descend vers sa chatte. Je peigne ses poils avant de les surmonter pour atterrir sur ses lèvres intimes. Je me régale de les caresser sans les écarter : elles sont si régulières. Je remonte vers le haut, là, sans hésiter j’ouvre le haut de ses lèvres pour faire ressortir son petit bouton. Petit est une façon de parler, il est très sensible à mes caresses. Je caresse comme elle se le fait, c’est agréable d’avoir une compagne qui aime se masturber devant son amant.
J’arrête souvent, je ne veux pas la faire jouir rapidement, malgré ses demandes. Je préfère mener les choses à mon rythme et pourtant j’ai envie d’elle. Je la masturbe ainsi deux fois : c’est ma norme. Sa jouissance n’est pas terminé quand je la doigte avec l’index et le majeur.
Quand j’ai fini, je me met sur le dos : Sandra en profite pour vérifier que je bande toujours, rassurée elle me demande de la baiser. Elle ne dit pas exactement ce mot, elle et plus triviale :
- Fous moi ta bite dans le con.
- Comme tu veux, ma caille.
- Ne parles pas, mets moi la.
Je ne me retiens plus, je vais entre ses jambes pour la baiser normalement. Mais qu’est-ce que la normalité avec une fille comme elle. Avant que je sois sur elle normalement, elle se tourne pour présenter ses fesses. Là je suis perdu : elle me veut dans le con, comme elle a demandé ou dans le cul. Je choisi le premier endroit. Je passe contre son anus, pour aller dans sa gaine de la chatte. Quel bon endroit chaud et humide. J’entre assez facilement, compte tenue de sa position. Je peux à peine bouger, elle oui. Je sens ses fesses contre mon ventre. Je prend ses deux bras pour la crucifier sur le lit. Je suis totalement sur elle. Je suis sur le point de jouir, j’arrête mes mouvements, elle non. Je pars dans son ventre. Je reste en elle tout le temps de mon orgasme.
Quand je la lâche et sort d’elle, Sandra se retourne, prends ma bite dans la bouche pour finir le peu de sperme qui y reste.
Elle voudrai que je la pénètre encore. Elle me donne à voir sa chatte dans laquelle elle pose deux doigts sur le clitoris, passe l’autre main sous une fesse pour entrer deux autres doigts dans l’anus. Elle me regarde comme souvent dans les yeux, mi goguenarde, mi excitée. Elle surveille ma pine : dès qu’elle se soulève elle accélère ses mouvements. Quand elle jouit, elle vient m’embrasser :
- Maintenant mets moi la au cul.
- Tu te branles aussi ?
- Evidemment, c’est meilleur les deux à la fois. Elle se met en levrette. Cette fois c’est net je vais la sodomiser.
Elle passe toute sa réserve de cyprine sur l’anus, aujourd’hui elle veut que je l’encule normalement, souvent elle me demande de la pénétrer à sec, elle a mal pour mieux en jouir. Sandra conduit ma bite vers son anus, comme si je ne savais pas le faire. Je suis enfin sur son trou qu’elle écarte comme elle écarte ses fesses. Il n’est pas béant, il le sera tout à l’heure.
J’entre facilement tellement elle est habituée à ce genre d’union. Mon mouvement est lent, trop lent pour elle qui remue ses fesses vers moi. Elle se branle, je le sens vers mes couilles. Elle gémit, me demande de lui raconter une histoire de cul où elle serait aux prises avec une autre femme (son fantasme). Elle aimerai une autre bite devant. A deux c’est difficile sauf si on possède un gode. Le sien fera l’affaire : elle me le donne, je suis chargé de l’enculer et de la baiser.
A moi de faire la gymnastique pour arriver à rester dans son cul et de passer une main armée d’un gode dans sa vulve.
Je ne sais comment j’y arrive. Heureusement qu’elle prend la relève pour le gode. Son plaisir est au moins décuplé, le mien également, je le sens à travers ses fines cloisons. Elle coordonne bien les deux mouvements.
Sandra jouit ainsi plusieurs fois. Quand à mon tour je pars dans son ventre, je me retire. Elle se recouche sur le dos, reste avec le gode dans le sexe pour continuer à se faire du bien. Je suis à ses cotés pour l’embrasser et caresser ses seins.
Tout en gardant le gode à sa juste place, elle me pose « la » question :
- J’ai envie de...
- De quoi encore, je suis épuisé ?
- T’épouser.
Tu veux que nous nous marions ?
- Oui.
Quand je trouve chaussure à mon pied, ce qui arrive de plus en plus, je suis dans l’obligation de faire jouir et gémir ma conquête. J’y arrive toujours ou presque.
La dernière femme, Sandra, dans le lit est très belle, sans doute la plus belle de celles que j’ai baisées. Ses traits fins sont réguliers, encadrés par une chevelure noire. Ce n’est pas une teinture, son pubis est orné de la même couleur. A 32 ans sa poitrine est juste comme il faut pour satisfaire une main d’honnête homme. Tout son corps est parfait. Si elle n’aimait pas l’amour, je ne l’aurai pas gardée mais elle est une inconditionnelle de l’orgasme.
Sandra est provocante, quand je tarde à venir l’honorer, elle vient nue sur mes genoux, m’embrasse longuement comme une véritable courtisane ou Escort-girl. J’aime l’oublier à cause de ses initiatives toujours chaudes. Toujours sur moi, elle me donne sa poitrine que je lèche et suce, surtout les tétons qui durcissent rapidement. Je la fais tourner pour qu’elle soit à cheval sur ma jambe. Comme elle est très excitée elle se caresse en longs aller et venue de sa vulve. Je me contente de passer une main sur ses fesses, à la recherche de sa raie où je passe un doigt pour découvrir son joli petit trou. Grace à ses mouvements elle touche mon doigt avec son anus, je n’ai qu’à l’avancer un peu pour qu’elle le fasse entrer dans son cul. Elle me regarde bien dans le yeux et me dit :
- Tu es un salaud, tu me mets un doigt dans le cul, je me branle sur ta jambe, je ne sais même pas si tu bandes.
- Regarde vers le bas, ma bite est bien tendue. Elle attend que tu jouisses pour venir dans ton con.
- C’est vrai, tu bandes et je vais jouir, tu me promets de me la mettre ?
- Non, je la mettrai à la voisine.
- Idiot. Tu me fais jouir !
C’est vrai, Sandra jouit, je le sens par mon doigt que je retire doucement de son cul.
Nous nous levons pour aller au lit, le seul endroit du monde où nous faisons bien l’amour. Elle est déjà nue, c’est facile pour elle de se coucher pour me regarder me déshabiller. J’enlève mon caleçon en dernier pour camoufler ma queue le plus possible. Je me tourne avant de l’enlever. Quand je me tourne elle peut voir que je bande toujours, que je la désire, que j’ai envie d’elle, de son entrejambes et même de sa bouche. Je me couche sur le ventre, ma bite bien arrangée sous moi, je peux ainsi embrasser Sandra sur la bouche, nos langues sont à la fête. Je peux poursuivre mes léchages sur ses seins qui du coup sont durcis à l’extrême. Ma main libre descend vers sa chatte. Je peigne ses poils avant de les surmonter pour atterrir sur ses lèvres intimes. Je me régale de les caresser sans les écarter : elles sont si régulières. Je remonte vers le haut, là, sans hésiter j’ouvre le haut de ses lèvres pour faire ressortir son petit bouton. Petit est une façon de parler, il est très sensible à mes caresses. Je caresse comme elle se le fait, c’est agréable d’avoir une compagne qui aime se masturber devant son amant.
J’arrête souvent, je ne veux pas la faire jouir rapidement, malgré ses demandes. Je préfère mener les choses à mon rythme et pourtant j’ai envie d’elle. Je la masturbe ainsi deux fois : c’est ma norme. Sa jouissance n’est pas terminé quand je la doigte avec l’index et le majeur.
Quand j’ai fini, je me met sur le dos : Sandra en profite pour vérifier que je bande toujours, rassurée elle me demande de la baiser. Elle ne dit pas exactement ce mot, elle et plus triviale :
- Fous moi ta bite dans le con.
- Comme tu veux, ma caille.
- Ne parles pas, mets moi la.
Je ne me retiens plus, je vais entre ses jambes pour la baiser normalement. Mais qu’est-ce que la normalité avec une fille comme elle. Avant que je sois sur elle normalement, elle se tourne pour présenter ses fesses. Là je suis perdu : elle me veut dans le con, comme elle a demandé ou dans le cul. Je choisi le premier endroit. Je passe contre son anus, pour aller dans sa gaine de la chatte. Quel bon endroit chaud et humide. J’entre assez facilement, compte tenue de sa position. Je peux à peine bouger, elle oui. Je sens ses fesses contre mon ventre. Je prend ses deux bras pour la crucifier sur le lit. Je suis totalement sur elle. Je suis sur le point de jouir, j’arrête mes mouvements, elle non. Je pars dans son ventre. Je reste en elle tout le temps de mon orgasme.
Quand je la lâche et sort d’elle, Sandra se retourne, prends ma bite dans la bouche pour finir le peu de sperme qui y reste.
Elle voudrai que je la pénètre encore. Elle me donne à voir sa chatte dans laquelle elle pose deux doigts sur le clitoris, passe l’autre main sous une fesse pour entrer deux autres doigts dans l’anus. Elle me regarde comme souvent dans les yeux, mi goguenarde, mi excitée. Elle surveille ma pine : dès qu’elle se soulève elle accélère ses mouvements. Quand elle jouit, elle vient m’embrasser :
- Maintenant mets moi la au cul.
- Tu te branles aussi ?
- Evidemment, c’est meilleur les deux à la fois. Elle se met en levrette. Cette fois c’est net je vais la sodomiser.
Elle passe toute sa réserve de cyprine sur l’anus, aujourd’hui elle veut que je l’encule normalement, souvent elle me demande de la pénétrer à sec, elle a mal pour mieux en jouir. Sandra conduit ma bite vers son anus, comme si je ne savais pas le faire. Je suis enfin sur son trou qu’elle écarte comme elle écarte ses fesses. Il n’est pas béant, il le sera tout à l’heure.
J’entre facilement tellement elle est habituée à ce genre d’union. Mon mouvement est lent, trop lent pour elle qui remue ses fesses vers moi. Elle se branle, je le sens vers mes couilles. Elle gémit, me demande de lui raconter une histoire de cul où elle serait aux prises avec une autre femme (son fantasme). Elle aimerai une autre bite devant. A deux c’est difficile sauf si on possède un gode. Le sien fera l’affaire : elle me le donne, je suis chargé de l’enculer et de la baiser.
A moi de faire la gymnastique pour arriver à rester dans son cul et de passer une main armée d’un gode dans sa vulve.
Je ne sais comment j’y arrive. Heureusement qu’elle prend la relève pour le gode. Son plaisir est au moins décuplé, le mien également, je le sens à travers ses fines cloisons. Elle coordonne bien les deux mouvements.
Sandra jouit ainsi plusieurs fois. Quand à mon tour je pars dans son ventre, je me retire. Elle se recouche sur le dos, reste avec le gode dans le sexe pour continuer à se faire du bien. Je suis à ses cotés pour l’embrasser et caresser ses seins.
Tout en gardant le gode à sa juste place, elle me pose « la » question :
- J’ai envie de...
- De quoi encore, je suis épuisé ?
- T’épouser.
Tu veux que nous nous marions ?
- Oui.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle ardente cavalière, elle vaut le déplacement, belle histoire
Ecrivain
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